Après la nuit, les jours sont longs [PV Lizzie]

Une semaine avait passé après ce jour là. Sept jours, s'étaient écoulés après ce moment de désarroi. Car il en avait voulu plus et il en avait demandé trop, et il sentait bien que Liam ne mènerait à rien. Car lui qui voulait l'avoir dans ses bras ne l'a eut que dans un vague cercle d'ami. Et cette déception qu'il avait ressenti, avait laissé place à une sorte de vide, à un flottement où on ne sait trop quoi penser, à un silence, un blanc. C'était "l'après-amour", comme l'après-guerre des sentiments, et cette période, cette période où il faisait face à une tumultueuse attraction, il avait été en plein dedans et maintenant elle était belle et bien finie. Voilà le jeune garçon ne sachant plus que faire de ses journées à part suivre les enseignements et les ordres des autres, marcher et encore marcher d'un tel point à un autre afin de perpétuer le cycle monotone du travail et du repos, manger et boire à chaque temps du repas et réciter les cours et les leçons et tout cela sans réfléchir. Le voilà finit le temps des passions et des regards, maintenant il n'y avait de place que pour la vie tout à fait dénuée du grand amour, complètement vidée de toute son essence qu'elle avait pourtant.

Alors, Daaf errait parfois dans les rues de la ville, à la recherche de quelque chose sur laquelle s'appuyer. Il était en quête d'un plaisir, d'une action, de juste quelque chose, qui puisse combler et remplacer sa déception amoureuse. C'est ainsi qu'il se rappela le jour de son arrivée où il était aussi perdu et à découvert qu'au jour présent. Et c'est ainsi qu'il regardait la vitrine de macaron, en souvenir de sa rencontre avec Ulli, et qu'il regardait la boutique de jeux-vidéos, en souvenir de celui qui s'endormait tout le temps. Mais il ne jetait qu'un regard égaré et vain, essayant malgré tout de retenir une attention particulière qui finissait toujours par s'estomper. En dépit de trouver une quelconque activité ludique, il s'arrêta prêt de l'arrêt de bus. Le même arrêt où il avait commencé son aventure et où maintenant celle ci se perpétuait hélas d'une triste manière. Il resta sur le côté, près de la vitre placardée d'affiche qui ne retinrent guère son attention, et resta là à regarder le sol.

C'était l'après-midi et le soleil frappait fort, il recouvrait de ses rayons le jeune homme et l'arrêt et l'un était aussi immobile que l'autre. La lumière se répandait partout, elle se répandait sur le bâtiment de derrière et sur le bâtiment d'en face, sur les véhicules qui allaient et partaient, sur le trottoir recouvert de mauvaises herbes et sur ses vêtements paraissant désormais d'un blanc immaculé. Les choses n'étaient plus qu'un tableau, du moment où lui même n'était plus qu'un élément du décor et où seul son esprit pouvait encore se dissocier de l'immobilité dans laquelle son corps était tombé. Ses yeux fixaient le sol et le sol était fixe, ses cheveux bougeaient au gré de la brise et la brise était en constant mouvement. Il s'était fondu si profondément dans la banalité du temps et de l'espace, que c'était le seul constat qu'il y avait à faire.

COUCOU, COUCOU ! Alors, oui, je comprends bien la principale QUESTION que, actuellement, le monde entier se pose. Je la connais, oui, mais vous, LECTEURS ATTENTIFS (j'ai aucun lecteur, hein) VOUS LA SAVEZ AUSSI, vous en avez connaissance. Donc je n'ai pas besoin d'exposer la question pour dire que "Je ne sais pas" semble être une réponse évidente.
Public, d'humeur casse-couille : "MAIS LIZZIE, TU NE NOUS A RIEN EXPLIQUÉ !"
Lizzie, exaspérée de voir que le monde est décidément BEAUCOUP TROP CON pour la comprendre, elle et son génie sans égal :
Public, d'humeur toujours aussi casse-couille : "C'EST SURTOUT TON EGO QUI EST SANS ÉGAL."
Lizzie, contrariée, GARDE LE SILENCE PARCE QU'ELLE SE SENT INSULTÉE. Nan j'déconne, Lizzie s'en bat les couilles, LIZZIE EST BIEN AU-DESSUS DE CETTE PLÈBE À LA CON.
Public, regardant sa montre avec désarroi : "Et sinon quand est-ce que tu parles de Daaf ?"
Lizzie, ESPIONNÉE PAR LA NASA ET LA CIA ET PLEIN DE TRUCS, haletante, mal à l'aise : "Mé omg komen kvou savé"
Public (sans didascalie parce que ça commence vraiment à faire chier Lizzie, cc) (oui je sais, mon explication pour pas mettre de didascalie fait genre une ligne, voire deux si on compte ça, keskejsuibète) : "nou savon c tt"
Moi : (ouais la première personne c'est mieux, ça commence à me casser les couilles de dire "Lizzie", "Elle" et tout et tout) ok.
Alors, à la demande de jsp tro ki, je vais pas écrire bien, mais je vais parler de Daaf (enfin, "parler" c'est relatif, j'suis toute seule là, donc je parlerais toute seule. Ha oui, je le fais, BIEN VU, seulement encore une fois moi j'ai rien demandé et on me réplique ça. De base je suis gentille moi, j'suis passé du côté obscur parce que le monde est un FDP avec moi. Ce sont les abréviations du côté obscur. Alors oui, Daaf.
BON POUR LES GENS QUI NE SAURAIENT PAS : la question était : "Qu'est-ce que tu fous à l'arrêt de bus pouffiasse bourgeoise ?" (les petits mots doux, j'y tiens <3) Bon du coup, il semble évident que je ne sais pas, j'veux dire, allô quoi, si j'savais pourquoi je fais ça ou ça, enfin, si, des fois j'le fais par amour comme pour Edwin. Ou Jïnn. Ou Erik. Ha j'aime tant de gens, je ne suis qu'amour JE NE SUIS QUE TENDRESSE ET GENTILLESSE. J'en étais où ? Je sais plus, j'suis duper. Alors on va dire que j'vais raconter le moment où j'ai levé une armée de super-soldats pour écraser les communistes de l'ancienne URSS. Quoique, non, parce que... Parce que, en fait, je sais pas trop, j'suis assez incertaine par rapport à cette anecdote. Hm.... Je n'sais pas. Non. Nein. Je ne sais pas alors parlons de Daaf, à la demande générale. Alors Daaf c'est un mec sympa. Voilà, fin, merci AU REVOIR. Je rigole enfin ! De toute façon on va pas me lâcher pour si peu, ON VEUT DES DÉTAILS ET TOUT. Bon, alors je vais détailler :
C'était une (une, un ?) après midi (en fait, je crois que les deux se disent mais qu'il y en a un qui est plus correct que l'autre, l'après-midi ne veut pas être discriminé(e ?) pour son genre. Bon du coup on dira que c'était entre midi et minuit, c'est dommage parce que pour une bête question d'éthique on y perd en précision. :/ Tiens j'remarque que j'ai pas dit de grossièretés jusqu'ici, ça doit être mon TOURETTE qui est en voie de guérison. Enfin je sais pas, j'crois que ça sera le cas tant que j'aurais pas cité mes premières paroles pour Daaf. BAH OUI Y'A BIEN UN MOMENT OÙ JE GUEULE, forcément. Oui, forcément. Que dire de plus ? BAH OUI FORCÉMENT CE QUE J'AI DIT À DAAF. Hm, je trouve ça déplacé et indiscret de votre part, CHER PUBLIC. Enfin, "cher", j'vends mon public pour cinq balles même pas s'il le faut. J'en ai pas besoin je m'ai moi, La Lizzie, Lizzie la Déesse, la plus belle, owiiiiiii que mon ego aime mes compliments. Oui c'est triste d'être sa seule admiratrice... Ha, si seulement c'était le cas ! ;););););););););););););););););););););););););););););););););););););) (c'est bon j'arrête j'en ai marre)

DU COUP, merde j'ai sauté une ligne... :/ DU COUP. Du coup qu'ai-je dit à Daaf ? On ne sait pas, hein ? Alors réfléchissons... Que pourrais-je bien lui avoir dit ? Je vais faire quatre propositions :
1) Bonjour, Daaf, quelle belle journée !
2) Daaf tu es un nazi.
3) Daaf, tu connais le point commun entre l'humour noir et un bébé cancéreux ?
4) BORDEL DE MERDE QUELLE BANDE DE FILS DE PUTE DE METTRE DU VERRE ICI À TOUS LES COUPS J'ME SUIS COUPÉE PUTAIN !

Alors là, mes chers amis, nous pouvons nous poser la question. En fait, non, pas vraiment, je suis pas du genre à parler DU TEMPS QU'IL FAIT, alors que mon visage rayonne de tout temps. Ensuite je suis pas du genre à révéler des trucs genre l'orientation politique de quelqu'un (qu'il a bien le droit d'avoir) en public, j'ai du respect... Et ensuite, je suis pas une meuf comme ça qui fait des vanne au pif aux gens dans la rue. "OUAIS MAIS TU SAIS SON NOM VOUS DEVEZ VOUS CONNAÎTRE" encore une fois NON. Et la quatrième réponse est forcément la bonne ! En effet, les plus attentifs auront remarqué que c'est la seule en majuscule et comportant des insultes ! Hé oui, SHERLOCK. Bon, en même temps, j'pense que beaucoup savaient la réponse. Ha et évidemment si j'ai dit ça c'est que je me suis pris la vitre de l'arrêt de bus. "MAIS POURQUOI, ÉTAIS-TU ENTIÈREMENT BOURRÉE ?!" Non, mais Daaf avait l'air perdu dans ses pensées alors BIM, retour à la réalité, retour à MOI. La lumière Lizzie. Ho, comme c'est beau. Concluons sur cette phrase : "J'SUIS TROP BELLE, T'AS VU."

Et puis, cette lente atmosphère qui s'était installé, cette monotonie ambiante qui avait pris place, se brisa d'un coup. Il avait réussit à avoir un certain confort, à s'établir dans une sorte de léger bien-être qui l'apaisait quelque peu, et voilà que cela partait dans un fracas de morceaux de verres et de papiers déchirés. Le bruit de l'éclatement de la vitre l'avait sortit de la torpeur dans laquelle il s'était mis, et le laissait en proie au dynamisme du monde extérieur. Il n'était plus cet élément immobile du décors, il était cet élément qui se devait d'être actif et de réaliser les interactions de l'urgence. Les propos de la jeune femme, qu'il recevait à un volume bien trop fort pour lui, suivirent le sursaut qu'il eut au grand "crac" qui avait mis fin à l'état de calme et de repos dans lequel il s'était enfin plongé. C'était presque inaudible tellement lui était près et tellement elle parlait fort, et ce fut presque comme s'il voulut porter les mains à ses oreilles, mais il ne fit qu'une grimace de surprise et d'inconfort, et s'écarta du lieu du choc.

Il jeta un regard sur la main de la fille, et celle ci était rouge : deux ou trois petits morceaux étaient incrustés dans la peau et le sang en coulait. Cela donnait une vision qui contrastait avec ce qu'il avait l'habitude de voir, cela le sortait du cycle du travail, du manger et du lit, et du visage des élèves qu'il croisait constamment. C'était d'ailleurs une personne inconnue, des cheveux rouges et des yeux vifs qu'il n'avait jamais vu, une voix qui était toute nouvelle à ses oreilles. Cette fille, elle avait ce on ne sait quoi d'excité, comme si quelque chose tournait encore et encore en elle et la faisait bouger et sauter et lui donnait un dynamisme sans égal. Tout ce qu'il y avait en elle, était frais, neuf, et brisait cet ennuyeux cercle qui l'emprisonnait, lui apportait comme une nouveauté après une période trop longue de même choses égales.

Il n'avait guère fait attention aux insultes qu'elle avait laisser échapper, et, porté par cette envie de s'enfuir de la monotonie, et porté par son caractère aimable et aidant, lui adressa un :

« Ça va ? Vous voulez de l'aide ? »

C'était tout naturellement qu'il lui avait proposé et qu'il l'avait vouvoyer. N'ayant pas réellement prêté d'attention à son âge, il employa ce qui lui passa par la tête. D'ailleurs, il se préparait déjà à prendre en charge sa blessure. Le garçon avait, en effet, déjà eut l'occasion et à nombreuses reprises, de mettre son service à l'œuvre des autres. Tel la fois où il s'était occupé de son frère malade, il y a quatre ans de cela, ou qu'il avait aidé une personne âgé à se rendre à l'hôpital. Et cela faisait trop longtemps que son côté serviable ne s'était pas montré, beaucoup trop de temps depuis là fois où il avait retrouvé les affaires d'un camarade de chambre, il lui fallait maintenant faire quelque chose d'intéressant, et ainsi faire ressurgir une part de lui même.

MAIS PUTAIN (ho mon dieu, cela commence bien sa mère, déjà des majuscules de l'autre hystérique) HÉ OUI ! TOUT JUSTE, INCROYABLE ! Oui, c'est, en effet, tout bonnement incroyable. Je suis incroyable. Daaf aussi est incroyable mais DIABLE POURQUOI PARLER DE DAAF ? Je ne sais pas. Je suis moi même confuse, ma foi, et cette ignorance n'est que symbole de ma perte en ce bas-monde. Waow, c'est beau, c'est très con mais c'est beau. Comme Daaf HO MAIS QUE C'EST PAS GENTIL ! o: Oups, mais au moins j'ai traité la mère de personne jusqu'ici, donc j'pense que ça va, j'veux dire, honnêtement, hé, on aurait pu faire pire. Vous allez me dire "ON PEUT TOUJOURS FAIRE PIRE" MAIS NAN NIQUEZ VOS MÈRES, JE M'OPPOSE À CETTE INFORMATION DE VIL GARNEMENT QUE VOUS ÊTES, fichtre, comme mon vocabulaire est timide aujourd'hui ! Peut-être que je suis malade, peut-être PEUT-ÊTRE, mais peut-être aussi que je suis une femme neuve, nouvelle, grâce à l'intervention du saint esprit. Ou de Daaf, peut-être a-t-il des super pouvoirs HÉ ÇA SERAIT BIZARRE POUR UN MEC DE TSUKI ! o: Après tout les super pouvoirs sont devenus si triste à Tsuki, mais y'en a, vraiment, j'peux demande à quoi ils servent. Genre celui de Jïnn ça va, on comprend, il est brutal et dangereux, mais celui de... ouais, j'ai pas trop de contre-exemple et puis on dirait que je pERDS MON TEMPS À NE RIEN DIRE. Peut-être que c'est ma stratégie, huhu, gagner du temps donc et non en perdre.
Public attentif : "Tu es démasquée, salope !"
Moi : "Que nenni, QUE NENNI !"
*Lizzie fuit*

Oui je fuis, comme un pokemon sauvage. ET je passe une ligne, COMME UNE BONNE PERSONNE, QUELQU'UN QUI IRA AU PARADIS J'IMAGINE. PEnsez-vous que ne pas passer de ligne pourrait m'offrir une funeste vie après la mort ? Je ne sais pas. Pensez-vous que je devrais mourir un jour ? "Oui connasse", oups, il semblerait que ce soit vrai. Mais alors, quel est le sens de la vie ? (question bateau amenée de manière originale, saluez l'effort et applaudissez MERCI) Moi, personnellement, de mon opinion, de ce que je pense, le sens de la vie... Je sais pas trop à vrai dire. En voilà une question piégeuse ! Surtout quand on réfléchit pas à ce qu'on écrit. C'est ce qui arrive quand on est stupide folle idiote dingue [synonyme] et qu'on se relit pas ! Alors là, vous vous demandez "KOMEN TU RATUR TU RELI PA", bonne question. C'est sans doute la magie de Noël avant l'heure. DINGUE ! T'AS PENSÉ À TA LISTE DE CADEAUX FILS DE PUTE ? J'AI JAMAIS REÇU DE CADEAU POUR NOËL MOI, JAMAIS ! "Calme-toi, ce n'est pas si grave !" SI, SI C'EST GRAVE FILS DE PUTE, TU SAIS CE QUE ÇA FAIT QUAND... Ho mais je divague (vague !), il faut me prévenir quand ça arrive sinon j'pars super loin, alors qu'on devait parler de Daaf ! Ouais j'pars très loin en général. Ça me rappelle la fois où je devais parler de Jïnn et puis pendant super longtemps j'ai parlé d'autre chose (genre deux paragraphes et demi) alors que ce mec est génial ! Nan mais vraiment, j'veux dire, waow, such incroyable, much dingue, so Jïnn, waow, UNBEULIVEUBOL. Donc, ouais, je disais, Jïnn est quand même un type FORMIDABLE ! Non ? C'est l'homme auquel j'appartiens et que quand il me prend dans ses bras la vie en rose et tout (t'as vu). Oui oui, bon ÇA S'EST VU, cela fut CONSTATÉ, j'ai encore divagué VAGUEYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY YES. ALORS, revenons à Daaf sur ces PLAISANTERIES. Donc, ou en étions-je ? Donc, reprenons : il était close to midnight, et something evil was lurking in the dark, OUPS, FAUX DÉPART ! Peut-on parler ici de départ ? Bonne question, pour y répondre, je vous propose un développement en trois parties, avec la problématique suivante : "Peut-on parler de faux départ OBO MILIEU D1 TEXT ?" PETIT UN : L'idée de départ, accordons ceci à wikipédia (ou plutôt Larousse, question de CONVICTION, bordel de merde, PERSONNELLE) : Action de partir, moment où l'on part : Le départ du train est à huit heures.
Ensemble des installations affectées, dans une gare, au service des voyageurs, des bagages, etc., prêts à partir.
Action de quitter un emploi, une fonction ; démission, renvoi, congé : Le départ du ministre a été mal accueilli.
Commencement d'une réalisation envisagée, d'une action, d'une activité ; début : Salaire de départ.
Moment, lieu du début d'une course ; action de s'élancer dans une course.
Oké, oké, j'ai pas lu du tout, mais on va considérer le petit un terminé. PETIT DEUX : l'idée de "bo mileu d1 text" : il va de soi ici que, la partie étudiée du texte n'en est pas le DÉBUT, J'OSERAI MÊME DIRE LE "DÉPART", donc, c'est complexe, oui, chacun y juge. Le bo milieu d'un text, c'est un endroit quelconque dans celui-ci, BORDEL ÇA ME PARAISSAIT ÉVIDENT ! Petit TROIS : COMMENT FOUTRE EN L'AIR DES LIGNES POUR RIEN PARCE QU'ON EN A MARRE DE SE SENTIR EN COURS. COMME ÇA. LES MAJUSCULES. ET QUELQUE INSULTES : pute, salope, enculé, goujat. GOUJAT.
CONCLUSIOOOOOOOOOOOOOOOON ! ♪ : oui, oui, je fais ce que je veux donc j'annonce, J'ANNONCE : FAUX DÉPART ! Mais trêve de bêtises : qu'en est-il de Daaf ? Qui est-il ? D'où vient-il ? Tout ceci sera révélé par la suite. Pour l'instant on va juste dire qu'il m'a proposé son aide (parti pris, je le présente en premier lieu comme un mec gentil (train parti, parti pris, prix payé, yeah man (référence, pour la DEUXIÈME (et non la première) fois !))) Oké, Daaf, qu'en est-il de toi ? Question pertinente j'en conviens. Alors donc, ou en étions-nous ? Ha oui, Daaf qui me dit, tel le GENTLEMAN qu'il est, je cite : non, en fait je cite pas, j'ai la flemme. Il me demande si ça va et si j'ai besoin d'aide, chose à laquelle je réponds le plus naturellement du monde : "Oui, je veux bien de l'aide pour expliquer à ces CONNARDS QUI FONT LES ABRI-BUS DE PAS METTRE DES VITRES PARTOUT. LES FILS DE PUTE." WOw, j'me dis que si j'arrête maintenant ça va faire cinquante lignes de blabla pour rien et une ligne utile... mais j'ai tellement envie ! Alors je vais préciser que j'ai retiré tout le verre que j'm'étais foutu partout dans le corps. Ça fait un peu... un compromis ? c: