Bon timing ! [PV Mie, Shi]
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Bon timing ! [PV Mie, Shi]
C'est le bon timing !
• Topic Libre •
J
e marchai calmement le long des murs du couloir principal, ignorant royalement les regards se posant sur moi. Je regardais à chaque fenêtres devant lesquelles je passai avec lenteur, observant le paysage que j'allais devoir supporter pendant prochaines années de ma vie. D'ici je pouvais apercevoir une fontaine, un potager, et un petit groupement d'arbres. Soupirant, j'augmentai le volume de la musique dans mes oreilles, glissant mes mains dans mes poches, continuant toujours de marcher sans but à la recherche de truc intéressante à faire.
« Rhaa, sérieux personne ne veux faire quelque chose pour m'amuser... ?! »
Relevant les yeux, je m'attardai sur une ou deux élèves gloussant bruyamment, ou encore un groupe de garçons un peu trop sûr d'eux à mon goût. Je commençai sérieusement à désespérer. je regarde atour de moi histoire de trouver même une personne mute à qui faire la causette pour passer le temps. je soupire longuement avant de revenir sur mes pas, j'ai tellement le physique d'un élève que je pourrait rentré dans un cours au hasard et y participé. faudrait que j'le fasse un jour ça tien.
Pour être honnête, je n’aime pas travailler. C’est sûr que les cours, ça peut être sympa, mais je suis assez fainéant pour trouver que déplacer un petit pois est une tâche trop fatigante. Après, cela dépend de la taille du petit pois, évidemment. Mais aujourd’hui, je me fous des petits pois comme de la dernière guerre, et je ne vais pas laisser des légumes me pourrir la vie. Des graines, pardon.
Je franchis la porte de l'académie et me retrouve dehors, en plein soleil. Aaaarh, la lumière, la lumière ! Ça brûle. Les autres ont raison, je deviens un vampire à force de rester enfermé toute la journée. Mais là, tout le monde sera d’accord pour dire que le contraste entre la lumière vive de l’extérieur et la pénombre du bâtiment est particulièrement douloureux pour la rétine.
Allez, motivation. Je ne sais même pas où je vais. Je me contente de suivre mes pas, le casque vissé sur les oreilles, d’éviter un peu le monde. De toute façon, je connais personne, personne ne fait attention à moi, et ça ne me dérange pas plus que ça. Au contraire, je trouve ça génial. Je passe inaperçu parmi les gens, ninja, wouh. Ça s’avère utile à force. On peut glaner deux trois informations à propos de tout et de rien parce que personne n’a remarqué que vous étiez là.
Je me pose sur un banc, abruti par les quelques mètres minables que je viens de faire. Les coudes appuyés sur le dossier et la tête rejetée en arrière, j’ai l’impression que jamais plus je n’arriverai à me relever. Rester comme ça pendant plusieurs heures ne me dérangerait pas le moins du monde. Je suis adepte de l’inactivité.
Même si j’aime le sport. Après quelque minute je me relève et me dirige vers le hall de l'académie, voilà c'est bon j'en ai marre, une fois arrivé dans le hall mes yeux ce ferme lentement je mon corps commence à balancer de droite à gauche... avant de tomber par terre, je fus aspirer dans le noir de totale. Je crois bien que je me suis endormis.
« Rhaa, sérieux personne ne veux faire quelque chose pour m'amuser... ?! »
Relevant les yeux, je m'attardai sur une ou deux élèves gloussant bruyamment, ou encore un groupe de garçons un peu trop sûr d'eux à mon goût. Je commençai sérieusement à désespérer. je regarde atour de moi histoire de trouver même une personne mute à qui faire la causette pour passer le temps. je soupire longuement avant de revenir sur mes pas, j'ai tellement le physique d'un élève que je pourrait rentré dans un cours au hasard et y participé. faudrait que j'le fasse un jour ça tien.
Pour être honnête, je n’aime pas travailler. C’est sûr que les cours, ça peut être sympa, mais je suis assez fainéant pour trouver que déplacer un petit pois est une tâche trop fatigante. Après, cela dépend de la taille du petit pois, évidemment. Mais aujourd’hui, je me fous des petits pois comme de la dernière guerre, et je ne vais pas laisser des légumes me pourrir la vie. Des graines, pardon.
Je franchis la porte de l'académie et me retrouve dehors, en plein soleil. Aaaarh, la lumière, la lumière ! Ça brûle. Les autres ont raison, je deviens un vampire à force de rester enfermé toute la journée. Mais là, tout le monde sera d’accord pour dire que le contraste entre la lumière vive de l’extérieur et la pénombre du bâtiment est particulièrement douloureux pour la rétine.
Allez, motivation. Je ne sais même pas où je vais. Je me contente de suivre mes pas, le casque vissé sur les oreilles, d’éviter un peu le monde. De toute façon, je connais personne, personne ne fait attention à moi, et ça ne me dérange pas plus que ça. Au contraire, je trouve ça génial. Je passe inaperçu parmi les gens, ninja, wouh. Ça s’avère utile à force. On peut glaner deux trois informations à propos de tout et de rien parce que personne n’a remarqué que vous étiez là.
Je me pose sur un banc, abruti par les quelques mètres minables que je viens de faire. Les coudes appuyés sur le dossier et la tête rejetée en arrière, j’ai l’impression que jamais plus je n’arriverai à me relever. Rester comme ça pendant plusieurs heures ne me dérangerait pas le moins du monde. Je suis adepte de l’inactivité.
Même si j’aime le sport. Après quelque minute je me relève et me dirige vers le hall de l'académie, voilà c'est bon j'en ai marre, une fois arrivé dans le hall mes yeux ce ferme lentement je mon corps commence à balancer de droite à gauche... avant de tomber par terre, je fus aspirer dans le noir de totale. Je crois bien que je me suis endormis.
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Dernière édition par Kuro le Dim 05 Juil 2015, 12:41, édité 2 fois
Re: Bon timing ! [PV Mie, Shi]
• Mlle Chiziru & Kuro•
Il fait beau aujourd'hui. Une brise rafraîchi mon visage légèrement humidifié par la chaleur un peu étouffante. C'est une bien belle journée pour se promener, rencontrer de nouvelles personnes et manger de bonnes choses fraîches. Malheureusement, je suis en direction de l'Académie Tsuki pour organiser mes prochains cours. J'échappe un long et bruyant soupire. C'est dur d'être professeur, nous devons sacrifier notre temps libre pour notre travail, et encore, j'ai de la chance d'être dans une école prestigieuse. Certains sont payés une misère alors qu'ils font plus de cinquante heures de cours.
Je me suis vêtu d'une tenue légère : Une petite jupe blanche, un petit haut bleu cyan à pois blanchâtre, des escarpins roses et d'un chignon négligé. J'ai l'espoir qu'il y est quelque chose qui va bouleversé mon plan pour la journée. Bien que cela m'étonnerait. Soudainement, je me secoue et me motive à voix haute, tapotant mes joues joufflues.
« Allez Mie ! Si tu es si peu motivée au départ, tu n'arriveras jamais jusqu'à la fin de l'année si tu ne tiens pas le coup ! Et qu'est-ce que ça sera lorsque tu auras des copies à corriger ? »
Rien que de penser à tout cela me donne envie de m'évanouir. Je regarde le ciel bleu azur, écoutant le chant des petits oiseaux demeurant dans les arbres de l'Académie. Ils ont bien de la chance, il ne se soucie que de leur petits, et rien d'autres. Parfois, j'aurais préféré être une femme au foyer, à m'occuper de mes enfants, à m'occuper de la maison et à attendre mon bien-aimé. Mais plus j'y réfléchis, plus je me dis qu'en fait, je préfère largement faire un métier que j'aime faire malgré tout. Le sourire de nouveau présent et la détermination récupérée, je me dirige vers le Hall de l'école, la paperasse dans les bras. Jusqu'à ce que j'échappe un cri paniqué.
Un jeune homme aux cheveux bleus se tient couché sur le sol. Il semble avoir mon âge. S'est-il évanoui ? Ne supporte-t-il pas la chaleur ? Est-il blessé ou malade ? Ou pire, une crise cardiaque ?
Complètement paniquée, je lâche toutes mes affaires et je m'agenouille à ses côtés, tenant sa tête.
« Jeune homme ?! Jeune homme ! Vous allez m'entendez ?! »
Je prends à peine le temps de poser mon oreille sur son torse. Son cœur bat normalement, quoiqu'un peu plus faible que la normale, mais je nie son cœur fonctionnant parfaitement et je vais faire une réanimation en le ventilant par la bouche. Je me suis beaucoup informé au cas où quelqu'un ferai une crise cardiaque, notamment, avec le bouche-à-bouche.
Je pose sa tête au sol, et commence à appuyer deux fois sur son cœur. Ensuite, je place une de mes mains sur son front et lui bouche le nez en le pinçant délicatement entre le pouce et l'index tout en maintenant sa tête en arrière. Mon autre main vient se pose sur son menton, ouvrant légèrement sa bouche. Je prend une inspiration normale avant de coller mes lèvres sur sa bouche avant de souffler une seconde. Sa poitrine semble se soulever, va-t-il bien finalement … ?
Je me suis vêtu d'une tenue légère : Une petite jupe blanche, un petit haut bleu cyan à pois blanchâtre, des escarpins roses et d'un chignon négligé. J'ai l'espoir qu'il y est quelque chose qui va bouleversé mon plan pour la journée. Bien que cela m'étonnerait. Soudainement, je me secoue et me motive à voix haute, tapotant mes joues joufflues.
« Allez Mie ! Si tu es si peu motivée au départ, tu n'arriveras jamais jusqu'à la fin de l'année si tu ne tiens pas le coup ! Et qu'est-ce que ça sera lorsque tu auras des copies à corriger ? »
Rien que de penser à tout cela me donne envie de m'évanouir. Je regarde le ciel bleu azur, écoutant le chant des petits oiseaux demeurant dans les arbres de l'Académie. Ils ont bien de la chance, il ne se soucie que de leur petits, et rien d'autres. Parfois, j'aurais préféré être une femme au foyer, à m'occuper de mes enfants, à m'occuper de la maison et à attendre mon bien-aimé. Mais plus j'y réfléchis, plus je me dis qu'en fait, je préfère largement faire un métier que j'aime faire malgré tout. Le sourire de nouveau présent et la détermination récupérée, je me dirige vers le Hall de l'école, la paperasse dans les bras. Jusqu'à ce que j'échappe un cri paniqué.
Un jeune homme aux cheveux bleus se tient couché sur le sol. Il semble avoir mon âge. S'est-il évanoui ? Ne supporte-t-il pas la chaleur ? Est-il blessé ou malade ? Ou pire, une crise cardiaque ?
Complètement paniquée, je lâche toutes mes affaires et je m'agenouille à ses côtés, tenant sa tête.
« Jeune homme ?! Jeune homme ! Vous allez m'entendez ?! »
Je prends à peine le temps de poser mon oreille sur son torse. Son cœur bat normalement, quoiqu'un peu plus faible que la normale, mais je nie son cœur fonctionnant parfaitement et je vais faire une réanimation en le ventilant par la bouche. Je me suis beaucoup informé au cas où quelqu'un ferai une crise cardiaque, notamment, avec le bouche-à-bouche.
Je pose sa tête au sol, et commence à appuyer deux fois sur son cœur. Ensuite, je place une de mes mains sur son front et lui bouche le nez en le pinçant délicatement entre le pouce et l'index tout en maintenant sa tête en arrière. Mon autre main vient se pose sur son menton, ouvrant légèrement sa bouche. Je prend une inspiration normale avant de coller mes lèvres sur sa bouche avant de souffler une seconde. Sa poitrine semble se soulever, va-t-il bien finalement … ?
☆
Re: Bon timing ! [PV Mie, Shi]
La journée avait bien commencée. L'académie était aussi animée que lors des jours de cours. Je m'engageai dans le hall d'entrée lorsque je vis un jeune homme au cheveux bleus étendu par terre. Une personne à côté de moi poussa un cri. Elle avait les cheveux roses en chignon négligé et n'était pas vêtu comme un élève de l'académie. Ce devait sûrement être un professeur...
La jeune femme qui avait poussé un cri se dirigea vers l'homme étendu par terre en lâchant ses affaires avant que je ne puisse faire le moindre geste. Elle s'agenouilla près de lui et lui demanda, paniquée :
- Jeune homme ?! Jeune homme ! Vous allez m'entendez ?!
Elle posa une oreille contre son torse. Elle devait le croire mort ou en train de faire un malaise, car elle commença à lui faire un massage cardiaque. Puis elle lui fit un bouche à bouche, ce qui me surpris légèrement car on croirait qu'ils étaient en train de s'embrasser...
Pourtant, malgré tout ces gestes, quelques chose me dit qu'il était juste en train de dormir en plein milieu du hall... Ou alors il était mort... Je préférai en avoir le cœur net.
Je m'approchai du jeune homme et de l'autre personne :
- Hum... E-excusez-moi... J.. Je peux... euh... l...l'examiner m...moi aussi ?
Je m'approchai du corps du jeune homme et pris son pouls. J'avais une petite connaissance de ce genre de choses grâces aux livres de médecine de la bibliothèques.
- I... Il dort, je dis en m'adressant à la jeune femme.
La jeune femme qui avait poussé un cri se dirigea vers l'homme étendu par terre en lâchant ses affaires avant que je ne puisse faire le moindre geste. Elle s'agenouilla près de lui et lui demanda, paniquée :
- Jeune homme ?! Jeune homme ! Vous allez m'entendez ?!
Elle posa une oreille contre son torse. Elle devait le croire mort ou en train de faire un malaise, car elle commença à lui faire un massage cardiaque. Puis elle lui fit un bouche à bouche, ce qui me surpris légèrement car on croirait qu'ils étaient en train de s'embrasser...
Pourtant, malgré tout ces gestes, quelques chose me dit qu'il était juste en train de dormir en plein milieu du hall... Ou alors il était mort... Je préférai en avoir le cœur net.
Je m'approchai du jeune homme et de l'autre personne :
- Hum... E-excusez-moi... J.. Je peux... euh... l...l'examiner m...moi aussi ?
Je m'approchai du corps du jeune homme et pris son pouls. J'avais une petite connaissance de ce genre de choses grâces aux livres de médecine de la bibliothèques.
- I... Il dort, je dis en m'adressant à la jeune femme.
Re: Bon timing ! [PV Mie, Shi]
Elle se dressait là, devant mes yeux, immense, majestueuse, infinie. La fameuse lettre dans la main, je levai la tête pour admirer le ciel, avant de rebaisser les yeux vers le monument. L’Académie Tsuki, hein… A nous deux, maintenant.
Je rajustai ma chemise – diantre, pourquoi fallait-il nous obliger à mettre un uniforme ? avant de prendre une profonde inspiration, résignée. Un pas après l’autre, j’avançai, entrant enfin dans la bâtisse. La lourde porte se ferma derrière moi, émettant un grincement sonore. Et voilà que, contre toute attente, je découvris un tableau qui me fit hausser un sourcil.
Une ado’ en train de calmer une jeune femme agenouillée en pleine crise de panique. C’était quoi, ce bordel ? Etais-je vraiment là où j’étais censée me rendre ? Deux pas de plus m’apprirent la cause de tout ce capharnaüm : un élève – ou un prof ? difficile de déterminer son âge – était allongé par terre et semblait évanoui. En somme, pas de quoi faire toute une scène.
M'approchant, je les reluquai un par un du regard, allant d’une chevelure bleue étalée par terre à un look de femmelette distinguée en passant par une ado’ fringuée du même uniforme que moi. La femmelette en question était visiblement en train de faire du bouche-à-bouche au pauvre bleuté, avant que la petiote n’intervienne.
- I… Il dort, formula-t-elle.
Je ne pus m’empêcher d’échapper un ricanement. Quelle véritable bande d’idiots, ces trois-là… Hochant la tête de gauche à droite, un air désespéré sur le visage, avec un brin de pitié à leur attention, j’ajustai mon sac sur l’épaule et décidai de participer un peu, faute d’avoir mieux à faire.
- Il n’va pas en mourir, le pauvre p’tit. Laissez-le faire sa sieste tranquillement, il devait être harassé, lançai-je de ma voix grave quelque peu éraillée.
J'avais bien insisté sur le dernier mot, détachant mes syllabes pour faire résonner l’ironie, bien à l’intention de la prof’ à l’âme sensible. Trop de devoirs pour ces pauvres petits élèves… Ou trop de responsabilités pour les pauvres petits employés – après tout, je ne pouvais toujours pas déterminer dans quel camp se situait la larve à mes pieds. Mais dans quoi j’étais encore tombée…
Je rajustai ma chemise – diantre, pourquoi fallait-il nous obliger à mettre un uniforme ? avant de prendre une profonde inspiration, résignée. Un pas après l’autre, j’avançai, entrant enfin dans la bâtisse. La lourde porte se ferma derrière moi, émettant un grincement sonore. Et voilà que, contre toute attente, je découvris un tableau qui me fit hausser un sourcil.
Une ado’ en train de calmer une jeune femme agenouillée en pleine crise de panique. C’était quoi, ce bordel ? Etais-je vraiment là où j’étais censée me rendre ? Deux pas de plus m’apprirent la cause de tout ce capharnaüm : un élève – ou un prof ? difficile de déterminer son âge – était allongé par terre et semblait évanoui. En somme, pas de quoi faire toute une scène.
M'approchant, je les reluquai un par un du regard, allant d’une chevelure bleue étalée par terre à un look de femmelette distinguée en passant par une ado’ fringuée du même uniforme que moi. La femmelette en question était visiblement en train de faire du bouche-à-bouche au pauvre bleuté, avant que la petiote n’intervienne.
- I… Il dort, formula-t-elle.
Je ne pus m’empêcher d’échapper un ricanement. Quelle véritable bande d’idiots, ces trois-là… Hochant la tête de gauche à droite, un air désespéré sur le visage, avec un brin de pitié à leur attention, j’ajustai mon sac sur l’épaule et décidai de participer un peu, faute d’avoir mieux à faire.
- Il n’va pas en mourir, le pauvre p’tit. Laissez-le faire sa sieste tranquillement, il devait être harassé, lançai-je de ma voix grave quelque peu éraillée.
J'avais bien insisté sur le dernier mot, détachant mes syllabes pour faire résonner l’ironie, bien à l’intention de la prof’ à l’âme sensible. Trop de devoirs pour ces pauvres petits élèves… Ou trop de responsabilités pour les pauvres petits employés – après tout, je ne pouvais toujours pas déterminer dans quel camp se situait la larve à mes pieds. Mais dans quoi j’étais encore tombée…
Dernière édition par Sidney J. Pond le Ven 26 Juin 2015, 20:38, édité 3 fois
Re: Bon timing ! [PV Mie, Shi]
C'est le bon timing !
• Topic Libre •
J
e crois être de bonne humeur. Je n'en suis pas tout à fait sûr, mais en y repensant, comparant cet instant à d'autres, je pense pouvoir affirmer que le nombre de choses qui vont bien à l'instant t dépasse le nombre de choses qui vont mal. Donc, mathématiquement parlant, je vais bien. Rien de tel qu'une belle journée à dormir.... Allongé dans le hall, j'attends que quelque chose ce passe encore une fois. J'avais l'impression de flotter dans une nuage.
« Jeune homme ?! Jeune homme ! Vous allez m'entendez ?! »
A qui appartiens cette douce voix ? j'avais l'impression d'entendre ma mère qui essayait désespérément de me réveiller mais, sans pouvoir y arrivait, est-ce que je rêve ? Ou alors je suis... non, non la dernière chose dont je me rappelle c'est que je marchait tranquillement dans le hall et... le trou noir... Ah... d'accord je me suis endormis. Je ne vois pas d'autre explication... j'ouvris alors doucement les yeux, à ma surprise la première chose que j'aperçois est une jeune fille, elle devait avoir mon âge ou moins, tout était encore trouble dans mon esprit.
Et puis, cette sensation désagréable d'être observé. Il n'aimait pas avoir l'impression qu'on l'observe, il se sentait paranoïaque lorsque cela arrivait. Peut-être qu'il l'était finalement. Dure prise de conscience. Il tourna légèrement la tête sur le côté pour observer les autres personnes présentes. À ma grande surprise c'était toutes des filles... je suis bien mort... Le paradis m'a ouvert les portes. Je ferme les yeux quelques seconde puis les ouvres de nouveau. C'est bien ce que je me disais... cette couleur infâme.
« Dieu aurait put faire un effort pour les anges séreux.... » Dis-je d'un ton léger avant de regarder l'autre jeune fille prêt de moi. « Je savais pas qu'aux paradis on avais le droit au Loli. »
Il se redressa finalement après quelques minutes par terre, il est bien évident que je ne sois pas mort et que je ne sois sûrement pas au paradis, parce que d'abord je n'ai rien fait pour le mérité et puis pourquoi le paradis ressemblerait tellement à l'académie tsuki... Kuro reprit son souffle et se résolut à entamer une conversation. Il n'avait rien d'autre à faire ce jour-là c'était le bon moment de faire connaissance avec d'autres gens que les autres surveillants et... bah c'est tout en faite.
Kuro se retourne vers la fille au cheveux rouge avant de se rapprocher d'elle, il ne l'avait jamais vus avant. Une nouvelle donc ? Le jeune homme se retourna ensuite vers l'autre demoiselle à la chevelure de couleur rose avant de lui tendre la main et lui dire « Si vous n'aviez pas cette couleur Horrible sur vos cheveux, je crois bien que je vous aurais demandé en mariage. » fit-il d'un ton ironique, agaçant. Une fois cela fait je prie une grande inspiration, BON, j'ai une idée histoire de faire connaissance avec tout ce beau monde. Kuro lève la tête vers le plafond, une idée...
« Donc, je peux vous payer un truc à manger pour vous remercier ? Bien entendus vous êtes dispensé de cours juste pour cette fois hein. » Dis-je en souriant.
Rho, je me dégoûte qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour s'amuser dans cette prison, parce que oui c'est une prison c'est comme ça que je vois les choses toujours en mal, bref. Tout en gardant mon sourire j'attendais qu'elles acceptent mon invitation à aller manger un bout. Je vais faire de cette journée une journée amusante pour moi j'en fais la promesse.
« Jeune homme ?! Jeune homme ! Vous allez m'entendez ?! »
A qui appartiens cette douce voix ? j'avais l'impression d'entendre ma mère qui essayait désespérément de me réveiller mais, sans pouvoir y arrivait, est-ce que je rêve ? Ou alors je suis... non, non la dernière chose dont je me rappelle c'est que je marchait tranquillement dans le hall et... le trou noir... Ah... d'accord je me suis endormis. Je ne vois pas d'autre explication... j'ouvris alors doucement les yeux, à ma surprise la première chose que j'aperçois est une jeune fille, elle devait avoir mon âge ou moins, tout était encore trouble dans mon esprit.
Et puis, cette sensation désagréable d'être observé. Il n'aimait pas avoir l'impression qu'on l'observe, il se sentait paranoïaque lorsque cela arrivait. Peut-être qu'il l'était finalement. Dure prise de conscience. Il tourna légèrement la tête sur le côté pour observer les autres personnes présentes. À ma grande surprise c'était toutes des filles... je suis bien mort... Le paradis m'a ouvert les portes. Je ferme les yeux quelques seconde puis les ouvres de nouveau. C'est bien ce que je me disais... cette couleur infâme.
« Dieu aurait put faire un effort pour les anges séreux.... » Dis-je d'un ton léger avant de regarder l'autre jeune fille prêt de moi. « Je savais pas qu'aux paradis on avais le droit au Loli. »
Il se redressa finalement après quelques minutes par terre, il est bien évident que je ne sois pas mort et que je ne sois sûrement pas au paradis, parce que d'abord je n'ai rien fait pour le mérité et puis pourquoi le paradis ressemblerait tellement à l'académie tsuki... Kuro reprit son souffle et se résolut à entamer une conversation. Il n'avait rien d'autre à faire ce jour-là c'était le bon moment de faire connaissance avec d'autres gens que les autres surveillants et... bah c'est tout en faite.
Kuro se retourne vers la fille au cheveux rouge avant de se rapprocher d'elle, il ne l'avait jamais vus avant. Une nouvelle donc ? Le jeune homme se retourna ensuite vers l'autre demoiselle à la chevelure de couleur rose avant de lui tendre la main et lui dire « Si vous n'aviez pas cette couleur Horrible sur vos cheveux, je crois bien que je vous aurais demandé en mariage. » fit-il d'un ton ironique, agaçant. Une fois cela fait je prie une grande inspiration, BON, j'ai une idée histoire de faire connaissance avec tout ce beau monde. Kuro lève la tête vers le plafond, une idée...
« Donc, je peux vous payer un truc à manger pour vous remercier ? Bien entendus vous êtes dispensé de cours juste pour cette fois hein. » Dis-je en souriant.
Rho, je me dégoûte qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour s'amuser dans cette prison, parce que oui c'est une prison c'est comme ça que je vois les choses toujours en mal, bref. Tout en gardant mon sourire j'attendais qu'elles acceptent mon invitation à aller manger un bout. Je vais faire de cette journée une journée amusante pour moi j'en fais la promesse.
•••
code par Skank aka Achiavel sur Apple-Spring
Dernière édition par Kuro le Mar 12 Mai 2015, 21:04, édité 1 fois
Re: Bon timing ! [PV Mie, Shi]
• Mlle Chiziru, Kuro, Shi & Sidney•
Je hoche la tête, fixant le jeune homme avec tracas. Soudainement, sent la présence d'une autre personne à mes côtés. C'est une jeune fille, une élève, aux yeux noisettes et aux cheveux châtains attachés. Je la regarde avant qu'elle ne me dit :
« Hum... E-excusez-moi... J.. Je peux... euh... l...l'examiner m...moi aussi ? »
Je lui laisse alors ma place, me mettant un peu à l'écart, toujours avec ce même regard qu'une mère peut avoir lorsqu'elle ne trouve pas son enfant.
La jeune demoiselle ne fait rien de plus simple que de tâter son poignet et son cou. Cette dernière se tourne vers moi pour me dire le verdict très certainement.
« I... Il dort »
C'est pourtant évident, mais je dois assurer mon rôle de femme un peu niaise et simplette. J'échappe un soupire de soulagement avant d'exprimer ma quiétude.
« Aaah, quel soulagement. »
Peu après avoir dit ses mots, un rire narquois se fait entendre.
« Il n’va pas en mourir, le pauvre p’tit. Laissez-le faire sa sieste tranquillement »
C'est une voix rocailleuse qui vient m'interloquer. Sa phrase est prononcée d'une certaine façon qui me laisse penser que l'inconnue est ironique. Elle appuie ses mots et articule d'une façon suspect qui me fait dire cela. En effet, la situation est tout à fait pittoresque. Voir un jeune homme affalé par terre, une jeune femme affolée lui venir en aide et qui se fait rassurer par une jeune élève, c'est une scène des plus humoristique.
Alors que je fixe le vide, je me rends compte que le jeune homme assoupi n'est plus. Lorsque je reprends mes esprits, je cherche du regard l'homme aux cheveux bleus, étonnée et perdue. Mais après l'avoir cherché en tournant bêtement ma tête de droite, à gauche, une mystérieuse main se présente sous mes yeux. Je suis l'étrange main m’amenant finalement vers le garçon qui a dormi comme un bébé il y a à peine deux minutes.
« Si vous n'aviez pas cette couleur horrible sur vos cheveux, je crois bien que je vous aurais demandé en mariage. » me dit-il avec sarcasme, probablement.
Instantanément, mes joues s'empourprent et la gêne me met dans tout mes états. Même si il ne semble pas apprécier mes très chers cheveux, je suis assez flattée. Je reprends rapidement mes esprits avant de lui sourire tendrement et prendre sa main pour me relever. J'ai pu enfin constater qui est la troisième personne. C'est une jeune fille aux cheveux orangés noués et des iris aussi dorés que les miennes. Alors que je la zieute, ma vue se téléporte vers mes feuilles éparpillées par terre. Je soupire, agacé par moi-même, même si je n'ai pu m'empêcher dans rire ''intérieurement'' : Quand je me mets vraiment dans tout mes états, ce n'est pas rien. Finalement, je dois ramasser ces tas de feuilles qui ont été proprement rangés jadis. Alors que je m'apprête à les rassembler, l'ancien dormeur propose avec un sourire :
« Donc, je peux vous payer un truc à manger pour vous remercier ? Bien entendus vous êtes dispensé de cours juste pour cette fois hein. »
Je lui souris avant de partir chercher chacun de mes feuilles, réfléchissant à l'idée. Tout d'abord, il n'est donc pas élève de l'Académie ? D'après sa dernière phrase, cela me laisse dire que c'est un personnel. Il est vraiment jeune, mais je suis un peu rassurée de ne pas être la plus jeune adulte de l'établissement à travailler et non étudié. Ensuite, sa proposition me tente énormément. Bien que je dois m'occuper de toutes ses feuilles, il est difficile de ne pas accepter son offre, sans oublier que j'ai un petit creux. Après tout, je veux juste prendre un peu d'avance sur mes copies, mais ça peut attendre plus tard.
Après avoir enfin réuni les fiches dans mes bras, je lui répond avec un sourire encore plus enthousiasme.
« Pour moi, c'est d'accord. Mes fiches attendront plus tard. »
Je me rapproche légèrement du petit groupe, attendant la décision de ces jeunes gens.
« Hum... E-excusez-moi... J.. Je peux... euh... l...l'examiner m...moi aussi ? »
Je lui laisse alors ma place, me mettant un peu à l'écart, toujours avec ce même regard qu'une mère peut avoir lorsqu'elle ne trouve pas son enfant.
La jeune demoiselle ne fait rien de plus simple que de tâter son poignet et son cou. Cette dernière se tourne vers moi pour me dire le verdict très certainement.
« I... Il dort »
C'est pourtant évident, mais je dois assurer mon rôle de femme un peu niaise et simplette. J'échappe un soupire de soulagement avant d'exprimer ma quiétude.
« Aaah, quel soulagement. »
Peu après avoir dit ses mots, un rire narquois se fait entendre.
« Il n’va pas en mourir, le pauvre p’tit. Laissez-le faire sa sieste tranquillement »
C'est une voix rocailleuse qui vient m'interloquer. Sa phrase est prononcée d'une certaine façon qui me laisse penser que l'inconnue est ironique. Elle appuie ses mots et articule d'une façon suspect qui me fait dire cela. En effet, la situation est tout à fait pittoresque. Voir un jeune homme affalé par terre, une jeune femme affolée lui venir en aide et qui se fait rassurer par une jeune élève, c'est une scène des plus humoristique.
Alors que je fixe le vide, je me rends compte que le jeune homme assoupi n'est plus. Lorsque je reprends mes esprits, je cherche du regard l'homme aux cheveux bleus, étonnée et perdue. Mais après l'avoir cherché en tournant bêtement ma tête de droite, à gauche, une mystérieuse main se présente sous mes yeux. Je suis l'étrange main m’amenant finalement vers le garçon qui a dormi comme un bébé il y a à peine deux minutes.
« Si vous n'aviez pas cette couleur horrible sur vos cheveux, je crois bien que je vous aurais demandé en mariage. » me dit-il avec sarcasme, probablement.
Instantanément, mes joues s'empourprent et la gêne me met dans tout mes états. Même si il ne semble pas apprécier mes très chers cheveux, je suis assez flattée. Je reprends rapidement mes esprits avant de lui sourire tendrement et prendre sa main pour me relever. J'ai pu enfin constater qui est la troisième personne. C'est une jeune fille aux cheveux orangés noués et des iris aussi dorés que les miennes. Alors que je la zieute, ma vue se téléporte vers mes feuilles éparpillées par terre. Je soupire, agacé par moi-même, même si je n'ai pu m'empêcher dans rire ''intérieurement'' : Quand je me mets vraiment dans tout mes états, ce n'est pas rien. Finalement, je dois ramasser ces tas de feuilles qui ont été proprement rangés jadis. Alors que je m'apprête à les rassembler, l'ancien dormeur propose avec un sourire :
« Donc, je peux vous payer un truc à manger pour vous remercier ? Bien entendus vous êtes dispensé de cours juste pour cette fois hein. »
Je lui souris avant de partir chercher chacun de mes feuilles, réfléchissant à l'idée. Tout d'abord, il n'est donc pas élève de l'Académie ? D'après sa dernière phrase, cela me laisse dire que c'est un personnel. Il est vraiment jeune, mais je suis un peu rassurée de ne pas être la plus jeune adulte de l'établissement à travailler et non étudié. Ensuite, sa proposition me tente énormément. Bien que je dois m'occuper de toutes ses feuilles, il est difficile de ne pas accepter son offre, sans oublier que j'ai un petit creux. Après tout, je veux juste prendre un peu d'avance sur mes copies, mais ça peut attendre plus tard.
Après avoir enfin réuni les fiches dans mes bras, je lui répond avec un sourire encore plus enthousiasme.
« Pour moi, c'est d'accord. Mes fiches attendront plus tard. »
Je me rapproche légèrement du petit groupe, attendant la décision de ces jeunes gens.
☆
Re: Bon timing ! [PV Mie, Shi]
- Aaah, quel soulagement
À peine la femme aux cheveux roses avait prononcé ces paroles que j'entendis un ricanement derrière moi. Je me retournai et vis que c'était une fille aux cheveux roux et aux yeux jaunes.
- Il n’va pas en mourir, le pauvre p’tit. Laissez-le faire sa sieste tranquillement, il devait être harassé, lançai-t-elle. Elle avait une voix grave quelque peu éraillée.
Je ne la connaissait pas mais elle commençai déjà à m'énerver. Je décidai de ne pas relever son comentaire et reportai mon attention sur le jeune homme, qui venait de s'éveiller :
Dieu aurait put faire un effort pour les anges sérieux... dit-il d'un ton léger.
Euh... Pardon ?
- Je savais pas qu'aux paradis on avais le droit au Loli.
Mon dieu, il se croyait au paradis... Il se redressa et son regard se posa sur la fille aux cheveux roses
- Si vous n'aviez pas cette couleur Horrible sur vos cheveux, je crois bien que je vous aurais demandé en mariage.
La fille aux cheveux roses rougit. Elle regarda ses feuilles éparpillées un peu partout par terre. Elle s'apprêtait à les ramasser lorsque le garçon lui dit :
- Donc, je peux vous payer un truc à manger pour vous remercier ? Bien entendus vous êtes dispensé de cours juste pour cette fois hein, dit-il en souriant
- Pour moi, c'est d'accord. Mes fiches attendront plus tard
Elle s'approcha légèrement de nous. Je compris qu'elle attendait notre décision.
- Humm... p... pour moi... au... aussi ? je demandai, peu sûre de se qu'il fallait répondre.
Je regardai la fille aux yeux jaunes pour voir ce qu'elle allait répondre. Après tout, peut-être que le garçon aux cheveux bleus s'adressait uniquement à la fille aux cheveux roses...
À peine la femme aux cheveux roses avait prononcé ces paroles que j'entendis un ricanement derrière moi. Je me retournai et vis que c'était une fille aux cheveux roux et aux yeux jaunes.
- Il n’va pas en mourir, le pauvre p’tit. Laissez-le faire sa sieste tranquillement, il devait être harassé, lançai-t-elle. Elle avait une voix grave quelque peu éraillée.
Je ne la connaissait pas mais elle commençai déjà à m'énerver. Je décidai de ne pas relever son comentaire et reportai mon attention sur le jeune homme, qui venait de s'éveiller :
Dieu aurait put faire un effort pour les anges sérieux... dit-il d'un ton léger.
Euh... Pardon ?
- Je savais pas qu'aux paradis on avais le droit au Loli.
Mon dieu, il se croyait au paradis... Il se redressa et son regard se posa sur la fille aux cheveux roses
- Si vous n'aviez pas cette couleur Horrible sur vos cheveux, je crois bien que je vous aurais demandé en mariage.
La fille aux cheveux roses rougit. Elle regarda ses feuilles éparpillées un peu partout par terre. Elle s'apprêtait à les ramasser lorsque le garçon lui dit :
- Donc, je peux vous payer un truc à manger pour vous remercier ? Bien entendus vous êtes dispensé de cours juste pour cette fois hein, dit-il en souriant
- Pour moi, c'est d'accord. Mes fiches attendront plus tard
Elle s'approcha légèrement de nous. Je compris qu'elle attendait notre décision.
- Humm... p... pour moi... au... aussi ? je demandai, peu sûre de se qu'il fallait répondre.
Je regardai la fille aux yeux jaunes pour voir ce qu'elle allait répondre. Après tout, peut-être que le garçon aux cheveux bleus s'adressait uniquement à la fille aux cheveux roses...
Re: Bon timing ! [PV Mie, Shi]
- La musique qui va avec ♥:
Attendez, c'était quoi ce bordel ? - Oups, j'ai l'impression que je me répète.
Petit résumé de la situation : c'était là une belle journée ensoleillée où tout le monde était supposé être content. Tout le monde, sauf moi, Sidney la grincheuse. Pourquoi ?
Comment ça, pourquoi ? Vous osez me poser une telle question ?Courez lire mon histoire alors, non mais ! Ah, vous n'êtes vraiment pas au courant ? Bon, laissez-moi donc vous raconter ma vie passionnante, mais je vous préviens, suivez bien dès le début, car je ne me répèterai pas.
J'e suis néedans une famille modeste, l'injustice et la guerre sont des choses que je déteste dans un milieu relativement aisé, je vous l'accorde. Mais sachez, jeunes gens, que l'endroit où vous naissez ne fait pas de vous ce que vous êtes. En effet, j'avais beau avoir passé six ans de ma dure vie sous un toit qui tenait sur ses pattes, j'avais quand même fini à la rue eh. Et c'est là qu'on arrive au pourquoi du comment j'étais d'humeur grincheuse ce jour-là !
Il y avait cet homme, là, qui m'avait éduquée. Peu importe son nom. Appelons-le... John. (Comment ça, très original ? John Smith ? J'vois pas le souci, c'est la couverture parfaite. "A common name for a common person." Rha, si personne ne capte mes références aussi... Enfin, c'est pas le sujet !) John était mon sauveur, mon grand frère, mon guide. Il était également l'oreille qui m'écoutait, l'épaule qui m'accueillait, les bras qui me protégeaient, et mon premier et seul am- Oh, wait. C'est pas mon genre d'être aussi guimauve. Ben quoi ? C'est le rôle de la p'tite prof fragile à côté de moi, pas le mien.
Trève de digression ! Je disais donc, John m'avait élevée dans la rue et m'avait tout appris. Maisvoilà un matin le destin fait son malin au bout de quelques années, il découvrit mon secret. Vous savez, mon don là, c'te espèce de truc qui me différencie des autres - comme si j'étais pas déjà un énergumène à moi toute seule. MERCI LE DESTIN - Ahem. Il le découvrit suite à la réception de la fameuse lettre m'invitant à rejoindre cette fichue Académie Tsuki dans laquelle j'avais les pieds au moment même où je vous raconte mes aventures palpitantes. Je n'avais pas pris connaissance de tout cela non. C'est uniquement lorsque John décida d'arrêter de fuir son destin que j'appris la réalité. La seule phrase qui me venait alors à l'esprit était "C'est pas l'heure de mourir, c'est pas non plus la manière". Je cite Danakil trois fois dans un post si j'veux d'abord !
Mais voilà, le destin avait frappé, m'enlevant une fois encore la seule personne que j'avais. Et, pour lui rendre hommage, j'avais pris la décision de me rendre à cette maudite école visiblement truffée de personnes stupides. Et le fait que je n'aime pas la foule - sauf pendant le business, elle peut s'avérer très utile - n'arrangeait rien. Voilà pourquoi j'étais si râleuse et irritable.
Alors non seulement j'étais en deuil et en pleine transition sociale, mais en plus les premières personnes qu'il m'avait été donné de croiser en ce lieu maudit étaient tout bonnement pathétiques. Entre la larve bleutée qui - ah, il s'est réveillée ? - se croit au paradis, la prof' toute rouge, ou toute rose j'ne sais plus - donnez-moi des lunettes de soleil j'ai mal aux yeux devant tant de guimauve - et la p'tite jeunette qui me regardait l'air de me demander si on était aussi comprises dans la proposition de déjeuner, j'étais bien servie.
Wait, what? On rembobine quelques minutes s'il vous plait.Pull up, Selecta! Le bleuté proposait qu'on déjeune ensemble ? Genre, tous les quatre ? mdr lol dé bar Mais il était pas bien ? Il nous dispensait de cours, qu'il disait... Il n'était donc pas élève. Mais visiblement pas assez fûté pour être professeur non plus - quoiqu'en regardant la p'tite Charlotte aux Fraises à côté, j'commençais à me poser de sérieuses questions quant au recrutement des enseignants... DONC. Il serait surveillant, hein ? Aha, aha. Pauvres élèves.
Je ne pus m'empêcher d'éclater de rire au nez de tous. Un rire jaune, moqueur, détestable. Je fronçai le nez et levai les yeux au ciel, me demandant si le bleuté était sérieux. Finalement, voyant que personne ne réagissait, je lançai, cassante :
- Aha, allez déjeuner entre écervelés si ça peut vous faire plaisir, mais ça sera sans moi. Vous formez une belle brochette d'illuminés, z'êtes marrants mais... J'ai plus important à faire que de traîner avec des mioches.Allé salu
Et c'est ainsi que la nouvelle Sidney s'en alla, rajustant son sac sur son épaule lasse, en adressant un dernier regard désolé aux jeunes gens présents. Un regard désolé, oui, car ce trio de désespérés me faisait vraiment mal au coeur. J'étais triste pour eux. Mais ils n'appelaient certainement pas à ma générosité et, de toutes manières, il était temps pour moi de visiter cette bâtisse !
Académie Tsuki, à nous deux maintenant. Mais pour de vrai, cette fois.
Petit résumé de la situation : c'était là une belle journée ensoleillée où tout le monde était supposé être content. Tout le monde, sauf moi, Sidney la grincheuse. Pourquoi ?
Comment ça, pourquoi ? Vous osez me poser une telle question ?
J'e suis née
Il y avait cet homme, là, qui m'avait éduquée. Peu importe son nom. Appelons-le... John. (Comment ça, très original ? John Smith ? J'vois pas le souci, c'est la couverture parfaite. "A common name for a common person." Rha, si personne ne capte mes références aussi... Enfin, c'est pas le sujet !) John était mon sauveur, mon grand frère, mon guide. Il était également l'oreille qui m'écoutait, l'épaule qui m'accueillait, les bras qui me protégeaient, et mon premier et seul am- Oh, wait. C'est pas mon genre d'être aussi guimauve. Ben quoi ? C'est le rôle de la p'tite prof fragile à côté de moi, pas le mien.
Trève de digression ! Je disais donc, John m'avait élevée dans la rue et m'avait tout appris. Mais
Mais voilà, le destin avait frappé, m'enlevant une fois encore la seule personne que j'avais. Et, pour lui rendre hommage, j'avais pris la décision de me rendre à cette maudite école visiblement truffée de personnes stupides. Et le fait que je n'aime pas la foule - sauf pendant le business, elle peut s'avérer très utile - n'arrangeait rien. Voilà pourquoi j'étais si râleuse et irritable.
Alors non seulement j'étais en deuil et en pleine transition sociale, mais en plus les premières personnes qu'il m'avait été donné de croiser en ce lieu maudit étaient tout bonnement pathétiques. Entre la larve bleutée qui - ah, il s'est réveillée ? - se croit au paradis, la prof' toute rouge, ou toute rose j'ne sais plus - donnez-moi des lunettes de soleil j'ai mal aux yeux devant tant de guimauve - et la p'tite jeunette qui me regardait l'air de me demander si on était aussi comprises dans la proposition de déjeuner, j'étais bien servie.
Wait, what? On rembobine quelques minutes s'il vous plait.
Je ne pus m'empêcher d'éclater de rire au nez de tous. Un rire jaune, moqueur, détestable. Je fronçai le nez et levai les yeux au ciel, me demandant si le bleuté était sérieux. Finalement, voyant que personne ne réagissait, je lançai, cassante :
- Aha, allez déjeuner entre écervelés si ça peut vous faire plaisir, mais ça sera sans moi. Vous formez une belle brochette d'illuminés, z'êtes marrants mais... J'ai plus important à faire que de traîner avec des mioches.
Et c'est ainsi que la nouvelle Sidney s'en alla, rajustant son sac sur son épaule lasse, en adressant un dernier regard désolé aux jeunes gens présents. Un regard désolé, oui, car ce trio de désespérés me faisait vraiment mal au coeur. J'étais triste pour eux. Mais ils n'appelaient certainement pas à ma générosité et, de toutes manières, il était temps pour moi de visiter cette bâtisse !
Académie Tsuki, à nous deux maintenant. Mais pour de vrai, cette fois.
- Hors-RP:
- Le jeu s'arrête là pour Sidney, bonne suite de RP à vous keur keur
Re: Bon timing ! [PV Mie, Shi]
C'est le bon timing !
• Topic Libre •
J
e n'avais pas vraiment envi d'être dans cette établissement mais je devais m'y faire. Alors que je sombrais dans mes pensées, tout en regardant les jeunes filles sous mes yeux. En venant ici je voulais mettre un peu de piment de ma "vie" Histoire de pas trop m'emmerder à ne rien faire dans mon appartement. C'est bien de ne rien faire parfois mais, il y a aussi des moments ou tout va mal et on a besoin de faire le vide dans son esprit, ça m'arrive souvent ce genre de situation donc, j'essaye d'y remédier le plus vite possible.
Ma remarque lui avait fait plaisir ou alors l'avait gênée vus la couleur qu'a prit ses petites joues, elle prit ma main pour se relever en me faisant son plus beau sourire, après avoir vu ses feuilles par terre la jeune femme s'empressa d'aller les récupérées. Ma première impression sur cette fille ? Une vraie tête en l'air. S'approchant de nouveau de nous avec un sourire elle répondit « Pour moi, c'est d'accord. Mes fiches attendront plus tard. » Parfait, c'était une bonne réponse mademoiselle.
Mon regarde se tourner maintenant vers les deux autres filles la plus petite me regarda puis répondit ensuite « Humm... p... pour moi... au... aussi ? » je lui tapotais doucement la tête comme ferais un grand frère à sa petite sœur pour la rassurer toute en souriant. « NON, Bien sûr que non idiote, j'ai proposé ça au pote de fleure qui se trouve derrière toi. Tss. » C'est ce que j'aurais aimé répondre... Mais ma bouche en a voulu autrement. « Mais oui, toi aussi ma grande. » "Ma grande" Alors qu'elle m'arrive à peine au torse.
J'observais maintenant la jeune rousse qui n'avait pas encore parlé, depuis tout à l'heure d'ailleurs. Elle se mit à rire aux éclats puis enfin prendre la parole. « Aha, allez déjeuner entre écervelés si ça peut vous faire plaisir, mais ça sera sans moi. Vous formez une belle brochette d'illuminés, z'êtes marrants mais... J'ai plus important à faire que de traîner avec des mioches. » Une répondre claire quant à ma question. Mais, je me demande pourquoi elle était de mauvaise humeur. Peut être à cause de son voyage ? Du décalage horaire ? Ça me saoulais déjà de chercher le pourquoi du comment, ou le commence du pourquoi? M'enfin bref.
Une crispation… Une violente envie de meurtre… Mes paupières clignèrent avant de se fermer pendant un laps de temps court, puis ils se rouvrirent brutalement pour regarder les jeunes gens qui restent. « Bon, bah qu'est-ce qui vous ferez plaisirs à vous deux ? Moi je voudrais une glace, plusieurs même. » Notre destination ce porter maintenant en direction du réfectoire les deux mains dans les poches, accompagner des deux filles. « Alors, dite moi tout sur vous, nom, prénom, don... » je porte mon regarde sur la jeune fille aux cheveux roses avec un sourire malicieux aux lèvres « ...Âge, Mensuration, numéro de téléphone... » Puis sur la petite fille aux cheveux châtains avec un air des plus neutre. « Maison, classe. »
Ma remarque lui avait fait plaisir ou alors l'avait gênée vus la couleur qu'a prit ses petites joues, elle prit ma main pour se relever en me faisant son plus beau sourire, après avoir vu ses feuilles par terre la jeune femme s'empressa d'aller les récupérées. Ma première impression sur cette fille ? Une vraie tête en l'air. S'approchant de nouveau de nous avec un sourire elle répondit « Pour moi, c'est d'accord. Mes fiches attendront plus tard. » Parfait, c'était une bonne réponse mademoiselle.
Mon regarde se tourner maintenant vers les deux autres filles la plus petite me regarda puis répondit ensuite « Humm... p... pour moi... au... aussi ? » je lui tapotais doucement la tête comme ferais un grand frère à sa petite sœur pour la rassurer toute en souriant. « NON, Bien sûr que non idiote, j'ai proposé ça au pote de fleure qui se trouve derrière toi. Tss. » C'est ce que j'aurais aimé répondre... Mais ma bouche en a voulu autrement. « Mais oui, toi aussi ma grande. » "Ma grande" Alors qu'elle m'arrive à peine au torse.
J'observais maintenant la jeune rousse qui n'avait pas encore parlé, depuis tout à l'heure d'ailleurs. Elle se mit à rire aux éclats puis enfin prendre la parole. « Aha, allez déjeuner entre écervelés si ça peut vous faire plaisir, mais ça sera sans moi. Vous formez une belle brochette d'illuminés, z'êtes marrants mais... J'ai plus important à faire que de traîner avec des mioches. » Une répondre claire quant à ma question. Mais, je me demande pourquoi elle était de mauvaise humeur. Peut être à cause de son voyage ? Du décalage horaire ? Ça me saoulais déjà de chercher le pourquoi du comment, ou le commence du pourquoi? M'enfin bref.
Une crispation… Une violente envie de meurtre… Mes paupières clignèrent avant de se fermer pendant un laps de temps court, puis ils se rouvrirent brutalement pour regarder les jeunes gens qui restent. « Bon, bah qu'est-ce qui vous ferez plaisirs à vous deux ? Moi je voudrais une glace, plusieurs même. » Notre destination ce porter maintenant en direction du réfectoire les deux mains dans les poches, accompagner des deux filles. « Alors, dite moi tout sur vous, nom, prénom, don... » je porte mon regarde sur la jeune fille aux cheveux roses avec un sourire malicieux aux lèvres « ...Âge, Mensuration, numéro de téléphone... » Puis sur la petite fille aux cheveux châtains avec un air des plus neutre. « Maison, classe. »
- HRP:
- Ferais mieux la prochaine fois...
•••
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