Enfin une grande ville (libre)
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Enfin une grande ville (libre)
Raclaw après son arrivé au village sur pilotis avait suivi les instructions de la direction et avait passe la journée précédente à se reposer et à dormir. Maintenant il se dirigeait vers l'arrêt de bus pour se rendre en ville afin de soit faire des achat ou même se balader tranquillement. Vêtu d'un simple t-shirt blanc et d'un Jean déchire, l'adolescent au cheveux rouges paraissait. Comme quelqu'un qui n'avait pas chaud alors que presque tous les autres élèves mourraient de chaud pour eux, mais ayant un pouvoir lié au feu la chaleur n'avait aucun effet sur lui.
Après dix bonnes minutes de marche il arriva à l'arrêt de bus et sortis de sa poche de pantalon son nom emblématique paquet de cigarettes et son zippo. Normalement il allumait avec le doigt en produisant une flamme mais étant da's un pays étranger il ne fallait bpas courir le risque de se faire voir àvec des pouvoirs. Ça aurait pu annuler le voyage et ça il n'y tenait pas vraiment. Il allumait sa cigarette et attendit encore dix minutes avnat que le bis n'arrive, il paya son ticket et partit s'asseoir dans le fond du bus.
Pendant le trajet il observa la paysage qui oui faisait étrangement penser à la France. Pas au niveau des plantes ou de la végétation mais de la disposition des espace de cultures agricoles. Collés les uns aux autres près des routes. Enfin il n'eut pas le temps de beaucoup admirer le paysage et de trop y penser car son bus arriva enfin à sa destination.. quand il descendit il se sentit bien. Malgré le fait qu'il ne connaissait rien d'ici il se sentait bien car il retrouvait le climat des grandes villes comme Paris et non comme le petit village à proximité de Tsuki. Il se sentait plus a l'aise en ville. Raclaw sortit son portable t tapa des indications sur Google maps et partit en direction d'un magasin de musique. Il verrait ce qu'il ferait ensuite.
Après dix bonnes minutes de marche il arriva à l'arrêt de bus et sortis de sa poche de pantalon son nom emblématique paquet de cigarettes et son zippo. Normalement il allumait avec le doigt en produisant une flamme mais étant da's un pays étranger il ne fallait bpas courir le risque de se faire voir àvec des pouvoirs. Ça aurait pu annuler le voyage et ça il n'y tenait pas vraiment. Il allumait sa cigarette et attendit encore dix minutes avnat que le bis n'arrive, il paya son ticket et partit s'asseoir dans le fond du bus.
Pendant le trajet il observa la paysage qui oui faisait étrangement penser à la France. Pas au niveau des plantes ou de la végétation mais de la disposition des espace de cultures agricoles. Collés les uns aux autres près des routes. Enfin il n'eut pas le temps de beaucoup admirer le paysage et de trop y penser car son bus arriva enfin à sa destination.. quand il descendit il se sentit bien. Malgré le fait qu'il ne connaissait rien d'ici il se sentait bien car il retrouvait le climat des grandes villes comme Paris et non comme le petit village à proximité de Tsuki. Il se sentait plus a l'aise en ville. Raclaw sortit son portable t tapa des indications sur Google maps et partit en direction d'un magasin de musique. Il verrait ce qu'il ferait ensuite.
Re: Enfin une grande ville (libre)
Quel beau cadeau qui nous a été offert à l'occasion des 2 ans de l'académie! Un voyage en Nouvelle-Calédonie!
J'étais vraiment toute excitée à l'idée de découvrir un nouveau pays, je n'avais jamais vraiment eu l'occasion de voyager durant mon enfance donc ce voyage était vraiment une occasion en or de visiter de nouveaux endroits et rencontrer de nouvelles personnes.
Il y avait tellement de lieux à visiter et d'activités à réaliser je ne savais pas par où commencer.
Après avoir tourné en rond pendant une bonne dizaine de minutes j'ai finalement décidé qu'une visite en ville serait opportune. Peut-être que je pourrais faire des achats intéressants après tout!
Après avoir pris une bonne douche, je me suis habillée avec une petite robe légère couleur bleu ciel et je pris un chapeau. Il faisait vraiment chaud ici alors autant prendre quelques précautions aussi minimes soit-elles pour éviter de prendre un coup de soleil sur la tête. Pour finir je pris un petit sac à main où j'avais mis quelques affaires et je commençais donc ma route vers l'arrêt de bus qui me conduirait vers le centre ville.
J'ai du attendre une bonne quinzaine de minutes avant de voir un bus arriver. Après m'être installée à bord, le bus démarra et commença sa longue route vers la ville. Je regardais le paysage défiler sous mes yeux, c'était vraiment magnifique. Je n'avais pas pensé à prendre un appareil photo j'aurais vraiment voulu immortaliser ce paysage, je pense que j'enverrai une carte postale à mes Grands parents ça leur fera sûrement plaisir!
Arrivée à destination, je ne pouvais m'empêcher de m'extasier devant l'immensité de cette ville. Il y avait tellement de monde tous différents les uns des autres!
J'aimais cet endroit il était grouillant de vie!
Il y avait tellement de magasins différents je ne savais pas par où commencer.
Si j'avais su j'aurais pris un bouquin de tourisme ou quelque chose dans le genre.
Je commençais ma marche et essayant de me frayer un chemin parmi tout ce petit monde, je regardais à droite et à gauche en quête d'un magasin intéressant.
Durant ma marche, je remarquais au loin un jeune homme qui semblait également chercher quelque chose, il était de taille moyenne et avait des cheveux rouges et noirs. Etait-ce quelqu'un qui vivait ici ? Non, sûrement un élève de l'académie, je ne l'avais jamais vu en tout cas si c'était le cas.
Peut être cherche t'il un endroit où aller lui aussi.
Après avoir examiné le jeune homme de la tête aux pieds, essayant de distinguer une quelconque marque, queue, ou oreilles pointues qui pourrait indiquer qu'il avait un pouvoir, je pris la décision de l'aborder. Je m'approchais subtilement de lui avant de lui tapoter l'épaule du bout du doigt.
"Euh, bonjour serais-tu un élève de l'académie Tsuki par hasard, ou quelqu'un qui vit ici je ne sais pas trop! Désolée de t'aborder comme cela mais tu ne connaîtrai pas un endroit sympa à visiter dans cette ville ?"
Je lui souriais, en trifouillant une de mes mèches de cheveux comme à mon habitude. J'espérais vraiment que je n'allais pas me faire rembarrer il faut dire que je n'étais pas toujours tombée sur des personnes très gentilles à l'académie ou même dans la rue...
J'étais vraiment toute excitée à l'idée de découvrir un nouveau pays, je n'avais jamais vraiment eu l'occasion de voyager durant mon enfance donc ce voyage était vraiment une occasion en or de visiter de nouveaux endroits et rencontrer de nouvelles personnes.
Il y avait tellement de lieux à visiter et d'activités à réaliser je ne savais pas par où commencer.
Après avoir tourné en rond pendant une bonne dizaine de minutes j'ai finalement décidé qu'une visite en ville serait opportune. Peut-être que je pourrais faire des achats intéressants après tout!
Après avoir pris une bonne douche, je me suis habillée avec une petite robe légère couleur bleu ciel et je pris un chapeau. Il faisait vraiment chaud ici alors autant prendre quelques précautions aussi minimes soit-elles pour éviter de prendre un coup de soleil sur la tête. Pour finir je pris un petit sac à main où j'avais mis quelques affaires et je commençais donc ma route vers l'arrêt de bus qui me conduirait vers le centre ville.
J'ai du attendre une bonne quinzaine de minutes avant de voir un bus arriver. Après m'être installée à bord, le bus démarra et commença sa longue route vers la ville. Je regardais le paysage défiler sous mes yeux, c'était vraiment magnifique. Je n'avais pas pensé à prendre un appareil photo j'aurais vraiment voulu immortaliser ce paysage, je pense que j'enverrai une carte postale à mes Grands parents ça leur fera sûrement plaisir!
Arrivée à destination, je ne pouvais m'empêcher de m'extasier devant l'immensité de cette ville. Il y avait tellement de monde tous différents les uns des autres!
J'aimais cet endroit il était grouillant de vie!
Il y avait tellement de magasins différents je ne savais pas par où commencer.
Si j'avais su j'aurais pris un bouquin de tourisme ou quelque chose dans le genre.
Je commençais ma marche et essayant de me frayer un chemin parmi tout ce petit monde, je regardais à droite et à gauche en quête d'un magasin intéressant.
Durant ma marche, je remarquais au loin un jeune homme qui semblait également chercher quelque chose, il était de taille moyenne et avait des cheveux rouges et noirs. Etait-ce quelqu'un qui vivait ici ? Non, sûrement un élève de l'académie, je ne l'avais jamais vu en tout cas si c'était le cas.
Peut être cherche t'il un endroit où aller lui aussi.
Après avoir examiné le jeune homme de la tête aux pieds, essayant de distinguer une quelconque marque, queue, ou oreilles pointues qui pourrait indiquer qu'il avait un pouvoir, je pris la décision de l'aborder. Je m'approchais subtilement de lui avant de lui tapoter l'épaule du bout du doigt.
"Euh, bonjour serais-tu un élève de l'académie Tsuki par hasard, ou quelqu'un qui vit ici je ne sais pas trop! Désolée de t'aborder comme cela mais tu ne connaîtrai pas un endroit sympa à visiter dans cette ville ?"
Je lui souriais, en trifouillant une de mes mèches de cheveux comme à mon habitude. J'espérais vraiment que je n'allais pas me faire rembarrer il faut dire que je n'étais pas toujours tombée sur des personnes très gentilles à l'académie ou même dans la rue...
Re: Enfin une grande ville (libre)
« Dormir ici, là où on doit mourir ?
Se reposer au risque de périr ?
J'erre si seule au fond d'un labyrinthe !
Savant et cruel, ce parcours m'éreinte,
Mes pieds las d'errer s'éloignent du seuil,
Qui est tien, et ruine remords et deuil,
J'emporte au loin dans cette ambiguïté.
Quand fièvre mal éteinte mon front brûlait !
Du labyrinthe gris, vais-je en sortir ?
Seule garantie, là où la mort dort,
J'en suis certaine, le silence est d'or.
Chercher solution semble futile,
Faut-il alors qu'un tueur se faufile ?
Ce masque sur leurs visages doit s'ôter,
Lors de ce jeu, cette fatalité !
-Oh...bonjour... »
Oui je pleure et alors ? Il m'arrive à moi, Hikaru Yuugure, d'avoir des émotions que je préfère exprimer uniquement en privé, comprenez, j'ai ma fierté. Et puis, le poème de ce personnage est si beau ! J'aime peut être pas lire, mais je ne suis pas mécontent d'avoir acheté ce bouquin. En fait...C'était surtout parce que c'était le seul truc que j'avais trouvé pour m'occuper la nuit et qui avait une traduction japonaise, l’œuvre originale étant anglaise, de l'anglais j'en ai soupé, merci !...car vous n'allez pas me demander d'aller traduire tout un bouquin en pleine nuit, clairement, ça m'énerverait, je préfère être honnête. Donc du coup, j'avais acheté ça dans une boutique quelconque et maintenant, je pense que je vais aller dans un endroit bien tranquille pour lire le reste du bouquin car je veux en savoir plus sur cette poétesse qui me met la larme à l’œil...et surtout pour voir si ce frimeur imbécile dont j'ai galéré à lire la partie le concernant tellement j'avais envie de lui refaire son portrait trop bien exécuté, et lui remettre son ego à sa place c'est à dire encore plus bas que terre, il m'énerve et j'espère qu'il va lui arriver un truc bien horrible pour qu'il se calme un minimum sinon je risque d'avoir du mal à digérer les chapitres faits sous son point de vue...et ceux où ce frimeur apparaît en général. C'est pas comme l'asocial qui fait penser à un cadavre, lui, c'est un véritable modèle à suivre pour moi ! Ce cynisme, cette façon de rabaisser les autres...clairement, c'est mon personnage préféré au sein de ce livre pas facile à lire...hein ? J'avais dis que j'avais une traduction dans ma langue ? Eh bien...outre le fait que je comprends pas tout les kanjis, il faut aussi que dans la traduction, il y ait deux personnages mélangeant anglais et japonais, dont le protagoniste ! Ce qui rend la lecture très compliquée, mais c'est intéressant aussi, alors je veux bien faire un effort même si je commence à vomir tout l'anglais que j'entends, que je vois, et surtout celui qui sort de ma bouche.
En revanche, ce qui est bien, c'est de lire en marchant, j'adore faire ça quand le livre est bien, surtout avec ma capuche sur ma tête, toujours pratique pour pas que les autres ne voient mon air de cadavre ambulant car non, je n'ai toujours pas dormi cette nuit non plus. Devrais-je voir quelqu'un ? Non inutile, car là, j'avais dans les mains une excellente raison de ne pas dormir cette nuit non plus. Les histoires qui m'intéressent sont peu, mais quand elles m'intéressent, je ne décroche clairement pas et c'est pour ça que j'ai appris à faire attention à là où je mettais les pieds. Pas comme Seïa-onii-chan, qui lui, jadis, avait déjà énormément de mal ne serait-ce qu'à mettre un pied devant l'autre sans tomber. Je vous laisse imaginer toutes les crises de rire qu'on a eu en le voyant se ramasser, c'était tellement drôle. Bon, même si des fois on s'amusait à provoquer le sort en le faisant tomber, mais on est tous gamins un jour ! Et maintenant, c'est triste, il sait marcher sans chuter, courir et je ne l'ai presque plus vu tomber récemment, c'est presque déprimant ça en fait, et pas très sympa de la part du grand frère qui pourrait au moins nous faire rire de temps en temps, au moins qu'il ait une qualité cet abruti surprotecteur de grand frère...oui j'exagère mais c'est tellement rare de le voir sérieux que des fois, on se demande si il est débile où si il le fait exprès. Qu'importe, je suis dans un endroit beaucoup trop chaud pour moi alors l'important, c'est pas vraiment de penser à lui, mais de trouver de l'ombre, car je veux bien qu'il fasse chaud, mais là, c'est presque une canicule à mon goût, et bien évidemment, il a fallu que la première veste qui me tombe sous la main soit pas très légère bien au contraire, j'étouffe presque là dedans. J'aurais pu mettre une chemise, mais j'ai une préférence bien trop large pour les capuches...et puis, au moins, ça protège de ce soleil un peu trop fort, car il a beau être utile à mes os réputés fragiles, les insolations, moi, je dis non, je refuse. Je suis là depuis un petit bout de temps, je me suis éclipsé très vite, comme quoi être petit est utile, et probablement que je vais rentrer, je ne vois pas quoi faire d'autre...ou pas ! Car si on considère que je suis dans un pays étranger que je n'ai jamais visité et ma famille non plus, sans oublier que j'ai encore de l'argent de poche, je peux toujours essayer de voir à leur acheter un souvenir, ça leur fera sûrement plaisir, je les enverrai avec ma prochaine lettre pour ma sœur et déjà, j'ai quelques idées...
Je refermai donc mon livre assez fortement, et le mit dans le sac à dos où j'ai fourré des sucreries, encore. Dès lors, je commençai à regarder autour de moi pour les divers magasins...C'est que c'était grand cet endroit, je suis presque perdu si j'avais pas pris une carte en plus du bouquin, que je suis fier d'avoir hérité de la prévoyance de ma sœur, j'ai déjà dit qu'elle était géniale ? De toute façon elle est, faut juste apprendre à la connaître. Pour elle, je pense que je vais voir à lui acheter un livre sur l'astronomie de la région, car je suis pas sûr mais je crois que c'est là qu'il y a les aurores boréales non ? Et puis comme je peux pas prendre de photos, je suis sûr de pas me rater en lui offrant un livre avec des photos du ciel étoilé de l'endroit. Concernant mon frère, je vais sûrement lui offrir un pull ou un truc du genre, le pauvre, ma sœur lui pique presque tout, faut qu'il ait chaud l'hiver...ou une chemise typique, ça serait drôle mais je préférerai faire ce cadeau à notre père, voilà qui serait vraiment drôle, lui, policier si strict en chemise décontractée...j'en rigole presque...c'est parti alors ! Vissant alors ma capuche pour m'assurer qu'elle ne quitte pas ma tête, je pris alors les bretelles de mon sac dans chaque main et repris ma marche stoppé sous le coup de la révélation de la journée. Promis, après avoir fini mes achats, je mange quelque chose, mais la famille d'abord, je suis un peu trop impatient, mais au moins ce sera fait. Après, je pense passer le reste du séjour enfermé à écrire une lettre à ma sœur quand j'aurai tout visité et si je trouve un endroit tranquille, promis, je me baigne...parce que ça fait envie voilà ! Quand j'aurais un maillot de bain, car j'ai un peu oublié le mien à l'académie mais bon, je pensais pas qu'on irait là-bas, pas ma faute, ils avaient qu'à prévenir avant qu'on soit devant le bus menant à l'aéroport où le voyage fut long sans dormir...passons, là, je risque d'avoir un problème quand je vois que ma route est bloqué par deux personnes, un gars aux cheveux rouges et une fille qui lui demandait son attention...super...des gens...des interactions...pitié pas ça...j'ai pas envie de parler à quiconque moi ! Sauf que même pas très loin d'eux, je suis encore trop petit pour qu'ils me remarquent visiblement, et je ne suis donc pas prêt de passer à ce rythme là. J'ai pas envie, mais j'ai pas le choix, et encore moins la possibilité de me faufiler sinon je l'aurai déjà fait. Je m'éclaircis alors la gorge et manifestai ma présence.
« Excusez moi...je veux pas vous déranger, mais là vous dérangez un peu mon passage si vous voyez où je veux en venir, sans offense. »
Se reposer au risque de périr ?
J'erre si seule au fond d'un labyrinthe !
Savant et cruel, ce parcours m'éreinte,
Mes pieds las d'errer s'éloignent du seuil,
Qui est tien, et ruine remords et deuil,
J'emporte au loin dans cette ambiguïté.
Quand fièvre mal éteinte mon front brûlait !
Du labyrinthe gris, vais-je en sortir ?
Seule garantie, là où la mort dort,
J'en suis certaine, le silence est d'or.
Chercher solution semble futile,
Faut-il alors qu'un tueur se faufile ?
Ce masque sur leurs visages doit s'ôter,
Lors de ce jeu, cette fatalité !
-Oh...bonjour... »
Oui je pleure et alors ? Il m'arrive à moi, Hikaru Yuugure, d'avoir des émotions que je préfère exprimer uniquement en privé, comprenez, j'ai ma fierté. Et puis, le poème de ce personnage est si beau ! J'aime peut être pas lire, mais je ne suis pas mécontent d'avoir acheté ce bouquin. En fait...C'était surtout parce que c'était le seul truc que j'avais trouvé pour m'occuper la nuit et qui avait une traduction japonaise, l’œuvre originale étant anglaise, de l'anglais j'en ai soupé, merci !...car vous n'allez pas me demander d'aller traduire tout un bouquin en pleine nuit, clairement, ça m'énerverait, je préfère être honnête. Donc du coup, j'avais acheté ça dans une boutique quelconque et maintenant, je pense que je vais aller dans un endroit bien tranquille pour lire le reste du bouquin car je veux en savoir plus sur cette poétesse qui me met la larme à l’œil...et surtout pour voir si ce frimeur imbécile dont j'ai galéré à lire la partie le concernant tellement j'avais envie de lui refaire son portrait trop bien exécuté, et lui remettre son ego à sa place c'est à dire encore plus bas que terre, il m'énerve et j'espère qu'il va lui arriver un truc bien horrible pour qu'il se calme un minimum sinon je risque d'avoir du mal à digérer les chapitres faits sous son point de vue...et ceux où ce frimeur apparaît en général. C'est pas comme l'asocial qui fait penser à un cadavre, lui, c'est un véritable modèle à suivre pour moi ! Ce cynisme, cette façon de rabaisser les autres...clairement, c'est mon personnage préféré au sein de ce livre pas facile à lire...hein ? J'avais dis que j'avais une traduction dans ma langue ? Eh bien...outre le fait que je comprends pas tout les kanjis, il faut aussi que dans la traduction, il y ait deux personnages mélangeant anglais et japonais, dont le protagoniste ! Ce qui rend la lecture très compliquée, mais c'est intéressant aussi, alors je veux bien faire un effort même si je commence à vomir tout l'anglais que j'entends, que je vois, et surtout celui qui sort de ma bouche.
En revanche, ce qui est bien, c'est de lire en marchant, j'adore faire ça quand le livre est bien, surtout avec ma capuche sur ma tête, toujours pratique pour pas que les autres ne voient mon air de cadavre ambulant car non, je n'ai toujours pas dormi cette nuit non plus. Devrais-je voir quelqu'un ? Non inutile, car là, j'avais dans les mains une excellente raison de ne pas dormir cette nuit non plus. Les histoires qui m'intéressent sont peu, mais quand elles m'intéressent, je ne décroche clairement pas et c'est pour ça que j'ai appris à faire attention à là où je mettais les pieds. Pas comme Seïa-onii-chan, qui lui, jadis, avait déjà énormément de mal ne serait-ce qu'à mettre un pied devant l'autre sans tomber. Je vous laisse imaginer toutes les crises de rire qu'on a eu en le voyant se ramasser, c'était tellement drôle. Bon, même si des fois on s'amusait à provoquer le sort en le faisant tomber, mais on est tous gamins un jour ! Et maintenant, c'est triste, il sait marcher sans chuter, courir et je ne l'ai presque plus vu tomber récemment, c'est presque déprimant ça en fait, et pas très sympa de la part du grand frère qui pourrait au moins nous faire rire de temps en temps, au moins qu'il ait une qualité cet abruti surprotecteur de grand frère...oui j'exagère mais c'est tellement rare de le voir sérieux que des fois, on se demande si il est débile où si il le fait exprès. Qu'importe, je suis dans un endroit beaucoup trop chaud pour moi alors l'important, c'est pas vraiment de penser à lui, mais de trouver de l'ombre, car je veux bien qu'il fasse chaud, mais là, c'est presque une canicule à mon goût, et bien évidemment, il a fallu que la première veste qui me tombe sous la main soit pas très légère bien au contraire, j'étouffe presque là dedans. J'aurais pu mettre une chemise, mais j'ai une préférence bien trop large pour les capuches...et puis, au moins, ça protège de ce soleil un peu trop fort, car il a beau être utile à mes os réputés fragiles, les insolations, moi, je dis non, je refuse. Je suis là depuis un petit bout de temps, je me suis éclipsé très vite, comme quoi être petit est utile, et probablement que je vais rentrer, je ne vois pas quoi faire d'autre...ou pas ! Car si on considère que je suis dans un pays étranger que je n'ai jamais visité et ma famille non plus, sans oublier que j'ai encore de l'argent de poche, je peux toujours essayer de voir à leur acheter un souvenir, ça leur fera sûrement plaisir, je les enverrai avec ma prochaine lettre pour ma sœur et déjà, j'ai quelques idées...
Je refermai donc mon livre assez fortement, et le mit dans le sac à dos où j'ai fourré des sucreries, encore. Dès lors, je commençai à regarder autour de moi pour les divers magasins...C'est que c'était grand cet endroit, je suis presque perdu si j'avais pas pris une carte en plus du bouquin, que je suis fier d'avoir hérité de la prévoyance de ma sœur, j'ai déjà dit qu'elle était géniale ? De toute façon elle est, faut juste apprendre à la connaître. Pour elle, je pense que je vais voir à lui acheter un livre sur l'astronomie de la région, car je suis pas sûr mais je crois que c'est là qu'il y a les aurores boréales non ? Et puis comme je peux pas prendre de photos, je suis sûr de pas me rater en lui offrant un livre avec des photos du ciel étoilé de l'endroit. Concernant mon frère, je vais sûrement lui offrir un pull ou un truc du genre, le pauvre, ma sœur lui pique presque tout, faut qu'il ait chaud l'hiver...ou une chemise typique, ça serait drôle mais je préférerai faire ce cadeau à notre père, voilà qui serait vraiment drôle, lui, policier si strict en chemise décontractée...j'en rigole presque...c'est parti alors ! Vissant alors ma capuche pour m'assurer qu'elle ne quitte pas ma tête, je pris alors les bretelles de mon sac dans chaque main et repris ma marche stoppé sous le coup de la révélation de la journée. Promis, après avoir fini mes achats, je mange quelque chose, mais la famille d'abord, je suis un peu trop impatient, mais au moins ce sera fait. Après, je pense passer le reste du séjour enfermé à écrire une lettre à ma sœur quand j'aurai tout visité et si je trouve un endroit tranquille, promis, je me baigne...parce que ça fait envie voilà ! Quand j'aurais un maillot de bain, car j'ai un peu oublié le mien à l'académie mais bon, je pensais pas qu'on irait là-bas, pas ma faute, ils avaient qu'à prévenir avant qu'on soit devant le bus menant à l'aéroport où le voyage fut long sans dormir...passons, là, je risque d'avoir un problème quand je vois que ma route est bloqué par deux personnes, un gars aux cheveux rouges et une fille qui lui demandait son attention...super...des gens...des interactions...pitié pas ça...j'ai pas envie de parler à quiconque moi ! Sauf que même pas très loin d'eux, je suis encore trop petit pour qu'ils me remarquent visiblement, et je ne suis donc pas prêt de passer à ce rythme là. J'ai pas envie, mais j'ai pas le choix, et encore moins la possibilité de me faufiler sinon je l'aurai déjà fait. Je m'éclaircis alors la gorge et manifestai ma présence.
« Excusez moi...je veux pas vous déranger, mais là vous dérangez un peu mon passage si vous voyez où je veux en venir, sans offense. »
Re: Enfin une grande ville (libre)
à peine Raclaw avait t'il commencé à marcher dans cette grande rue pour trouver un magasin de musique ou peut être à la réflexion de vêtements ou même e briquets qu'une voix l'interpella. Il se retourna pour découvrir une jeune fille qui le regardait et qui lui demandait si il était d'ici ou de l'Académie. Raclaw resta silencieux un moment avant de sortir un e cigarette et de l'alluler. Puis il souffla la fumée de cette dernière avant de répondre d'une voix calme.
Oui je suis de l'Académie. Raclaw Leonheart élève saphir. Et pour les coins sympa bas dison que je viens d'arriver mais je peux regarder sur mon téléphone. Par contre il faudrait que tu me dises quell genre de lieux t'intéresse sinon je pourrais rien faire pour toi.
Et alors qu'il sortait son téléphone et attendait la réponse de la jeune fille une autre voix se fit entendre. Mais cette fois sur le côté de la ou il se trouvait. C'était un jeune homme dont le visage était caché par une capuche, on ne distinguait que ses cheveux rouges. Ce dernier leur demandait de se pousser de son chemin. Raclaw le regarda un instant avant de légèrement pivoter pour le laisser passer .
-Vas y et reprend le tien de passage.
Oui je suis de l'Académie. Raclaw Leonheart élève saphir. Et pour les coins sympa bas dison que je viens d'arriver mais je peux regarder sur mon téléphone. Par contre il faudrait que tu me dises quell genre de lieux t'intéresse sinon je pourrais rien faire pour toi.
Et alors qu'il sortait son téléphone et attendait la réponse de la jeune fille une autre voix se fit entendre. Mais cette fois sur le côté de la ou il se trouvait. C'était un jeune homme dont le visage était caché par une capuche, on ne distinguait que ses cheveux rouges. Ce dernier leur demandait de se pousser de son chemin. Raclaw le regarda un instant avant de légèrement pivoter pour le laisser passer .
-Vas y et reprend le tien de passage.
Re: Enfin une grande ville (libre)
Le jeune homme s'était retourné et m'avait regardé avec un visage de marbre. Et bah dis donc je ne pensais pas que j'avais interpelé un mur, les gens ne savent-ils pas sourire? Après avoir sorti une cigarette de sa poche, il l'a porta à ses lèvres avant de l'allumer. Un nuage de fumée s'échappa de ses orifices et vint se poser légèrement sur mon visage. Mon nez, un peu trop sensible à ce genre d'odeurs me fît défaut, je me mis à tousser et éternuer subitement. J'agitais énergiquement la main devant moi pour dissiper la fumer et prendre une bonne bouffée d'air frais.
Il faut dire que je n'aimais pas les odeurs de fumées depuis que j'avais ce pouvoir disons que je ne les supportaient plus, mon odorat était devenu très sensible. Je me souviens que quand j'étais encore chez mes Grands Parents, papy avait dû arrêter de fumer la pipe par ma faute. Lui qui adorait sa vieille pipe en bois a du se résilier à ne plus l'utiliser en ma présence, et encore, même si il fumait a l'extérieur, l'odeur restait sur ses vêtements et j'étais souvent prise d'une quinte de toux sèche.
"Oui je suis de l'Académie. Raclaw Leonheart élève saphir. Et pour les coins sympa bas dison que je viens d'arriver mais je peux regarder sur mon téléphone. Par contre il faudrait que tu me dises quell genre de lieux t'intéresse sinon je pourrais rien faire pour toi."
Il avait dit ça calmement, mais il n'y avait pas vraiment de sympathie dans sa voix. Pour un saphir je trouvais qu'il était assez froid, peut être n'aimait-il pas la compagnie des gens ? Un solitaire peut-être ? Je ne sais pas vraiment, en tout cas j'avais la fâcheuse impression de l'avoir dérangé. Et il semble que je sois vraiment tombée sur un mur aujourd'hui, je ferais mieux de lui demander quelques indications et de le laisser tranquille je ne me voyais pas faire la conversation à un bloc de marbre qui en plus risquais de m'asphyxier avec son tabac. Restait à décider où je pouvais bien aller, j'aurais bien aimé me trouver un maillot de bain ou encore des vêtements, de la crème solaire ce genre de choses...
C'est vrai que me faire accompagner par un mec pour ce genre de choses n'était pas une très bonne idée après tout. Déjà que je n'avais pas suivis la règle numéro 1 de grand-mère : Ne parle pas aux inconnus dans la rue.
Je n'allais pas non plus me balader avec un parfait inconnu dans les magasins. D'ailleurs! Je pourrais bien essayer de trouver des souvenirs pour grand-mère et grand-père. Il me faudrait un magasin de souvenirs pour ça, mais j'ai beau réfléchir je ne voyais pas vraiment quel cadeau offrir à mes parents. J'eus à peine le temps de rentrer en plein dans ma réflexion que j'entendis une voix à proximité de nous.
"Excusez moi...je veux pas vous déranger, mais là vous dérangez un peu mon passage si vous voyez où je veux en venir, sans offense."
Il s'agissait d'un jeune homme, de petite taille à l'air palisson, il portait un sac à dos. Je distinguais à peine son visage, car il était caché avec une capuche, seule une partie de sa chevelure dépassait. Il semblait être vraiment jeune, il était plus petit que moi, peut être avait-il entre 10 et 15 ans. Raclaw, céda le passage à l'enfant après l'avoir regardé un instant et dit d'une voix neutre :
"Vas y et reprend le tien de passage."
Les hommes ont-ils tous cette fâcheuse habitude de se parler comme ça? Ou ce petit garçon avait énervé mon ami le marbre? Aucune idée, ont dit que les femmes sont compliquées mais les hommes sont parfois bien difficiles aussi. Je me poussais légèrement sur le côté observant un peu plus en détails le jeune homme, ne l'avais-je pas déjà vu de loin à l'académie? Il semblait un peu bizarre, je ne sais pas, comme si il était malade. Je me penchais légèrement en avant pour regarder son visage.
"Dis-moi petit tu es sûr que tu vas bien? Tu as l'air tout pâle. Tu ne devrais pas sortir par une chaleur pareille, surtout habillée comme ça si tu as la santé fragile tu pourrais faire un malaise."
Je le regardais avec compassion et en lui souriant, en espérant qu'il ne le prenne pas mal tout de même, je sais que les enfants sont teigneux quand ils sont aussi jeune qu'il en a l'air. En l'analysant un peu plus je pouvais voir des bandelettes dépasser de ses manches, s'était-il blessé? Peut-être qu'il avait besoin d'aide. Je ne connaissais pas ce jeune homme, et il ne me connaissait pas non plus, mais son air malade me faisait un peu de peine. Et grand-mère m'avait apprit que si j'en avais la possibilité, que je devais toujours apporter mon aide, était-ce vraiment nécessaire pour le coup ? Je ne sais pas vraiment, mais après tout, pourquoi pas! Je m'étais penchée un peu vers l'avant pour me mettre à sa hauteur et je lui souriais
"Dis-moi? Tu es perdu où tu cherches quelque chose peut-être? Disons que moi même je suis un peu perdue dans cette grande ville, j'aimerai bien trouver un magasin de souvenirs, c'est pour ma famille. Je suis désolée de m'imposer comme cela je sais que l'on ne se connaît pas, mais ne voudrais-tu pas que je t'accompagne quelque part? À vrai dire, vu ton air palisson et les bandages que tu as sur les bras je culpabiliserai de te laisser te balader seul."
J'avais posé un doigt au niveau de son poignet pour lui montrer le bandage qui dépassait, j'avais d'ailleurs presque oublié Raclaw qui attendait probablement que je lui demande des indications, je tournais légèrement la tête vers lui l'air un peu gênée.
"Désolée j'avais oublié, mais pourrais-tu s'il te plait essayer de trouver un magasin de souvenirs pas très loin d'ici ? Je te remercie d'avance pour ton aide."
Il faut dire que pour le coup je m'étais montrée très envahissante et entreprenante envers le jeune homme, mais après tout ça ne partait pas d'une mauvaise intention. Peut être qu'il était réellement comme je le pensais un élève de l'académie ou peut être pas, peu importe, si je pouvais l'aider autant le faire, si il ne souhaitait pas mon aide tant pis. Mais je dois dire que son air fragile ne me laissais pas indifférente.
Il faut dire que je n'aimais pas les odeurs de fumées depuis que j'avais ce pouvoir disons que je ne les supportaient plus, mon odorat était devenu très sensible. Je me souviens que quand j'étais encore chez mes Grands Parents, papy avait dû arrêter de fumer la pipe par ma faute. Lui qui adorait sa vieille pipe en bois a du se résilier à ne plus l'utiliser en ma présence, et encore, même si il fumait a l'extérieur, l'odeur restait sur ses vêtements et j'étais souvent prise d'une quinte de toux sèche.
"Oui je suis de l'Académie. Raclaw Leonheart élève saphir. Et pour les coins sympa bas dison que je viens d'arriver mais je peux regarder sur mon téléphone. Par contre il faudrait que tu me dises quell genre de lieux t'intéresse sinon je pourrais rien faire pour toi."
Il avait dit ça calmement, mais il n'y avait pas vraiment de sympathie dans sa voix. Pour un saphir je trouvais qu'il était assez froid, peut être n'aimait-il pas la compagnie des gens ? Un solitaire peut-être ? Je ne sais pas vraiment, en tout cas j'avais la fâcheuse impression de l'avoir dérangé. Et il semble que je sois vraiment tombée sur un mur aujourd'hui, je ferais mieux de lui demander quelques indications et de le laisser tranquille je ne me voyais pas faire la conversation à un bloc de marbre qui en plus risquais de m'asphyxier avec son tabac. Restait à décider où je pouvais bien aller, j'aurais bien aimé me trouver un maillot de bain ou encore des vêtements, de la crème solaire ce genre de choses...
C'est vrai que me faire accompagner par un mec pour ce genre de choses n'était pas une très bonne idée après tout. Déjà que je n'avais pas suivis la règle numéro 1 de grand-mère : Ne parle pas aux inconnus dans la rue.
Je n'allais pas non plus me balader avec un parfait inconnu dans les magasins. D'ailleurs! Je pourrais bien essayer de trouver des souvenirs pour grand-mère et grand-père. Il me faudrait un magasin de souvenirs pour ça, mais j'ai beau réfléchir je ne voyais pas vraiment quel cadeau offrir à mes parents. J'eus à peine le temps de rentrer en plein dans ma réflexion que j'entendis une voix à proximité de nous.
"Excusez moi...je veux pas vous déranger, mais là vous dérangez un peu mon passage si vous voyez où je veux en venir, sans offense."
Il s'agissait d'un jeune homme, de petite taille à l'air palisson, il portait un sac à dos. Je distinguais à peine son visage, car il était caché avec une capuche, seule une partie de sa chevelure dépassait. Il semblait être vraiment jeune, il était plus petit que moi, peut être avait-il entre 10 et 15 ans. Raclaw, céda le passage à l'enfant après l'avoir regardé un instant et dit d'une voix neutre :
"Vas y et reprend le tien de passage."
Les hommes ont-ils tous cette fâcheuse habitude de se parler comme ça? Ou ce petit garçon avait énervé mon ami le marbre? Aucune idée, ont dit que les femmes sont compliquées mais les hommes sont parfois bien difficiles aussi. Je me poussais légèrement sur le côté observant un peu plus en détails le jeune homme, ne l'avais-je pas déjà vu de loin à l'académie? Il semblait un peu bizarre, je ne sais pas, comme si il était malade. Je me penchais légèrement en avant pour regarder son visage.
"Dis-moi petit tu es sûr que tu vas bien? Tu as l'air tout pâle. Tu ne devrais pas sortir par une chaleur pareille, surtout habillée comme ça si tu as la santé fragile tu pourrais faire un malaise."
Je le regardais avec compassion et en lui souriant, en espérant qu'il ne le prenne pas mal tout de même, je sais que les enfants sont teigneux quand ils sont aussi jeune qu'il en a l'air. En l'analysant un peu plus je pouvais voir des bandelettes dépasser de ses manches, s'était-il blessé? Peut-être qu'il avait besoin d'aide. Je ne connaissais pas ce jeune homme, et il ne me connaissait pas non plus, mais son air malade me faisait un peu de peine. Et grand-mère m'avait apprit que si j'en avais la possibilité, que je devais toujours apporter mon aide, était-ce vraiment nécessaire pour le coup ? Je ne sais pas vraiment, mais après tout, pourquoi pas! Je m'étais penchée un peu vers l'avant pour me mettre à sa hauteur et je lui souriais
"Dis-moi? Tu es perdu où tu cherches quelque chose peut-être? Disons que moi même je suis un peu perdue dans cette grande ville, j'aimerai bien trouver un magasin de souvenirs, c'est pour ma famille. Je suis désolée de m'imposer comme cela je sais que l'on ne se connaît pas, mais ne voudrais-tu pas que je t'accompagne quelque part? À vrai dire, vu ton air palisson et les bandages que tu as sur les bras je culpabiliserai de te laisser te balader seul."
J'avais posé un doigt au niveau de son poignet pour lui montrer le bandage qui dépassait, j'avais d'ailleurs presque oublié Raclaw qui attendait probablement que je lui demande des indications, je tournais légèrement la tête vers lui l'air un peu gênée.
"Désolée j'avais oublié, mais pourrais-tu s'il te plait essayer de trouver un magasin de souvenirs pas très loin d'ici ? Je te remercie d'avance pour ton aide."
Il faut dire que pour le coup je m'étais montrée très envahissante et entreprenante envers le jeune homme, mais après tout ça ne partait pas d'une mauvaise intention. Peut être qu'il était réellement comme je le pensais un élève de l'académie ou peut être pas, peu importe, si je pouvais l'aider autant le faire, si il ne souhaitait pas mon aide tant pis. Mais je dois dire que son air fragile ne me laissais pas indifférente.
Re: Enfin une grande ville (libre)
« Merci. »
Réponse simple, courte, efficace, et si quelqu'un ose dire que je suis très social, c'est qu'il n'a pas les yeux en face des trous. et lui non plus semblait pas vouloir interagir avec quelqu'un, tant mieux, il avait eu le mérite d'être rapide et concis. C'est tellement rare de nos jours...c'est vrai quoi ! Avec les adultes qui te forcent carrément à leur lécher les bottes pour que finalement tu prennes une autre route, tomber sur des gars comme ça, c'est vachement pratique, ça me ferait presque plaisir. Presque parce que c'est pas grand chose non plus, et puis, la politesse n'a jamais tué personne, ça, c'est bien un truc que tout le monde dans ma famille prêche sans vraiment respecter mais qu'on utilise toujours dans les cas où la personne n'a strictement rien fait, aucun de nous n'est mesquin aux dernières nouvelles après tout. Du coup, je suis assez content, je vais pouvoir foncer acheter mes souvenirs pour ma famille, les emballer joliment, et écrire une lettre à ma sœur pour qu'elle transmette tout ça à son père et Seïa-onii-chan. D'ailleurs c'est dommage qu'on soit partis, car je vais pas pouvoir recevoir ses réponses que j'attends avec impatience. Je suppose que je n'ai pas d'autre choix que d'attendre notre retour à l'Académie pour lire ce qu'elle m'aura envoyé, j'ai déjà hâte. En tout cas, moi, je vais foncer, car plus vite c'est fait...plus vite c'est plus à faire. C'est un ami de ma sœur qui disait ça, que pour économiser l'énergie, il fallait faire ce qu'on avait à faire vite, et ne pas faire ce qu'on était pas obligé de faire. Il avait totalement raison sur ce coup là, c'était d'ailleurs un conseil vraiment utile. Mais ça, c'est quand vous n'avez pas un facteur imprévu qui se pointe dans vos plans. En l'occurrence ce n'est pas un imprévu mais une imprévue puisqu'il s'agit de la fille aux cotés du gars qui me laissait passé, chose pour laquelle elle ne devait pas vouloir.
Super, une fille qui va encore me gaver avec ses leçons de politesse ? Même pas. Mais ce qu'elle fait est encore pire vu que madame trouve très drôle de jouer à la maman poule...sachant que si je n'en ai jamais eu de mère ce n'est certainement pas pour en avoir de suite, je suis très bien comme ça ! Je lui jetai un regard à travers ma capuche et mes cheveux, sans réelle conviction, juste avec un grand scepticisme, pour la voir toute souriante et dégoulinante de cette niaise émotion qu'est la compassion. Super, je ne savais pas que j'étais un pauvre gamin en détresse qu'il fallait obligatoirement prendre sous son aile...bon, en tant que benjamin de ma fratrie je devrai être habitué avec mon grand frère mais ce n'est pas une raison ! Quoiqu'il en soit, elle me gave, elle m'énerve et tous les synonymes tant que j'y suis ! Je suis seul depuis suffisamment longtemps pour ne pas avoir besoin d'aide, surtout venant de quelqu'un qui s'est paumée au point de demander de l'aide, et n'a même pas eu la présence d'esprit d'acheter une carte de l'endroit. Mais ce n'était pas sorcier, avec toutes les boutiques qu'il y a, c'est facile d'en avoir une ! Mais j'y pense...elle est pas de l'Académie celle-là ? Qu'importe, ce qui est important là, c'est qu'elle me plaît pas et qu'il va falloir que je m'en aille très vite sinon elle va pas me lâcher et dans ce cas je risque de m'énerver, et il fait un peu trop chaud pour ça, soyons d'accord. Et déjà elle se penche, comme pour me rappeler combien je suis ridiculement petit, merci, j'avais vraiment besoin de savoir ce fait que j'assume à peine...ayez un grand frère de presque un mètre quatre-vingt-dix et on en reparle ! Soit, j'ai pas trop d'autre choix que d'écouter ce qu'elle va me dire, même si je sais que déjà, ça ne va pas me plaire, et je suis persuadé que la suite me donnera raison tant c'est prévisible.
Effectivement, elle commence très mal avec le "petit" qui chez moi ressemble à une insulte véritable, j'ai déjà dit que je détestais quand on me faisait remarquer que j'étais pas bien grand ? Je crois que je l'ai pas dit assez fort alors. Mais ce n'est pas tout, à ça se rajoute le fait que j'ai pas l'air bien. Désolé mais ça, c'est mon air du quotidien, va falloir t'y faire, et la petite recommandation que j'envoie de l'autre coté de la planète, d'autant plus que j'ai plutôt une bonne santé. Je peux me vanter de n'être tombé quasiment jamais malade en treize ans d'existence et en plus, je fais ce que je veux, je ne crois pas que quelqu'un ici, est membre de ma famille et a par conséquent une quelconque autorité parentale ! Non mais un malaise et puis quoi encore ? Une crise cardiaque tant qu'on y est ? Qu'on soit clair, je suis petit certes, j'ai des os fragiles qui ont été cassé plusieurs fois par des prétendus camarades par le passé certes, mon alimentation presque exclusivement composée de sucreries et mes nuits blanches qui sont devenues habituelles ne contribuent absolument pas à faire de moi un gars musclé certes, mais je ne suis pas un truc fragile en porcelaine bon sang !! J'arrive à tenir sur mes jambes, je marche droit, je n'ai rien qui montre que je vais pas bien, alors elle est bien gentille, mais si elle pouvait arrêter de m'infantiliser...oui bon je suis encore un enfant mais bon, là j'ai l'impressions d'être le bébé qu'on a abandonné à la naissance, je parle en connaissance de cause, mais bref, si elle arrêtait de m'imaginer comme un truc pire que fragile, ce serait sympa de sa part. Et déjà, je me raidis, signe que je suis en colère et je crois pas que je vais le cacher bien longtemps, j'ai jamais été doué pour ça, ni pour mentir d'ailleurs, ce qui a souvent pas mal d'inconvénients mais en tant que pratiquant de l'honnêteté radicale, c'est surtout mieux si je suis comme ça.
Mais là, je crois qu'elle s'enfonce. Non mais elle se mêle de quoi celle-là, à croire que je suis perdu ? Ohé ! J'ai une carte de l'endroit moi ! Et je sais suffisamment bien lire les cartes, en tant qu'initié à l'astronomie, pour être sûr de pas me perdre ! Et si elle a le même but que moi, qu'elle aille voir ailleurs ! Alors certes, je respecte le fait qu'elle veuille faire plaisir à sa famille, je veux faire pareil et puis la famille c'est super important, mais par pitié ne viens pas me coller, ça devient très suspect là, j'ai pas confiance ! Et puis bien évidemment...il a fallu que je me fasse remarquer comme le dernier des bleus avec mes bandages qu'elle juge utile de me signaler. Sans blague ! Je les avais pas vus alors que c'est moi qui les ai appliqués ?! Mais elle sort d'où celle là ?! Et puis c'est pas ses affaires que je sache, de quoi elle se soucie ?! Là, je crois que trop c'est trop, en premier lieu, elle me fait passer pour plus gamin que ce que je ne suis déjà, et en plus, elle met son nez dans des trucs qui ne la regardent absolument pas ?! Quand je disais que ce qu'elle avait à dire n'allait pas me plaire, j'avais parfaitement raison ! Ce qu'elle dit m'énerve plus qu'autre chose, et déjà, à l'instant même où elle mit son doigt sur mon bandage, je reculai fortement, hors de question qu'elle me touche ! Cette fois, elle avait poussé le bouchon suffisamment loin et même trop, et si vous rajouter ses derniers mots presque larmoyants, il est plus que possible de comprendre pourquoi je plate mon regard dans le sien en lui faisant bien comprendre que non, là, je n'en veux pas de sa compagnie ! Et c'est aussi pour ça que mon honnêteté radicale citée précédemment va se faire un plaisir de se manifester pour bien lui faire comprendre ma façon de penser à cette fille un peu trop envahisseuse. Parce que si elle est désolée de s'imposer, qu'elle ne le fasse pas point barre !
« De un : j'ai treize ans alors j'ai le temps pour grandir donc pas de "petit" qui tienne ! dis-je en me mettant sur la pointe des pieds en bougeant les bras dans tous les sens, De deux je ne suis pas en sucre, alors tes remarques t'es bien gentille mais tu te les gardes et enfin tu te mêles SURTOUT PAS de ce qui te regarde pas, merci, je sais me débrouiller ! » Finis-je en me remettant sur mes jambes, croisant les bras, soupirant, prêt à repartir. Mais quelle plaie que cette fille là !
Réponse simple, courte, efficace, et si quelqu'un ose dire que je suis très social, c'est qu'il n'a pas les yeux en face des trous. et lui non plus semblait pas vouloir interagir avec quelqu'un, tant mieux, il avait eu le mérite d'être rapide et concis. C'est tellement rare de nos jours...c'est vrai quoi ! Avec les adultes qui te forcent carrément à leur lécher les bottes pour que finalement tu prennes une autre route, tomber sur des gars comme ça, c'est vachement pratique, ça me ferait presque plaisir. Presque parce que c'est pas grand chose non plus, et puis, la politesse n'a jamais tué personne, ça, c'est bien un truc que tout le monde dans ma famille prêche sans vraiment respecter mais qu'on utilise toujours dans les cas où la personne n'a strictement rien fait, aucun de nous n'est mesquin aux dernières nouvelles après tout. Du coup, je suis assez content, je vais pouvoir foncer acheter mes souvenirs pour ma famille, les emballer joliment, et écrire une lettre à ma sœur pour qu'elle transmette tout ça à son père et Seïa-onii-chan. D'ailleurs c'est dommage qu'on soit partis, car je vais pas pouvoir recevoir ses réponses que j'attends avec impatience. Je suppose que je n'ai pas d'autre choix que d'attendre notre retour à l'Académie pour lire ce qu'elle m'aura envoyé, j'ai déjà hâte. En tout cas, moi, je vais foncer, car plus vite c'est fait...plus vite c'est plus à faire. C'est un ami de ma sœur qui disait ça, que pour économiser l'énergie, il fallait faire ce qu'on avait à faire vite, et ne pas faire ce qu'on était pas obligé de faire. Il avait totalement raison sur ce coup là, c'était d'ailleurs un conseil vraiment utile. Mais ça, c'est quand vous n'avez pas un facteur imprévu qui se pointe dans vos plans. En l'occurrence ce n'est pas un imprévu mais une imprévue puisqu'il s'agit de la fille aux cotés du gars qui me laissait passé, chose pour laquelle elle ne devait pas vouloir.
Super, une fille qui va encore me gaver avec ses leçons de politesse ? Même pas. Mais ce qu'elle fait est encore pire vu que madame trouve très drôle de jouer à la maman poule...sachant que si je n'en ai jamais eu de mère ce n'est certainement pas pour en avoir de suite, je suis très bien comme ça ! Je lui jetai un regard à travers ma capuche et mes cheveux, sans réelle conviction, juste avec un grand scepticisme, pour la voir toute souriante et dégoulinante de cette niaise émotion qu'est la compassion. Super, je ne savais pas que j'étais un pauvre gamin en détresse qu'il fallait obligatoirement prendre sous son aile...bon, en tant que benjamin de ma fratrie je devrai être habitué avec mon grand frère mais ce n'est pas une raison ! Quoiqu'il en soit, elle me gave, elle m'énerve et tous les synonymes tant que j'y suis ! Je suis seul depuis suffisamment longtemps pour ne pas avoir besoin d'aide, surtout venant de quelqu'un qui s'est paumée au point de demander de l'aide, et n'a même pas eu la présence d'esprit d'acheter une carte de l'endroit. Mais ce n'était pas sorcier, avec toutes les boutiques qu'il y a, c'est facile d'en avoir une ! Mais j'y pense...elle est pas de l'Académie celle-là ? Qu'importe, ce qui est important là, c'est qu'elle me plaît pas et qu'il va falloir que je m'en aille très vite sinon elle va pas me lâcher et dans ce cas je risque de m'énerver, et il fait un peu trop chaud pour ça, soyons d'accord. Et déjà elle se penche, comme pour me rappeler combien je suis ridiculement petit, merci, j'avais vraiment besoin de savoir ce fait que j'assume à peine...ayez un grand frère de presque un mètre quatre-vingt-dix et on en reparle ! Soit, j'ai pas trop d'autre choix que d'écouter ce qu'elle va me dire, même si je sais que déjà, ça ne va pas me plaire, et je suis persuadé que la suite me donnera raison tant c'est prévisible.
Effectivement, elle commence très mal avec le "petit" qui chez moi ressemble à une insulte véritable, j'ai déjà dit que je détestais quand on me faisait remarquer que j'étais pas bien grand ? Je crois que je l'ai pas dit assez fort alors. Mais ce n'est pas tout, à ça se rajoute le fait que j'ai pas l'air bien. Désolé mais ça, c'est mon air du quotidien, va falloir t'y faire, et la petite recommandation que j'envoie de l'autre coté de la planète, d'autant plus que j'ai plutôt une bonne santé. Je peux me vanter de n'être tombé quasiment jamais malade en treize ans d'existence et en plus, je fais ce que je veux, je ne crois pas que quelqu'un ici, est membre de ma famille et a par conséquent une quelconque autorité parentale ! Non mais un malaise et puis quoi encore ? Une crise cardiaque tant qu'on y est ? Qu'on soit clair, je suis petit certes, j'ai des os fragiles qui ont été cassé plusieurs fois par des prétendus camarades par le passé certes, mon alimentation presque exclusivement composée de sucreries et mes nuits blanches qui sont devenues habituelles ne contribuent absolument pas à faire de moi un gars musclé certes, mais je ne suis pas un truc fragile en porcelaine bon sang !! J'arrive à tenir sur mes jambes, je marche droit, je n'ai rien qui montre que je vais pas bien, alors elle est bien gentille, mais si elle pouvait arrêter de m'infantiliser...oui bon je suis encore un enfant mais bon, là j'ai l'impressions d'être le bébé qu'on a abandonné à la naissance, je parle en connaissance de cause, mais bref, si elle arrêtait de m'imaginer comme un truc pire que fragile, ce serait sympa de sa part. Et déjà, je me raidis, signe que je suis en colère et je crois pas que je vais le cacher bien longtemps, j'ai jamais été doué pour ça, ni pour mentir d'ailleurs, ce qui a souvent pas mal d'inconvénients mais en tant que pratiquant de l'honnêteté radicale, c'est surtout mieux si je suis comme ça.
Mais là, je crois qu'elle s'enfonce. Non mais elle se mêle de quoi celle-là, à croire que je suis perdu ? Ohé ! J'ai une carte de l'endroit moi ! Et je sais suffisamment bien lire les cartes, en tant qu'initié à l'astronomie, pour être sûr de pas me perdre ! Et si elle a le même but que moi, qu'elle aille voir ailleurs ! Alors certes, je respecte le fait qu'elle veuille faire plaisir à sa famille, je veux faire pareil et puis la famille c'est super important, mais par pitié ne viens pas me coller, ça devient très suspect là, j'ai pas confiance ! Et puis bien évidemment...il a fallu que je me fasse remarquer comme le dernier des bleus avec mes bandages qu'elle juge utile de me signaler. Sans blague ! Je les avais pas vus alors que c'est moi qui les ai appliqués ?! Mais elle sort d'où celle là ?! Et puis c'est pas ses affaires que je sache, de quoi elle se soucie ?! Là, je crois que trop c'est trop, en premier lieu, elle me fait passer pour plus gamin que ce que je ne suis déjà, et en plus, elle met son nez dans des trucs qui ne la regardent absolument pas ?! Quand je disais que ce qu'elle avait à dire n'allait pas me plaire, j'avais parfaitement raison ! Ce qu'elle dit m'énerve plus qu'autre chose, et déjà, à l'instant même où elle mit son doigt sur mon bandage, je reculai fortement, hors de question qu'elle me touche ! Cette fois, elle avait poussé le bouchon suffisamment loin et même trop, et si vous rajouter ses derniers mots presque larmoyants, il est plus que possible de comprendre pourquoi je plate mon regard dans le sien en lui faisant bien comprendre que non, là, je n'en veux pas de sa compagnie ! Et c'est aussi pour ça que mon honnêteté radicale citée précédemment va se faire un plaisir de se manifester pour bien lui faire comprendre ma façon de penser à cette fille un peu trop envahisseuse. Parce que si elle est désolée de s'imposer, qu'elle ne le fasse pas point barre !
« De un : j'ai treize ans alors j'ai le temps pour grandir donc pas de "petit" qui tienne ! dis-je en me mettant sur la pointe des pieds en bougeant les bras dans tous les sens, De deux je ne suis pas en sucre, alors tes remarques t'es bien gentille mais tu te les gardes et enfin tu te mêles SURTOUT PAS de ce qui te regarde pas, merci, je sais me débrouiller ! » Finis-je en me remettant sur mes jambes, croisant les bras, soupirant, prêt à repartir. Mais quelle plaie que cette fille là !
Re: Enfin une grande ville (libre)
Raclaw s'attendait à une réaction de la part du jeune homme mais non il se contenta de ne rien dire. Du coup Raclaw pensait que tout se passerait bien et que la journée et cette rencontre se déroulerait sans incident mais c'était bien sur sans compter sur la jeune fille qui lui avait demandé des infos. Cette dernière d'après ce qu'il vit juste après devait être une émeraude de part sa nature gentille et attentionnée. Mais le garçon en face d'elle ne semblait ne pas super bien prendre ses propos en tout cas Raclaw lui les aurait pas super bien pris.
Elle lui paraît comme à un enfant t de 4ans donc forcément il ne fallait pas s'attendre à une réaction juste et simple de sa part. Et ce fut le cas. Il commença à grogner sur elle et à e primer son mécontentement avec des mots particulièrement bien choisi. Raclaw jugea préférable lors d'intervenir pour ne pas Qu'il y ait de problème. Il s'approcha doucement la cigarette toujours au coin des lèvres et posa sa main sur l'épaule de la jeune fille en lui disant doucement et avec tact.
-Ma chere je sais par expérience que si un jeune homme ne répond pas alors qu'on lui fait ce genre de discours et qui attend la fin avant de répondre de cette manière. Il ne peut pas être considéré comme un enfant mais plus comme un adulte de plus il semble qu'il ne veuille pas parler de ce qu'il a ou de ce qu'il fait donc je Suggère de le laisser I il veut parler il le fera en temps voulu avec la personne de son choix.
Raclaw se remit droit et conclut.
-sinon il y a un magasin de souvenirs à deux rues d'ici.
Elle lui paraît comme à un enfant t de 4ans donc forcément il ne fallait pas s'attendre à une réaction juste et simple de sa part. Et ce fut le cas. Il commença à grogner sur elle et à e primer son mécontentement avec des mots particulièrement bien choisi. Raclaw jugea préférable lors d'intervenir pour ne pas Qu'il y ait de problème. Il s'approcha doucement la cigarette toujours au coin des lèvres et posa sa main sur l'épaule de la jeune fille en lui disant doucement et avec tact.
-Ma chere je sais par expérience que si un jeune homme ne répond pas alors qu'on lui fait ce genre de discours et qui attend la fin avant de répondre de cette manière. Il ne peut pas être considéré comme un enfant mais plus comme un adulte de plus il semble qu'il ne veuille pas parler de ce qu'il a ou de ce qu'il fait donc je Suggère de le laisser I il veut parler il le fera en temps voulu avec la personne de son choix.
Raclaw se remit droit et conclut.
-sinon il y a un magasin de souvenirs à deux rues d'ici.
Re: Enfin une grande ville (libre)
Alors que j'avais montré une certaine compassion et de l'intérêt sur ce jeune homme. Il monta sur ses grands chevaux, afin de me montrer qu'il était un grand garçon. Alors qu'il faisait gesticuler ses bras dans tous les sens, il m'exprimait clairement son mécontentement.
"De un : j'ai treize ans alors j'ai le temps pour grandir donc pas de "petit" qui tienne ! De deux je ne suis pas en sucre, alors tes remarques t'es bien gentille mais tu te les gardes et enfin tu te mêles SURTOUT PAS de ce qui te regarde pas, merci, je sais me débrouiller !"
Maintenant il faisait la moue les bras croisés sur son torse. Eh bien quel caractère, sa façon de gesticuler dans tous les sens rendait la chose plus amusante qu'énervante en fait. Je ne souhaitais pas me mêler de sa vie, loin de là je souhaitais seulement l'aider, et encore moins le rabaisser ou quoi que ce soit d'autre. Je soupirais en baissant la tête un peu déçue qu'il refuse l'aide que je lui avais gentiment proposé. C'est vrai que j'avais été un peu envahissante mais c'est dans ma nature après tout.
"Ma chere je sais par expérience que si un jeune homme ne répond pas alors qu'on lui fait ce genre de discours et qui attend la fin avant de répondre de cette manière. Il ne peut pas être considéré comme un enfant mais plus comme un adulte de plus il semble qu'il ne veuille pas parler de ce qu'il a ou de ce qu'il fait donc je Suggère de le laisser I il veut parler il le fera en temps voulu avec la personne de son choix."
Raclaw avait posé la main sur mon épaule et s'était incliné vers moi. Il avait parlé avec délicatesse et avec minutie. Il souhaitait sûrement calmer le jeu, afin qu'il n'y ai pas de soucis ou de quelconque dispute. Il faut dire qu'il avait raison en tout cas.
Vu son âge ce n'était pas très malin de ma part de le considérer comme un enfant, mais il n'avait pas l'air très bien donc par réflexe je me suis comportée comme une mère poule.
"Je-je suis désolée je ne voulais pas que tu te sentes rabaissé ou quoi, je voulais simplement t'aider. Je te présente mes excuses ta réaction était probablement normale, c'est vrai que tu es un grand garçon vu ton âge mais ton air fragile m'a un peu attendrit je dois dire. J'ai cru aussi qu'avec ces bandages tu devais sortir de l'hôpital ou que tu avais eu un accident, donc je me suis simplement inquiétée."
Je m'inclinais poliment en lui présentant à nouveau mes excuses. Je lui souriais par la suite en jouant nerveusement dans une mèche de mes cheveux. Il semblerai que tout le monde n'accepte pas d'être aidé pour le coup, j'aurais dû suivre la recommandation de grand mère et ne pas parler à un inconnu, même si c'était encore un enfant. Je n'aurais pas dû me mêler de se qui ne me regarde pas d'ailleurs.
Je me retournais vers Raclaw et le remerciais en lui gratifiant d'un sourire.
"Merci beaucoup Raclaw tu as bien raison, je veux bien que tu m'indiques le chemin pour le magasin de souvenirs par ailleurs. J'avoue que je n'ai pas été très maligne de ne pas prendre une carte pour pouvoir trouver ce genre de choses toute seule je n'aurais pas eu à te déranger pour ça."
Je riais nerveusement en regardant Raclaw. Tant pis pour ce jeune garçon, je me préoccupais plus du fait que je devais trouver un cadeau pour mes grands parents. J'espérais vraiment trouver quelque chose pour leur faire plaisir et surtout faire plaisir à grand-mère qui était malade.
"De un : j'ai treize ans alors j'ai le temps pour grandir donc pas de "petit" qui tienne ! De deux je ne suis pas en sucre, alors tes remarques t'es bien gentille mais tu te les gardes et enfin tu te mêles SURTOUT PAS de ce qui te regarde pas, merci, je sais me débrouiller !"
Maintenant il faisait la moue les bras croisés sur son torse. Eh bien quel caractère, sa façon de gesticuler dans tous les sens rendait la chose plus amusante qu'énervante en fait. Je ne souhaitais pas me mêler de sa vie, loin de là je souhaitais seulement l'aider, et encore moins le rabaisser ou quoi que ce soit d'autre. Je soupirais en baissant la tête un peu déçue qu'il refuse l'aide que je lui avais gentiment proposé. C'est vrai que j'avais été un peu envahissante mais c'est dans ma nature après tout.
"Ma chere je sais par expérience que si un jeune homme ne répond pas alors qu'on lui fait ce genre de discours et qui attend la fin avant de répondre de cette manière. Il ne peut pas être considéré comme un enfant mais plus comme un adulte de plus il semble qu'il ne veuille pas parler de ce qu'il a ou de ce qu'il fait donc je Suggère de le laisser I il veut parler il le fera en temps voulu avec la personne de son choix."
Raclaw avait posé la main sur mon épaule et s'était incliné vers moi. Il avait parlé avec délicatesse et avec minutie. Il souhaitait sûrement calmer le jeu, afin qu'il n'y ai pas de soucis ou de quelconque dispute. Il faut dire qu'il avait raison en tout cas.
Vu son âge ce n'était pas très malin de ma part de le considérer comme un enfant, mais il n'avait pas l'air très bien donc par réflexe je me suis comportée comme une mère poule.
"Je-je suis désolée je ne voulais pas que tu te sentes rabaissé ou quoi, je voulais simplement t'aider. Je te présente mes excuses ta réaction était probablement normale, c'est vrai que tu es un grand garçon vu ton âge mais ton air fragile m'a un peu attendrit je dois dire. J'ai cru aussi qu'avec ces bandages tu devais sortir de l'hôpital ou que tu avais eu un accident, donc je me suis simplement inquiétée."
Je m'inclinais poliment en lui présentant à nouveau mes excuses. Je lui souriais par la suite en jouant nerveusement dans une mèche de mes cheveux. Il semblerai que tout le monde n'accepte pas d'être aidé pour le coup, j'aurais dû suivre la recommandation de grand mère et ne pas parler à un inconnu, même si c'était encore un enfant. Je n'aurais pas dû me mêler de se qui ne me regarde pas d'ailleurs.
Je me retournais vers Raclaw et le remerciais en lui gratifiant d'un sourire.
"Merci beaucoup Raclaw tu as bien raison, je veux bien que tu m'indiques le chemin pour le magasin de souvenirs par ailleurs. J'avoue que je n'ai pas été très maligne de ne pas prendre une carte pour pouvoir trouver ce genre de choses toute seule je n'aurais pas eu à te déranger pour ça."
Je riais nerveusement en regardant Raclaw. Tant pis pour ce jeune garçon, je me préoccupais plus du fait que je devais trouver un cadeau pour mes grands parents. J'espérais vraiment trouver quelque chose pour leur faire plaisir et surtout faire plaisir à grand-mère qui était malade.
Re: Enfin une grande ville (libre)
N'empêche, j'avais bien craché mon venin à celle là, c'était bien fait pour elle, ça lui apprendra à me traiter comme plus gamin que ce que je ne suis ! Non mais oh il faut se calmer ! Les mères poules c'est pas pour moi et je crois que ça se voit. D'ailleurs je me demande comment ça se serait passé la vie de famille si j'avais eu une mère...surtout ce genre de mère, car même papa Satoshi n'était pas aussi...collant, pire, cette fille est encore pire que du mochi tellement elle faisait sa glu avec moi. Je m'excuse auprès du mochi de la comparaison, parce que oui, le mochi c'est tellement bon qu'il ne méritait pas ça, alors désolé petit mochi, je me ferai pardonner en en mangeant plein dès que possible ! Conclusion, je crois que si j'avais eu une mère, ça se serait mal passé, et puis j'ai une grande sœur, sa compense non ? Pour moi si, pas besoin d'une mère, je suis certain que je ne me serai pas entendu avec elle, alors peut être que la mienne a bien fait de m'abandonner, afin d'éviter des disputes trop explosives dans un futur hypothétique...je préfère quand même mes deux pères adoptifs, gentils, mais pas envahissants. Je vais finir par croire que pour certaines, c'est difficile de ne pas s'imposer dans la vie de plus jeune qu'eux, non parce que c'est pas la première fois que ça m'arrive, mais bordel, je suis un garçon doté d'un minimum d'indépendance faudrait que ça leur rentre dans leur crâne. Mais si c'est ancré dans le sien à elle, alors on dira que ça va, on va pas en demander trop. Alors j'espère qu'elle va jeter l'éponge avec moi, aller dans sa boutique de souvenirs et me laisser tranquille jusqu'à...longtemps. Mieux, si elle pouvait ne plus jamais venir me voir pour faire la mère poule, ce serait super, mais vraiment, j'aimerais beaucoup, merci d'avance. Mais ça, je ne peux pas savoir si elle va faire ça où me blâmer de mon langage même pas grossier du tout...
Plutôt ma façon de parler alors, mais je crois que si elle me fait le moindre reproche, ça s'améliorera pas, et elle va continuer à m'entendre, c'est moi qui le dis. Mais heureusement pour moi, le gars qui s'était poussé pour me laisser le passage vint à ma rescousse...c'est un grand mot, mais en gros, lui, il a compris que non je n'étais pas un bébé et que je savais me démerder, enfin un gars qui ne me demande pas si je me suis perdu ou si j'ai été séparé de mes parents. Il intervient sûrement pour éviter que ça n'aille plus loin, mais je vais pas lui en vouloir, il ferme le caquet de la fille alors je le laisse faire. Il me considère presque comme un grand ! Enfin quelqu'un d'un peu perspicace, et qui conseille ce que je demande : qu'on me foute la paix, car de un, c'est pas forcément compliqué à faire, dit celui qui venait toujours voir sa sœur pour dormir. Et de deux, je suis de très mauvaise compagnie pour les gens qui comme elle, aiment parler et poser des questions. Si ils veulent une réponse, il faut qu'ils envoient ma sœur me faire passer l'interrogatoire comme elle sait si bien le faire, chose qui ne me manque pas du tout ! En tout cas, voilà qu'elle s'excuse en me sortant des idées hypothétiques sur mes bandages complètement à coté de la plaque mais bon, je ne vais rien dire à ce sujet, surtout que là, ses excuses me gênent...et m'énervent aussi. Elle a pas compris que je détestais être associé à un truc fragile ! Je lui ai dit en plus ! Tant pis, tant pis, tant pis, au moins, elle a compris son erreur vis à vis de moi. Elle aurait pu s'entêter mais je suppose que bon, elle comprend vite si on lui explique longtemps, c'est mieux que rien je crois. Bon, j'ose imaginer que ça veut aussi dire que l'on va se séparer et ce n'est pas plus dérangeant que ça, j'ai déjà perdu pas mal de temps avec ça, arrêtons les frais.
« Je me suis juste emporté mais j'ai presque l'habitude qu'on me parle ainsi, dis-je assez bas en mettant une main sur ma nuque, c'est juste...énervant à force. »
C'était la vérité, elle a assumé ses boulettes, j'assume les miennes, c'est quelque chose que le père de ma sœur, et ma sœur elle même, m'a appris. L'un pour le respect, la bienséance et tout le bordel des ennuyeuses convenances, ce qui ne m'enchante pas trop. M'autre pour maîtriser l'art d'avoir la paix rapidement en toutes circonstances, ce qui est d'un coup plus intéressant et pratique. C'est pour ça que je suis un peu embarrassé de le faire, car j'ai une fierté. Oui ça ne se voit pas comme ça et pourtant elle est là alors un peu de respect ! Et puis, ça se voit quand même qu'elle voulait bien faire, elle me rappelle Seïa-onii-chan quand il est vraiment désolé...ce qui est rare car généralement il bluffe et c'est pas crédible pour un sou. Alors que là, elle voulait m'aider, pas de chance, elle est tombée sur moi, Hikaru Yuugure, l'un des gosses les moins causants, sympathiques et sociaux qui soit. Au moins, je sais ce que je suis ! Je l'assume, mais je suis trop bien comme ça pour chercher à me changer, j'en vois pas la raison. Sauf si je veux me faire avoir et courir pas mal de risques mais ça non merci, j'ai donné. Mais passons, là, je pense qu'elle est un peu obsédée par les bandages que j'ai, non, que ma veste a révélé par inadvertance alors je vais juste éluder sa question comme on m'a si bien appris à le faire, merci Mitsuki-onee-chan, et prendre congé d'eux, je n'ai plus rien à faire ici aux dernières nouvelles et visiblement, elle est plus intéressé par ce que l'autre lui dit désormais. Ce n'est pas plus mal, mais je ne recommanderai pas la boutique en question, il n'y avait rien d'intéressant et le gérant est aussi sympathique qu'une paire de menottes, je parle en sachant ce que c'est, j'ai un frère et un père dans la police. Après, c'est purement subjectif comme avis alors je vais voir ailleurs. Soit, le plan est bon, je m'incline respectueusement et parle.
« Et puis ça, repris-je en me référant à mes bandages, inutile de s'inquiéter, je gère. Sur ce, à bientôt. »
Et je les laissai lamentablement, pas tant que ça mais j'attends pas vraiment leurs réponses pour redresser les bretelles de mon sac à dos avant de m'en aller. C'est vrai qu'il faisait chaud. Raison de plus pour avoir envie d'enlever ma veste mais surtout raison de plus pour ne pas retirer ma capuche auquel cas j'ai bien peur que mes cheveux et donc mon crâne ne finissent en flammes. Je pris donc une vitesse un peu rapide, dans l'espoir d'en finir vite et de rentrer au plus vite et optionnellement trouver un endroit tranquille pour me baigner les jours suivants. On est à la mer, ce serait bête de ne pas en profiter, même si le bon vieux climat de ma région natale, Hokkaïdo me manque horriblement avec ses températures froides me manque, de même que les averses anglaises assez fréquentes histoire de baisser le thermomètre. C'était le bon vieux temps, ni trop chaud ni trop froid, une météo parfaite. Et là, je m'avance dans cette chaleur à l'ombre des immeubles à peine plus confortable que le plein soleil, mais c'est toujours ça de prix. Pour sûr, si on me propose des vacances à un autre endroit chaud, la prochaine fois, je prendrai soin de refuser, plus jamais le soleil, je crois que lui aussi devient mon ennemi. Mais c'est que je commence à me fâcher contre les astres moi ! Oui bon, juste le soleil mais on peut comprendre, ça tape super dur ce truc, et pourtant, c'est pas l'étoile la plus chaude de l'univers, au contraire, elle est tiède, mais elle est déjà trop chaude pour ma peau non habituée à cette météo trop belle. Si je ne me prends pas de la crème solaire, je suis sûr de revenir rouge écrevisse et à mon retour à la maison, personne ne me reconnaîtra. Même si ça serait un bon moyen pour avoir un peu moins l'air crevé. Voilà un nouveau truc sur ma liste d'achat, et je crois que je ferai mieux d'aller en acheter au plus vite, et avec ce temps, je crois que la protection cent-cinquante ne sera pas de trop !
Plutôt ma façon de parler alors, mais je crois que si elle me fait le moindre reproche, ça s'améliorera pas, et elle va continuer à m'entendre, c'est moi qui le dis. Mais heureusement pour moi, le gars qui s'était poussé pour me laisser le passage vint à ma rescousse...c'est un grand mot, mais en gros, lui, il a compris que non je n'étais pas un bébé et que je savais me démerder, enfin un gars qui ne me demande pas si je me suis perdu ou si j'ai été séparé de mes parents. Il intervient sûrement pour éviter que ça n'aille plus loin, mais je vais pas lui en vouloir, il ferme le caquet de la fille alors je le laisse faire. Il me considère presque comme un grand ! Enfin quelqu'un d'un peu perspicace, et qui conseille ce que je demande : qu'on me foute la paix, car de un, c'est pas forcément compliqué à faire, dit celui qui venait toujours voir sa sœur pour dormir. Et de deux, je suis de très mauvaise compagnie pour les gens qui comme elle, aiment parler et poser des questions. Si ils veulent une réponse, il faut qu'ils envoient ma sœur me faire passer l'interrogatoire comme elle sait si bien le faire, chose qui ne me manque pas du tout ! En tout cas, voilà qu'elle s'excuse en me sortant des idées hypothétiques sur mes bandages complètement à coté de la plaque mais bon, je ne vais rien dire à ce sujet, surtout que là, ses excuses me gênent...et m'énervent aussi. Elle a pas compris que je détestais être associé à un truc fragile ! Je lui ai dit en plus ! Tant pis, tant pis, tant pis, au moins, elle a compris son erreur vis à vis de moi. Elle aurait pu s'entêter mais je suppose que bon, elle comprend vite si on lui explique longtemps, c'est mieux que rien je crois. Bon, j'ose imaginer que ça veut aussi dire que l'on va se séparer et ce n'est pas plus dérangeant que ça, j'ai déjà perdu pas mal de temps avec ça, arrêtons les frais.
« Je me suis juste emporté mais j'ai presque l'habitude qu'on me parle ainsi, dis-je assez bas en mettant une main sur ma nuque, c'est juste...énervant à force. »
C'était la vérité, elle a assumé ses boulettes, j'assume les miennes, c'est quelque chose que le père de ma sœur, et ma sœur elle même, m'a appris. L'un pour le respect, la bienséance et tout le bordel des ennuyeuses convenances, ce qui ne m'enchante pas trop. M'autre pour maîtriser l'art d'avoir la paix rapidement en toutes circonstances, ce qui est d'un coup plus intéressant et pratique. C'est pour ça que je suis un peu embarrassé de le faire, car j'ai une fierté. Oui ça ne se voit pas comme ça et pourtant elle est là alors un peu de respect ! Et puis, ça se voit quand même qu'elle voulait bien faire, elle me rappelle Seïa-onii-chan quand il est vraiment désolé...ce qui est rare car généralement il bluffe et c'est pas crédible pour un sou. Alors que là, elle voulait m'aider, pas de chance, elle est tombée sur moi, Hikaru Yuugure, l'un des gosses les moins causants, sympathiques et sociaux qui soit. Au moins, je sais ce que je suis ! Je l'assume, mais je suis trop bien comme ça pour chercher à me changer, j'en vois pas la raison. Sauf si je veux me faire avoir et courir pas mal de risques mais ça non merci, j'ai donné. Mais passons, là, je pense qu'elle est un peu obsédée par les bandages que j'ai, non, que ma veste a révélé par inadvertance alors je vais juste éluder sa question comme on m'a si bien appris à le faire, merci Mitsuki-onee-chan, et prendre congé d'eux, je n'ai plus rien à faire ici aux dernières nouvelles et visiblement, elle est plus intéressé par ce que l'autre lui dit désormais. Ce n'est pas plus mal, mais je ne recommanderai pas la boutique en question, il n'y avait rien d'intéressant et le gérant est aussi sympathique qu'une paire de menottes, je parle en sachant ce que c'est, j'ai un frère et un père dans la police. Après, c'est purement subjectif comme avis alors je vais voir ailleurs. Soit, le plan est bon, je m'incline respectueusement et parle.
« Et puis ça, repris-je en me référant à mes bandages, inutile de s'inquiéter, je gère. Sur ce, à bientôt. »
Et je les laissai lamentablement, pas tant que ça mais j'attends pas vraiment leurs réponses pour redresser les bretelles de mon sac à dos avant de m'en aller. C'est vrai qu'il faisait chaud. Raison de plus pour avoir envie d'enlever ma veste mais surtout raison de plus pour ne pas retirer ma capuche auquel cas j'ai bien peur que mes cheveux et donc mon crâne ne finissent en flammes. Je pris donc une vitesse un peu rapide, dans l'espoir d'en finir vite et de rentrer au plus vite et optionnellement trouver un endroit tranquille pour me baigner les jours suivants. On est à la mer, ce serait bête de ne pas en profiter, même si le bon vieux climat de ma région natale, Hokkaïdo me manque horriblement avec ses températures froides me manque, de même que les averses anglaises assez fréquentes histoire de baisser le thermomètre. C'était le bon vieux temps, ni trop chaud ni trop froid, une météo parfaite. Et là, je m'avance dans cette chaleur à l'ombre des immeubles à peine plus confortable que le plein soleil, mais c'est toujours ça de prix. Pour sûr, si on me propose des vacances à un autre endroit chaud, la prochaine fois, je prendrai soin de refuser, plus jamais le soleil, je crois que lui aussi devient mon ennemi. Mais c'est que je commence à me fâcher contre les astres moi ! Oui bon, juste le soleil mais on peut comprendre, ça tape super dur ce truc, et pourtant, c'est pas l'étoile la plus chaude de l'univers, au contraire, elle est tiède, mais elle est déjà trop chaude pour ma peau non habituée à cette météo trop belle. Si je ne me prends pas de la crème solaire, je suis sûr de revenir rouge écrevisse et à mon retour à la maison, personne ne me reconnaîtra. Même si ça serait un bon moyen pour avoir un peu moins l'air crevé. Voilà un nouveau truc sur ma liste d'achat, et je crois que je ferai mieux d'aller en acheter au plus vite, et avec ce temps, je crois que la protection cent-cinquante ne sera pas de trop !
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