Toc, toc, toc? [Pv Ed']
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Toc, toc, toc? [Pv Ed']
Rentré. Enfin! Je n'avais jamais été aussi content de me retrouver dans cette chambre, à l'Académie. Quand j'étais dans cet état-là, je préférais nettement aller à l'auberge, quitte à devoir faire face aux sermons de Berth, la proprio et ma bienfaitrice depuis que j'étais enfant. Mais, cette fois, je m'étais traîné jusque mon nouveau logis. Je n'avais pas envie de traîner encore dans les rues. Pas après ce que je venais de subir. J'étais d'ailleurs encore dans un bel état! Je n'avais même pas encore réussis à guérir de mon dernier passage à tabac...
Fatigué, je m'étais affalé sur mon lit défait, un bras sur mes yeux fermés. Je devais me changer les idées. Je tentai donc de penser à ma petite-amie, mon demi-frère et les cours. Mais même en pensant à cela, je revenais sans cesse sur mes ennemis, leur volonté de me voir mort, mes orphelins en danger par ma faute, mon père qui voulait me voir assassiner quelqu'un... Rien de bon pour mon moral qui ne cessait de chuter. Cela ne présageait de bon. Je le savais. Pourtant je ne bougeai pas, continuant de ruminer.
Au bout d'un moment, j'étais vraiment énervé et prêt à taper. Je me mis donc face à un mur (celui qui me séparait de la chambre 3M) et commençai à le frapper de toutes mes forces. Il fut un moment où il s'ébranla et, au dernier coup dans lequel j'avais mis toute ma force, il céda. Bon, je m'étais aussi aidé d'une boule de lumière rouge noirâtre qui m'avait brûlée la main au passage. Le trou n'était pas assez grand pour que je vois son visage, mais je remarquai qu'une personne se trouvait dans la chambre d'à côté. Peu certain de ce que j'étais capable de faire, et parce que je ne voulais pas qu'un coup de folie de ma part me fasse le poursuivre pour tenter de le tuer, je me frappai le front avec autant de force que sur le mur. Quand une personne entra dans ma chambre - celle qui était de l'autre côté? - je saignais de la tête, mes mains étaient dans un état déplorable et ma respiration était sifflante. Quand allais-je parvenir à me contrôler?
Fatigué, je m'étais affalé sur mon lit défait, un bras sur mes yeux fermés. Je devais me changer les idées. Je tentai donc de penser à ma petite-amie, mon demi-frère et les cours. Mais même en pensant à cela, je revenais sans cesse sur mes ennemis, leur volonté de me voir mort, mes orphelins en danger par ma faute, mon père qui voulait me voir assassiner quelqu'un... Rien de bon pour mon moral qui ne cessait de chuter. Cela ne présageait de bon. Je le savais. Pourtant je ne bougeai pas, continuant de ruminer.
Au bout d'un moment, j'étais vraiment énervé et prêt à taper. Je me mis donc face à un mur (celui qui me séparait de la chambre 3M) et commençai à le frapper de toutes mes forces. Il fut un moment où il s'ébranla et, au dernier coup dans lequel j'avais mis toute ma force, il céda. Bon, je m'étais aussi aidé d'une boule de lumière rouge noirâtre qui m'avait brûlée la main au passage. Le trou n'était pas assez grand pour que je vois son visage, mais je remarquai qu'une personne se trouvait dans la chambre d'à côté. Peu certain de ce que j'étais capable de faire, et parce que je ne voulais pas qu'un coup de folie de ma part me fasse le poursuivre pour tenter de le tuer, je me frappai le front avec autant de force que sur le mur. Quand une personne entra dans ma chambre - celle qui était de l'autre côté? - je saignais de la tête, mes mains étaient dans un état déplorable et ma respiration était sifflante. Quand allais-je parvenir à me contrôler?
Re: Toc, toc, toc? [Pv Ed']
Toc toc toc
© ASHLING POUR LIBRE GRAPH'
Re: Toc, toc, toc? [Pv Ed']
« Mec qu’est-ce que tu… »
Le gars qui venait d'entrer dans ma chambre, visiblement en colère, ressortit avant même de finir sa phrase. J'en profitai pour me laisser tomber par terre, dos contre le mur. J'avais mal, mais je ne m'en plaignais pas. C'était bon signe : quand je ressentais la douleur cela signifiait que j'avais toute ma raison. A peine eus-je repris mon souffle que le jeune homme revint et posa un tee-shirt sur ma tête.
« Ça va vieux ? »
Il était aussi grand que moi. Ses cheveux bleus mi-longs et ses yeux vairons rouge et bleu attirent mon attention quelques instants. Puis, doucement, je me rendis compte de ce que j'avais fait. En tant que spectateur, cela m'aurait certainement bien amusé. Malheureusement, j'en étais la cause. Et celui qui m'aidait, s'il était en colère un peu plus tôt, c'était certainement à juste raison. D'ailleurs, comment avait-il fait pour se calmer d'un seul coup et totalement? Curieux, mais tout aussi honteux, je lui répondis enfin, la respiration toujours laborieuse malgré mes efforts pour le cacher :
- Ça va... Désolé, je n'arrivais pas à me calmer.
Je n'osais pas lui poser la question qui me harcelait. Ce n'était pas le bon moment. Je pris donc le tee-shirt et le pressai sur mon front douloureux. Mes mains l'était tout autant si ce n'était plus. Ces dernières étaient victimes de brûlures et des blessures à cause de mes coups contre le mur. J'allais me retrouver à l'infirmerie, à coup sûr. Ne le souhaitant pas, de ma main libre je sortis de la poche de mon pantalon des bandes qui avaient déjà servi pour les mêmes causes. Elles étaient donc, il fallait l'avouer, dans un état assez déplorable. Devant le regard inquisiteur du jeune homme en face de moi, je me justifiai :
- C'est pas la première fois...
Le gars qui venait d'entrer dans ma chambre, visiblement en colère, ressortit avant même de finir sa phrase. J'en profitai pour me laisser tomber par terre, dos contre le mur. J'avais mal, mais je ne m'en plaignais pas. C'était bon signe : quand je ressentais la douleur cela signifiait que j'avais toute ma raison. A peine eus-je repris mon souffle que le jeune homme revint et posa un tee-shirt sur ma tête.
« Ça va vieux ? »
Il était aussi grand que moi. Ses cheveux bleus mi-longs et ses yeux vairons rouge et bleu attirent mon attention quelques instants. Puis, doucement, je me rendis compte de ce que j'avais fait. En tant que spectateur, cela m'aurait certainement bien amusé. Malheureusement, j'en étais la cause. Et celui qui m'aidait, s'il était en colère un peu plus tôt, c'était certainement à juste raison. D'ailleurs, comment avait-il fait pour se calmer d'un seul coup et totalement? Curieux, mais tout aussi honteux, je lui répondis enfin, la respiration toujours laborieuse malgré mes efforts pour le cacher :
- Ça va... Désolé, je n'arrivais pas à me calmer.
Je n'osais pas lui poser la question qui me harcelait. Ce n'était pas le bon moment. Je pris donc le tee-shirt et le pressai sur mon front douloureux. Mes mains l'était tout autant si ce n'était plus. Ces dernières étaient victimes de brûlures et des blessures à cause de mes coups contre le mur. J'allais me retrouver à l'infirmerie, à coup sûr. Ne le souhaitant pas, de ma main libre je sortis de la poche de mon pantalon des bandes qui avaient déjà servi pour les mêmes causes. Elles étaient donc, il fallait l'avouer, dans un état assez déplorable. Devant le regard inquisiteur du jeune homme en face de moi, je me justifiai :
- C'est pas la première fois...
Re: Toc, toc, toc? [Pv Ed']
Toc toc toc
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Re: Toc, toc, toc? [Pv Ed']
Mon voisin de chambre s'assit à côté de moi alors que je démêlais lentement les bandes froissées. Elles étaient dans un sale état... Mais ce n'était pas mon principal soucis. J'avais plutôt en tête de bander mes mains pour que mes jointures cessent de saigner et pour cacher mes brûlures. Je devais aussi bander mon front. Allais-je avoir assez de bande?
« Je m’appelle Edward, mais tu peux m’appeler Ed’ ! Et toi, tu t’appelle comment ? »
Pendant un instant, je m'arrêtai dans ce que je faisais pour le regarder en biais. Puis, reprenant ma besogne, je lui répondis :
- Yasushi.
Alors que je finissais de lui donner mon prénom (il était exclus que je donne mon nom de famille!), je sentis le tee-shirt être partiellement enlevé de mon front. En levant les yeux je vis Edward en train de regarder la blessure que je m'étais faite, une fois encore. Cela me fit penser que j'avais de plus en plus de mal à garder mon calme et à rester moi-même. Je ne voyais pas d'autres explications que le fait que ma vie était de plus en plus en péril et qu'en plus de me faire peur, ça m'énervait.
« Si tu veux, je peux peut-être t’aider à te contrôler »
Alors que j'allais finir de bander ma première main, je lâchai tout, très intéressé par ce qu'il venait de me proposer. Je tournai donc la tête vers lui, l'air choqué, et lui demandai :
- T'es sérieux?
Alors qu'il me répondait, je me mis en tailleur et me mis à mordiller l'ongle de mon pouce, songeur. D'un certain côté, l'idée qu'il m'aide à me calmer m'intéresser plus que les mots pouvaient le dire. Mais, d'un autre côté, l'idée que quelqu'un d'autre que mon demi-frère ou ma copine me voit plongé dans la folie ne me rassurait pas. Mais alors pas du tout. Du coup, je lui posai une question qui me semblait essentielle :
- Si je venais à vouloir commettre un meurtre dans le sens véritable du terme, que je... perdais la raison, est-ce que tu serais capable de m'arrêter sans mettre ta vie en danger?
Aussitôt dit, aussitôt je regrettai. Mais je ne pouvais pas revenir en arrière. Et, tant qu'à faire, autant avoir toute l'aide possible pour éviter ce que mon père avait toujours voulu que je fasse. D'ailleurs, c'était étrange qu'il n'avait pas fait le lien entre moi et mon assassin de père... Surtout après l'annonce que ce dernier avait fait aux infos. Ne regardait-il donc pas la télé?
« Je m’appelle Edward, mais tu peux m’appeler Ed’ ! Et toi, tu t’appelle comment ? »
Pendant un instant, je m'arrêtai dans ce que je faisais pour le regarder en biais. Puis, reprenant ma besogne, je lui répondis :
- Yasushi.
Alors que je finissais de lui donner mon prénom (il était exclus que je donne mon nom de famille!), je sentis le tee-shirt être partiellement enlevé de mon front. En levant les yeux je vis Edward en train de regarder la blessure que je m'étais faite, une fois encore. Cela me fit penser que j'avais de plus en plus de mal à garder mon calme et à rester moi-même. Je ne voyais pas d'autres explications que le fait que ma vie était de plus en plus en péril et qu'en plus de me faire peur, ça m'énervait.
« Si tu veux, je peux peut-être t’aider à te contrôler »
Alors que j'allais finir de bander ma première main, je lâchai tout, très intéressé par ce qu'il venait de me proposer. Je tournai donc la tête vers lui, l'air choqué, et lui demandai :
- T'es sérieux?
Alors qu'il me répondait, je me mis en tailleur et me mis à mordiller l'ongle de mon pouce, songeur. D'un certain côté, l'idée qu'il m'aide à me calmer m'intéresser plus que les mots pouvaient le dire. Mais, d'un autre côté, l'idée que quelqu'un d'autre que mon demi-frère ou ma copine me voit plongé dans la folie ne me rassurait pas. Mais alors pas du tout. Du coup, je lui posai une question qui me semblait essentielle :
- Si je venais à vouloir commettre un meurtre dans le sens véritable du terme, que je... perdais la raison, est-ce que tu serais capable de m'arrêter sans mettre ta vie en danger?
Aussitôt dit, aussitôt je regrettai. Mais je ne pouvais pas revenir en arrière. Et, tant qu'à faire, autant avoir toute l'aide possible pour éviter ce que mon père avait toujours voulu que je fasse. D'ailleurs, c'était étrange qu'il n'avait pas fait le lien entre moi et mon assassin de père... Surtout après l'annonce que ce dernier avait fait aux infos. Ne regardait-il donc pas la télé?
- HRP:
- Pendant un Rp, pendant lequel on se rend compte que Yasushi et Mr Hatami sont demi-frère, le père des deux a déclaré aux infos (alors qu'il était déclaré coupable du meurtre de la mère de Yasushi) qu'il retrouverait ses fils et les a nommés.
Voici le lien si ça t'intéresse : http://www.academie-tsuki.com/t2533-le-retour-d-un-paternel-morbide-feat-yasushi
Re: Toc, toc, toc? [Pv Ed']
Toc toc toc
© ASHLING POUR LIBRE GRAPH'
Dernière édition par Ed' le Ven 05 Fév 2016, 03:55, édité 1 fois
Re: Toc, toc, toc? [Pv Ed']
« Sans aucun doute, je ne te donnerais pas mon secret, mais je ne devrais pas avoir de problème pour ça ! Et puis, j’aime le défi. »
Je me remis à peser le pour et le contre alors qu'il alla s'assoir sur mon lit, en face de moi. Je ne voulais prendre aucun risque, mais l'idée d'avoir une autre personne que mon demi-frère pour m'aider à progresser était alléchante. De plus, la peur de mettre en péril ma petite amie, mon frère et les personnes au courant de rien, sans parler des gosses et toutes celles qui ne font pas partie de ces catégories, était présente, presque constante...
« Ça va mieux ? »
Face à sa question, je fis une analyse rapide de comment je me sentais et lui répondis :
- Mis à part des côtes douloureuses et des mains HS, je crois que je m'en sortirais.
Je repris rapidement le bandage de mes mains et les testai. Quand je fus certain que tout était OK, je tâtai mon front pour vérifier que je n'avais pas besoin de me faire un pansement et fut soulagé de constater que non. J'aurais simplement une bosse, sans plus. Pour ce qui était de mes côtes, je ne pouvais absolument rien y faire, malheureusement.
« Mais ça t’arrive souvent ? »
Je réfléchis un instant et me levai avec difficulté, refusant toute aide de sa part. Puis, retirant mon haut, laissant à découvert des bleus plus ou moins récents, quelques cicatrices et des coupures multiples le temps que je trouve un nouveau tee-shirt, je lui répondis :
- De plus en plus souvent. Surtout depuis que mon ennemi de toujours s'est mis en tête qu'il me voulait mort. Au jour d'aujourd'hui je ne peux plus aller en ville sans être victime d'un guet-apens.
Lorsque j'eus mis un tee-shirt noir, je me tournai vers lui et ajoutai, appréhendant un commentaire que je n'étais pas prêt d'accepter :
- Il est hors de question que je reste cloîtré ici pendant des lustres. Je veux bien que cette Académie est pour moi comme une maison inespérée, mais il y a dehors des gamins qui comptent sur moi. Je ne les laisserais pas tomber.
Je détournai le regard, portant une main à ma nuque, geste que je fis par légère honte, et j'ajoutai :
Et puis... mon frère m'aide à rattraper le retard que j'ai en terme de cours. Pour cela, il faut aussi que je traverse la ville.
Je me remis à peser le pour et le contre alors qu'il alla s'assoir sur mon lit, en face de moi. Je ne voulais prendre aucun risque, mais l'idée d'avoir une autre personne que mon demi-frère pour m'aider à progresser était alléchante. De plus, la peur de mettre en péril ma petite amie, mon frère et les personnes au courant de rien, sans parler des gosses et toutes celles qui ne font pas partie de ces catégories, était présente, presque constante...
« Ça va mieux ? »
Face à sa question, je fis une analyse rapide de comment je me sentais et lui répondis :
- Mis à part des côtes douloureuses et des mains HS, je crois que je m'en sortirais.
Je repris rapidement le bandage de mes mains et les testai. Quand je fus certain que tout était OK, je tâtai mon front pour vérifier que je n'avais pas besoin de me faire un pansement et fut soulagé de constater que non. J'aurais simplement une bosse, sans plus. Pour ce qui était de mes côtes, je ne pouvais absolument rien y faire, malheureusement.
« Mais ça t’arrive souvent ? »
Je réfléchis un instant et me levai avec difficulté, refusant toute aide de sa part. Puis, retirant mon haut, laissant à découvert des bleus plus ou moins récents, quelques cicatrices et des coupures multiples le temps que je trouve un nouveau tee-shirt, je lui répondis :
- De plus en plus souvent. Surtout depuis que mon ennemi de toujours s'est mis en tête qu'il me voulait mort. Au jour d'aujourd'hui je ne peux plus aller en ville sans être victime d'un guet-apens.
Lorsque j'eus mis un tee-shirt noir, je me tournai vers lui et ajoutai, appréhendant un commentaire que je n'étais pas prêt d'accepter :
- Il est hors de question que je reste cloîtré ici pendant des lustres. Je veux bien que cette Académie est pour moi comme une maison inespérée, mais il y a dehors des gamins qui comptent sur moi. Je ne les laisserais pas tomber.
Je détournai le regard, portant une main à ma nuque, geste que je fis par légère honte, et j'ajoutai :
Et puis... mon frère m'aide à rattraper le retard que j'ai en terme de cours. Pour cela, il faut aussi que je traverse la ville.
Re: Toc, toc, toc? [Pv Ed']
Toc toc toc
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Re: Toc, toc, toc? [Pv Ed']
En levant les yeux que j'avais automatiquement baissés en me prenant la nuque, je m'aperçus que mon interlocuteur réfléchissait. Pas étonnant qu'il mette un peu de temps pour répondre. J'attendis cependant en silence. J'avais beau être impatient, je savais que la situation n'était pas des plus simples en plus d'être effrayante. J'avais peur de moi-même. Je n'osais donc pas imaginer l'image que je donnais aux autres. D'ailleurs, comme ma petite-amie faisait pour rester à mes côtés? L'amour qu'elle me portait en était la cause? Etait-il si fort que ça?
« Effectivement, c’est problématique.. »
Suite à ces quelques mots prononcés pensivement, il prit un carnet et se mit à écrire. En attendant, je m'appuyai sur mon armoire, les bras croisés sur ma poitrine, et me concentrai sur ma respiration en fermant les yeux. Mes côtes devaient simplement être légèrement fêlées, mais c'était suffisant pour me faire mal.
Après quelques minutes qui, comparés aux instants précédents son gribouillage, me parurent vachement courtes, des bruits de tissus attirèrent mon attention. En ouvrant les yeux, je vis Ed' se lever et sortir de la chambre. J'attendis un peu et il revint avec un tee-shirt autour d'une de ses mains :
« J’ai une idée. Battons-nous. »
Petit à petit, mes yeux s'ouvrirent sous l'effet de la surprise, de la compréhension et de la peur. Il était fou. C'était certainement ça. Moins que moi, mais assez pour tenter de risquer sa vie. Et lorsque je fus remis du choc, je fronçais les sourcils, sans bouger, et lui demander :
- Pourquoi? Si c'est pour mesurer mon niveau, saches que je suis capable de me défendre contre quatre gus qui savent se battre, mais qu'en se moment j'ai plus souvent affaires à des groupes de dix, si ce n'est plus. Si c'est pour faire monter ma colère... t'as juste à attendre deux minutes et le risque que je devienne fou reviendra.
J'attendis un instant et répétai ma question :
- Pourquoi veux-tu qu'on se batte?
« Effectivement, c’est problématique.. »
Suite à ces quelques mots prononcés pensivement, il prit un carnet et se mit à écrire. En attendant, je m'appuyai sur mon armoire, les bras croisés sur ma poitrine, et me concentrai sur ma respiration en fermant les yeux. Mes côtes devaient simplement être légèrement fêlées, mais c'était suffisant pour me faire mal.
Après quelques minutes qui, comparés aux instants précédents son gribouillage, me parurent vachement courtes, des bruits de tissus attirèrent mon attention. En ouvrant les yeux, je vis Ed' se lever et sortir de la chambre. J'attendis un peu et il revint avec un tee-shirt autour d'une de ses mains :
« J’ai une idée. Battons-nous. »
Petit à petit, mes yeux s'ouvrirent sous l'effet de la surprise, de la compréhension et de la peur. Il était fou. C'était certainement ça. Moins que moi, mais assez pour tenter de risquer sa vie. Et lorsque je fus remis du choc, je fronçais les sourcils, sans bouger, et lui demander :
- Pourquoi? Si c'est pour mesurer mon niveau, saches que je suis capable de me défendre contre quatre gus qui savent se battre, mais qu'en se moment j'ai plus souvent affaires à des groupes de dix, si ce n'est plus. Si c'est pour faire monter ma colère... t'as juste à attendre deux minutes et le risque que je devienne fou reviendra.
J'attendis un instant et répétai ma question :
- Pourquoi veux-tu qu'on se batte?
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