Can you handle the presure ? [ft. Lizzzie la Déesse]

Feat : Venda la géniale.

Ça devait faire au moins TROIS ANS QUE J'AVAIS RIEN FOUTU ICI, et pour cause, j'ai pas l'habitude d'être régulière dans mes écrits (YOU DON'T SAY LOL). Mais là c'est exceptionnel. Enfin, non, mais il me faut un truc crédible pour dire que je parle de cette Venda alors que je parle depuis personne d'autre depuis des années. Après c'est peut-être parce que je suis restée dans le coma TROIS ANS. Mais j'ai aucune preuve, et puis j'ai déjà raconté ma vie y'a quelques mois DONC, AVEC VOS CERVEAUX, LECTEURS ATTENTIFS, vous vous posez une question censée. Pas "Pain au chocolat ou chocolatine", par exemple, premièrement parce que la réponse est évidente mais aussi parce que cette question n'est pas vraiment de circonstance. Même vraiment pas (WAOW, C'EST DINGUE, ON FAIT DES EFFORTS POUR ÉCRIRE) MAIS (Le "mais" n'a rien à faire hors de la parenthèse, le reste de la phrase non plus) COMME ON A RIEN SANS RIEN, il va maintenant falloir, pour respecter mon quota, faire quelques soixante-seize lignes de n'importe quoi. Les téméraires liront, les faibles compteront, MOI J'ÉCRIRAI. JE SERAIS LE MOLIÈRE DE VOTRE THÉÂTRE (très facile et pas très censé parce que finalement j'ose PAS, BIEN SÛR, faire preuve d'autant de prétention. Mais après métaphore oblige, si je dis "Venda est mon opium", dans l'absolu je la compare à quelque chose, JE LA RÉIFIE, dira-t-on, mais après on est attachée à une drogue lorsque c'est LA NÔTRE, alors, bien, mal, CHACUN Y JUGERA, en vérité, moi je pense que oui. C'est tout à fait vrai. De toute façon la drogue c'est mal. Voilà, je le mets en rouge, comme ça si quelqu'un ne voit qu'une chose, ça sera ça. Du coup peut-être que sur le même modèle, je pourrais avouer mes péchés, ASKIP PARLER C'EST LA PREMIÈRE ÉTAPE VERS LA GUÉRISON. Parlons de moi alors, je suis si intéressante !
...
BOUM
Première
Ligne
De
Passée
Pour
Rien !
O:
O:
Forcément
Là
On
Va
Me
Dire
Que
J'essaie
hmm
...
Plutôt
J
'
essaie
de
gratter
des
lignes
avec
des
méthodes
douteuses
.
Mais je m'en bats les couilles (encore une métaphore, je me rapproche de MoliÈRE DE MINUTE EN MINUTE !
Prenons encore une ligne.
Trente-six, pour ceux qui veulent.
ha
et
si j'ai fait une erreur, se référer à la métaphore ci-dessus.
Soixante-seize, c'est long mazette !
"Je n'ai point d'amour pour qui ne m'aime qu'en paroles."
HA MERDE
J'ÉTAIS À RIEN DE MOLIÈRE
J'AI CHOISI LA MAUVAISE CITATION
):
):
De toute façon
comme dirait l'autre
(l'autre = le connard misanthrope dépressif) :
J'ai oublié ma citation
DAMN J'AI OUBLIÉ MON TEXTE... Ha, ha, osef, ON S'EN BRANLE, parfait, c'est PAR-FAIT. Mais là, public attentif que vous êtes, vous me ferez entendre que, je cite, "LIZZIE, SI TU NE NOUS ENRICHIS PAS DE TES NOMBREUSES ILLUMINATIONS, QUE DEVIENDRONS-NOUS ?" hé bah je sais pas, je sais pas du tout. ): Ceci dit on peut déjà noter que j'ai arrêté d'insulter les gens qui me lisent, donc déjà je suis vachement sympa.
J'ai pas fini mes soixante-seize lignes ! Continuons :
57, j'ai pas compté mais je donne un nombre, au pire c'est pas le bon, J'EN AI RIEN À FOUTRE PUTAIN.
Je continue donc :
Je jouais du piano debout.
Vous pensez que... non, je ne me pose pas de question. Mais ma phrase est en rouge, DINGUE, NAN ?
"Ah, ah, d'où sort cette autre paysanne, Sganarelle?"
ÇA C'EST DU MOLIÈRE. Mais là, vous vous demandez, "LIZZIE, SUPRÊME DÉESSE, POURQUOI PRENDRE UNE CITATIONS SI BANALE EN DÉPIT DE TA BEAUTÉ SANS ÉGALE ?" POUR VOUS RAPPELER QUE QUELQUE BON MOT N'EST QU'UN POINT ISOLÉ DANS UN IMMENSE OCÉAN DE LAPALISSADES ET DE BANALITÉS SANS NOM.
Comme c'est beau. Je suis assez géniale ! o:
Mais revenons-en à Venda, j'sais pas trop si j'ai fait mes soixante-seize lignes de n'importe quoi MAIS :
1) J'en ai absolument rien à foutre.
2) Il y a d'autres problèmes dans la vie. Si si.
3) Je dois bien avoir faire cinquante voire soixante lignes donc ne me traitez pas de MENTEUSE. Je manque juste de volonté sur les dernières lignes.
Bref, vous me connaissez, faire et dire n'importe quoi c'est rigolo, mais c'est bien plus amusant de DIRE n'importe quoi que de DÉCRIRE n'importe quoi. Par le fait même, il serait possible que je ne décrive mes actions qu'en mots-(clefs/clés/cley/klé/klai) (un peu ce que vous préférez quoi). C'est bête de se donner du mal pour rien dire et ne pas se donner la peine de parler mais... Vous savez ce qu'on dit. "QUI PEUT LE PLUS"
Bla bla. Hein, vous voyez c'que j'veux dire.
Du coup : Venda → projectile en ma direction. Moi → réflexes de dingue, je vire NONCHALAMMENT ledit projectile. Je suis ainsi hors de danger. Moi → sauter au cou de Venda en lui criant un truc du style "GREDINE QUE TU ES, VENDA, TA FOURBERIE N'AURA PAS RAISON DE MOI !". Vous → se douter de la suite : Position géographique de Lizzie → sur Venda. De manière très sexuelle. Oui. Enfin, prenez le comme vous voulez, moi je suis toute gênée, j'ai jamais été aussi proche d'elle ! o: Le coeur de Lizzie → battements rapides. Lizzie → développement d'un sentiment amoureux. Ha ha. Phrase précédente → mensonge (mais chuuuuuuuuut cassez pas l'effet pour Venda qui y croit DUR COMME FER car : mes joues → couleur rouge prononcée.) J'aime vraiment bien les flèches... je vais plus m'en servir !