William Patrick MacKenzie, Highlander [Terminé]
Olympus Project :: Avant le jeu :: Gestion du personnage :: Fiches Validées :: Fiche de Présentation
Page 1 sur 1 • Partagez
William Patrick MacKenzie, Highlander [Terminé]
William Patrick MACKENZIE
Groupe Pouvoir
- Personnage : Lavi - [D.Gray Man]
- Âge : 19 ans
- Sexe : Masculin
- Origines : Écossaises
- Taille : 1m85
- Cheveux : Roux/Rouge
- Yeux : Bleu aqua
- Logement : Un appartement dans le quartier divertissement, au dessus d'une boîte de nuit.
- Travail : William s'est trouvé un boulot comme serveur dans un salon de thé, dans le quartier marchand.
This is me...
Mental
Traits de caractère : William a toujours été un grand amateur de musique et par toujours, bien sûr, ça veut dire depuis le début de son adolescence. En même temps, ça se comprend puisque c'est à ce moment que les gens deviennent qui ils sont, apparemment. C'est aussi vers cet âge qu'il développa son pouvoir. Cela n'eut pas d'impacte réel sur sa mentalité... n'importe quoi. Ça a complètement catapulter sa façon de penser vers les extrêmes. Lui qui était déjà du genre paresseux et à se balancer des règles et autres normes, avoir accès à un pouvoir comme le sien fut la goûte d'eau qui fit déborder le vase. Personne ne pouvait plus l'obliger à faire quoi que ce soit et ça lui plaisait. Les figures d'autorités qui le brimaient devenait maintenant négligeables alors qu'il possédait littéralement la puissance. Malheureusement, il découvrit vit que tout pouvoir a un prix. Le sien était cruel : l'acouphène. Lui qui adorait la musique et qui... Bonheur ! Écouter de la musique avec des écouteurs lui permettait d'éviter le pire de son acouphène. Du coups, il développa une sorte de dépendance à son lecteur de musique, qu'il garde toujours sur lui, avec une batterie pleine et une autre de rechange, juste au cas.
Sinon, William est un amoureux de plein d'air, qui le fait se sentir plus libre. À l'intérieur il se sent restreint, enfermé, même dans de grandes salles. C'est aussi un garçon qui n'a pas la langue dans sa poche. Il se permet beaucoup, ayant vécu depuis plusieurs années sans la moindre peur de quelconque représailles. Quand on se déplace à la vitesse du son, on ne se fait pas attraper facilement, voir pas du tout. Son amour de la liberté en va même de sa philosophie relationnelle. Pourquoi s'attaché si ça veut dire se couper les ailes ? D'ailleurs, il préfère que personne ne l'attende, il est en retard trop souvent. Il préfère prendre son temps... et une célibataire de temps en temps.
Au delà de ces allures de rebelle se cachent un grand joueur de tour, tout comme l'était son grand-père Patrick MacKenzie, du quel il tient son deuxième prénom. D'ailleurs, "Trick" est autant un surnom pour Patrick que pour Trickster. C'est aussi un passionné d'histoire et de littérature fantasy et sci-fi. D'ailleurs, William se trouvait bien chanceux d'avoir dénicher son emploi comme aide-archiviste dans un musée d'Édimbourg, juste à côté de chez lui. C'est quelque chose qui allait lui manquer à Abondance...
Aime :La liberté (c'est poétique), la simplicité, la musique.
Déteste :L'autorité, l'hypocrisie, le manque de respect envers les gens, son acouphène.
Autre :
Physique
En plus d'être un grand gaillard à la tête rouge et à l’œil bleu-vert, William se défini par des traits fins, mais tout de même masculin. On parle d'une mâchoire angulaire plutôt que carrée, d'un nez qui ne prend ni trop ni trop peu de place. C'est aussi un œil étroit qui a tendance à être rieur, même s'il peut aussi être perçant et critique. C'est un sourcil possédant la même intensité que ses cheveux, sans être particulièrement épais. Ce sont des oreilles on ne peut plus normales, quoique toutes deux percées et arborant chacune un anneaux métallique. Enfin, c'est une bouche qui aime sourire et qui a toujours quelque chose de pinçant à dire.
Plus bas, William a des épaules d'une largeur respectable, ce qui aide à compenser le manque de dureté des traits de son visage. Se rajoute à cela une paire de longs bras solides, bien que loin d'être gonflés. Des mains agiles, parfaites pour porter des gants et l'occasionnel jonc, se situe aux bouts de ces bras. Entre les deux se trouve le torse du jeune MacKenzie, défini par des muscles dans la force de l'âge. En dessous, des jambes fortes et longues de coureur. Quoique William n'est pas trop du genre à courir sans raison. Rester en forme est une raison suffisante, mais bref... Du tout au tout, son apparence est marquée par une peau pâle de rouquin, accentuée par des cheveux d'un rouge foncé, le tout sur un grand châssis compacte mais solide.
Côté vestimentaire, William est du genre confortable. Une chemise toute simple avec une veste, un pantalon. Il voudrait croire qu'il ne mets pas trop de réflexion derrière son accoutrement, mais au final il a du style et chaque morceaux et accessoires sont agencés. Il est fréquemment accoutré avec des accents rouges qui rappelle sa chevelure, ou encore un petit peu de bleu qui rappelle son œil. Parlant de son œil... enfin, de celui qu'on ne voit pas. Il s'agit d'un malheureux accident au bout duquel William perdit son œil droit. Depuis, il porte un cache œil noir, parce qu'un œil de verre c'est pas trop la classe.
Niveau attitude et posture, le jeune écossais démontre toute sa philosophie. Il est rare voir impossible qu'il s'assied comme il se doit, il est plus confortable si sa chaise est à l'envers ou s'il est accroupi dessus, voir assis directement sur la table. De plus, il préfère être adossé à un mur plutôt que de se tenir droit. Sans mur, il se retrouve souvent avec le dos quelque peu voûté, les mains dans les poches ou encore les bras croisés, en état de repos.
This is my story...
*SNAP*
William se retrouva propulsé de l'avant, son poing droit bien serré et déjà en train de connecter avec la mâchoire d'un autre garçon. La surprise et la force du coup envoya le bougre par terre. Ses deux potes, qui avait vu le rouquin se téléporter, prirent la décision de déguerpir. Ils prirent tout de même la peine de récupérer leur pote affaissé. "Quelle loyauté !" pensa William. Il suivit les froussards du regard, s'assurant qu'ils ne reviendraient pas à la charge. Son unique oeil se posa ensuite sur la demoiselle qui était, au final, la raison du pourquoi.
Elle portait une robe d'été blanche, mais trempée et tachée par les événements qui venaient de se produire. Ses pieds, qui étaient précédemment chaussés de petits talons hauts, étaient rendu sales pour les mêmes raisons. Ses cheveux blonds comme les blés étaient eux aussi sales et même décoiffés. Vraiment, ça faisait peine à voir. Ce qui enrageait le plus William, cependant, c'était le fait que trois gars... pas un ni deux, mais bien trois gars, avaient peint ce piètre tableau.
Il offrit sa main et un sourire à la demoiselle. Il souriait, malgré son poing qui le faisait souffrir. Il s'était trop emballé en frappant l'autre gars. Malgré le cillement dans ses oreilles qui le narguait. Son acouphène faisait des siennes avec une double utilisation de son pouvoir d'abord pour rattraper les vaut-rien, puis pour en frapper un.
Sa main resta suspendu de longues secondes avant que la fille terrorisée n'accepte de la prendre. En bon gentleman, William l'aida à se relever. La pauvre perdit presque immédiatement l'équilibre et fut forcée de s'appuyer sur son sauveur pour ne pas se retrouvé à nouveau par-terre dans la ruelle. Cliché, dira-t-on. Bien sûr que c'est cliché, on ne change pas une recette gagnante. Du coup, elle manque de tomber, se rattrape sur l'écossais. Elle est timide, maladroite à cause de sa cheville blessée précédemment. Ses joues rougis, c'est digne des meilleurs films d'action avec un peu de romance... ou de romance avec un peu d'action...
"Haben deutsch ? demanda-t-elle d'une voix affaiblie, sans même le regarder dans l'oeil."
"Non. Je veux dire... Nein, lui répondit-il avec un sourire désolé."
Elle eut immédiatement l'air déçue et se mit à marmonner en allemand. Elle était visiblement toujours en détresse malgré la situation sécuritaire.
William dut s'avouer qu'elle n'avait tout de même plus de souliers, ni de sac à main. Ça voulait surement dire qu'elle n'avait plus d'argent. Si elle restait loin, son histoire n'était pas réglée, surtout à cette heure de la nuit. Qui plus est la pluie se remettait tranquillement à tomber. Après une belle journée, il fallait que la nuit soit gâchée.
William décida éventuellement de mettre fin à la plainte de la jeune femme en posant une main sur son épaule. Malgré elle, son regard croisa le bleu-vert de l'oeil de l'Écossais. Il faisait tout pour la calmer par son simple regard et sa présence. Il essaya aussi de communiquer avec elle.
"Je, euh... ich? Ich... habite... live ? Proche, near, dit-il en mimant tous ses mots du même coup. Veux-tu, venir, come with, avec moi ? continua-t-il de mimer."
Il espérait qu'un mélange d'anglais et de français aller amener la demoiselle à comprendre ce qu'il disait, surtout coupler avec les mimes. Elle sembla comprendre, bien que ses yeux étaient encore humides. Elle fit oui de la tête, marmonnant deux ou trois "Ya". William prit donc les devants, offrant son bras à l'allemande pour l'aider à marche. Il la mena d'un pas compréhensif quelques rues plus loin, où il arrivèrent devant un bloque appartement.
S'en suivit le déverrouillage de porte et l'entrée des deux jeunes gens dans ce qui s'avérait être un bien petit logis.
Depuis quelques temps, William habitait ce trois pièces et demie tout seul. Il avait une chambre, une cuisine et un salon, avec une petite salle d'eau.
C'était suffisant pour lui. Il laissa à son invitée un libre-accès à la dite salle de bain, question qu'elle puisse se remettre en état. Il profita du manque de verrou sur la porte pour lui fournir une chemise propre. Il lui fit aussi savoir qu'elle pourrait utiliser le lit, que lui dormirait sur le canapé. À sa surprise, bien qu'il ne s'y soit pas opposé, elle le rejoignit plutôt dans le salon et profita encore un peu de la sécurité qu'offrait ses bras. Du reste,
on connait l'histoire. Malgré tout, ils finirent tous deux dans le lit. C'était plus confortable, au final.
À l'aurore, William prit sa douche et prit soin de disposer une robe propre et des chaussures pour son invitée, avec un peu d'argent. À l'aide de google, il lui laissa un message en allemand qui était sensé lui dire qu'il devait allait travailler et qu'elle était libre de profiter du lieu pendant un moment, qu'il lui laissait de l'argent pour un taxi ou quelque chose et qu'elle pouvait garder les vêtements, que c'était à sa soeur. Oui, bien sûr, lui qui était enfant unique.
En temps normal, il serait rester plus longtemps, après tout, il travaillait seulement de soir. Cependant, il se préparait à déménager bientôt, et pas à la porte à côté. Il allait carrément en Suisse, dans cette ville fondé par le premier héros. Il avait entendu dire que c'était un bel endroit Du coup, il tenait à faire quelques recherche préparatrices avant de faire le grand saut. Il devait aussi peaufiner son allemand et son français, justement...
William se retrouva propulsé de l'avant, son poing droit bien serré et déjà en train de connecter avec la mâchoire d'un autre garçon. La surprise et la force du coup envoya le bougre par terre. Ses deux potes, qui avait vu le rouquin se téléporter, prirent la décision de déguerpir. Ils prirent tout de même la peine de récupérer leur pote affaissé. "Quelle loyauté !" pensa William. Il suivit les froussards du regard, s'assurant qu'ils ne reviendraient pas à la charge. Son unique oeil se posa ensuite sur la demoiselle qui était, au final, la raison du pourquoi.
Elle portait une robe d'été blanche, mais trempée et tachée par les événements qui venaient de se produire. Ses pieds, qui étaient précédemment chaussés de petits talons hauts, étaient rendu sales pour les mêmes raisons. Ses cheveux blonds comme les blés étaient eux aussi sales et même décoiffés. Vraiment, ça faisait peine à voir. Ce qui enrageait le plus William, cependant, c'était le fait que trois gars... pas un ni deux, mais bien trois gars, avaient peint ce piètre tableau.
Il offrit sa main et un sourire à la demoiselle. Il souriait, malgré son poing qui le faisait souffrir. Il s'était trop emballé en frappant l'autre gars. Malgré le cillement dans ses oreilles qui le narguait. Son acouphène faisait des siennes avec une double utilisation de son pouvoir d'abord pour rattraper les vaut-rien, puis pour en frapper un.
Sa main resta suspendu de longues secondes avant que la fille terrorisée n'accepte de la prendre. En bon gentleman, William l'aida à se relever. La pauvre perdit presque immédiatement l'équilibre et fut forcée de s'appuyer sur son sauveur pour ne pas se retrouvé à nouveau par-terre dans la ruelle. Cliché, dira-t-on. Bien sûr que c'est cliché, on ne change pas une recette gagnante. Du coup, elle manque de tomber, se rattrape sur l'écossais. Elle est timide, maladroite à cause de sa cheville blessée précédemment. Ses joues rougis, c'est digne des meilleurs films d'action avec un peu de romance... ou de romance avec un peu d'action...
"Haben deutsch ? demanda-t-elle d'une voix affaiblie, sans même le regarder dans l'oeil."
"Non. Je veux dire... Nein, lui répondit-il avec un sourire désolé."
Elle eut immédiatement l'air déçue et se mit à marmonner en allemand. Elle était visiblement toujours en détresse malgré la situation sécuritaire.
William dut s'avouer qu'elle n'avait tout de même plus de souliers, ni de sac à main. Ça voulait surement dire qu'elle n'avait plus d'argent. Si elle restait loin, son histoire n'était pas réglée, surtout à cette heure de la nuit. Qui plus est la pluie se remettait tranquillement à tomber. Après une belle journée, il fallait que la nuit soit gâchée.
William décida éventuellement de mettre fin à la plainte de la jeune femme en posant une main sur son épaule. Malgré elle, son regard croisa le bleu-vert de l'oeil de l'Écossais. Il faisait tout pour la calmer par son simple regard et sa présence. Il essaya aussi de communiquer avec elle.
"Je, euh... ich? Ich... habite... live ? Proche, near, dit-il en mimant tous ses mots du même coup. Veux-tu, venir, come with, avec moi ? continua-t-il de mimer."
Il espérait qu'un mélange d'anglais et de français aller amener la demoiselle à comprendre ce qu'il disait, surtout coupler avec les mimes. Elle sembla comprendre, bien que ses yeux étaient encore humides. Elle fit oui de la tête, marmonnant deux ou trois "Ya". William prit donc les devants, offrant son bras à l'allemande pour l'aider à marche. Il la mena d'un pas compréhensif quelques rues plus loin, où il arrivèrent devant un bloque appartement.
S'en suivit le déverrouillage de porte et l'entrée des deux jeunes gens dans ce qui s'avérait être un bien petit logis.
Depuis quelques temps, William habitait ce trois pièces et demie tout seul. Il avait une chambre, une cuisine et un salon, avec une petite salle d'eau.
C'était suffisant pour lui. Il laissa à son invitée un libre-accès à la dite salle de bain, question qu'elle puisse se remettre en état. Il profita du manque de verrou sur la porte pour lui fournir une chemise propre. Il lui fit aussi savoir qu'elle pourrait utiliser le lit, que lui dormirait sur le canapé. À sa surprise, bien qu'il ne s'y soit pas opposé, elle le rejoignit plutôt dans le salon et profita encore un peu de la sécurité qu'offrait ses bras. Du reste,
on connait l'histoire. Malgré tout, ils finirent tous deux dans le lit. C'était plus confortable, au final.
À l'aurore, William prit sa douche et prit soin de disposer une robe propre et des chaussures pour son invitée, avec un peu d'argent. À l'aide de google, il lui laissa un message en allemand qui était sensé lui dire qu'il devait allait travailler et qu'elle était libre de profiter du lieu pendant un moment, qu'il lui laissait de l'argent pour un taxi ou quelque chose et qu'elle pouvait garder les vêtements, que c'était à sa soeur. Oui, bien sûr, lui qui était enfant unique.
En temps normal, il serait rester plus longtemps, après tout, il travaillait seulement de soir. Cependant, il se préparait à déménager bientôt, et pas à la porte à côté. Il allait carrément en Suisse, dans cette ville fondé par le premier héros. Il avait entendu dire que c'était un bel endroit Du coup, il tenait à faire quelques recherche préparatrices avant de faire le grand saut. Il devait aussi peaufiner son allemand et son français, justement...
Under the mask...
Prénom ou surnom :Gab
Anniversaire :11 mai
Loisirs :Roleplay, jeux vidéos, et autres.
Tu aimes :Plein de trucs.
Tu détestes :Certaines choses.
Ton rêve :Manger une étoile à neutron.
Comment es tu arrivé ici ?Des tortues de mer !
Des idées pour améliorer le forum ?Patencor
Le mot de la fin :À quoi bon se tracasser ? À quoi bon s'en faire~
Re: William Patrick MacKenzie, Highlander [Terminé]
Coucou :)
C'est dommage, j'aurais voulu avoir l’anecdote de l'éternuement à 11 ans moi ! XD
Sinon la pauvre Allemande qui est sauvée du viol pour... brefouille :')
J'valide évidemment ! :)
Felicitation !
T'es validé !
C'est dommage, j'aurais voulu avoir l’anecdote de l'éternuement à 11 ans moi ! XD
Sinon la pauvre Allemande qui est sauvée du viol pour... brefouille :')
J'valide évidemment ! :)
Felicitation !
T'es validé !
Tu vas pouvoir enfin commencer tes activités de membre sur le forum et tu auras très prochainement ta couleur correspondant à ton groupe.
Tu as obtenu 170 exp grâce à ta fiche de présentation.
Vérifions maintenant que ta possible fiche de pouvoir ou de Gear soit elle aussi prête à la validation !
Pour la suite je te propose quelques liens utiles :
- Liste de demande de Rp
- Et enfin, si tu le souhaites, créer ton journal intime
Si tu as des questions, n'hésite pas à m'envoyer un MP.
Tu as obtenu 170 exp grâce à ta fiche de présentation.
Vérifions maintenant que ta possible fiche de pouvoir ou de Gear soit elle aussi prête à la validation !
Pour la suite je te propose quelques liens utiles :
- Liste de demande de Rp
- Et enfin, si tu le souhaites, créer ton journal intime
Si tu as des questions, n'hésite pas à m'envoyer un MP.
Sujets similaires
» William Patrick MacKenzie, pour vous servir ! [Terminée]
» SMS et Autres Messages | William P. MacKenzie
» Faux numéro [PV: William P. MacKenzie]
» William ~ Pouvoir [Terminé]
» Carnet de Route d'un Highlander
» SMS et Autres Messages | William P. MacKenzie
» Faux numéro [PV: William P. MacKenzie]
» William ~ Pouvoir [Terminé]
» Carnet de Route d'un Highlander
Olympus Project :: Avant le jeu :: Gestion du personnage :: Fiches Validées :: Fiche de Présentation
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum