Retrouvailles et engueulade entre le corbeau et la chauve-souris [PV Venda]
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Retrouvailles et engueulade entre le corbeau et la chauve-souris [PV Venda]
En ce début de soirée d'été, le temps est parfait pour prendre une marche à l'extérieur. Ne voulant pas rester dans mon dortoir avec ce temps, je décide d'aller prendre l'air. Je n'ai aucune envie de me promener en ville. Il y a trop d'action partout, trop de monde sur les trottoirs et j'ai envie d'être au calme. Prenant simplement ma veste noire au cas où le temps se refroidirait et mon téléphone pour garder une petite idée de l'heure, je sors de la maison Émeraude et je prends la direction des jardins.
Le soleil, bien qu'il ait décliné à l'ouest, n'est pas encore couché, mais quelques étoiles commencent déjà à montrer le bout de leur nez. Il n'y a aucun nuage à l'horizon et la météo n'annonce pas de pluie. Ce sera une belle soirée ! J'attache ma veste autour de ma taille et je regarde l'heure qu'il est sur mon téléphone. 20h10. Je m'apprête à le ranger dans la poche de mon jeans, lorsque je reçois un message :
Eden :
Tu dors ?
Tori :
Il est que 20h
Eden :
Je peux call ?
Tori :
Oui
Une fraction de secondes suffit pour que la sonnerie de mon cellulaire retentisse. C'est pratique le forfait interurbain. Je n'ai évidemment pas besoin de regarder l'afficheur pour savoir qui est à l'autre bout du fil. Je décroche.
Je reste un peu perplexe avec mon téléphone entre les mains. C'était tout un appel... Voilà que je me retrouve à devoir revenir au Québec au mois de septembre. J'espère qu'on va m'accorder mon absence, si non, je n'ose même pas imaginer le bordel qu'il y aura dans ma chambre lorsque je vais revenir.
En parlant avec ma sœur, j'ai continué de marcher un peu au hasard pour me retrouver au pied d'un arbre. Il me semble que ce n'est pas la première fois que je me retrouve devant celui-là en particulier, d'ailleurs. J'entends quelqu'un marcher dans l'herbe derrière moi. Je me retourne pour découvrir une fille. Elle se tient immobile face à moi, dans une position neutre, les mains le long du corps, à contre-jour du coucher de soleil. Ses yeux sont cachés par une paire de lunettes de soleil et elle est dans l'ombre, mais son visage me dit vraiment quelque chose. Soit elle est là pour l'arbre, soit elle est là pour moi. Dans le doute, je me décide à lui adresser la parole en anglais :
- Salut ?...
Le soleil, bien qu'il ait décliné à l'ouest, n'est pas encore couché, mais quelques étoiles commencent déjà à montrer le bout de leur nez. Il n'y a aucun nuage à l'horizon et la météo n'annonce pas de pluie. Ce sera une belle soirée ! J'attache ma veste autour de ma taille et je regarde l'heure qu'il est sur mon téléphone. 20h10. Je m'apprête à le ranger dans la poche de mon jeans, lorsque je reçois un message :
Eden :
Tu dors ?
Tori :
Il est que 20h
Eden :
Je peux call ?
Tori :
Oui
Une fraction de secondes suffit pour que la sonnerie de mon cellulaire retentisse. C'est pratique le forfait interurbain. Je n'ai évidemment pas besoin de regarder l'afficheur pour savoir qui est à l'autre bout du fil. Je décroche.
- Conversation téléphonique:
- Hey Denden ! Ça va ?
- Maintenant qu't'es là, ouais, ça va.
- Il s'est-tu passé quelque chose en particulier pour que t'appelles ?
- Pas vraiment. J'm'ennuyais juste de toi.
- Awn. Je voudrais tellement pouvoir revenir à maison. Je m'ennuie aussi de vous.
- T'as juste à revenir dans ce cas. C'est l'été. Tu vas pas me dire que t'as aussi des cours durant les vacances !
- Eden. Tu connais la situation. Je suis pas aussi libre que je le voudrais. Même si je reviens, ce sera juste pour une semaine et je vais devoir repartir après.
- Mais j'm'en fout. Une semaine, c'est ben mieux que rien pantoute. Tu peux ben quitter ta wannabe " Institue Charles-Xavier " pour une semaine.
- On verra ça.
- De quoi " on verra ça " ? Tori Clark, penses un peu à ta famille qui s'ennuie de toi. Ça va faire un an que t'es partie en septembre.
- Dans ce cas, je viendrais en septembre. Ça te va ça ? Septembre.
- Tu peux-tu me le promettre ?
- Tout ce que tu veux !... Eden Clark, je jure sur mon matériel de dessin que je viendrai vous voir en septembre.
- T'as intérêt à respecter ta promesse. Si non, ton matériel va passer un sale quart-d'heure.
- Tu devrais être la mieux placée pour savoir que je ne déroge jamais à une promesse.
- Bon, il faut que je te laisse. Mes meilleures amies vont arriver d'une minute à l'autre et on va aller se baigner.
- C'est vrai, il est que 15h chez toi. Amuse-toi bien avec elles et si ton amie blagueuse est là... Salue-là de ma part. Je m'ennuie de ses blagues.
- Venda, tu veux dire ?
- Ouais, c'est ça.
- Elle... sera pas là...
- Ah bon ? Pourquoi ?
- Faut vraiment que je raccroche. Bye.
- Bye...
Je reste un peu perplexe avec mon téléphone entre les mains. C'était tout un appel... Voilà que je me retrouve à devoir revenir au Québec au mois de septembre. J'espère qu'on va m'accorder mon absence, si non, je n'ose même pas imaginer le bordel qu'il y aura dans ma chambre lorsque je vais revenir.
En parlant avec ma sœur, j'ai continué de marcher un peu au hasard pour me retrouver au pied d'un arbre. Il me semble que ce n'est pas la première fois que je me retrouve devant celui-là en particulier, d'ailleurs. J'entends quelqu'un marcher dans l'herbe derrière moi. Je me retourne pour découvrir une fille. Elle se tient immobile face à moi, dans une position neutre, les mains le long du corps, à contre-jour du coucher de soleil. Ses yeux sont cachés par une paire de lunettes de soleil et elle est dans l'ombre, mais son visage me dit vraiment quelque chose. Soit elle est là pour l'arbre, soit elle est là pour moi. Dans le doute, je me décide à lui adresser la parole en anglais :
- Salut ?...
Dernière édition par Tori Clark le Ven 26 Aoû 2016, 06:45, édité 1 fois
Tiens, je me demande ce que ça fait
Jardins, me voilà ! Je replace mes précieuses lunettes de soleil. Je me lance dans une nouvelle phase d'exploration de l'académie. Afin d'éviter de reproduire ce qu'il s'est passé le premier jour avec Jane et afin d'être en mesure de me débrouiller seule, j'ai rapidement pris la décision d'explorer l'académie. Step by step ! Je fais de l'exploration dans mes temps libres et lorsque je ne suis pas trop crevée, comme ce soir par exemple. Eh oui, en sortant d'un cours de... Ah merde, en fait, j'ai oublié... Voyons voir... C'était... c'était... euh... Ah et puis tant pis, ça devait pas être très important, pour que j'ai déjà tout oublié. On peut dire que c'est un gros blanc de mémoire ! Toujours drôle cette vanne. Bref, à la fin du cours de " je ne sais plus quoi ", je n'étais pas trop claquée. Allez savoir, j'ai peut-être dormi durant le cours. Ça expliquerait l'oubli de là matière. Haaaan, ça doit être ça. Peut-être que j'ai dormi, je sais plus... MAIS NOM D'UN CHIEN !!! Qu'est-ce que je peux avoir de ces pertes de mémoire ! C'EST HORRIBLE !!! Est-ce que ça fait parti des effets secondaires d'une commotion cérébrale ? Je crois bien que oui... Oh dans ce cas, pas de trouble... Je suppose ?... Gosh... Oui, bon, alors, j'étais bien réveillée après avoir dormi, ce qui est logique dans la plupart des cas, sauf si on manque de sommeil et qu'on est fatigué au réveil, mais ce n'était pas le cas et donc, j'ai décidé de continuer d'explorer. Au programme ce soir; l'extérieur ! De ce que j'ai cru comprendre, il y a des jardins. Bah, c'est parfait, j'aime bien les fleurs, même si je ne peux plus apprécier leur beauté physique... Mouais... Je viens de me rendre compte que, si on enlève le physique, il ne reste pas grand chose chez les plantes décoratives. Pour ceux qui auraient l'intention de me contredire, je tiens simplement à rappeler que faire la conversation à une orchidée n'est pas ce qu'il y de plus passionnant, sauf si on s'appelle Alice Liddell et qu'on se trouve au Pays des Merveilles, mais bordel qu'elles font chier ces fleurs-là ! Alors, les commentaires du genre " il n'y a pas que le physique dans la vie " ou " il y a aussi la beauté intérieure ", vous fermez votre gueule. ÇA, ça s'applique aux organismes faisant parti du règne animal. Pas aux organismes du règne des champignons, encore moins à ceux du règne des protistes ou des monères et vraiment pas aux individus du règne végétal ! Une plante, tu l'aimes pour sa beauté et non pas parce qu'elle te cite du Shakespeare tout en écrivant un livre sur le sort des bélugas si les plateformes pétrolières continuent d'empiéter dans leur zone de reproduction. ÇA BORDEL, NON ! Mon avis ne bougera pas tant et aussi longtemps que je n'aurai pas rencontré une personne ayant le pouvoir de parler aux plantes et que cette personne n'aura pas réussie à me convaincre du contraire.
Bien, maintenant que j'ai fini de chialer, où est-ce que je suis ? Je suis dehors, à côté de la maison Rubis, cette dernière étant étrangement calme. Je suppose qu'avec le temps qu'il fait, personne n'a envie de rester enfermé. Ils sont probablement tous sortis faire des bêtises ailleurs. Je n'ai pas envie de le savoir et je m'en fout éperdument, du moment que personne ne vienne dégueuler dans mon lit en rentrant. Je replace mes lunettes de soleil en essayant de chasser cette possibilité de mon esprit lumineux. C'est marrant, parce que esprit c'est " geist " en allemand et lumière, c'est " licht ". Belle observation ! Geistlicht, Venda Geistlicht. Bond, James Bond... OKAY, ça va ! J'arrête de faire les références, je m'y met ! Ça va ! Vous pouvez lâcher vos armes, j'y vais ! J'ai juste besoin d'un petit coup pour partir, ça va aller après. Je replace mes lunettes de soleil, je me racle la gorge et je prends une grande inspiration. C'est toujours aussi étrange de faire ça. J'espère que personne ne me regarde. Dans un geste splendide, je lâche une rafale... Ah non en fait... Ça n'a pas fonctionné. Try again ! Je reprends une grande bouffée d'air. Cette fois-ci, c'est la bonne ! Je lâche un cri inaudible pour les autres personnes et là, ça fonctionne. Je vois clairement les différents chemins au sol, dont le sentier des jardins. Tandis que l'image commence lentement à devenir floue, j'arrive au sentier et je m'y engage. Voilà !
Puisque c'est dehors et que l'espace est beaucoup plus grand, ça va être un peu plus difficile à quadriller que de simples corridors ou des pièces, mais j'ai l'intention de revenir plusieurs fois. Bah oui, je ferais pas ça en une seule soirée, surtout s'il fait nuit noire. Je vais me contenter de peu pour l'instant. J'entends quelqu'une parler seule, car oui, c'est la voix d'une fille. En tout cas, c'est ce que je pense au début... Qu'elle parle seule, hein, pas que c'est une fille. Ça je l'entends, je le sais. Ami imaginaire, maladie mentale, préparation d'un exposé oral, etc. Après, je me souviens qu'on est dans une école complètement fuckée, donc je me dis que son pouvoir, c'est peut-être de voir et de communiquer avec les esprits ou les esprits lumineux, tiens ! Mais, au fur et à mesure que je me rapproche, j'entends les ondes cellulaires... Donc, en fait, elle parlait juste au téléphone. Okay. Non, mais je déconne. Je n'entends pas les ondes cellulaires... 'Fin, si, mais pas d'aussi loin. Seulement quand je me trouve à moins de 2 mètres. Concernant la fille au téléphone, je le sais parce j'ai lâchée une autre rafale d'ondes entre temps. Eh oui, je cache des choses, je ne dévoile pas tout. J'ai vu qu'elle portait sa main à son oreille et j'ai même clairement distingué l'iPhone qu'elle tenait. Mystère éclairé, je peux poursuivre ma route. Je me remets en marche, mais je m'arrête bien rapidement en l'entendant parler. Cette fille ne parle pas en anglais. Elle parle en français, mais elle ne parle pas n'importe lequel des français. Elle parle en québécois. Ce n'est pas de mes affaires et c'est mal d'épier les gens, surtout dans leurs conversations privées. En tout temps, en fait. Faut pas faire ça, c'est pas bien, c'est... Oh et puis zut ! Je replace mes lunettes de soleil et je m'approche. C'est pas tous les jours que j'ai la chance de croiser quelqu'un qui vient du même coin de pays que moi.
- Eden. Tu connais la situation. Je suis pas aussi libre que je le voudrais. Même si je reviens, ce sera juste pour une semaine et je vais devoir repartir après.
Wow, c'est un drôle de hasard ça ! Elle connait quelqu'un qui s'appelle Eden, comme ma meilleure amie. Si ça se trouve, cette Eden est peut-être sa meilleure amie et peut-être que cette fille s'appelle aussi Vendemmia ! Non, ça, il y a extrêmement peu de chance. Il y a même plus de chances que je revois un jour les couleurs plutôt que cette fille ait un nom aussi peu commun. Ou si c'est ça, je suis l'une des personnes les plus chanceuses de cette planète et je m'achète un Loto 6-49. Je reporte mon attention sur cette fille. D'ailleurs, je me demande si je l'ai déjà croisée dans les couloirs ou en cours, bien que je dorme durant ces derniers hehehe... Je vais lancer une autre rafale pour voir. Il va falloir que je modère sur ça pour la prochaine demie-heure, si non, je vais encore me retrouver par terre, complètement désorientée et incapable de me relever et quelqu'un va me ramasser en croyant que j'ai trop bu. D'autant plus que je suis sensible à la lumière, celui qui me ramasserait pourrait vraiment croire que je suis bourrée, mais comme je n'empesterais l'alcool, il opterait pour une substance illicite. Je replace mes lunettes de soleil en déglutissant. Ne plus y penser. Ça n'arrivera pas. Je lance encore une rafale et le résultat manque de me faire tomber à la renverse.
- Dans ce cas, je viendrais en septembre. Ça te va ça ? Septembre.
Cette fille, elle... elle... Cette ressemblance... Ça ne se peut pas ! Ce n'est pas...
- Tout ce que tu veux !... Eden Clark, je jure sur mon matériel de dessin que je viendrai vous voir en septembre.
Il n'y a plus de doute possible. Plus maintenant. Cette fille est le portrait craché de ma meilleure amie et elle vient de prononcer son nom en parlant au téléphone. Le nom de cette fille s'échappe de mes lèvres, dans un murmure :
- Tori Clark...
Celle-là ! Qu'est-ce qu'elle fout là elle, bordel merde ???!!!C'était là qu'elle était tout ce temps ?! Pendant que je passais mon temps à consoler Eden, sa sœur était ici. Elle n'est même pas revenue une seule fois. Elle ne lui a envoyée que des lettres et des messages text en plus de l'appeler, comme présentement. C'est mieux que rien, mais bordel, ça fait vraiment dure ! J'ai des choses à lui dire à elle.
- Bye...
Elle a raccrochée. C'est le moment. Je m'approche d'elle avec une démarche lente et bruyante, histoire qu'elle me sente bien arriver. Quoi ? Elle est rendue de dos ? Parfait ! La surprise n'en sera que plus grande ! Il y a un long moment de silence avant qu'elle ne se décide à parler dans la langue de Shakespeare :
- Salut ?...
Je replace mes lunettes de soleil et je croise les bras, avant lui répondre en français :
(en français)
- Je crois pas, non !...
Je lui laisse un petit temps pour lui donner une chance de me reconnaître et de s'écrier toute étonnée " Venda ?! ", mais elle ne le fait pas, donc je poursuis :
(en français)
- Bah alors, tu me reconnais pas ? Ou ben donc, t'as épuisé tout ce que t'avais à dire en parlant avec Eden ? C'est ta sœur, t'as dû remarquer à quel point elle s'ennuyait de toi. Moi, en tout cas, en tant que meilleure amie, je l'ai constaté chaque jour depuis ton départ... Tu me replaces maintenant ?
Bien-sûr qu'elle me reconnaît. Ce serait difficile d'oublier le visage d'une personne qu'on a souvent vu, à moins de se cogner très fort la tête.
Bien, maintenant que j'ai fini de chialer, où est-ce que je suis ? Je suis dehors, à côté de la maison Rubis, cette dernière étant étrangement calme. Je suppose qu'avec le temps qu'il fait, personne n'a envie de rester enfermé. Ils sont probablement tous sortis faire des bêtises ailleurs. Je n'ai pas envie de le savoir et je m'en fout éperdument, du moment que personne ne vienne dégueuler dans mon lit en rentrant. Je replace mes lunettes de soleil en essayant de chasser cette possibilité de mon esprit lumineux. C'est marrant, parce que esprit c'est " geist " en allemand et lumière, c'est " licht ". Belle observation ! Geistlicht, Venda Geistlicht. Bond, James Bond... OKAY, ça va ! J'arrête de faire les références, je m'y met ! Ça va ! Vous pouvez lâcher vos armes, j'y vais ! J'ai juste besoin d'un petit coup pour partir, ça va aller après. Je replace mes lunettes de soleil, je me racle la gorge et je prends une grande inspiration. C'est toujours aussi étrange de faire ça. J'espère que personne ne me regarde. Dans un geste splendide, je lâche une rafale... Ah non en fait... Ça n'a pas fonctionné. Try again ! Je reprends une grande bouffée d'air. Cette fois-ci, c'est la bonne ! Je lâche un cri inaudible pour les autres personnes et là, ça fonctionne. Je vois clairement les différents chemins au sol, dont le sentier des jardins. Tandis que l'image commence lentement à devenir floue, j'arrive au sentier et je m'y engage. Voilà !
Puisque c'est dehors et que l'espace est beaucoup plus grand, ça va être un peu plus difficile à quadriller que de simples corridors ou des pièces, mais j'ai l'intention de revenir plusieurs fois. Bah oui, je ferais pas ça en une seule soirée, surtout s'il fait nuit noire. Je vais me contenter de peu pour l'instant. J'entends quelqu'une parler seule, car oui, c'est la voix d'une fille. En tout cas, c'est ce que je pense au début... Qu'elle parle seule, hein, pas que c'est une fille. Ça je l'entends, je le sais. Ami imaginaire, maladie mentale, préparation d'un exposé oral, etc. Après, je me souviens qu'on est dans une école complètement fuckée, donc je me dis que son pouvoir, c'est peut-être de voir et de communiquer avec les esprits ou les esprits lumineux, tiens ! Mais, au fur et à mesure que je me rapproche, j'entends les ondes cellulaires... Donc, en fait, elle parlait juste au téléphone. Okay. Non, mais je déconne. Je n'entends pas les ondes cellulaires... 'Fin, si, mais pas d'aussi loin. Seulement quand je me trouve à moins de 2 mètres. Concernant la fille au téléphone, je le sais parce j'ai lâchée une autre rafale d'ondes entre temps. Eh oui, je cache des choses, je ne dévoile pas tout. J'ai vu qu'elle portait sa main à son oreille et j'ai même clairement distingué l'iPhone qu'elle tenait. Mystère éclairé, je peux poursuivre ma route. Je me remets en marche, mais je m'arrête bien rapidement en l'entendant parler. Cette fille ne parle pas en anglais. Elle parle en français, mais elle ne parle pas n'importe lequel des français. Elle parle en québécois. Ce n'est pas de mes affaires et c'est mal d'épier les gens, surtout dans leurs conversations privées. En tout temps, en fait. Faut pas faire ça, c'est pas bien, c'est... Oh et puis zut ! Je replace mes lunettes de soleil et je m'approche. C'est pas tous les jours que j'ai la chance de croiser quelqu'un qui vient du même coin de pays que moi.
- Eden. Tu connais la situation. Je suis pas aussi libre que je le voudrais. Même si je reviens, ce sera juste pour une semaine et je vais devoir repartir après.
Wow, c'est un drôle de hasard ça ! Elle connait quelqu'un qui s'appelle Eden, comme ma meilleure amie. Si ça se trouve, cette Eden est peut-être sa meilleure amie et peut-être que cette fille s'appelle aussi Vendemmia ! Non, ça, il y a extrêmement peu de chance. Il y a même plus de chances que je revois un jour les couleurs plutôt que cette fille ait un nom aussi peu commun. Ou si c'est ça, je suis l'une des personnes les plus chanceuses de cette planète et je m'achète un Loto 6-49. Je reporte mon attention sur cette fille. D'ailleurs, je me demande si je l'ai déjà croisée dans les couloirs ou en cours, bien que je dorme durant ces derniers hehehe... Je vais lancer une autre rafale pour voir. Il va falloir que je modère sur ça pour la prochaine demie-heure, si non, je vais encore me retrouver par terre, complètement désorientée et incapable de me relever et quelqu'un va me ramasser en croyant que j'ai trop bu. D'autant plus que je suis sensible à la lumière, celui qui me ramasserait pourrait vraiment croire que je suis bourrée, mais comme je n'empesterais l'alcool, il opterait pour une substance illicite. Je replace mes lunettes de soleil en déglutissant. Ne plus y penser. Ça n'arrivera pas. Je lance encore une rafale et le résultat manque de me faire tomber à la renverse.
- Dans ce cas, je viendrais en septembre. Ça te va ça ? Septembre.
Cette fille, elle... elle... Cette ressemblance... Ça ne se peut pas ! Ce n'est pas...
- Tout ce que tu veux !... Eden Clark, je jure sur mon matériel de dessin que je viendrai vous voir en septembre.
Il n'y a plus de doute possible. Plus maintenant. Cette fille est le portrait craché de ma meilleure amie et elle vient de prononcer son nom en parlant au téléphone. Le nom de cette fille s'échappe de mes lèvres, dans un murmure :
- Tori Clark...
Celle-là ! Qu'est-ce qu'elle fout là elle, bordel merde ???!!!C'était là qu'elle était tout ce temps ?! Pendant que je passais mon temps à consoler Eden, sa sœur était ici. Elle n'est même pas revenue une seule fois. Elle ne lui a envoyée que des lettres et des messages text en plus de l'appeler, comme présentement. C'est mieux que rien, mais bordel, ça fait vraiment dure ! J'ai des choses à lui dire à elle.
- Bye...
Elle a raccrochée. C'est le moment. Je m'approche d'elle avec une démarche lente et bruyante, histoire qu'elle me sente bien arriver. Quoi ? Elle est rendue de dos ? Parfait ! La surprise n'en sera que plus grande ! Il y a un long moment de silence avant qu'elle ne se décide à parler dans la langue de Shakespeare :
- Salut ?...
Je replace mes lunettes de soleil et je croise les bras, avant lui répondre en français :
(en français)
- Je crois pas, non !...
Je lui laisse un petit temps pour lui donner une chance de me reconnaître et de s'écrier toute étonnée " Venda ?! ", mais elle ne le fait pas, donc je poursuis :
(en français)
- Bah alors, tu me reconnais pas ? Ou ben donc, t'as épuisé tout ce que t'avais à dire en parlant avec Eden ? C'est ta sœur, t'as dû remarquer à quel point elle s'ennuyait de toi. Moi, en tout cas, en tant que meilleure amie, je l'ai constaté chaque jour depuis ton départ... Tu me replaces maintenant ?
Bien-sûr qu'elle me reconnaît. Ce serait difficile d'oublier le visage d'une personne qu'on a souvent vu, à moins de se cogner très fort la tête.
Re: Retrouvailles et engueulade entre le corbeau et la chauve-souris [PV Venda]
Dans un premier temps, elle ne fait que rajuster ses lunettes fumées. D'ailleurs, je trouve plutôt étrange le fait qu'elle porte un tel accessoire alors que le soleil ne brille plus assez pour que cela ait un impact sur la visibilité, mais peut-être qu'elle les porte plutôt pour se donner un style.
(en français)
- Je crois pas, non !...
Je manque de reculer sous l'effet de la surprise, mais je n'y arrive tout simplement pas. Qu'est-ce que c'est que cette façon de répondre ? Et en français en plus ?! Je reste interdite. Est-ce que c'est parce parce que je l'ai déjà croisé à l'académie ou bien...
(en français)
- Bah alors, tu me reconnais pas ? Ou ben donc, t'as épuisé tout ce que t'avais à dire en parlant avec Eden ? C'est ta sœur, t'as dû remarquer à quel point elle s'ennuyait de toi. Moi, en tout cas, en tant que meilleure amie, je l'ai constaté chaque jour depuis ton départ... Tu me replaces maintenant ?
J'ouvre la bouche, mais son nom me reste au travers de la gorge. Pourtant, ce n'est pas comme si je ne le connaissais pas, je l'ai entendu il y a de ça moins de 5 minutes. FUCK, MAIS QU'EST-CE QU'ELLE FAIT ICI ??? C'EST QUOI CE GROS BORDEL ??? Je ne sais plus comment réagir. Être heureuse de voir un visage familier ? Être surprise de la voir ici ? Être choquée par la façon dont elle m'a parlé ? Je finis par me rapprocher d'elle en me mettant a jouer nerveusement avec mes mains et je lui demande d'une voix où de mêle surprise, joie et appréhension :
(en français)
- Venda, qu'est-ce que tu viens faire ici ?
Question bien stupide évidemment, puisqu'il n'y a pas 36 000 réponses possibles. Je me rattrape plutôt en lui en posant d'autres :
(en français)
- Depuis combien de temps es-tu là ? Pourquoi tu me parles de cette façon ? Et surtout... NON MAIS EN FAIT T'ES LÀ !!! COMMENT ÇA SE FAIT ???
Je ne parviens pas du tout à garder mon self-control. Cette situation me paraît tellement improbable que le seul moyen de la rendre encore plus farfelue serait que ma sœur sorte de derrière un buisson. Je jette un rapide coup d'œil aux alentours, juste pour m'assurer qu'il n'y a pas de buissons assez grand pour que quelqu'un s'y cache avant de revenir à mon interlocutrice. Argh, c'est encore plus perturbant avec ses fichues lunettes.
(en français)
- Et puis c'est quoi ces lunettes de soleil que tu portes ? Le soleil se couche, tu dois pas voir grand chose avec ça.
Non, mais je n'en reviens toujours pas. Je n'aurais jamais cru voir quelqu'un que je connais débarquer ici, c'est un vrai choc.
(en français)
- Je crois pas, non !...
Je manque de reculer sous l'effet de la surprise, mais je n'y arrive tout simplement pas. Qu'est-ce que c'est que cette façon de répondre ? Et en français en plus ?! Je reste interdite. Est-ce que c'est parce parce que je l'ai déjà croisé à l'académie ou bien...
(en français)
- Bah alors, tu me reconnais pas ? Ou ben donc, t'as épuisé tout ce que t'avais à dire en parlant avec Eden ? C'est ta sœur, t'as dû remarquer à quel point elle s'ennuyait de toi. Moi, en tout cas, en tant que meilleure amie, je l'ai constaté chaque jour depuis ton départ... Tu me replaces maintenant ?
J'ouvre la bouche, mais son nom me reste au travers de la gorge. Pourtant, ce n'est pas comme si je ne le connaissais pas, je l'ai entendu il y a de ça moins de 5 minutes. FUCK, MAIS QU'EST-CE QU'ELLE FAIT ICI ??? C'EST QUOI CE GROS BORDEL ??? Je ne sais plus comment réagir. Être heureuse de voir un visage familier ? Être surprise de la voir ici ? Être choquée par la façon dont elle m'a parlé ? Je finis par me rapprocher d'elle en me mettant a jouer nerveusement avec mes mains et je lui demande d'une voix où de mêle surprise, joie et appréhension :
(en français)
- Venda, qu'est-ce que tu viens faire ici ?
Question bien stupide évidemment, puisqu'il n'y a pas 36 000 réponses possibles. Je me rattrape plutôt en lui en posant d'autres :
(en français)
- Depuis combien de temps es-tu là ? Pourquoi tu me parles de cette façon ? Et surtout... NON MAIS EN FAIT T'ES LÀ !!! COMMENT ÇA SE FAIT ???
Je ne parviens pas du tout à garder mon self-control. Cette situation me paraît tellement improbable que le seul moyen de la rendre encore plus farfelue serait que ma sœur sorte de derrière un buisson. Je jette un rapide coup d'œil aux alentours, juste pour m'assurer qu'il n'y a pas de buissons assez grand pour que quelqu'un s'y cache avant de revenir à mon interlocutrice. Argh, c'est encore plus perturbant avec ses fichues lunettes.
(en français)
- Et puis c'est quoi ces lunettes de soleil que tu portes ? Le soleil se couche, tu dois pas voir grand chose avec ça.
Non, mais je n'en reviens toujours pas. Je n'aurais jamais cru voir quelqu'un que je connais débarquer ici, c'est un vrai choc.
Re: Retrouvailles et engueulade entre le corbeau et la chauve-souris [PV Venda]
On dirait bien que je l'ai troublé. Trop d'émotions d'un seul coup.
(en français)
- Venda, qu'est-ce que tu viens faire ici ?
Un peu plus et je me mets à rire. C'est à ce point déroutant ? Vraiment ? Nan, mais tant qu'à y être, pourquoi ne pas me demander comment j'ai fait pour traverser l'océan ou encore mieux, comment j'ai fait pour attacher mes lacets de chaussure ou non, je sais pourquoi ne pas me poser des questions comm...
(en français)
- Depuis combien de temps es-tu là ? Pourquoi tu me parles de cette façon ? Et surtout... NON MAIS EN FAIT T'ES LÀ !!! COMMENT ÇA SE FAIT ???
Ouais, voilà, des questions stupides comme ça. Oulà, par contre je vais devoir y répondre à toutes ses questions hystériques. Je ne m'attendais pas à devoir faire une entrevue. Ça ne faisait pas partie du contrat !
(en français)
- Et puis c'est quoi ces lunettes de soleil que tu portes ? Le soleil se couche, tu dois pas voir grand chose avec ça.
Non, mais elle va finir par me laisser répondre avant de poser d'autres questions, celle-là, oui ou merde ? Je replace mes lunettes de soleil, juste pour la narguer, car visiblement ça l'embête.
(fr)
- C'est quoi ces façons de s'en prendre aux lunettes de soleil ? Et puis je vois pas grand chose de toute façon.
Je fais une petite pause, juste pour me laisser le temps de constater la situation. Tori, Tori, Tori, dommage qu'à mes yeux, tu ne représentes plus qu'une déception. Le temps où je te voyais comme une personne sympathique et attentionnée est révolu, parce que tu n'as pas été attentive. Si je fumais, ce serait le moment où je prendrais une bouffée de nicotine et de cancer, mais je n'aime pas ces conneries d'émetteurs de boucane, alors l'effet de ma pause n'est pas aussi cool qu'il pourrait l'être si j'avais envie de mourir à 69 ans d'un cancer pulmonaire.
(fr)
- Maintenant, si tu veux des réponses, garde ta gueule fermée et écoute, espèce d'inconsciente. Okay. Pour résumer, comme t'as vu, je suis là et ça fait moins d'un mois. Je suis venue pour t'annoncer que t'es une mauvaise sœur malgré ce qu'Eden peut laisser croire, parce qu'elle est malheureuse sans toi et parce que tu donnes presque pas de nouvelles. Et oui, au passage j'ai des lunettes de soleil. Il y a une raison à ça. Je dis pas que t'en aurais appris plus avec Eden, mais si tu lui avais demandé des nouvelles de son entourage, y'aurait eu des chances pour qu'elle te raconte ce qui m'est arrivé. Mais bon, pour ça, y'aurait fallu que tu commences par prendre plus souvent de ses nouvelles.
Ohhhh, cassééé ! Je crois bien qu'elle est en train de culpabiliser, vu qu'à la distance où je suis, j'ai pu remarquer qu'elle avait baissé la tête, mais pourtant elle continue de me regarder, nan ? Ce serait un mélange de culpabilité et d'agacement ? Elle reconnaît ses torts, mais mes propos la font chier ou quoi ?...
(fr)
- Surtout, essaie pas de te défendre en disant que je l'ai aussi abandonné en venant, parce que je communique avec elle chaque jour depuis mon arrivée. Une dernière chose avant que je te laisse pleurer toute seule sur ton sort; j'ai l'ouïe fine, alors fais attention à ne pas raconter de conneries. Allez, ciao.
Je replace mes lunettes de soleil, m'éloigne et repars dans la direction d'où je suis arrivée. Si avec ça elle n'éprouve pas de regrets ou de remords, c'est que cette fille est un bordel d'heartless qui mérite juste de se faire abattre à coup de Keyblade. Sublime référence. Bon, je crois que je vais rentrer, cette rencontre m'a crevé. Tant pis pour les jardins.
(en français)
- Venda, qu'est-ce que tu viens faire ici ?
Un peu plus et je me mets à rire. C'est à ce point déroutant ? Vraiment ? Nan, mais tant qu'à y être, pourquoi ne pas me demander comment j'ai fait pour traverser l'océan ou encore mieux, comment j'ai fait pour attacher mes lacets de chaussure ou non, je sais pourquoi ne pas me poser des questions comm...
(en français)
- Depuis combien de temps es-tu là ? Pourquoi tu me parles de cette façon ? Et surtout... NON MAIS EN FAIT T'ES LÀ !!! COMMENT ÇA SE FAIT ???
Ouais, voilà, des questions stupides comme ça. Oulà, par contre je vais devoir y répondre à toutes ses questions hystériques. Je ne m'attendais pas à devoir faire une entrevue. Ça ne faisait pas partie du contrat !
(en français)
- Et puis c'est quoi ces lunettes de soleil que tu portes ? Le soleil se couche, tu dois pas voir grand chose avec ça.
Non, mais elle va finir par me laisser répondre avant de poser d'autres questions, celle-là, oui ou merde ? Je replace mes lunettes de soleil, juste pour la narguer, car visiblement ça l'embête.
(fr)
- C'est quoi ces façons de s'en prendre aux lunettes de soleil ? Et puis je vois pas grand chose de toute façon.
Je fais une petite pause, juste pour me laisser le temps de constater la situation. Tori, Tori, Tori, dommage qu'à mes yeux, tu ne représentes plus qu'une déception. Le temps où je te voyais comme une personne sympathique et attentionnée est révolu, parce que tu n'as pas été attentive. Si je fumais, ce serait le moment où je prendrais une bouffée de nicotine et de cancer, mais je n'aime pas ces conneries d'émetteurs de boucane, alors l'effet de ma pause n'est pas aussi cool qu'il pourrait l'être si j'avais envie de mourir à 69 ans d'un cancer pulmonaire.
(fr)
- Maintenant, si tu veux des réponses, garde ta gueule fermée et écoute, espèce d'inconsciente. Okay. Pour résumer, comme t'as vu, je suis là et ça fait moins d'un mois. Je suis venue pour t'annoncer que t'es une mauvaise sœur malgré ce qu'Eden peut laisser croire, parce qu'elle est malheureuse sans toi et parce que tu donnes presque pas de nouvelles. Et oui, au passage j'ai des lunettes de soleil. Il y a une raison à ça. Je dis pas que t'en aurais appris plus avec Eden, mais si tu lui avais demandé des nouvelles de son entourage, y'aurait eu des chances pour qu'elle te raconte ce qui m'est arrivé. Mais bon, pour ça, y'aurait fallu que tu commences par prendre plus souvent de ses nouvelles.
Ohhhh, cassééé ! Je crois bien qu'elle est en train de culpabiliser, vu qu'à la distance où je suis, j'ai pu remarquer qu'elle avait baissé la tête, mais pourtant elle continue de me regarder, nan ? Ce serait un mélange de culpabilité et d'agacement ? Elle reconnaît ses torts, mais mes propos la font chier ou quoi ?...
(fr)
- Surtout, essaie pas de te défendre en disant que je l'ai aussi abandonné en venant, parce que je communique avec elle chaque jour depuis mon arrivée. Une dernière chose avant que je te laisse pleurer toute seule sur ton sort; j'ai l'ouïe fine, alors fais attention à ne pas raconter de conneries. Allez, ciao.
Je replace mes lunettes de soleil, m'éloigne et repars dans la direction d'où je suis arrivée. Si avec ça elle n'éprouve pas de regrets ou de remords, c'est que cette fille est un bordel d'heartless qui mérite juste de se faire abattre à coup de Keyblade. Sublime référence. Bon, je crois que je vais rentrer, cette rencontre m'a crevé. Tant pis pour les jardins.
Re: Retrouvailles et engueulade entre le corbeau et la chauve-souris [PV Venda]
Quelle agressivité ! Je reste sans voix devant les remarques et même les reproches que me fait Venda. Je n'ai tout simplement rien à répliquer, car je me rends compte que ce qu'elle dit - même si c'est brusque - est vrai. Je réalise l'ampleur de la chose et j'ai honte de ne pas m'en être rendu compte plus tôt et par moi-même.
(fr)
- Surtout, essaie pas de te défendre en disant que je l'ai aussi abandonné en venant, parce que je communique avec elle chaque jour depuis mon arrivée. Une dernière chose avant que je te laisse pleurer toute seule sur ton sort; j'ai l'ouïe fine, alors fais attention à ne pas raconter de conneries. Allez, ciao.
Je la regarde d'un air frustré et renfrogné pendant qu'elle tourne le talon et s'en va comme elle est arrivée. Lorsqu'elle a disparu de mon champ de vision, je me laisse tomber au pied de l'arbre, accote ma tête contre le tronc et ferme les yeux en poussant un soupir. Dites-moi que je rêve... Qu'est-ce que c'était que ça ? Qu'est-ce qui vient vraiment de se passer ?
Je reste un long moment contre l'arbre, la tête levée vers le ciel et les yeux fermés. Au bout d'un temps que je ne calcule pas, j'ouvre les yeux pour constater que la lumière naturelle a beaucoup diminué. Baisse la tête sur mon téléphone que je ressors de ma poche et je tape un message que j'envoie.
Tori :
Je suis désolée, Eden. J'aurais dû m'en rendre compte
(fr)
- Surtout, essaie pas de te défendre en disant que je l'ai aussi abandonné en venant, parce que je communique avec elle chaque jour depuis mon arrivée. Une dernière chose avant que je te laisse pleurer toute seule sur ton sort; j'ai l'ouïe fine, alors fais attention à ne pas raconter de conneries. Allez, ciao.
Je la regarde d'un air frustré et renfrogné pendant qu'elle tourne le talon et s'en va comme elle est arrivée. Lorsqu'elle a disparu de mon champ de vision, je me laisse tomber au pied de l'arbre, accote ma tête contre le tronc et ferme les yeux en poussant un soupir. Dites-moi que je rêve... Qu'est-ce que c'était que ça ? Qu'est-ce qui vient vraiment de se passer ?
Je reste un long moment contre l'arbre, la tête levée vers le ciel et les yeux fermés. Au bout d'un temps que je ne calcule pas, j'ouvre les yeux pour constater que la lumière naturelle a beaucoup diminué. Baisse la tête sur mon téléphone que je ressors de ma poche et je tape un message que j'envoie.
Tori :
Je suis désolée, Eden. J'aurais dû m'en rendre compte
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