Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
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Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
13 H 30.
Arrivé à l'école depuis quatre heures déjà, j'avais passé ce temps, comme à mon habitude, à errer dans les locaux, ma canne tapotant régulièrement en un sec claquement le sol de l'université. Se faisant j'en profitais toujours pour me remémorer les lieux, repérer les changements dans les panneaux d'affichage, les ornementations qu'on pouvait trouver sur les murs ou les casiers des élèves, ou sur ces derniers eux même. Oh, pour être honnête, ma mémoire me jouait de sales tours et j'étais bien en peine de me remémorer le nom de chacun, mais au bout d'un certain, même en ignorant leur appellation, les visages, ainsi que les pouvoirs qui y étaient associés dans leurs dossiers, finissaient par devenir familier.
Cette errance aurait pu paraître des plus irresponsables aux yeux de certains de mes respectés et aimables collègues, seulement mon cours était déjà prêt, j'attendais simplement qu'advienne l'heure de mon cours, ou une rencontre inopinée. Malheureusement, il semblait que les élèves se sentent très bien entre eux, et un peu moins bien avec un prof. Résultat prévisible, mais désolant. Finalement cela advint tant et si bien que l'heure de mon cours advint sans que rien de notable ne survienne. Soupirant alors j'allongeais quelque peu ma démarche, pour arriver à la salle qui m'était attribué pour ce cours.
14 heures
Quand j’arrivais en face de cette dernière, je constatais les élèves étaient déjà en place et que le dernier a être entré avait mal fermé la porte ! Cela dans le fond importait peu puisque de toute façon je la refermerai derrière moi. Ainsi je l'ouvris d'un petit coup de canne sec, dont la poussé suffit à faire basculer le battant en un léger grincement. L'instant d’après j'entrais, regardant alors les places des élèves... Il ne faisait nul doute qu'il y allait avoir des absents et des retardataire,s au moins autant qu'il y en avait en avance... Oui, en avance ,car un gentleman n'était jamais en retard, ni en avance, et j'étais un gentleman !
Enfin, de toute façon l'absentéisme était un problème récurrent dans cette université, sans doute à cause de la façon donc ces dernières étaient gérés. Enfin bon, après tout c’était le problème des absents que de rester sots, hein ? Je n'allais pas me soucier de leur cas au détriment de ceux qui étaient présents ! En conséquence je posais ma canne sur le bureau qui m'était attribué, et tout en sortant mes notes, après avoir réajusté mon chapeau, je m'adressais aux élèves d'une voix forte.
"Prenez vos livres à la page 153, nous allons continuer le cours sur la progression des forces alliés, Russes exclus, vers Berlin, qui fut en vérité bien moins aisé que ce qu'on a pu croire et pour exemple nous avions déjà vu en partie le siège du Bastogne !"
Tout en procurant mes explications j'avais repris ma canne afin de frapper sèchement la carte, pour indiquer la position du dit lieu, où des troupes alliées avaient été piégés par leurs adversaires. Se faisant, mon geste amenait un pan de ma veste à s'ouvrir et à dévoiler le ceinturon retenant mon revolver, mais bon les élèves devaient y être habitués maintenant... De toute façon cela fut bref puisque ma canne fendit à nouveau l'air pour venir pointer un de mes élèves, à qui je m'adressais soudainement.
"Vous ! Dites moi ce qui est advenu lors de ce siège. Quelle était le bataillon piégé à l'intérieur de Bastogne et quelle était l'importance stratégique de ce lieu ?!"
Oui... Mes sujets de cours déviait un peu de l'étude habituelle, mais j'étais du genre à témoigner bien plus d’importance aux événement précis qu'à un schéma global.Après tout à quoi bon un puzzle dont on ne comprenait pas chacune des pièces ?
Arrivé à l'école depuis quatre heures déjà, j'avais passé ce temps, comme à mon habitude, à errer dans les locaux, ma canne tapotant régulièrement en un sec claquement le sol de l'université. Se faisant j'en profitais toujours pour me remémorer les lieux, repérer les changements dans les panneaux d'affichage, les ornementations qu'on pouvait trouver sur les murs ou les casiers des élèves, ou sur ces derniers eux même. Oh, pour être honnête, ma mémoire me jouait de sales tours et j'étais bien en peine de me remémorer le nom de chacun, mais au bout d'un certain, même en ignorant leur appellation, les visages, ainsi que les pouvoirs qui y étaient associés dans leurs dossiers, finissaient par devenir familier.
Cette errance aurait pu paraître des plus irresponsables aux yeux de certains de mes respectés et aimables collègues, seulement mon cours était déjà prêt, j'attendais simplement qu'advienne l'heure de mon cours, ou une rencontre inopinée. Malheureusement, il semblait que les élèves se sentent très bien entre eux, et un peu moins bien avec un prof. Résultat prévisible, mais désolant. Finalement cela advint tant et si bien que l'heure de mon cours advint sans que rien de notable ne survienne. Soupirant alors j'allongeais quelque peu ma démarche, pour arriver à la salle qui m'était attribué pour ce cours.
14 heures
Quand j’arrivais en face de cette dernière, je constatais les élèves étaient déjà en place et que le dernier a être entré avait mal fermé la porte ! Cela dans le fond importait peu puisque de toute façon je la refermerai derrière moi. Ainsi je l'ouvris d'un petit coup de canne sec, dont la poussé suffit à faire basculer le battant en un léger grincement. L'instant d’après j'entrais, regardant alors les places des élèves... Il ne faisait nul doute qu'il y allait avoir des absents et des retardataire,s au moins autant qu'il y en avait en avance... Oui, en avance ,car un gentleman n'était jamais en retard, ni en avance, et j'étais un gentleman !
Enfin, de toute façon l'absentéisme était un problème récurrent dans cette université, sans doute à cause de la façon donc ces dernières étaient gérés. Enfin bon, après tout c’était le problème des absents que de rester sots, hein ? Je n'allais pas me soucier de leur cas au détriment de ceux qui étaient présents ! En conséquence je posais ma canne sur le bureau qui m'était attribué, et tout en sortant mes notes, après avoir réajusté mon chapeau, je m'adressais aux élèves d'une voix forte.
"Prenez vos livres à la page 153, nous allons continuer le cours sur la progression des forces alliés, Russes exclus, vers Berlin, qui fut en vérité bien moins aisé que ce qu'on a pu croire et pour exemple nous avions déjà vu en partie le siège du Bastogne !"
Tout en procurant mes explications j'avais repris ma canne afin de frapper sèchement la carte, pour indiquer la position du dit lieu, où des troupes alliées avaient été piégés par leurs adversaires. Se faisant, mon geste amenait un pan de ma veste à s'ouvrir et à dévoiler le ceinturon retenant mon revolver, mais bon les élèves devaient y être habitués maintenant... De toute façon cela fut bref puisque ma canne fendit à nouveau l'air pour venir pointer un de mes élèves, à qui je m'adressais soudainement.
"Vous ! Dites moi ce qui est advenu lors de ce siège. Quelle était le bataillon piégé à l'intérieur de Bastogne et quelle était l'importance stratégique de ce lieu ?!"
Oui... Mes sujets de cours déviait un peu de l'étude habituelle, mais j'étais du genre à témoigner bien plus d’importance aux événement précis qu'à un schéma global.Après tout à quoi bon un puzzle dont on ne comprenait pas chacune des pièces ?
Re: Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
Pause de midi. Après un sandwich mérité suite à une matinée de cours aussi palpitante qu'un mauvais film, Pryam s'était dirigé vers la salle de musique déserte pour pianoter un peu. Entre les cours, il adorait faire ça. Ça lui changeait les idées, il pouvait réellement faire une pause de cette façon, en se détachant totalement du monde qui l'entourait. Il jouait... jouait... ne se souciant même pas des curieux qui passaient leur tête par l'encadrement de la porte pour l'écouter. Le blond avait commencé à s'y faire, à la vie en communauté. Il était moins sur la défensive depuis quelques jours.
L'heure passait s'en même qu'il ne s'en rende compte, à vive allure, de son tic tac incessant. Les dernières notes du morceau classique que jouait Pryam s'envolèrent en laissant derrière elles un léger écho. Il s'étira un peu, sorti son smartphone et regarda l'heure. 14h10. ... ... ... Et marde. Encore à la bourre. Le blond se fit un facepalm avant de saisir son sac pour sortir en trombe de la salle de musique, ajustant au passage son uniforme aux couleurs des Émeraudes. Ça faisait déjà maintenant deux semaines qu'il essayait de se donner un coup de pied aux miches pour réussir à être à l'heure, mais ça n'avait apparemment aucun effet.
Un couloir, un autre, une bousculade, des excuses... Il lui fallut 5 bonnes minutes pour enfin arriver dans la salle du cours d'Histoire Géographie. Forcément, la porte était déjà fermée, et le cours bien entamé. Mais il avait réussi. Pryam poussa un petit soupir de soulagement, reprit son souffle et ouvrit tout doucement la porte. Cette dernière émit un grincement qui fit grimacer le blond, il espérait sincèrement ne pas se faire remarquer. Ce fut d'ailleurs presque sur la pointe des pieds qu'il rejoint une table inoccupée au fond de la classe. Il tira la chaise lentement... posa son sac au sol pour sortir délicatement son livre pour le déposer dans un bruit à peine audible sur la table devant lui.
Apparemment, le prof était en plein exposé sur le... siège de Bastogne. Pryam n'avait absolument aucune foutue idée de ce que ça pouvait bien être. Il cherchait sur le sommaire de son livre de cours pour tenter de trouver la page... quand sa voisine de droite lui souffla. Pryam la remercia du regard et commença à lire, histoire de rattraper son retard. Et soudain, le blond sursauta.
"Vous ! Dites moi ce qui est advenu lors de ce siège. Quel était le bataillon piégé à l'intérieur de Bastogne et quelle était l'importance stratégique de ce lieu ?!"
L'adolescent fixa son prof de ses billes bleues écarquillées. Qu... Wait... What ? Dans un élan d'espoir, il pivota sur sa chaise pour voir si par hasard l'enseignant ne s'adressait pas à la personne derrière lui. Manque de bol, tout ce qu'il croisa du regard fut un mur avec une carte géographique fièrement accrochée sur celui-ci. Pryam baissa alors les yeux vers son livre pour tenter d'y trouver la réponse... Puis se résigna d'un air dépité.
"Je ne sais pas, Monsieur..."
Déjà qu'il avait toujours été une bille en histoire... Il fallait que ça tombe sur lui. Il avait pourtant tenté d'entrer en toute discrétion pour ne pas se faire remarquer... mais non. Rien à faire. Ce prof aux allures de Dandy devait avoir une sorte de cinquième sens pour détecter les retardataires. Pryam continuait de le regarder dans les yeux, légèrement crispé. Il avait l'impression de subir un interrogatoire, les regards de ses camarades rivés sur lui. Malaise, il avala sa salive avec difficulté, attendant qu'on le sorte de cette situation périlleuse. Un petit miracle ne ferait pas de mal, non ?
L'heure passait s'en même qu'il ne s'en rende compte, à vive allure, de son tic tac incessant. Les dernières notes du morceau classique que jouait Pryam s'envolèrent en laissant derrière elles un léger écho. Il s'étira un peu, sorti son smartphone et regarda l'heure. 14h10. ... ... ... Et marde. Encore à la bourre. Le blond se fit un facepalm avant de saisir son sac pour sortir en trombe de la salle de musique, ajustant au passage son uniforme aux couleurs des Émeraudes. Ça faisait déjà maintenant deux semaines qu'il essayait de se donner un coup de pied aux miches pour réussir à être à l'heure, mais ça n'avait apparemment aucun effet.
Un couloir, un autre, une bousculade, des excuses... Il lui fallut 5 bonnes minutes pour enfin arriver dans la salle du cours d'Histoire Géographie. Forcément, la porte était déjà fermée, et le cours bien entamé. Mais il avait réussi. Pryam poussa un petit soupir de soulagement, reprit son souffle et ouvrit tout doucement la porte. Cette dernière émit un grincement qui fit grimacer le blond, il espérait sincèrement ne pas se faire remarquer. Ce fut d'ailleurs presque sur la pointe des pieds qu'il rejoint une table inoccupée au fond de la classe. Il tira la chaise lentement... posa son sac au sol pour sortir délicatement son livre pour le déposer dans un bruit à peine audible sur la table devant lui.
Apparemment, le prof était en plein exposé sur le... siège de Bastogne. Pryam n'avait absolument aucune foutue idée de ce que ça pouvait bien être. Il cherchait sur le sommaire de son livre de cours pour tenter de trouver la page... quand sa voisine de droite lui souffla. Pryam la remercia du regard et commença à lire, histoire de rattraper son retard. Et soudain, le blond sursauta.
"Vous ! Dites moi ce qui est advenu lors de ce siège. Quel était le bataillon piégé à l'intérieur de Bastogne et quelle était l'importance stratégique de ce lieu ?!"
L'adolescent fixa son prof de ses billes bleues écarquillées. Qu... Wait... What ? Dans un élan d'espoir, il pivota sur sa chaise pour voir si par hasard l'enseignant ne s'adressait pas à la personne derrière lui. Manque de bol, tout ce qu'il croisa du regard fut un mur avec une carte géographique fièrement accrochée sur celui-ci. Pryam baissa alors les yeux vers son livre pour tenter d'y trouver la réponse... Puis se résigna d'un air dépité.
"Je ne sais pas, Monsieur..."
Déjà qu'il avait toujours été une bille en histoire... Il fallait que ça tombe sur lui. Il avait pourtant tenté d'entrer en toute discrétion pour ne pas se faire remarquer... mais non. Rien à faire. Ce prof aux allures de Dandy devait avoir une sorte de cinquième sens pour détecter les retardataires. Pryam continuait de le regarder dans les yeux, légèrement crispé. Il avait l'impression de subir un interrogatoire, les regards de ses camarades rivés sur lui. Malaise, il avala sa salive avec difficulté, attendant qu'on le sorte de cette situation périlleuse. Un petit miracle ne ferait pas de mal, non ?
Re: Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
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Copyright Galimybé
Il avait remercié un quelconque dieu pour ne pas être arrivé en retard. Bel' s'était installé vers le fond de la classe, mais pas trop non plus, pour ne pas être en ligne de mire du professeur. Il avait ouvert son ordinateur et posé son livre sur la table, tout cela pour prendre des notes. C'était plus facile pour lui, plus rassurant aussi d'avoir son ordi' avec lui.
Le professeur arriva, il était plutôt atypique...Belphegor ne put cacher sa surprise et l'observait avec des yeux ronds. Certes, cela faisait depuis quelques temps qu'il voyait ce professeur d'histoire-géographie, mais il le surprenait toujours autant. Il se souvient de la fois où, en remarquant son arme, puis cette canne pointée vers lui, il avait eu une crise, sous le stress qui pesait sur ses épaules. Son premier cours, et il était parti en trombe jusqu'aux toilettes pour se calmer, son pouvoir commençant à s'activer.
L'islandais préféra oublier ce moment embarrassant...Puis son attention se focalisa sur une personne toute aussi atypique dans son esprit et il ouvrit précipitamment son livre à la bonne page pour ne plus y penser. Certainement pas ici, avec des élèves autour de lui...Visiblement, un autre jeune homme aux cheveux blonds n'avait pas eu la même chance que lui et était arrivé en retard. Le voilà désormais cible du professeur pour une question assez difficile quand on ne connaissait pas son cours. Belphegor eut de la peine pour lui, il aurait aimé à sa place, qu'on l'aida un peu...Devait-il tenter ? Ce serait se mettre en avant. Et s'il disait une affreuse connerie ? L'attention de tous les élèves serait pour sa pomme, il aurait faux et...et...Oui, mais à la place du jeune homme, il aurait aimé qu'on le sorte de ce mauvais pas, quitte à passer pour un monsieur-je-sais-tout. Déjà qu'il était geek, ça n'arrangerait rien à l'affaire.
Il leva la main pour obtenir l'attention de son professeur et de sa canne juge, le fixant de son regard vairon. Il se rassura avant de prendre la parole, qu'il avait tout de même de bons résultats dans cette matière, des hauts et des bas aussi, mais qu'il s'en sortait. Il ne bavardait pas trop et il foutait le moins de merde possible. Quant à ses connaissances pour cette question...Il remerciait sa mémoire pour les chiffres, pour le reste, il creusait dans ce qu'il avait appris.
« C'était... » Bel' s'interrompit en entendant sa voix enraillée. Et il faut que ça tombe sur moi...Il se racla rapidement la gorge puis continua, d'une voix plus ou moins forte et un tantinet hésitante. « C'était le bataillon du 501ème régiment de la 101ème Airborne, des américains...Heu l'importance stratégique...Bastogne était la plaque tournante de la bataille des Ardennes... » Il cherchait dans sa mémoire, espérant ne pas dire trop de conneries, puis finit par conclure par ces quelques mots. « Le Haut Commandement Allemand en faisait son objectif premier.et parce que c'est un nœud routier important... »
Le professeur arriva, il était plutôt atypique...Belphegor ne put cacher sa surprise et l'observait avec des yeux ronds. Certes, cela faisait depuis quelques temps qu'il voyait ce professeur d'histoire-géographie, mais il le surprenait toujours autant. Il se souvient de la fois où, en remarquant son arme, puis cette canne pointée vers lui, il avait eu une crise, sous le stress qui pesait sur ses épaules. Son premier cours, et il était parti en trombe jusqu'aux toilettes pour se calmer, son pouvoir commençant à s'activer.
L'islandais préféra oublier ce moment embarrassant...Puis son attention se focalisa sur une personne toute aussi atypique dans son esprit et il ouvrit précipitamment son livre à la bonne page pour ne plus y penser. Certainement pas ici, avec des élèves autour de lui...Visiblement, un autre jeune homme aux cheveux blonds n'avait pas eu la même chance que lui et était arrivé en retard. Le voilà désormais cible du professeur pour une question assez difficile quand on ne connaissait pas son cours. Belphegor eut de la peine pour lui, il aurait aimé à sa place, qu'on l'aida un peu...Devait-il tenter ? Ce serait se mettre en avant. Et s'il disait une affreuse connerie ? L'attention de tous les élèves serait pour sa pomme, il aurait faux et...et...Oui, mais à la place du jeune homme, il aurait aimé qu'on le sorte de ce mauvais pas, quitte à passer pour un monsieur-je-sais-tout. Déjà qu'il était geek, ça n'arrangerait rien à l'affaire.
Il leva la main pour obtenir l'attention de son professeur et de sa canne juge, le fixant de son regard vairon. Il se rassura avant de prendre la parole, qu'il avait tout de même de bons résultats dans cette matière, des hauts et des bas aussi, mais qu'il s'en sortait. Il ne bavardait pas trop et il foutait le moins de merde possible. Quant à ses connaissances pour cette question...Il remerciait sa mémoire pour les chiffres, pour le reste, il creusait dans ce qu'il avait appris.
« C'était... » Bel' s'interrompit en entendant sa voix enraillée. Et il faut que ça tombe sur moi...Il se racla rapidement la gorge puis continua, d'une voix plus ou moins forte et un tantinet hésitante. « C'était le bataillon du 501ème régiment de la 101ème Airborne, des américains...Heu l'importance stratégique...Bastogne était la plaque tournante de la bataille des Ardennes... » Il cherchait dans sa mémoire, espérant ne pas dire trop de conneries, puis finit par conclure par ces quelques mots. « Le Haut Commandement Allemand en faisait son objectif premier.et parce que c'est un nœud routier important... »
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Re: Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
Des pas s'affolaient dans les couloirs, on pouvait clairement entendre un souffle très rapide qui accompagnait cette course. Cela aurait pu être une course d'endurance dans l'établissement, mais il n'en était rien. C'était simplement moi qui était en retard. Avec mes livres et un classeur plaqué contre moi, mes bras refermés dessus pour ne pas tout faire tomber, mon sac encore ouvert, mes jambes avalées la distance qui me séparait de mon cours suivant. Pourquoi avait-il fallu que je reste aussi longtemps à parler de mécanique quantique avec le prof ?... Et maintenant je rate le début du cours d'histoire, et ça c'est un sérieux problème.
Après quelques minutes de course folle pour parcourir les couloirs le plus rapidement possible, je me retrouvais devant la salle d'histoire-géo. Ça n'a jamais été mon fort cette matière, mais j'ai la chance d'avoir une partie de ma famille qui est restée en France et qui est de Verdun.
Je toquais deux coups brefs à la porte et ouvris sans attendre que j'en ai l'autorisation.
"Vous ! Dites moi ce qui est advenu lors de ce siège. Quelle était le bataillon piégé à l'intérieur de Bastogne et quelle était l'importance stratégique de ce lieu ?!"
"Je ne sais pas, Monsieur..."
« C'était le bataillon du 501ème régiment de la 101ème Airborne, des américains...Heu l'importance stratégique...Bastogne était la plaque tournante de la bataille des Ardennes... Le Haut Commandement Allemand en faisait son objectif premier.et parce que c'est un nœud routier important... »
Et c'est par chance que le temps s'est dégagé le 23 décembre ce qui permit aux avions Alliés de soutenir l'infanterie encerclée par les blindés allemands, sans cette intervention, la bataille n'aurait pu être gagnée. Excusez moi d'être en retard monsieur....
Je faisais un signe de main à Belphégor pour le saluer et allait m'asseoir à une des nombreuses place libre de la pièce, reprenant tranquillement mon souffle.
Après quelques minutes de course folle pour parcourir les couloirs le plus rapidement possible, je me retrouvais devant la salle d'histoire-géo. Ça n'a jamais été mon fort cette matière, mais j'ai la chance d'avoir une partie de ma famille qui est restée en France et qui est de Verdun.
Je toquais deux coups brefs à la porte et ouvris sans attendre que j'en ai l'autorisation.
"Vous ! Dites moi ce qui est advenu lors de ce siège. Quelle était le bataillon piégé à l'intérieur de Bastogne et quelle était l'importance stratégique de ce lieu ?!"
"Je ne sais pas, Monsieur..."
« C'était le bataillon du 501ème régiment de la 101ème Airborne, des américains...Heu l'importance stratégique...Bastogne était la plaque tournante de la bataille des Ardennes... Le Haut Commandement Allemand en faisait son objectif premier.et parce que c'est un nœud routier important... »
Et c'est par chance que le temps s'est dégagé le 23 décembre ce qui permit aux avions Alliés de soutenir l'infanterie encerclée par les blindés allemands, sans cette intervention, la bataille n'aurait pu être gagnée. Excusez moi d'être en retard monsieur....
Je faisais un signe de main à Belphégor pour le saluer et allait m'asseoir à une des nombreuses place libre de la pièce, reprenant tranquillement mon souffle.
Re: Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
Le matin fut des plus difficiles, comme toujours. Orlane du remettre son bras mécanique, prenant le temps de bien le mettre. Enfin elle se leva prit de quoi se laver et tout... Enfin passons se moment... Quel heure était-il ? Près de 13h40. Quoi ? En mode paniqué elle se dépêcha de s'habiller, de prendre ses affaires d'histoire géo. Enfin... Cela lui était suffisant pour le cour, peut être même serait-il le seul cour de la journée pour elle... Enfin ce n'était pas qu'elle n'aimait pas les cours, enfin un peu mais aussi dû au fait qu'elle devait faire attention à sa santé aussi. Ce fut peut être même une mauvaise idée pour elle de se mettre à courir ! Ce fut ainsi qu'elle se décida de marcher. Enfin quand elle sortie de la chambre il était 13h50 environ. Et elle ne savait vraiment pas où se trouva la salle où elle avait cour d'histoire géo. En fait elle vérifia l'emploi du temps pour être sûr. Effectivement cela fut une bonne surprise que ce soit se cour. Oh... Elle manqua de sortir en sous vêtements, mais se vêtit d'un jean et d'un t-shirt plus un pull léger à longue manches. Reprenant chemin elle était des à présents en retard, mais elle ne courut pas.
Dans les couloirs elle regarda les portes une à une, quand soudain elle sentit un vent passer, quand elle regarda devant elle, ce fut Ren qu'elle apercevait à courir, était-il en retard lui aussi ? Probablement. Celui ci semblait savoir où était la salle, car il frappa à une porte et entra, la demoiselle trouva plus intelligent de le suivre en accélérant un peu le pas, entrant avant que Ren ne ferme la porte, par chance il n'eut pas fermé la porte, ce fut elle qui le fit. Observant un court instant le professeur, elle déclara.
"Veuillez pardonner mon retard... Je suis nouvelle et je... Je n'ai pas encore le moindre repère."
Après ses mots elle n'attendit pas un instant de plus et alla à une place libre qui se trouva en fait non loin du professeur... Comment allait être se cour ? Elle se le demanda, sortant de quoi écrire au cas où.
Dans les couloirs elle regarda les portes une à une, quand soudain elle sentit un vent passer, quand elle regarda devant elle, ce fut Ren qu'elle apercevait à courir, était-il en retard lui aussi ? Probablement. Celui ci semblait savoir où était la salle, car il frappa à une porte et entra, la demoiselle trouva plus intelligent de le suivre en accélérant un peu le pas, entrant avant que Ren ne ferme la porte, par chance il n'eut pas fermé la porte, ce fut elle qui le fit. Observant un court instant le professeur, elle déclara.
"Veuillez pardonner mon retard... Je suis nouvelle et je... Je n'ai pas encore le moindre repère."
Après ses mots elle n'attendit pas un instant de plus et alla à une place libre qui se trouva en fait non loin du professeur... Comment allait être se cour ? Elle se le demanda, sortant de quoi écrire au cas où.
Re: Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
Mon choix s'était porté sur un des retardataires, un de ceux qui étaient arrivés pendant que je m'installais et faisait un bref résumé du cours. EN soit un retard minime, bien sûr, mais à mes yeux, lorsqu'on se permettait une telle chose c'était parce qu'on avait assez de confiance concernant ce que l'on savait du cours. Malheureusement je fus déçus dans mon expectation, et la personne que j'avais désigné de ma canne ne me servit qu'un aveu pathétique quant à son manque de connaissance.
Alors, je soupirais, sèchement, puis ma canne se posa avec un léger tintement sur le bureau et enfin... Brusquement s'entendit le cliquetis du chien que j'amorçais en dessous de ma veste. Un bruit que ma classe avait fini par reconnaître et retenir. La tension monta d'un cran tandis qu'une de mes mains demeurait dans ma veste, prêt à dégainer mon arme, pour châtier l'impudent ! Cependant, je fus interrompu par une intervention, un autre élève de la classe volant au secours de son camarade. Une attitude louable, que certains auraient sanctionnés car impudente, mais pour ma part je l’accueillais avec un sourire. En plus de faire montre de bienveillance, la réponse était juste. Certes approximatives, mais répondant à ma question. Je semblais alors me détendre...
Mais alors mes oreilles furent agressés par une hérésie sans nom, sur ma droite ! Sèchement je pivotais alors, tout en dégainant mon arme et la seconde d'après j'appuyais sur la détente. Une sorte de mini-fusée jaillit alors du canon dans un léger sifflement et explosa en un nuage de fumée bleu. L'impudent avait eu de la chance, il allait juste être un peu aveuglé, ça aurait pu être bien pire...
Attendant que le nuage se dissipe, je prenais la parole avec un sourire et sur un ton des plus guillerets.
"Oh, cher retardataire, votre information est exacte en soit mais votre conclusion est mauvaise, une tare que je retrouve dans de nombreuses copies ! L'aviation n'a fait office que de soutien et de ravitaillement, achetant du temps aux alliés, certes, mais ce ne fut pas décisif. Aviation ou pas, Bastogne serait tombé tôt ou tard si de par cette même éclaircie la quatrième division blindée de la troisième armée du général Patton n'était pas arrivé pour briser l'encerclement. Les chars, plus que l'aviation ont déterminé de l'issue de cette bataille ! Maintenant, retournez à votre place !"
J'étais un peu sévère, il était vrai. Comme je l'avais souligné son information était exacte, et il était vrai que sans l'aviation Bastogne serait tombé avant que n'arrive les blindés alliés, mais ces derniers auraient encore pu le reprendre, alors que sans ces derniers Bastogne aurait été perdues pour de bon ! Et puis, je me montrais sévère aussi de par les circonstance. Il n’aidait aucun camarade, n'avait pas été interrogé et répondait avant même de s'installer ! Autant de faits aggravants qui avait justifié mon geste !
Le nuage se dissipant je reconnus alors Ren'bo, que j'avais fini par remarquer à travers mes cours et son attitude... Et je vis aussi la jeune femme qui était arrivé juste derrière lui et qui avait été probablement un dommage collatéral de mon tir. Bah, elle s'en remettrait, et cela lui apprendrait également à ne pas arriver en retard.
Attendant que ces deux là s'installent, je rangeais mon pistolet dans son étui et réajustai mon chapeau. L'instant d'après j'étais de nouveau prêt à faire court et poursuivais.
"Bastogne évoqué, il est aisé de comprendre que même sur la défaite la résistance allemande fut acharnée, en grande partie de par une propagande toujours tenace et un enrôlement forcé de plus en plus massif dans l'arme, l'âge minimum étant diminué et l'age maximum accru à cet effet. Cela n'empêchera pas cependant ni les russes, ni les alliés d'atteindre Berlin et d'entamer ainsi le dernier véritable conflit avant la chute du régime nazi !"
Pointant alors ma canne sur une carte de Berlin que j'avais déployé à cet effet je commençais à détailler quelque peu l'avancé des soviétiques et des alliés, évoquant aussi bien les différences entre leurs deux méthodes que la réaction des allemands face à ces dernières... Puis soudainement ma canne balaya l'air, pour désigner la salle entière.
"A toute hasard... Connaissez vous des événements particuliers ou des acteurs précis de la bataille de Berlin ?"
Alors, je soupirais, sèchement, puis ma canne se posa avec un léger tintement sur le bureau et enfin... Brusquement s'entendit le cliquetis du chien que j'amorçais en dessous de ma veste. Un bruit que ma classe avait fini par reconnaître et retenir. La tension monta d'un cran tandis qu'une de mes mains demeurait dans ma veste, prêt à dégainer mon arme, pour châtier l'impudent ! Cependant, je fus interrompu par une intervention, un autre élève de la classe volant au secours de son camarade. Une attitude louable, que certains auraient sanctionnés car impudente, mais pour ma part je l’accueillais avec un sourire. En plus de faire montre de bienveillance, la réponse était juste. Certes approximatives, mais répondant à ma question. Je semblais alors me détendre...
Mais alors mes oreilles furent agressés par une hérésie sans nom, sur ma droite ! Sèchement je pivotais alors, tout en dégainant mon arme et la seconde d'après j'appuyais sur la détente. Une sorte de mini-fusée jaillit alors du canon dans un léger sifflement et explosa en un nuage de fumée bleu. L'impudent avait eu de la chance, il allait juste être un peu aveuglé, ça aurait pu être bien pire...
Attendant que le nuage se dissipe, je prenais la parole avec un sourire et sur un ton des plus guillerets.
"Oh, cher retardataire, votre information est exacte en soit mais votre conclusion est mauvaise, une tare que je retrouve dans de nombreuses copies ! L'aviation n'a fait office que de soutien et de ravitaillement, achetant du temps aux alliés, certes, mais ce ne fut pas décisif. Aviation ou pas, Bastogne serait tombé tôt ou tard si de par cette même éclaircie la quatrième division blindée de la troisième armée du général Patton n'était pas arrivé pour briser l'encerclement. Les chars, plus que l'aviation ont déterminé de l'issue de cette bataille ! Maintenant, retournez à votre place !"
J'étais un peu sévère, il était vrai. Comme je l'avais souligné son information était exacte, et il était vrai que sans l'aviation Bastogne serait tombé avant que n'arrive les blindés alliés, mais ces derniers auraient encore pu le reprendre, alors que sans ces derniers Bastogne aurait été perdues pour de bon ! Et puis, je me montrais sévère aussi de par les circonstance. Il n’aidait aucun camarade, n'avait pas été interrogé et répondait avant même de s'installer ! Autant de faits aggravants qui avait justifié mon geste !
Le nuage se dissipant je reconnus alors Ren'bo, que j'avais fini par remarquer à travers mes cours et son attitude... Et je vis aussi la jeune femme qui était arrivé juste derrière lui et qui avait été probablement un dommage collatéral de mon tir. Bah, elle s'en remettrait, et cela lui apprendrait également à ne pas arriver en retard.
Attendant que ces deux là s'installent, je rangeais mon pistolet dans son étui et réajustai mon chapeau. L'instant d'après j'étais de nouveau prêt à faire court et poursuivais.
"Bastogne évoqué, il est aisé de comprendre que même sur la défaite la résistance allemande fut acharnée, en grande partie de par une propagande toujours tenace et un enrôlement forcé de plus en plus massif dans l'arme, l'âge minimum étant diminué et l'age maximum accru à cet effet. Cela n'empêchera pas cependant ni les russes, ni les alliés d'atteindre Berlin et d'entamer ainsi le dernier véritable conflit avant la chute du régime nazi !"
Pointant alors ma canne sur une carte de Berlin que j'avais déployé à cet effet je commençais à détailler quelque peu l'avancé des soviétiques et des alliés, évoquant aussi bien les différences entre leurs deux méthodes que la réaction des allemands face à ces dernières... Puis soudainement ma canne balaya l'air, pour désigner la salle entière.
"A toute hasard... Connaissez vous des événements particuliers ou des acteurs précis de la bataille de Berlin ?"
Re: Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
Petit cliquetis et regard de tueur, Pryam avait l'impression de se liquéfier sous le regard sévère de son professeur. Et l'arme qui était à sa ceinture faisait accélérer son palpitant à la vitesse de la lumière. Il en avait presque des vertiges. Ça y est, c'était pour lui, il avait commencé à plisser les yeux pour se préparer au tir... quand une voix retentit alors pour le sauver. Un garçon aussi blond que lui venait de lui sauver la mise.
Pryam poussa un léger soupir de soulagement et s'enfonça doucement sur sa chaise, devenant progressivement rouge comme une tomate de honte. Il essayait de faire baisser sa température interne. Par chance, ça n'allait pas être trop difficile, d'autres élèves étaient arrivés juste après lui, tous aussi en retard, il en profita donc pour se calmer tranquillement. Ce fut d'ailleurs un autre blond (il fallait croire que c'était répandu par ici) qui fut la cible du prof qui tira une balle dans sa direction. Un nuage de fumée bleue apparut. Pryam avait regardé la scène avec les yeux écarquillés. Il l'avait vraiment échappée belle.
Le jeune homme secoua alors la tête pour se concentrer à nouveau et sortit un carnet de son sac pour prendre des notes. Il avait un sérieux retard à rattraper dans cette matière. Et il comptait bien essayer de faire bonne figure pour le reste de la leçon. Même s'il se doutait qu'il sortirait certainement une ou deux énormités à la prochaine question de l'enseignant. Ce dernier évoqua de multiples évènements, dont Pryam n'avait même jamais entendu parlé. Il fallait dire que vu l'enseignement qu'il avait reçu jusqu'ici... il avait sérieusement besoin de s'y mettre pour arriver au niveau demandé dans l'école.
Il notait, notait, tous les détails qui lui semblaient importants. Il en avait même mal à la main. C'est alors que le prof posa une question à l'ensemble de la salle. La bataille de Berlin... Le blondinet plissa les yeux... il connaissait ce nom, il l'avait même déjà étudiée ! Peut-être pas en détails certes... mais il savait ce qui s'était globalement passé pendant ce conflit. Du moins... il l'espérait. Il souffla un coup pour se donner du courage et leva timidement la main.
"Je ne suis pas sûr mais... Il y a la prise du Reichstag par les soviétiques. Le... 30 Avril 1945 ? Euh... oui je crois que c'est ça. C'est même un évènement qui a été largement repris par Staline pour sa propagande. Mais il n'était pas présent le jour de la prise du Reichstag. Il a juste utilisé cet évènement pour appuyer la puissance soviétique plus tard..."
Il se tut, c'était un des seuls points qu'il connaissait sur cette bataille. Il se rendit alors compte qu'il avait commencé par la fin et avala difficilement sa salive avant d'ouvrir à nouveau la bouche.
"Enfin... c'est ce que je connais de cette bataille... je ne sais pas trop comment se sont déroulés les autres évènements de ce conflit..."
Il regretta immédiatement d'avoir ouvert la bouche. Pryam avait encore raté une occasion de se taire. Il avait cette fâcheuse manie de toujours vouloir se justifier. En plus d'être persuadé d'avoir répondu à côté de la plaque, il avait le palpitant qui recommençait à cogner contre son torse. Il se mit alors à tapoter son crayon sur sa feuille, les yeux baissés. C'est fou ce que ça pouvait être stressant les cours.
Pryam poussa un léger soupir de soulagement et s'enfonça doucement sur sa chaise, devenant progressivement rouge comme une tomate de honte. Il essayait de faire baisser sa température interne. Par chance, ça n'allait pas être trop difficile, d'autres élèves étaient arrivés juste après lui, tous aussi en retard, il en profita donc pour se calmer tranquillement. Ce fut d'ailleurs un autre blond (il fallait croire que c'était répandu par ici) qui fut la cible du prof qui tira une balle dans sa direction. Un nuage de fumée bleue apparut. Pryam avait regardé la scène avec les yeux écarquillés. Il l'avait vraiment échappée belle.
Le jeune homme secoua alors la tête pour se concentrer à nouveau et sortit un carnet de son sac pour prendre des notes. Il avait un sérieux retard à rattraper dans cette matière. Et il comptait bien essayer de faire bonne figure pour le reste de la leçon. Même s'il se doutait qu'il sortirait certainement une ou deux énormités à la prochaine question de l'enseignant. Ce dernier évoqua de multiples évènements, dont Pryam n'avait même jamais entendu parlé. Il fallait dire que vu l'enseignement qu'il avait reçu jusqu'ici... il avait sérieusement besoin de s'y mettre pour arriver au niveau demandé dans l'école.
Il notait, notait, tous les détails qui lui semblaient importants. Il en avait même mal à la main. C'est alors que le prof posa une question à l'ensemble de la salle. La bataille de Berlin... Le blondinet plissa les yeux... il connaissait ce nom, il l'avait même déjà étudiée ! Peut-être pas en détails certes... mais il savait ce qui s'était globalement passé pendant ce conflit. Du moins... il l'espérait. Il souffla un coup pour se donner du courage et leva timidement la main.
"Je ne suis pas sûr mais... Il y a la prise du Reichstag par les soviétiques. Le... 30 Avril 1945 ? Euh... oui je crois que c'est ça. C'est même un évènement qui a été largement repris par Staline pour sa propagande. Mais il n'était pas présent le jour de la prise du Reichstag. Il a juste utilisé cet évènement pour appuyer la puissance soviétique plus tard..."
Il se tut, c'était un des seuls points qu'il connaissait sur cette bataille. Il se rendit alors compte qu'il avait commencé par la fin et avala difficilement sa salive avant d'ouvrir à nouveau la bouche.
"Enfin... c'est ce que je connais de cette bataille... je ne sais pas trop comment se sont déroulés les autres évènements de ce conflit..."
Il regretta immédiatement d'avoir ouvert la bouche. Pryam avait encore raté une occasion de se taire. Il avait cette fâcheuse manie de toujours vouloir se justifier. En plus d'être persuadé d'avoir répondu à côté de la plaque, il avait le palpitant qui recommençait à cogner contre son torse. Il se mit alors à tapoter son crayon sur sa feuille, les yeux baissés. C'est fou ce que ça pouvait être stressant les cours.
Re: Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
Je commençais par m'exclamer d'une brève évocation de mes quelques connaissances historiques sur cette période, connaissances relativement réduites sur cette bataille précise puisqu'elle n'est pas vraiment celle que je connais le mieux. Il est vrai que j'ai acquis pas mal de savoir sur les batailles de France et quelques unes en Allemagne grâce à ma famille. Mes parents se sont installés au Japon il y a bien longtemps, c'est pourquoi je suis né sur ce sol, mais ils étaient français auparavant. Enfin français... Mon père à grandit au Maroc et ma mère est française pur souche. Mes grand-parents étaient de deux origines totalement différentes. Les uns franco-marocaines et les autres franco-allemands. Et moi je suis japonais. Ce mélange de culture est incroyable. C'est pourquoi j'ai les cheveux si blonds et la peau légèrement hâlée.
Pour ce qui est du cours... Hé bien, j'ai fait une erreur. De mon erreur, je n'ai pas pu immédiatement me corriger. Je n'eu le temps de voir qu'un canon de revolver pointé vers moi et une fusée en sortir. Le geste était rapide est précis, et surtout surprenant, pas moyen d'éviter quoi que ce soit. Le feu d'artifice éclata juste devant mon visage. Seul un geste bref de mes bras me protégea légèrement les yeux de la lumière éblouissante de la fusée. Cela restait tout de même très désagréable. Je toussais et dissipais la fumée de mes mains avant de rouvrir les yeux, la vision encore trouble et complètement éblouie.
"Oh, cher retardataire, votre information est exacte en soit mais votre conclusion est mauvaise, une tare que je retrouve dans de nombreuses copies ! L'aviation n'a fait office que de soutien et de ravitaillement, achetant du temps aux alliés, certes, mais ce ne fut pas décisif. Aviation ou pas, Bastogne serait tombé tôt ou tard si de par cette même éclaircie la quatrième division blindée de la troisième armée du général Patton n'était pas arrivé pour briser l'encerclement. Les chars, plus que l'aviation ont déterminé de l'issue de cette bataille ! Maintenant, retournez à votre place !"
Je ne dis rien et alla simplement m'asseoir, j'ai pris la parole sans la demander, j'ai fait une faute et en plus je suis arrivé en retard, fallait bien que je paye le prix du lot.
"Bastogne évoqué, il est aisé de comprendre que même sur la défaite la résistance allemande fut acharnée, en grande partie de par une propagande toujours tenace et un enrôlement forcé de plus en plus massif dans l'arme, l'âge minimum étant diminué et l'age maximum accru à cet effet. Cela n'empêchera pas cependant ni les russes, ni les alliés d'atteindre Berlin et d'entamer ainsi le dernier véritable conflit avant la chute du régime nazi !
A toute hasard... Connaissez vous des événements particuliers ou des acteurs précis de la bataille de Berlin ?"
Il s'est passé tellement de choses en cette même journée mais un évènement assez significatif à désigné la chute de l'armée nazie.
"Je ne suis pas sûr mais... Il y a la prise du Reichstag par les soviétiques. Le... 30 Avril 1945 ? Euh... oui je crois que c'est ça. C'est même un évènement qui a été largement repris par Staline pour sa propagande. Mais il n'était pas présent le jour de la prise du Reichstag. Il a juste utilisé cet évènement pour appuyer la puissance soviétique plus tard...
Enfin... c'est ce que je connais de cette bataille... je ne sais pas trop comment se sont déroulés les autres évènements de ce conflit..."
C'est bien ça. Sans compter l'avancer du front allié de l'autre côté de la ville. L'armée nazie s'est tout bonnement fait prendre en tenaille par deux fronts distincts. Je me rappelais néanmoins un petit point clé qui aida quelque peu les soviétiques dans leur approche de Berlin.
Pour reparler d'avions et de soutien aérien, la prise de l'aéroport de Tempelhof privant l'armée allemande de la Luftwaffe donna un coup de pouce assez intéressant stratégiquement aux russes qui évitèrent ainsi un nombre considérable de pertes humaines, je me trompe ?
Pour ce qui est du cours... Hé bien, j'ai fait une erreur. De mon erreur, je n'ai pas pu immédiatement me corriger. Je n'eu le temps de voir qu'un canon de revolver pointé vers moi et une fusée en sortir. Le geste était rapide est précis, et surtout surprenant, pas moyen d'éviter quoi que ce soit. Le feu d'artifice éclata juste devant mon visage. Seul un geste bref de mes bras me protégea légèrement les yeux de la lumière éblouissante de la fusée. Cela restait tout de même très désagréable. Je toussais et dissipais la fumée de mes mains avant de rouvrir les yeux, la vision encore trouble et complètement éblouie.
"Oh, cher retardataire, votre information est exacte en soit mais votre conclusion est mauvaise, une tare que je retrouve dans de nombreuses copies ! L'aviation n'a fait office que de soutien et de ravitaillement, achetant du temps aux alliés, certes, mais ce ne fut pas décisif. Aviation ou pas, Bastogne serait tombé tôt ou tard si de par cette même éclaircie la quatrième division blindée de la troisième armée du général Patton n'était pas arrivé pour briser l'encerclement. Les chars, plus que l'aviation ont déterminé de l'issue de cette bataille ! Maintenant, retournez à votre place !"
Je ne dis rien et alla simplement m'asseoir, j'ai pris la parole sans la demander, j'ai fait une faute et en plus je suis arrivé en retard, fallait bien que je paye le prix du lot.
"Bastogne évoqué, il est aisé de comprendre que même sur la défaite la résistance allemande fut acharnée, en grande partie de par une propagande toujours tenace et un enrôlement forcé de plus en plus massif dans l'arme, l'âge minimum étant diminué et l'age maximum accru à cet effet. Cela n'empêchera pas cependant ni les russes, ni les alliés d'atteindre Berlin et d'entamer ainsi le dernier véritable conflit avant la chute du régime nazi !
A toute hasard... Connaissez vous des événements particuliers ou des acteurs précis de la bataille de Berlin ?"
Il s'est passé tellement de choses en cette même journée mais un évènement assez significatif à désigné la chute de l'armée nazie.
"Je ne suis pas sûr mais... Il y a la prise du Reichstag par les soviétiques. Le... 30 Avril 1945 ? Euh... oui je crois que c'est ça. C'est même un évènement qui a été largement repris par Staline pour sa propagande. Mais il n'était pas présent le jour de la prise du Reichstag. Il a juste utilisé cet évènement pour appuyer la puissance soviétique plus tard...
Enfin... c'est ce que je connais de cette bataille... je ne sais pas trop comment se sont déroulés les autres évènements de ce conflit..."
C'est bien ça. Sans compter l'avancer du front allié de l'autre côté de la ville. L'armée nazie s'est tout bonnement fait prendre en tenaille par deux fronts distincts. Je me rappelais néanmoins un petit point clé qui aida quelque peu les soviétiques dans leur approche de Berlin.
Pour reparler d'avions et de soutien aérien, la prise de l'aéroport de Tempelhof privant l'armée allemande de la Luftwaffe donna un coup de pouce assez intéressant stratégiquement aux russes qui évitèrent ainsi un nombre considérable de pertes humaines, je me trompe ?
Re: Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
J'ouvre les yeux. Je suis dans mon lit. je regarde mon réveil sur ma table de chevet avant de remarqué qu'il n'a plus de pile. Je cherche mon portable dans la tiroir de cette dernière. Je regarde l'heure, il est 14h15. Je me rallonge et fixe le plafond cinq bonne minutes avant de me levé dans un élan de panique.
Purain ! J'suis déjà à la bourre ! On peut pas dormir tranquille ici ! Obligé de se grouillé à cause de réveil pourris !
Je pris mon jean, l'enfila en vitesse, je chercha ma chemise pendant cinq bonnes minutes, je laisse finalement tombé, je la matérialise, j’enfile ma veste, pris mes bracelets et courus vers la salle de cours.
Je courais comme un fou, ma respiration était encore plus allaitante, décidement, je ne peut rien matérialisé et faire du sport après. Je bousculais les gens qui me bloquais la route sans même m'excusé au près d'eux. Après tout ils on pas qu'à bloqué le passage. J'arrivais enfin devant la salle de cours le temps que j'arrive à la porte j'entendais déjà des paroles.
...de pertes humaines, je me trompe ?
Rien que cette phrase m'a mis froid dans le dos, et à se moment sans réfléchir je fonça dans la porte qui s'ouvrit d'une extrême violence dans un bruit assourdissant. Tout le monde c'était tut. Je pris la parole.
Excusez-moi, je suis nouveau, j'ai eu une panne de réveil.. dit-je la respiration saccadé.
D'un coup toute la classe se mis à rire pendant que le prof me regardais avec un regard meurtrier, j'ai mis quelque seconde pour trouvé se que clochais, jusqu’à que je voie le regard du prof dirigé vers ma chemise, j'y jeta un œil et remarqua que dans ma précipitation j'avais oublié que toute mes matérialisation était translucides. Ma chemise l'était donc aussi. Elle laissais largement apparaître mon torse.
Aïe, premiers cours et déjà pas mal de fautes.. De une je suis en retard, de deux j'ai fait une entré fracassante dans la classe et de trois j'étais à moitiés torse nu.. De plus j'avais oublier mes affaires..
Faisant mine de rien j'allais prendre une place au fond et m'exclama :
Au moins, j'me serais fait remarqué !
Purain ! J'suis déjà à la bourre ! On peut pas dormir tranquille ici ! Obligé de se grouillé à cause de réveil pourris !
Je pris mon jean, l'enfila en vitesse, je chercha ma chemise pendant cinq bonnes minutes, je laisse finalement tombé, je la matérialise, j’enfile ma veste, pris mes bracelets et courus vers la salle de cours.
Je courais comme un fou, ma respiration était encore plus allaitante, décidement, je ne peut rien matérialisé et faire du sport après. Je bousculais les gens qui me bloquais la route sans même m'excusé au près d'eux. Après tout ils on pas qu'à bloqué le passage. J'arrivais enfin devant la salle de cours le temps que j'arrive à la porte j'entendais déjà des paroles.
...de pertes humaines, je me trompe ?
Rien que cette phrase m'a mis froid dans le dos, et à se moment sans réfléchir je fonça dans la porte qui s'ouvrit d'une extrême violence dans un bruit assourdissant. Tout le monde c'était tut. Je pris la parole.
Excusez-moi, je suis nouveau, j'ai eu une panne de réveil.. dit-je la respiration saccadé.
D'un coup toute la classe se mis à rire pendant que le prof me regardais avec un regard meurtrier, j'ai mis quelque seconde pour trouvé se que clochais, jusqu’à que je voie le regard du prof dirigé vers ma chemise, j'y jeta un œil et remarqua que dans ma précipitation j'avais oublié que toute mes matérialisation était translucides. Ma chemise l'était donc aussi. Elle laissais largement apparaître mon torse.
Aïe, premiers cours et déjà pas mal de fautes.. De une je suis en retard, de deux j'ai fait une entré fracassante dans la classe et de trois j'étais à moitiés torse nu.. De plus j'avais oublier mes affaires..
Faisant mine de rien j'allais prendre une place au fond et m'exclama :
Au moins, j'me serais fait remarqué !
Re: Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
A peine avais je accueilli comme il se devait le retardataire que le même élève qui avait pourtant été incapable de répondre à la question précédent se manifestait, pour cette fois ci apportait une réponse juste et ce malgré quelques hésitations et les lacunes qu'il avouait quant au reste de la bataille ! Comme quoi, après tout, ce n'était pas parce qu'un élève faisait une faute, fusse t-elle grossière, qu'il ne pouvait pas se rattraper ! Ainsi ce fut avec un certain enthousiasme que j’accueillis sa réponse d'un claquement de main avant de la commenter.
"En effet cela fut l'événement qui scella la défaite des allemands, et dont Staline s’enorgueillit avec une propagande des plus travaillée ! Au point que, anecdote amusante, qu'une des affiches originales célébrant la prise du Reichstag, fut retouché, car un des officiers russes y figurant y arborait deux montres, ce qui laissait sous entendre qu'il était un pillard, une chose impensable pour le régime communiste, ou tout du moins l'image qu'il voulait donner de lui même. De façon plus concrète et pour rester sur le front Russe il serait bien que vous reteniez le nom du maréchal Joukow, qui fut l'officier russe qui se vit remettre la capitulation allemande sur le front soviétique !"
Et alors que je concluais ces dires, j'allais de surprise en surprise puisque le retardataire se décida, à peine venait il de s'installer après avoir reçu son châtiment qu'il prenait la parole pour évoquer un événement plutôt méconnu, mais qui méritait d'être évoqué, tout comme le siège de Bastogne. D'ailleurs je ne pus retenir un sourire amusé face à ses explications. Il semblait y tenir à ses avions, mais cette fois ci il abordait le thème avec justesse, malgré une petite imprécision que je souhaitais clarifier.
"En effet la prise de cet aéroport a sans doute permis de sauver de nombreuses vies, mais cela n'était pas le plan de l'armée rouge. En effet cette dernière voyait surtout cet aéroport comme la meilleure chance dont disposait les dirigeants nazis pour s'échapper. Après tout si les pertes russes ont été si élevés, c'est en partie parce que l'armée rouge faisait de toute façon peu de cas du prix en vie humaine !"
Je n'étais pas très objectif, c'était vrai, mais dans le même temps les faits étaient là et ne tendaient pas à crédibiliser le soucis que l'armée rouge aurait pu manifester à l'encontre de la vie de ses soldats... Seulement, alors que je parlais la porte s'ouvrit à nouveau, encore un retardataire....Cette fois ci je ne pus retenir un soupir exaspéré, alors que mon regard glissa vers le nouvel arrivant... et l'instant d'après je déposais mon chapeau sur le bureau, ce que les élèves assistant régulièrement à mes cours savaient comme étant la manifestation d'une certaine irritation de ma part, alors que je constatais que le jeune homme n'était nullement dans une tenue appropriée. Bon, certes, il était évident que c'était une manifestation indésirable de son pouvoir, mais il devait justement le maîtriser.
Et une panne de réveil ne suffisait pas à tout justifier pour moi, d'autant plus qu'il ne chercha même pas à se faire oublier puisqu'alors qu'il s'installait il parla d'une voix suffisamment forte pour m’empêcher de reprendre mon cours... et alors, aussi bien pour le punir de cette nouvelle insolence que par soucis d'équité pour l'autre retardataire je pointais mon pistolet vers lui. Dire que je ne l'avais pas fait pour éviter de retarder davantage le cours, mais là il en avait trop fait.
"Comme j'aime le dire... it's rocket time !"
Et ainsi je tirais non pas une ,mais trois fois en direction de l'impudent, toujours en mode non-létal bien sûr et ainsi une fusée verte, ainsi qu'une faible décharge électrique et une bulle de savon jaillirent rapidement en direction de l'impudent, je riais doucement avant de reprendre mon cours.
"Voilà, maintenant que ce petit problème est réglé, nous allons conclure rapidement ce cours sur ce que vous savez sur les événements se situant entre la chute de Berlin et la fin véritable de la seconde guerre mondiale ! Allez, c'est facile ! Ça l'est en tout cas plus quel e travail que je vous demande pour la prochaine fois qui est, à savoir, que vous me fassiez un résumé chronologique des accords qui ont découlé de la seconde guerre mondiale ainsi que de ses causes initiales !"
Je devinais déjà qu'il yen aurait certain pour grommeler, mais qu'il s'estime heureux ! c'était déjà moins difficile à faire qu'une dissertation, et au moins c'était le genre d'information qu'ils pouvaient trouver facilement sur internet sans trop s'esquinter le cervelet ! Enfin, cependant il leur faudrait tout de même retenir les plus importantes, mais ça c'était à eux de fournir le travail pour cela !
"En effet cela fut l'événement qui scella la défaite des allemands, et dont Staline s’enorgueillit avec une propagande des plus travaillée ! Au point que, anecdote amusante, qu'une des affiches originales célébrant la prise du Reichstag, fut retouché, car un des officiers russes y figurant y arborait deux montres, ce qui laissait sous entendre qu'il était un pillard, une chose impensable pour le régime communiste, ou tout du moins l'image qu'il voulait donner de lui même. De façon plus concrète et pour rester sur le front Russe il serait bien que vous reteniez le nom du maréchal Joukow, qui fut l'officier russe qui se vit remettre la capitulation allemande sur le front soviétique !"
Et alors que je concluais ces dires, j'allais de surprise en surprise puisque le retardataire se décida, à peine venait il de s'installer après avoir reçu son châtiment qu'il prenait la parole pour évoquer un événement plutôt méconnu, mais qui méritait d'être évoqué, tout comme le siège de Bastogne. D'ailleurs je ne pus retenir un sourire amusé face à ses explications. Il semblait y tenir à ses avions, mais cette fois ci il abordait le thème avec justesse, malgré une petite imprécision que je souhaitais clarifier.
"En effet la prise de cet aéroport a sans doute permis de sauver de nombreuses vies, mais cela n'était pas le plan de l'armée rouge. En effet cette dernière voyait surtout cet aéroport comme la meilleure chance dont disposait les dirigeants nazis pour s'échapper. Après tout si les pertes russes ont été si élevés, c'est en partie parce que l'armée rouge faisait de toute façon peu de cas du prix en vie humaine !"
Je n'étais pas très objectif, c'était vrai, mais dans le même temps les faits étaient là et ne tendaient pas à crédibiliser le soucis que l'armée rouge aurait pu manifester à l'encontre de la vie de ses soldats... Seulement, alors que je parlais la porte s'ouvrit à nouveau, encore un retardataire....Cette fois ci je ne pus retenir un soupir exaspéré, alors que mon regard glissa vers le nouvel arrivant... et l'instant d'après je déposais mon chapeau sur le bureau, ce que les élèves assistant régulièrement à mes cours savaient comme étant la manifestation d'une certaine irritation de ma part, alors que je constatais que le jeune homme n'était nullement dans une tenue appropriée. Bon, certes, il était évident que c'était une manifestation indésirable de son pouvoir, mais il devait justement le maîtriser.
Et une panne de réveil ne suffisait pas à tout justifier pour moi, d'autant plus qu'il ne chercha même pas à se faire oublier puisqu'alors qu'il s'installait il parla d'une voix suffisamment forte pour m’empêcher de reprendre mon cours... et alors, aussi bien pour le punir de cette nouvelle insolence que par soucis d'équité pour l'autre retardataire je pointais mon pistolet vers lui. Dire que je ne l'avais pas fait pour éviter de retarder davantage le cours, mais là il en avait trop fait.
"Comme j'aime le dire... it's rocket time !"
Et ainsi je tirais non pas une ,mais trois fois en direction de l'impudent, toujours en mode non-létal bien sûr et ainsi une fusée verte, ainsi qu'une faible décharge électrique et une bulle de savon jaillirent rapidement en direction de l'impudent, je riais doucement avant de reprendre mon cours.
"Voilà, maintenant que ce petit problème est réglé, nous allons conclure rapidement ce cours sur ce que vous savez sur les événements se situant entre la chute de Berlin et la fin véritable de la seconde guerre mondiale ! Allez, c'est facile ! Ça l'est en tout cas plus quel e travail que je vous demande pour la prochaine fois qui est, à savoir, que vous me fassiez un résumé chronologique des accords qui ont découlé de la seconde guerre mondiale ainsi que de ses causes initiales !"
Je devinais déjà qu'il yen aurait certain pour grommeler, mais qu'il s'estime heureux ! c'était déjà moins difficile à faire qu'une dissertation, et au moins c'était le genre d'information qu'ils pouvaient trouver facilement sur internet sans trop s'esquinter le cervelet ! Enfin, cependant il leur faudrait tout de même retenir les plus importantes, mais ça c'était à eux de fournir le travail pour cela !
Re: Cour d'histoire géographie: Conflits et cartes ! (libre)
Suite à ma deuxième intervention quelque peu provocante puisqu'il s'agissait d'une irruption de savoir alors que je m'étais fais remarquer suffisamment quelques minutes plus tôt, ce qui aurait du induire que je la boucle et que je reste sage dans mon coin en écoutant la suite du cours, mais je ne l'ai jamais entendu de cette oreille, ma petite explication fut relativement bien accueillie par le prof , quoi que légèrement corrigée sur quelques détails dont je n'avais pas la connaissance, mais auxquels j'aurais quand même pu penser.
Maintenant que j'ai prouvé que j'avais un peu de plomb dans le crane et pas du genre à me laisser faire, je pouvais rester tranquille et écouter la suite.
Alors que tout se déroulait calmement, la porte s'ouvrit brusquement et surtout bruyamment une nouvelle fois. Un élève au visage m'étant familier, juste une sensation de déjà-vu, entra en s'excusant. Une panne de réveil, comme c'est dommage... En tout cas, le temps qu'il aille prendre une place, le prof déposa son chapeau sur le bureau. Je devinais facilement ce qui allait suivre pour en avoir fais les frais un peu plus tôt. Je me balança sur ma chaise et sorti rapidement mon portable pour fouiller dans les pièces jointes que j'avais récupéré récemment. Un jeune homme dénommé Blue lui correspondait tout à fait, et il est bien de chez nous, c'est pour ça que sa tête me disait quelque chose. Après avoir relu brièvement son dossier, je rangeais mon portable et laissa retomber la chaise sur ses quatre pieds, observant la fin de la scène qui se déroulait dans la classe. Trois tirs partirent, ce fut plus que pour moi, et dans le lot une fusée aussi. Je vis un petit éclair sortir du canon, celui la était pour moi. Avant même qu'il ne touche sa cible, je détournais la décharge pour l'absorber en moi et la faire passer dans le sol. Il ne se prendrait que deux tirs des trois du coup. Je ne peux pas dire que c'est vraiment un cadeau, puisque c'est mon pouvoir qui veut ça. Si je n'étais jamais alimenté en électricité, je ne serais pas en forme, ça me permet de garder la pêche.
Pauvre nouveau, qu'adviendra-t-il de lui dans quelques jours ?...
Maintenant que j'ai prouvé que j'avais un peu de plomb dans le crane et pas du genre à me laisser faire, je pouvais rester tranquille et écouter la suite.
Alors que tout se déroulait calmement, la porte s'ouvrit brusquement et surtout bruyamment une nouvelle fois. Un élève au visage m'étant familier, juste une sensation de déjà-vu, entra en s'excusant. Une panne de réveil, comme c'est dommage... En tout cas, le temps qu'il aille prendre une place, le prof déposa son chapeau sur le bureau. Je devinais facilement ce qui allait suivre pour en avoir fais les frais un peu plus tôt. Je me balança sur ma chaise et sorti rapidement mon portable pour fouiller dans les pièces jointes que j'avais récupéré récemment. Un jeune homme dénommé Blue lui correspondait tout à fait, et il est bien de chez nous, c'est pour ça que sa tête me disait quelque chose. Après avoir relu brièvement son dossier, je rangeais mon portable et laissa retomber la chaise sur ses quatre pieds, observant la fin de la scène qui se déroulait dans la classe. Trois tirs partirent, ce fut plus que pour moi, et dans le lot une fusée aussi. Je vis un petit éclair sortir du canon, celui la était pour moi. Avant même qu'il ne touche sa cible, je détournais la décharge pour l'absorber en moi et la faire passer dans le sol. Il ne se prendrait que deux tirs des trois du coup. Je ne peux pas dire que c'est vraiment un cadeau, puisque c'est mon pouvoir qui veut ça. Si je n'étais jamais alimenté en électricité, je ne serais pas en forme, ça me permet de garder la pêche.
Pauvre nouveau, qu'adviendra-t-il de lui dans quelques jours ?...
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