Crime et châtiment (PV Alyssa, Noa et Lloyd) - Terminé

Marco se sentait relativement bien ce jour là. Ses blessures guérissait bien grâce aux conseils avisés de Noa. Il semblait bien s'y connaître en plantes médicinales, c'était bien pratique. L'adolescent se dirigea le coeur léger vers son casier avant de rentrer au dortoir émeraude pour la soirée. Une lettre capta son attention cependant. Tiens? Il recevait rarement des messages...

Son coeur fit un bond en voyant le nom du destinataire. Lucy... Il fallait vraiment que son coeur se décide enfin!
Bon il était pas mal sûr de ne pas... jouer dans l'autre équipe. À part Noa, aucun homme ne l'avait attiré avant. C'était probablement une phase... Ouais une phase. De la bi-curiosité peut-être? Il n'avait pas eu ce genre de tendances avant. Il partageait sa chambre avec d'autres garçons et il n'y avait pas de soucis...

Lucy... Elle était très belle, douce et gentille... Et avec une force de caractère que Marco lui enviait. Elle avait beau être gentille, jamais il n'aurait de chances avec elle, non?

Il lu la lettre et... Quoi?...

Marco... Depuis que je t'ai rencontré, je n'avais jamais éprouvé une telle chose. Je ne peux même pas décrire par écrit ce que je ressens au moment où je rédige cette lettre. Je veux pouvoir te parler en personne. Seul à seul dans le jardin. Je t'attendrai jusqu'à la tombée de la nuit. Nous avons bien des choses à nous dire.

Lucy.

Son coeur semblait prêt à vouloir sortir de sa poitrine. Que voulait-elle dire enfin!? Non, ce n'était pas ce qu'il croyait... Impossible. Mais en quelque part, il voulait y croire. Rangeant la lettre dans sa poche, il ferma son casier d'un geste décisif.

Il était temps de mettre ses craintes de côté. Ne l'avait-elle pas encourager à avoir confiance? Marco se dirigea vers le jardin, ne réalisant pas encore qu'il se dirigeait vers un piège...

Alyssa n'avait eu besoin que d'acheter des informations pour avoir une petite idée du cercle d'amis de sa victime. Elle avait entendu les rumeurs. "Quelqu'un s'amusait à lever la main sur Marco"... Étaient-t-ils tous amoureux de ce gros lard ou étaient-ils juste une bande de sensibles. Ces pseudos chevaliers en armure blanche commençaient à l'irriter. S'ils se scandalisaient pour si peu... Ils n'avaient pas fini.

N'empêche, elle avait sous-estimer cette grosse truie... ou surestimer? Trop intelligent pour se la fermer et souffrir en silence ou trop con pour penser au fond de teint pour les bleus? Aucune importance... Il voulait jouer la victime haut et fort? Trop lâche pour se défendre lui-même, il se cachait sous les jupes d'une fille pour se protéger? Et bien, il allait payer pour...

Règle numéro 1: On fait pas chier Alyssa.

Première étape, envoyer une pseudo lettre d'amour. Comble de la naïveté, il avait tomber dans le panneau. Ça en était trop facile. Le voilà qui arrivait dans le jardin, cherchant sa Lucy avec un air crétin.

Alyssa, toujours cachée jeta un oeil au contenu de son petit sac noire en souriant. Abel avait fait du bon boulot. Attendant que les derniers élèves quittent les lieux, laissant Marco seul, la Rubis sortit de sa cachette, un sourire angélique sur son visage.

"Konbawa Marco-chan... C'est comme ça qu'on dit chez vous? On attends quelqu'un peut-être?", demanda-t-elle, avançant dangereusement vers sa proie.

Marco sortit du château, prenant une bonne inspiration pour tenter de se calmer. Il se sentait plus nerveux que jamais. La brise qui passait était assez agréable... Ça le relaxait un peu. Il marcha, un pied devant l'autre, cherchant son amie du regard. À cette heure-ci, les élèves rentraient chez eux et le soleil commençait à ne plus paraître. Heureusement le jardin était toujours éclairé par des lampadaires. Il s'arrêta lorsqu'il vit des cheveux rouge.

"Lu--"

Ses mots lui restèrent dans la gorge, il se sentait comme si on l'avait plongé dans de l'eau glacée. Que faisait-elle là!? Il avait une théorie... Mais il ne voulait pas y croire.


"Konbawa Marco-chan... C'est comme ça qu'on dit chez vous? On attends quelqu'un peut-être?", demanda-t-elle, avançant dangereusement vers lui.

Instinctivement il recula jusqu'à se retrouver adossé à un rosier.

"On dit kun... Comme...Comme suffixe"

Merde... Pourquoi donnait-il un cours de japonais à cette sociopathe!? Il fallait qu'il se sauve! Retrouver Lucy... Noa... Ou un Diamant!!!

Comme si elle avait lu dans ses pensées, Alyssa le regarda avec un sourire narquois.

"Chan convient bien pourtant... Pour une truie en détresse. Tu ne devrais pas t'enfuir... Ou tiens tu si peu à ta belle Lucy?"

Marco écarquilla les yeux. Que voulait-elle dire!?

"Qu'as-tu fais à Lucy!? Si tu lui as fait du mal... Je te jure que tu ne t'en tireras pas comme ça!", lança-t-il.

Ses yeux étaient menaçants, mais sa voix tremblante n'aidait pas à donner de l'effet. Il avait peur en ce moment là oui... Peur pour Lucy plus que d'autre chose.

Bon voilà que le crétin se permettait de la corriger en plus... Ne réalisait-il pas dans quelle position il se trouvait? Il était vrai qu'il n'y avait pas de remèdes pour la connerie... Ou peut-être que oui? Elle n'allait pas tarder à faire le test.

Sa victime ouvrit encore la bouche, mais pour la menacer cette fois, de manière peu réussie d'ailleurs.

"Qu'as-tu fais à Lucy!? Si tu lui as fait du mal... Je te jure que tu ne t'en tireras pas comme ça!", lança-t-il.

Alyssa laissa échapper un rire incontrôlable, se tenant les côtes. Elle s'essuya un oeil, se calmant.

"Tu crois faire peur à qui? Tu penses que je vais juste la relâcher parce que tu couine comme une truie qu'on abat? Serait-ce l'amour qui te donne un peu de courage?", lui demanda-t-elle, tiltant sa tête sur le côté.

L'adolescente avança de quelque pas, toujours avec une démarche confiante et supérieure.

"En vrai... Tu veux juste te la taper, hein? Ne plus être un pathétique puceau? Peut-être que si je la fais boire assez, elle se laisserait faire... Si elle tombe pas dans un coma éthylique avant. Sais-tu ce que ce mot veut dire? Pas trop compliqué pour ton cerveau comprimé par ta graisse?"

Elle lui faisait mal... Ça se voyait dans ses yeux. Blesser physiquement était une chose, mais détruire psychologiquement était la tactique préférée d'Alyssa. Pas besoin de se salir les mains.

"J'ai entendu des rumeurs atroces... Comme quoi des gens te faisait du mal... Et que des gens se soulevaient pour venir à ton secours. Tu pouvais pas t'empêcher de tout raconter? Je n'aime pas les paniers percés... Ta bouche répand des couinements désagréablement plaintif. Peut-être que je pourrais t'apprendre à ne plus l'ouvrir? J'ai un médicament pour te faire passer le goût de rapporter..."

Alyssa sortit de son sac noir un pot maçon qu'elle leva pour montrer à sa victime. À l'intérieur, grouillant dans l'eau, se trouvaient une dizaine de vers de terre.

"Tadam! Le jus de vers de terre!", annonça-t-elle.

Elle lui tendit le pot avec un sourire en coin.

"Ma grand-mère dit que ça peut être utilisé comme médicament... Tu devrais le boire vite alors. À moins que tu veuilles que je demande à quelqu'un de t'aider à le boire? Tu sais... Si tu fais ça tout seul comme un grand, je te ramène ta Lucy en récompense".

Bien sûr qu'il n'était pas intimidant pour deux sous... Mais là, elle se moquait de lui ouvertement, même aux larmes. Comment pouvait-elle faire ça? Était-elle complètement folle? Il tremblait cherchant encore du regard une sortie, mais sans bouger de sa place. Il ne savait pas ce dont cette fille était capable... Que pouvait-il faire contre elle?

Noa le trouverais pitoyable s'il voyait ça... Lui qui l'avait encouragé à parler et à ne pas se laisser faire!

"Tu crois faire peur à qui? Tu penses que je vais juste la relâcher parce que tu couine comme une truie qu'on abat? Serait-ce l'amour qui te donne un peu de courage?", lui demanda-t-elle, tiltant sa tête sur le côté.

Marco ne répondit rien sur le coup, baissant les yeux, puis les propos de la jeune femme devinrent plus... crus.

"En vrai... Tu veux juste te la taper, hein? Ne plus être un pathétique puceau? Peut-être que si je la fais boire assez, elle se laisserait faire... Si elle tombe pas dans un coma éthylique avant. Sais-tu ce que ce mot veut dire? Pas trop compliqué pour ton cerveau comprimé par ta graisse?"

Marco s'empourpra d'abord scandalisé par les insinuations perverses de cette fille... Puis blessé par les propos. Merde... Il savait bien qu'il était laid et peu désirable, mais se le faire dire aussi ouvertement était cruel et blessant... Il s'efforça de ne pas la regarder en face. Il ne voulait pas lui donner la satisfaction de pleurer devant elle!

La jeune rousse ne s'arrêta pas là.

"J'ai entendu des rumeurs attroces... Comme quoi des gens te faisait du mal... Et que des gens se soulevaient pour venir à ton secours. Tu pouvais pas t'empêcher de tout raconter? Je n'aime pas les paniers percés... Ta bouche répand des couinements désagréablement plaintif. Peut-être que je pourrais t'apprendre à ne plus l'ouvrir? J'ai un médicament pour te faire passer le goût de rapporter..."

Marco releva bien malgré lui la tête, laissant sa curiosité l'emporter. Il poussa une exclamation étouffée en voyant le pot maçon remplis de vers encore vivants. Que voulait-elle faire avec ça!?

Elle annonçait ça comme du jus de vers de terre... Du jus!? La surprise laissa place à l'horreur.

"Non...Non!", souffla-t-il, blemissant.

"Ma grand-mère dit que ça peut être utilisé comme médicament... Tu devrais le boire vite alors. À moins que tu veuilles que je demande à quelqu'un de t'aider à le boire? Tu sais... Si tu fais ça tout seul comme un grand, je te ramène ta Lucy en récompense".

Marco sentait déjà son estomac se serrer en protestation. Boire de lui-même ou risquer de s'étouffer si quelqu'un le lui enfonçait dans le gosier de force... Et Lucy dans tout ça... Si cette fille lui faisait du mal.

Serrant les dents, Marco prit le pot maçon entre ses mains gantées, tentant de s'empêcher de trembler.

Il regarda celle qui le forcait à faire ça, droit dans les yeux, fronçant les sourcils avant de boire. C'était une sensation horrible... Il n'avait pas le temps de goûter, mais il sentait... Les vers grouiller et glisser contre son palet, puis sa gorge. Cela lui prit toute sa volonté pour ne pas tout recracher. Il avala d'un trait, jetant le pot qui s'éclata en morceau sur le sol.

Ses lèvres étaient serrés l'une contre l'autre, regardant toujours la jeune fille avec un air de défiance et de haine.

Alyssa regarda l'asiatique avec un sourire et un regard hautain. Ce dernier était livide et avait d'abord exprimé son refus de coopérer. Bon... Peut-être allait-elle avoir besoin de chercher Ikki pour aider ce pauvre porcelet?

Non... Son sourire s'effaca momentanément pour laisser place à la surprise. Il le buvait vraiment!? Un coup terminé, il laissa échapper le pot maçon qui se brisa au contact du sol. Il garda la bouche bien fermée en la regardant droit dans les yeux. Non, mais, c'était quoi cette attitude!? Elle l'avait humilié! Elle l'avait forcé à faire un truc répugnant et il ne bronchait pas?!

"C'est quoi ce regard, hein? Tu te sens bien? Tu te sens bien dur parce que tu as bu ces vers sans coup de main? Tu te sens fier peut-être ou tu te fous de ma gueule!?"

Alyssa lui cracha sur son soulier avec une expression de dégoût.

"T'es pas en position pour te foutre de qui que ce soit! Oh, mais si tu veux te vanter à ta copine, je ne t'en empêche pas... Mais tu auras d'autres conséquences si tu ose me pointer moi ou mon cher... complice", le menaca-t-elle en tournant les talons.

Il aurait du se mettre à pleurer ou à crier... Cette réaction n'était pas marrante du tout. Elle se jura de trouver quelque chose de pire à lui faire. Alyssa avait toute une gamme d'idées à ce sujet... Merde difficile de se concentrer avec tout ce bruit! Des...battements d'ailes?

J’étais dans ma chambre tranquillement posé à la fenêtre m’amusant à faire des bulles. Que voulez-vous … un rien m’amuse … Lorsque quelque chose capta mon attention, je voyais Marco partir de manière précipité dans le jardin. A cette heure-ci ? Après ce qui lui est arrivé ? Il est con ou quoi ? En plus la nuit vas bientôt tomber !

Bon je ne vais pas le laisser sans surveillance … Ho je vous jure ! Qu’est-ce que je frai pas pour un ami ! Ni une ni deux Je pris la décision de me transformé en nué de corneilles et de m’envolé par la fenêtre. Je décidais de le suivre et voir un peu ce qu’il fait juste le temps de vérifier qu’il n’y avait rien de dangereux pour lui. Qui l’eu crus que j’avais bien fait ?
Il s’arrêtait dans le jardin et semblait attendre quelque chose. Pour ma part je posais sur le toit d’un bâtiment à proximité et conservait ma forme de nué de corneilles pour passer inaperçus. Pouvant passer deux heures par jour ainsi j’avais du temps devant moi.

Une fille que j’avais déjà croisée de loin dans le dortoir rubis sortit d’un buisson.

Elle arborant un sourire angélique: "Konbawa Marco-chan... C'est comme ça qu'on dit chez vous? On attend quelqu'un peut-être?"

Grace à mon ouïe fine je pouvais entendre sans problème ce qu’ils se disaient.

Marco recula un peu avant de répondre : _ "On dit kun... Comme...Comme suffixe"


La fille au sourire narquois : _"Chan convient bien pourtant... Pour une truie en détresse. Tu ne devrais pas t'enfuir... Ou tiens tu si peu à ta belle Lucy?"

Je commençais à sentir la colère monté en moi  mais pourquoi elle parle de Lucy ?

Marco : _ "Qu'as-tu fais à Lucy!? Si tu lui as fait du mal... Je te jure que tu ne t'en tireras pas comme ça!"

Elle : _ "Tu crois faire peur à qui? Tu penses que je vais juste la relâcher parce que tu couine comme une truie qu'on abat? Serait-ce l'amour qui te donne un peu de courage? En vrai... Tu veux juste te la taper, hein? Ne plus être un pathétique puceau? Peut-être que si je la fais boire assez, elle se laisserait faire... Si elle tombe pas dans un coma éthylique avant. Sais-tu ce que ce mot veut dire? Pas trop compliqué pour ton cerveau comprimé par ta graisse? J'ai entendu des rumeurs atroces... Comme quoi des gens te faisaient du mal... Et que des gens se soulevaient pour venir à ton secours. Tu ne pouvais pas t'empêcher de tout raconter? Je n'aime pas les paniers percés... Ta bouche répand des couinements désagréablement plaintif. Peut-être que je pourrais t'apprendre à ne plus l'ouvrir? J'ai un médicament pour te faire passer le goût de rapporter..."

D’où cette espèce de trainé se permet de faire ce genre de réflexion ? Non mais sérieux rien qu’à ça tenus on devine que la moitié du bahut lui est passé dessus alors elle ferait mieux de fermé sa gueule ! Bon calme toi Noa et concentre toi ! Donc c’est elle qui lui avait fait ça ?non j’ai vu les blessures de Marco quelqu’un d’autre l’a forcément aidé ! Je vais devoir patienter encore un peu pour obtenir les informations que je désire.

Elle sortit un bocale de vers de terres : _"Tadam! Le jus de vers de terre!

Sous les menace de la rousse Marco bu l’infâme bouillons d’une traite … j’étais partager entre mon dégout en tant qu’êtres humains et mon appétit de corneilles je dois dire que c’est troublant comme sensation !

"C'est quoi ce regard, hein? Tu te sens bien? Tu te sens bien dur parce que tu as bu ces vers sans coup de main? Tu te sens fier peut-être ou tu te fous de ma gueule!?"(Elle cracha sur les souliers de Marco) "T'es pas en position pour te foutre de qui que ce soit! Oh, mais si tu veux te vanter à ta copine, je ne t'en empêche pas... Mais tu auras d'autres conséquences si tu oses me pointer moi ou mon cher... complice",


Elle tourna des talons et commençais à s’éloigné. Parfait maintenant je savais qu’ils étaient deux, malheureusement elle ne me dira pas le nom de cette autre personne. Tant pis cela c’était déjà suffisant comme indice. Sachant qu’elle allait partir je suppose qu’elle n’allait plus rien dire d’autre il temps pour moi d’entré en scène et de lui faire comprendre le sens du mot humiliations !
Je pris mon envole et fondis en piqué sur elle, les corneilles se mirent à tournoyer autour de la victime tout en la pinçant lui tirant des cheveux et les assénant des coups de griffes, mais rien de méchant comparé à ce que je pouvais faire. Puis la soulevait dans les airs et alla l’accrocher par le col tout en haut de l’académie a l’une des lance ou sont accroché les drapeaux.  Puis je laissais la ainsi suspendus dans le vide ne laissant dans mon sillage des croassements semblables à des rires lugubres. Puis je tournais un petit peu autour de marc avant d’aller me posé dans un arbre. Pourquoi toute cette mise en scène ? Parce que je veux qu’elle pense que les corneilles proviennent de Marco pour l’incité à le laisser tranquille.

Aussitôt qu'elle eut entendu les bruits d'ailes, c'était trop tard. Une volée entière de corbeaux s'en prenaient à elle! Qu'est-ce qu'il leur prenait à ces sales bêtes!? Alyssa se débatti comme un diable dans l'eau bénite, frappant avec son sac à main. Cependant aussitôt qu'elle en envoyait valser un, un autre semblait prendre sa place. Des coups de becs, des coups de serre se faisaient sentir sur son visage et ses épaules, lui arrachant des jurons et des cris de douleur.

"P-putain, arrête! C'est toi qui fait ça, gros---Kyaaah!!! Non...Non, arrête!!!"

Elle ne pouvait que regarder avec haine le garçon obèse tandis que les corneilles lui tenaient les bras, la faisant décoller du sol. Était-ce lui qui les contrôlaient? La haine laissa place à la terreur. Allait-elle mourir? Ces corbeaux allaient-ils la jeter cruellement en bas!?

Au final, elle fut accrochée à l'un des poteaux du toit de l'académie. Elle ne risquait pas de tomber... Pour l'instant. Alyssa avait toujours le vide sous ses pieds, mais ne pouvant pas voir à cause de la noirceur.

"À L'AIDEEEEEEEE!!!", implora-t-elle, au bord des larmes.

C'était elle qui aurait du gagner... Alyssa avait été en position de supériorité, elle l'avait humilié... Non... Il aurait dû pleurer, supplier... Alyssa aurait alors été contrainte de le forcer à boire l'immonde contenu du pot, le regardant pleurer en regardant le liquide descendre vers lui... Là on aurait dit que ça n'avait pas été suffisant.  Et pour courroner le tout, c'était elle qui était présentement en position de détresse. Il allait prendre cher pour ça..

Aaaahh... Sérieusement, ces thermes sont la clé à la jeunesse baby...

Je n'avais pas remarqué le temps passer. Lorsque tu entres dans ces thermes, le monde à l'extérieur semble perdre toute importance... Tellement sans importance, que je n'avais même pas remarqué que je flânais dans les corridors de l'académie sans raison.

Aujourd'hui avait été une bonne journée, mon système de poulies avaient besoin de réparation mais tout c'était passé facilement, je suis même capable de soulever mon corps simplement avec la masse de Sissel. Bon, j'aurais pu faire quelque chose de plus productif mais peu importe, personne ne m'a encore réprimandé (ce qui est très étrange... Cette académie avait-elle vraiment un directeur? Je ne l'ai jamais vu...). En plus, j'ai été très occupé en après-midi à cause d'un débat avec Archie à propos de Batman vs Superman (ou j'avais évidemment raison non mais...).

J'étais tellement sous l'effet du bassin chaud que je ne m'étais même pas rhabillé au complet. Sans le réaliser, j'avais seulement mis mes chaussure, mes pantalons et ma chemise noire. Mon veston, ma cravate et mes lunettes se trouvaient encore dans la bâtisse des Diamants... Merde, bah j'irai les prendre demain...

En plus de cela, j'avais décidé de laisser mes cheveux aux naturel. J'ai vraiment la chance... Il y a pleins de gens qui tueraient pour pour avoir une vie sans pouvoir et sans problèmes. Vivre dans le monde extérieur avec des pouvoirs n'est pas du gâteau. Ça montre vraiment la nécessité d'un endroit comme celui ci. That's pretty awesome baby...

Pendant quelques moments j'entends une voix de fille dehors. Très étrange, normalement les élèves sont déjà dans leurs dortoirs... Bah, je suis trop zen pour m'en préoccuper, je peux bien les laisser être des ados. Je n'entends qu'à moitié ce qu'ils disent jusqu'à ce qu'un cri me réveille comme un verre d'eau glacé.

-À L'AIDEEEEEEEE!!!

En une fraction de seconde, le sentiment d'anxiété et de peur que je connaissais trop bien m'envahis. J'ai souvent entendu ce genre de cris auparavant et ça ne finissait rarement bien...

En m'approchant de la fenêtre, j'essaye de voir la source des hurlements. En sortant ma tête je réalise que les sons ne proviennent pas du sol, mais bien d'en haut... En tournant ma tête je vois quelque chose de très étrange... Une ado, une ado sur le toit, en fait je crois, la noirceur de la nuit n'aidait pas ma visibilité, cependant je pouvais tout de même voir des cheveux rouges. Mais sérieux, UNE ADO SUR LE TOIT?!!?, OK POURQUOI PAS!?!??! Pendant quelques secondes, je suis immobilisé par ce qui ce passe devant moi.

Bon, au diable la relaxation... Je commence à grimper le mur. En sortant ma tête de la fenêtre, je m'agrippe au bord au dessus de moi et je me tire au complet jusqu'à ce que mes jambes peuvent se mettre sur le bord. Ça faisait longtemps que j'avais fais ce genre de choses (la dernière fois était quand Sissel s'était coincé sur le toit et ne voulait pas redescendre...), cependant je n'étais pas trop rouillé. Le toit est plutôt incliné mais je peux quand même me tenir debout tant que je m'accote sur le mur. Le poteau était quand même assez loin, il faudrait qu'il grimpe environ 5 mètres pour l'atteindre... Au moins la surface était fait en dalles de pierre et pas en une surface lisse...

-Ne bouge pas! Reste calme, j'arrive!

La première dans des situations comme celle ci était de faire en sorte que la victime reste le plus calme possible, une personne apeurée peut être autant dangereuse pour elle même que pour la personne qui la sauve...

En me déplaçant assez rapidement, j'atteins le sommet. En me levant je réalise comment le vent souffle. En essayant de ne pas m'aveugler avec mes propres cheveux flottant dans le vent, je dis à la fille aux cheveux rouges:

-Bon, bouges pas. Laisse moi faire. Reste bien accroché sur moi d'accord?.

En la décrochant, je m'assure qu'elle est bien accrochée à mon dos, je ne peux pas vraiment la tenir dans mes bras si on veut s'en sortir vivant... En fait, comment je vais faire pour descendre avec une personne sur mon dos? Hmm...

En regardant la pente devant nous, une idée me vient en tête. C'est pas la meilleure, mais elle mieux de fonctionner...

-Bon ok, je vais me laisser glisser, inquiète toi pas.

En faisant bien attention de ne pas glisser trop vite sur la paroi du toit, je me pose quelques questions... Évidemment la première étant que fait une élève ici? Pouvoir de téléportation mal utilisé? Pouvoir de métamorphose en oiseau épuisé?
Je lui demanderai plus tard, il faut que je me concentre sur ce que je fais...

Arrivé sur le rebord, je laisse mes instincts prendre le dessus. Graduellement nos corps vont dans le vide jusqu'à ce que je m'agrippe sur les dalles de pierre. Merde, même avec la fenêtre devant moi, si je mets mes pieds sur le rebord et je laisse aller, je crois que le poids de la fille va me débalancer... Hmm penses vite Lloyd, tu peux rester là longtemps... Hmm, et si je faisais ça?

-Il va avoir un choc, tiens toi fort...

Le moment suivant ne prit que quelques dixièmes de secondes mais il semblait beaucoup plus long. En lâchant le rebord, je sens l'attraction de la gravité commencer à faire effet. La délivrance de mes muscles ne durent pas très longtemps. Mes réflexes aiguisés m'ont permis d'agripper le bas de la fenêtre. Juste un peu plus! Avec mes dernières forces, je nous tire rapidement à l'intérieur...

Heureusement que c'était fini. En me tournant la tête je tapote les mains autour de mon cou.

-Fiou... Tu vas bien? Rien de cassé?

Marco lui-même ne savait pas quel genre de tête il faisait. Intérieurement, il ne se sentait pas bien du tout. Humilié, rabaissé, dégradé... Il ne voulait pas se mettre à tout régurgiter devant elle. Que lui ferait-elle sinon? Il commençait à avoir une petite idée, mais tenta aussitôt de ne pas y penser tant l'image le rendait malade. Quoi qu'il en soit, il était foutu de toute façon. Sa réaction n'avait pas plus à celle qui le persécutait, mais pas du tout. Elle avait prit ça pour de la provocation et exprima davantage son mépris en lui crachant sur ses pieds. Comment pouvait-on être aussi immonde? Pourquoi faisait-elle ça? La logique s'appliquait-t-elle vraiment? Elle lui tourna le dos la tête haute... Mais pas pour longtemps.

Une volée d'oiseaux noirs...Des corbeaux l'attaquaient! Marco ne put que rester figé, la bouche toujours fermée, mais les yeux grand ouverts. Ce n'était pas naturel que des animaux fassent ça. Marco comprit rapidement que ça ne pouvait être qu'une personne : Noa. Il regardit l'adolescente se débattre comme une déchaînée, attaquée de toutes parts. Heureusemenr, ce n'étaient que des blessures superficielles, mais il sentit son estomac déjà fragile se retourner lorsqu'il vit la nuée de volatile emporter la jeune rousse vers le toit de l'école.

Il la posa là avant de revenir vers lui, traçant des cercles au-dessus de sa tête. Il ne savait pas si l'une des créatures ingurgitées avait vraiment remuer dans sa gorge ou si c'était psychologique, mais Marco s'écroula sur ses genous, recrachant le contenu de son estomac.

"Beuarkk...uhhh...koff...koff.."

Sur le sol, il en voyait... trois...quatre...encore en train de convulser dans la substance acide. Il ne savait pas combien de temps il avait passé à étre malade, mais à la fin, sa gorge le brûlait, après n'avoir ressorti rien d'autre que de la bile.

Combien de vers il y avait-il déjà? Il ne se rappellait plus... Les renvoyer avait été pire que de les boire. La sensation et le goût étaient horribles. Toujours à genou, ses bras autour de ses côtes, l'émeraude était en larmes, les épaules tremblantes.

"...No--Noa... C'est toi?...", sanglota-il d'une voix à demi étouffée.

Alyssa avait appellé à l'aide continuant de se débattre jusqu'à ce qu'elle sente son col émettre un bruit inquiétant. Si elle continuait de bouger c'était la fin. Les larmes lui montèrent aux yeux. Pourquoi? Était-elle la seule à ne pas pouvoir s'en sortir impunément? Pourquoi protégeait-on ce gros pleurnicheur et pas elle? N'avait-elle pas été innocente une fois? Ne méritait-elle pas d'être protégée?

"Bien sûr que non...", souffla-t-elle avec un sourire triste.

Alyssa secoua la tête, refusant de se perdre dans ses souvenirs. Si elle allait mourir, elle refusait de le faire comme une victime. Puis, alors qu'elle perdait tout espoir... Elle le vit.

- Ne bouge pas! Reste calme, j'arrive!

Un homme s'était hissé sur le toit par l'une des fenêtres. Était-ce son imagination qui inventait cela? Non, il y avait des limites à halluciner et elle n'avait rien prit pour avoir cet effet. Un homme... De toute évidence, un professeur, se portait à son secours. Bien entendu c'était son devoir...Mais encore là, il aurait pu passer son chemin, faire comme s'il n'avait rien vu. Tant d'autres l'avaient fait avant...

Non. Cet homme était différent. Il risquait sa vie en ce moment pour elle. Son coeur rata un battement lorsqu'elle vit à quelle point le vent soufflait... et aussi, jamais Alyssa n'avait vu d'hommes avec d'aussi beaux cheveux. En fait, le courage de ce professeur n'avait d'égal que sa beauté. Plus il approchait, plus Alyssa sentait son rythme cardiaque s'accélérer.

-Bon, bouges pas. Laisse moi faire. Reste bien accroché sur moi d'accord?

Ses pupilles rouges croisaient celles du Diamant, d'un vert intense. Elle acquiesça, entourant ses bras autour de lui aussitôt qu'elle put le faire. À cet instant-ci, elle lui confiait sa vie. S'il glissait... C'était fini pour tous les deux.

-Bon ok, je vais me laisser glisser, inquiète toi pas.

Inconsciemment, elle avait resserré sa prise sur lui. Se laisser glisser!? C'était de la folie, mais que pouvaient-ils faire d'autre?! Alyssa ferma les yeux, se tenant toujours fermement au blond et attendit.

-Il va avoir un choc, tiens toi fort...

Là-dessus, la Rubis n'avait pas besoin de se faire prier! Pendant un moment, elle crut que son coeur allait s'arrêter.

"C'est comme un manège...C'est comme un manège...", souffla-t-elle d'une voix à peine audible, gardant les yeux bien clos.

Les sensations fortes y étaient... Mais là le risque était bien réel. Elle ne vit pas ce que le professeur fit pour la ramener en sécurité, elle n'avait pas osé regarder jusqu'à ce qu'elle sente le sol sous ses pieds. Elle ouvrit les yeux lentement, se retrouvant face à son sauveur.

-Fiou... Tu vas bien? Rien de cassé?

Alyssa ouvrit la bouche, mais elle ne sut pas quoi dire sur le coup, trop submergée par l'émotion.

-...Je...J'ai... J'ai eu peur! T-Tellement peur!!!"

Éclatant en sanglot, elle se blotti contre son héros, tremblant comme une feuille, mais se sentant en sécurité pour la première fois.

M’étant posé dans un arbre j’observais quand même comment allait réagir Marco. Sans réelle surprise il se mit à vomir la mixture qu’il venait d’ingurgité. Tu m’étonne ….on est pas tous comme le mec que Man vs Wilde on n’arrive pas tous à bouffer des larves et des insectes. Quoique Marco est chinois je crois … la bas il en bouffe des saloperies. Ah Non pardon il est Japonais ça n’a rien à voir.

Je l’entendit sangloté :_ "...No--Noa... C'est toi?...",

Dans un même temps je pus assister grâce à mon ouïe au sauvetage de la fille. Dommage … j’aurais bien aimé entendre un « splatch » ce soir. Enfin bon comme elle chialait je pense qu’elle a eu son compte pour ce soir. Je m’envolait et pris ma forme humaine auprès de Marco . Je le forçais a se relevé en lui tendant un mouchoir et l’emmena « de force » à l’entrée de la maison émeraude
Je plongeais un regard dure dans ses yeux humidifié par les larmes et me mis a le sermonné.

Moi : _ T’as quoi dans la tête sérieux ! Mais quelle idée t’as eu de sortir à une heure pareil après ce qui t’es arrivé ! Putain heureusement que je t’ai suivi imagine ce qui se serais passé si je n’aurai pas été Là ! Je veux bien être gentil et t’aider mais ya un moment si t’a pas envie d’être aidé ou d’aller mieux là je peux rien pour toi clairement ! Yaura pas toujours quelqu’un pour surveiller tes arrières ou te défendre ! Va falloir te reprendre mon vieux. Je ne sais pas moi ! Utilise ton pouvoir inscrit toi au club de combat, parle aux profs mais je ne sais pas fait quelque chose parce que ça va pas aller longtemps et ça va vite me saouler de te surveiller.

Je ne lui laissais pas l’occasion de répondre et fit mine de retourné à la maison rubis. Puis j’allais me cacher à l’angle d’un mur juste pour vérifier que cet idiot retournait bien chez les émeraudes. J’ai peut-être été un peu dure dans ce que j’ai dit mais c’était pour son bien.

La fille resta muette quelques instants...

-...Je...J'ai... J'ai eu peur! T-Tellement peur!!!

Elle se serra contre moi fort. La pauvre, elle tremblait énormément et les larmes commençaient à couler. Instinctivement, je mets mes bras autour d'elle et je lui chuchotte:

-Tout va bien, c'est fini...

En lui frottant le dos, j'attends qu'elle se calme. Toute une expérience... On doit se sentir complètement vulnérable. C'est pas un sentiment qui m'est inconnu. La peur, la vraie peur.. C'est quelque chose d'horrible.

En examinant la jeune fille, je remarque son habit plutôt mignon. Sa robe de style lolita était très complexe. En plus, ses cheveux étaient évidemment pas naturels. Un ruban dans les cheveux, en fait BEAUCOUP de rubans... Je vais arrêter de fixer son habit avant que j'ai l'air louche...

Les pleurs semblaient finalement se calmer. Lorsqu'elle finit, j'enlève mes bras pour pouvoir la laisser se mettre debout. Hmm bon j'imagine qu'il faudrait que je me présente avant toute choses...

Heureusement que je passais dans le coin! Bon, tout va mieux maintenant? Moi c'est Lloyd Maxwell.

Après sa réponse, je lui pose une autre question:

-Si tu veux, mon local est juste à côté. Il y des chaises pour s’asseoir.


En nous dirigeant vers mon local, je lui ouvre la porte en signe de politesse. À l'intérieur se trouve un Sissel déjà endormi et quelques uns de mes projets pas encore complétés. Au moins, il y avait quand même de la place pour être confortable...

Maintenant que nous étions plus calme après ce qui venait de se passer, je décide de lui poser une question qui piquait ma curiosité depuis un moment...

Il faut que je te demande, qu'est-ce qui est arrivé? T'as un pouvoir de téléportation qui a mal tourné? C'est pas tout les jours que des gens se trouvent dans ta situation...

Je souris en disant ça pour essayer de rendre la situation moins stressante pour elle.

Les corbeaux se placèrent autour de lui, avant de reprendre leur forme humaine. Noa était présentement à côté de lui, lui tendant un mouchoir. L'Émeraude leva une main tremblante pour le prendre, mais le Rubis lui aggripa le bras, le forcant à se lever. Marco fut à moitié traîné durant tout le trajet. Il voyait à peine où il allait, aveuglé par les larmes. Il ne comptait que sur le jeune homme pour le guider, bien qu'il le faisait sans la moindre douceur. En fait, Marco pouvait le sentir... Noa était furieux.

Pourquoi? Marco ouvrit la bouche pour parler, mais fut prit d'un nouveau haut-le-coeur. Il n'avait plus rien dans l'estomac qui pouvait être régurgité. Il se sentait toutefois toujours malade. Il fallait s'y attendre avec ce qu'il venait de lui arriver... Mais il se rajoutait à cela une migraine atroce.

Ils s'arrêtèrent enfin devant ce qui semblait être la porte menant à la salle commune des émeraudes. Marco profita du fait que Noa l'avait relâché pour essuyer ses joues mouillées par ses larmes.

Le rubis, lui, refusa de lui donner du répit. Il le regarda dans les yeux avec une sévérité effrayante.

- T’as quoi dans la tête sérieux ! Mais quelle idée t’as eu de sortir à une heure pareil après ce qui t’es arrivé ! Putain heureusement que je t’ai suivi imagine ce qui se serais passé si je n’aurai pas été Là ! Je veux bien être gentil et t’aider mais y'a un moment si t’a pas envie d’être aidé ou d’aller mieux là je peux rien pour toi clairement ! Y'aura pas toujours quelqu’un pour surveiller tes arrières ou te défendre ! Va falloir te reprendre mon vieux. Je ne sais pas moi ! Utilise ton pouvoir, inscrit toi au club de combat, parle aux profs mais je ne sais pas fait quelque chose parce que ça va pas aller longtemps et ça va vite me saouler de te surveiller.

Marco voulait lui expliquer... Lui parler de la lettre qui venait supposément de Lucy, des menaces proférées par sa persécutrice... S'expliquer, se justifier! Visiblement, Noa n'était pas d'humeur à l'entendre. Il tourna les talons, le laissant seul.

Marco laissa échapper un nouveau sanglot étouffé. Non... Il avait raison... Bien sûr, il avait raison sur toute la ligne. S'il voulait qu'on l'aide, il devait s'aider lui-même. Arrêter de tout prendre sur lui-même et d'être une victime. Lucy le lui avait dit... Noa le lui avait dit... Ses autres amis le lui diraient aussi. Toujours assailli par son mal de tête, mais empli d'une certaine détermination, il se dirigea vers le dortoir des émeraudes. Première chose à faire avant tout: s'assurer que Lucy allait bien... Il priait également que pour sa résolution tienne.