Les cailloux, Kupo ! [Changements terminéééééés ]

( 3 aout 2014, Kupo à 11 ans) 10h30. Mon réveil sonne. Je me lève. La matinée passe. une routine banale et ennuyante. Mais il faut que je sorte. Maintenant. Ce qu'il y a eu hier. Je dois comprendre. Le web ne dit rien. Les livres ne disent rien. Mes amis ne disent rien. Bref, une passionnante aventure a base de " tu nage pour la première fois de ta vie et plouf, tu coule !". Arf. De base, je n'aime pas l'eau. JE lui fait confiance pour la PREMIERE fois. Et elle cherche a me tuer en me faisant couler. SI je pouvais me venger... j'arrive enfin a la piscine. Il est tot alors il n'y a quasiment personne. Je plonge mes pieds, timidement, et je reste comme ça pendant quelques minutes. Je pense. Le maitre nageur est en place. Aucun risque que je meurt si ? Je vais aller dans l'eau et comme j'ai pieds, je vais apprends a nager en toute sécurité. Détermination, mon cher Kupo. Je pose un pied sur le sol de la piscine. L'eau m'arrive aux genoux. J'avance. Petit a petit.. Les minutes passent.  Puis je deviens lourd. SI lourd que j'ai l'impression de.. que l'eau m'attire, que l'air ne veut plus de moi que...JE coule... l'eau vient...

23 aout 2014, Kupo à 11 ans ) J'avale tout rond ma dernière tablette de chocolat blanc. Cette après midi, je aller promener ma chienne, Sylvia. Je part donc, attachant sa laisse et me baladant tranquillement , prenant le chemin de la forêt tandis que ma dalmatienne cours  a mes coté. Je n'avais parlé a personne de l'incident de la piscine. DES incidents a vrai dire. Jarrive dans la forêt. Il n'y a plus aucun danger, alors je libère Sylvia de sa laisse et je vais, comme d'habitude, m'assoir sur le gros cailloux à coté du tas de rochers. J'adore cette endroit. Je soupire et sort un livre de mon sac. La lecture m'ennuie vite, et je décide de jouer avec Sylvia. Je me lève, m'étirant difficilement, et siffle pour qu'elle viennent. Plusieurs minutes d'attentes plus tard, elle ne vient pas. Je la cherche pendant une heure. Je ne PEUX pas rentrer a la maison sans elle ! Ou ? OU ? Mon dieu, je panique. Je cherche partout. Je part dans tout les sens. Mes pensées aussi. AAhhhhh ! Ok, reprendre son calme, souffler, analyser, être intelligent. Comme dans les films. Je vais la ret... Un cri ! C'est elle ! c'est sur  ! je cours aussi vite que je ne le peux, ces cris n'ont pas l'air de très bon signes ! Je la retrouve sous en partie sous un tas de pierre. Les autres menacent de s'écrouler et de la tuer. NON ! ça ne peut pas se finir comme ça ! Je cours pour aider ma chienne a sortir du piège de roc, mais rien a faire, je ne suis pas assez fort.Il ne reste qu'un rocher, mais il est trop lourd... J'entends, le reste qui commence a s'effondrer, je vois le regard suppliant de Sylvia. CE rocher doit partir et vite ! Je le pousse de toutes mes forces, mais c'est un échec, rien n'y fait. Je dois y arriver !  Alors que tout espoir était perdu, Je pousse sur le rocher avec une rage incontrôlée. Il vole, loin. Très loin. Je ne sais pas ce qu'il c'est passé, je me fiche. Je sauve ma chienne et rentre a la maison.

(le lendemain) JE me souviens de ce que j'ai fait hier. C'est clair comme de l'eau de roche. Je revoit la scène. Je ne POUVAIT pas pousser ce rocher sans aide. Je dois retourner sur les lieux du crime. Une fois la bas, je retrouve le rochers, et le fouille comme je peux. Il est toujours lourd. J'essaie de le pousser lais encore une fois, j'arrive a la conclusion que c'est impossible. Je refait alors comme hier. Je pousse, mais sans forcer, juste avec la volonté qu'il bouge. Et ça marche ! Je recule. Trop d'hypothèse affluent en moi. Je retouche le rocher et le fait difficilement rouler jusqu'à  sa place. Fabuleux. Incroyable. Il y a un gallet, non loin. Puis je l'attirer ? Oui ! Mon exitation est a son comble. Que puis je faire d'autre ? AU final, j'ai passé les mois qui suivent à retourner ici et à jouer avec ces cailloux. J'avais de plus en plus mal a la tête, si bien que j'ai du m'imposer des pauses d'une semaines entre chaque sessions pour ne pas trop souffrir. Cela restait merveilleux.  Je faisais juste rouler quelques cailloux par terre, pendant une petite demi heure, puis je partais. MAis au bout d'un an, ce rendez vous hebdomadaire ne trouva plus sa place dans mon emplois du temps chargé, et je ne fis plus qu'une session tout les mois.

8h30. Mon réveil sonne. Je me lève et comme tout les matins, déjeune, me lave, prépare mon sac.. Je déteste cette routine. Je dit rapidement au revoir a mes parents et va prendre mon bus en compagnie de ma soeur, Tany. Dans le bus, je reste seul pour reprendre et relire cette lettre reçu la veille. Elle raconte que je suis invitée à m'inscrire dans une "académie".  Tsuki. CE nom est impressionnant. Une école de gens avec des pouvoirs ? comme moi ? Fabuleux ! . Je n'en ai parlé a personne, sauf à Tany. Enfin, elle a plus fouillé dans mon sac et trouvée la lettre.  Elle veut que j'y aille. Que si je trouve ma place quelque part, ça serait bien. Tssk. Elle ne sait rien sur moi, mais elle s'obstine à penser savoir ce qui est bon pour son petit frère.  Le bus arrive, je range la lettre et  file en cours. Pendant toute la journée, je m'imagine cette école, tantôt Poudlard de Harry Potter, tantôt un collège absolument normal, et où on isole juste les gens comme moi. Cependant j'avoue que l'idée d'y aller est tentante. Je veux bien m'éloigner de Londres et de ma famille. A mon retour a la maison, je réfléchit. Pendant des heures. Je débat intérieurement. Pendant des jours. Une semaine après, ma décision est prise. Alors, un samedi,  je met la lettre soigneusement refermé dans la boite au lettre. Je vais ensuite dans ma chambre et attend la réaction de mes parents, impatients. C'est mon père qui vient me voir, avec une expression de surprise sur le visage. Nous discutons pendant une demi heure, moi lui révélant mes pouvoir, en restant vague, et lui enchainant un festival d'expression de surprise. J'argumente ensuite sur le bien que ça me ferait un nouveau départ loin d'ici, que mes notes sont en baisse.. Un discourt préparé depuis deux jours. Une semaine encore plus tard, mes parents viennent m'annoncer qu'il sont d'accord, même s'ils ne comprennent pas vraiment mon "délires avec tes pouvoirs, là". Je suis content. Une nouvelle vie commence alors que je prépare ma valise. Ma soeur passe dans ma chambre. Elle  a surement appris de mes parents que je partais car une expression de surprise déforme son visage. S'en suit un dialogue ridicule, elle disant que je lui manquerais et moi lui rappelant toutes les crasses qu'elle m'a fait.  Elle claque la porte. Je jubile intérieurement en mettant ma brosse à dent dans ma valise. Pour la dernière fois, je range ma chambre puis je chercher sur le Web des informations sur l'académie Tsuki. Je n'y trouve RIEN. le vide absolu. étrange. Ma théorie de Pouldlard prends du sérieux !  je me déconnecte alors et passe les temps en lisant.    Je partirais surement la semaine prochaine, et mon impatience déborde déjà.