Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
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Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Here's to alcohol, the rose colored glasses of life.
“I believe when life gives you lemons, you should make lemonade...and try to find someone whose life has given them vodka, and have a party.”
La nuit s'installait tranquillement sur le pays, alors pour nous, la soirée venait à peine de commencer. Je tenais le bras de William, qu'il m'avait offert avec un sourire amusé plus tôt. Je jetais un coup d’œil à droite et à gauche sans vraiment regarder mon cher ami à mes côtés. J'espérais profiter de ma soirée amplement. Peut-être même avec une fin plutôt torride... ou encore une simple nuit de sommeil avant d'endurer une seconde journée en mode gueule de bois, qui sait. Je voulais simplement être spontané et ne pas toujours être en mode: J'ai envie de péter la gueule à tout le monde parce que ma innerwolf est jamais contente, vous comprenez? C'est vrai que Scarlet n'approuvait pas souvent mes choix et encore moins quand William en faisait parti, mais j'étais au centre de mes problèmes. J'étais légèrement dépressive, si vous voulez. Je joue pas la mélo-drame ici, mais Elijah pouvait aller se perdre dans le fin fond du bois pour m'avoir autant ruiné. J'étais bien avant qu'il revienne, j'étais bien dans ma foutu ignorance et encore mieux lorsque je n'entendais pas cette foutu capricieuse dans ma tête! Bref, information peu pertinente... on revient sur le moment présent, s'il vous plaît, merci!
La rue était plutôt bondée en un Dimanche soir. Les gens qui passaient étaient absorbés par leur compagnie alors que moi, je m'amusais davantage à regarder les alentours plutôt que le rouquin à mes côtés. Nous étions simplement amis, enfin amis avec bénéfices rendu-là. Je pense même pas que nous étions passé au stade d'ami, bref, s'pas important. Je jetai un vague coup d’œil à William. Il était quand même mignon dans sa tenue, je ne lui avais pas vraiment fait de compliment là-dessus et il n'avait pas non plus fait de commentaires sur la mienne. Donc on n'était à égalité, bien que je ne m'attendais pas à ce qu'il dise quoique ce soit. Après avoir marché encore quelque minute, William s'arrêta devant un bar; Le Hamra. Je souris à moi-même alors que nous pénétrâmes dans le bâtiment par de grandes portes rougeâtre. L'ambiance y était cosy, mais en même temps plutôt énergique. Un mélange de rock et de discussion relaxe devant un verre, un parfait mixte pour une soirée. Nous prîmes place au comptoir et je regardais vaguement le monde qui se trouvait dans le pub. Mes yeux pétillaient de plaisir face à la scène qui s'offrait en face de moi, mais bien vite le barman me sortit de mes pensées. Je retournai vivement mon regard noisette sur le jeune homme aux cheveux doré qui me souriait.
- Que désirez-vous à boire?
- Un verre de whiskey avec de la glace et un fish and chips, dis-je simplement.
- La même chose, mais avec un pasti supper, dit mon bel mon ami à ma gauche.
Le barman nous lança un dernier sourire avant de poursuivre sa soirée. D'un mouvement de la main, je poussai mes cheveux vers l'arrière avant de poser mes yeux sur William. Nous n'avions jamais pris la peine de parler vraiment et je me demandais ce que ça allait donner, mais bizarrement, le seule envie que j'avais lorsque je le voyais, c'était une envie de lui retirer ses vêtements bestialement. Je pouvais quand même pas faire ça au milieu d'un bar... pas vrai? Remarque, je pourrais toujours essayer... Je me mis à me sourire à moi-même alors que Scarlet grognait, comme à son habitude. Une vraie mégère! Bref...
- Maintenant que j'y pense, c'est plutôt mal à l'aise entre nous deux, dis-je simplement, je veux dire, on se connait pas vraiment et je peux pas dire que nous sommes amis étant donné que ce stade a été dépassé plutôt rapidement, mais on pourrait faire ça de la bonne manière si tu veux... car il faut dire que c'est pas le genre de situation à laquelle je suis habituée.
Je me tus assez rapidement alors que nos plats, ainsi que nos boissons, arrivèrent. Je pris une gorgée de whiskey rapidement alors que je continuais d'observer mon bel ami. C'étais la moindre des choses quand on essayait de conversé... même si j'étais déjà rentré dans son côté intime, il est jamais trop tard pour au moins se connaître un minimum... seulement j'étais un peu à cour de mots, pour être sincère. Je me demandais même pourquoi je me sentais aussi à l'aise avec le jeune homme à mes côtés... et surtout, pourquoi je l'avais invité à rester ou encore à aller au bar avec moi. Quand je ne faisais que coucher avec un gars, la plupart du temps, on finissait pas par aller manger et boire dans un pub ensemble. C'était vraiment juste de la baise, vous voyez le genre quoi... Je finis mon verre d'un cul sec avant d'en redemander un autre au barman. Mon deuxième arriva et j'attendais toujours une quelconque réponse de la part de William...
La rue était plutôt bondée en un Dimanche soir. Les gens qui passaient étaient absorbés par leur compagnie alors que moi, je m'amusais davantage à regarder les alentours plutôt que le rouquin à mes côtés. Nous étions simplement amis, enfin amis avec bénéfices rendu-là. Je pense même pas que nous étions passé au stade d'ami, bref, s'pas important. Je jetai un vague coup d’œil à William. Il était quand même mignon dans sa tenue, je ne lui avais pas vraiment fait de compliment là-dessus et il n'avait pas non plus fait de commentaires sur la mienne. Donc on n'était à égalité, bien que je ne m'attendais pas à ce qu'il dise quoique ce soit. Après avoir marché encore quelque minute, William s'arrêta devant un bar; Le Hamra. Je souris à moi-même alors que nous pénétrâmes dans le bâtiment par de grandes portes rougeâtre. L'ambiance y était cosy, mais en même temps plutôt énergique. Un mélange de rock et de discussion relaxe devant un verre, un parfait mixte pour une soirée. Nous prîmes place au comptoir et je regardais vaguement le monde qui se trouvait dans le pub. Mes yeux pétillaient de plaisir face à la scène qui s'offrait en face de moi, mais bien vite le barman me sortit de mes pensées. Je retournai vivement mon regard noisette sur le jeune homme aux cheveux doré qui me souriait.
- Que désirez-vous à boire?
- Un verre de whiskey avec de la glace et un fish and chips, dis-je simplement.
- La même chose, mais avec un pasti supper, dit mon bel mon ami à ma gauche.
Le barman nous lança un dernier sourire avant de poursuivre sa soirée. D'un mouvement de la main, je poussai mes cheveux vers l'arrière avant de poser mes yeux sur William. Nous n'avions jamais pris la peine de parler vraiment et je me demandais ce que ça allait donner, mais bizarrement, le seule envie que j'avais lorsque je le voyais, c'était une envie de lui retirer ses vêtements bestialement. Je pouvais quand même pas faire ça au milieu d'un bar... pas vrai? Remarque, je pourrais toujours essayer... Je me mis à me sourire à moi-même alors que Scarlet grognait, comme à son habitude. Une vraie mégère! Bref...
- Maintenant que j'y pense, c'est plutôt mal à l'aise entre nous deux, dis-je simplement, je veux dire, on se connait pas vraiment et je peux pas dire que nous sommes amis étant donné que ce stade a été dépassé plutôt rapidement, mais on pourrait faire ça de la bonne manière si tu veux... car il faut dire que c'est pas le genre de situation à laquelle je suis habituée.
Je me tus assez rapidement alors que nos plats, ainsi que nos boissons, arrivèrent. Je pris une gorgée de whiskey rapidement alors que je continuais d'observer mon bel ami. C'étais la moindre des choses quand on essayait de conversé... même si j'étais déjà rentré dans son côté intime, il est jamais trop tard pour au moins se connaître un minimum... seulement j'étais un peu à cour de mots, pour être sincère. Je me demandais même pourquoi je me sentais aussi à l'aise avec le jeune homme à mes côtés... et surtout, pourquoi je l'avais invité à rester ou encore à aller au bar avec moi. Quand je ne faisais que coucher avec un gars, la plupart du temps, on finissait pas par aller manger et boire dans un pub ensemble. C'était vraiment juste de la baise, vous voyez le genre quoi... Je finis mon verre d'un cul sec avant d'en redemander un autre au barman. Mon deuxième arriva et j'attendais toujours une quelconque réponse de la part de William...
#iwhae pour epicode
Dernière édition par Rain le Dim 03 Sep 2017, 05:13, édité 2 fois
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Le trajet vers le pub se fit dans un silence presque déconcertant. C'était semblable à la balade qu'il avait fait avec Shawn plus tôt dans la semaine lorsqu'ils étaient allé au Bartender. La majeure différence était la proximité qu'il avait avec Rain, ainsi que leurs accoutrement semi-formel. Lui s'était vêtu des couleurs de sa famille avec une chemise blanche et une veste sans manche noire. Elle était vêtue d'une robe noire fiorisée a la dentelle qui épousait ses formes délicieusement. Il ne lui avait pas fait de commentaire, se contentant de la dévorer des yeux à quelques reprises. Il imaginait déjà cette robe à moitié retirée de sur la jeune femme. Le truc bien avec les robes, c'était l'accès rapide. C'était d'autant plus vrai pour les kilts. William portait un kilt en cette soirée.
Outre s'offrir quelques regards voraces à l'intention de sa belle amie, l'écossais avait guetté et observé toutes filles plus où moins jolies qu'ils croisèrent en chemin. Il leur offrait presque des sourires et ne pouvait s'empêcher de ressentir cette fierté presque arrogante quand il pouvait déceler la jalousie sur leur visage. Après tout, il avait déjà une magnifique jeune femme à son bras.
Une fois au Hamra, la pair s'installa au comptoir. Les commandes furent rapidement faites, ce qui laissait les deux britannique libres de converser. C'est ele qui ouvrit le bal, remarquant l'éléphant dans la pièce : ils avait passé outre l'étape de l'amitié, passant directement au sexe, et là ils venaient de passer la journée ensemble en s:apprêtant à faire de même de la soirée. Comme s'ils étaient des amis, ou pire, un couple. Au final, elle soulignait des évidences et lui-même n'était pas habitué à ce genre de suite événementielle. Il sirota un peux son whisky avant d'offrir un sourire rieur à Rain.
"Ouais, okay... Bon alors on commence... Hmmm... Je suis William Patrick MacKenzie, j'ai dix-huit ans, je viens des Highlands écossais et j'ai habité pendant quelques années à Edinburgh avant de venir ici. Je suis enfant unique et mes parents sont toujours en vie et en santé en Écosse. Il marqua une pause pour prendre une bouché de son repas avec une frite. Se léchant les doigts, il continua. Alors, je suis callé en histoire, fan de musique et de plein air. J'adore les promenades romantiques sur la plage et regarder les couchés de soleil...
Il tenta, suite à ces mots d'un cliché et d'un ridicule, de contenir son rire. Il tenta même de le noyer avec une lampée de whisky, mais faillit bien recracher la boisson alors que son rire retentissait malgré lui. Secouant la tête devant sa propre blague et essuyant ses yeux, il reposa son verre et prit une autre frite de son assiette.
"Ouff... T'imagine si c'était vrai ? Enfin, c'était vrai jusqu'au plein air, que j'aime bien... Hehe. Alors, et toi ?
Il lui offrit un regard curieux. Il acceptait de jouer à ce petit jeu, surtout s'il pouvait en rire un peu du même coup. Ça rendait le tout, au final, bien moins malaisant.
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Here's to alcohol, the rose colored glasses of life.
“The mistake ninety-nine percent of humanity made, as far as Fats could see, was being ashamed of what they were; lying about it, trying to be somebody else.”
Qu'est-ce que je faisais ici au juste? Je sentais, au fond de moi, que j'avais besoin de me justifier sur mes actions alors que Scarlet envahissait ma tête avec sa voix. C'est dans ce genre de moment que j'aimerais encore être perdu dans ma conscience et de n'avoir aucune idée de mon passé. C'est ironique, car j'ai toujours voulu savoir et maintenant que je savais, j'aurais préférer être ignorante. On n'est jamais content de ce qu'on a, pas vrai? Un sourire triste se glissa sur mes lèvres alors que j'avais le regard perdu dans la brume. Je tenais toujours mon verre des deux mains pendant que mes cheveux ondulés bloquaient ma vue sur mon bel ami. Remarque, j'étais soulagée d'avoir mes cheveux dans le chemin, car mon visage avait prit un ton plutôt rosé et nostalgique, mais avec l'éclairage du bar, je doutais que William aurait pu s'en apercevoir de toute façon. J'expirais profondément alors que le rouquin à mes côtés sirotait sa boisson tranquillement. Je déposai mon verre avant de mettre mes mèches de cheveux derrière mon oreille et de tourner mon regard sur le jeune homme. Il me donna un sourire rieur. C'est sûrement sa façon de gérer la situation, mais moi je pouvais sentir mes jambes tembler très légèrement. Je croisai mes jambes ensemble pour faire en sorte qu'ils cessent et bien vite, je reposai mon masque sur mon visage et lui renvoyai son sourire.
"Ouais, okay... Bon alors on commence... Hmmm... Je suis William Patrick MacKenzie, j'ai dix-huit ans, je viens des Highlands écossais et j'ai habité pendant quelques années à Edinburgh avant de venir ici. Je suis enfant unique et mes parents sont toujours en vie et en santé en Écosse. Il marqua une pause pour prendre une bouché de son repas avec une frite. Se léchant les doigts, il continua. Alors, je suis callé en histoire, fan de musique et de plein air. J'adore les promenades romantiques sur la plage et regarder les couchés de soleil...''
Les promenades romantiques? Je détournai le regard vaguement du jeune homme avant de boire mon verre cul sec. Je fis signe au barman de me resservir et il ne se fit pas prier. Mon verre de nouveau plein d'alcool et celle dans mes veines faisant effet, je commençais à me détendre. Je n'avais pas l'habitude de boire. En fait, je ne buvais presque jamais. C'est loin de l'image qu'on me donne, pas vrai? Seulement, en ce moment même, j'en avais étrangement besoin. William se mit à secouer de la tête comme si sa blague l'avait prise, lui aussi, au dépourvu, mais je ne fis aucun commentaire sur le sujet.
"Ouff... T'imagine si c'était vrai ? Enfin, c'était vrai jusqu'au plein air, que j'aime bien... Hehe. Alors, et toi ?''
Je souris faiblement et pris une frite pour la manger. Je me mis à réfléchir quelque peu. Je ne savais pas comment je pourrais lui dire mon nom de famille, car mon frère était professeur à l'Académie désormais... et il devait sûrement le connaître ou peut-être que non. Mon seul moyen de le savoir c'était de répondre honnêtement, mais est-ce que j'avais vraiment envie de me faire poser des questions sur ma famille tout juste reconstitué? Non, vraiment pas.
- Et ben... moi c'est Rain.. Riverton. J'ai 18 ans et je suis britannique de souche. Pour ce que je sais, je ne suis qu'une orpheline alors j'imagine que ça fait de moi une enfant unique aussi. Sinon et ben j'aime bien la course et la musique.
Je continuai de manger tranquillement alors qu'un silence s'installa entre nous. Je ne sais pas si ma voix avait été tremblante ou encore s'il avait le pouvoir de connaître les mensonges ou je sais pas trop quoi... J'étais peut-être parano. Je vidai de nouveau mon verre rapidement avant de regarder William avec un sourire qui se voulait amical.
- Je vais juste aller aux toilettes... je reviens.
Je n'attendis pas une réponse de sa part et me fufilai jusqu'à la salle de bain pour femme. Je me mis à me fixer dans la glace au-dessus des lavabos. Je sorti vivement mon cellulaire de mon sac avant d'y jeter un coup d'oeil. Scarlet décida de ce moment pour venir me piétiner l'esprit, mais aussi rapidement que possible, je la fis disparaître au fond de ma conscience. Je souris faiblement à moi-même. Bon, allez t'es capable Rain. Faire semblant, ça devrait pas être compliqué pour toi, ta vie n'a été qu'un mensonge après tout! Wow... tu parles de paroles d'encouragements. Je pris une profonde inspiration avant d'expirer. Je finis enfin par quitter la toilette du bar. J'étais en route pour rejoindre William, mais quelque chose m'agrippa le poignet violemment et me plaqua contre le mur. Oui, enfin j'ai dit quelque chose. T'aurais dû voir le mec! C'était une armoire à glace celui-là! Je ne voyais que sa silhouette avec la luminosité qui avait dans le petit corridor, mais je pouvais facilement voir sa carrure. Oh mais... tu t'en es prit à la mauvaise fille mon gros!
- La mignonne petite fille va se tenir tranquille, pas vrai?, dit-il avec l'odeur écoeurante de l'alcool dans son haleine.
Tu rêve! Je me mis à me débattre et je lui infligeai un puissant coup entre les jambes et il me relâcha en laissant échapper un cri de surprise tout en posant ses mains vers son entre-jambes.
- Il faut pas toujours se fier aux apparences, espèce de taré, dis-je sèchement.
La colère m'envahit subitement et mon poing partit soudainement sur le visage du gros lard. Je pense que pour la peine je venais de lui briser le nez alors qu'il s'écroula au sol. Pour la peine, je venais de me faire mal aux jointures. Génial... Je passai au-dessus du corps du malade avant d'enfin rejoindre William au comptoire. Je ne fis pas vraiment attention à savoir s'il parlait à quelque d'autre ou non. Ma gêne venait de passer par la haine de mon coup de poing sur la gueule du mec plutôt balaise.
- Désolée d'avoir été longue, ça va maintenant.
"Ouais, okay... Bon alors on commence... Hmmm... Je suis William Patrick MacKenzie, j'ai dix-huit ans, je viens des Highlands écossais et j'ai habité pendant quelques années à Edinburgh avant de venir ici. Je suis enfant unique et mes parents sont toujours en vie et en santé en Écosse. Il marqua une pause pour prendre une bouché de son repas avec une frite. Se léchant les doigts, il continua. Alors, je suis callé en histoire, fan de musique et de plein air. J'adore les promenades romantiques sur la plage et regarder les couchés de soleil...''
Les promenades romantiques? Je détournai le regard vaguement du jeune homme avant de boire mon verre cul sec. Je fis signe au barman de me resservir et il ne se fit pas prier. Mon verre de nouveau plein d'alcool et celle dans mes veines faisant effet, je commençais à me détendre. Je n'avais pas l'habitude de boire. En fait, je ne buvais presque jamais. C'est loin de l'image qu'on me donne, pas vrai? Seulement, en ce moment même, j'en avais étrangement besoin. William se mit à secouer de la tête comme si sa blague l'avait prise, lui aussi, au dépourvu, mais je ne fis aucun commentaire sur le sujet.
"Ouff... T'imagine si c'était vrai ? Enfin, c'était vrai jusqu'au plein air, que j'aime bien... Hehe. Alors, et toi ?''
Je souris faiblement et pris une frite pour la manger. Je me mis à réfléchir quelque peu. Je ne savais pas comment je pourrais lui dire mon nom de famille, car mon frère était professeur à l'Académie désormais... et il devait sûrement le connaître ou peut-être que non. Mon seul moyen de le savoir c'était de répondre honnêtement, mais est-ce que j'avais vraiment envie de me faire poser des questions sur ma famille tout juste reconstitué? Non, vraiment pas.
- Et ben... moi c'est Rain.. Riverton. J'ai 18 ans et je suis britannique de souche. Pour ce que je sais, je ne suis qu'une orpheline alors j'imagine que ça fait de moi une enfant unique aussi. Sinon et ben j'aime bien la course et la musique.
Je continuai de manger tranquillement alors qu'un silence s'installa entre nous. Je ne sais pas si ma voix avait été tremblante ou encore s'il avait le pouvoir de connaître les mensonges ou je sais pas trop quoi... J'étais peut-être parano. Je vidai de nouveau mon verre rapidement avant de regarder William avec un sourire qui se voulait amical.
- Je vais juste aller aux toilettes... je reviens.
Je n'attendis pas une réponse de sa part et me fufilai jusqu'à la salle de bain pour femme. Je me mis à me fixer dans la glace au-dessus des lavabos. Je sorti vivement mon cellulaire de mon sac avant d'y jeter un coup d'oeil. Scarlet décida de ce moment pour venir me piétiner l'esprit, mais aussi rapidement que possible, je la fis disparaître au fond de ma conscience. Je souris faiblement à moi-même. Bon, allez t'es capable Rain. Faire semblant, ça devrait pas être compliqué pour toi, ta vie n'a été qu'un mensonge après tout! Wow... tu parles de paroles d'encouragements. Je pris une profonde inspiration avant d'expirer. Je finis enfin par quitter la toilette du bar. J'étais en route pour rejoindre William, mais quelque chose m'agrippa le poignet violemment et me plaqua contre le mur. Oui, enfin j'ai dit quelque chose. T'aurais dû voir le mec! C'était une armoire à glace celui-là! Je ne voyais que sa silhouette avec la luminosité qui avait dans le petit corridor, mais je pouvais facilement voir sa carrure. Oh mais... tu t'en es prit à la mauvaise fille mon gros!
- La mignonne petite fille va se tenir tranquille, pas vrai?, dit-il avec l'odeur écoeurante de l'alcool dans son haleine.
Tu rêve! Je me mis à me débattre et je lui infligeai un puissant coup entre les jambes et il me relâcha en laissant échapper un cri de surprise tout en posant ses mains vers son entre-jambes.
- Il faut pas toujours se fier aux apparences, espèce de taré, dis-je sèchement.
La colère m'envahit subitement et mon poing partit soudainement sur le visage du gros lard. Je pense que pour la peine je venais de lui briser le nez alors qu'il s'écroula au sol. Pour la peine, je venais de me faire mal aux jointures. Génial... Je passai au-dessus du corps du malade avant d'enfin rejoindre William au comptoire. Je ne fis pas vraiment attention à savoir s'il parlait à quelque d'autre ou non. Ma gêne venait de passer par la haine de mon coup de poing sur la gueule du mec plutôt balaise.
- Désolée d'avoir été longue, ça va maintenant.
#iwhae pour epicode
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Comme lorsque la jeune femme s'était présentée dans la salle de musique quelques jours plus tôt, elle hésita alors qu'elle informait l'écossais de son nom complet. Il trouva cela curieux, mais sens plus. Ce n'était pas sa place de juger. Peut-être qu'elle n'était pas fière de son nom. Peut-être que ce n'était pas vraiment son nom. Peut-être qu'elle l'avait changé récemment. Tout cela importait peu. Si elle devait partager ces détails, elle le ferait. Si on demandait à William, le simple fait qu'ils se connaissent le nom l'un de l'autre était déjà une bonne chose, encore plus avec un nom de famille. Bon, après on parle de hobbies. Il n'y avait rien d'exceptionnel ni dans la réponse du garçon, ni dans celle de la fille. La musique c'était la raison de leur rencontre, logique donc. Après, la course ça pouvait aisément expliquer le corps sculpté de la demoiselle, surtout ces magnifiques jambes et ce postérieur rebondit. Postérieur bien moulé par cette petite robe noire d'ailleurs et que William ne s'empêcha pas d'admirer alors qu'elle s'excusait pour aller au petit coin.
Lorsqu'elle fut hors de vue, il se concentra sur son repas, plutôt que de simplement manger une fritte ou deux ici et là. Il termina aussi son verre de whisky et pu faire signe au barman de lui en servir un second. Il avait bu bien moins vite que son amie, il se dit qu'elle devait être stressée ou quelque chose. Lui, il prenait le tout avec un nonchalance déconcertante. Pourquoi se tracasser, après tout.
Dos à la majeur partie du pub, Will ne vit rien de rien. Il ne s'était même pas intéressé aux personnes autour de lui, excepté quelques sourire à la serveuse. C'était la même que la veille et elle aussi avait reconnu notre rouquin. Elle avait d'ailleurs remarqué que celui-ci portait un kilt. Le sourire de la blonde voulait très évidemment dire que si ce n'était pas de son boulot, elle l'obligerait à prouver qu'il le portait de manière traditionnel. Parlant de tradition, le gars qui venait de risquer sa descendance en abordant Rain, se faisait rejoindre par ses deux potes tout aussi cons que lui, et ce pendant que l'intéressée rejoignait enfin le speedster. Il lui sourit et secoua la main du genre "don't mention it", avant de siroter sa boisson. Il déposa son verre et tourna la tête vers elle.
"Alors..." il marqua déjà une pause, se regard passant momentanément au-delà de l'épaule de sa belle amie. "Des ... amis à toi ?"
Masochiste, l'homme aux noix moulues venait de se planter derrière Rain, ses potes de chaque côté de lui. Ceux là étaient moins large, mais tout de même bien baraqué. Celui de gauche avait les cheveux rasés sur le pourtour de sa tête et le dessus peigné vers l'arrière, façon Piedgeotto. Celui de droite avait une ligne de poils faciaux le long de sa mâchoire. Les deux avait le teint anti-british un peu orangé, comme le "leader" et tous portait des t-shirts trop serré qui laissait voir leur muscle gonflé et leurs tatous tribaux ou autres signes chinois mal interprétés.
Maintenant que William avait remarqué leur arrivé, l'armoire craque-noix prit la parole.
"Je t'avais dit de te, hic, tenir tranquille ma mignonne ! Puis, ce que t'a fait..." il secoua la tête. "T'aurais pas dû...
"Hey, buddy, can't you see she's with me ?" s'interposa le preux William avant que Rain ne puisse réagir elle-même.
"Can't YOU see you need to, hic, fuck off, ye wanker ?" dit le génie en posant ses deux grosses mains sales sur les épaules de la jeune femme de manière possessive.
"See, I wouldn't have done that... renvoya l'écossais, lui qui savait que Rain avec un c^té farouche pour l'avoir aperçu lors de leurs ébats.
Entre temps, le goon de droite s'était approché de William comme pour l'intimider et celui de gauche jetait un oeil autour pour voir si des imbéciles oserait se mêler de ce petit... spectacle, dirons-nous. Parlant d'oeil, MacKenzie offrait le sien, complice, à sa partenaire. Il avait vite comprit que quelque chose s'était passé dans le cours laps de temps "au toilette", mais il n'avait pas besoin de détail, le gorille était arrivé. La suite relevait principalement de la réaction de la jeune femme au contacte des mains moites de l'homme à l'haleine d'alcool et l'odeur trop présente de parfum pour le corps.
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Here's to alcohol, the rose colored glasses of life.
“I've never fooled anyone. I've let people fool themselves. They didn't bother to find out who and what I was. Instead they would invent a character for me. I wouldn't argue with them. They were obviously loving somebody I wasn't.”
J'avais désormais regagner mon siège en reposant délicatement mes mains sur mon verre, mais sans pour autant en prendre une gorgée. Mes jointures me faisaient soudainement mal alors que l’adrénaline du moment redescendait. William resta silencieux comme s'il était une image sans vie à siroter sa boisson alcoolisée. Je pourrais toujours lui dire que ça ne menait à rien. Qu'on n'avait simplement à partir chacun de notre bord sans jamais se retourner et que tout serait plus simple ainsi, mais surtout éviter l'imbécile qui se trouvait sûrement encore sur le plancher à l'arrière du pub. Pourquoi il avait fallu que je m'emporte ainsi? J'avais vraiment des problèmes pour gérer ma colère et j'étais bien mieux toute seule de toute façon. Je laissai échapper un soupir en jetant un vague coup d’œil au rouquin. Il me souriait vaguement tout en faisant un geste que me fit sourcilier avant de prendre une nouvelle gorgée de whisky. Je suivais ses moindres gestes du regard alors qu'il tournait la tête après avoir poser son verre sur le comptoir.
"Alors.., il marqua déjà une pause, se regard passant momentanément au-delà de mon épaule. Des ... amis à toi ?"
Mon sang se glaça alors que suite aux paroles de mon ami des pas résonnèrent de plus en plus fort dans notre direction. Je sentais une forte présence dans mon dos, mais je gardais néanmoins mon regard posé sur William ne sachant pas trop comment réagir. Celui de mon ami semblait se balader sur plusieurs individus qui se trouvaient derrière moi et je me doutais bien de l'identité d'un des imbéciles qui devaient se trouver-là.
"Je t'avais dit de te, hic, tenir tranquille ma mignonne ! Puis, ce que t'a fait..., dit une voix qui m'était familière avec l'odeur alcoolisé en bonus, T'aurais pas dû... ''
"Hey, buddy, can't you see she's with me ?" s'interposa William
"Can't YOU see you need to, hic, fuck off, ye wanker ?" dit le génie en posant ses deux grosses mains sales sur mes épaules de manière possessive.
"See, I wouldn't have done that...''
Le contact de l'homme me raidit instantanément. Je pouvais sentir la rage monter de plus en plus et je ne savais toujours pas quoi faire. Je ne pouvais toujours pas frapper l'homme à mort au milieu du bar ou encore me laisser toucher ainsi. D'une façon ou d'une autre, je devais trouver un juste milieu et je savais qu'il n'était pas seul. Faisant un mouvement extrêmement brusque, j'agrippa la fourchette qu'on m'avait offerte pour manger mon plat et la plantai sauvagement dans l'une des mains de l'homme. Suite à mon attaque impulsive, l'homme recula d'un coup sec en hurlant de douleur. Maintenant, tout le monde nous regardait et la musique ne semblait soudainement plus aussi forte qu'elle l'avait été au départ. Je détournai mon regard vers les imbéciles qui nous avaient approchés. L'armoire à glace avait retirer la fourchette de sa main en la jetant au sol et ses deux amis ne bougeaient toujours pas alors que je les toisais du regard. Le barman s'approcha de nouveau en demandant calmement que les hostilités ne poursuivent pas. Je n'avais pas l'intention de me battre et encore moins de me battre dans une tenue pareil, mais s'il me retouchait celui-là, il avait perdre plus que la vie! Mes oreilles de loups avaient brusquement fait surface sur mon crâne au tout début de ma colère et je venais seulement de m'en apercevoir. Les hommes devant moi me fixaient d'une drôle de façon et alors que ma colère s'atténuait, mon visage tourna pivoine. Je mis rapidement mes mains au-dessus de mon crâne afin de cacher mes oreilles. Qu'est-ce que je pouvais bien faire?! Tout le monde me regardaient! Je posai mon regard sur William espérant que ce dernier me sortirait de ce mauvais pas sans aucun problème. J'espérais aussi que la luminosité du pub était assez sombre pour que pratiquement personnes n'aient aperçu mes oreilles, mais évidemment, je me faisais des faux espoirs.
"Alors.., il marqua déjà une pause, se regard passant momentanément au-delà de mon épaule. Des ... amis à toi ?"
Mon sang se glaça alors que suite aux paroles de mon ami des pas résonnèrent de plus en plus fort dans notre direction. Je sentais une forte présence dans mon dos, mais je gardais néanmoins mon regard posé sur William ne sachant pas trop comment réagir. Celui de mon ami semblait se balader sur plusieurs individus qui se trouvaient derrière moi et je me doutais bien de l'identité d'un des imbéciles qui devaient se trouver-là.
"Je t'avais dit de te, hic, tenir tranquille ma mignonne ! Puis, ce que t'a fait..., dit une voix qui m'était familière avec l'odeur alcoolisé en bonus, T'aurais pas dû... ''
"Hey, buddy, can't you see she's with me ?" s'interposa William
"Can't YOU see you need to, hic, fuck off, ye wanker ?" dit le génie en posant ses deux grosses mains sales sur mes épaules de manière possessive.
"See, I wouldn't have done that...''
Le contact de l'homme me raidit instantanément. Je pouvais sentir la rage monter de plus en plus et je ne savais toujours pas quoi faire. Je ne pouvais toujours pas frapper l'homme à mort au milieu du bar ou encore me laisser toucher ainsi. D'une façon ou d'une autre, je devais trouver un juste milieu et je savais qu'il n'était pas seul. Faisant un mouvement extrêmement brusque, j'agrippa la fourchette qu'on m'avait offerte pour manger mon plat et la plantai sauvagement dans l'une des mains de l'homme. Suite à mon attaque impulsive, l'homme recula d'un coup sec en hurlant de douleur. Maintenant, tout le monde nous regardait et la musique ne semblait soudainement plus aussi forte qu'elle l'avait été au départ. Je détournai mon regard vers les imbéciles qui nous avaient approchés. L'armoire à glace avait retirer la fourchette de sa main en la jetant au sol et ses deux amis ne bougeaient toujours pas alors que je les toisais du regard. Le barman s'approcha de nouveau en demandant calmement que les hostilités ne poursuivent pas. Je n'avais pas l'intention de me battre et encore moins de me battre dans une tenue pareil, mais s'il me retouchait celui-là, il avait perdre plus que la vie! Mes oreilles de loups avaient brusquement fait surface sur mon crâne au tout début de ma colère et je venais seulement de m'en apercevoir. Les hommes devant moi me fixaient d'une drôle de façon et alors que ma colère s'atténuait, mon visage tourna pivoine. Je mis rapidement mes mains au-dessus de mon crâne afin de cacher mes oreilles. Qu'est-ce que je pouvais bien faire?! Tout le monde me regardaient! Je posai mon regard sur William espérant que ce dernier me sortirait de ce mauvais pas sans aucun problème. J'espérais aussi que la luminosité du pub était assez sombre pour que pratiquement personnes n'aient aperçu mes oreilles, mais évidemment, je me faisais des faux espoirs.
#iwhae pour epicode
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
William grimaça en voyant la fourchette se planter dans la main du gars et encore une fois lorsqu'il la retira. L'ustensile fut suivis par quelques gouttelettes de sang, rien d'étonnant, mais quand même. L'imbécile jura et grogna, alors que ses copains étaient figés en attendant le mot d'ordre. Paresseux, mais rapide, l'écossais remarqua la tête de sa belle amie. Ces petites oreilles qu'il avait déjà aperçu. Il savait que c'était un indice sur le pouvoir de Rain, mais il ne savait rien de plus et ça l'importait peu sur le moment. Le simple fait qu'elle couvre soudainement sa tête avec ses mains suffisait pour qu'il sache quoi faire dans le moment présent. Il se désola de ne pas avoir pu finir son repas, mais se consola en descendant ce qui lui restait de whisky avant d'enfin se lever. Il fit plus que se lever, même, il grimpa sur son banc puis sur le comptoir du bar. Bras en l'air tel un présentateur ou un animateur, il s'adressa à la petite foule du pub. Aussi, n'oublions pas le kilt.
La serveuse osa un coup d'oeil et sourit en découvrant la réponse que TOUT LE MONDE se pose dès que quelqu'un est en jupe.
"Ladies and gentlemen, good night and welcome to tonight's show ! Today we witness what NOT to do when the lady says no ! In this case, thou DOTH NOT touch her. Tsk, tsk, tsk, tsk tsk tsk..." dit-il en secouant la tête. Also ! Thou doth NOT come back for seconds, especially when she's accompanied !
Pendant ce petit discours, l'armoire s'était remis de sa blessure et avait regagné le peu d'esprit qui l'habitait. De là, il fixait William avec des couteaux dans les yeux. Un peu plus et de l'écume se formait au coin de ses lèvres. Le barman, quant à lui, s'était empressé de retiré les verres et les assiettes du comptoir, voyant comment l'écossais marchait de gauche à droite. D'ailleurs, celui-ci se délectait de l'attention qu'il recevait maintenant du trio de ... vous l'avez deviné, douchebags. Si ils le regardaient lui, ça voulait dire que Rain était libre de leur regards. De là, tout sourire, il continua son monologue.
"So, I've been thinking... What should a man do to protect his lady, hmm ?" Il posa un oeil interrogateur sur l'assemblé, prenant bien soin de regarder dumb dumber et dumbest avec un sourire provocateur.
"FIGHT OFF THE COMPETITION !" vint une réponse d'un homme dans le public.
"YES !" répondit William en pivotant pour pointer la direction de l'homme, laissant son kilt voleter un petit peu. "Thank you, kind sir ! Fight, off, the, competition. That is quite the answer..." il afficha une moue déçue. "Not the one I'm look-"
"You wanna fight, cunt ?" dit le principale idiots en s'avançant.
Le MacKenzie laissa s'échapper un long soupir et se repositionna face au bronzé principal. Il passa de debout à accroupi, ses bras appuyer sur ses genoux. Par chance, le kilt s'était naturellement glisser entre ses cuisses, cachant son intimité dans l'ombre. Il y a tout de même des limites à l’exhibitionnisme. Comme on parlerait à une enfant, il s'adressa au gars.
"Come on, « cunt », I've just seen you get trashed by a wee lass," dit-il en pointant Rain et en référençant sa hauteur d'une main. "and I'm a grown lad. It wouldn't be much of a fight, now would it ?"
La provocation porta ses fruits et l'homme voulu s'emparer de William. Il fonça plutôt contre le comptoir et s'y écrasa sans le moindre succès. Sa cible venait de bondir, lui marchant sur l'épaule avant d’atterrir plus loin. Espiègle, ce dernier offrit un sourire à monsieur gros-bras et ses deux potes.
"Catch me if you can, wankers ! lança-t-il avec un signe de main avant d'emprunter la porte à grandes enjambées.
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Here's to alcohol, the rose colored glasses of life.
“You can run away from yourself so often, and so much, just because the broken pieces of you cut your feet too deeply if you stay around for too long. But then what if someone were to come along and pick up those pieces for you? Then you wouldn't have to run away from yourself anymore. You could stop running. If someone sees you as something worth staying with— maybe you'll stay with yourself, too.”
Quand j'étais plus jeune, il m'arrivait souvent de devoir fuir pour cacher cette partie de moi. Cette partie bestiale qu'une jeune femme fragile comme moi, avait. Comment expliquer que je pouvais me transformer en une bête qui ressemblait à la fois à un loup et à un grizzli? Il n'y avait aucune explication logique pour un homme du monde extérieur, aucune. C'est pour cela que par réflexe lorsque je me trouvais dans un endroit publique, je jetais mes mains au-dessus de mon crâne pour cacher mes oreilles touffus ou encore je prenais la fuite, mais là, tout le monde nous regardait et il m'était impossible de faire un autre mouvement. Une chance que William était-là, car il attira automatiquement l'attention sur lui et avec plaisir sans le moindre doute. Il monta sur le comptoir du bar alors que le barman s'empressa pour débarrasser nos assiettes et nos verres. Du coin de l’œil je pouvais voir la serveuse qui semblait ravit de la vue qu'elle avait et malgré ma situation, je haussai l'un de mes sourcils avant de reposer mon regard sur le rouquin. Je dois avouer que l'image n'était pas désagréable à l’œil, mais quand même, rien de bien extraordinaire, en tout cas, rien que je n'avais pas déjà vu. Certaines des personnes gardèrent leur regard fixé sur moi, mais d'autre avaient déjà leur regard figé sur mon bel ami. Je devais me faufiler vers la porte le plus vite possible, mais la voix du rouquin résonna dans le pub comme un écho et m'embrouilla les idées. Bon d'accord, l'alcool que j'avais avalé nerveusement ne devait pas aider à la cause, je sais.
"Ladies and gentlemen, good night and welcome to tonight's show ! Today we witness what NOT to do when the lady says no ! In this case, thou DOTH NOT touch her. Tsk, tsk, tsk, tsk tsk tsk..." dit-il en secouant la tête. Also ! Thou doth NOT come back for seconds, especially when she's accompanied !
Le sourire de William se fit de plus en plus présent maintenant que tout le monde avaient les yeux rivés sur lui. Bon... je pouvais déguerpir maintenant. Je quittai vivement mon siège pour me glisser dans l'ombre jusqu'à la porte alors que le rouquin continua son discours.
"So, I've been thinking... What should a man do to protect his lady, hmm ?" Il posa un oeil interrogateur sur l'assemblé, prenant bien soin de regarder dumb dumber et dumbest avec un sourire provocateur.
"FIGHT OFF THE COMPETITION !" vint une réponse d'un homme dans le public.
"YES !" répondit William en pivotant pour pointer la direction de l'homme, laissant son kilt voleter un petit peu. "Thank you, kind sir ! Fight, off, the, competition. That is quite the answer..." il afficha une moue déçue. "Not the one I'm look-"
"You wanna fight, cunt ?" dit le principale idiots en s'avançant.
Je croisai les bras ne sachant pas trop si je devais rester-là ou foutre le camp avant que ça ne devienne n'importe quoi, mais bizarrement, je ne fis absolument rien. William soupira alors que l'armoire à glace s'approchait dangereusement de lui. Le rouquin s'adressa à lui comme s'il s'adressait à un enfant et ça me fit sourire.
"Come on, « cunt », I've just seen you get trashed by a wee lass," dit-il en me pointant proche de la porte et en référençant à ma hauteur d'une main. "and I'm a grown lad. It wouldn't be much of a fight, now would it ?"
Les provocations portèrent leur fruit, car monsieur gros muscles se jeta sur William alors que celui-ci glissa très rapidement hors de sa porté. Le bruit de gros bras contre le comptoir résonna dans la pièce et ça n'avait pas dû faire du bien. Je ne pouvais pas imaginer la douleur de l'impact, mais l'expression facial du gars me donnait déjà un avant goût.sans arrêter son élancé, le rouquin lui offrit un sourire espiègle tout en se dirigeant vers moi ou plutôt, la porte.
"Catch me if you can, wankers ! lança-t-il avec un signe de main avant d'emprunter la porte à grandes enjambées.
Sans attendre que mon ami ne me rejoigne ou que gros bras ne réagisse, je me glissai vivement à l'extérieur du pub. L'air frais me frappa de plein fouet alors que je pris mes jambes à mon cou vers la rue voisine à celle du pub. Je ne savais pas si William m'avait vu partir, mais j'espérais qu'il me rejoindrait sous peu. Après avoir repris mon souffle et trouver une cachette, je jetai un coup d’œil sur l'entrée du bar en voyant gros muscles sortir et courir dans la direction opposée d'ou je me tenais, mais aucun signe du rouquin. Ou pouvait-il bien être? J'étais tellement préoccupé à le chercher proche de l'entrée que la présence à l'arrière de moi me fut inconnue. Des mains se posèrent sur mes épaules et je sursautai brusquement en me retournant. Je tombai face à face avec le regard amusé du rouquin. Je me détendu directement en reculant d'un pas.
- Merci pour tout à l'heure... Je suis désolée d'avoir ruiné la soirée, mais il faut dire que je suis pas du genre à me laisser faire et surtout par un épais pareil, enfin bref...
"Ladies and gentlemen, good night and welcome to tonight's show ! Today we witness what NOT to do when the lady says no ! In this case, thou DOTH NOT touch her. Tsk, tsk, tsk, tsk tsk tsk..." dit-il en secouant la tête. Also ! Thou doth NOT come back for seconds, especially when she's accompanied !
Le sourire de William se fit de plus en plus présent maintenant que tout le monde avaient les yeux rivés sur lui. Bon... je pouvais déguerpir maintenant. Je quittai vivement mon siège pour me glisser dans l'ombre jusqu'à la porte alors que le rouquin continua son discours.
"So, I've been thinking... What should a man do to protect his lady, hmm ?" Il posa un oeil interrogateur sur l'assemblé, prenant bien soin de regarder dumb dumber et dumbest avec un sourire provocateur.
"FIGHT OFF THE COMPETITION !" vint une réponse d'un homme dans le public.
"YES !" répondit William en pivotant pour pointer la direction de l'homme, laissant son kilt voleter un petit peu. "Thank you, kind sir ! Fight, off, the, competition. That is quite the answer..." il afficha une moue déçue. "Not the one I'm look-"
"You wanna fight, cunt ?" dit le principale idiots en s'avançant.
Je croisai les bras ne sachant pas trop si je devais rester-là ou foutre le camp avant que ça ne devienne n'importe quoi, mais bizarrement, je ne fis absolument rien. William soupira alors que l'armoire à glace s'approchait dangereusement de lui. Le rouquin s'adressa à lui comme s'il s'adressait à un enfant et ça me fit sourire.
"Come on, « cunt », I've just seen you get trashed by a wee lass," dit-il en me pointant proche de la porte et en référençant à ma hauteur d'une main. "and I'm a grown lad. It wouldn't be much of a fight, now would it ?"
Les provocations portèrent leur fruit, car monsieur gros muscles se jeta sur William alors que celui-ci glissa très rapidement hors de sa porté. Le bruit de gros bras contre le comptoir résonna dans la pièce et ça n'avait pas dû faire du bien. Je ne pouvais pas imaginer la douleur de l'impact, mais l'expression facial du gars me donnait déjà un avant goût.sans arrêter son élancé, le rouquin lui offrit un sourire espiègle tout en se dirigeant vers moi ou plutôt, la porte.
"Catch me if you can, wankers ! lança-t-il avec un signe de main avant d'emprunter la porte à grandes enjambées.
Sans attendre que mon ami ne me rejoigne ou que gros bras ne réagisse, je me glissai vivement à l'extérieur du pub. L'air frais me frappa de plein fouet alors que je pris mes jambes à mon cou vers la rue voisine à celle du pub. Je ne savais pas si William m'avait vu partir, mais j'espérais qu'il me rejoindrait sous peu. Après avoir repris mon souffle et trouver une cachette, je jetai un coup d’œil sur l'entrée du bar en voyant gros muscles sortir et courir dans la direction opposée d'ou je me tenais, mais aucun signe du rouquin. Ou pouvait-il bien être? J'étais tellement préoccupé à le chercher proche de l'entrée que la présence à l'arrière de moi me fut inconnue. Des mains se posèrent sur mes épaules et je sursautai brusquement en me retournant. Je tombai face à face avec le regard amusé du rouquin. Je me détendu directement en reculant d'un pas.
- Merci pour tout à l'heure... Je suis désolée d'avoir ruiné la soirée, mais il faut dire que je suis pas du genre à me laisser faire et surtout par un épais pareil, enfin bref...
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Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
William passa la porte à la suite de Rain, ne sachant que trop bien qu'il serait poursuivi par trois polichons. Normal, en même temps, c'était ça son plan. Principalement de permettre à sa belle amie de passer sous le radar, mais aussi de ridiculiser un peu le trio. Bon, la scène au bar c'était ça de gagner pour l'humiliation publique, malheureusement, la suite allait être plus personnel.
En sortant, la jeune femme était partie d'un côté et l'écossais d'un l'autre. Bien vite, gros bras et ses copains sortir dans la rue. Ils regardèrent à gauche, à droite et ailleurs. L'un des deux goons fini par apercevoir le rouquin qui se glissait dans une ruelle en affichant le plus magnifique sourire. On pu entendre l'appellation caractéristique de ce genre de personnage accompagnat la tape du revers de la main sur l'épaule, suivis d'un pointé du doigts. Dès lors, ils traversèrent la rue à vive allure, irritant quelques conducteurs au passage, et s'engoufrèrent dans la même ruelle que le highlander.
Si le temps avaot été de son côté, William les aurait laisser lui courir après pendant plusieurs longues minutes au son de yakity sax. Il se contenta de les perdre encore une rue plus loins, dans le dédale de ruelles. À chaque tournant, il s'assurait d'être aperçu avant de contiuer. Après un changement d'axe finale, il tapa dans ses mains de toutes ses forces, pour être bien sûr que le son porterait. Il suivit l'onde jusqu'au bout, revenant sur ses pas et passant carrément devant ses poursuivants sans que ceux-ci ne puissent le voir. Son bond le ramena dans le premier ensemble de ruelles. Il prit une bifurcation au plus vite, puis s'enligna avec l'autre côté de rue, là où Rain devait se trouver.
*CLAP*
De retour du bon côté, il chancela en direction de la belle. Enfin, approximativement. Dû à un sens de l'orientation efficace, il la retrouva en peu de temps. Celle-ci le cherchait non loin du pub. Elle ne regardait pas au bon endroit. Il fut aisé pour le jeune homme de s'approcher d'elle furtivement et de poser ses deux mains bien carrées sur ses épaules étroites, mais solides. En l'occurence, elle sursauta et William ne put s'empêcher d'en être amusé. C'est avec le sourire fendu d'une oreille à l'autre qu'il reçu les remerciments de la demoiselles.
"T'inquiètes," dit-il la voix encore un peu haletante de sa session de cardio, "en vrai je me suis amusé. Je me demande combien de temps ils vont chercher..."
Il laissa la question en suspend, ne s'attendant pas à recevoir de réponse. D'ailleurs, il laissait aussi la suite des événements en suspend. Il laissait paraître par son paralangage qu'il la suivrait elle, peu importe ce qu'elle voudrait bien faire rendu là. Que ce soit retourner au bar et payer leur addition, ou retourner à l'Académie.
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Here's to alcohol, the rose colored glasses of life.
“You can run away from yourself so often, and so much, just because the broken pieces of you cut your feet too deeply if you stay around for too long. But then what if someone were to come along and pick up those pieces for you? Then you wouldn't have to run away from yourself anymore. You could stop running. If someone sees you as something worth staying with— maybe you'll stay with yourself, too.”
William soutenu sans peine mon regard, le sourire fendu jusqu'aux oreilles. Les bruits que les trois hommes faisaient s'atténuèrent rapidement alors que je gardais les yeux rivés sur le sol et que mes oreilles de loup se mirent à danser au grès du vent. Ce garçon me mettait toujours dans des positions où il m'était complètement impossible de réagir ou encore de pensée rationnellement. J'étais en train de tomber bien bas. Pourquoi je devais être impulsive et incontrôlable sous mes fortes émotions? Je pouvais pas être quelqu'un de normale pour une fois dans ma stupide vie? Cette vie de merde pouvait pas me foutre la paix pour 24 heures?! Non?!... Je peux bien rêver.... Bon allez Rain, tu dois te calmer une bonne fois pour toute, car une transformation en plein milieu de la ville et devant le rouquin, c'est pas l'effet recherché, compris? Je pris une profonde inspiration alors que mon bel ami se tenait toujours devant moi, son regard fixé sur moi et me répondit quelque peu essoufflé.
"T'inquiètes," dit-il la voix encore un peu haletante de sa session de cardio, "en vrai je me suis amusé. Je me demande combien de temps ils vont chercher..."
- Qui sait...
Ces quelques mots s'échappèrent de ma bouche sans que j'y pense réellement, car mon regard regardait dans le vide. L'idée que l'homme de tout à l'heure aurait pu mettre la main sur moi aussi facilement me faisait brûler de haine et sans peine j'aurais pu lui arracher le bras. J'aurais pu faire bien des affaires, mais pour une fois, j'avais fait la bonne chose. Je m'étais vengée tout en réduisant les conséquences. C'était quand même un exploit pour une fille aussi explosive et impulsive que moi, non? Je jetai un ultime regard vers les portes du bar alors que le barman ouvrait fâcheusement la porte. Celui-ci semblait chercher des gens du regard, ce qui devait être soi nous ou encore les trois mousquetaires de tout à l'heure, et ne voyant absolument rien, il referma la porte et disparu. Cette histoire m'avait drôlement coupé l'appétit et j'avais seulement envie de retourner dans mon dortoir afin de me rouler en boule dans mon lit, mais ma compagnie prenait toute la place dans ma tête alors que mon regard se reposait sans difficulté sur son regard. Je lui souris doucement glissant par la même occasion quelques mèches noires qui s'étaient trouvées un chemin vers mon visage.
- Ça te dit d'aller marcher un peu?, dis-je en souriant faiblement, Sinon, on retourne à l'Académie, je te laisse le choix.
Je finis ma phrase d'un ton mi amusé et ironique alors que j'haussai faiblement les épaules comme si je ne lui donnais pas vraiment le choix. Je souris d'une façon provocatrice en me mordant doucement la lèvre inférieur alors que je m'étais rapprochée du rouquin en glissant délicieusement mes mains vers sa taille. Faisant sans le cacher mon aguicheuse, je déposai un baiser sur la joue de mon ami en laissant mon visage quand même proche du sien, une expression innocente arborait désormais mon visage de porcelaine. C'était le seul garçon avec qui j'agissais ainsi et d'une façon ça m'allumait et d'une autre, ça m'effrayait au plus haut point...
"T'inquiètes," dit-il la voix encore un peu haletante de sa session de cardio, "en vrai je me suis amusé. Je me demande combien de temps ils vont chercher..."
- Qui sait...
Ces quelques mots s'échappèrent de ma bouche sans que j'y pense réellement, car mon regard regardait dans le vide. L'idée que l'homme de tout à l'heure aurait pu mettre la main sur moi aussi facilement me faisait brûler de haine et sans peine j'aurais pu lui arracher le bras. J'aurais pu faire bien des affaires, mais pour une fois, j'avais fait la bonne chose. Je m'étais vengée tout en réduisant les conséquences. C'était quand même un exploit pour une fille aussi explosive et impulsive que moi, non? Je jetai un ultime regard vers les portes du bar alors que le barman ouvrait fâcheusement la porte. Celui-ci semblait chercher des gens du regard, ce qui devait être soi nous ou encore les trois mousquetaires de tout à l'heure, et ne voyant absolument rien, il referma la porte et disparu. Cette histoire m'avait drôlement coupé l'appétit et j'avais seulement envie de retourner dans mon dortoir afin de me rouler en boule dans mon lit, mais ma compagnie prenait toute la place dans ma tête alors que mon regard se reposait sans difficulté sur son regard. Je lui souris doucement glissant par la même occasion quelques mèches noires qui s'étaient trouvées un chemin vers mon visage.
- Ça te dit d'aller marcher un peu?, dis-je en souriant faiblement, Sinon, on retourne à l'Académie, je te laisse le choix.
Je finis ma phrase d'un ton mi amusé et ironique alors que j'haussai faiblement les épaules comme si je ne lui donnais pas vraiment le choix. Je souris d'une façon provocatrice en me mordant doucement la lèvre inférieur alors que je m'étais rapprochée du rouquin en glissant délicieusement mes mains vers sa taille. Faisant sans le cacher mon aguicheuse, je déposai un baiser sur la joue de mon ami en laissant mon visage quand même proche du sien, une expression innocente arborait désormais mon visage de porcelaine. C'était le seul garçon avec qui j'agissais ainsi et d'une façon ça m'allumait et d'une autre, ça m'effrayait au plus haut point...
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Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Will eut à peine le temps de donner son choix de réponse, que sa douce amie glissait son corps près du sien et s'étirait pour aller déposer un baiser sur la joue semi-rugueuse de l'écossais. Elle fit le tout avec ce visage qui en disait à la fois tant et si peu. Il comprenait qu'elle avait elle-même déjà fait son choix et donc qu'il avait intérêt à donner une réponse adéquate. Il commença par attirer la belle contre lui, caressant du fait même le bas de son dos. Il lui sourit, en réponse directe à ses propres grimaces aguichantes. Puis, en éternel diplomate, il l'informa de sa réponse.
"Je dis qu'on marche, puis quand on aura eut asszlez, on retourne au campus, enfin, selon si ça arrive avant le couvre-feu. Il ne faudrait pas que l'on soit en retard, n'est-ce pas ?"
Il dit cela sans trop le penser. S'il devait être en retard parce qu'il avait, par mégarde, passer trop de temps hors campus avec Rain... et bien il s'en foutait royalement. Pour éviter un silence inconfortable, il s'éloigna d'elle d'un pas avant d'ajuster ses vêtements et son bandeau. Après quoi il lui offrit, comme lors de leur départ de l'académie, son bras.
Il attendit patiemment qu'elle s'y accroche (il n'abandonnerait pas l'idée et se montreraot insistant devant un refus) puis entamma le pas dans une direction au hasard, mais tout de même inverse à celle qu'avait prit les trois goons. Après quelque mètre, il attira l'attention de sa compagne avec un léger mouvement de coude.
"Alors, tu avais une idée de destination, ou est-ce que errer te vas amplement ? lui demanda-t-il avec un rapide coup d'oeil.
Il n'avait lui même pas de réelle préférence, mais si l'idée d'une destination plaisait à son amie, il avait une idée ou deux.
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Here's to alcohol, the rose colored glasses of life.
She had that whiskey sipping skinny dipping smile.
Le rouquin m'attira à son tour vers lui et glissa sa main vers le bas de mon dos pour me caresser gentiment. Mon regard noisette se promenait doucement sur les traits du jeune homme alors qu'un sourire aussi provocateur que le mien s'afficha. Cet air lui allait si bien. J'étais légèrement ailleurs quand je regardais son visage et je ne savais pas ce qu'il avait de si extraordinaire qui faisait en sorte que je n'arrivais tout simplement pas à me détacher de lui. Pourtant, il faudrait que tôt ou tard je casse tout ça. Pour moi et pas pour personne d'autre, car je tombais. Oui, je tombais et plutôt brutalement. Pour me relever je devais laisser ce qui me faisait tomber sur le sol si lourdement. Ça sonne peut-être sombre et triste, mais c'était pour le mieux, puisque sincèrement, nous n'étions pas le genre de personne à avoir des relations comme ça, pas vrai?
"Je dis qu'on marche, puis quand on aura eut assez, on retourne au campus, enfin, selon si ça arrive avant le couvre-feu. Il ne faudrait pas que l'on soit en retard, n'est-ce pas ?"
Un faible silence s’installa entre nous, mais je crois que aucun de nous deux s'occupait réellement de l'heure à laquelle nous allions rentré. Je voulais que cette nuit se poursuive, puisque c'était sûrement la dernière. Je sentais tous ces changements et je n'aimais pas ça. C'était quoi... la deuxième qu'on se revoyait et nous étions déjà en sortie? Nous ne voulions pas ça... je n'étais qu'un buddy call...! Et ce titre m'allait parfaitement, mais nous ne devions pas agir comme si nous étions en couple, car je serais incapable de continuer dans ces conditions. J'allais me blesser pour rien et je n'avais pas la force en ce moment de subir davantage de drames. William me tendit de nouveau le bras après s'être écarté de moi. Son odeur m'enveloppait toujours et mon coeur manqua un battement. En hésitant faiblement, je m'accrochai à son bras comme tout à l'heure et nous commençâmes à marcher. Je regardais mes pieds pendant un moment alors que la seule chose que nous entendîmes était le son de mes talons sur le sol de la ville, mais après quelques mètres, le rouquin attira mon attention à l'aide d'un petit mouvement de coude. Je redressai donc doucement mon regard vers celui émeraude de mon bel ami.
''Alors, tu avais une idée de destination, ou est-ce que errer te vas amplement ?, me demanda-t-il avec un rapide coup d'oeil.''
- Errer me va, je ne sors pas beaucoup en ville alors autant en profiter, répondis-je doucement.
Le reste se fit dans le silence le plus pesant de toute ma vie alors que les questions se bousculèrent dans ma tête. J'étais mal en ce moment et il fallait absolument qu'on clarifie les choses une bonne fois pour toute. Nous marchâmes jusqu'à tant que nous rejoignîmes un petit parc. Nous passâme en dessous d'une parcerelle de bois et je m'arrêtai brusquement. Je posai mon regard sur William en essayant d'analyser son regard, mais j'avais aucune idée à quoi il pensait. Je pris une bonne inspiration et entrepis d'éclairer les choses.
- J'y pensais pas, mais depuis tout à l'heure, toute cette situation m'a explosée au visage, commençais-je avec assurance, J'ai pas envie qu'on fasse ça. Coucher une fois de temps en temps okay, mais agir comme un couple non et je sais que c'est pas de ta faute c'est moi qui l'ai proposé. Je veux juste qu'on clarifie les choses avant que tout cela devienne trop pesant.
Je pris une pause en réfléchissant à mes prochaines paroles. J'allais le regretté et ça allait sûrement faire mal les premiers temps, mais je m'en foutais. J'avais pas envie de tomber dans une relation qui allait seulement d'un sens, car je commençais dangereusement à débouller.
- Je crois que ça serait mieux qu'on parte chacun de notre côté après cette soirée.
Et voilà. La bombe est partie.
"Je dis qu'on marche, puis quand on aura eut assez, on retourne au campus, enfin, selon si ça arrive avant le couvre-feu. Il ne faudrait pas que l'on soit en retard, n'est-ce pas ?"
Un faible silence s’installa entre nous, mais je crois que aucun de nous deux s'occupait réellement de l'heure à laquelle nous allions rentré. Je voulais que cette nuit se poursuive, puisque c'était sûrement la dernière. Je sentais tous ces changements et je n'aimais pas ça. C'était quoi... la deuxième qu'on se revoyait et nous étions déjà en sortie? Nous ne voulions pas ça... je n'étais qu'un buddy call...! Et ce titre m'allait parfaitement, mais nous ne devions pas agir comme si nous étions en couple, car je serais incapable de continuer dans ces conditions. J'allais me blesser pour rien et je n'avais pas la force en ce moment de subir davantage de drames. William me tendit de nouveau le bras après s'être écarté de moi. Son odeur m'enveloppait toujours et mon coeur manqua un battement. En hésitant faiblement, je m'accrochai à son bras comme tout à l'heure et nous commençâmes à marcher. Je regardais mes pieds pendant un moment alors que la seule chose que nous entendîmes était le son de mes talons sur le sol de la ville, mais après quelques mètres, le rouquin attira mon attention à l'aide d'un petit mouvement de coude. Je redressai donc doucement mon regard vers celui émeraude de mon bel ami.
''Alors, tu avais une idée de destination, ou est-ce que errer te vas amplement ?, me demanda-t-il avec un rapide coup d'oeil.''
- Errer me va, je ne sors pas beaucoup en ville alors autant en profiter, répondis-je doucement.
Le reste se fit dans le silence le plus pesant de toute ma vie alors que les questions se bousculèrent dans ma tête. J'étais mal en ce moment et il fallait absolument qu'on clarifie les choses une bonne fois pour toute. Nous marchâmes jusqu'à tant que nous rejoignîmes un petit parc. Nous passâme en dessous d'une parcerelle de bois et je m'arrêtai brusquement. Je posai mon regard sur William en essayant d'analyser son regard, mais j'avais aucune idée à quoi il pensait. Je pris une bonne inspiration et entrepis d'éclairer les choses.
- J'y pensais pas, mais depuis tout à l'heure, toute cette situation m'a explosée au visage, commençais-je avec assurance, J'ai pas envie qu'on fasse ça. Coucher une fois de temps en temps okay, mais agir comme un couple non et je sais que c'est pas de ta faute c'est moi qui l'ai proposé. Je veux juste qu'on clarifie les choses avant que tout cela devienne trop pesant.
Je pris une pause en réfléchissant à mes prochaines paroles. J'allais le regretté et ça allait sûrement faire mal les premiers temps, mais je m'en foutais. J'avais pas envie de tomber dans une relation qui allait seulement d'un sens, car je commençais dangereusement à débouller.
- Je crois que ça serait mieux qu'on parte chacun de notre côté après cette soirée.
Et voilà. La bombe est partie.
#iwhae pour epicode
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Errer. Errer sans but. Errer sans but autre que de passer le temps et pour passer le temps... On y repassera. Les deux britanniques n'avaient pas dit mot depuis un temps. Ils déambulaient donc en silence, bras dessus bras dessus. C'est pitoresque, presque romantique. Cependant, si on laisse l'occasion aux pensées de déambuler pendant que le corps erre, ou voce versa, on obtien facilement des résultats... Décevant ? Non, plutôt, dorons-nous, particulier.
Cela dit, les pensées de l'écossais, à l'instar de sa partenaire, ne se concentrait pas sur un aspect ou un autre de la vie, récente ou lointaine. Il ne se concentrait sur pas grand chose à vrai dire, sauf peut-être... Ah, tiens, un parc. Et voilà que nos deux jeunes gens s'engageaient sur sentier qui traversait l'espace vert. L'air était plus frais là, plua libre. Toujours humode, tel que le veux le climat de la région, mais tout de même -mieux-. Leurs pas les menèrent sous une passerelle de bois, une croisée de chemin. À peine dépassé de viaduc à piéton, la belle s'arrêta, entraînant le rouquin dans ce mouvement de non mouvement.
Elle semblait, aux yeux de William, avoir quelque chose à dire. Son regard incertain était une fenêtre donnant sur un tumulte émotionnel et logique. Une impossible tempête qui se déchaînait au coeur même de l'esprit de la jeune femme. Elle cherchait à savoir ce à quoi il pensait. Rien. Elle cherchait ses mots, mais ceux-ci existaient et arrivèrent en groupe. Le début inquiéta presque notre violoneux. La suite beaucoup moins. Il la laissa parler, avec pour uniquement réactions des mouvements de sourcils interrogé, intéressé et légèrement pensif. Il la laissa terminer, il la laissa même lâcher ses quelques derniers mots, qui voulait qu'eux deux séparent leur route. William avait une bien meilleure idée et c'était même plutôt celle de sa compagne.
"Ouais, ok, je vois d'où tu viens. Et à vrai dire, je suis bien d'accord." Il hochait la tête. Enfin, sauf sur cette dernière partie. Tu l'as dit toi-même, coucher une fois de temps en temps, okay. Du coup... J'ai beaucoup de plaisir avec toi. Qu'en dis-tu si on se contente de se rencontrer ici et là pour dépenser de l'énergie, mais que le reste du temps on s'évite principalement ? Mise à part peut-être le jame occasionnel... Oui, c'est ça : sex drugs and rock and roll. Ou presque.
Il lui offrit son meilleur sourire, à la fois espiégle et charmeur. À la fois pour la blague subtile et pour aider son argument. Ils avaient quelque chose de bien sur le plan physique, ce n'était pas une bonnes idées de jeter ça à la mer. Du moins selon lui et selon mini-lui.
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Here's to alcohol, the rose colored glasses of life.
She had that whiskey sipping skinny dipping smile.
- Ouais, ok, je vois d'où tu viens. Et à vrai dire, je suis bien d'accord. Il hochait la tête. Enfin, sauf sur cette dernière partie. Tu l'as dit toi-même, coucher une fois de temps en temps, okay. Du coup... J'ai beaucoup de plaisir avec toi. Qu'en dis-tu si on se contente de se rencontrer ici et là pour dépenser de l'énergie, mais que le reste du temps on s'évite principalement ? Mise à part peut-être le jame occasionnel... Oui, c'est ça : sex drugs and rock and roll. Ou presque.
Le vent se mit à souffler davantage et mes poings se serrèrent quelque peu. Je n'avais pas froid. J'étais simplement frustrée par ce qui arrivait. J'avais pourtant essayé de le repousser, mais mes paroles, lors de ce rejet, m'avaient trahis. Si je voulais que ces sentiments naissant quittent mon être, je devais éviter le rouquin. Mon regard embrumé se redressa vers le ciel alors que les étoiles y scintillaient paisiblement. J'aimerais revenir vers ce moment. Le moment ou j'ai goûter pour la première fois tes lèvres, car comme ça, je ne pourrais pas être intoxiqué par ce désir et cette passion que cela m'avait procuré. J'aurais simplement... tourné les talons et poursuivis ma route, sans dire un mot de plus. Je ne sais pas si je regrettais vraiment mes actions, j'étais sûrement frustré après tout. Je me mis à sourire faiblement et je reposai mon regard sur le visage de mon bel ami. Je pouvais jouer le jeu. Quel était le mal là-dedans? Une vie sans prendre de risque, c'est bien ennuyeux, je dois dire. Mes traits se détentirent et mes joues prirent un ton plus rosée alors que mon sourire se faisait plutôt chameur et chaleureux. Nous étions toujours sous l'espèce d'arche qui se trouvais au centre du parc ou des pousses s'étaient glissées sur le bois. Je fis un pas rapide et me glissai dans les bras de William, faisant semblant d'avoir froid, car je n'avais jamais froid. La joie d'être un Lycanthrope! Je souris simplement alors que l'odeur du rouquin m'enveloppa.
- J'imagine que ça peut aller... dis, on peut rester comme ça?, murmurais-je doucement, juste un moment... après on rentrera.
Pour être honnête, je savais que pour moi, c'était terminé, mais je n'avais plus le coeur de dire quoique ce soit de plus. Je voulais simplement profiter une dernière fois du bien que cet homme me faisait et même si la petite lueur n'était pas partagée, ça me ferait au moins de bons souvenirs au milieu du méandre.
Le vent se mit à souffler davantage et mes poings se serrèrent quelque peu. Je n'avais pas froid. J'étais simplement frustrée par ce qui arrivait. J'avais pourtant essayé de le repousser, mais mes paroles, lors de ce rejet, m'avaient trahis. Si je voulais que ces sentiments naissant quittent mon être, je devais éviter le rouquin. Mon regard embrumé se redressa vers le ciel alors que les étoiles y scintillaient paisiblement. J'aimerais revenir vers ce moment. Le moment ou j'ai goûter pour la première fois tes lèvres, car comme ça, je ne pourrais pas être intoxiqué par ce désir et cette passion que cela m'avait procuré. J'aurais simplement... tourné les talons et poursuivis ma route, sans dire un mot de plus. Je ne sais pas si je regrettais vraiment mes actions, j'étais sûrement frustré après tout. Je me mis à sourire faiblement et je reposai mon regard sur le visage de mon bel ami. Je pouvais jouer le jeu. Quel était le mal là-dedans? Une vie sans prendre de risque, c'est bien ennuyeux, je dois dire. Mes traits se détentirent et mes joues prirent un ton plus rosée alors que mon sourire se faisait plutôt chameur et chaleureux. Nous étions toujours sous l'espèce d'arche qui se trouvais au centre du parc ou des pousses s'étaient glissées sur le bois. Je fis un pas rapide et me glissai dans les bras de William, faisant semblant d'avoir froid, car je n'avais jamais froid. La joie d'être un Lycanthrope! Je souris simplement alors que l'odeur du rouquin m'enveloppa.
- J'imagine que ça peut aller... dis, on peut rester comme ça?, murmurais-je doucement, juste un moment... après on rentrera.
Pour être honnête, je savais que pour moi, c'était terminé, mais je n'avais plus le coeur de dire quoique ce soit de plus. Je voulais simplement profiter une dernière fois du bien que cet homme me faisait et même si la petite lueur n'était pas partagée, ça me ferait au moins de bons souvenirs au milieu du méandre.
#iwhae pour epicode
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Il y eu une sorte de pause, presque incomfortable, après les derniers mots de l'écossais. La belle s'attardait à regarder les étoils quelque peu, alors que le vent soulignais le silence. Puis, elle réagit finalement et se blottit contre lui. C'était comme si elle avait froid. Excuse bidon, puisque William connais très bien la chaleur corporelle de la jeune femme. En fait, malgré ce geste, ses mots vinrent bientôt renversé la théorie du froid, alors qu'elle avouait vouloir rester là, comme ça, pendant encore un instant. Un moment, qu'elle voulait. Un moment où il sont blottis l'un à l'autre. Bien sûr, Will n'était pas rester de glace. Il avait entouré la forme de sa belle amie avec ses longs bars et se reposait même la tête sur la sienne, joue gauche contre crâne.
Il hocha la tête en réponse à l'interrogation de Mlle Stride. Il savait qu'elle ne voyait pas, mais le contact entre leur deux têtes lui permettrait de le sentir et de savoir. Il acceptait ce terme, mais du même coup, une lueur s'était mis à étinceler dans son oeil aqua. Il glissa doucement sa main gauche le long du dos de la femme loup, jusqu'à caresser la courbure de ses fesses. Il insista ensuite, sa main forçant la robe contre la peau de la jeune fille alors qu'il aggripait fermement l'autre côté de la droite. De la gauche, il se glissa un peu plus bas, un peu plus loin. Ce qui pouvait sembler une atteinte à l'accès souvent interdit, se développa en une atteinte détourné au fruit du bonheur. D'une pression délicate, il dérangea le chat endormi. Du même coup, ses lèvres s'étaient étirées en une large sourire joueur.
Il avait déjà retiré sa main de l'intimité de Rain, mais conservait son emprise sur elle et ses délicieuse courbe, la serrant contre lui avec désir. La suite appartenait à la jeune dame alors que lui jetait son oeil à l'horizon.
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Here's to alcohol, the rose colored glasses of life.
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La musique se fit silencieuse, mais je pouvais quand même percevoir les faibles vibrations sur le sol. Lorsque mon bel ami m'entoura à son tour de ses bras, mes muscles se détentirent et un sourire s'afficha sur mes lèvres. Cette mélodie entre nous s'harmonisait à la perfection et toutes les notes y étaient jouées pointilleusement. La tête du rouquin se posa sans peine sur la mienne alors que je sentis un faible mouvement de sa part. Je glissai gentiment mes mains vers son dos pour agripper désireusement le chandail de William. Alors que mes mains avaient fait leur chemin, celles du jeune homme s'étaient dirigée sans peine vers le bas de mon dos jusqu'à mes fesses. Des frissons parcoururent mon corps, mais je ne fis aucun mouvement. Le rouquin était un homme direct et son touché lent me rendait impatiente. Le voyage fut pourtant d'une courte durée alors que le jeune homme retirait déjà sa main d'un mouvement joueur après s'être aventuré plus bas sans que je ne l'empêche d'agir. Je pouvais presque le sentir sourire au-dessus de mon crâne. Quel idiot. Il me serra dans ses bras passionément alors que mes jambes tremblaient légèrement sous l'avant goût que m'avait offert William. Mes joues prirent un ton plus rosée, mais je n'osai toujours pas bouger en camouflant mon visage sur son torse et en espérant pouvoir profiter de ses bras à travers la brise du soir. Je souriais, mais soudainement, quelque chose d'humide coula le long de ma joue. Quelque chose de complètement incomprenable suite aux sentiments qui déferlaient dans tout mon être. D'un mouvement lent, je ramenai mes bras vers moi en restant proche du corps du rouquin. J'essuyai la larme du rebord de la main avant de redresser doucement mon regard sur le jeune homme. Je lui souris, mais ce sourire semblait totalement faux dans mon esprit. Je fus donc la chose la plus spontané du moment en choissisant d'ignorer mes ressentiments: j'agrippai l'arrière cou de William pour diriger son visage vers le mien et, une fois qu'il fut assez proche, j'y écrasai mes lèvres d'un geste sec, mais désireux à la fois. Les yeux clos, je m'attendais à ce que William réponde immidiatement à mon baiser sans réfléchir et que nos avances se terminent dans une chambre d'hôtel pour que je puisse enfin me retrouver dans le creux de mes draps.
#iwhae pour epicode
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Tout ce que Will attendait, c'était une réponse de son amie. N'importe quoi lui suffirait, mais il était certain qu'une réaction allant dans le même sens que sa provocation était préférable. Sur le coup, cette réaction tarda à pointer le bout de son nez. Ce n'était pas plus grave, Will savait être patient. Ce n'était pas avec un manque ce cette vertu qu'on peut vivre à sa manière. Toujours finit-il par recevoir la réponse qu'il attendait, celle qu'il espérait. Rain s'empara de ses lèvres. Il n'eut pas à se faire prier. Il répondit de suite avec ferveur, serrant encore d'avantage le corps de la belle contre le sien. Il s'abandonnait langoureusement au baiser tandis que sa main droite quittait sa sœur dans le creux du dos de la belle et allait plutôt lui caresser le sein. Il la remonta ensuite jusqu'à la nuque de la demoiselle. Il s'obligea à mettre fin au baiser, assurant la coopération de sa partenaire en lui retenant les cheveux fermement, mais sans violence.
"On devrait aller se dénicher un endroit tranquille..."
Certains diront qu'un parce à cette heure tardive semble aussi tranquille que possible, mais ceux-ci seraient immédiatement contredit par le groupe d'adolescent passant là à l'instant. Ils riaient et criaient. Selon ces bruits et ces sons, l'écossais jugeait que la petite meute allait passer juste au dessus du "couple", sur l'arche de bois.
MacKenzie suivit leur progression de son œil, même s'il ne pouvait pas vraiment les voir. Il le fit tout en gardant sa belle amie presque prisonnière de son emprise. Lorsqu'il fut enfin satisfait, il offrit un regard complice à Rain, puis l'entraîna à nouveau sur le sentier qui traversait le parc, celui sur lequel ils marchaient tous les deux avant de s'arrêter. Il les entraîna cependant en sens inverse, les ramenant vers cette partie de la ville qu'il avait déjà visitée. Il se permettait, lorsqu'ils devaient attendre à une intersection, de ramener la jeune femme contre lui pour un court échange de passion. À peine quelques centaines de mètres plus loin, la pair pénétrait dans un hôtel. Rien de miteux, ni rien d'extravagant. C'était un hôtel des plus standards.
Une clé de chambre obtenue plus tard, c'est l'ascenseur qui était témoin du plus récent rapprochement entre les deux étudiant. Même si c'était la chambre qui en verrait le plus, il ne fallait pas forcer la jalousie des autres "pièces" de l'immeuble, si?
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Here's to alcohol, the rose colored glasses of life.
She had that whiskey sipping skinny dipping smile.
Automatiquement, le rouquin répondit avec fougue aux avances de la louve. Son coeur manqua un battement et le baiser fit rougir ses pommettes d'un léger ton rosée. Les mains du jeune homme s'étaient posées dans le creux du dos de la femme alors que l'étreinte se fit plus désireuse. Elle le voulait, mais bien vite, l'une des mains de son bel ami fit un court voyage avant de rejoindre sa chevelure sombre. Un voile de déception traversa son regard noisette alors que William mettait fin au baiser d'un geste ferme, mais doux à la fois. Elle battit légèrement des paupières. Ses mains se tenaient sur les hanches du garçon et elle redressa faiblement la tête pour pouvoir observé le visage du rouquin. Comme il était beau sous le clair de l'une. Pourtant, la confiance la quitta soudainement et ses yeux se détachèrent des siens, mais un faible sourire se dessina sur ses lèvres par le feu ardent qui les animaient. Elle avait l'impression qu'elle ne cesserait jamais d'aimer ses baisers. Il finit par briser le doux silence de la nuit.
- On devrait aller se dénicher un endroit tranquille...
Le bruit de pas fit redresser les yeux noisettes de Rain vers le ciel. Des jeunes adolescents insouciants se promenaient sur le pont de bois au-dessus de leur tête. Ils criaient et riaient très fort. Bien évidemment, vu le bruit plutôt élevé, les jeunes gens passèrent sans crainte au-dessus de nos deux amants. L’œil du rouquin suivit les mouvements en gardant la jeune femme prisonnière de son emprise. La louve contempla le visage du jeune homme, mais il reposa un regard complice sur sa belle amie. Il entraîna par la suite la bête sur le sentier qu'il avait d'abord emprunté pour ensuite faire marche arrière et reprendre la route vers la ville qu'il avait déjà visité un peu plus tôt. À chaque stop, le rouquin se permettait d'enlacer Rain et de partager le désir qui l'habitait. À peine quelques centaines de mètres plus loin, la pair pénétrait dans un hôtel. Rien de miteux, ni rien d'extravagant. C'était un hôtel des plus standards. Récupération de clef, ascenseur... et les voilà dans la chambre. Les échanges furent presque instantanés. Les vêtements s'arrachèrent et les deux amants se retrouvèrent sur le lit dans un mélange de passion et de désir ardent pour l'un et l'autre. La nuit fut longue et passionné... ainsi que d'un plaisir des plus torrides. Elle l'aimait et cela l'effrayait. Il l'aimait peut-être, mais ne le saurait peut-être jamais, car il avait peur. Autant que elle et cela ne changera sûrement jamais.
La lumière entra dans la chambre de l'hôtel. Le drap entourant son corps, Rain tourna de bord et ouvrit les yeux doucement. Elle sentait toujours la présence du rouquin à ses côtés, mais elle n'osa pas le réveiller. Elle était dos à lui, face contre la baie qui laissait pénétrer les rayons du soleil. Souriant bêtement, elle glissa ses bras sous l'oreiller et fit la grasse matinée, attendant que son amant ne se réveille à son tour.
- On devrait aller se dénicher un endroit tranquille...
Le bruit de pas fit redresser les yeux noisettes de Rain vers le ciel. Des jeunes adolescents insouciants se promenaient sur le pont de bois au-dessus de leur tête. Ils criaient et riaient très fort. Bien évidemment, vu le bruit plutôt élevé, les jeunes gens passèrent sans crainte au-dessus de nos deux amants. L’œil du rouquin suivit les mouvements en gardant la jeune femme prisonnière de son emprise. La louve contempla le visage du jeune homme, mais il reposa un regard complice sur sa belle amie. Il entraîna par la suite la bête sur le sentier qu'il avait d'abord emprunté pour ensuite faire marche arrière et reprendre la route vers la ville qu'il avait déjà visité un peu plus tôt. À chaque stop, le rouquin se permettait d'enlacer Rain et de partager le désir qui l'habitait. À peine quelques centaines de mètres plus loin, la pair pénétrait dans un hôtel. Rien de miteux, ni rien d'extravagant. C'était un hôtel des plus standards. Récupération de clef, ascenseur... et les voilà dans la chambre. Les échanges furent presque instantanés. Les vêtements s'arrachèrent et les deux amants se retrouvèrent sur le lit dans un mélange de passion et de désir ardent pour l'un et l'autre. La nuit fut longue et passionné... ainsi que d'un plaisir des plus torrides. Elle l'aimait et cela l'effrayait. Il l'aimait peut-être, mais ne le saurait peut-être jamais, car il avait peur. Autant que elle et cela ne changera sûrement jamais.
La lumière entra dans la chambre de l'hôtel. Le drap entourant son corps, Rain tourna de bord et ouvrit les yeux doucement. Elle sentait toujours la présence du rouquin à ses côtés, mais elle n'osa pas le réveiller. Elle était dos à lui, face contre la baie qui laissait pénétrer les rayons du soleil. Souriant bêtement, elle glissa ses bras sous l'oreiller et fit la grasse matinée, attendant que son amant ne se réveille à son tour.
#iwhae pour epicode
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Une chemise, un kilt et une robe recouvrait le plancher de la chambre, faisant compétition au tapis. Il y avait certes d'autres morceaux, quelques accessoires, mais il est bien inutiles de faire une liste exhaustive quand le gros de l'idée c'est que ni l'un ni l'autre n'avait trouver important de placer ces choses avec attention. Ni non plus de quitter la douceur des draps pour faire le ménage. Même si les feux de l'amour avait laissé place à la quiétude du matin et que Rain avait déjà retrouvé conscience, cette situation n'avait pas évolué. Elle vivait plutôt de paresse alors que le soleil baignait la chambre d'une lumière dorée. Par chance, ce même soleil était à la droite de l'écossais, lui offrant encore quelques secondes de sommeil. Ce n'est que lorsque la belle changea de position que notre homme fut tiré des bras de Morphée.
Il ouvrit l’œil et grogna, le refermant d'aussitôt pour se protéger de la lumière. Il s'étira de tout son long, grognant encore un peu et baillant tel un lion. Il ouvrit à nouveau son œil, doucement, et jeta un bref regard sur la demoiselle à son côté. Il cru remarquer qu'elle dormait encore. *Tant mieux,* pensa-t-il. Il se glissa hors des draps avec une lenteur et une légèreté calculée. À pas de loup, il alla enfiler son kilt et ramassa sa chemise. Il était déjà trop tard pour qu'il atteigne l'école à temps pour son cours de littérature, mais à quoi bon. Il pouvait bien s'excuser pour la première fois. Il se reprendrait par la suite. Ou pas. Dans tous les cas, il respecterait les bons désirs de sa belle amie. Coucher ensemble de temps à autres et ne pas agir comme s'ils étaient un couple. Il avait bien compris. Ainsi, il allait prendre la poudre d'escampette jusqu'à la prochaine fois, se dirigeant vers la porte sans même un au revoir, chemise ouverte et bottes en mains.
Re: Here's to alcohol, the rose colored glasses of life (PV: William)
Here's to alcohol, the rose colored glasses of life.
Alpha females don't run in packs
Elle courait à nouveau. Les bois étaient de plus en plus dense, mais cette fois, elle savait pourquoi elle courait. Elle le savait au plus profond d'elle. L'instinct ne trahit jamais la bête. La louve pouvait voir la lumière au bout du chemin et une fois que son élan l'amena jusqu'à elle, elle ouvrit de nouveau les yeux sur la pièce éclairée par le soleil du matin. Rain avait dû s'assoupir à nouveau... Elle fit volte-face pour se retrouver dans un lit vide et seuls ses vêtements ornaient le sol de la chambre. Elle sourit tristement. La jeune femme s'y attendait pourtant, c'est elle qui l'avait demandé. Elle rapprocha ses genoux vers elle et y appuya doucement sa tête pour regarder silencieusement par la fenêtre. Une belle journée s'annonçait à l'extérieur et reprenant du poil de la bête, la Rubis se glissa en dehors du lit avec le drap blanc qui montrait parfaitement les courbes de sa silhouette. Elle se rendit jusqu'à la salle de bain pour y prendre une douche chaude. Le drap tomba sur le plancher alors qu'elle se précipita sous le jet d'eau. Quelques minutes plus tard, la pièce était embrumée et la jeune femme se tenait devant le miroir. Elle essuya docilement ses longs cheveux noirs. Cette couleur lui donnait la nausé. Elle laissa un soupir d'échapper de sa bouche et retourna dans la chambre en laissant le drap humide sur le sol de la salle de bain. En titubant légèrement, elle attrapa vite fait sa robe noir, ses sous vêtements au pied du lit et ses souliers un peu plus loin. C'est avec cette scène et le vent qui soufflait paisiblement dans la pièce, que la louve sourit sincèrement. Le silence et la solitude était des choses qu'elle aimait. Pas toujours, mais en ce moment, elle en avait terriblement besoin. Elle était heureuse que le rouquin est filé. C'était mieux ainsi. Elle s'habilla vite fait et prit ses choses avant d'enfin quitter la pièce. C'était un vrai bordel à l'intérieur, mais elle s'en foutait royalement. Les gens de l'hôtel rangeraient tout ça, ils sont habitués de toute façon. Elle prit l'ascenseur et une fois à l'extérieur de la bâtisse, reprit sa route vers l'Académie sans réellement se presser. Elle apprécia les regards qu'on lui jetait vu la tenue qu'elle portait et elle renvoya certain sourire, mais se faisant légèrement désiré, elle continua sa démarche sans s'arrêter. Les choses allaient enfin mieux et elle ne donnerait pour rien au monde le sentiment qu'elle ressentait en cette simple matinée.
#iwhae pour epicode
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