Tôt ou tard, nos erreurs nous rattrapent toujours [Chapitre 1 : Trahi par ses pulsions] (Pv Brian)
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Tôt ou tard, nos erreurs nous rattrapent toujours [Chapitre 1 : Trahi par ses pulsions] (Pv Brian)
Il peut après que j'ai été de retour j'avais recroisé Hansel. Suite à une petite discution banal il m'a annoncer que du coup il était bel et bien en couple avec Caitlyn et sont devenus plus proches qu'avant. Cependant, il m'a également parlé de sa mésaventure avec un pion qui avait l'air de vouloir essayer de briser son couple. Pion qui se révèle être la personne qui avait violé l'émeraude … ok le récit commence très bien …
Bref, Hansel m'avais donc fait part de son envie de donner une bonne leçon à ce Brian, chose que j'avais bien évidement accepté. Je déteste les violeurs, c'est bien le genre de choses que je ne peux pas pardonner et déjà de base je suis assez rancunier …J'aurais aimé pouvoir agir plus tôt, seulement voilà ma vie personnelle m'avais obligé à m'absenter pour une longue période, de même que les événements du banquet. De plus, Hansel m'avais dit que la vengeance est un plat qui ce mange froid. C'est vrai qu'en y réfléchissant si on aurait fait notre truc plus tôt, Brian devait se tenir sur ses gardes et aurait été plus difficile à voir. Alors que maintenant il a dû baisser sa garde …
Du coup ce fut à moi de m'occuper de la phase d'approche …. Ou la capture. Logique, si c'était Hansel, il aurait tout de suite sentit le truc venir, alors que moi il ne me connaît pas, ou alors seulement de réputation dans le corps enseignant. Entre le cour de pouvoir que j'ai fait partir en couille, le pion que j'ai enfermé dans un placard, la colle que j'ai reçu pour le coup de la piscine et surtout l'incident du banquet. Même si je ne pense pas être dans le dossier des pire résident du bâtiment.
Lorsque j'avais réussis à trouver ce fameux Brian je l'avais donc « pris en filature ». En fait je m'amusais pas du tout à faire le mec qui se prend pour James bond qui suit discrètement le pion en se planquant n'importe où. Là, ça aurait été grillé d'avance, surtout avec mon gabarit. Non en fait je faisais le mec lambda qui se baladait dans les couloirs les mains dans les poches, le casque sur les oreilles et le regard qui se promène un peu n'importe où en suivant le pion à bonne distance.
Jusqu'à ce que notre route se termine aux toilettes. Monsieur était allé faire une pause pipi à l'urinoir, alors je m'engageais également dans la pièce pour aller à l'urinoir d'à côté. Ce qui permettait d'analyser le gugusse d'un peu plus près … mine de rien il était pas mal ! J'avais toujours eu un faible pour les gothiques/punk/metalleux. Et ben avec lui je suis servi ! En plus … comme qui dirait … mon « gay radar » ou plutôt « bi radar » ce mystérieux pouvoir qu'ont les personnes de ce bord là à se reconnaitre, me soufflait l'idée que le pion n'était pas totalement hétéro …Voilà qui me laissais une potentiel pour d'ouverture pour l'accoster. En plus, si malgré mes effort il avait remarqué que je le suivais, ça me ferait une parfaite excuse !
Je jetais un rapide coup d'œil en coin sur son matériel avant de lui dire de manière nonchalante avec ma spontanéité naturelle.
_ … Bel organe …
Bref, Hansel m'avais donc fait part de son envie de donner une bonne leçon à ce Brian, chose que j'avais bien évidement accepté. Je déteste les violeurs, c'est bien le genre de choses que je ne peux pas pardonner et déjà de base je suis assez rancunier …J'aurais aimé pouvoir agir plus tôt, seulement voilà ma vie personnelle m'avais obligé à m'absenter pour une longue période, de même que les événements du banquet. De plus, Hansel m'avais dit que la vengeance est un plat qui ce mange froid. C'est vrai qu'en y réfléchissant si on aurait fait notre truc plus tôt, Brian devait se tenir sur ses gardes et aurait été plus difficile à voir. Alors que maintenant il a dû baisser sa garde …
Du coup ce fut à moi de m'occuper de la phase d'approche …. Ou la capture. Logique, si c'était Hansel, il aurait tout de suite sentit le truc venir, alors que moi il ne me connaît pas, ou alors seulement de réputation dans le corps enseignant. Entre le cour de pouvoir que j'ai fait partir en couille, le pion que j'ai enfermé dans un placard, la colle que j'ai reçu pour le coup de la piscine et surtout l'incident du banquet. Même si je ne pense pas être dans le dossier des pire résident du bâtiment.
Lorsque j'avais réussis à trouver ce fameux Brian je l'avais donc « pris en filature ». En fait je m'amusais pas du tout à faire le mec qui se prend pour James bond qui suit discrètement le pion en se planquant n'importe où. Là, ça aurait été grillé d'avance, surtout avec mon gabarit. Non en fait je faisais le mec lambda qui se baladait dans les couloirs les mains dans les poches, le casque sur les oreilles et le regard qui se promène un peu n'importe où en suivant le pion à bonne distance.
Jusqu'à ce que notre route se termine aux toilettes. Monsieur était allé faire une pause pipi à l'urinoir, alors je m'engageais également dans la pièce pour aller à l'urinoir d'à côté. Ce qui permettait d'analyser le gugusse d'un peu plus près … mine de rien il était pas mal ! J'avais toujours eu un faible pour les gothiques/punk/metalleux. Et ben avec lui je suis servi ! En plus … comme qui dirait … mon « gay radar » ou plutôt « bi radar » ce mystérieux pouvoir qu'ont les personnes de ce bord là à se reconnaitre, me soufflait l'idée que le pion n'était pas totalement hétéro …Voilà qui me laissais une potentiel pour d'ouverture pour l'accoster. En plus, si malgré mes effort il avait remarqué que je le suivais, ça me ferait une parfaite excuse !
Je jetais un rapide coup d'œil en coin sur son matériel avant de lui dire de manière nonchalante avec ma spontanéité naturelle.
_ … Bel organe …
Re: Tôt ou tard, nos erreurs nous rattrapent toujours [Chapitre 1 : Trahi par ses pulsions] (Pv Brian)
Cela faisait quatre mois que j’avais rencontré Caitlyn et Hansel au terrain d’entraînement. Ce fils de pite roux sans âme m’avait vraiment tapé sur les nerfs… et ça m’avait fait tellement de mal de revoir Caitlyn, si belle, et si heureuse… dans les bras d’un autre homme. Je ne me sentais pas légitime, et après tout, je ne voulais pas d’elle, mais il aurait été drôle de faire durer notre relation plus longtemps… bien qu’au début, ma conviction était de me barrer très rapidement et de ne plus la recroiser, je m’étais rendu compte avec le temps que c’est si bien de s’amuser des jours et des jours, voir des semaines, avec les sentiments de personnes si fragiles ! C’est un jeu sadique, dangereux, mais tentant. Dommage, c’était mort avec elle… et j’éprouvais un peu d’affection, alors tout jeu était impossible. Il me tardait de la retrouver, de m’excuser encore.
J’essayais de moins y penser, de faire sortir ces odieux souvenirs, ces odieuses paroles et ces odieux gestes de ma tête, mais rien n’y faisait. Je trouvais du réconfort dans l’échappatoire de l’alcool. C’est tout ce qu’il me restait pour oublier que mon taux d’enculé avait explosé les cent pour cent non ? Et il ne se passait pas une journée sans que je redoute l’éventualité que Caitlyn ait décidé de tout balancer à la police… je serais fichu, et toute possibilité d’avenir ici serait donc réduit à néant. Non seulement il faudrait que je purge des années de prison ici, mais il faudrait également que je rentre chez moi. Et alors ?
Mais, plus le temps passait, plus la blessure s’atténuait. Je consommais toujours autant d’alcool, mais seulement le weekend : je m’empêchais de toucher à une seule bouteille en semaine, même le soir, de peur de ne pas assurer le lendemain à l’académie. Et pire, il était inconcevable que je ramène mes propres bouteilles sur mon lieu de travail ! Cette situation me rappelait celle d’un adolescent qui cacherait ses paquets de cigarette ou ses bouteilles de bière à ses parents… ah ! C’est tout à fait ça ! Je déteste les interdictions, car ça me fait sentir comme… un enfant.
Le mois d’août venait tout juste de commencer. La chaleur s’adoucissait, mais restait toujours aussi épaisse et lourde au-dessus de nos têtes. Je détestais porter des vêtements trop « légers », et je ne savais même pas si, en tant que Diamant et surveillant, j’avais vraiment le droit de m’habiller comme si j’allais à la plage… honnêtement, je ne pensais pas. Néanmoins, je n’étais pas contraint à un costume, et heureusement ! Comme j’ai pu le dire, je déteste les interdictions… je souhaite exhiber mon style. Je pense que cette envie est celle de toutes les personnes possédant un style à part… il est normal de vouloir le montrer. Cependant, ce style n’était pas énormément prononcé, certains pourraient se sentir gênés. Et imaginez seulement s’il y avait des plaintes !
Nous étions dans le milieu de l’après-midi. Je portais un tee-shirt noir, uni, parfaitement repassé et qui me seyait à merveille : ni trop moulant et ni trop ample, ses manches courtes et retroussées laissaient entrevoir des courbes de bras musclés et tatoués à souhait. Mon jean noir était déchiré et très chic. Enfin, avec cela, toujours des Docs montantes, noires. Habitude, me direz-vous. Je ne prenais plus le temps de me maquiller le matin, soit parce que je me levais trop tard, soit par pure flemme : seulement, aujourd’hui, j’avais néanmoins fait mon teint – blanc – et souligné mes yeux d’un délicat trait court et intensément noir. Avec cela, mes habituels piercings, des bagues, et mon écarteur que je ne pouvais pas retirer pour le moment. Et bien sûr, le vernis noir et soigné.
Pris d’une envie pressante, j’avais quitté mon lieu de ronde dans l’optique de me répérer, et de trouver les cabinets des Diamants. Tout en réfléchissant, je poussais un soupir las : non, trop loin. Les toilettes pour les élèves étaient si proches… je souriais, puis je me dirigeais vers eux. Cela n’était pas trop autorisé, mais pas plus contrôlé, alors je pouvais y aller sans soucis. Et si un élève un peu trop zélé me disait quelque chose, qu’il aille au diable, tiens !
Je pénétrais les toilettes masculins en poussant la porte battante. Personne, plutôt bien. Je m’installer face à un urinoir. Peu après, alors que je me pensais tranquille, un élève à l’aspect grand et musclé entra à son tour dans les toilettes. Je cachais mon exaspération derrière une expression neutre et impénétrable. Pensant qu’il allait se mettre plus loin, je le maudissais intérieurement en le voyant se mettre à côté de moi. Oh, trop proche là ! Hey, plutôt pas mal… je souriais en coin.
« … Bel organe …
- Et encore, t’as pas vu ce que je peux faire avec. »
Je lui adressais un clin d’œil plein de prétention, avec un sourire qui l’était tout autant, puis je refermais ma braguette. Putain, je ne savais vraiment pas ce qui m’avait pris… l’envie de m’amuser un peu ?
J’essayais de moins y penser, de faire sortir ces odieux souvenirs, ces odieuses paroles et ces odieux gestes de ma tête, mais rien n’y faisait. Je trouvais du réconfort dans l’échappatoire de l’alcool. C’est tout ce qu’il me restait pour oublier que mon taux d’enculé avait explosé les cent pour cent non ? Et il ne se passait pas une journée sans que je redoute l’éventualité que Caitlyn ait décidé de tout balancer à la police… je serais fichu, et toute possibilité d’avenir ici serait donc réduit à néant. Non seulement il faudrait que je purge des années de prison ici, mais il faudrait également que je rentre chez moi. Et alors ?
Mais, plus le temps passait, plus la blessure s’atténuait. Je consommais toujours autant d’alcool, mais seulement le weekend : je m’empêchais de toucher à une seule bouteille en semaine, même le soir, de peur de ne pas assurer le lendemain à l’académie. Et pire, il était inconcevable que je ramène mes propres bouteilles sur mon lieu de travail ! Cette situation me rappelait celle d’un adolescent qui cacherait ses paquets de cigarette ou ses bouteilles de bière à ses parents… ah ! C’est tout à fait ça ! Je déteste les interdictions, car ça me fait sentir comme… un enfant.
Le mois d’août venait tout juste de commencer. La chaleur s’adoucissait, mais restait toujours aussi épaisse et lourde au-dessus de nos têtes. Je détestais porter des vêtements trop « légers », et je ne savais même pas si, en tant que Diamant et surveillant, j’avais vraiment le droit de m’habiller comme si j’allais à la plage… honnêtement, je ne pensais pas. Néanmoins, je n’étais pas contraint à un costume, et heureusement ! Comme j’ai pu le dire, je déteste les interdictions… je souhaite exhiber mon style. Je pense que cette envie est celle de toutes les personnes possédant un style à part… il est normal de vouloir le montrer. Cependant, ce style n’était pas énormément prononcé, certains pourraient se sentir gênés. Et imaginez seulement s’il y avait des plaintes !
Nous étions dans le milieu de l’après-midi. Je portais un tee-shirt noir, uni, parfaitement repassé et qui me seyait à merveille : ni trop moulant et ni trop ample, ses manches courtes et retroussées laissaient entrevoir des courbes de bras musclés et tatoués à souhait. Mon jean noir était déchiré et très chic. Enfin, avec cela, toujours des Docs montantes, noires. Habitude, me direz-vous. Je ne prenais plus le temps de me maquiller le matin, soit parce que je me levais trop tard, soit par pure flemme : seulement, aujourd’hui, j’avais néanmoins fait mon teint – blanc – et souligné mes yeux d’un délicat trait court et intensément noir. Avec cela, mes habituels piercings, des bagues, et mon écarteur que je ne pouvais pas retirer pour le moment. Et bien sûr, le vernis noir et soigné.
Pris d’une envie pressante, j’avais quitté mon lieu de ronde dans l’optique de me répérer, et de trouver les cabinets des Diamants. Tout en réfléchissant, je poussais un soupir las : non, trop loin. Les toilettes pour les élèves étaient si proches… je souriais, puis je me dirigeais vers eux. Cela n’était pas trop autorisé, mais pas plus contrôlé, alors je pouvais y aller sans soucis. Et si un élève un peu trop zélé me disait quelque chose, qu’il aille au diable, tiens !
Je pénétrais les toilettes masculins en poussant la porte battante. Personne, plutôt bien. Je m’installer face à un urinoir. Peu après, alors que je me pensais tranquille, un élève à l’aspect grand et musclé entra à son tour dans les toilettes. Je cachais mon exaspération derrière une expression neutre et impénétrable. Pensant qu’il allait se mettre plus loin, je le maudissais intérieurement en le voyant se mettre à côté de moi. Oh, trop proche là ! Hey, plutôt pas mal… je souriais en coin.
« … Bel organe …
- Et encore, t’as pas vu ce que je peux faire avec. »
Je lui adressais un clin d’œil plein de prétention, avec un sourire qui l’était tout autant, puis je refermais ma braguette. Putain, je ne savais vraiment pas ce qui m’avait pris… l’envie de m’amuser un peu ?
Re: Tôt ou tard, nos erreurs nous rattrapent toujours [Chapitre 1 : Trahi par ses pulsions] (Pv Brian)
- Et encore, t'as pas vu ce que je peux faire avec. »
Je remarquais le petit sourire ainsi que le clin d'œil aussi remplit de sous-entendus que sa réponse, je sens que ça va être amusant ! Phase d'approche et de premier contact réussi, maintenant, il va falloir le faire mordre à l'hameçon …quoique, je ne suis pas sûr de savoir qui va vraiment mordre l'hameçon de qui. Heureusement que de joué les appâts ça m'amuse, si après ça on ose me dire que je ne donne pas de ma personne pour les autres …
Le pion avait rangé son attirail. Je faisais de même en dirigeant vers l'évier pour me laver les mains en lui répondant.
_ Je serais curieux de voir ça !
Ma réplique était accompagnée d'un air défis sur le visage qui se manifestait par un sourire également remplit de sous-entendus (pour l'instant il n'est remplit que de ça) ainsi que de mon regard rubis dirigé vers lui où brillait une pointe de malice.
Puis, je le jaugeais du regard, le reluquant de haut en bas en insistant un peu plus sur son paquet. Mine rien il n'était pas si mal avec son style soigné malgré la chaleur accablante. Si je n'était pas en couple j'aurais p prendre un malin plaisir pour cette mission ! Personnellement je n'avais pas fait autant d'efforts. Je n'étais vêtu que d'un short noir ainsi que d'un T-Shirt orné d'une nué de corneilles. Un T-shirt que j'avais acheté avec Yumiko par rapport à mon ancien pouvoir. Celui-ci avait la particularité d'avoir un col en V, rehaussé par l'ambre en pendentif que je gardais autour du cou.
Je remarquais le petit sourire ainsi que le clin d'œil aussi remplit de sous-entendus que sa réponse, je sens que ça va être amusant ! Phase d'approche et de premier contact réussi, maintenant, il va falloir le faire mordre à l'hameçon …quoique, je ne suis pas sûr de savoir qui va vraiment mordre l'hameçon de qui. Heureusement que de joué les appâts ça m'amuse, si après ça on ose me dire que je ne donne pas de ma personne pour les autres …
Le pion avait rangé son attirail. Je faisais de même en dirigeant vers l'évier pour me laver les mains en lui répondant.
_ Je serais curieux de voir ça !
Ma réplique était accompagnée d'un air défis sur le visage qui se manifestait par un sourire également remplit de sous-entendus (pour l'instant il n'est remplit que de ça) ainsi que de mon regard rubis dirigé vers lui où brillait une pointe de malice.
Puis, je le jaugeais du regard, le reluquant de haut en bas en insistant un peu plus sur son paquet. Mine rien il n'était pas si mal avec son style soigné malgré la chaleur accablante. Si je n'était pas en couple j'aurais p prendre un malin plaisir pour cette mission ! Personnellement je n'avais pas fait autant d'efforts. Je n'étais vêtu que d'un short noir ainsi que d'un T-Shirt orné d'une nué de corneilles. Un T-shirt que j'avais acheté avec Yumiko par rapport à mon ancien pouvoir. Celui-ci avait la particularité d'avoir un col en V, rehaussé par l'ambre en pendentif que je gardais autour du cou.
Re: Tôt ou tard, nos erreurs nous rattrapent toujours [Chapitre 1 : Trahi par ses pulsions] (Pv Brian)
L’élève s’était engagé vers les lavabos, afin de se laver les mains. Je lui emboitais le pas, sans réussir à m’empêcher de jeter un regard sur son postérieur. Hey, pas mal, j’avais envie de lui sauter dessus. J’étais naturellement plus attiré par les femmes, mais je trouvais toujours un peu de réconfort auprès des hommes… j’ai toujours trouvé ça étrange, mais c’est ce qu’on appelle la bisexualité, n’est-ce pas ? Je m’arrêtais près d’un lavabo, puis je me lavais lourdement les mains. J’déconne pas sur l’hygiène.
« Je serais curieux de voir ça ! »
Je me tournais vers l’élève, qui m’avait l’air d’être un pur Rubis d’ailleurs, et je posais sur lui un regard plein de malice étonnée. Je n’étais encore jamais tombé sur un gars autant en chien ! On dirait qu’il allait me sauter dessus ! Je souriais d’un air un peu bête, légèrement pris de court par les événements : trop vite, ça va trop vite ! Mais avec toutes ces avances, comment pourrait-on rester de marbre ? Je le voyais me regarder de haut en bas, en s’attardant sur un point bien précis de mon anatomie : hey, il n’est pas très timide ce con. Je me rapprochais de lui, encore un peu.
« Hey, calme-toi quand même. »
Je riais doucement, puis je reculais, heureux d’avoir pu lui donner un faux espoir, puis je me dirigeais vers le souffleur. Je passais doucement mes mains à l’intérieur, sans m’empêcher de garder un œil sur l’élève. Je lui tournais le dos, et cette position rendait l’espionnage discret plutôt compliqué, mais je savais rester secret tout de même. Il était vraiment pas mal… habillé très simplement, mais c’est ce que j’aimais. Il était très loin d’être coincé, et ça me plaisait beaucoup. Je repensais à Caitlyn… elle aussi était une élève. Lui aussi… mais après tout, il semblait vraiment en chaleur… non, je ne peux pas. En tout cas, pas si facilement. Je le coincerais dans une cabine et je lui ferais regretter d’être venu aux toilettes et de m’avoir reluqué de cette façon.
Je poussais un soupir faussement las, puis je me tournais de nouveau vers l’élève Rubis. J’avais envie de l’effrayer un peu… Alors que je réfléchissais à une tirade un peu alarmante, un sourire amusé se dessinait sur mon visage avant même que je ne me mette à parler.
« Tu sais que je pourrais dénoncer ton comportement si j’en avais envie ? »
Je m’empêchais de rire : décidément, je n’avais pas su mentir sur ce coup ! C’était cramé à six milles kilomètres que je me foutais de sa gueule... mais au moins, il m’amusait. J’espérais sincèrement qu’il n’allait pas y prendre au sérieux et qu’il allait laisser tomber toute affaire avec moi, car je m’en voudrais beaucoup ! Une folle histoire qui commence aux chiottes, quoi de plus romantique !?
« Je serais curieux de voir ça ! »
Je me tournais vers l’élève, qui m’avait l’air d’être un pur Rubis d’ailleurs, et je posais sur lui un regard plein de malice étonnée. Je n’étais encore jamais tombé sur un gars autant en chien ! On dirait qu’il allait me sauter dessus ! Je souriais d’un air un peu bête, légèrement pris de court par les événements : trop vite, ça va trop vite ! Mais avec toutes ces avances, comment pourrait-on rester de marbre ? Je le voyais me regarder de haut en bas, en s’attardant sur un point bien précis de mon anatomie : hey, il n’est pas très timide ce con. Je me rapprochais de lui, encore un peu.
« Hey, calme-toi quand même. »
Je riais doucement, puis je reculais, heureux d’avoir pu lui donner un faux espoir, puis je me dirigeais vers le souffleur. Je passais doucement mes mains à l’intérieur, sans m’empêcher de garder un œil sur l’élève. Je lui tournais le dos, et cette position rendait l’espionnage discret plutôt compliqué, mais je savais rester secret tout de même. Il était vraiment pas mal… habillé très simplement, mais c’est ce que j’aimais. Il était très loin d’être coincé, et ça me plaisait beaucoup. Je repensais à Caitlyn… elle aussi était une élève. Lui aussi… mais après tout, il semblait vraiment en chaleur… non, je ne peux pas. En tout cas, pas si facilement. Je le coincerais dans une cabine et je lui ferais regretter d’être venu aux toilettes et de m’avoir reluqué de cette façon.
Je poussais un soupir faussement las, puis je me tournais de nouveau vers l’élève Rubis. J’avais envie de l’effrayer un peu… Alors que je réfléchissais à une tirade un peu alarmante, un sourire amusé se dessinait sur mon visage avant même que je ne me mette à parler.
« Tu sais que je pourrais dénoncer ton comportement si j’en avais envie ? »
Je m’empêchais de rire : décidément, je n’avais pas su mentir sur ce coup ! C’était cramé à six milles kilomètres que je me foutais de sa gueule... mais au moins, il m’amusait. J’espérais sincèrement qu’il n’allait pas y prendre au sérieux et qu’il allait laisser tomber toute affaire avec moi, car je m’en voudrais beaucoup ! Une folle histoire qui commence aux chiottes, quoi de plus romantique !?
Re: Tôt ou tard, nos erreurs nous rattrapent toujours [Chapitre 1 : Trahi par ses pulsions] (Pv Brian)
Je voyais le gothique s'approche de moi … attention ? Va-t-il saisir l'opportunité … et ?
« Hey, calme-toi quand même. »
Halala, quelle déception ce n'était qu'une vulgaire feinte …Et ça le fait rire en plus ! J'avoue ça me fait un peu chier, mais je ne vais certainement pas en démordre pour autant …je finissais de me savonner les mains et les rincer pendant que lui se les séchait … personnellement une fois finis je les agitais dans quelques coups secs afin d'enlever un maximum d'eau et de m'approcher du séchoir à mon tour. C'est à ce moment-là que le pion me fis fasse avant de me dire d'un ton autoritaire
« Tu sais que je pourrais dénoncer ton comportement si j'en avais envie ? »
Dommage il aurait presque pu être crédible s'il n'avait pas explosé de rire derrière …mais quoi qu'il en soit ça n'aurait pas été ça qui m'aurait déstabilisé.
Une fois les mains sèches et qu'il eut finis de se marré je lui répondais conservant ce même sourire provocateur.
_ Tout est dans le « si j'en avais envie » très cher. Sans compter qu'à côté de toutes les coucheries qui ont lieux aux quatre coins de l'académie et des dortoirs, ce n'est vraiment pas grand-chose …
Je lui fis face également
Et puis … j'ai 21 ans, je suis largement majeur et vacciné … et sauf erreur de ma part vous aussi …
Je lui tournais un peu autour sans le lâcher du regard …
Et puis … si jamais vous l'aviez dit, qu'est-ce que ça aurait fait ? Une arrestation ?
Je positionnais mes mains devant moi comme si mes poignets étaient liés par des menottes
_Mmmh ! Mettez-moi les menottes monsieur l'agent ! Ah moi que …
Je m'approchais du mur avant de me pencher légèrement en avant, les mains à plat contre le mur jambes légèrement écartée …
_ Allez-y, faites-moi une fouille au corps monsieur l'agent !!!
Je cambrais légèrement les fesses avant de remuer un peu le bassin en me mordant la lèvre inférieure pour finalement regarder le pion en lui faisant.
_ Petit indice c'est au fond à gauche
J'achevais ma provocation par un clin d'œil
Moi ? Un allumeur ? Je ne vois pas de quoi vous parlez !
« Hey, calme-toi quand même. »
Halala, quelle déception ce n'était qu'une vulgaire feinte …Et ça le fait rire en plus ! J'avoue ça me fait un peu chier, mais je ne vais certainement pas en démordre pour autant …je finissais de me savonner les mains et les rincer pendant que lui se les séchait … personnellement une fois finis je les agitais dans quelques coups secs afin d'enlever un maximum d'eau et de m'approcher du séchoir à mon tour. C'est à ce moment-là que le pion me fis fasse avant de me dire d'un ton autoritaire
« Tu sais que je pourrais dénoncer ton comportement si j'en avais envie ? »
Dommage il aurait presque pu être crédible s'il n'avait pas explosé de rire derrière …mais quoi qu'il en soit ça n'aurait pas été ça qui m'aurait déstabilisé.
Une fois les mains sèches et qu'il eut finis de se marré je lui répondais conservant ce même sourire provocateur.
_ Tout est dans le « si j'en avais envie » très cher. Sans compter qu'à côté de toutes les coucheries qui ont lieux aux quatre coins de l'académie et des dortoirs, ce n'est vraiment pas grand-chose …
Je lui fis face également
Et puis … j'ai 21 ans, je suis largement majeur et vacciné … et sauf erreur de ma part vous aussi …
Je lui tournais un peu autour sans le lâcher du regard …
Et puis … si jamais vous l'aviez dit, qu'est-ce que ça aurait fait ? Une arrestation ?
Je positionnais mes mains devant moi comme si mes poignets étaient liés par des menottes
_Mmmh ! Mettez-moi les menottes monsieur l'agent ! Ah moi que …
Je m'approchais du mur avant de me pencher légèrement en avant, les mains à plat contre le mur jambes légèrement écartée …
_ Allez-y, faites-moi une fouille au corps monsieur l'agent !!!
Je cambrais légèrement les fesses avant de remuer un peu le bassin en me mordant la lèvre inférieure pour finalement regarder le pion en lui faisant.
_ Petit indice c'est au fond à gauche
J'achevais ma provocation par un clin d'œil
Moi ? Un allumeur ? Je ne vois pas de quoi vous parlez !
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