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Escape to the town [pv Archibald]

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Message par Invité Sam 03 Juin 2017, 01:07

Il faisait beau aujourd’hui le temps était plutôt lourd et j’avais déjà été jeter ma veste en coup de vent dans ma chambre après une petite journée de cours, ça faisais quelque jours que j’étais à l’académie. Je ne sais pas si je m’y habituais ou pas, ou bien si c’était l’académie qui se faisais à moi tellement je passais de temps à me balader tel un fantôme dans tout les couloirs que je trouvais. Mes camarades de chambres étaient très sympathique, mais cinq dans une petite chambre c’était trop étouffant pour moi j’y restais le strict minimum et elles ne me voyaient que très peu. A vrai dire je ne voyais pas grand monde à l’académie je n’avais échangé pour le moment que de simple formule de politesse avec certaines personnes mais rien de transcendant.

A l’heure actuelle le soleil était déjà bien loin mais il faisait toujours clair, il était vingt deux heures quarante précise, et j’étais dans les jardins de l’académie fautes d’avoir trouver d’endroits plus calme, mais également comme toutes personnes j’aimais profiter du temps extérieur en soirée qui était doux et agréable. Les jardins de l’académie étaient très grand, variées d’une multitudes de plantes et fleurs tellement bien entretenu que cela me donnait envie d’attraper mon carnet pour les mettre sur papier, mais l’envie de marcher l’emporta et je continuais ma route en observant chacune de leurs couleurs. Une multitude de fleurs rose au parfum merveilleux m’attirait à elles, des pivoines, mes préférées selon moi les plus belles fleurs avec leurs multitudes de pétales en léger dégrader de rose pastel. Je les observais quelque minutes en les imprimant dans ma tête pour pouvoir les dessiner quand l’ennuie m’attraperais.

Je fini par passer mon chemin à la découverte des autres merveilles de ce jardin plutôt tranquille en cette fin de soirée, les plus jeunes avais déjà regagner leurs dortoirs ayant un couvre feu plus restreint que nous autres plus âgées, seul quelque personne était la installer sur des tables faites de bois à discuter en petits groupes. La bonne humeur régnait autours de moi et me donner presque envie de faire demi tours par peur de faire taches aux milieu de tout ce petit monde, mais après tout qu’avait il de mal à aimer la solitude ? Au moins j’évitais pour le moment en tout cas le moindre conflit gênant qui existe dans des pseudos amitiés.

J’attrapais dans mon sac à dos pendu à une épaule mon téléphone, je regardais rapidement les notifications peut nombreuses étant donner l’étendu de mon réseau cela n’était guère étonnant, j’attrapais également ma paire d’écouteurs que les lutins avait encore décider d’emmêler dans la poche du sac à dos. Je les branchais à mon téléphone et parcourais la liste de musique présent sur celui-ci, pour aujourd’hui sa sera Skillet pour me donner un peu de hargne.

Après avoir avancer aux rythme des musiques, j’arrivais aux grand portails ouvert grand de l’académie, je l’observais en fer forgés légèrement rouillés su quelque endroit il était clairement majestueux, et je ne me rappelle pas y avoir prêter attention lors de mon arrivé ici, j’observais aux delà de cette « frontières » et j’apercevais aux loin les lumières de la ville. Je n’avais encore jamais mit un pied en dehors de l’académie pourtant l’envie n’en manquais pas tellement le manque d’air se faisais ressentir. J’observais l’heure sur mon téléphone celui-ci indiquait très clairement vingt deux heures et cinquante huit minutes, le couvre feu était imminent mais les portes étaient elles encore grandes ouverte. Je jetais un regard circulaire, les élèves avaient tous déjà pliés bagages et surement tous retrouvés leurs chambres, mais moi j’étais toujours la planter aux milieu des grilles avec cette furieuse envie de juste partir de l’académie aux moins pour quelque heures, observer la ville mémoriser chaque nouveaux paysage de nuit que j’avais rarement eu l’occasion de faire avec nanny.

Je vidais ma tête pour quelque instant et pris une décision que peut être je regretterais plus tard ou bien pas du tout, je me mis en marche droite toute sans jeter le moindre regard derrière moi et franchis les grilles de l’académie et rien que ces petits pas gonflèrent mes poumons qui était jusqu'à présent oppressé.  Mes chaussures n’émettait pas le moindre sons sur le sol, mais ma tenu de l’académie ne pouvais en aucun cas se louper et je me maudissais de n’être pas rester quelque secondes supplémentaires dans la chambres pour me changer.
Tranquillement sans vouloir attirer l’attention je bifurquais à droite du portail et longeais tranquillement le mur de l’académie et puis je m’arrêtais un peu plus loin.

C’était bien j’étais sorti, j’étais libre pour peu de temps, mais je ne savais rien de cette petite ville, ni ou j’allais aller. Je m’appuyais contre le mur pour prendre le temps de réfléchir, la nuit était tombé mais je voyais plutôt bien devant moi, attacher à ma ceinture ma dague était bien la, mes cheveux était relevé en une queue de cheval plutôt haute laissant apparaître la marque des saphirs que je suppose Narok m’avais laisser comme cadeau de bienvenu et que j’avais mis une journée à remarquer. Je ne la cachais pas, j’étais contente d’être ici même si il me fallait un temps d’adaptation pour cela, c’était mon renouveau et j’avais l’intention de devenir plus forte, plus solide même si je garderais probablement mon coté sauvage avec les gens.

Il faudra admettre que la dague n’as pas choisi le meilleur porteur qu’il soit, c’est à dire totalement à l’opposer de sont pouvoir, mais j’en ferais bon usage, une idée arriva jusqu’a mon esprit, pour signifier mon arrivé ici et l’acceptation de mon pouvoir j’allais me faire un tatouage, ou comment et quand je n’en avais aucune idée, mais je pense que ce soir en flânant devant les vitrines même fermé je trouverais surement un endroit déjà pour élaborer mon projet.

Un coup de vent arriva faisant virevolter ma jupe et mes cheveux, les alentours de l’académie était plutôt glauque de nuit, j’écoutais d’habitude mon silence si apprécié avait ici des allures de film d’horreur, à vrai dire de nuit je n’étais pas la plus grande des courageuses, mais chaque passé laisse des séquelles, des défaut voici un des miens. Quelque bruit m’interpellèrent et je me blottis contre le mur de l’académie et j’écoutais plus attentivement.

Les avais-je imaginer ? ou c’était bien réelle mais que ce n’était que les bruits habituel ?
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Message par Invité Jeu 08 Juin 2017, 22:45



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De mes cinq sens c'est probablement mon odorat qui est le moins développer.
Carrément dysfonctionnel, détraqué à souhait. Pour tout dire, je ne sent presque jamais rien...
A moins qu'une odeur empeste l'air bien sûr ! A contrario je pense avoir bon goût.
J'ai dîner dans des centaines de restaurant, avec plus ou moins d'étoiles.
C'est un des légers avantage à être riche dirons nous. Mon bon goût ne s'arrête pas seulement à la nourriture. Je pense avoir goûter suffisamment de vin, de très bon vin pour vous dire que je n'aime pas le vin rouge, ni le blanc, pas même le rosé. Je préfère me cantonner au whisky et surtout à la bière. Savait vous que dans certains pays il existe parfois plus de 1000 bières différentes ?
C'est notamment le cas en Europe, surtout en Belgique.
Si j'ai bon goût en terme de nourriture, d'alcool, je pense aussi avoir bon goût pour ce qui est attrait aux femmes. Cela ne tient qu'a moi bien sûr !

Si je parle de mon nez, de ce que je sent c'est simplement parce que ce matin là c'est une odeur qui me fit ouvrir les yeux. J'ai eu mal. J'ai eu mal aux yeux, au crâne, partout dans mon corps.
Le fait de penser me faisait mal ! J'avais envie de mettre mon cerveaux en veille, déconnecter mon lobe cérébrale. A en croire par l'état de ma bouche : Pâteuse. Je couvais là une belle gueule de bois.

J'ai eu un mal fou à trouver mon pantalon et ma chemise en gardant les yeux fermé.
Je me suis cogner deux fois contre le lit et l'armoire, j'ai pesté contre ces derniers et j'ai filé hors de la chambre. Le loft que j'avais réservé via Airbnb ressemblé à une chambre d'hôtel.
La chambre était assez simple mais confortable. Je n'arrivait pas à deviner d'où pouvait bien venir cette odeur. j'étais sûr d'une chose : ça sent bon !

Je ne fût pas surpris de tomber face à Sam dans la cuisine du loft.
Il était habillé d'un costume bleu foncé, une chemise blanche et une cravate grise.
Ses cheveux blonds retombaient derrière sa nuque. Il se retourna, tout sourire en me montrant l'assiette. " Omelette façon SAM "  Entendez par là une omelette avec du bacon, des pommes de terre et du curry. BEAUCOUP de curry. Il m'invita à m'assoir à table, en face de lui.
Il me parlait mais j'étais trop occupé à massé mes tempes pour faire disparaître le tambours de guerre d'entre mes deux oreilles. Probablement mécontent de ma réaction il fit glisser une bière d'un bout de la table jusqu'à ma partie.

" Tu as passer une bonne soirée ? "

C'était clairement un piège.
Si je lui répondais oui il allait probablement ouvrir la bière et me forcer à la boire.
Si je lui répondais non, il allait probablement ouvrir la bière et me forcer à la boire.
J'avais toujours aussi mal au crâne et boire une goûte d'alcool supplémentaire m'aurait permis de cocher la case " Cirrhose  du foie " et peut être " Alcoolique " aussi.

- J'ai passé la soirée dans un bar,  j'arrivais pas à écrire.

Il découpa l'omelette en deux et m'en servis une part. Il remplis mon verre d'eau minérale puis attaqua son assiette. Je me sentais un peu nul d'avoir passer la soirée dans ce bar plutôt que décrire sur mon livre. Ça as toujours était le rêve de Sam d'être écrivain. Après tout ce qui s'était passé je lui devais bien ça. Je m'excuserais à la fin du repas, peut être.

" Qui était cette fille ? "


Je ne savais pas de quelle fille il voulait parler. S'il voulait parler de la jolie nana avec qui j'ai passé une partie de la nuit. Je ne me souvenais plus assez de chose pour en parler sans passer pour un alcoolique de bas étage qui rencontre des gens et ne s'en rappelle plus. Et je ne voulais pas lui en parler ! Ses cheveux étaient blanc, TOUT blanc. Comme sa peau, comme tout ce que je me souvenais. UN GRAND BLANC dans ma mémoire. Je savais seulement à ce moment là que j'avais passé une soirée agréable, sans SAM et c'était rare. Je ne lui répondis pas, trop occupé à manger, trop occupé à me souvenir de la nuit dernière.


" Une de plus... bref ! Tu es déjà en retard pour ta première journée de boulot, file ! je suis sûr que tu vas être super ! "


J'avais envie de lui jeter mon verre d'eau à la figure, seulement il était vide.
J'avais envie de lui faire bouffer sa fourchette, son assiette et la table aussi, pourquoi pas ?
Si j'avais accepter d'entre à l'académie en temps que professeur c'était uniquement pour lui faire plaisir. Je m'en fout de donner des cours à des gamins, je m'en fout d'apprendre aux autres comment rédiger des bouquins. J'arrive même pas à finir mon dernier livre ! Je m'en fout de ces gosses " Particuliers " Je m'en fout, mais je devais le faire. Je lui devais bien ça...

J'ai pris une douche, j'ai  enfilé une chemise propre, une cravate et un pantalon sombre.
J'ai ensuite pris un taxi pour rejoindre l'académie. J'étais en retard et j'avais encore des vapeurs d'alcool. J'avais surtout mal au crâne. Mais il y avait une chose que je n'avais pas : La motivation.

Arrivé au secrétariat je me suis présenter. On me fît entrer dans un petit bureau pour y remplir toute une série de document. Notamment un contrat de travaille, des closes de non divulgation.
Un homme fort intelligent m'a un jour appris à ne jamais rien signer sans avoir d'abord lu les documents. J'ai donc naturellement lu tout les documents. J'étais déjà en retard mais lorsque j'eu fini mes corvées midi sonné. J'ai pris un café à la salle des profs. Rencontrés quelques surveillants et membres du personnel. J'avais surtout encore mal au crâne et pas envie de me faire des amies.

Je savais que je ne pourrais pas donner cour à un grand nombre d'élèves. Premièrement parce que ça allait me gonfler d'avoir autant de gens à gérer. Ce n'était tout simplement pas fait pour moi.
Mais surtout parce que je ne voulais pas que ces gamins viennent de force à mes cours.
Après avoir passer le restant de la journée dans ce qu'ils  appellent les archives à lire les dossiers de TOUT les élèves. J'avais une plus nette idée de ce que je souhaitais faire ici...
Premièrement je souhaitais me barrer, mais je voulais surtout faire plaisir à SAM.

Je suis rester encore quelques heures dans cette pièce, éclairé par une simple lumière au plafond.
si quelqu'un était entrer sans frapper il n'aurait pût me voir, caché derrière toutes ces piles de boites.
J'ai commencer à rédiger mon programme scolaire, pour cette année.

Il était près de vingt trois heures et j'avais suffisamment travailler pour aujourd'hui.
Je ne voulais pas rentrer trop tard, j'avais encore un livre à écrire après tout.
lorsque je sortis il faisait froid, l'école était déserte. Je me souvenu à cet instant qu'il y avait une sorte de couvre-feux durant laquelle les élèves n'avaient le droit de sortir de l'établissement.
Sortant mon smartphone de ma poche : 23h00. Le couvre-feux commença.
Alors que je m'apparaîtrais à sortir de l'académie et me commander un taxi. je vit une fille s'éclipser.
J'allais la suivre, j'avais pas spécialement de raison de le faire. Mais je m'appelle Archibald Azarov et je n'ai pas besoin de raison pour faire les choses. De plus, le peu de lumière ambiant m'avait montré de dos une jolie femme, une jolie paire de fesse. What else ?

What else ? Et bien peut être que suivre une élève qui sort en cachette de l'académie n'est pas une bonne idée ? What else ? Peut être que je vais passer pour un type étrange ou qu'elle va carrément flipper. Mais je le fais quand même, merde. J'ai finalement décidé d'aller lui parler.
Debout face aux bandes blanches dessinée sur la route. elle attendait que le petit bonhomme rouge soit de meilleur humeur et devienne vert. Sam aurait été content de moi, j'allais enfin parler à quelqu'un. En plus j'étais sobre...

- Bonjour, enfin... bonsoir ! Tu ne devrais pas être dans ta chambre à cette heure là ?



““Avec les femmes est-on jamais sûr ?””


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Message par Invité Ven 09 Juin 2017, 00:32

J’avais attendu quelque instant collé à mon mur attendant de voir arriver je ne sais quoi ? Un monstre ? Une autres sombres créatures tirés droit de mes délires imaginaires, je pense que oui. Rassurés je laissais retomber mon bras qui avais agrippé de toute mes forces ma dague, au cas ou, comme-ci de toute façons j’aurais pu me battre alors que rien de tout ça n’aurais été possible.

Laissant dans un coin de ma tête mes courtes divagations, je me redressais et observais les alentours, autant dire pas grand chose, une grande route abimé, ou les peintures sur le goudrons était effacer à certains endroits, et puis un feux pour pétions lui aussi en sale état et puis surtout vieux, je m’en approchais tranquillement observant toujours autours de moi. Arrivé à la hauteur de celui ci je le regardais de plus prêt aucun bouton pour signaler que je voulais passer alors il me faudrait attendre, bien que la route n’était pas particulièrement passante je préférais attendre gentiment avant de traversé ne tenant pas particulièrement à me faire écraser par une voiture mal éclairer. Le petit bonhomme en face de moi était rouge et me narguais comme pour me dire tu ne passera pas. Attendant que celui-ci passe au vert je sortais mon téléphone, et je me mit à parcourir mes applications, messages aucun nouveau message, mail aucun nouveau mail, il faut dire que mon cercle social manquait de personnalité. J’entrepris d’ouvrir l’application photo, celle-ci était plus débordante que tout mes messages réunit et j’observais les photos, des fleurs prises dans un parc, des dessins que j’avais réalisé mais que j’avais laisser chez Nanny, des tonnes de tatouages pour m’en inspirer pour le miens, et puis Nanny ce petit bout de bonne femme aussi grande que moi, cheveux poivre et sel couper en carré, et ses lunettes très rétro que j’adorais lui piquer étant gamines pour jour à la maitresse. Elle me manquait, je n’avais pas pu encore lui téléphone depuis mon arrivé il faut dire qu’elle répondait rarement aux téléphones et qu’on c’était louper souvent.

Je relevais les yeux et regardais le bonhomme toujours aucune trace de vert et toujours ce même bonhomme rouge insolent, je soupirais était il passer au vert et je l’avais louper ? J’envisageais de traverser quand une voix sorti de nul part me fis sursauter. C’était une voix masculine, et je n’aimais pas beaucoup ça.

« Bonjour, enfin... bonsoir ! Tu ne devrais pas être dans ta chambre à cette heure là ? »

Je pris comme une douche froide d’un coup, pour savoir que j’étais élève ici ce n’était pas bien compliqué et pour savoir l’heure du couvre feu c’était soit un surveillant soit un professeur, ou autre personne travaillant ici. Je ne répondis pas de suite, je réfléchissais en me retournant tranquillement.

L’homme en question était maintenant face à moi, en comparant rapidement je remarqua qu’il n’était pas beaucoup plus grand que moi, je l’observa plus dans le détails, il était jeune, pas aussi jeune que moi mais il n’avais pas non plus la trentaine, sont teint pâle faisais clairement concurrence aux miens et ses grand yeux vert détonnais avec cette pâleur. Habillé d’un pantalon et d’une chemise il ressemblait clairement plus à un prof, cela dit je ne l’avais jamais croisé ici à l’académie pour le moment.

Je restais méfiante et je ne bougea pas d’un pouce gardant fermement mon téléphone à la main, mentalement je me maudissais, une même  temps qui aurais je pu appeler ? Je me détendis lorsque je compris que finalement il sortait du même endroit que moi en ayant imaginer le trajet qu’il avait réalisé, peut être qu’il m’avait vue et suivit pour me prendre sur le fait, cela dis il semblerait que je sois cuite. je n’avais aucune idée des sanctions de l’académie mais j’avais moyennement envie de me faire fiché à peine arriver.

« Et bien le couvre feu ce n’est pas minuit ? »

Plus grosse comédienne je pense que ce n’est pas possible, je feignis l’étonnement en regardant l’heure sur mon portable comme pour vérifié, mais je savais pertinemment que la semaine c’était vingt trois heure pétantes. Je pris un air un peu paniqué pour montrer que je ne savais  vraiment pas mais je n’étais pas totalement convaincu moi même par mes capacités de comédie.

« Excusez moi … Mais qui êtes vous je ne vous connais pas ? »

Je le regardais dans les yeux sans lâcher ses yeux vert et attendant sa réponse. Que faire maintenant est ce que je détalais sans me retourner ? Mauvaise idée si il court plus vite que moi. Mais en même temps si j’arrive à le semer il ne connait pas ni mon nom ni mon prénom sa pouvais se tenter quand même. j’avançais d’abord finalement vers lui doucement pour faire mine d'écouter ça réponse et sans crier gare je passais à coté de lui si prêt que j’aurais pu le frôler et je tenta de m’échappa en courant.

Réaction stupide, je valide à cent pour cent même, d’ailleurs je n’avais jamais eu ce genre d’habitude et je ne savais pas ou ce grain de folie allais m’emmener.
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Message par Invité Mar 13 Juin 2017, 00:13



J'étais fatigué. Du moins je devais l'être... j'avais passé une étrange nuit bien trop courte. A mon réveille Sam était plus que bizarre. Carrément étrange, je ne l'avais jamais vu aussi calme et si peu curieux. J'étais surtout fatigué car j'avais passer la journée à remplir et à lire des documents, principalement des dossier d'élèves. J'avais perdu l'habitude de toutes ces paperasses inutiles...

J'étais fatigué et je m'en suis rendu compte lorsque cette fille essaya de me parler.
Je n'avais absolument rien biter de ce qu'elle m'a dis sur le moment. Rien compris !
Le charabia de cette fille devait probablement former des mots et ces mots des phrases.
Ces phrases devaient probablement avoir un sens. Mais un sens qui m'échappé complètement.
Je passais à côté d'informations importantes, j'en étais sûr...
J'avais envie d'avaler des comprimés d'Anexia, j'aurait mieux compris après ça...
Mais il en étais hors de questions ! Premièrement parce que cette fille était élève dans l'établissement dans lequelle j'allais donner cours. Inutile de me forger si tôt une réputation de drogué aux antidouleurs. Inutile non plus de fâcher d'avantage Sam qui n'approuve pas du tout ma tendance à l'automédication. Et puis surtout parce qu'avant de décider si oui ou non je devais sortir ma boîte de comprimé. Boîte qui se trouvé dans la poche droite de mon pantalon. Elle avait filé !
Elle était passé à côté de moi... Trop lent pour réagir, trop lent pour l'empêcher, trop lent pour la voir partir ! j'avais le cerveaux totalement engourdie...

Heureusement pour moi, mes jambes, elles n'étaient pas du tout engourdies.
Bien au contraire ! je me sentais capable de lui courir après. j'arriverais sûrement à la rattraper rapidement et à l'arrêter. Seulement je n'avais aucune idée de ce que je ferais une fois la mission accomplis. Comme je n'avais pas vraiment le temps de mettre mon cerveau-lent en marche.
Je me mis à lui courir après. Bien décidé à trouver une suite logique à tout ça avant de l'arrêter.

Le dilemme était le suivant : Je devais arrêter cette fille, lui faire comprendre que je n'étais ni une menace pour elle ni pour personne d'autre. Je devais l'arrêter sans la mettre en danger ni me mettre en danger. Je ne devais pas la perdre d vue non plus ! En france par exemple il y a un viole toute les quarante minutes. S'il devait lui arriver quelque chose je m'en tiendrais responsable. Et après enquête j'en serais probablement tenue responsable aussi.

Elle n'avait pas l'air très sportive quand je l'avais aperçu la première fois. Elle avait l'air bien plus sportive lorsqu'elle me mit une bonne trentaines de mètres dans la vue. Les rues étaient désertes et heureusement pour nous il n'y avait personne à bousculer sur les trottoirs.  Elle traversa la route en manquant de se faire écraser par un taxi, qui la klaxonna. J'avais envie de lui crier Ô combien elle était stupide, voir carrément connasse de se mettre autant en danger. Alors que je ne représenter par de réelle menace. C'est vrai quoi ! Je voulais seulement lui mettre un savon car après tout j'allais peut être son prof. Et qu'un prof ça met des savons non ?

Elle piqua sur la droite à travers une ruelle étroite. Je manquais de la rater et de passer devant la fameuse ruelle sans la voir. Elle traversa une autre route sans regarder ni à droite ni à gauche.
J'accélérer le pas, j'avais réellement peur que cette course poursuite stupide la mette en danger.

Vloum.


C'était le bruit de ma anche contre le capot du vielle Ford verte-rouille.
Honnêtement ça faisais un mal de chien.... J'avais envie de me lever et d'exploser la tête du conducteur contre ce même capot qui m'avait probablement casser quelque chose.
J'avais envie de courir après cette fille et me transformer en tueur en série.
Sans la série, je ne voulais tuer que elle. Mais c'était de ma faute... j'avais ni regarder à droite, ni à gauche. PUTAIN ! Je fais vraiment n'importe quoi quand SAM n'est pas avec moi...
J'eu envie de vomir. Le conducteur m'aida à me mettre debout, me demandant s'il voulait que j'appelle les secours ou les pompiers. Je lui fit signe que non.
J'avais trop mal pour parler, alors j'ai hurler... Simplement hurler " Casse toi connard "

J'ai laisser tomber l'idée de poursuivre la nana. De toute façon j'arrivais à peine à poser un pied devant l'autre sans vaciller d'un côté ou de l'autre en manquant de me vautrer sur le trottoir.
Je me suis aider des murs pour avancer jusqu'a un petit banc où j'ai déposer ma carcasse.
J'ai sortit une boite de pillule blanche et j'ai avaler ma dose d'Anexia, fois deux.



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Message par Invité Sam 17 Juin 2017, 23:07

Je courais, ma jupe volait, ma dague me gênais car elle était mal accrocher autours de ma taille mais je courais sans même savoir ou j’allais aller maintenant que j’étais partie lâchement. Tournant la tête à l’arrière pour regarder, je voyais le garçon me courir après, et je manquais de m’étaler sur un obstacle avant de reprendre ma course. J’avais mal à la George j’étais mal entrainer pour courir comme ça de plus la tenu n’était pas adapté. Je regardais devant moi parcourant à toute vitesse les possibilités pour m‘en sortir.
Je ne l’entendais pas courir derrière moi et je supposais simplement qu’il devait être un peu plu loin que moi, et que je le distançais facilement. Sans réfléchir pour le perdre je traversais la route quand j’aperçus des feux de voitures et je fonça plus vite, j’avais bien failli me faire écraser et le taxi m’avais raser de très prêt. Légèrement contrarié je reprenais ma course pour ne pas me faire attraper en essayant de ne pas penser à ma pointe de coté qui se faisais sentir.

Du coin de l’oeil j’observais une sombre et étroite ruelle qui ne donnait envie à personne d’y passer mais je tournais à droite et fonçais dedans sans regarder derrière moi, peut être que justement si je n’y mettrais pas un pied de base il ne penserait pas à venir regarder si je suis la.

Je ralentissais légèrement en espérant que ma théorie fonctionnerais, mais je vis une silhouette arriver en courant et j’en déduisais que c’était forcement mon poursuivant. Alors je repris mes jambes à mon coup et m’enfonçait au plus loin dans la ruelle qui déboucha sur une route je la traversais en priant le ciel mentalement qu’aucune voiture ne passe sa serait stupide pour une simple fugue.
Je la traversais sans aucune encombre, et je souriais intérieurement d’avoir été sauver.

Un bruit de pneu freinant brusquement et le bruit d’un choc me fis arrêter de courir, je m’arrêtais net les yeux écarquiller n’osant pas me retourner et je priais que ce ne soit pas ce pauvre garçon qui m’avais suivit. Lentement je tournais ma tête et on bassin afin d’observer.  Je ne voyais qu’une vieille voiture d’un vert absolument atroce, et un chauffeur qui se précipitait hors de sa voiture.
Mon sang ne fis qu’un tours et je me retournais complètement afin d’observer et de savoir.
Je voyais le chauffeur s’activer et aider quelqu’un et quand je le vis aider à relever la personne à terre, c’est comme ci le ciel me tombait déçu.

Je regardais le jeune homme extrêmement énerver partir, et boiter ou quelque chose dans se genre difficilement en tâtonnant sur les murs, pour rejoindre un vieux banc délabré.
Je le regardais du trottoir d’en face, et comme tout ceci était de ma faute je me dirigeais lentement et discrètement vers lui, je traversais la rue en faisans très attention autours de moi ne voulant pas subir le même sort

Je m’approchais du banc et je m’installa à l’autre bout de celui-ci au plus loin possible de lui. Je le regardais il était dans un sale état et semblait souffrir, il sorti une boite de cachet et en avalait deux. Je n’osais pas l’aborder et je n’avais aucune idée de si il savait que j’étais assise à cote de lui. Que faire je ne savais pas quoi lui dire, ni qui il était.

« Vous … Vous allez bien ? »

Je le regardais avec un regard pleins de compassion, je m’en voulais énormément et je ne pouvais rien faire, fallait t’il que je l’emmène à l’hôpital.
Je sorti mon téléphone et je chercha un hôpital au plus prêt avant toutes choses.

« Si vous voulez, on peux aller à l’hôpital ? si on appelle les secouristes ? »

Je ne le voyais pas répondre plus que ça, alors je reprenais.

« Je suis .. désolé, tout ça est de ma faute, j’ai juste eu peur, … je ne vous connais pas »
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Message par Invité Lun 02 Oct 2017, 13:20



« Vous … Vous allez bien ? »

C'était une question simple pourtant je ne savais pas quoi répondre.
La vérité c'est que oui ça va, j'ai mal mais je n'ai sûrement rien de casser sans quoi je ne pourrais pas marcher. Je vais sûrement avoir mal quelques semaines, avec un beau hématomes en prime.
Cette question on l'entends tout les jours... Ont a tous déjà croisé un type vaguement familier qui vous serre la main en vous demandant « ça va ? » C'est alors que le chronomètre se lance.
Vous avez moins de deux, peut être trois secondes pour lui dire que ça va et lui renvoyer sa question. Ce a quoi il répondra que ça va aussi. Puis il partira.
Interaction sociale ridicule, rapide et sans importance.  Le genre de chose qui personnellement me gonfle grave. Mais là, c'était une réelle question à laquelle je pouvais répondre non.
Non ça ne va pas, je me retrouve en Angleterre, dans une école alors que j'en ai rien à faire.
Je me retrouve à poursuivre une fille, de nuit et à me faire renverser par une voiture.
Non, ça c'est la crème du gâteau, ce n'est pas ça qui cloche.

Je n'ai pas de lien familial, je n'ai pas d'ami. La seule personne avec qui j'ai des relations social c'est un spectre, un fantôme du passé que seul moi peut voire. C'est ma bonne conscience, c'est le petit ange sur mon épaule et moi... et moi je suis le petit diable tout court.
Je passe mon temps à m'auto-détruire sans aucune raison, juste parce que je ne suis pas bien, juste parce que, juste parce que, juste parce que... j'en sais rien, merde !


«  Je vais bien merci »

Elle a commencé à sortir son téléphone et je me suis dis que l'histoire ne pouvait que mal se finir
J'ai fais un effort, j'ai traîné ma patte jusqu'à l'autre bout du banc, m'approcher d'elle.
Pas de secours, pas de secouriste, pas d'hôpital. Il manquerais plus que je vois un psy..
Je finirais en centre psy'.... il faut seulement que je fasse comme si j'étais Sam.
Sam sait toujours quoi dire, quoi faire.. Avec Sam tout vas mieux.


« Je suis navré si je t'ai fais peur, je ne pensais pas à mal. On sais tout les deux pourquoi tu es partie en courant, après je pense que c'est flippant qu'un mec te cours après.
Je suis Mr. Azarov Archibald, Je suis un nouvelle enseignant de ton école »


Je suis vraiment pas doué pour ce genre de chose...

« J'ai... j'ai besoin de prendre un café, veux tu m'accompagner ? Je te ramène après »

““Avec les femmes est-on jamais sûr ?””


Source du code : Skaemp <3


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