Plongée dans un nouveau monde [Libre]
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Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Après un long et difficile voyage, j'arrive enfin devant l'académie Tsuki. Mais c'est immense ! Comment je vais faire pour pas me perdre moi ! Mon sac commence à peser sur mes épaules, les lanières de mon carquois contenant mes flèches et mon arc s’emmêlent avec les bretelles du sac, frottant ainsi contre mon cou. Ce contact me faisant grimacer, je décide de ne pas attendre plus longtemps avant d'entrer. Je respire un grand coup et pousse la lourde porte. Lorsque celle-ci se referme, je commence à me sentir mal. En effet, il y a beaucoup de monde dans cette pièce qui ressemble à un hall. Personne ne semble là pour m’accueillir.
Je décide de me placer dans le coin le moins fréquenté de la pièce avant de ma mettre à paniquer. Personne ne semble me prêter attention, c'est déjà ça. Enfin, si quelqu'un pouvait m'indiquer mon chemin se serait bien quand même. Je dépose mon sac à mes pieds et fouille dans la poche ventrale de mon sweat afin d'en sortir la lettre toute froissée : "L'académie Tsuki vous invite à venir dans son établissement afin de vous permettre d'améliorer votre pouvoir en compagnie de jeunes gens qui vous sont semblables. Vous serez accueillie au sein de la maison saphir." Et c'est tout ! Ça m'aide pas vraiment !
Je me sens de plus en plus mal, mon cœur fait des bonds dans ma poitrine. Il faut que je sorte d'ici ! Mais si je sors, personne ne pourra m'aider. Il faut que je trouve mon dortoir. Est-ce que j'en ai un au moins ? Où il faut que j'aille demander ? Argh, je n'en sais rien. J'ai jamais été en internet, ni même à l'école. Je faisais cours à la maison. Et après, je nous ais instruit, moi et mon frère, à l'aide de livres. J'essaie de respirer plus lentement afin de calmer mon cœur et pouvoir réfléchir. C'est pour ce genre de moments qu'elle ne voulais pas quitter Kénan. Lui il aurait su comment faire, il aurait été demandé, avec sa confiance habituelle
Oui mais Kénan n'est pas là ! Il faut donc que que je me débrouille toute seule. Je lève les yeux vers les autres personnes. Certaines sont habillées de l'uniforme de Tsuki, et d'autres non. Je repère accroché sur le cœur de plusieurs d'entre eux le mystérieux symbole présent sur ma lettre, de différentes couleurs. Mais à quoi cela correspond ? Je ne me sens vraiment pas bien, effrayée d'être au milieu de tant de gens, et donc de tant d'ennemis potentiels, au bord des larmes pour avoir pensé à Kénan qui me manquais cruellement, et totalement perdue. Je reste donc plantée là comme une idiote, les sentiments qui m'animent devant sûrement se lire sur mon visage.
Je décide de me placer dans le coin le moins fréquenté de la pièce avant de ma mettre à paniquer. Personne ne semble me prêter attention, c'est déjà ça. Enfin, si quelqu'un pouvait m'indiquer mon chemin se serait bien quand même. Je dépose mon sac à mes pieds et fouille dans la poche ventrale de mon sweat afin d'en sortir la lettre toute froissée : "L'académie Tsuki vous invite à venir dans son établissement afin de vous permettre d'améliorer votre pouvoir en compagnie de jeunes gens qui vous sont semblables. Vous serez accueillie au sein de la maison saphir." Et c'est tout ! Ça m'aide pas vraiment !
Je me sens de plus en plus mal, mon cœur fait des bonds dans ma poitrine. Il faut que je sorte d'ici ! Mais si je sors, personne ne pourra m'aider. Il faut que je trouve mon dortoir. Est-ce que j'en ai un au moins ? Où il faut que j'aille demander ? Argh, je n'en sais rien. J'ai jamais été en internet, ni même à l'école. Je faisais cours à la maison. Et après, je nous ais instruit, moi et mon frère, à l'aide de livres. J'essaie de respirer plus lentement afin de calmer mon cœur et pouvoir réfléchir. C'est pour ce genre de moments qu'elle ne voulais pas quitter Kénan. Lui il aurait su comment faire, il aurait été demandé, avec sa confiance habituelle
Oui mais Kénan n'est pas là ! Il faut donc que que je me débrouille toute seule. Je lève les yeux vers les autres personnes. Certaines sont habillées de l'uniforme de Tsuki, et d'autres non. Je repère accroché sur le cœur de plusieurs d'entre eux le mystérieux symbole présent sur ma lettre, de différentes couleurs. Mais à quoi cela correspond ? Je ne me sens vraiment pas bien, effrayée d'être au milieu de tant de gens, et donc de tant d'ennemis potentiels, au bord des larmes pour avoir pensé à Kénan qui me manquais cruellement, et totalement perdue. Je reste donc plantée là comme une idiote, les sentiments qui m'animent devant sûrement se lire sur mon visage.
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Journal de recensement des données. Lieu : École Tsuki
Jour 3 : il est plus difficile que je ne l’imaginais pour récolter des données, sans pour autant attirer la méfiance des autres. J’ai décidé de créer une annexe, afin d’y recenser les pouvoirs rencontrés, et les informations ce que j’ai réussi à en tirer. Malheureusement, les contre -
Tandis que j’écrivais, je fus interrompu par le bruit de l’ouverture de la porte d'entrée du hall. Cela ne fait que quelques jours que je suis a Tsuki, et n’ai pas eu le temps de visiter l’école. Le hall est pour le moment un endroit très vivant, et la vue sur certaines étudiantes est pas mal… Hum.
Je venais de me perdre dans mes pensées, en oubliant totalement de continuer d’écrire, je décidai donc de fermer mon journal, le mettant dans ma sacoche, puis après un étirement du feu de dieu, je vis la cause de cette interruption.
Une jeune fille, avec des cheveux si longs, et sublime… J’avais du mal à détacher le regard de ceux-ci, tant j’en appréciais la vue. J’allais presque partir, avec cette belle image en tête, mais un élément, plus important que ses cheveux me fit rester. Elle avait un carquois, et un arc autour d’elle. Cet élément m’était important, car je pouvais mettre la main sur un nouveau pouvoir à renseigner.
La fille alla se mettre dans un coin, avant de souffler un grandv coup, puis de lire, je ne sais quoi. Ce qu’elle portait semblait lui faire du tort, elle commençait à fatiguer avec tout ce poids. Elle fit un soupir après avoir lu son document, et elle semblait de plus en plus perdue et stressée, à chaque seconde passée.
Aller lui parler ne m'enchantait pas, bien que je n’y voyais pas d'inconvénient. Mais recueillir des informations sur son pouvoir, surement sur son arc, était essentiel. J’avançai alors vers elle, légèrement souriant, puis entra dans le vif du sujet.
- Hep, excuse moi petite blonde, mais on n'a pas le droit aux armes ici. Alors… Je ne sais pas comment ça se passe, soit-tu le fait disparaître par magie ou je ne sais quoi, soit t’a une autorisation spéciale ?
J’avais bien agi, ainsi, elle allait soit utiliser son pouvoir, voir m’en parler, soit me montrer sa feuille, et ainsi, j’aurais possiblement la aussi des informations. Néanmoins, la jeune blonde paraissait surprise, et cela n’avait pas l’air de l’enchanter que je vins lui parler. Afin de concrétiser mon approche, je repris la parole.
- Désolé pour cette interruption, et si je t’ai fait peur. Moi s’est Quiet. Quiet Arcwind. Enchanté de faire ta connaissance.
Je fis alors une légère révérence, moins gracieuse que d’habitude, mais plus longue cependant. Une fois celle-ci terminé, je mis alors mes deux mains derrière ma tête, entrelaçant mes doigts, puis fixa la nouvelle venue.
Durant un instant, je me rendis compte d’une chose. Si elle a un arc, et des flèches… Elle doit avoir l’œil bien ajusté, et si qui plus est, elle est rapide, je… Je viens de m’exposer comme un idiot. Je dois me sortir de là en finesse, tout en continuant de lui parler.
Jour 3 : il est plus difficile que je ne l’imaginais pour récolter des données, sans pour autant attirer la méfiance des autres. J’ai décidé de créer une annexe, afin d’y recenser les pouvoirs rencontrés, et les informations ce que j’ai réussi à en tirer. Malheureusement, les contre -
Tandis que j’écrivais, je fus interrompu par le bruit de l’ouverture de la porte d'entrée du hall. Cela ne fait que quelques jours que je suis a Tsuki, et n’ai pas eu le temps de visiter l’école. Le hall est pour le moment un endroit très vivant, et la vue sur certaines étudiantes est pas mal… Hum.
Je venais de me perdre dans mes pensées, en oubliant totalement de continuer d’écrire, je décidai donc de fermer mon journal, le mettant dans ma sacoche, puis après un étirement du feu de dieu, je vis la cause de cette interruption.
Une jeune fille, avec des cheveux si longs, et sublime… J’avais du mal à détacher le regard de ceux-ci, tant j’en appréciais la vue. J’allais presque partir, avec cette belle image en tête, mais un élément, plus important que ses cheveux me fit rester. Elle avait un carquois, et un arc autour d’elle. Cet élément m’était important, car je pouvais mettre la main sur un nouveau pouvoir à renseigner.
La fille alla se mettre dans un coin, avant de souffler un grandv coup, puis de lire, je ne sais quoi. Ce qu’elle portait semblait lui faire du tort, elle commençait à fatiguer avec tout ce poids. Elle fit un soupir après avoir lu son document, et elle semblait de plus en plus perdue et stressée, à chaque seconde passée.
Aller lui parler ne m'enchantait pas, bien que je n’y voyais pas d'inconvénient. Mais recueillir des informations sur son pouvoir, surement sur son arc, était essentiel. J’avançai alors vers elle, légèrement souriant, puis entra dans le vif du sujet.
- Hep, excuse moi petite blonde, mais on n'a pas le droit aux armes ici. Alors… Je ne sais pas comment ça se passe, soit-tu le fait disparaître par magie ou je ne sais quoi, soit t’a une autorisation spéciale ?
J’avais bien agi, ainsi, elle allait soit utiliser son pouvoir, voir m’en parler, soit me montrer sa feuille, et ainsi, j’aurais possiblement la aussi des informations. Néanmoins, la jeune blonde paraissait surprise, et cela n’avait pas l’air de l’enchanter que je vins lui parler. Afin de concrétiser mon approche, je repris la parole.
- Désolé pour cette interruption, et si je t’ai fait peur. Moi s’est Quiet. Quiet Arcwind. Enchanté de faire ta connaissance.
Je fis alors une légère révérence, moins gracieuse que d’habitude, mais plus longue cependant. Une fois celle-ci terminé, je mis alors mes deux mains derrière ma tête, entrelaçant mes doigts, puis fixa la nouvelle venue.
Durant un instant, je me rendis compte d’une chose. Si elle a un arc, et des flèches… Elle doit avoir l’œil bien ajusté, et si qui plus est, elle est rapide, je… Je viens de m’exposer comme un idiot. Je dois me sortir de là en finesse, tout en continuant de lui parler.
Je me sent comme un oiseau, tentant d'approcher des miettes de pain, avec un sniper qui me vise.
Dernière édition par Quiet Arcwind le Ven 23 Juin 2017, 01:54, édité 2 fois
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
J'en étais la de mes réflexions quand un garçon devant faire au moins une tête de plus que moi s'approcha. Peut-être qu'il allait pouvoir m'aider ? En le voyant s'approcher encore plus, je recule de deux pas, méfiante. Je n'aime vraiment pas que l'on s'approche ainsi de moi. Il pris la parole :
- Hep, excuse moi petite blonde, mais on n'a pas le droit aux armes ici. Alors… Je ne sais pas comment ça se passe, soit-tu le fait disparaître par magie ou je ne sais quoi, soit t’a une autorisation spéciale ?
Que répondre ? Je tentais de reculer encore un peu, mal à l'aise, mais sentis le mur dans mon dos. Mince ! J'étais coincée ! J'avais deux options : répondre, ou sortir Fialinn et me sortir de là. Gwendoline reprends toi ! Si tu blesse un élève dès le premier jour, tu vas te faire exclure, et adieux la sécurité relative promse par cet endroit. Le garçon semble se rendre compte de ma gène, il reprends la parole :
- Désolé pour cette interruption, et si je t’ai fait peur. Moi s’est Quiet. Quiet Arcwind. Enchanté de faire ta connaissance..
Je détaille le garçon du regard : il est très grand, avec des cheveux noirs contrastants avec sa peau blanche. Et ses yeux bleus me font penser à Kénan. Je ne sais pas pourquoi, cela me rassura. Un petit sourire naquit sur mon visage à la pensée de mon petit frère. De plus, ce garçon étais manifestement un élève, et vu la façon dont il se comportait, il n'avais pas l'air bien agressif Je lui répond alors d'une toute petite voix :
-B...b...bonjour, je m'appelle Gwendoline. Gwendoline Arget. Enchantée. Je suis nouvelle ici, je n'étais pas au courant que les armes étaient interdites. Mais je pense que c'est bon si je dépose mes flèches et que je ne garde que mes hampes vierges.N'est-ce pas ?
Je n'évoquais pas ma petite dague de toute façon invisible dans ma botte, de peur qu'on me la prenne. Cette dague, c'était mon ancre. Sentir son poids à mon pied me rassurais et je ne suis pas capable de m'en séparer. Même si je ne m'en sers quasiment jamais.
- Hep, excuse moi petite blonde, mais on n'a pas le droit aux armes ici. Alors… Je ne sais pas comment ça se passe, soit-tu le fait disparaître par magie ou je ne sais quoi, soit t’a une autorisation spéciale ?
Que répondre ? Je tentais de reculer encore un peu, mal à l'aise, mais sentis le mur dans mon dos. Mince ! J'étais coincée ! J'avais deux options : répondre, ou sortir Fialinn et me sortir de là. Gwendoline reprends toi ! Si tu blesse un élève dès le premier jour, tu vas te faire exclure, et adieux la sécurité relative promse par cet endroit. Le garçon semble se rendre compte de ma gène, il reprends la parole :
- Désolé pour cette interruption, et si je t’ai fait peur. Moi s’est Quiet. Quiet Arcwind. Enchanté de faire ta connaissance..
Je détaille le garçon du regard : il est très grand, avec des cheveux noirs contrastants avec sa peau blanche. Et ses yeux bleus me font penser à Kénan. Je ne sais pas pourquoi, cela me rassura. Un petit sourire naquit sur mon visage à la pensée de mon petit frère. De plus, ce garçon étais manifestement un élève, et vu la façon dont il se comportait, il n'avais pas l'air bien agressif Je lui répond alors d'une toute petite voix :
-B...b...bonjour, je m'appelle Gwendoline. Gwendoline Arget. Enchantée. Je suis nouvelle ici, je n'étais pas au courant que les armes étaient interdites. Mais je pense que c'est bon si je dépose mes flèches et que je ne garde que mes hampes vierges.N'est-ce pas ?
Je n'évoquais pas ma petite dague de toute façon invisible dans ma botte, de peur qu'on me la prenne. Cette dague, c'était mon ancre. Sentir son poids à mon pied me rassurais et je ne suis pas capable de m'en séparer. Même si je ne m'en sers quasiment jamais.
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Bien que j’eusse pris les devants avec la jeune fille, et pensait à son pouvoir, la vue de ses cheveux m’étaient toujours appréciable, et mes yeux dérivaient souvent vers eux, échappant le regard de Gwendoline. Lorsqu’alors, elle prit enfin la parole, avec une voix si timide, douce et faible, que je dus tendre l’oreille, et réfléchir à chacun de ses mots deux fois, pour être sûr de ne pas me tromper.
- B...b...bonjour, je m'appelle Gwendoline. Gwendoline Arget. Enchantée. Je suis nouvelle ici, je n'étais pas au courant que les armes étaient interdites. Mais je pense que c'est bon si je dépose mes flèches et que je ne garde que mes hampes vierges. N'est-ce pas ?
Bien sûr qu’elle était nouvelle, cap’tain obvious. Sa timidité était mignonne, mais classique, avec tout ces éléves a Tsuki. Par contre, j’émis un léger rire, suivis d’un sourire continu, lorsque je l’entendit prononcer son nom. Je doutais fortement qu’elle soit de sang noble, dans ce cas, pourquoi le prononcer ainsi ?
Quant à ses flèches, et ses… Hampes ? Qu’est-ce donc ? Un soupir suivi, cette pensée, avant de me rendre compte qu’elle me regardait, légèrement troublé, pourtant avec un sourire, fixé sur moi. Je n’ai pas l’habitude de ce genre de réaction a vrai dire, sourire vers moi ? Quelque chose cloche…
J’essayais de savoir ce qu’elle avait dans la tête, et tentait par la même occasion de relier son arc et ses flèches, à une possible utilisation d’un pouvoir. Futile, bien sûr, mais je ne pouvais m’en empêcher. Ses yeux verts trompèrent sa pensée, quand elle se mit a regarder en bas, en direction de sa botte. Je n’ai aucune idée du pourquoi, mais celle-ci a-t-elle un lien avec son pouvoir ? Tous ces éléments n’avaient aucun sens. Courrait-elle plus vite que la normale ? Quelle pensé stupide.
Il me fallait la rassurer, pour la conforter en ma présence, et ouvrir les barrières de protection entre nous, afin d’en savoir un maximum. Le fait qu’elle a des armes, dans Tsuki ou non m’importait peu. Leurs règles sur ce point ne me regarde pas. Par contre, le fait qu’elle a des armes, à Tsuki, était plus intrigant, car il n’y a que deux raisons possibles : Soit l’arme est connue du propriétaire, et s'entraîne souvent avec, au tel point de combattre avec. Soit, l’arme est utilisée lorsque le pouvoir du propriétaire est activé. Par exemple, créer des flèches spéciales à partir de cet arc ? Non, idée idiote, elle a un carquois…
Arrêté sur l’idée de la botte, je pris la parole, avec un ton un peu enfantin.
- Ravis de te rencontrer. Ne t'en fait pas Arget, ce n’est pas moi qui vais te causer du tort pour un simple arc et des flèches en bois. Garde... Tout ce que tu trimbales sur toi.
Pour qu’une personne soit en confiance avec vous, il y a une règle élémentaire. Lui demander un service, petit en soi. Cela lui donne l’impression d’avoir le contrôle, et que vous lui êtes redevable. Permettant d’installer un pont entre les deux personnes. Une nouvelle fois, j’allais utiliser ce moyen, afin de me rapprocher d’elle, avec le même objectif.
- Excuse moi, mais aurait-tu un mouchoir Arget ? J’ai oublié d’en prendre, et je sens mon nez commencer à… Enfin, pas besoin de te faire un dessin.
Cette phase était cruciale, et bien qu’il soit toujours possible de se rattraper en cas d'échec, je ne voulais pas perdre plus de temps que ça, surtout avec une nouvelle venue. Avant même réponse de sa part, je tendis ma main droite en sa direction, attendant un mouchoir.
- B...b...bonjour, je m'appelle Gwendoline. Gwendoline Arget. Enchantée. Je suis nouvelle ici, je n'étais pas au courant que les armes étaient interdites. Mais je pense que c'est bon si je dépose mes flèches et que je ne garde que mes hampes vierges. N'est-ce pas ?
Bien sûr qu’elle était nouvelle, cap’tain obvious. Sa timidité était mignonne, mais classique, avec tout ces éléves a Tsuki. Par contre, j’émis un léger rire, suivis d’un sourire continu, lorsque je l’entendit prononcer son nom. Je doutais fortement qu’elle soit de sang noble, dans ce cas, pourquoi le prononcer ainsi ?
Quant à ses flèches, et ses… Hampes ? Qu’est-ce donc ? Un soupir suivi, cette pensée, avant de me rendre compte qu’elle me regardait, légèrement troublé, pourtant avec un sourire, fixé sur moi. Je n’ai pas l’habitude de ce genre de réaction a vrai dire, sourire vers moi ? Quelque chose cloche…
J’essayais de savoir ce qu’elle avait dans la tête, et tentait par la même occasion de relier son arc et ses flèches, à une possible utilisation d’un pouvoir. Futile, bien sûr, mais je ne pouvais m’en empêcher. Ses yeux verts trompèrent sa pensée, quand elle se mit a regarder en bas, en direction de sa botte. Je n’ai aucune idée du pourquoi, mais celle-ci a-t-elle un lien avec son pouvoir ? Tous ces éléments n’avaient aucun sens. Courrait-elle plus vite que la normale ? Quelle pensé stupide.
Il me fallait la rassurer, pour la conforter en ma présence, et ouvrir les barrières de protection entre nous, afin d’en savoir un maximum. Le fait qu’elle a des armes, dans Tsuki ou non m’importait peu. Leurs règles sur ce point ne me regarde pas. Par contre, le fait qu’elle a des armes, à Tsuki, était plus intrigant, car il n’y a que deux raisons possibles : Soit l’arme est connue du propriétaire, et s'entraîne souvent avec, au tel point de combattre avec. Soit, l’arme est utilisée lorsque le pouvoir du propriétaire est activé. Par exemple, créer des flèches spéciales à partir de cet arc ? Non, idée idiote, elle a un carquois…
Arrêté sur l’idée de la botte, je pris la parole, avec un ton un peu enfantin.
- Ravis de te rencontrer. Ne t'en fait pas Arget, ce n’est pas moi qui vais te causer du tort pour un simple arc et des flèches en bois. Garde... Tout ce que tu trimbales sur toi.
Pour qu’une personne soit en confiance avec vous, il y a une règle élémentaire. Lui demander un service, petit en soi. Cela lui donne l’impression d’avoir le contrôle, et que vous lui êtes redevable. Permettant d’installer un pont entre les deux personnes. Une nouvelle fois, j’allais utiliser ce moyen, afin de me rapprocher d’elle, avec le même objectif.
- Excuse moi, mais aurait-tu un mouchoir Arget ? J’ai oublié d’en prendre, et je sens mon nez commencer à… Enfin, pas besoin de te faire un dessin.
Cette phase était cruciale, et bien qu’il soit toujours possible de se rattraper en cas d'échec, je ne voulais pas perdre plus de temps que ça, surtout avec une nouvelle venue. Avant même réponse de sa part, je tendis ma main droite en sa direction, attendant un mouchoir.
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Le garçon continuait de m'observer, en souriant à l'écoute de mon nom. Quoi ? J'avais juste suivi bêtement sa façon de se présenter, car avec mes parents, nous ne recevions jamais personne, pouvoirs obligent, et après, donner mon prénom et mon nom, c’était signer mon arrêt de mort. Donc je ne connaissais pas les usages lorsqu'il s'agissait de se présenter. Et puis zut ! Il repris la parole :
- Ravis de te rencontrer. Ne t'en fait pas Arget, ce n’est pas moi qui vais te causer du tort pour un simple arc et des flèches en bois. Garde... Tout ce que tu trimbales sur toi..
Je me doutais bien que c’était pas lui qui allait me les enlever ! Mais je préférais tout de même éviter que quelqu'un me les prennent comme ça sans prévenir. Je triturait nerveusement mon médaillon et il repris la parole :
- Excuse moi, mais aurait-tu un mouchoir Arget ? J’ai oublié d’en prendre, et je sens mon nez commencer à… Enfin, pas besoin de te faire un dessin.
Un mouchoir ? Normalement je devrais avoir ça, au milieu de tout le bazar accumulé dans mon sac. Je répondis donc :
-Je, euh... oui, laisse-moi chercher un peu. Tu peux m'appeler Gwendoline, c'est suffisant.
Je n'aimais pas spécialement qu'on m'appelle par mon nom, puisque c'était les membres du gouvernement, qui nous appelaient ainsi avant de nous demander de nous rendre, ce que nous ne faisions bien sûr absolument pas.
Je me penchais et ouvrit mon sac, laissant apparaître la garde de Saitô (katana) et de Faucheuse (dague) ainsi que les quelques livres que j'avais pu sauvegarder. Je farfouillais au milieu de tout ça, ajouté à du matériel de survie (genre couvertures,...) et trouvais finalement un petit paquet de mouchoir. J'aurais dû le mettre dans la poche de devant. Mais bien sûr je n'y pensais jamais. Je me relevais, et sortant un mouchoir du paquet, je lui tendis sans un mot.
- Ravis de te rencontrer. Ne t'en fait pas Arget, ce n’est pas moi qui vais te causer du tort pour un simple arc et des flèches en bois. Garde... Tout ce que tu trimbales sur toi..
Je me doutais bien que c’était pas lui qui allait me les enlever ! Mais je préférais tout de même éviter que quelqu'un me les prennent comme ça sans prévenir. Je triturait nerveusement mon médaillon et il repris la parole :
- Excuse moi, mais aurait-tu un mouchoir Arget ? J’ai oublié d’en prendre, et je sens mon nez commencer à… Enfin, pas besoin de te faire un dessin.
Un mouchoir ? Normalement je devrais avoir ça, au milieu de tout le bazar accumulé dans mon sac. Je répondis donc :
-Je, euh... oui, laisse-moi chercher un peu. Tu peux m'appeler Gwendoline, c'est suffisant.
Je n'aimais pas spécialement qu'on m'appelle par mon nom, puisque c'était les membres du gouvernement, qui nous appelaient ainsi avant de nous demander de nous rendre, ce que nous ne faisions bien sûr absolument pas.
Je me penchais et ouvrit mon sac, laissant apparaître la garde de Saitô (katana) et de Faucheuse (dague) ainsi que les quelques livres que j'avais pu sauvegarder. Je farfouillais au milieu de tout ça, ajouté à du matériel de survie (genre couvertures,...) et trouvais finalement un petit paquet de mouchoir. J'aurais dû le mettre dans la poche de devant. Mais bien sûr je n'y pensais jamais. Je me relevais, et sortant un mouchoir du paquet, je lui tendis sans un mot.
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Aujourd’hui n’était pas un jour de repos. Aujourd’hui n’était pas un jour de bourrage de gueule. Aujourd’hui était un jour où, à mon plus grand désespoir, toute substance d’alcool ou de tabac devaient disparaître de mon corps. Aujourd’hui, je travaillais ; comme les quatre derniers jours précédents.
Nous étions un vendredi, beau vendredi ensoleillé de juin. En Amérique, l’école était déjà finie… mais ici, je n’avais pas le souvenir d’avoir parlé vacances. Comme si tous travaillaient, sans exception. Il n’est pas seulement question de flemme, ou de vouloir se donner à des loisirs, mais la chaleur était telle qu’il était impossible de travailler dans ses conditions ! Je plaignais ces jeunes élèves, infatigables… ceux qui avaient le don d’attirer le plus ma pitié étaient les plus jeunes, ceux dont l’âge ne dépassait pas les douze ans. Ils étaient peu nombreux, mais bien présents. Le visage ruisselant de sueur, ils trimballaient leurs sacs parfois énormes en s’épuisant le dos. Après tout, ce ne sont que des enfants !
Malgré tout les clichés existant sur ce beau pays qu’est l’Angleterre, il faisait chaud, et beau. L’air était lourd, et je ne savais pas du tout de quand remontait la dernière pluie… C’était désolant d’observer que nous étions seulement en juin, et que les mois prochains seraient sûrement plus rudes. Par souci de pudeur – mais aussi d’étiquette – je portais exclusivement des pantalons, bien que je porte également des chandails. Les tatouages couvrant mes bras n’étaient pas choquants… rien de brutal, rien d’effrayant, alors ils étaient tolérés par l’académie. Encore heureux !
Alors que je verrouillais mon appartement, je m’engageais dans la rue afin de prendre un bus. Eh oui, je n’avais pas ma licence ! Une fois face au portail de l’Académie, je poussais les grandes portes de fer puis pénétrais dans les jardins. Je les arpentais, silencieux : la nuit avait été fraîche, et les restes épars de sa douceur flottaient de-ci de-là dans les étendues vertes et fleuries. Enfin, j’atteignais la porte nord, que je poussais sans ménagement. Ce n’était pas mon entrée habituelle, mais la chaleur était tant insoutenable que je désirais m’abriter le plus rapidement possible : en espérant que l’intérieur reste frais…
Je regardais la flopée d’élèves bruyante, sans piper mot. Mon regard balaya la pièce principale, et soudain, mon esprit bourdonna. Putain… encore une journée, et ce serait enfin le week-end. Quelle libération ! Certains élèves étaient agréables, d’autres non… certains attiraient mon attention, d’autres me semblaient aussi utiles qu’une plante verte… enfin, c’est ça la diversité ! Là où il y a bon, il y a mauvais ! L’équilibre parfait, une véritable symbiose. Conneries.
Mon regard se posa sur deux élèves, un peu à l’écart : il y avait un homme à l’aspect plutôt efféminé, ainsi qu’une jeune fille blonde à l’extrême. Elle semblait nouvelle, elle avait des sacs. Avant que je ne me décide réellement à aller l’accueillir, un détail attira mon attention : elle portait… un arc ! Et des flèches ! Dans un carquois ! Ah, mais qu’est-ce que c’est !? L’établissement ne prohibe-t-il pas le port d’armes !? Je me rapprochais d’un pas vif et discret.
Aujourd’hui, je portais un chandail blanc et simple, moulant discrètement un corps musclé et sec. Je portais également un jean noir, très seyant, ainsi que des habituelles Doc Martens noires, hautes, tout aussi discrètes que le reste. Une tenue classique, en somme. Mes seuls signes particuliers étaient évidemment mes tatouages clairement voyants, ainsi que mes piercings au niveau du sourcil et que mon écarteur médium à l’oreille gauche. Ainsi que mes ongles noirs.
« Je peux savoir pourquoi tu portes une arme, jeune fille ? »
Plutôt mignonne, agréable. J’aime ça.
Nous étions un vendredi, beau vendredi ensoleillé de juin. En Amérique, l’école était déjà finie… mais ici, je n’avais pas le souvenir d’avoir parlé vacances. Comme si tous travaillaient, sans exception. Il n’est pas seulement question de flemme, ou de vouloir se donner à des loisirs, mais la chaleur était telle qu’il était impossible de travailler dans ses conditions ! Je plaignais ces jeunes élèves, infatigables… ceux qui avaient le don d’attirer le plus ma pitié étaient les plus jeunes, ceux dont l’âge ne dépassait pas les douze ans. Ils étaient peu nombreux, mais bien présents. Le visage ruisselant de sueur, ils trimballaient leurs sacs parfois énormes en s’épuisant le dos. Après tout, ce ne sont que des enfants !
Malgré tout les clichés existant sur ce beau pays qu’est l’Angleterre, il faisait chaud, et beau. L’air était lourd, et je ne savais pas du tout de quand remontait la dernière pluie… C’était désolant d’observer que nous étions seulement en juin, et que les mois prochains seraient sûrement plus rudes. Par souci de pudeur – mais aussi d’étiquette – je portais exclusivement des pantalons, bien que je porte également des chandails. Les tatouages couvrant mes bras n’étaient pas choquants… rien de brutal, rien d’effrayant, alors ils étaient tolérés par l’académie. Encore heureux !
Alors que je verrouillais mon appartement, je m’engageais dans la rue afin de prendre un bus. Eh oui, je n’avais pas ma licence ! Une fois face au portail de l’Académie, je poussais les grandes portes de fer puis pénétrais dans les jardins. Je les arpentais, silencieux : la nuit avait été fraîche, et les restes épars de sa douceur flottaient de-ci de-là dans les étendues vertes et fleuries. Enfin, j’atteignais la porte nord, que je poussais sans ménagement. Ce n’était pas mon entrée habituelle, mais la chaleur était tant insoutenable que je désirais m’abriter le plus rapidement possible : en espérant que l’intérieur reste frais…
Je regardais la flopée d’élèves bruyante, sans piper mot. Mon regard balaya la pièce principale, et soudain, mon esprit bourdonna. Putain… encore une journée, et ce serait enfin le week-end. Quelle libération ! Certains élèves étaient agréables, d’autres non… certains attiraient mon attention, d’autres me semblaient aussi utiles qu’une plante verte… enfin, c’est ça la diversité ! Là où il y a bon, il y a mauvais ! L’équilibre parfait, une véritable symbiose. Conneries.
Mon regard se posa sur deux élèves, un peu à l’écart : il y avait un homme à l’aspect plutôt efféminé, ainsi qu’une jeune fille blonde à l’extrême. Elle semblait nouvelle, elle avait des sacs. Avant que je ne me décide réellement à aller l’accueillir, un détail attira mon attention : elle portait… un arc ! Et des flèches ! Dans un carquois ! Ah, mais qu’est-ce que c’est !? L’établissement ne prohibe-t-il pas le port d’armes !? Je me rapprochais d’un pas vif et discret.
Aujourd’hui, je portais un chandail blanc et simple, moulant discrètement un corps musclé et sec. Je portais également un jean noir, très seyant, ainsi que des habituelles Doc Martens noires, hautes, tout aussi discrètes que le reste. Une tenue classique, en somme. Mes seuls signes particuliers étaient évidemment mes tatouages clairement voyants, ainsi que mes piercings au niveau du sourcil et que mon écarteur médium à l’oreille gauche. Ainsi que mes ongles noirs.
« Je peux savoir pourquoi tu portes une arme, jeune fille ? »
Plutôt mignonne, agréable. J’aime ça.
- HRP:
- Incruste bjr
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Je tendais donc mon mouchoir à... Quiet ? Quand une voix se fit entendre :
« Je peux savoir pourquoi tu portes une arme, jeune fille ? »
Je me reculais une nouvelle fois par surprise, me retourna vers mon interlocuteur et attrapais la garde de Fialinn, tendant du même coup la main vers mon arc. Je la brandis devant moi effrayée, et en une seconde la longue lame apparu. Je regardais l'homme qui venais de me parler et m’aperçus que ce n'étais guère un assaillant, mais plutôt quelqu'un de l'académie. Je relâchais ma concentration et la lame disparu. Je devins rouge tomate, et bredouillais :
- Excusez-moi, je ne voulais pas... Je...euh... vous m'avez fait peur et...
Je respirais un grand coup et poursuivis :
-Je suis nouvelle, je n'étais pas au courant que les armes étaient interdites. J'ai besoin de mon arc pour m'entraîner, et j'aimerais le garder avec moi si possible... Mais, je peux laisser les flèches quelque part en sécurité et ne les utiliser que pour les entraînements. Et garder mes hampes vierges avec moi. Enfin si c'est possible.
Me rappelant de l'interrogation sur le visage de Quiet lorsque j'avais parlé de hampes vierges, je sortis l'un des corps de flèche sans pointe afin de prouver que c’était inoffensif. Sérieusement, qu'est-ce-qu'une personne lambda pourrait faire avec ça ? Des brochettes ? J'attendis donc la réponse de mon nouvel interlocuteur.
« Je peux savoir pourquoi tu portes une arme, jeune fille ? »
Je me reculais une nouvelle fois par surprise, me retourna vers mon interlocuteur et attrapais la garde de Fialinn, tendant du même coup la main vers mon arc. Je la brandis devant moi effrayée, et en une seconde la longue lame apparu. Je regardais l'homme qui venais de me parler et m’aperçus que ce n'étais guère un assaillant, mais plutôt quelqu'un de l'académie. Je relâchais ma concentration et la lame disparu. Je devins rouge tomate, et bredouillais :
- Excusez-moi, je ne voulais pas... Je...euh... vous m'avez fait peur et...
Je respirais un grand coup et poursuivis :
-Je suis nouvelle, je n'étais pas au courant que les armes étaient interdites. J'ai besoin de mon arc pour m'entraîner, et j'aimerais le garder avec moi si possible... Mais, je peux laisser les flèches quelque part en sécurité et ne les utiliser que pour les entraînements. Et garder mes hampes vierges avec moi. Enfin si c'est possible.
Me rappelant de l'interrogation sur le visage de Quiet lorsque j'avais parlé de hampes vierges, je sortis l'un des corps de flèche sans pointe afin de prouver que c’était inoffensif. Sérieusement, qu'est-ce-qu'une personne lambda pourrait faire avec ça ? Des brochettes ? J'attendis donc la réponse de mon nouvel interlocuteur.
- HRP:
- Pas grave, de toute façon l'autre il veut pas accueillir les nouveaux, il veux juste connaître leur pouvoirs ^^. Et Quiet vraiment désolée j'avais pas fais gaffe que c'était ton tour. Il faut que je m'habitue à ça, promis je recommencerais pas ! (j'ai pas l'habitude, c'est le premier RPG que je fais) encore désolée
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Il est parfois salutaire de se moucher le nez… Ou pas, en tout cas ce prétexte avait l’air de fonctionner. J'étais content de me rapprocher un peu plus de cette information qu’elle possédait. En réponse a ma question, la jeune fille eu l’aire un peu complexé, pas vraiment de la gêne, mais une certaine réticence. Avais-je gaffé ?
- Je, euh... Oui, laisse-moi chercher un peu. Tu peux m'appeler Gwendoline, c'est suffisant.
L'appeler Gwendoline ? Je préférais éviter. Je préfère nommer les gens, par leurs nom de famille, quand je le connais.
Elle posa son sac a terre, et en se penchant vers celui-ci pour en fouiller le contenu, les flèches de son carquois s’agitèrent un peu, faisant claquer le bois. Mes oreilles semblaient comme vouloir suivre le bruit, je pouvais les sentir pointer vers les flèches, une simple impression, mais cette simple impression me gêna quelque peu. Il lui reste toujours la poss -
Je fus interrompu dans mes pensées, lorsqu’elle avança d’une main un paquet de mouchoirs, et referma son sac avec l’autre. Je n’avais même pas vu le contenu de son sac, ce qui était idiot, car cela aurait été une source d’information potentielle.
Avec un beau sourire, un faux sourire, je pris le mouchoir, avant de le mettre au niveau de mon nez. Évidemment, je n’allais pas me moucher devant elle, cela n'aurait pas été… Je mis alors le mouchoir dans ma sacoche, avant de remercier la jeune venue.
À peine j’eu le temps de le mettre dans ma sacoche, que j'entrevoyais du coin de l’œil, un homme qu’il était difficile de manquer. Celui-ci se rapprochait de nous, non, il allait vers nous, c’était sûr. Sur l’instant, je me suis dit que c’était la personne qui était censée l'accueillir, lui expliquer les règles, ce genre de choses futiles ; pourtant son allure pittoresque m’indiquait le contraire, car la couleur des vêtements contrastée, ses ongles soigné et noir, ainsi que son look dans sa globalité, telle que ses tatouages et piercings m’indiquait clairement que ce n’était qu’un élève de plus dans ce méli-mélo de regroupement de pouvoir.
Cependant, plus il approchait, plus mon cœur accélérait. Chaque instant était un supplice, le voir approcher ainsi, sans savoir pourquoi, un type de cette allure… Que le diable t’emporte !
Il me passa à côté, avec un rapide coup d’œil, avant de regarder Arget, et de lui parler.
- Je peux savoir pourquoi tu portes une arme, jeune fille ?
Quoi ?! C’est tout ? Tout ce spectacle pour ça ? Je… Je n’y crois. J’en ai peut-être fait un peu trop, mais avoir cette allure, et ne sortir que cette simple phrase, c’est… tssss.
J’étais sur le point de prendre la parole, ouvrant alors bouche, lorsque Arget, a ma grande surprise, se lança en première.
- Excusez-moi, je ne voulais pas... Je... Euh... Vous m'avez fait peur et…
Après tout, c’est à elle qu’il voulait parler, qu’elle se débrouille. Je ne trouve pas ce type louche, mais je m’en méfie quand même. Enfin, plus que les autres.
Gwen repris son souffle, semblant toujours autant timide et stressé par la situation, avant d’enfin continuer.
- Je suis nouvelle, je n'étais pas au courant que les armes étaient interdites. J'ai besoin de mon arc pour m'entraîner, et j'aimerais le garder avec moi si possible... Mais, je peux laisser les flèches quelque part en sécurité et ne les utiliser que pour les entraînements. Et garder mes hampes vierges avec moi. Enfin si c'est possible.
Mais, bien sûr qu’elle est nouvelle, cap’tain obvious… Enfin bref. Elle déballa une excuse qui me semblait bidon, avant de donner foi a ses arguments, en montrant une flèche sans pointe. Un simple bout de bois en somme, sans tête de flèche en fer.
Entre le fait que l’homme à l’allure étonnante m’ai oublié, et avoir vu ses flèches inutiles… Je crois que cette journée est d’une déception. C’est incroyable, à quel point c’est d’une banalité au final.
Avec l'interruption de cette personne, il allait être difficile d’entrer dans le vif du sujet qui m'intéressait avec Arget. J'étais, du coup, décidé à partir, mais pris tout de même enfin la parole avant de les laisser seuls.
- Bon, merci pour le mouchoir Arget. N’hésite pas à venir me parler la prochaine fois que tu me verras, vu que tu es timide, un ami ne serait pas de trop pour t’accompagner dans tes débuts.
À la fin de mes deux phrases, je jetai un regard noir à l’homme tatoué et percé, avant de commencer a quitter le hall, en direction d’un autre banc.
- Je, euh... Oui, laisse-moi chercher un peu. Tu peux m'appeler Gwendoline, c'est suffisant.
L'appeler Gwendoline ? Je préférais éviter. Je préfère nommer les gens, par leurs nom de famille, quand je le connais.
Elle posa son sac a terre, et en se penchant vers celui-ci pour en fouiller le contenu, les flèches de son carquois s’agitèrent un peu, faisant claquer le bois. Mes oreilles semblaient comme vouloir suivre le bruit, je pouvais les sentir pointer vers les flèches, une simple impression, mais cette simple impression me gêna quelque peu. Il lui reste toujours la poss -
Je fus interrompu dans mes pensées, lorsqu’elle avança d’une main un paquet de mouchoirs, et referma son sac avec l’autre. Je n’avais même pas vu le contenu de son sac, ce qui était idiot, car cela aurait été une source d’information potentielle.
Avec un beau sourire, un faux sourire, je pris le mouchoir, avant de le mettre au niveau de mon nez. Évidemment, je n’allais pas me moucher devant elle, cela n'aurait pas été… Je mis alors le mouchoir dans ma sacoche, avant de remercier la jeune venue.
À peine j’eu le temps de le mettre dans ma sacoche, que j'entrevoyais du coin de l’œil, un homme qu’il était difficile de manquer. Celui-ci se rapprochait de nous, non, il allait vers nous, c’était sûr. Sur l’instant, je me suis dit que c’était la personne qui était censée l'accueillir, lui expliquer les règles, ce genre de choses futiles ; pourtant son allure pittoresque m’indiquait le contraire, car la couleur des vêtements contrastée, ses ongles soigné et noir, ainsi que son look dans sa globalité, telle que ses tatouages et piercings m’indiquait clairement que ce n’était qu’un élève de plus dans ce méli-mélo de regroupement de pouvoir.
Cependant, plus il approchait, plus mon cœur accélérait. Chaque instant était un supplice, le voir approcher ainsi, sans savoir pourquoi, un type de cette allure… Que le diable t’emporte !
Il me passa à côté, avec un rapide coup d’œil, avant de regarder Arget, et de lui parler.
- Je peux savoir pourquoi tu portes une arme, jeune fille ?
Quoi ?! C’est tout ? Tout ce spectacle pour ça ? Je… Je n’y crois. J’en ai peut-être fait un peu trop, mais avoir cette allure, et ne sortir que cette simple phrase, c’est… tssss.
J’étais sur le point de prendre la parole, ouvrant alors bouche, lorsque Arget, a ma grande surprise, se lança en première.
- Excusez-moi, je ne voulais pas... Je... Euh... Vous m'avez fait peur et…
Après tout, c’est à elle qu’il voulait parler, qu’elle se débrouille. Je ne trouve pas ce type louche, mais je m’en méfie quand même. Enfin, plus que les autres.
Gwen repris son souffle, semblant toujours autant timide et stressé par la situation, avant d’enfin continuer.
- Je suis nouvelle, je n'étais pas au courant que les armes étaient interdites. J'ai besoin de mon arc pour m'entraîner, et j'aimerais le garder avec moi si possible... Mais, je peux laisser les flèches quelque part en sécurité et ne les utiliser que pour les entraînements. Et garder mes hampes vierges avec moi. Enfin si c'est possible.
Mais, bien sûr qu’elle est nouvelle, cap’tain obvious… Enfin bref. Elle déballa une excuse qui me semblait bidon, avant de donner foi a ses arguments, en montrant une flèche sans pointe. Un simple bout de bois en somme, sans tête de flèche en fer.
Entre le fait que l’homme à l’allure étonnante m’ai oublié, et avoir vu ses flèches inutiles… Je crois que cette journée est d’une déception. C’est incroyable, à quel point c’est d’une banalité au final.
Avec l'interruption de cette personne, il allait être difficile d’entrer dans le vif du sujet qui m'intéressait avec Arget. J'étais, du coup, décidé à partir, mais pris tout de même enfin la parole avant de les laisser seuls.
- Bon, merci pour le mouchoir Arget. N’hésite pas à venir me parler la prochaine fois que tu me verras, vu que tu es timide, un ami ne serait pas de trop pour t’accompagner dans tes débuts.
À la fin de mes deux phrases, je jetai un regard noir à l’homme tatoué et percé, avant de commencer a quitter le hall, en direction d’un autre banc.
Au diable la politesse apparemment, c'est sans soucis que cet intrus nous interrompt - Non, m’interrompt - dans mon objectif.
- HRP:
- Désolé si ça ne t'a pas plus Gwen, j'aurais peut-être du te demander si je pouvais venir RP avec toi du coup. Pas de soucis pour le tour, ça ne me pose pas de problème, tant que ce n'est pas délibéré. Encore désolé.
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Alors que la jeune fille aux cheveux d’un blond étincelant faisait volte-face pour me voir, l’éclat argenté et brillant d’une lame fit son apparition, juste sous mes yeux. Mes épaules tressaillirent ; j’étais choqué de ce que je voyais se passer, juste là. Me menaçait-elle, avec cette épée aussi longue que ridicule, et avec cet arc complètement archaïque ? La jeune fille me jaugeait du regard, comme si elle décelait en moi quelque chose qui n’avait rien d’offensif : et elle avait raison ! Bientôt, la lame longue disparut.
« Excusez-moi, je ne voulais pas... Je...euh... vous m'avez fait peur et... Je suis nouvelle, je n'étais pas au courant que les armes étaient interdites. J'ai besoin de mon arc pour m'entraîner, et j'aimerais le garder avec moi si possible... Mais, je peux laisser les flèches quelque part en sécurité et ne les utiliser que pour les entraînements. Et garder mes hampes vierges avec moi. Enfin si c'est possible. »
Son ton timide et apeuré me rappelait un adolescent que l’on aurait surpris à exercer quelque activité solitaire et aphrodisiaque. Vous me suivez ? C’était comme si je l’avais pris la main dans le sac, et dans cette petite voix tremblante, j’arrivais à décerner de la… peur ? De l’appréhension ? Du stress ? Elle devait craindre ce qui allait se passer ensuite. Cet état m’arracha un petit sourire amusé, accompagné d’un soupir. J’aimais jouer avec des personnes si fragiles. Ensuite, après m’avoir évoqué ces « hampes », elle m’en sortait une de son sac : des flèches sans pointes, ah ! Cet arc et ces flèches étaient désuets ! Avant que je ne prenne la parole, le garçon me coupa l’herbe sous le pied.
« Bon, merci pour le mouchoir Arget. N’hésite pas à venir me parler la prochaine fois que tu me verras, vu que tu es timide, un ami ne serait pas de trop pour t’accompagner dans tes débuts. »
Hey, minute papillon ! Il partait vraiment ? Sans me saluer ? Aussi, j’étais plutôt mal placé pour parler de politesse… je l’avais à peine regardé… c’est justement, plein de conviction, que je me tournais vers lui, et, dans cet instant étrangement sourd, je décelais le regard noir de tueur qu’il me jetait. Ah, mais qu’est-ce que c’est !? Je ne lui ai rien fait, pour une fois ! Il ne va pas commencer à faire chier ! Eh, une seconde… c’était louche qu’il parte comme ça, si brusquement, en abandonnant sa nouvelle amie, qui est nouvelle de surcroît ! Peut-être avait-il des armes, lui aussi ! J’espérais vraiment, mais de toute façon…
« Désolé, mais tu restes là, toi. Je dois vérifier si toi aussi, tu ne possèdes pas d’armes. »
Je me dirigeais vers lui, et, d’une douceur plutôt exagérée, je le poussais lentement vers la jeune fille en posant une main dans son dos. Peu importe s’il protestait, il restait avec moi, point final. Je jubilais de cette situation somme toute très enrichissante. Je jetais un œil à la jeune fille, et doucement, je découvrir chez elle une beauté inexplicable : ses cheveux très longs et blonds encadraient son minois clair et noble. Ses yeux étincelants et verts étaient étonnamment perçants. Le jeune homme, quant à lui, restait quelqu’un de très spécial : peau très blanche, cheveux noirs et plutôt longs, maigre, très très maigre… je ne savais pas encore s’il m’inspirait de bons sentiments ou non. Bon… je me tournais vers la jeune fille.
« Tu as besoin d’une autorisation spéciale pour transporter des armes à l’académie. »
Je me retenais de faire une de ces avances faussement lubriques du style : « Mais si tu veux, on peut s’arranger… ». Je savais pertinemment que si je lui disais ça, c’était uniquement pour me délecter de sa réaction, et non pas pour vraiment utiliser cette pauvre fille. Depuis l’incident avec Caitlyn, j’étais vidé de tout désir, de toute envie. Tant mieux, non ? Je savais qu’elle était en couple avec ce… Hansel ! Mais j’avais l’impression de lui devoir une certaine fidélité… c’est complètement con, ma parole. Mais c’est comme ça…
« Dites-moi vos noms. » dis-je en soupirant.
Je me tournais vers le garçon et je lui lançais un regard appuyé et lourd : il avait été suffisamment chiant alors il avait intérêt à ne pas broncher !
« Excusez-moi, je ne voulais pas... Je...euh... vous m'avez fait peur et... Je suis nouvelle, je n'étais pas au courant que les armes étaient interdites. J'ai besoin de mon arc pour m'entraîner, et j'aimerais le garder avec moi si possible... Mais, je peux laisser les flèches quelque part en sécurité et ne les utiliser que pour les entraînements. Et garder mes hampes vierges avec moi. Enfin si c'est possible. »
Son ton timide et apeuré me rappelait un adolescent que l’on aurait surpris à exercer quelque activité solitaire et aphrodisiaque. Vous me suivez ? C’était comme si je l’avais pris la main dans le sac, et dans cette petite voix tremblante, j’arrivais à décerner de la… peur ? De l’appréhension ? Du stress ? Elle devait craindre ce qui allait se passer ensuite. Cet état m’arracha un petit sourire amusé, accompagné d’un soupir. J’aimais jouer avec des personnes si fragiles. Ensuite, après m’avoir évoqué ces « hampes », elle m’en sortait une de son sac : des flèches sans pointes, ah ! Cet arc et ces flèches étaient désuets ! Avant que je ne prenne la parole, le garçon me coupa l’herbe sous le pied.
« Bon, merci pour le mouchoir Arget. N’hésite pas à venir me parler la prochaine fois que tu me verras, vu que tu es timide, un ami ne serait pas de trop pour t’accompagner dans tes débuts. »
Hey, minute papillon ! Il partait vraiment ? Sans me saluer ? Aussi, j’étais plutôt mal placé pour parler de politesse… je l’avais à peine regardé… c’est justement, plein de conviction, que je me tournais vers lui, et, dans cet instant étrangement sourd, je décelais le regard noir de tueur qu’il me jetait. Ah, mais qu’est-ce que c’est !? Je ne lui ai rien fait, pour une fois ! Il ne va pas commencer à faire chier ! Eh, une seconde… c’était louche qu’il parte comme ça, si brusquement, en abandonnant sa nouvelle amie, qui est nouvelle de surcroît ! Peut-être avait-il des armes, lui aussi ! J’espérais vraiment, mais de toute façon…
« Désolé, mais tu restes là, toi. Je dois vérifier si toi aussi, tu ne possèdes pas d’armes. »
Je me dirigeais vers lui, et, d’une douceur plutôt exagérée, je le poussais lentement vers la jeune fille en posant une main dans son dos. Peu importe s’il protestait, il restait avec moi, point final. Je jubilais de cette situation somme toute très enrichissante. Je jetais un œil à la jeune fille, et doucement, je découvrir chez elle une beauté inexplicable : ses cheveux très longs et blonds encadraient son minois clair et noble. Ses yeux étincelants et verts étaient étonnamment perçants. Le jeune homme, quant à lui, restait quelqu’un de très spécial : peau très blanche, cheveux noirs et plutôt longs, maigre, très très maigre… je ne savais pas encore s’il m’inspirait de bons sentiments ou non. Bon… je me tournais vers la jeune fille.
« Tu as besoin d’une autorisation spéciale pour transporter des armes à l’académie. »
Je me retenais de faire une de ces avances faussement lubriques du style : « Mais si tu veux, on peut s’arranger… ». Je savais pertinemment que si je lui disais ça, c’était uniquement pour me délecter de sa réaction, et non pas pour vraiment utiliser cette pauvre fille. Depuis l’incident avec Caitlyn, j’étais vidé de tout désir, de toute envie. Tant mieux, non ? Je savais qu’elle était en couple avec ce… Hansel ! Mais j’avais l’impression de lui devoir une certaine fidélité… c’est complètement con, ma parole. Mais c’est comme ça…
« Dites-moi vos noms. » dis-je en soupirant.
Je me tournais vers le garçon et je lui lançais un regard appuyé et lourd : il avait été suffisamment chiant alors il avait intérêt à ne pas broncher !
- HRP:
- Excusez-moi pour le retard !
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Je regardais Quiet partir avec appréhension. Pourquoi partait-il ? Je n'y comprenais plus rien ! Il demandais un mouchoir, et l'instant d'après il s'en allait. Quant à l'autre, il avait des yeux noirs comme ses cheveux d'ailleurs. Il était grand lui aussi. Sa façon de me regarder me faisait peur : il avait l'air hautain et sûr de lui. Je n'aimais pas ça et tentais de me reculer une fois de plus me collant ainsi le dos au mur. Finalement, le nouveau venu rappela Quiet et le poussa vers moi :
-Désolé, mais tu restes là, toi. Je dois vérifier si toi aussi, tu ne possèdes pas d’armes.
Il n'en avait pas l'air, mais bon. C'était sûrement le job de ce mec, genre chargé de la sécurité. Le fait qu'il ne se présente pas me perturbait, je ne savais pas à qui j'avais à faire, et si c'était potentiellement quelqu'un de dangereux. Il se retourna vers moi :
-Tu as besoin d’une autorisation spéciale pour transporter des armes à l’académie.
Une autorisation spéciale ? Mais pourquoi nous promettre de nous aider à améliorer nos pouvoirs si on nous interdisait de les utiliser ? Mon pouvoir est directement lié à ces armes, l'académie devait forcément être au courant en m'envoyant cette lettre ! J'allais dire cela quand mon interlocuteur soupira en disant :
- Dites-moi vos noms.
Puis il lança un regard étrange à Quiet. Mais qu'est-ce-qu'il se passait ici ! Je décidais de m’exécuter. Je le fixais avec une certaine appréhension :
-Je m’appelle Gwendoline Arget.
Il était sûr que je n'allais pas me départir de mes armes ainsi. J'acceptais de faire un effort en laissant mes flèches potentiellement utilisables par autrui en sécurité, mais c'était tout !
-Désolé, mais tu restes là, toi. Je dois vérifier si toi aussi, tu ne possèdes pas d’armes.
Il n'en avait pas l'air, mais bon. C'était sûrement le job de ce mec, genre chargé de la sécurité. Le fait qu'il ne se présente pas me perturbait, je ne savais pas à qui j'avais à faire, et si c'était potentiellement quelqu'un de dangereux. Il se retourna vers moi :
-Tu as besoin d’une autorisation spéciale pour transporter des armes à l’académie.
Une autorisation spéciale ? Mais pourquoi nous promettre de nous aider à améliorer nos pouvoirs si on nous interdisait de les utiliser ? Mon pouvoir est directement lié à ces armes, l'académie devait forcément être au courant en m'envoyant cette lettre ! J'allais dire cela quand mon interlocuteur soupira en disant :
- Dites-moi vos noms.
Puis il lança un regard étrange à Quiet. Mais qu'est-ce-qu'il se passait ici ! Je décidais de m’exécuter. Je le fixais avec une certaine appréhension :
-Je m’appelle Gwendoline Arget.
Il était sûr que je n'allais pas me départir de mes armes ainsi. J'acceptais de faire un effort en laissant mes flèches potentiellement utilisables par autrui en sécurité, mais c'était tout !
- HRP:
- Je ne sais pas ce que tu as prévu de faire, mais je précise que lors de ma validation, on m'a dit que je pouvais tout garder sauf les flèches normales ^^.
Du coup, j'ai continué dans cet ordre là pour le rp, j'espère que ça ne dérange pas ? Sinon faut me le dire, il y a pas de soucis.
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Tandis que j’étais en train de partir vaquer à d’autre activité, oubliant déjà ce qu’il venait de passer, cet énergumène m'entourait légèrement, et mine de rien, me ramena au centre de la conversation. Je ne sais pas pourquoi je m'étais laissé faire, mais j'étais de nouveaux entre ces deux personnes, et repartir comme ça, sans rien dire, serait plus que douteux.
- Désolé, mais tu restes là, toi. Je dois vérifier si toi aussi, tu ne possèdes pas d’armes.
Pour qui se prenait-il ? Certes, je devais l’avouer, j’avais une légère sensation de peur, a chaque fois que je regardais du coin de l’œil. Mes sens étaient aux aguets en sa présence, et son accoutrement n’arrangeait rien. Pourquoi veut-il me fouiller ? Je n’ai jamais rien eu, et ce n’est certainement sur moi qu’il trouvera quoi que ce soit, fouille la donc elle. J'étais impatient de partir loin de cet individu, alors je tentais d'être le plus clair possible.
- Je ne vois pas pourquoi je devrais rester là. Je n’ai pas d’arme, et n’en ai nul besoin. Si vous voulez que je me mette à nue, il n’y a pas de problème.
En fait, à cet instant, j'étais vraiment prêt à tout pour partir voir ailleurs si j’y étais. D’ailleurs, une arme… C’est vrai que je n’en ai jamais eu, peut-être pourrais-je apprendre ? Je divaguais, tandis que l’homme aux ongles noirs reparlait, mais cette fois a Arget.
- Tu as besoin d’une autorisation spéciale pour transporter des armes à l’académie.
Mais, je le lui ai déjà dit ça, cpt’obvious, soupirais-je. Rien qu'à l’idée de revenir la dessus, c’était d’un ennui mortel. Raison de plus alors pour partir loin de ce type. Je commençais à imaginer toute sorte de stratagème pour me sortir de cet ennui mortel, et des plans, j’en ai eu. Mais ils étaient soit idiots, soit compliqué, soit irréalisable. Et une nouvelle fois encore, il reprenait la parole.
- Dites-moi vos noms.
Plutôt simple et court. Ça, j’aime ! Il montait finalement dans mon estime. Mais, me faisait toujours autant peur. À ma grande surprise, Arget rétorqua presque instantanément a cette phrase.
-Je m’appelle Gwendoline Arget.
Avec cette puissance, un lourd regard s’était déposé sur moi. Ce n’était pas Arget qui ne savait pas qui regarder entre moi et l’autre. Du coup, c’était cette personne. Il me fixait, comme s’il s’attendait à ce que je chie dans ses bottes. Je n’ai rien fait, et n’ai l’intention de rien faire ! Quel diable l’a trahi ?? Bien que jusque-là, je ne le regardais que du coin de l’œil, d’un coup, je relevai ma tête, et tournai dans sa direction. Je fixais ses yeux, sans broncher, comme si je lui avais lancé un duel du regard. Peu importe qui allais gagner ou perdre, je voulais prouver que je n’avais pas peur.
Je n’avais aucun mal à soutenir mon regard sur ses yeux. C’était même plutôt facile, et durant, je m’adressais enfin à nouveau à lui.
- Je me nomme Quiet, Quiet Arcwind. Satisfait ? Je ne sais pas qui vous êtes, et très franchement, j’ai du mal à laisser cette gamine entre vos mains, mais l’idée de rester plus longtemps en votre compagnie, rend cette atmosphère si lourde déroutant.
Je tentais alors, avec ma main, légèrement tremblante, de me rapprocher d’une des flèches de Arget dans son carquois. Même un simple bâton serait mieux que d'être sans arme, face à ce type. Au moindre signe de sa part, j'améliorerais mon mouvement, et me défendrais avoir. Il est hors de question d’utiliser mon pouvoir.
- Désolé, mais tu restes là, toi. Je dois vérifier si toi aussi, tu ne possèdes pas d’armes.
Pour qui se prenait-il ? Certes, je devais l’avouer, j’avais une légère sensation de peur, a chaque fois que je regardais du coin de l’œil. Mes sens étaient aux aguets en sa présence, et son accoutrement n’arrangeait rien. Pourquoi veut-il me fouiller ? Je n’ai jamais rien eu, et ce n’est certainement sur moi qu’il trouvera quoi que ce soit, fouille la donc elle. J'étais impatient de partir loin de cet individu, alors je tentais d'être le plus clair possible.
- Je ne vois pas pourquoi je devrais rester là. Je n’ai pas d’arme, et n’en ai nul besoin. Si vous voulez que je me mette à nue, il n’y a pas de problème.
En fait, à cet instant, j'étais vraiment prêt à tout pour partir voir ailleurs si j’y étais. D’ailleurs, une arme… C’est vrai que je n’en ai jamais eu, peut-être pourrais-je apprendre ? Je divaguais, tandis que l’homme aux ongles noirs reparlait, mais cette fois a Arget.
- Tu as besoin d’une autorisation spéciale pour transporter des armes à l’académie.
Mais, je le lui ai déjà dit ça, cpt’obvious, soupirais-je. Rien qu'à l’idée de revenir la dessus, c’était d’un ennui mortel. Raison de plus alors pour partir loin de ce type. Je commençais à imaginer toute sorte de stratagème pour me sortir de cet ennui mortel, et des plans, j’en ai eu. Mais ils étaient soit idiots, soit compliqué, soit irréalisable. Et une nouvelle fois encore, il reprenait la parole.
- Dites-moi vos noms.
Plutôt simple et court. Ça, j’aime ! Il montait finalement dans mon estime. Mais, me faisait toujours autant peur. À ma grande surprise, Arget rétorqua presque instantanément a cette phrase.
-Je m’appelle Gwendoline Arget.
Avec cette puissance, un lourd regard s’était déposé sur moi. Ce n’était pas Arget qui ne savait pas qui regarder entre moi et l’autre. Du coup, c’était cette personne. Il me fixait, comme s’il s’attendait à ce que je chie dans ses bottes. Je n’ai rien fait, et n’ai l’intention de rien faire ! Quel diable l’a trahi ?? Bien que jusque-là, je ne le regardais que du coin de l’œil, d’un coup, je relevai ma tête, et tournai dans sa direction. Je fixais ses yeux, sans broncher, comme si je lui avais lancé un duel du regard. Peu importe qui allais gagner ou perdre, je voulais prouver que je n’avais pas peur.
Je n’avais aucun mal à soutenir mon regard sur ses yeux. C’était même plutôt facile, et durant, je m’adressais enfin à nouveau à lui.
- Je me nomme Quiet, Quiet Arcwind. Satisfait ? Je ne sais pas qui vous êtes, et très franchement, j’ai du mal à laisser cette gamine entre vos mains, mais l’idée de rester plus longtemps en votre compagnie, rend cette atmosphère si lourde déroutant.
Je tentais alors, avec ma main, légèrement tremblante, de me rapprocher d’une des flèches de Arget dans son carquois. Même un simple bâton serait mieux que d'être sans arme, face à ce type. Au moindre signe de sa part, j'améliorerais mon mouvement, et me défendrais avoir. Il est hors de question d’utiliser mon pouvoir.
A croire que les imbéciles sont nés ainsi...
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
« Je m’appelle Gwendoline Arget. »
Gwendoline Arget était un nom qui sonnait plutôt français. Enfin, le prénom, quant au nom, ça, je n’en savais rien. C’était un nom franchement correct, un peu oubliable, mais cela me faisait tout drôle car c’était la première fois que j’entendais ce nom. Aussi… Gwendoline… cela lui allait à la perfection. Ce prénom allait parfaitement avec ce ptit visage fin aux lèvres si délicatement rosées… j’en perdrais la tête, vraiment.
Je soupirais profondément, las. Elle était d’une beauté ravageuse, cette jeune fille. J’aimerais l’approcher sans que ce gars chiant et con soit dans mes pattes. Il fallait que je le dégage, mais à la fois, je ne le voulais pas. À vrai dire, il était très intéressant. Peut-être serait-il celui qui inaugurerait mes heures de colles, qui sait ? J’en serais très fier. J’avais tenté l’opération avec Hansel, le petit ami de Caitlyn… ce pauvre connard… mais mes plans n’avaient malheureusement pas abouti.
« Je me nomme Quiet, Quiet Arcwind. Satisfait ? Je ne sais pas qui vous êtes, et très franchement, j’ai du mal à laisser cette gamine entre vos mains, mais l’idée de rester plus longtemps en votre compagnie, rend cette atmosphère si lourde déroutant. »
Oh putain, mon cher Quiet Arcwind, tu venais de te foutre dans une merde considérable. Je me rapprochais de lui, le couvant de mon regard noir, et menaçant, légèrement malicieux. J’allais m’amuser avec lui. On allait passer tout une heure ensemble, dans une salle de classe vide. Non, ne pensez pas à autre chose qu’une colle, je vous en prie. Ce gars ne m’intéresse pas, et quitte à coller quelqu’un pour profiter de lui pendant une heure, j’aurais collée Gwendoline mais… non, ça n’était que des paroles en l’air. Jamais je ne l’aurais fait. Peut-être qu’un mois en arrière, je n’aurais pas hésité, mais là, ça m’était tout à fait impossible. Libido = zéro.
« Ton insolence est un grand défaut, Quiet. » J’ouvrais une parenthèse. « Pardonne-moi si j’écorche ton nom. » Je lui décochais un sourire provocateur, puis je fermais la parenthèse. « Tu ne gagneras rien à jouer au plus malin avec un surveillant… sauf une heure de retenue. »
Je lui adressais un sourire faussement désolé, mais empreint de sadisme.
Gwendoline Arget était un nom qui sonnait plutôt français. Enfin, le prénom, quant au nom, ça, je n’en savais rien. C’était un nom franchement correct, un peu oubliable, mais cela me faisait tout drôle car c’était la première fois que j’entendais ce nom. Aussi… Gwendoline… cela lui allait à la perfection. Ce prénom allait parfaitement avec ce ptit visage fin aux lèvres si délicatement rosées… j’en perdrais la tête, vraiment.
Je soupirais profondément, las. Elle était d’une beauté ravageuse, cette jeune fille. J’aimerais l’approcher sans que ce gars chiant et con soit dans mes pattes. Il fallait que je le dégage, mais à la fois, je ne le voulais pas. À vrai dire, il était très intéressant. Peut-être serait-il celui qui inaugurerait mes heures de colles, qui sait ? J’en serais très fier. J’avais tenté l’opération avec Hansel, le petit ami de Caitlyn… ce pauvre connard… mais mes plans n’avaient malheureusement pas abouti.
« Je me nomme Quiet, Quiet Arcwind. Satisfait ? Je ne sais pas qui vous êtes, et très franchement, j’ai du mal à laisser cette gamine entre vos mains, mais l’idée de rester plus longtemps en votre compagnie, rend cette atmosphère si lourde déroutant. »
Oh putain, mon cher Quiet Arcwind, tu venais de te foutre dans une merde considérable. Je me rapprochais de lui, le couvant de mon regard noir, et menaçant, légèrement malicieux. J’allais m’amuser avec lui. On allait passer tout une heure ensemble, dans une salle de classe vide. Non, ne pensez pas à autre chose qu’une colle, je vous en prie. Ce gars ne m’intéresse pas, et quitte à coller quelqu’un pour profiter de lui pendant une heure, j’aurais collée Gwendoline mais… non, ça n’était que des paroles en l’air. Jamais je ne l’aurais fait. Peut-être qu’un mois en arrière, je n’aurais pas hésité, mais là, ça m’était tout à fait impossible. Libido = zéro.
« Ton insolence est un grand défaut, Quiet. » J’ouvrais une parenthèse. « Pardonne-moi si j’écorche ton nom. » Je lui décochais un sourire provocateur, puis je fermais la parenthèse. « Tu ne gagneras rien à jouer au plus malin avec un surveillant… sauf une heure de retenue. »
Je lui adressais un sourire faussement désolé, mais empreint de sadisme.
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
- Je me nomme Quiet, Quiet Arcwind. Satisfait ? Je ne sais pas qui vous êtes, et très franchement, j’ai du mal à laisser cette gamine entre vos mains, mais l’idée de rester plus longtemps en votre compagnie, rend cette atmosphère si lourde déroutant.
Je surpris un échange de regard entre les deux. Mais qu'est-ce qu'il se passait ? J’aperçus également la main de Quiet se diriger vers mon carquois. Ah ça non ! Il avait l'air stressé, au vu de sa main qui tremblait, mais personne ne touche à mes affaires. Je tentais donc de m'écarter de lui sans pour autant paraître agressive. Je n'aimais pas forcément mon nouvel interlocuteur non plus, mais pas au point de me sentir en danger. Enfin pas plus que d'habitude. Par contre, je me sentais comme enfermée, piégée, et je ne supportais pas ça. L'homme aux ongles noirs, qui ne s'était toujours pas présenté dit alors à Quiet :
Ton insolence est un grand défaut, Quiet. Pardonne-moi si j’écorche ton nom. Tu ne gagneras rien à jouer au plus malin avec un surveillant… sauf une heure de retenue.
Déjà, mon intuition se confirmais : cet homme faisait partie de l'académie. Quel était son rôle ? Je n'en savais rien. Il souriait avec une pointe de sadisme.
Mais putain, mais qui était ce mec ! Je me sentais de moins en moins bien, et l'attitude de ces deux personnes n'étaient pas pour m'aider. J'avais le dos collé contre un mur, aucune possibilité de m'enfuir, et la pression qui montais de plus en plus. Mes oreilles commençaient à bourdonner légèrement, mais je saisissait toujours ce qu'il se passait autour de moi. Je me forçais à me reprendre et à respirer calmement, bien que mon souffle s'accélérait indubitablement.
J'espérais qu'on me laisserais bientôt tranquille, ou qu'au moins, ils allaient s'écarter un peu, car cette proximité couplée à la tension visible entre les deux me mettais vraiment mal à l'aise, surtout qu'ils semblaient s'affronter silencieusement, sans plus s'occuper de moi.
Je surpris un échange de regard entre les deux. Mais qu'est-ce qu'il se passait ? J’aperçus également la main de Quiet se diriger vers mon carquois. Ah ça non ! Il avait l'air stressé, au vu de sa main qui tremblait, mais personne ne touche à mes affaires. Je tentais donc de m'écarter de lui sans pour autant paraître agressive. Je n'aimais pas forcément mon nouvel interlocuteur non plus, mais pas au point de me sentir en danger. Enfin pas plus que d'habitude. Par contre, je me sentais comme enfermée, piégée, et je ne supportais pas ça. L'homme aux ongles noirs, qui ne s'était toujours pas présenté dit alors à Quiet :
Ton insolence est un grand défaut, Quiet. Pardonne-moi si j’écorche ton nom. Tu ne gagneras rien à jouer au plus malin avec un surveillant… sauf une heure de retenue.
Déjà, mon intuition se confirmais : cet homme faisait partie de l'académie. Quel était son rôle ? Je n'en savais rien. Il souriait avec une pointe de sadisme.
Mais putain, mais qui était ce mec ! Je me sentais de moins en moins bien, et l'attitude de ces deux personnes n'étaient pas pour m'aider. J'avais le dos collé contre un mur, aucune possibilité de m'enfuir, et la pression qui montais de plus en plus. Mes oreilles commençaient à bourdonner légèrement, mais je saisissait toujours ce qu'il se passait autour de moi. Je me forçais à me reprendre et à respirer calmement, bien que mon souffle s'accélérait indubitablement.
J'espérais qu'on me laisserais bientôt tranquille, ou qu'au moins, ils allaient s'écarter un peu, car cette proximité couplée à la tension visible entre les deux me mettais vraiment mal à l'aise, surtout qu'ils semblaient s'affronter silencieusement, sans plus s'occuper de moi.
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Plus la scène durait, plus ma vue se flouait, et cela empirait à mesure qu’il me regardait avec son air hautain, jusqu’à ce qu’il prenne la parole.
Ton insolence est un grand défaut, Quiet. Pardonne-moi si j’écorche ton nom. Tu ne gagneras rien à jouer au plus malin avec un surveillant… sauf une heure de retenue.
Que me veut ce pion ? S’il attend de la lèche de ma part, il peut attendre, quoique vu comment il regarde Arget, c’est sans doute ce qu’il attend. Tsss, sale pervers. S’il ne s’agissait que de moi, je serais partie, quitte à utiliser mon pouvoir, seulement du coin de l’oeil, j’observais la nouvelle, un peu inquiète certe, mais surtout mal à l’aise. Je suis loin d'être un héros, ou bien qui que ce soit qui ai de l’importance. Si je peux m’effacer, alors tant mieux. Et s’il était question de vie ou de mort concernant Arget avec l’autre black guy, cela ne m'aurait posé aucun problème. Seulement, la simple idée qu’il puisse profiter d’elle autrement… Surtout sexuellement. Erk, sale pervers.
Un léger silence s’était installé, et je continuais de regarder le pion du coin de l’œil, réfléchissant à la décision que je devais prendre. M’attirer des ennui pour une gamine, jamais, mais la laisser dans cette situation. Intérieurement, j’émis un long soupir, qui faisait écho dans ma tête, éliminant toutes les autres possibilités.
Pusiqu’Arget s’était reculé, la hampe était hors de porter, alors petit à petit, je remis mon bras à sa place. J’osais à peine bouger, cependant, je bouillais de l'intérieur, et cela ne peut signifier qu’une seule chose, mes organites s’affolaient.
Détournant le regard de cet idiot de pion, je pris la parole, avec une voix douce, calme, et assuré, bien qu’en même temps, je fermais les yeux.
Qu’y puis-je ? Je n’ai aucune qualité, mais peux on dire que n’avoir que des défauts est une qualité ? Écorchez mon nom, chantez le, bafouiller le, zozotez le, qu’en ai-je à faire ? Vous le connaissez, ne faites pas l’idiot. Et chercher à être plus malin qu’un idiot, ce n’est pas compliqué, vous ne croyez pas ? Ne répondez pas, cela vous demanderait trop de ressources, et je doute que vous trouviez une réponse. Je n’ai rien à gagner, mais vous, tout à perdre.
Alors laissez cette gamine tranquille, et allez passer cette heure de retenue tout seul, je suis sûr que votre main sera assez occupée durant ce temps.
J'étais prêt à agir et à réagir à n’importe quel moment, l’activation de mes organites était prêt. Je lançai un petit regard vers Arget, avant de me rendre compte que je n’avais pas à faire ça. Je n'apprécie pas cette fille, ni personne ici, alors qu’en ai-je à faire ? Inutile de se reposer la question, ce qui est fait est fait. Froidement, je continuais de regarder Arget, avant de commencer à bouger ma main en direction de ma sacoche, j’avais du mal à chercher à l'intérieur, et durant, je continuais de surveiller l’autre idiot du coin de l’œil, tout en étant attentif au moindre son, et mouvement en sa provenance.
J’avais enfin trouvé ce que je cherchais, et bien accrocher, l’objet était sans doute inutile dans toutes les situations possibles, mais le toucher me fit me sentir mieux. Depuis tout à l’heure, mon cœur s’était mis à accélérer, et ma vue était toujours quelque peu brouillé, mais grâce à ce confort fictif, tout cela se calma progressivement, laissant mon esprit et mon corps en paix. Mentalement, je pris le temps de visualiser ce qu’il y avait autour de nous, et étrangement, c’était bien plus compliqué que prévu. Ce confort avais comme vidé une bonne partie ma mémoire à court terme, ou bien était-ce dû aux Organites ? Quelle idiotie...
Ton insolence est un grand défaut, Quiet. Pardonne-moi si j’écorche ton nom. Tu ne gagneras rien à jouer au plus malin avec un surveillant… sauf une heure de retenue.
Que me veut ce pion ? S’il attend de la lèche de ma part, il peut attendre, quoique vu comment il regarde Arget, c’est sans doute ce qu’il attend. Tsss, sale pervers. S’il ne s’agissait que de moi, je serais partie, quitte à utiliser mon pouvoir, seulement du coin de l’oeil, j’observais la nouvelle, un peu inquiète certe, mais surtout mal à l’aise. Je suis loin d'être un héros, ou bien qui que ce soit qui ai de l’importance. Si je peux m’effacer, alors tant mieux. Et s’il était question de vie ou de mort concernant Arget avec l’autre black guy, cela ne m'aurait posé aucun problème. Seulement, la simple idée qu’il puisse profiter d’elle autrement… Surtout sexuellement. Erk, sale pervers.
Un léger silence s’était installé, et je continuais de regarder le pion du coin de l’œil, réfléchissant à la décision que je devais prendre. M’attirer des ennui pour une gamine, jamais, mais la laisser dans cette situation. Intérieurement, j’émis un long soupir, qui faisait écho dans ma tête, éliminant toutes les autres possibilités.
Pusiqu’Arget s’était reculé, la hampe était hors de porter, alors petit à petit, je remis mon bras à sa place. J’osais à peine bouger, cependant, je bouillais de l'intérieur, et cela ne peut signifier qu’une seule chose, mes organites s’affolaient.
Détournant le regard de cet idiot de pion, je pris la parole, avec une voix douce, calme, et assuré, bien qu’en même temps, je fermais les yeux.
Qu’y puis-je ? Je n’ai aucune qualité, mais peux on dire que n’avoir que des défauts est une qualité ? Écorchez mon nom, chantez le, bafouiller le, zozotez le, qu’en ai-je à faire ? Vous le connaissez, ne faites pas l’idiot. Et chercher à être plus malin qu’un idiot, ce n’est pas compliqué, vous ne croyez pas ? Ne répondez pas, cela vous demanderait trop de ressources, et je doute que vous trouviez une réponse. Je n’ai rien à gagner, mais vous, tout à perdre.
J’ouvris alors les yeux, et tournai me tète droit vers lui, le regardant droit dans le blanc des yeux. Ma voix haussa quelque peu, et devint un peu plus grave.
Alors laissez cette gamine tranquille, et allez passer cette heure de retenue tout seul, je suis sûr que votre main sera assez occupée durant ce temps.
J'étais prêt à agir et à réagir à n’importe quel moment, l’activation de mes organites était prêt. Je lançai un petit regard vers Arget, avant de me rendre compte que je n’avais pas à faire ça. Je n'apprécie pas cette fille, ni personne ici, alors qu’en ai-je à faire ? Inutile de se reposer la question, ce qui est fait est fait. Froidement, je continuais de regarder Arget, avant de commencer à bouger ma main en direction de ma sacoche, j’avais du mal à chercher à l'intérieur, et durant, je continuais de surveiller l’autre idiot du coin de l’œil, tout en étant attentif au moindre son, et mouvement en sa provenance.
J’avais enfin trouvé ce que je cherchais, et bien accrocher, l’objet était sans doute inutile dans toutes les situations possibles, mais le toucher me fit me sentir mieux. Depuis tout à l’heure, mon cœur s’était mis à accélérer, et ma vue était toujours quelque peu brouillé, mais grâce à ce confort fictif, tout cela se calma progressivement, laissant mon esprit et mon corps en paix. Mentalement, je pris le temps de visualiser ce qu’il y avait autour de nous, et étrangement, c’était bien plus compliqué que prévu. Ce confort avais comme vidé une bonne partie ma mémoire à court terme, ou bien était-ce dû aux Organites ? Quelle idiotie...
Les efforts paient, mais je déteste donner de ma personne. Bande d'idiots.
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
- HRP:
- Arget, Tu veut que l'on continue sans Brian ?
Re: Plongée dans un nouveau monde [Libre]
Les deux continuaient, de se parler froidement, insinuant tour à tour des choses. Je n'écoutais plus depuis un moment, trop occupée à essayer de me calmer. Je surpris un regard froid de Quiet tandis qu'il cherchait quelque chose dans sa sacoche. Tout se bousculais dans ma tête. J'étais clairement effrayée. Je cherchais une échappatoire, quelque chose pour me sortir de cette situation intenable. Hors de question d'attaquer ni l'un ni l'autre, nous étions dans une école de pouvoirs et je n'avais aucune idée de leurs capacités. Je n'avais que la fuite. J'étais sûre qu'ils m'observaient du coin de l’œil, qu'ils me rattrapent s'il le souhaitent, mais moi, je n'en pouvais plus. En longeant le mur auquel j'avais toujours le dos collé, je m'éloignais d'eux, les mains fourrées dans ma poche de sweat serrant convulsivement ma garde.
Une fois un peu éloignée d'eux, je regagnais rapidement la porte et sortis dehors. J'arrivais dans les jardins, au milieu de trois grands bâtiment. Je m'assis sur le bord du chemin, la tête dans les genoux, fermant les yeux. Enfin de l'air ! Enfin un peu de calme. Les informations, ce que je devais faire, cela attendrait un peu. Je respirais profondément, m'apaisant peu à peu. J'avais conscience des regards étonnés autour de moi, mais je n'aurais su dire si c'était à cause de mes armes, ou du fait que je sois assise ainsi à terre. Je restais ainsi prostrée, ne me souciant de rien d'autre que de me calmer. Faire une crise de panique n'était pas l'idéal pour le premier jour où j'étais censée être en sécurité. C'était la première fois que j'angoissais à ce point. Les angoisses étaient toujours présentes au fond de moi, mais j'évitais toutes les situations potentiellement angoissantes, c'est-à-dire dangereuses. Je n'avais plus le chois désormais, et il allait falloir que je m'y fasse.
Au bout d'un petit moment, je me relevais. Aucun des deux hommes ne m'avaient suivis, tant mieux. Je pris mon courage à deux mains avant de demander à une personne passant par là d'une voix presque inaudible si elle pouvait m'indiquer ce que je devais faire. Je suivis ses renseignements, et arrivais sans encombres jusqu'au bureau des surveillants où je laissais mes flèches « dangereuses » et récupérais mes clés. Puis je me rendis jusqu'à ma chambre
Une fois un peu éloignée d'eux, je regagnais rapidement la porte et sortis dehors. J'arrivais dans les jardins, au milieu de trois grands bâtiment. Je m'assis sur le bord du chemin, la tête dans les genoux, fermant les yeux. Enfin de l'air ! Enfin un peu de calme. Les informations, ce que je devais faire, cela attendrait un peu. Je respirais profondément, m'apaisant peu à peu. J'avais conscience des regards étonnés autour de moi, mais je n'aurais su dire si c'était à cause de mes armes, ou du fait que je sois assise ainsi à terre. Je restais ainsi prostrée, ne me souciant de rien d'autre que de me calmer. Faire une crise de panique n'était pas l'idéal pour le premier jour où j'étais censée être en sécurité. C'était la première fois que j'angoissais à ce point. Les angoisses étaient toujours présentes au fond de moi, mais j'évitais toutes les situations potentiellement angoissantes, c'est-à-dire dangereuses. Je n'avais plus le chois désormais, et il allait falloir que je m'y fasse.
Au bout d'un petit moment, je me relevais. Aucun des deux hommes ne m'avaient suivis, tant mieux. Je pris mon courage à deux mains avant de demander à une personne passant par là d'une voix presque inaudible si elle pouvait m'indiquer ce que je devais faire. Je suivis ses renseignements, et arrivais sans encombres jusqu'au bureau des surveillants où je laissais mes flèches « dangereuses » et récupérais mes clés. Puis je me rendis jusqu'à ma chambre
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