Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
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Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
Cette semaine avait été assez laborieuse, entre les cours de pouvoirs qui s’étaient mal terminé, et mes altercations avec les habituels idiots, tout cela commençait à m'exaspérer. Pourtant, en définitive, si cette semaine s’était mal déroulé, c’était à cause à de mon manque de concentration. Jusqu’à présent, j’ai toujours focalisé mes objectifs, et n’ai jamais dévié de cela, cependant, je semblais perdu à présent. L’inspiration pour répondre à ces idiots me manquait, ma rhétorique s’était absentée, à ma curiosité légendaire à l’égard des pouvoirs des élèves que je rencontrais avait presque disparu. Mes nuits étaient agitées, mais dire que c’était à cause de matthieuw, ce porc du dortoir qui n'arrête pas de ronfler, aurait été un mensonge. Non, c’était autre chose, c’était à cause de multiple question que je me posais, et qui tournaient sans cesse dans ma tête. À mon réveil, aujourd’hui il me semble que je sors d'un mauvais rêve. Il ne s'agit point de ces songes qui me tracasse depuis le début de cette semaine, non. Cette fois, c’est cette scène, que je redoutais revoir, et que mon esprit avait retourné et transformer de diverses manières.
Ce réveil, aussi perturbant soit-il, m’avais remis dans la réalité de ce monde, à 5h du matin. Les autres rêveurs du dortoir avaient l’air, quanta eux, de passer une bonne nuit. J’émis un long soupir, regardant le plafond intemporelle de la chambre, puis décidai de me lever. Je ressemblais alors mes affaires d’un jour, puis alla prendre une douche discrète au milieu de cette fraîche mâtiné.
Je ne saurais dire si cette journée avait-été bonne ou mauvaise, je n’y ai pas prêté attention. Durant toute la mâtiné, je suis resté dans la bibliothèque. Fait amusant, un chat s’y était introduit, mettant en colère le vieux qui tient la barque, il l'a fait courir durant une bonne demi-heure. Puis après avoir sauté le repas du midi, je m’en allais marcher dans l'académie, sans vraiment avoir de destination.
Au bout d’une bonne heure de promenade, j’arrivais aux jardins, qui emplissaient à nouveau mon nez d’odeurs mélancoliques. Cependant, la vue de ce paradis florale me troubla quelque peu, et une soudaine inquiétude envahissait mon corps. Je repensais à cette fille, que j’avais rencontrée il y a plus d’une semaine de cela, et… Je doute ne pas l’avoir délaissé de mon esprit durant. Je crois que c’est à cause de cela, que cette semaine s’est si mal passé. N’ayant plus à réfléchir, et d’un pas ferme, je me dirigeais vers le bureau des surveillant, pour connaître l’emploi du temps de cette idiote, et aller à sa rencontre. Je ne savais pas si c’était une bonne idée, mais j’avais besoin d’avoir des réponses sur ce qu’elle m’avait fait.
Après mes quelques tours d’éloquence, j’appris que la jeune femme, était bel et bien nouvelle, et qu’elle avait pris un emploi dans la ville d’à côté, dans un établissement de beuverie ou quelque chose dans le genre. Le trajet du bus fut ennuyeux, mais le plus dure fut la recherche de son lieu de travail. Le quartier avait pas mal d’ambiance, et était très fréquenté. Bien que le soir venait à peine de tomber, il devait être 21h, certains idiots avaient déjà plus bus qu’ils ne le pouvaient. Pris d’une grande patience, ce qui est rare, je continuais de déambuler dans les rues de ce quartier chaotique et énervant. Enfin, il me semblait reconnaître le bâtiment, et c’est sans plus attendre que j’entrasse dans celui-ci.
Le lieu était assez tamisé, et la salle elle, silencieuse. Le barman lui-même levais la main pour appeler ses collègues, au lieu de les nommés. Je jetais un coup d’œil rapide tout autour de moi, cherchant cette jeune fille, de qui, avec tout ces souvenirs et scènes que je voyais depuis le début de la semaine, j’avais gardé une très bonne image. Mon coup d’œil fut rapide, mais je ne l'apercevais pas. Je me demandais si elle n’était pas dans une sorte de pause, remplacer par une serveuse, ou si je m’étais trompé d’endroit. Je m’installais donc, sur une table vide, de deux places, et commanda un chocolat chaud. Je continuais de surveiller l’endroit, et de la chercher, mais en vain. Ne prêtant ni écoutant l’ambiance, et n'ayant cure des autres gens, je tentais de détendre mon esprit en buvant le chocolat chaud.
D’un coup, alors, le son d’un micro s’activa. Légèrement surpris par le son, je cherchais d'où cela venait, et n’a pas eu à le faire longtemps. J’avais trouvé cette idiote… An... Andréa. Qu’allait-elle faire avec ce micro ? J'espère qu’elle n’est que technicienne, je n’ai pas envie d’attendre la fin d’un spectacle ! Je n’en décrochais pas les yeux, elle fit quelques tests de micro, pour lança la musique, se mettant alors à chanter. J’émis un long soupir, trouvant cela idiot, mais dans le fond, j'appréciais cela. D’ailleurs, il me semble que… Oh, c’est la même voix du jardin ! C’est-elle ? Je me mis alors à rougir, à l’idée de l’avoir complétée dans ma tête, la dernière fois, et continua de boire mon chocolat chaud, le temps qu’elle termine de son côté, ou ai une pause.
Cependant, à mesure que j’attendais, l’irrésistible envie de partir se faisait sentir, et mon corps me le faisait savoir de bien des manières. Sueurs, gène, et joue rouge, je n’arrivais pas me contrôler. Je commandais encore un chocolat chaud, et le pris avec moi, en dehors du bar. Le fait de prendre l’air, raviva mon corps et mon esprit, comme si j’avais une seconde jeunesse, tandis que j’avais vieilli au simple fait d'être dans ce bar. J’hésitais à entrer de nouveaux, et cette seule idée emballa mon cœur. Je regardait mes habits, habituelles comme a chaque jours, et étrangement, je ne les trouvaient pas de rigueur. Comment pouvais-je pensé cela ?! Bien sur que si, ils l'étaient ! Ils offrent une protection mineur grâce a leurs plaques, mais reste léger et flexible, et tiens chaud en cas de besoin ! En cas d'attaque, j'était prêt ! ... Alors pourquoi continuais-je pensé qu'ils n'étaient pas de rigueur ? C'est stupide.
Ce réveil, aussi perturbant soit-il, m’avais remis dans la réalité de ce monde, à 5h du matin. Les autres rêveurs du dortoir avaient l’air, quanta eux, de passer une bonne nuit. J’émis un long soupir, regardant le plafond intemporelle de la chambre, puis décidai de me lever. Je ressemblais alors mes affaires d’un jour, puis alla prendre une douche discrète au milieu de cette fraîche mâtiné.
Je ne saurais dire si cette journée avait-été bonne ou mauvaise, je n’y ai pas prêté attention. Durant toute la mâtiné, je suis resté dans la bibliothèque. Fait amusant, un chat s’y était introduit, mettant en colère le vieux qui tient la barque, il l'a fait courir durant une bonne demi-heure. Puis après avoir sauté le repas du midi, je m’en allais marcher dans l'académie, sans vraiment avoir de destination.
Au bout d’une bonne heure de promenade, j’arrivais aux jardins, qui emplissaient à nouveau mon nez d’odeurs mélancoliques. Cependant, la vue de ce paradis florale me troubla quelque peu, et une soudaine inquiétude envahissait mon corps. Je repensais à cette fille, que j’avais rencontrée il y a plus d’une semaine de cela, et… Je doute ne pas l’avoir délaissé de mon esprit durant. Je crois que c’est à cause de cela, que cette semaine s’est si mal passé. N’ayant plus à réfléchir, et d’un pas ferme, je me dirigeais vers le bureau des surveillant, pour connaître l’emploi du temps de cette idiote, et aller à sa rencontre. Je ne savais pas si c’était une bonne idée, mais j’avais besoin d’avoir des réponses sur ce qu’elle m’avait fait.
Après mes quelques tours d’éloquence, j’appris que la jeune femme, était bel et bien nouvelle, et qu’elle avait pris un emploi dans la ville d’à côté, dans un établissement de beuverie ou quelque chose dans le genre. Le trajet du bus fut ennuyeux, mais le plus dure fut la recherche de son lieu de travail. Le quartier avait pas mal d’ambiance, et était très fréquenté. Bien que le soir venait à peine de tomber, il devait être 21h, certains idiots avaient déjà plus bus qu’ils ne le pouvaient. Pris d’une grande patience, ce qui est rare, je continuais de déambuler dans les rues de ce quartier chaotique et énervant. Enfin, il me semblait reconnaître le bâtiment, et c’est sans plus attendre que j’entrasse dans celui-ci.
Le lieu était assez tamisé, et la salle elle, silencieuse. Le barman lui-même levais la main pour appeler ses collègues, au lieu de les nommés. Je jetais un coup d’œil rapide tout autour de moi, cherchant cette jeune fille, de qui, avec tout ces souvenirs et scènes que je voyais depuis le début de la semaine, j’avais gardé une très bonne image. Mon coup d’œil fut rapide, mais je ne l'apercevais pas. Je me demandais si elle n’était pas dans une sorte de pause, remplacer par une serveuse, ou si je m’étais trompé d’endroit. Je m’installais donc, sur une table vide, de deux places, et commanda un chocolat chaud. Je continuais de surveiller l’endroit, et de la chercher, mais en vain. Ne prêtant ni écoutant l’ambiance, et n'ayant cure des autres gens, je tentais de détendre mon esprit en buvant le chocolat chaud.
D’un coup, alors, le son d’un micro s’activa. Légèrement surpris par le son, je cherchais d'où cela venait, et n’a pas eu à le faire longtemps. J’avais trouvé cette idiote… An... Andréa. Qu’allait-elle faire avec ce micro ? J'espère qu’elle n’est que technicienne, je n’ai pas envie d’attendre la fin d’un spectacle ! Je n’en décrochais pas les yeux, elle fit quelques tests de micro, pour lança la musique, se mettant alors à chanter. J’émis un long soupir, trouvant cela idiot, mais dans le fond, j'appréciais cela. D’ailleurs, il me semble que… Oh, c’est la même voix du jardin ! C’est-elle ? Je me mis alors à rougir, à l’idée de l’avoir complétée dans ma tête, la dernière fois, et continua de boire mon chocolat chaud, le temps qu’elle termine de son côté, ou ai une pause.
Cependant, à mesure que j’attendais, l’irrésistible envie de partir se faisait sentir, et mon corps me le faisait savoir de bien des manières. Sueurs, gène, et joue rouge, je n’arrivais pas me contrôler. Je commandais encore un chocolat chaud, et le pris avec moi, en dehors du bar. Le fait de prendre l’air, raviva mon corps et mon esprit, comme si j’avais une seconde jeunesse, tandis que j’avais vieilli au simple fait d'être dans ce bar. J’hésitais à entrer de nouveaux, et cette seule idée emballa mon cœur. Je regardait mes habits, habituelles comme a chaque jours, et étrangement, je ne les trouvaient pas de rigueur. Comment pouvais-je pensé cela ?! Bien sur que si, ils l'étaient ! Ils offrent une protection mineur grâce a leurs plaques, mais reste léger et flexible, et tiens chaud en cas de besoin ! En cas d'attaque, j'était prêt ! ... Alors pourquoi continuais-je pensé qu'ils n'étaient pas de rigueur ? C'est stupide.
J'aimerais simplement... Supprimer toutes ces idées dans ma tête, et laisser tout cela redevenir normal !
Dernière édition par Quiet Arcwind le Mer 23 Aoû 2017, 16:20, édité 1 fois
Re: Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
Cela faisait une semaine depuis mon arrivée à l'académie et je commençais petit à petit à me familier avec l'endroit. Mon endroit préféré était décidément le jardin, à la fois calme et très vivant de par sa flore, cela faisait vraiment du bien de s'y rendre, afin d'écouter ma musique tout en sentant l'odeur des fleurs environnantes.
Je n'avais pas beaucoup de nouvelles de mon ancienne "famille", ils font leur petite vie tranquille devant la télévision, après tout ils ont quand même un certain âge donc ils ne passent pas leur temps scotché au téléphone. Pendant la semaine, j'ai reçu la permission pour trouver un emploi, j'avais demandé en arrivant, car je préfère vivre par mes propres moyens, plutôt que de rester constamment à l'intérieur de l'académie, cela me permet de vivre "normalement", comme tous les gens de mon âge.
Je me suis donc rendu au centre-ville où j'ai aperçu un quartier très animé qui me donnait envie, je me suis donc rendu dans divers endroits afin d'être recruté et l'un d'eux a retenu mon attention, un sorte de bar/club, très sympa et plutôt branché, j'ai réussi à dégoter le poste de chanteuse/animatrice, parfois serveuse lorsqu'il y a trop de mondes, cela me plait pas mal, comme ça je me dépense, mais j'évite vraiment ma maladresse légendaire, sous peine de perdre mon emploi...
Ce soir là je suis donc allée à mon travail comme à mon habitude, cependant je portais encore l'uniforme de mon académie, il fallait donc que je me change en arrivant. Une fois arrivée à mon lieu de travail et après avoir salué mon patron, je me change donc pour la soirée, je porte une longue robe noir, fendu jusqu'aux cuisses, avec un décolleté assez plongeant et un petit par dessus en soie, pour ne pas être trop vulgaire, surtout pour ne pas avoir de problèmes... masculins.
J'entre ensuite dans la salle et teste le micro, tout à l'air de fonctionner, je lance donc la musique et me met à chanter.
Mon trac habituel n'a pas l'air de refaire surface, tout se passe le mieux du monde, sous les yeux des clients, je fais donc mon "numéro" de chant.
Durant ma performance, j'observe la salle et me rends compte que le jeune homme de la dernière fois était venu... Quiet.. Oh mon dieu ! je suis dans cette tenue devant lui ! Que va-t-il penser de moi ?
Je le vis prendre sa boisson chaude et sortir du bar, peut être trop de monde pour lui, il a l'air plutôt associable comme garçon.
Je finis ma performance et demande à mon patron si je peux faire une petite pause, il m'accorde donc celle-ci, car grâce à moi, il a rapporter gros aujourd'hui. Je me décidais alors finalement à me rendre à l'extérieur et à aller voir Quiet. Je le vis rouge comme une tomate, observant ses vêtements, l'air interrogateur. Je lui souris timidement en lui déclarant :
"Tes vêtements sont très bien, ne t'inquiète pas."
Je me mis à rire légèrement et m'aperçus qu'il buvait du chocolat chaud, en cette saison, je trouvais cela étonnant, mais après tout chacun ses goûts. Je me mis à rougir en baissant la tête en lui demandant :
"Tu.. tu as aimé ma performance ?"
Pourquoi avais je besoin de son approbation pour me sentir bien, je ne le savais pas.. Quel curieuse sensation.
Je n'avais pas beaucoup de nouvelles de mon ancienne "famille", ils font leur petite vie tranquille devant la télévision, après tout ils ont quand même un certain âge donc ils ne passent pas leur temps scotché au téléphone. Pendant la semaine, j'ai reçu la permission pour trouver un emploi, j'avais demandé en arrivant, car je préfère vivre par mes propres moyens, plutôt que de rester constamment à l'intérieur de l'académie, cela me permet de vivre "normalement", comme tous les gens de mon âge.
Je me suis donc rendu au centre-ville où j'ai aperçu un quartier très animé qui me donnait envie, je me suis donc rendu dans divers endroits afin d'être recruté et l'un d'eux a retenu mon attention, un sorte de bar/club, très sympa et plutôt branché, j'ai réussi à dégoter le poste de chanteuse/animatrice, parfois serveuse lorsqu'il y a trop de mondes, cela me plait pas mal, comme ça je me dépense, mais j'évite vraiment ma maladresse légendaire, sous peine de perdre mon emploi...
Ce soir là je suis donc allée à mon travail comme à mon habitude, cependant je portais encore l'uniforme de mon académie, il fallait donc que je me change en arrivant. Une fois arrivée à mon lieu de travail et après avoir salué mon patron, je me change donc pour la soirée, je porte une longue robe noir, fendu jusqu'aux cuisses, avec un décolleté assez plongeant et un petit par dessus en soie, pour ne pas être trop vulgaire, surtout pour ne pas avoir de problèmes... masculins.
J'entre ensuite dans la salle et teste le micro, tout à l'air de fonctionner, je lance donc la musique et me met à chanter.
Mon trac habituel n'a pas l'air de refaire surface, tout se passe le mieux du monde, sous les yeux des clients, je fais donc mon "numéro" de chant.
Durant ma performance, j'observe la salle et me rends compte que le jeune homme de la dernière fois était venu... Quiet.. Oh mon dieu ! je suis dans cette tenue devant lui ! Que va-t-il penser de moi ?
Je le vis prendre sa boisson chaude et sortir du bar, peut être trop de monde pour lui, il a l'air plutôt associable comme garçon.
Je finis ma performance et demande à mon patron si je peux faire une petite pause, il m'accorde donc celle-ci, car grâce à moi, il a rapporter gros aujourd'hui. Je me décidais alors finalement à me rendre à l'extérieur et à aller voir Quiet. Je le vis rouge comme une tomate, observant ses vêtements, l'air interrogateur. Je lui souris timidement en lui déclarant :
"Tes vêtements sont très bien, ne t'inquiète pas."
Je me mis à rire légèrement et m'aperçus qu'il buvait du chocolat chaud, en cette saison, je trouvais cela étonnant, mais après tout chacun ses goûts. Je me mis à rougir en baissant la tête en lui demandant :
"Tu.. tu as aimé ma performance ?"
Pourquoi avais je besoin de son approbation pour me sentir bien, je ne le savais pas.. Quel curieuse sensation.
Re: Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
À mesure que j’absorbais la chaleur de ce chocolat, une légère fine brise se frayait un chemin à travers mes chemins, donnant une agréable sensation de légèreté, comme si je volais, avec le regard du soleil sur moi. J’émis un petit soupir, rêvant de cette liberté, sans contrainte, ni questionnement.
J'hésitais ainsi, à rentrer à nouveau dans le bar, entre mon avis qui avait changé sur le style de mes vêtements, puis à cause du stress, qui montait en moi à mesure que je tentais de me persuader d’y retourner. Durant cette introspection, les gens riaient, chantaient, et se bousculaient dans la rue, où se mêlaient joie, peine, pleures, et amour. L’ambiance était présente, mais j’avais du mal à suivre ce fil qui amenait à ne plus réfléchir, et à se laisser porter par l’humeur générale, et de suivre le comportement de mes pairs. J'étais accoudé, la, contre l’une des barrière de la rue devant le bar, et observais le monde qui bougeait et vivait, avec moi en tant que spectateur.
Soudainement, j’entendis la porte derrière moi, s’ouvrir. Je tournais la tête vers l'arrière, et remarquai l’idiote, Andréas, passer la porte, et en me regardant, elle me fit un sourire.
Ce sourire m’était interrogateur, mais ma réaction ne changera pas cette décision s’avancer vers moi, et de me parler
- Tes vêtements sont très bien, ne t'inquiète pas.
Mes vêtements ? Comment sait-elle que... ? Cette idée me gêna, et je tournais de nouveau la tête vers la rue, ou timidité et gêné donnait des couleurs à mon visage. De toute manière, peu importe ce que je pense de ces vêtements, je ne risque pas de pouvoir les changés dans l’instant… Le fond de mon chocolat chaud faisait grise mine, le chocolat n’était plus vraiment mélanger avec le reste, et je me focaliser sur l’idée de le touiller. À côté de moi, je l’observais du coin de l’œil, toujours gêné, et sans savoir ce qu’elle avait en tête, ni ressentait, baissa sa tête, et repris la parole.
- Tu... tu as aimé ma performance ?
Il faut être honnête, bien que j’ai fait attention à sa “performance” au début, lorsque j’ai reconnu sa voix, je n'étais plus vraiment concentré. Je rougissais à l’idée de regarder plus bas que sa tête, la robe qu’elle porte, la rendait très…. Bref, très idiote sur scène, et cela, à sûrement perturber ma concentration sur l’écoute de sa musique. J’évitais de la regarder, laissant mon regard fixé un peu partout dans la rue, et même si je tentais, ma gêne et ma timidité m’en empêcherais. À l’instant, je voulais aussi fuir, comme lors du restaurant, cependant, de quoi j’aurais l’air… De quoi j’aurais l’air ? Mais je n’en rien à faire, de quoi elle pense de moi ! Je n’ai qu’à partir, prendre le bus, et rentrer ! Peu importe ce qu’elle en dit ! … Alors pourquoi je reste là, à l’observais du coin de l’œil ? Conscient que j’avais posé un petit silence, timidement, je lui réponds.
- Oui... Peut-être. Je ne sais pas, je veux dire, sans doute que si, ou bien peut-être que non. Je n’ai pas assez écouté pour savoir, je pense, et puis il faut… S’habituer ? Enfin, je veux dire...Oui.
Ce “oui” me paraissait aussi idiot que tous mes autres mots, mais je n’arrivais pas à reprendre la parole. Je finissais le fond de mon chocolat chaud, sans le touiller, dénouant par la même occasion, le nœud et la boule qui s’était créé dans ma gorge, puis me posait à la question d’en reprendre encore un autre.
J'hésitais ainsi, à rentrer à nouveau dans le bar, entre mon avis qui avait changé sur le style de mes vêtements, puis à cause du stress, qui montait en moi à mesure que je tentais de me persuader d’y retourner. Durant cette introspection, les gens riaient, chantaient, et se bousculaient dans la rue, où se mêlaient joie, peine, pleures, et amour. L’ambiance était présente, mais j’avais du mal à suivre ce fil qui amenait à ne plus réfléchir, et à se laisser porter par l’humeur générale, et de suivre le comportement de mes pairs. J'étais accoudé, la, contre l’une des barrière de la rue devant le bar, et observais le monde qui bougeait et vivait, avec moi en tant que spectateur.
Soudainement, j’entendis la porte derrière moi, s’ouvrir. Je tournais la tête vers l'arrière, et remarquai l’idiote, Andréas, passer la porte, et en me regardant, elle me fit un sourire.
Ce sourire m’était interrogateur, mais ma réaction ne changera pas cette décision s’avancer vers moi, et de me parler
- Tes vêtements sont très bien, ne t'inquiète pas.
Mes vêtements ? Comment sait-elle que... ? Cette idée me gêna, et je tournais de nouveau la tête vers la rue, ou timidité et gêné donnait des couleurs à mon visage. De toute manière, peu importe ce que je pense de ces vêtements, je ne risque pas de pouvoir les changés dans l’instant… Le fond de mon chocolat chaud faisait grise mine, le chocolat n’était plus vraiment mélanger avec le reste, et je me focaliser sur l’idée de le touiller. À côté de moi, je l’observais du coin de l’œil, toujours gêné, et sans savoir ce qu’elle avait en tête, ni ressentait, baissa sa tête, et repris la parole.
- Tu... tu as aimé ma performance ?
Il faut être honnête, bien que j’ai fait attention à sa “performance” au début, lorsque j’ai reconnu sa voix, je n'étais plus vraiment concentré. Je rougissais à l’idée de regarder plus bas que sa tête, la robe qu’elle porte, la rendait très…. Bref, très idiote sur scène, et cela, à sûrement perturber ma concentration sur l’écoute de sa musique. J’évitais de la regarder, laissant mon regard fixé un peu partout dans la rue, et même si je tentais, ma gêne et ma timidité m’en empêcherais. À l’instant, je voulais aussi fuir, comme lors du restaurant, cependant, de quoi j’aurais l’air… De quoi j’aurais l’air ? Mais je n’en rien à faire, de quoi elle pense de moi ! Je n’ai qu’à partir, prendre le bus, et rentrer ! Peu importe ce qu’elle en dit ! … Alors pourquoi je reste là, à l’observais du coin de l’œil ? Conscient que j’avais posé un petit silence, timidement, je lui réponds.
- Oui... Peut-être. Je ne sais pas, je veux dire, sans doute que si, ou bien peut-être que non. Je n’ai pas assez écouté pour savoir, je pense, et puis il faut… S’habituer ? Enfin, je veux dire...Oui.
Ce “oui” me paraissait aussi idiot que tous mes autres mots, mais je n’arrivais pas à reprendre la parole. Je finissais le fond de mon chocolat chaud, sans le touiller, dénouant par la même occasion, le nœud et la boule qui s’était créé dans ma gorge, puis me posait à la question d’en reprendre encore un autre.
J'aimerais... Non.
Re: Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
Je me sentais un peu stupide à être là devant lui, attendant son approbation, pourquoi ai je tant besoin de savoir ce qu'il pense de moi ? et surtout pourquoi ai je besoin que cela soit positif, je veux lui plaire... c'est ce que je me dis dans ma tête, mais pourquoi donc ? C'est bien la première fois que j'ai de ce genre de pensée. C'est tellement..obscène.
Le comportement de Quiet est vraiment étrange, depuis notre dernière rencontre, il a l'air encore plus mal à l'aise, comme si quelque chose le dérangeait. Serait ce ma tenue qui le dérange ? Mon opulente poitrine est trop découverte ? C'est vrai que ce n'est pas très sain tout ça..
Mais le patron m'a dit qu'il fallait "aguicher" les clients et que cela permettrait de rendre ma prestation meilleure, et ainsi par la même occasion augmenter mon salaire. Quiet est confus, il prononce un certain nombre de mots, ma performance a l'air de lui avoir plu, mais quelque chose le perturbe je le vois bien, j'ai réellement envie de lui demander, mais que peut-il bien se passer dans sa tête. Je décide donc de m'approcher un peu plus de lui, je l'observe, il regarde partout sauf dans ma direction. Je pose ma main sur son épaule et le regarde d'un air inquiet :
"Que se passe t-il Quiet...Pourquoi ne me regardes tu pas ?"
Je ne sais pas vraiment qui je suis pour lui au final, une étrangère qui ne lui a apporté que des ennuis sans doute, pourtant j'aimerai être plus que cela, après tout, c'est lui qui a réussi à briser mon masque aussi facilement, comme si, cela avait été qu'un masque de verre, si fragile. Je dois essayer de me reprendre, après tout, je suis ici pour contrôler mon pouvoir, il ne faut pas que la moindre émotion transparaisse, afin de ne blesser personne, cela serait trop triste...
Le comportement de Quiet est vraiment étrange, depuis notre dernière rencontre, il a l'air encore plus mal à l'aise, comme si quelque chose le dérangeait. Serait ce ma tenue qui le dérange ? Mon opulente poitrine est trop découverte ? C'est vrai que ce n'est pas très sain tout ça..
Mais le patron m'a dit qu'il fallait "aguicher" les clients et que cela permettrait de rendre ma prestation meilleure, et ainsi par la même occasion augmenter mon salaire. Quiet est confus, il prononce un certain nombre de mots, ma performance a l'air de lui avoir plu, mais quelque chose le perturbe je le vois bien, j'ai réellement envie de lui demander, mais que peut-il bien se passer dans sa tête. Je décide donc de m'approcher un peu plus de lui, je l'observe, il regarde partout sauf dans ma direction. Je pose ma main sur son épaule et le regarde d'un air inquiet :
"Que se passe t-il Quiet...Pourquoi ne me regardes tu pas ?"
Je ne sais pas vraiment qui je suis pour lui au final, une étrangère qui ne lui a apporté que des ennuis sans doute, pourtant j'aimerai être plus que cela, après tout, c'est lui qui a réussi à briser mon masque aussi facilement, comme si, cela avait été qu'un masque de verre, si fragile. Je dois essayer de me reprendre, après tout, je suis ici pour contrôler mon pouvoir, il ne faut pas que la moindre émotion transparaisse, afin de ne blesser personne, cela serait trop triste...
Re: Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
Le passage des piétons est si dense ici, et les voitures qui défilent sont bien plus “haute gamme” que dans le reste la ville. Mille et une couleur se mélangeaient dans la rue, entre les néons des différents magasins, bars, et restaurants, celles des voitures plus extraverties les unes que les autres, et enfin le rouge de mes joues dans cette palette de couleur. Mes yeux se laissaient guider par les couleurs chaudes qui passaient devant moi, mais mes pensées elles, se focalisaient sur la situation actuelle, et les mots que j'avais sortie. Rien n’était clair ni concis, j’ai tant de mal parler… Tsk, ou est donc mon éloquence et ma rhétorique ? À cause d’une simple idiote, j’en perds mes mots ? Tsk, impossible.
Malgré le vagabondage de mon regard, du coin des yeux, je gardais un œil vers Andréa, une sorte de méfiance indéfinissable. Elle s’approcha lentement vers moi, en tentant d’entrer dans mon champ de vision, et de voir ce que je regardais. Puis, après un léger instant ou le temps s’était comme arrêté, durant lequel elle me regardait sans rien dire ni faire, puis, comme si elle avait soumis à sa volonté le temps et l'espace, elle fit les derniers pas qui nous éloignaient, et déposa sa main sur mon épaule, et fit en même temps, d’un air… Étrange :
Que se passe t-il Quiet...Pourquoi ne me regardes-tu pas ?
Instinctivement, je me retourna vers elle, décrochant sa main de mon épaule, puis l’attrapa au niveau du poignet avec ma main droite. Le geste était rapide et légèrement violent, mais sans aucun mal. Je la regardais alors, dans les yeux, durant quelques instants. J’avais l’impression, cette fois, que c’était moi qui contrôlais l'espace et le temps, comme si, durant ces quelques secondes, je voyais, et pouvais tout faire. Ces pensées sont complètement idiotes, mais… Tsk. Le regard soutenu dans ses yeux, j'ouvris la parole, avec cette fois, facilité, et aisance. Les mots sortaient aussi facilement que l’écoulement d’une cascade.
- Tu devrais arrêter de faire douter mon esprit, et mes impressions. Jamais je n’ai posé autant de questions à propos d’une personne, en dehors de mon frère. Je ne sais pas qui tu es, ni ce que tu veux, mais à cause de toi… Je ne sais pas ce que je veux non plus.
Lâchant lentement sa main, je détournais le regard, avant d’aller au pas de la porte du bar, avant de continuer ma phrase.
- Mais si à cause d’une idiote, j’ai autant de choses en tête, c’est qu’il y a une raison. Et tu devras y répondre, et me dire cette raison.
J'ouvris la porte, à la passa, avant de la refermer derrière moi. J’alla prendra un autre chocolat chaud, puis sur un élan, voulu en prendre un second, pour cette idiote. Mais j’émis un temps d’hésitation avant d'être servi, sans me rendre compte que j’avais deux chocolats chauds. C’est ridicule, elle va chanter… Tant pis, je boirais les deux.
Je jetai un œil dehors, voyant la jeune femme. Je me rendis alors compte de son élégance dans cette robe, finalement, si je ne la regardait pas, c'était peut-étre pour ça ? Mais je sentais le regard vouloir s’y insistait, alors sans détour, j’alla vers une table non loin de la scène, puis m’y posa.
Malgré le vagabondage de mon regard, du coin des yeux, je gardais un œil vers Andréa, une sorte de méfiance indéfinissable. Elle s’approcha lentement vers moi, en tentant d’entrer dans mon champ de vision, et de voir ce que je regardais. Puis, après un léger instant ou le temps s’était comme arrêté, durant lequel elle me regardait sans rien dire ni faire, puis, comme si elle avait soumis à sa volonté le temps et l'espace, elle fit les derniers pas qui nous éloignaient, et déposa sa main sur mon épaule, et fit en même temps, d’un air… Étrange :
Que se passe t-il Quiet...Pourquoi ne me regardes-tu pas ?
Instinctivement, je me retourna vers elle, décrochant sa main de mon épaule, puis l’attrapa au niveau du poignet avec ma main droite. Le geste était rapide et légèrement violent, mais sans aucun mal. Je la regardais alors, dans les yeux, durant quelques instants. J’avais l’impression, cette fois, que c’était moi qui contrôlais l'espace et le temps, comme si, durant ces quelques secondes, je voyais, et pouvais tout faire. Ces pensées sont complètement idiotes, mais… Tsk. Le regard soutenu dans ses yeux, j'ouvris la parole, avec cette fois, facilité, et aisance. Les mots sortaient aussi facilement que l’écoulement d’une cascade.
- Tu devrais arrêter de faire douter mon esprit, et mes impressions. Jamais je n’ai posé autant de questions à propos d’une personne, en dehors de mon frère. Je ne sais pas qui tu es, ni ce que tu veux, mais à cause de toi… Je ne sais pas ce que je veux non plus.
Lâchant lentement sa main, je détournais le regard, avant d’aller au pas de la porte du bar, avant de continuer ma phrase.
- Mais si à cause d’une idiote, j’ai autant de choses en tête, c’est qu’il y a une raison. Et tu devras y répondre, et me dire cette raison.
J'ouvris la porte, à la passa, avant de la refermer derrière moi. J’alla prendra un autre chocolat chaud, puis sur un élan, voulu en prendre un second, pour cette idiote. Mais j’émis un temps d’hésitation avant d'être servi, sans me rendre compte que j’avais deux chocolats chauds. C’est ridicule, elle va chanter… Tant pis, je boirais les deux.
Je jetai un œil dehors, voyant la jeune femme. Je me rendis alors compte de son élégance dans cette robe, finalement, si je ne la regardait pas, c'était peut-étre pour ça ? Mais je sentais le regard vouloir s’y insistait, alors sans détour, j’alla vers une table non loin de la scène, puis m’y posa.
Re: Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
Un instant fugace, mais pourtant si long, comme si le temps venait tout juste de s'arrêter de par son geste. Je savais bien que le contact physique ne serait pas chose aisé pour lui, cependant je m'étais permise malgré tout de poser ma main sur son épaule, un geste qui se voulait rassurant et qui pourtant était quelque chose de spécial pour moi, je ne suis pas quelqu'un de tactile, loin de là.
Je pensais bien qu'il aurait une réaction violente, mais je ne pensais pas que je me retrouverais empoigné de la sorte, par Quiet. Nous sommes restés comme ça un moment, puis il prit finalement la parole pour m'expliquer qu'il fallait que j'arrête d'être la cause de ses interrogations et qu'il ne savait pas ce qu'il voulait. Ce qu'il voulait, en fonction de.. moi ?
Il me lâcha finalement la main afin de se rendre à l'entrée du bar, surement pour rentrer et se mettre au chaud, finit par lâcher qu'il y avait une raison pour que je le tourmente ainsi et que je devais trouver cette raison... Moi-même je ne sais pas pourquoi ?! Pourquoi mon coeur s'emballe quand je l'aperçois et pourquoi j'ai tellement envie d'avoir son approbation lors de mes actes quotidiens, pourquoi j’espérais le croiser pendant cette semaine...
Durant mon interrogation intérieur, Quiet rentra et commanda deux boissons au bar, je pris cela comme une invitation, mais cela n'avait pas l'air d'être.. voulu ?
Je rentrais à mon tour pour m'asseoir à ses côtés et lui demander timidement :
"Est ce pour moi ? "
Je ne voulais pas me méprendre, après quelques instants, je lui dis d'un ton sérieux, mais rassurant :
"Je trouverai la réponse à ta question...Promis.. ce jour-là, je te demanderai de venir."
Puis mon patron me fit un geste pour me faire comprendre qu'il ne me restait que cinq minutes de pause.
Je pensais bien qu'il aurait une réaction violente, mais je ne pensais pas que je me retrouverais empoigné de la sorte, par Quiet. Nous sommes restés comme ça un moment, puis il prit finalement la parole pour m'expliquer qu'il fallait que j'arrête d'être la cause de ses interrogations et qu'il ne savait pas ce qu'il voulait. Ce qu'il voulait, en fonction de.. moi ?
Il me lâcha finalement la main afin de se rendre à l'entrée du bar, surement pour rentrer et se mettre au chaud, finit par lâcher qu'il y avait une raison pour que je le tourmente ainsi et que je devais trouver cette raison... Moi-même je ne sais pas pourquoi ?! Pourquoi mon coeur s'emballe quand je l'aperçois et pourquoi j'ai tellement envie d'avoir son approbation lors de mes actes quotidiens, pourquoi j’espérais le croiser pendant cette semaine...
Durant mon interrogation intérieur, Quiet rentra et commanda deux boissons au bar, je pris cela comme une invitation, mais cela n'avait pas l'air d'être.. voulu ?
Je rentrais à mon tour pour m'asseoir à ses côtés et lui demander timidement :
"Est ce pour moi ? "
Je ne voulais pas me méprendre, après quelques instants, je lui dis d'un ton sérieux, mais rassurant :
"Je trouverai la réponse à ta question...Promis.. ce jour-là, je te demanderai de venir."
Puis mon patron me fit un geste pour me faire comprendre qu'il ne me restait que cinq minutes de pause.
Re: Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
Je me mis à l’aise, sur cette table qui se faisait engorger par la décoration du bar. Celle-ci, bien que claire et épuré, donnait tellement d’éléments et de couleurs, que rien n’entrait en valeur, enfin bon, c’était laid quoi. Bien installé alors, ce n’était qu’en apparence si j'étais l’aise. Les personnes qui m’entourent ne sont pas un problème, ce lieu n’est pas un problème, mais cette fille est un problème, que je n’arrive pas résoudre, impossible d'être à l’aise intérieurement dans ces conditions. Je regardais les deux chocolats chauds danser dans leurs tasses, formant divers motifs, jusqu’à ce que j’en disperse un avec ma cuillère.
Andréa… Je veux dire, l’idiote passa à son tour la porte du bar, et alla s'asseoir à côté de moi, sur ces chaises tout aussi laides que les autres. Je crois qu’il y avait trois choses dans ma tête qui se désignaient lorsque je la regardais. En premier lieu, le fait d'être un homme. Cette partie, bien que présente, je n’en perds jamais le contrôle, mais je ne peux m'empêcher d’agir comme tel, et de la regarder en coup de vent, malgré ma volonté. En second, mes interrogations et ma curiosité. Cette fille a mis plus de questions dans ma tête en une journée, que ne l'a jamais fait aucun élève à propos de ses pouvoirs, et le mieux, c’est que presque aucune de mes questions ne concernez sont pouvoir, et ça, je n’arrive pas à le concevoir. À mesure que j’y réfléchissais, mon corps entier se tendait. Enfin, en troisième, ma méfiance. Tous, à Tsuki, est soit une arme, soit une malédiction mortelle. Cette fille ne fait pas exception, et en aucun cas ne pourrais lui faire confiance. Cependant, lorsque je mélange ces trois idées qui ont chacune 33 % de la place… Tout devient confus à son propos, d'où mon manque de concentration, ma maladresse, et le fait que je n’arrive pas à réfléchir. Je ne sais pas si en la regardant, j’ai de la méfiance dans les yeux, des questionnements, ou autre chose. Ces yeux sont une torture. Puis, après cette rapide réflexion, Andréa pris la parole.
Est ce pour moi ?
Qu’est ce… Oh, les chocolats, bien sûr… Quel idiot. C’est comme si j’eu un élan au niveau du cœur, et que mon cerveau l'arrêta net lorsqu’il trouva la réponse à sa question. Je regardais les deux tasses, continuant de danser, puis laissai mon regard se reposer maladroitement sur Andréa. Je ne savais quoi lui répondre. Je ne savais pas vraiment pourquoi j’en avais pris deux, mais ce n’était sûrement pas pour elle.... Pourquoi l’aurai-je fait. Enfin bref, avant de laisser un blanc, je répondis du tac-o-tac.
Euh… Non. Mais prend celui-là si tu en à envie.
Aime t’elle le chocolat chaud ? Aurait-elle préféré quelque chose de plus “habituel” dans un bar ? Acceptera t’elle ? Tsk… Pourquoi toutes ces questions, à quoi bon. Qu’elle l’accepte ou non, cela ne changera rien. Même si j’observais sa main, et la tasse que je lui avais désigné, cela ne voulait rien dire, rien du tout ! Elle reprit alors la parole, déviant mes yeux sur sa bouche, comme pour boire ses paroles. À cet instant, mes joues chauffaient, elle devenaient surement rouge, ces idiotes. Rapidement, je forçais mon regard vers la scène, afin de l’y laisser, puis l’écoutais.
Je trouverai la réponse à ta question...Promis.. ce jour-là, je te demanderai de venir
La réponse ? Vraiment ? Tsk… Encore faut-il que je connaisse mes propres questions, mais tout est si flou. Raaah… Je me grattais la tête, afin d’y réfléchir plus en profondeur, mais cela ne donnait rien. Je pris alors ma tasse, puis bu lentement la moitié du chocolat chaud, avant de le remélanger celui-ci. Froidement, et avec une certaine maladresse, je lui répondis.
Encore faut-il… Tsk, oublie ça ... Idiote. De toute manière, je crois que tu es appelé non ?
J’avais vu cet homme qui avait appeler Andréa du geste. Elle allait sûrement reprendre la scène, mais quelque chose me dérangeait quelque peu à cette idée, je n’avais pas envie d’écouter sa voix ? J’en sais rien… Cependant, je repris la parole, avec ton plus mou, et hésitant
Tu… Devrais peut-être un peu faire attention à ce que tu montres… Enfin, pas que ça me déplaise ou pas, enfin… Je veux dire, y ai des types ici qui ne méritent pas ta prestation… Je suppose. Moi, je ne fais pas attention… Pas que je n'apprécie pas hein ! … Je… Enfin bref, fait attention... Idiote.
Ce dernier mot fut long à sortir, et semblait hésitant. Je n’avais nulles raisons d’hésiter sur la question, c’était une idiote, et je pouvais le crier sur tous les toits, cela n'aurait aucune importance. Mais… Le crier sur tous les toits, lui donnerait de l’importance non ? Tsk… C’est encore plus confus que tout à l’heure !
Andréa… Je veux dire, l’idiote passa à son tour la porte du bar, et alla s'asseoir à côté de moi, sur ces chaises tout aussi laides que les autres. Je crois qu’il y avait trois choses dans ma tête qui se désignaient lorsque je la regardais. En premier lieu, le fait d'être un homme. Cette partie, bien que présente, je n’en perds jamais le contrôle, mais je ne peux m'empêcher d’agir comme tel, et de la regarder en coup de vent, malgré ma volonté. En second, mes interrogations et ma curiosité. Cette fille a mis plus de questions dans ma tête en une journée, que ne l'a jamais fait aucun élève à propos de ses pouvoirs, et le mieux, c’est que presque aucune de mes questions ne concernez sont pouvoir, et ça, je n’arrive pas à le concevoir. À mesure que j’y réfléchissais, mon corps entier se tendait. Enfin, en troisième, ma méfiance. Tous, à Tsuki, est soit une arme, soit une malédiction mortelle. Cette fille ne fait pas exception, et en aucun cas ne pourrais lui faire confiance. Cependant, lorsque je mélange ces trois idées qui ont chacune 33 % de la place… Tout devient confus à son propos, d'où mon manque de concentration, ma maladresse, et le fait que je n’arrive pas à réfléchir. Je ne sais pas si en la regardant, j’ai de la méfiance dans les yeux, des questionnements, ou autre chose. Ces yeux sont une torture. Puis, après cette rapide réflexion, Andréa pris la parole.
Est ce pour moi ?
Qu’est ce… Oh, les chocolats, bien sûr… Quel idiot. C’est comme si j’eu un élan au niveau du cœur, et que mon cerveau l'arrêta net lorsqu’il trouva la réponse à sa question. Je regardais les deux tasses, continuant de danser, puis laissai mon regard se reposer maladroitement sur Andréa. Je ne savais quoi lui répondre. Je ne savais pas vraiment pourquoi j’en avais pris deux, mais ce n’était sûrement pas pour elle.... Pourquoi l’aurai-je fait. Enfin bref, avant de laisser un blanc, je répondis du tac-o-tac.
Euh… Non. Mais prend celui-là si tu en à envie.
Aime t’elle le chocolat chaud ? Aurait-elle préféré quelque chose de plus “habituel” dans un bar ? Acceptera t’elle ? Tsk… Pourquoi toutes ces questions, à quoi bon. Qu’elle l’accepte ou non, cela ne changera rien. Même si j’observais sa main, et la tasse que je lui avais désigné, cela ne voulait rien dire, rien du tout ! Elle reprit alors la parole, déviant mes yeux sur sa bouche, comme pour boire ses paroles. À cet instant, mes joues chauffaient, elle devenaient surement rouge, ces idiotes. Rapidement, je forçais mon regard vers la scène, afin de l’y laisser, puis l’écoutais.
Je trouverai la réponse à ta question...Promis.. ce jour-là, je te demanderai de venir
La réponse ? Vraiment ? Tsk… Encore faut-il que je connaisse mes propres questions, mais tout est si flou. Raaah… Je me grattais la tête, afin d’y réfléchir plus en profondeur, mais cela ne donnait rien. Je pris alors ma tasse, puis bu lentement la moitié du chocolat chaud, avant de le remélanger celui-ci. Froidement, et avec une certaine maladresse, je lui répondis.
Encore faut-il… Tsk, oublie ça ... Idiote. De toute manière, je crois que tu es appelé non ?
J’avais vu cet homme qui avait appeler Andréa du geste. Elle allait sûrement reprendre la scène, mais quelque chose me dérangeait quelque peu à cette idée, je n’avais pas envie d’écouter sa voix ? J’en sais rien… Cependant, je repris la parole, avec ton plus mou, et hésitant
Tu… Devrais peut-être un peu faire attention à ce que tu montres… Enfin, pas que ça me déplaise ou pas, enfin… Je veux dire, y ai des types ici qui ne méritent pas ta prestation… Je suppose. Moi, je ne fais pas attention… Pas que je n'apprécie pas hein ! … Je… Enfin bref, fait attention... Idiote.
Ce dernier mot fut long à sortir, et semblait hésitant. Je n’avais nulles raisons d’hésiter sur la question, c’était une idiote, et je pouvais le crier sur tous les toits, cela n'aurait aucune importance. Mais… Le crier sur tous les toits, lui donnerait de l’importance non ? Tsk… C’est encore plus confus que tout à l’heure !
J'aurais préféré une balafre au lieu de ce poids !
Re: Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
Quiet semblait hésiter dans sa réponse, est ce qu'il ne s'était pas aperçu qu'il avait deux tasses de chocolats ou bien les avait-il prit machinalement en pensant à moi, il me répondit que non ce n'était pas pour moi, mais que si j'en avais envie, je pouvais me servir... Cela veut peut être dire qu'il nie le fait qu'il l'a prit pour moi ou bien il l'a effectivement prit pour lui, mais deux tasses d'un coup, c'est un peu bête, car cela risque de refroidir. Je pris donc la tasse de chocolat en le remerciant d'un petit sourire timide, tout en chuchotant un merci quand même.
Je remarquais que les joues de Quiet devenaient roses, comme si quelque chose ou plutôt quelqu'un le gênait, serais je la cause de tout ce malaise.
Quiet me dit d'oublier ce qu'il venait de me dire, comme si cela le gênait encore plus qu'à l'habitude, puis me désigna le fait que j'étais appelé par mon patron, évidemment, vu qu'on est au travail après tout, mais je n'ai plus beaucoup d'heures devant moi. Sans doute veut-il une dernière prestation. Avant que je remonte sur scène, Quiet me mit en garde que je montrais trop de choses sur scène, que ce n'était pas désagréable, mais que certains ne le méritaient pas, je trouvais ça adorable, qu'il s'inquiète ainsi pour moi. Je lui souris alors chaleureusement avec un merci, puis remonta sur scène pour la dernière chanson.
Je finis alors ma prestation et des hommes commencèrent à me siffler, ce qui était très gênant, l'un d'eux vint vers la scène et s'approcha trop près de moi, à mon goût, je fus comme... paralyser :
"Hey poupée, ça te dit une petite promenade avec moi? une belle fille comme toi doit pas être seule ce soir"
Quiet... pitié fait quelque chose ! Je ne dois pas faire de mal à des humains ordinaires...
Je remarquais que les joues de Quiet devenaient roses, comme si quelque chose ou plutôt quelqu'un le gênait, serais je la cause de tout ce malaise.
Quiet me dit d'oublier ce qu'il venait de me dire, comme si cela le gênait encore plus qu'à l'habitude, puis me désigna le fait que j'étais appelé par mon patron, évidemment, vu qu'on est au travail après tout, mais je n'ai plus beaucoup d'heures devant moi. Sans doute veut-il une dernière prestation. Avant que je remonte sur scène, Quiet me mit en garde que je montrais trop de choses sur scène, que ce n'était pas désagréable, mais que certains ne le méritaient pas, je trouvais ça adorable, qu'il s'inquiète ainsi pour moi. Je lui souris alors chaleureusement avec un merci, puis remonta sur scène pour la dernière chanson.
Je finis alors ma prestation et des hommes commencèrent à me siffler, ce qui était très gênant, l'un d'eux vint vers la scène et s'approcha trop près de moi, à mon goût, je fus comme... paralyser :
"Hey poupée, ça te dit une petite promenade avec moi? une belle fille comme toi doit pas être seule ce soir"
Quiet... pitié fait quelque chose ! Je ne dois pas faire de mal à des humains ordinaires...
Re: Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
La jeune femme, sans un mot, sans alla sur scène, poursuivre son chant de sirène, sous le regard de quelques mécènes. Mes pieds ainsi que mes mains tendait à vouloir partir, avant que son spectacle ne commence, cependant nul ne résiste au chant d’une sirène, le doute et l’incompréhension faisait office de paralysie. Je regardais alors le fond de ma tasse vide, durant le moment ou elle se préparait à y aller. Je transpirais, comme si tout les projecteurs étaient sur moi, bien qu’il n’y avait nul regard vers moi, je sentais un poids me viser, ou bien m’attendre, comme si… Je devais agir.
Aux lumières qui se tamisaient, la salle devint plus calme, aux projecteurs qui s’allumaient sur la scène, les regards s’y tournaient. Seul le bruit d’une eau pétillante empiétait sur le bruit des pas d’Andréas, marchant vers le micro. Alors, sa voix inonda la salle, toutes les oreilles étaient pointés vers elle. Je lui trouvais une certaine agilité, mais je ne saurais dire de quoi il s’agit. J’imitais tous ces gens, à la regarder et à l’écouter, toujours paralysé. Bien que mes seules idées étaient de partir, ni mes mains, ni le reste de mon corps ne m’obéissaient, restant subjuguer par sa représentation. J’attrapais alors ma tasse vide, en la serrant le plus possible, afin de me libérer de cette emprise, cependant durant tout le long de son show, je ne fis pas un geste, et restai ainsi planter. J’évitais malgré moi de la regarder, quand je pensais à tout... Ça, mais ma volonté baissait de plus en plus.
La fin de la chanson arriva, après une éternité de ce qui m'a semblé douleur et torture. Des sifflements et des applaudissements vinrent rapidement, suivis de compliment plus ou moins maladroit des spectateurs, et des idiots. Je sentais enfin le contrôle de mon corps me revenir, et il ne fallut pas plus de temps à la suite de l’avoir compris, pour me lever afin de partir. Cependant, du coin de l’œil, je vis un homme, plutôt jeune, avec une barbe de trois ou quatre jours s’avancer devant la scène, et parler à la jeune idiote. Sur le pas de la porte de la sortie, je restai sans bouger, afin d’observer la situation. Il alla presque jusqu’aux oreilles de la jeune chanteuse, avant de lui parler. Je ne voyais que ses lèvres bouger, mais c’était une aubaine. J’ai eu pas mal d’entraînement avec le langage des signes, et le fait de lire sur les lèvres, grâce à Naomi. C’est bien suffisant pour la comprendre en combat, sans qu’elle ait à écrire, la muette de service. Je ne compris pas certains mots, mais la phrase avait quand même du sens, et… L’idiot !
Mon sang ne fit qu’un tour, que mon pouvoir s’activa. Je traversai la salle en un éclair, puis assénai un coup-de-poing dans la mâchoire du mec type bourré du soir. Il alla contre le mur arrière de la scène, qui n’était pas très loin, avant de finir à genoux, par terre. Lui comme moi, nous regardions, avant que je ne lui parle.
- Dit moi mon beau, si tu veux, mon poing est de sortie ce soir, cela engage que toi et ta main serez seuls ce soir.
Je jetai un grand sourire à la fois machiavélique et amusé, comme si j’avais pris du plaisir à frapper cet idiot. Qu’il le mérite ou non, cela n'a pas d’importance, j’ai agis par impulsivité pour une fois, alors du bien et du mal, je n’en ai rien à faire. Sur le côté, je vis Andréa encore légèrement paralysé par la scène. Un simple et léger regard suffit à rendre la toute la rougeur à mes joues, alors sans la regarder, je repris la parole, et ne fis qu’un mot
- Idiote…
Sur ce simple mot, tout s'emmêla à la fois dans ma tête, et dans mon cœur. Celui qui était en haut ne cessait de faire venir des pensée et des interrogations, et celui d’en bas ne semblait pas vouloir ralentir la cadence, mon pou devenait de plus en plus élevé. Cependant, toujours sous l’effet de mon pouvoir, je gardais un excellent contrôle de tout cela pour le moment. Une légère douleur vint au niveau de mon poing, mais je n’en prenais pas compte, et en jetant un regard froid et noir à l’homme à terre, je cessai l’utilisation de mon pouvoir. Personne ne m’avait vu l'activer, ni venir, étant instantané, mais je ne dois pas l'utilisation amplement, faute de me faire remarquer. Cependant, à ce moment-la, le contrôle diminua peu à peu, me plongeant petit à petit dans mes songes, malgré ma résistance.
Tournant le dos à Andréa, en regardant la porte de sortie, je pris maladroitement la parole, sans réfléchir d’avantage.
- Tu devrais rentrer, avant que d’autres idiots ne jouent les misérables ce soir. Fait toi raccompagner par quelqu’un, se serait préférable, ou prend un Taxi, si tu as de quoi payer.
Tsk, encore une fois, une question me vinrent à l'esprit, pourquoi j’avais frappé ce type, alors qu’il y en à la pelle autour de moi quotidiennement, pourquoi maintenant, et celui-ci. C’est à la fois absurde et idiot. Sans doute, cette idiote y est liée, mais c’est due à son… Caractère, ou à son chant, je n’en sais rien, maudit soit ses sortilèges.
Sans regarder la jeune femme, je levai la main, dos à elle, marchant vers la sortie, afin de lui dire au revoir, cependant plus j’y allais, moins j’avançais vite, jusqu’à m'arrêter une nouvelle fois au pas de la porte. Celle-ci était ouverte, et je regardais ce long et beau ciel noirci de nuage et de lumières blanchâtre. Un méli-mélo de couleur et de saveur, représentant mes pensées et mes sentiments à l’heure actuelle. Je n'arrivais pas à faire un pas de plus, mais cette fois, je savais pourquoi. Jetant un œil derrière moi, vers Andréa, d’un geste de la tête, je lui dis de venir, afin d'être celui qui allait la raccompagner.
Aux lumières qui se tamisaient, la salle devint plus calme, aux projecteurs qui s’allumaient sur la scène, les regards s’y tournaient. Seul le bruit d’une eau pétillante empiétait sur le bruit des pas d’Andréas, marchant vers le micro. Alors, sa voix inonda la salle, toutes les oreilles étaient pointés vers elle. Je lui trouvais une certaine agilité, mais je ne saurais dire de quoi il s’agit. J’imitais tous ces gens, à la regarder et à l’écouter, toujours paralysé. Bien que mes seules idées étaient de partir, ni mes mains, ni le reste de mon corps ne m’obéissaient, restant subjuguer par sa représentation. J’attrapais alors ma tasse vide, en la serrant le plus possible, afin de me libérer de cette emprise, cependant durant tout le long de son show, je ne fis pas un geste, et restai ainsi planter. J’évitais malgré moi de la regarder, quand je pensais à tout... Ça, mais ma volonté baissait de plus en plus.
La fin de la chanson arriva, après une éternité de ce qui m'a semblé douleur et torture. Des sifflements et des applaudissements vinrent rapidement, suivis de compliment plus ou moins maladroit des spectateurs, et des idiots. Je sentais enfin le contrôle de mon corps me revenir, et il ne fallut pas plus de temps à la suite de l’avoir compris, pour me lever afin de partir. Cependant, du coin de l’œil, je vis un homme, plutôt jeune, avec une barbe de trois ou quatre jours s’avancer devant la scène, et parler à la jeune idiote. Sur le pas de la porte de la sortie, je restai sans bouger, afin d’observer la situation. Il alla presque jusqu’aux oreilles de la jeune chanteuse, avant de lui parler. Je ne voyais que ses lèvres bouger, mais c’était une aubaine. J’ai eu pas mal d’entraînement avec le langage des signes, et le fait de lire sur les lèvres, grâce à Naomi. C’est bien suffisant pour la comprendre en combat, sans qu’elle ait à écrire, la muette de service. Je ne compris pas certains mots, mais la phrase avait quand même du sens, et… L’idiot !
Mon sang ne fit qu’un tour, que mon pouvoir s’activa. Je traversai la salle en un éclair, puis assénai un coup-de-poing dans la mâchoire du mec type bourré du soir. Il alla contre le mur arrière de la scène, qui n’était pas très loin, avant de finir à genoux, par terre. Lui comme moi, nous regardions, avant que je ne lui parle.
- Dit moi mon beau, si tu veux, mon poing est de sortie ce soir, cela engage que toi et ta main serez seuls ce soir.
Je jetai un grand sourire à la fois machiavélique et amusé, comme si j’avais pris du plaisir à frapper cet idiot. Qu’il le mérite ou non, cela n'a pas d’importance, j’ai agis par impulsivité pour une fois, alors du bien et du mal, je n’en ai rien à faire. Sur le côté, je vis Andréa encore légèrement paralysé par la scène. Un simple et léger regard suffit à rendre la toute la rougeur à mes joues, alors sans la regarder, je repris la parole, et ne fis qu’un mot
- Idiote…
Sur ce simple mot, tout s'emmêla à la fois dans ma tête, et dans mon cœur. Celui qui était en haut ne cessait de faire venir des pensée et des interrogations, et celui d’en bas ne semblait pas vouloir ralentir la cadence, mon pou devenait de plus en plus élevé. Cependant, toujours sous l’effet de mon pouvoir, je gardais un excellent contrôle de tout cela pour le moment. Une légère douleur vint au niveau de mon poing, mais je n’en prenais pas compte, et en jetant un regard froid et noir à l’homme à terre, je cessai l’utilisation de mon pouvoir. Personne ne m’avait vu l'activer, ni venir, étant instantané, mais je ne dois pas l'utilisation amplement, faute de me faire remarquer. Cependant, à ce moment-la, le contrôle diminua peu à peu, me plongeant petit à petit dans mes songes, malgré ma résistance.
Tournant le dos à Andréa, en regardant la porte de sortie, je pris maladroitement la parole, sans réfléchir d’avantage.
- Tu devrais rentrer, avant que d’autres idiots ne jouent les misérables ce soir. Fait toi raccompagner par quelqu’un, se serait préférable, ou prend un Taxi, si tu as de quoi payer.
Tsk, encore une fois, une question me vinrent à l'esprit, pourquoi j’avais frappé ce type, alors qu’il y en à la pelle autour de moi quotidiennement, pourquoi maintenant, et celui-ci. C’est à la fois absurde et idiot. Sans doute, cette idiote y est liée, mais c’est due à son… Caractère, ou à son chant, je n’en sais rien, maudit soit ses sortilèges.
Sans regarder la jeune femme, je levai la main, dos à elle, marchant vers la sortie, afin de lui dire au revoir, cependant plus j’y allais, moins j’avançais vite, jusqu’à m'arrêter une nouvelle fois au pas de la porte. Celle-ci était ouverte, et je regardais ce long et beau ciel noirci de nuage et de lumières blanchâtre. Un méli-mélo de couleur et de saveur, représentant mes pensées et mes sentiments à l’heure actuelle. Je n'arrivais pas à faire un pas de plus, mais cette fois, je savais pourquoi. Jetant un œil derrière moi, vers Andréa, d’un geste de la tête, je lui dis de venir, afin d'être celui qui allait la raccompagner.
Je déteste les comportements compulsifs, mais malgré mes réflexions, mon corps agis tout seul.
Re: Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
En l'espace d'un instant, Quiet m'avait rejoint près de la scène, là où l'inconnu me faisait des avances très déplacées. Il asséna alors un coup à l'inconnu qui valdingua jusqu'au mur arrière de la scène, j'espérais quand même au fond de moi qu'il n'avait pas été tué dans cette "bagarre". Quiet lui fit une réflexion sinique qui ne me déplu pas, car j'espérais qu'il prenne ma défense, peut être tout simplement que j’espérais une réaction de sa part..
Il sourit alors de façon diabolique comme si le fait d'avoir frappé cet homme lui avait procuré du plaisir, je n'aime pas la violence et je pense que cela ne changera jamais, mais après tout cet homme l'avait bien cherché. Quiet se retourna vers moi et me traita d'idiote, mais son visage qui était alors si effrayant devint à nouveau neutre, cependant une légère rougeur sur ses joues fit son apparition.. Pourquoi rougit-il en me voyant ?
Il me tourna ensuite le dos avant que j'ai pu dire quoi que ce soit pour le remercier et me semblait vouloir prendre la porte de sortie avant de me dire qu'il faudrait mieux que je rentre chez moi, que je me fasse raccompagner ou prendre un taxi. Il commença alors à marcher pour s'en aller lorsqu'il ralentit comme si c'était contre sa volonté, puis s'arrêta et jeta un oeil dans ma direction, m'exprimant sans un mot qu'il allait me raccompagner.
Je m'excusais alors auprès de mon patron qui me dit de prendre ma journée le lendemain et je m'en allais avec mes affaires, je m'avançais vers Quiet en rougissant et prit le bas de son t-shirt avec le bout de mes doigts, en baissant la tête :
"Merci Quiet.. décidément je ne t'apporte que des ennuies, je suis vraiment une idiote..."
Il sourit alors de façon diabolique comme si le fait d'avoir frappé cet homme lui avait procuré du plaisir, je n'aime pas la violence et je pense que cela ne changera jamais, mais après tout cet homme l'avait bien cherché. Quiet se retourna vers moi et me traita d'idiote, mais son visage qui était alors si effrayant devint à nouveau neutre, cependant une légère rougeur sur ses joues fit son apparition.. Pourquoi rougit-il en me voyant ?
Il me tourna ensuite le dos avant que j'ai pu dire quoi que ce soit pour le remercier et me semblait vouloir prendre la porte de sortie avant de me dire qu'il faudrait mieux que je rentre chez moi, que je me fasse raccompagner ou prendre un taxi. Il commença alors à marcher pour s'en aller lorsqu'il ralentit comme si c'était contre sa volonté, puis s'arrêta et jeta un oeil dans ma direction, m'exprimant sans un mot qu'il allait me raccompagner.
Je m'excusais alors auprès de mon patron qui me dit de prendre ma journée le lendemain et je m'en allais avec mes affaires, je m'avançais vers Quiet en rougissant et prit le bas de son t-shirt avec le bout de mes doigts, en baissant la tête :
"Merci Quiet.. décidément je ne t'apporte que des ennuies, je suis vraiment une idiote..."
Re: Mélodies d'un bar au crépuscule[PV Lyra / MJ OK ]
À la fin de mon geste, la voyant venir après avoir parlé avec son patron, je me mis à marcher, lentement, en l’attendant, afin d’aller au delà de la porte du bar, dans la rue. Pourquoi me mettre à la raccompagner, cette idiote. Vu ce qu’elle m'a fait l’autre fois, elle sait se défendre. Encore heureux que l’on aille tout les deux à l’académie, au moins, je sais ou c’est, Tsk.
Soudainement, j’entendis ses pas se rapprocher, sans la regarder, je continuais de m'avancer, cependant elle me pris au dépourvu lorsqu’elle attrapa le bas de mon T-shirt du bout des doigts. Avant je ne puisse réagir, elle pris la parole.
- Merci Quiet.. décidément je ne t'apporte que des ennuies, je suis vraiment une idiote…
Sentir sa présence le long de mon T-Shirt me donnait une réelle gêne que j’avais de plus en plus de mal à contrôler. Par une simple réaction, de défense sans doute, je fauche rapidement, mais sans faire de mal, la main de Andréa qui était accroché, avant de prendre à mon tour la parole.
- Tsk… Des ennuies, je m’en contrefiche, cependant le fait que tu en soit l'origine me… Tsk, idiote.
Je n’avais pas terminé ma phrase, ma gorge se nouait peu à peu à mesure que je tentais de parler. J’apercevais l'arrêt de bus d’ici, que je montrais du doigt à l’idiote à côté de moi. Cependant, je la vis tête baissé, continuant à marcher ainsi. Elle… À froid ? Surement, avec sa tenue. En y pensant d’ailleurs, j’avais du mal à ne pas regarder, cependant d’un autre côté, c’était comme un répulsif, cette impression et sensation sont vraiments étranges.
Timidement, avec une certaine gêne, je pris la parole afin de ne pas laisser un blanc s’installer, pour une fois, cela me dérangerait qu’il y en est un avec une personne.
- Hey, petite idiote.... Léve un peu la tête, regarde donc ce ciel. Ou alors à tu froid ? Avec te tenue, aussi pa… Enfin bref, ce n’est pas étonnant que tu ai froid.
Je mis mais mains dans mes poches, afin de trouver quelque chose à faire, et d’évacuer le stress sans qu’il ne se voit. Malgré tout mes mots, regards et agissement, j’ai du mal à savoir ce qu’ils veulent dire. Tsk. Cependant, il est vrai que ce ciel était pas mal. Je le regarde assez souvent, mais ce soir, il est donne une belle saveur fraiche, comme une renouvellement. Une étoile était-elle née ?
Soudainement, j’entendis ses pas se rapprocher, sans la regarder, je continuais de m'avancer, cependant elle me pris au dépourvu lorsqu’elle attrapa le bas de mon T-shirt du bout des doigts. Avant je ne puisse réagir, elle pris la parole.
- Merci Quiet.. décidément je ne t'apporte que des ennuies, je suis vraiment une idiote…
Sentir sa présence le long de mon T-Shirt me donnait une réelle gêne que j’avais de plus en plus de mal à contrôler. Par une simple réaction, de défense sans doute, je fauche rapidement, mais sans faire de mal, la main de Andréa qui était accroché, avant de prendre à mon tour la parole.
- Tsk… Des ennuies, je m’en contrefiche, cependant le fait que tu en soit l'origine me… Tsk, idiote.
Je n’avais pas terminé ma phrase, ma gorge se nouait peu à peu à mesure que je tentais de parler. J’apercevais l'arrêt de bus d’ici, que je montrais du doigt à l’idiote à côté de moi. Cependant, je la vis tête baissé, continuant à marcher ainsi. Elle… À froid ? Surement, avec sa tenue. En y pensant d’ailleurs, j’avais du mal à ne pas regarder, cependant d’un autre côté, c’était comme un répulsif, cette impression et sensation sont vraiments étranges.
Timidement, avec une certaine gêne, je pris la parole afin de ne pas laisser un blanc s’installer, pour une fois, cela me dérangerait qu’il y en est un avec une personne.
- Hey, petite idiote.... Léve un peu la tête, regarde donc ce ciel. Ou alors à tu froid ? Avec te tenue, aussi pa… Enfin bref, ce n’est pas étonnant que tu ai froid.
Je mis mais mains dans mes poches, afin de trouver quelque chose à faire, et d’évacuer le stress sans qu’il ne se voit. Malgré tout mes mots, regards et agissement, j’ai du mal à savoir ce qu’ils veulent dire. Tsk. Cependant, il est vrai que ce ciel était pas mal. Je le regarde assez souvent, mais ce soir, il est donne une belle saveur fraiche, comme une renouvellement. Une étoile était-elle née ?
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