Pardonnez moi, mais... c'est quoi un pd? (PV Lizzie)

Feat : MA TOKO D'AMOUUUUUUUUUUUUUUUUUUR !

Il semblait improbable, en effet, de penser que je ne verrai pas Toko une seule fois en si longtemps, ET POURTANT ! En ce vendredi quinze juin, j'étais donc partie pour rectifier cette erreur (oui, la date c'est pas la bonne MAIS JE VOUS AI RIEN DEMANDÉ). L'erreur, donc, fut rectifiée ADMIRABLEMENT PAAAAAAAAR ? QUI ? QUI ? DEVINEZ ! MOIIIIIIIIIIIIII, LIZZIE LA SEULE, L'UNIQUE, LA MAGNIFIQUE, L'ONIRIQUE LIZZIE, LA SEULE DÉESSE DE CE BAS MONDE, HO OUI ! Bref, bref, bref. Toko donc, OUI, C'ÉTAIT ELLE, LA SEULE ET UNIQUE CHOSE QUI OCCUPAIT MES PENSÉES ! Donc, oui, nous étions rendus là, à un point où nos existences ne se suffisaient plus à elles-mêmes, et où il nous fallait impérativement nous retrouver. (mais bien sûr c'est moi qui ai dû aller la chercher, franchement, j'ai une vie vraiment nulle, c'est moi qui suis une déesse et c'est moi qui dois bouger, franchement, FRANCHEMENT, elle a de la chance que je sois si gentille bordel de merde) Encore une fois, je n'apporterai aucun détail sur la raison de ma présence là où j'étais à ce moment, mes raisons ne regardant que moi, OUAIS, OUAIS, JE FAIS CE QUE JE VEUX BORDEL. Ça fait beaucoup de "bordel", désormais je remplacerai ce mot par "putain, sa mère la pute", pour des raisons évidentes de décence. Du coup, oui oui, je devais retrouver Toko. Bref, alors, quelle ne fut pas ma stupéfaction quand bla bla bla, j'ai vraiment, VRAIMENT pas envie de décrire tout ça, donc je ne décrirai pas. Faites marcher votre imagination, je sais pas putain, vous faites chier, à mon époque on était pas des assistés comme vous putain, bande de gros sacs (oui je suis très gentille aujourd'hui PUTAIN J'AI LE DROIT D'ÊTRE DE MAUVAISE HUMEUR OU QUOI ? J'PENSAIS QU'ON ÉTAIT DANS UN PAYS LIBRE ICI. Bon, du coup, pour en revenir à Toko (HAN OUI ENCORE UNE TRANSITION BRUTAAAAAAAAAAALE), il s'agissait maintenant de l'interrompre gentiment alors qu'elle était occupée. De toute façon moi je suis sa fée des neiges, nique sa mère, obligé elle saute dans mes bras de joie de me retrouver. Sauf que, oui, bien sûr, elle n'en a pas eu le temps, PARCE QUE C'EST MOI QUI LUI AI SAUTÉ DESSUS, HÉ OUI C'EST LE COMBLE, J'VOUS L'FAIS PAS DIRE PUTAIN, SA MÈRE LA PUTE DE MERDE (oui, oui, vous avez suivi ? Bien, on continue). Alors, comment fais-je pour être si géniale, je ne le sais pas, en revanche, en deux temps trois mouvements je me retrouvais sur le dos de Toko, enfin, plus ou moins, le but n'était pas de se casser la gueule avec elle, le but c'était de lui dire "SURPRISE J'SUIS LÀ !" car, oui, enfin, tant attendue j'avais été, là j'étais. "La fée des neiges est de retour près de la jeune Toko, dirait-on !" Jetant un oeil, brièvement, à l'oeuvre de Toko, Lizzie ne put s'empêcher de sourire en ajoutant "Et la fée des neiges a diablement envie d'être le modèle de mademoiselle." Lizzie, toujours aussi enjouée, continuait à parler tranquillement, mais sans interruption, en passant doucement sa main sur la joue de Toko, alors qu'elle n'avait pas bougé depuis qu'elle l'avait enlacée par le dos COMME C'EST ROMANTIQUE PUTAIN ! Bref, excusez-moi JE ME DEVAIS de mettre des majuscules, mais je peux reprendre la narration si vous voulez... faisons un vote à main levée, étant seule votante, je décide que la troisième partie  de mes paroles ne sera répétée que plus tard. Ho, la démocratie a désigné mon choix comme étant le plus judicieux. Je vais donc, avant tout, vous parler un peu de moi, vous dire d'où je viens, tout ça... Je viens de l'AMÉRIIIIIIIIIIIIIQUE, l'Amérique, waow, terre de rêve s'il en est putain d'merde, un bout de paradis sur Terre EN THÉORIE, en pratique c'est à chacun d'y juger, perso' j'dis rien. Pourquoi ? Pour plusieurs raisons importantes : 1) je m'en branle. 2) J'ai autre chose à foutre que disserter sur mon pays d'origine. 3) J'ai vraiment besoin de justifier quelque chose que je dis ? Bref, pas de petit "4", vous l'aurez compris, MON PLAN DIALECTIQUE MERVEILLEUX m'a permis de démontrer que j'avais raison, que j'étais géniale, etc. (oui, arrêtez d'écrire "etc...", ça me rappelle pourquoi on a inventé la peine de mort (OUAIS LA MISÉRICORDE EST PAS LE TRUC LE PLUS VOYANT CHEZ LA DÉESSE QUE JE SUIS, SI ÇA VOUS CONVIENS PAS C'EST L'MÊME TARIF BANDE DE)) (oui j'ai raccourci la parenthèse, avant de choquer certaines personnes et de me faire traiter d'"homophobe" alors que j'suis clairement en train d'essayer de me faire Toko. Ouais je dis "essayer" parce que là c'est différent, je l'aime vraiment, je pense vraiment que c'est la bonne. Ouais, la "bonne", on va dire ça) MAIS JE SAIS, LE MONDE, JE SAIS CE QUE TU ATTENDS ENCORE ! Oui, oui, ho que oui, je le sais. La fameuse fin de ma réplique, LA FAMEUSE, celle qui tient l'attention DU MONDE ENTIER UNIQUEMENT PAR SON ABSENCE, OUI, TOUT JUSTE, DÉLICIEUSE RÉPLIQUE SE FAISANT ATTENDRE ET DÉSIRER ! "Tu accepterais de faire de la fée des neiges ta muse encore une fois, n'est-ce pas ?" OUI, OUI, LA VOILÀ, CETTE PHRASE QUE LE MONDE ATTENDAIT, PRESQUE AUSSI SENSUELLE QUE LA CARESSE DU BOUT DE MES DOIGTS SUR LA PEAU FROIDE ET OPALINE DE TOKO, hm. Oui, "opaline" était sans doute pas le mot approprié ici, mais je trouvais que ça rendais vachement bien. Du coup je l'ai laissé. Ouais, certains me diraient que c'est du mauvais goût, ces même personnes que leurs parents auraient gardé par ce susnommé "mauvais goût".

Feat : TOUJOURS MA TOKOOOOOOOOOO <3

Alors, alors, nous étions rendues, elle et moi, à un moment où nous étions là. OUAIS JE SAIS QUE J'AI EXPRIMÉ ABSOLUMENT AUCUNE IDÉE PUTAIN C'EST MOI QUI ÉCRIS, SI VOUS ÊTES MÉCONTENTS VOUS VOUS CASSEZ ! Alors,
je disais, alors, oui, Toko me répondit, du coup, quand elle en eut l'occasion. Elle me dit, je cite : "Je commençais à croire que les fées des neiges n'existaient vraiment qu'en hiver." alors, il va de soi que je l'ai pas reprise là-dessus, dans le sens où, bon, mettons-nous à sa place, sérieusement : imaginez-vous, vous vivez une vie tout à fait banale, métro, boulot,
dodo, et là, sans crier gare, il apparaît dans votre vie quelque chose de si fabuleux, de si fantastique, que vous peinez à y croire. Bah là, c'est tout pareil, Toko vivait une vie normale à l'académie Tsuki (sans blague), et D'UN COUP D'UN SEUL (les majuscules appuient le côté "inattendu", je trouve. Et, encore une fois, comme c'est moi qui écris, l'important c'est MON opinion, pas celle des autres. ME SUIS-JE BIEN FAIT COMPRENDRE ?
-Oui madame Maxwell
-PUTAIN DE FILS DE PUTE ON M'APPELLE PAS COMME ÇA MOI. On ne m'appelle pas comme ça, non, en effet. Car je le refuse, ja. TIENS ENCORE DE L'ALLEMAND ! Waow. Waow waow. "Revenons-en à Toko", me diriez-vous. Alors, certes, j'aurais sans doute dit pareil, mais j'ai horreur des connards qui osent me dire ce que je dois faire. Maintenant, donc,
dissertons sur la cueillette des champignons (oui j'en avais déjà parlé avec quelqu'un d'autre MAIS JE FAIS CE QUE JE VEUX. Alors, déjà ) voilà, la parenthèse est fermée, parce que, vous, simples mortels, ça vous avait peut-être échappé,
mais moi, MOI, je n'ai jamais oublié que cette parenthèse était ouverte (un peu comme votre gueule trop souvent). Alors,
où en étais-je ? Ha oui ! J'allais parler de Toko mais comme on m'a contrarié je devais parler d'autre chose. On va donc parler de la situation politique en Corée du Nord. Quoique, c'est vrai que j'ai pas grand chose à dire sur la situation politique en Corée du Nord. C'est dommage, j'suis sûre qu'il y aurait eu matière à faire, mais du coup, non, y'a pas. Parlons plutôt de... Ça me démange vraiment de pas dire Toko, vous savez, mais en véri ON N'A QU'À PARLER DE LA POLITIQUE (pour rester dans le thème) DE L'ALLEMAGNE DURANT SES BELLES ANNÉES ! Soit les années 30/40 (franchement, Lizzie, évite les parti pris trop audacieux). Oké, oké oké. On veut me censurer. Très bien. Moi j'croyais être dans un pays libre, un pays où j'avais le droit de clamer haut et fort mes opinions, mes avis, finalement, CE QUE JE SUIS AU PLUS PROFOND DE MOI. Mais non apparemment, débat vite réglé avec des dictateurs comme ceux qui m'empêchent de parler. Putain, la vie c'est horrible quand on y pense. Nan, en fait, c'est même pas une vie ça. Ça c'est une existence torturée, SOUFFRANTE D'UN MAL QUE SEULE ELLE PEUT COMPRENDRE PUTAIN DE MERDE. Ho, ça fait un moment,
d'ailleurs, que j'ai pas dit le mot "bordel", je vais donc l'inclure de nouveau à toutes mes phrases (oui, oui, on le sentais venir, COMME CE GENRE DE COMMENTAIRE, silence maintenant). Bon, bon, je vais reprendre mon récit alors. J'en étais à Toko, si je dis pas de bêtise (ET JE NE DIS PAS DE BÊTISE BORDEL). Bref, bref, on a bien compris pourquoi elle n'arrivait pas à croire en mon existence. Continuons : "Ça me ferait plaisir bien sûr, mais... Tu n'as pas vu ce que j'ai fais... N'est-ce pas?" Il va de soi que la PREMIÈRE CHOSE que j'ai vue, c'était ça. Enfin, après sa beauté flamboyante swagg, bien sûr.
Du coup j'ai répliqué (ha oui, ne pensez pas que j'oublie de préciser que je bouge, moi, je bouge pas, je suis bien dans le dos de mA TOKO D'AMOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUR, et,
de fait, je ne bouge pas. J'avoue même avoir hésité à l'embrasser quand elle a tourné la tête vers moi, mais ça, c'est une tout autre histoire. Peut-être que j'aurais dû, ouais, PEUT-ÊTRE, personne n'est par... je m'apprêtais à dire une bêtise alors que je suis moi-même la preuve que ça en est une, DINGUE, NAN ? Ha oui, on me signale que cette parenthèse s'éternise, alors, oui, certes, peut-être, c'est pas complètement faux, en revanche, encore une fois, je déteste qu'on me dise ce que je dois faire, du coup, je vais rapidement expliquer une règle pour calculer les probabilités de manière générale (et FRANCHEMENT, si vous aviez cru UN SEUL INSTANT que j'allais donner des cours de maths, vous vous trompez. J'ai pas que ça à foutre, déjà que je suis le modèle et la source d'inspiration de Toko. HA OUI, TOKO, REVENONS-EN À ELLE (mdr))) : "J'ai vu. J'ai bien vu. Et je suis outrée." ET LÀ, je libère Toko de mon emprise, comme pour lui signifier que je ne me sens plus digne de son amour, je ne me sens plus digne d'être son âme soeur (c'est complètement faux, c'est pour rendre la vie à Tsuki un peu plus... DRAMATIQUE ! HA, ha, ha. Bref, je reprends : Lizzie s'était donc séparée de Toko, ses bras descendaient lentement le long de son corps tandis qu'elle, faisant un pas en arrière, articulait quelque mots en commençant à pleurer (OUI QUEL JEU D'ACTEUR J'VOUS L'FAIS PAS DIRE BORDEL DE MERDE !) : "Je... Moi qui pensais que..." Attention, l'erreur de débutant aurait été ici d'enchaîner trop vite les deux phrases, erreur que, moi, je ne fais pas, bien sûr. Du coup, j'me suis retournée (donc j'étais dos à elle, la scène était plus magistrale que jamais (OUAIS J'COMMENCE À DONNER DES DÉTAILS POUR LES PLUS STUPIDES)) avant de continuer : "Je pensais que ça serait différent avec toi, Toko... Je pensais qu'avec toi..." Lizzie se tut, laissant à Toko le soin de comprendre ce qu'elle devait comprendre, et d'agir en conséquence.

Feat : Toujours ma Toko

Bon, vous savez quoi, on va faire une putain d'ellipse parce que j'ai pas que ça à foutre de tout raconter. DONC, ellipse magique, nous sommes à l'infirmerie avec TOKO MON AMOUR. Oui, oui, je sais, c'est dur de ne pas avoir les détails. Pourquoi alors y sommes-nous ? On se le demande, mais l'important N'EST-IL PAS DE VIVRE LE PRÉSENT INSTANT, EN FAISANT FI DU BIEN, DU MAL, DU PASSÉ ET DU TEMPS À VENIR ? Non, peut-être pas, je pense que la réponse sommeille en chacun de nous. C'est faux, encore une fois, j'espère que vous ne vous étiez pas laissés prendre au jeu, sinon c'est que vous avez deux neurones qui peinent à se lier. Oui, oui, c'est pas super gentil et pas vraiment justifié, mais, honnêtement, ON EN EST PLUS À ÇA ! Alors, BON, BON, JE VAIS LE DIRE, parce que sinon on va me reprocher de rien dire de concret et d'utile... mince alors, c'est ma marque de fabrique. Je sais, faisons un compromis, je vais écrire la première lettre de chaque mot, puis remplacer les autres par des tirets, ainsi, vous pourrez découvrir, avec un peu de jugeote, la vérité. Nous nous sommes donc retrouvées à l'infirmerie car T--- a d----- d- p---- u- P----- D- C---- S- M--- L- R---- D-- P---- e- d--- m--, e- m--- g------- j- l'a- a----- à l'i--------- c-- c------------ à c- q-- v--- p------- p----- j- n- s--- p-- t--------- d----- d'e------- (n--, j'd------, j'a---- u-- t---- a---- i--- d------- l- t---). Voilà pour les détails et C'ÉTAIT VRAIMENT CHIANT À ÉCRIRE ALORS J'ESPÈRE QU'À LIRE C'EST PIRE. Bref, je l'avais amenée du coup parce qu'elle avait à moitié fait un malaise et donc... MERDE, PUTAIN, TOUT EST FICHU, J'AI TOUT FOUTU EN L'AIR. MERDE. MA VIE N'A PLUS DE SENS. Bon, bon, admettons que ce soit pas si grave, j'reste géniale. Oui, oui, J'ADORE ME FAIRE DES CUNNIS C'EST SI AGRÉABLE MON DIEU. Bon, ARRêtons là, oui, cela vaut mieux, beaucoup mieux. Ouais, mais ça commence à me faire chier moi, là clairement j'vais décrire la chose : suite à ça, j'me suis installée près d'elle et j'attendais juste qu'elle se réveille en enchaînant les clopes. BAH OUI, BAH OUI, IL SE PASSE PAS GRAND CHOSE, mais j'ai eu le temps de cogiter sur ma parole, sur L'IMPORTANCE DE CE QUE JE DEVAIS DIRE, oui, oui oui. EN vrai, la réalité détonnerait avec l'image que je donne de moi, c'est pour ça que j'en dis pas trop (OLÀLÀ LIZZIE QUE DE CONFESSIONS, Mais es-tu au moins honnêtes ? HA BAH ÇA ON SAIT PAS ÉVIDEMMENT) enfin, moi je sais, je sais tout. TOUT. ALors, quoi dire ? HA OUAIS, ma réplique, déjà, il fallait une entrée en matière importante, c'est toujours le plus important, c'est ça qui fera que Toko se dira "MON DIEU JE L'AIME, ELLE EST PARFAITE J'AIMERAIS TANT SENTIR SON CORPS CONTRE LE MIEN" et tout ça, en d'autres termes ET CETERA. Oui, nous en étions donc à Toko qui se réveille dans mes bras. Oui oui, je sais, c'est trop mignon, c'était surtout une manière de dire "Tout est pardonné" #CHARLIE BIEN T'AS BITÉ LA RÉFÉRENCE ENCULÉ. Alors où en étais-je ? Ha oui, alors [sujet manquant], je sais que j'ai beaucoup trop fait la vanne de "où en étais-je ?" et puis je reprends absolument pas où j'en étais mais vous savez quoi ? Je l'aime bien cette vanne, et je pense que l'important, dans la vie, pour ÊTRE HEUREUX PUTAIN, c'est de faire ce qui nous plaît. Mais je divague (VAGUE), revenons à Edwin VOILÀ VANNE FAITE PASSONS À LA SUITE. Mon dieu je suis folle. Oups, deuxième éclair de lucidité dans un seul pavé, HA NON, ON FRISE L'OVERDOSE. Overdose de weed, comme c'que j'risquais en fumant OINJ SA MÈRE SUR OINJ SA MÈRE, mdr. Ha oui, j'fume pas dans l'infirmerie BIM DEUXIÈME FOIS QUE JE REPRENDS PAS LA BONNE HISTOIRE, PUTAIN ON EST SUR DE LA BONNE INNOVATION SA MÈRE LA PUTE. Innovons, passons une ligne.

Ho je suis une femme nouvelle.

Hmmmmmmmmmmm tant de plaisir dans ce geste de passer une ligne...

Je devrais le faire plus souvent, le texte est tellement plus aéré...

Délicieux saut de ligne.

Bis, c'est toujours aussi délicieux.

Se référer à la phrase précédente.

Lizzie ça fait beaucoup, ça devient pénible.

Lizzie, ce n'est plus drôle.

Lizzie, ça n'a en réalité jamais été drôle MOI J'SUIS PAS DRÔLE ? MOI, MOI, MOI JE SUIS PAS DRÔLE ? Très bien je suis vexée. Très bien. Nan mais j'ai compris, je me tais.
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Mince, niveau innovation on y est pas, PAS DU TOUT. Très bien, essayons d'innover. Êtes-vous prêts pour l'innovation ?

Ik vind het erg leuk om zinnen te vertalen met GOOGLE TRANSLATION JA.

JE SUIS SÛRE QUE ÇA SE COMPREND. Je reprends : j'étais avec Toko, mais elle n'était pas avec moi. MON DIEU TANT DE POÉSIE C'EST SI DÉLICIEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUX. Passons, j'lui ai juste dit que j'étais pas sérieuse quand je lui ai dit ce qui l'a choquée. Enfin, réfléchissez, j'lui ai dit à son réveil, j'allais pas parler à une meuf qui m'entend pas, LA LOGIQUE BORDEL.