Saint Valentin [PV Aïky]

Une splendide journée s'annonçait. Celle dont le vent est parfumé d'arôme sucré. Où le soleil nous réchauffe d'une immense joie. Une journée où tout les couples se réunissent en cœur pour festoyer leurs complicité. Oui, une journée formidable prenait naissance.

La Saint Valentin.

Enfin, pas exactement. Nous somme plutôt le dimanche 11 février, soit trois jours qui devance la fête de cupidon. La Saint Valentin aura lieux mercredi, mais avec les cours, hors de questions. C'est bien pour cela que j'ai réserver ce dimanche rien que pour Aïky. Pour lui offrir une journée entre nous qui ne serait pas interrompus par un prof grincheux ou des élèves hypocrites. Nan, Aïky mérite une belle journée, et je compte bien la lui offrir. Elle m'a bien coûté plus de 6 000£ après tout....

Et oui. Le Stradivarius qui à fait les yeux doux à Aïky est soigneusement emballé dans un paquet cadeau simple mais aux belles couleurs. Ce même paquet cadeau voilant une boîte en bois d'une qualité inestimable, orné de décoration d'encre doré. Qui cache l'instrument qui à fait chaviré celle que j'aime. Comment ais-je pu me procurer un tel objet d'un tel prix ? Et bien... J'ai repris contact avec Kaylee, une amie qui vit ici en Angleterre avec un père plein aux as grâce à son travail, bien que cela l'empêche d'être présent. C'est d'ailleurs grâce à ce même travail que j'ai rencontré Kaylee, puisque son père faisait un voyage d'affaire à Paris, et qu'en même temps je remplissais un contrat d'une mission locale. Quoi qu'il en soit, après m'être fait disputer un jours entier, puis après avoir enduré son hyperactivité les trois jours d'après. Kaylee m'a finalement fais une fleur en acceptant de m'offrir l'instrument grâce à son "papounet". Je ne saurais jamais la remercier, par contre elle, elle sait très bien ce qu'elle va me demander. Et je sens qu'après la Saint Valentin, je vais devoir être présent trois semaine auprès de cette princesse capricieuse. Mais bon... Qu'est-ce que je ne ferais pas pour Aïky ?

La nuit fût longue pour moi, je ne pouvais trouver le sommeil. Je repensais sans cesse à la journée que j'allais entreprendre. A ce que je dirais à Aïky, à sa réaction. Tout un tas de choses dont on ne devrait pas être tourmenté en soit, mais c'était plus fort que moi. Cette journée à hanté ma nuit, et Aïky à hanté mes émotions en m'envahissant de stresse et d'inquiétude. Mais trop tard, je lui avais donner rendez-vous au parc où nous avions bus nos milk-shake la semaine d'avant. Et je ne pouvais pas lui poser un lapin.

En me levant ce matin, je me rendis compte que la belle journée que j'avais imaginé, n'aurais strictement rien avoir avec ce qui allait se présenté.

Non, parce que la belle journée ensoleillé et sucré. S'avérera finalement être fraîche et enneigé. Oui, de la neige était tombé, et il doit bien avoir six ou sept centimètres de poudreuses. Et les flocons qui se déversent toujours à flots. Je sourit bêtement, comme un enfant. Après tout, pourquoi pas ? J'ai toujours aimé et admiré la neige, comme bien d'autres choses forcément, mais ce sera quelque chose d'un peu nouveau pour Aïky et moi. En France il ne neige pas beaucoup, du moins là où j'habitais. De fait je n'ai profité que rarement de cet atmosphère aussi beau que mordant. Du côté d'Aïky je ne sais pas, c'est peut-être plus fréquent, aucune idée. D'ailleurs en parlant d'Aïky, je vais devoir lui expliquer la différence culturelle de la Saint Valentin. Puisque tandis que je baignais dans mon angoisse la nuit durant, il m'est revenue en tête l'indéniable Saint Valentin Japonais.

En effet là-bas la Saint Valentin est différente, elle se déroule en deux temps. Le 14 février ce sont les demoiselles qui apportent un cadeau pour les hommes. Et ces dernier ne leurs en font un en retour qu'un mois plus tard, le 14 mars, lors du "White Day". J'ai égoïstement "imposé" à Aïky un cadeau de taille pour ce jours spécial, alors que dans ses coutumes, c'est à elle et elle seule de m'offrir quelque choses... J'espère qu'elle ne sera pas donc gêné ou pire, qu'elle ne se sentira pas insulté. Dans tout les cas j'aurais refusé un cadeau que je n'aurais pu partager ou retourner avec un autre.

J'observe alors quelques instant la neige qui recouvre les jardins de l'Académie, et les flocons qui pleuvent gracieusement. Avant de m'étirer, et d'aller me préparer pour offrir à Aïky, sa première et merveilleuse Saint Valentin. D'ailleurs, en parlant de me préparer, je vous ais dis que Kaylee en à profiter pour me traîner dans des boutiques pour "des achats" ? Ne suivez jamais Kaylee dans les boutiques. Cette princesse folle dévoreras absolument tout ce qu'elle trouve, elle sait que son père en a dans les poches, et c'est bien pour ça qu'elle ne se gêne pas. Sauf que pendant qu'elle se fera plaisir, elle trouvera n'importe qu'elle excuse pour refaire par la même occasion votre garde robe. Pour vous en faire cadeaux ? Non non, par simple plaisir de dépenser toujours plus. Oui, Kaylee est le cliché parfait de la nana accrocs aux vêtements qui boufferait cinq ans de salaire en trois heures.

Elle """""" m'offrit """"""  une veste, dont il s'agit plutôt d'un manteau d'ailleurs, bleu foncé. Dont la capuche est discrètement orné d'une fourrure blanche. Honnêtement, en vue de mes goûts pour les vestes, je trouve cela très jolie et sera parfaite pour ma sortie avec Aïky. Elle en à également profité pour me faire une réserve de tee-shirt et de jean mais ça c'est moins important. Aujourd'hui donc, j'enfilerais ce manteau, avec un jean bleu-noir orné de brun et d'une chemise blanche pour mettre le tout un peu en valeur et varié les couleurs qui restent très similaires. Mais avant tout ça, une douche, un brossage de dents pour être tout neuf, et un peu d'anti-transpirant sous les bras pour éviter les mauvaises surprises, même si elles devraient être caché sous les tissus.

Suite à cela je prend mon portable qui rechargeait, pour voir si Aïky ne m'a pas envoyé de messages depuis. Il semblerait que non, de faîte, je m'empare du cadeau que je range dans un sac à dos, puis sort de la Maison Saphir afin de regagner l'arrêt de bus qui m'emmèneras en ville. Où j'y attendrais, dans le parc, Aïky avec une dizaine de minutes d'avance.

Adossé contre un arbre à admiré les cris joviaux des enfants. Mon portable vibre dans ma poche, je le sors alors en pensant à Aïky. Et en effet, c'est bien elle. Elle me préviens qu'avec le verglas elle aura du retard. Je souris tendrement, avant de lui répondre que ce n'était pas grave. Puis je la charrie un petit peu en lui envoyant :

" Tu n'avais pas besoin de passer 3 heures pour te faire belle tu sais ~ "

Une fois l'avoir rassuré et taquiné, je reprend mon observation tout en pensant à elle. A la journée que nous allons partagé. Une journée rien qu'à nous deux. Et qui sera sûrement bien plus joyeuse en vue de l'atmosphère. J'espère seulement qu'elle ignore à quel point je peux être joueur, ce serait dommage qu'elle puisse prévoir la déguster la dégustation blanche qui l'attend ~

...

Tout bien réfléchis, je n'aurais pas du tourné ma phrase ainsi. Puisque pour les esprits décalé, le sens de cette phrase n'a rien d'innocent, et n'est qu'indécent. Mais je n'ai clairement pas envie de penser à ce genre de choses. Après tout la sexualité ne m'intéresse pas tant que ça. Je veux dire, bien sûr c'est un domaine de la vie à explorer et dont on doit profiter malgré que cela soit la base de beaucoup d'horreurs. Mais je préfère un moment tendre et chaleureux qui transmet de la bienveillance. Plutôt qu'un simple plaisir physique. C'est bien pour ça d'ailleurs que je vois les rapports sexuel comme des discussions intimes, ou comme un jeu romantique. Et non comme un vulgaire plaisir qui n'a rien d'autres à envié que les sensations. M'enfin, de toute façon, ce n'est pas comme si je risquais de toucher Aïky. Certes la dernière journée que j'ai passé avec elle à trahit chez l'un comme l'autre une faim plus mature. J'ai toujours été faible face à la tendresse et j'ai toujours souhaiter que l'on veille sur moi. Alors quand il s'agit en plus d'une jolie jeune femme amusante et très douce...

Une quinzaine de minutes s'est écoulé tandis que j'explorais mes pensées comme à mon habitude. Et un crie résonne plus loin derrière moi. Une féminine et berçante voix, criant mon nom avec joie. Aïky arrivait.

Je me tourne alors partiellement vers elle, les mains dans les poches de mon manteau désormais voilé de pigments enneigé, sûrement de même pour mes cheveux désormais légèrement mouillé. Le visage un peu humide sous les flocons. Ceci dit j'ai gardé mon manteau ouvert, le froid ne me gêne pas tant que ça, et il tient déjà bien assez chaud, alors autant gardé mon habitude. Je n'ai jamais vraiment aimé refermer un manteau ou une veste, je trouve que cela gâche son style et ses formes. Et puis bon, j'ai fais l'effort de porté une chemise blanche pour être un peu mieux habillé, je n'allais tout de même pas la caché. Quoi qu'il en soit, Aïky, toute contente, arrive à grand pas, avec un sourire que je n'oublierais sûrement jamais. Je souris en retour, et amusé je lui lance :

" Attention à ne pas tombé princesse ! "

En y repensant, elle avait vraiment des allures de princesses. Toujours aussi belle, bien habillé. Et une fois assez proche, j'ai pu constaté son effort à s'attaché un peu les cheveux, mais pas trop non plus. Dans une belle tresse. Et ça lui va très bien. Cependant je ne m'attarde pas trop sur tout ceci, puisque j'ai bien plus peur qu'elle ne tombe et se casse quelque chose, je m'avance alors vers elle, amusé mais attentif à ses gestes.

Un faux pas et je bondis la rattraper !

Aïky cours vers moi en m'affichant cette joie que j'aime tant. Et comme je le craignais, elle trébuche en avant, la tête la première. Je bondis aussitôt pour la rattraper contre moi, elle lâche un petit cris de surprise, tandis que je la regarde, soupirant. Rassuré qu'elle n'ait rien.

" Je vous avais bien dis de faire attention ~ "

Je souris, et dépose mes lèvres sur le dessus de sa tête, bienveillant. Elle me sourit toujours aussi tendrement, ricanant en me répondant :

" Désolé, je suis une vrai catastrophe ambulante ! J'aurais du faire attention au lieu de courir comme une enfant mais j'avais hâte de te retrouver et puis c'est agréable la neige ! J'en ai pas vu souvent , c'est si joli ! "

Alala... Comme elle le dit, c'est une vraie gamine lorsqu'elle si met. Mais c'est si meugnon... Elle dépose ses lèvres sur ma joue, elles sont chaude et agréable. Je savoure ce doux contact éphémère avant de l'écouter m'énoncer :

" Merci mon prince charmant et ... chevalier servant à ces heures perdues ! "

Je ricane, approchant mon visage à quelques millimètre du sien, mes narines caressant les siennes et mon souffle se déposant contre sa peau. D'un sourire amusé je lui susurre :

" Toujours prêt à vous servir votre majesté... "

Puis dans un élan d'amour mes lèvres se marient aux siennes avec douceur mais fermeté. S'en emparant avidement mais amoureusement. Je laisse nos baiser durer quelques instant, avant de me reculer gentiment et lui sourire.

" J'aurais voulus te demander comment tu vas, mais tu sembles au top de ta forme. Alors... Je vais plutôt te montrer quelques choses "

Je laisse mon sac glissé le long de mon bras afin de le tourner face à Aïky. Je l'ouvre délicatement, et y sort le paquet cadeau aux couleurs bleu et doré.

" C'est pour toi 'tit chou "

Je lui sourit, je ne pouvais plus attendre sa réaction. Je lui tend gentiment le généreux cadeau qui m'a causer quelques "" soucis "". Et j'en profite pour lui dire :

" Je suis désolé, dans vos traditions c'est d'abords à vous de nous faire un cadeau. Mais... Je tenais à te l'offrir. "

A la fin de mes mots une légère honte et culpabilité grandis en moi. Non pas parce que je suis gêné ou que je m'inquiète à propos des traditions d'Aïky. Mais c'est surtout le fait de ne pas avoir pu acheter ce cadeau de moi même. Je veux dire, c'est mon cadeau, pas celui d'un autre. Bien que je n'ai pas eu le choix... Il me faut vraiment un boulot pour que je n'ai plus à dépendre de qui que ce soit... Je ne mérite même pas l'aide que j'ai reçus de Kaylee pour me garantir une belle journée avec Aïky. Et j'ai honte d'utiliser son argent égoïstement. J'espère pouvoir me racheter convenablement...

J'observe Aïky, attendant qu'elle prenne son cadeau et qu'elle le déballe, pour y découvrir son instrument soigneusement scellé dans une boîte de bonne qualité.

Aïky, surprise, prend le cadeau avec soin. Lorsqu'elle entreprend de s'asseoir sur le banc à côté de nous, je prends le soin de dégager la neige pour le bonheur de son fessier. Une fois installé, elle découvre soigneusement l’étui qui recouvre son vraie cadeau. Elle y passe ses doigts lentement, avec finesse, elle doit sûrement se rendre compte de son luxe. Elle me jette un regard, silencieuse, avant de replonger sur ce qui se trouve dans les paumes de ses mains. Elle ouvrit finalement l'étui, et y découvre finalement, son fameux stradivarius. Choqué, elle y glisse ses doigts le long de l'instrument, elle semble le découvrir une seconde fois.

" Revan ... c'est ... trop ... "

Je me penche légèrement en avant, joignant les mains contre le bas de mon dos. Puis lui souris sincèrement, lui répondant avec douceur :

" Bonne Saint Valentin mon cœur "

Elle ne détache pas ses yeux de l'objet luxueux, elle n'en revenait pas et cela m'amusait.

" Je ... C'est... beaucoup trop ... !  "

Elle me lance un regard apeuré. Elle en perd ses moyens, c'est si mignon. Je lui souris affectueusement, lui énonçant :

" Quand j'ai vue à quel point tu admirais cet instruments dans la boutique... Je savais que je devais te l'offrir tôt ou tard. C'est pour ça que j'ai vue avec le vendeur si il pouvait le mettre de côté un moment et si on pouvait payé en plusieurs fois. Finalement comme je n'ai toujours pas de boulot, j'ai été aidé par une amie gâté par un père riche. Bien sûr ce ne sera pas sans conséquences... Mais au moins le voila, rien qu'à toi. "

Je marque une pause, et lui informe timidement :

" Je ne vais pas te mentir... J'ai vraiment honte... Je ne te l'ai pas offerts de moi même avec mes propres moyens, ce qui gâche toute la symbolique... Et cela me fait vraiment culpabilisé... Mais j'avais si envie de te faire plaisir... Tu l'admirais tellement que je devais faire n'importe quoi pour que tu le possèdes. Je ne méritais pas de te l'offrir, mais je l'ai fais tout de même dans l'espoir de te faire un merveilleux cadeau... "

Au fil de mes mots mes yeux se détournent de plus en plus. Pour finalement fixé le sol enneigé à ma droite, de honte. D'autant plus que l'honneur est un principe très important au Japon... Là je lui ais avoué ouvertement n'avoir eu ni mérite, ni honneur, ni même aucun respect en ayant cet instruments en ma possession autrement que par mes propres moyens. J'aurais du me battre pour le mérité comme je comptais le faire, mais la Saint valentin est arrivé trop vite, je ne pouvais le faire...

Je suis désolé Aïky, je voulais seulement te faire plaisir.

" Revan ... ! "

Je zieutes rapidement Aïky, et constate qu'elle me regarde avec une tendre bienveillance. Elle pose son nouvel instrument à ses côté en veillant à ne pas l’abîmer. Pour finalement se relever vers moi. Mes joues se voilent de roses et je détourne le regard. Mais finalement elle m'incite à l'admirer de nouveau, lorsque je sens ses douces lèvres s'unirent avec mon front. Je souris légèrement, mais finalement mon cœur accélère lorsque je sens son souffle descendre lentement le long de mon visage, pour finalement se lié à mes lèvres. Ce baiser passionné mêler à ses doigts contre ma nuque me procure de délicieux frissons, le tout me faisant chavirer, pour finalement l'embrasser avec le même amour et la même passion. Nos échanges durent quelques instants, avant qu'elle ne se recule pour reprendre son souffle en me murmurant sincèrement :


" Merci Revan ... c'est un cadeau ... vraiment ... incroyable .. merci infiniment !! ça me touche ...énormément et que ce soit toi ou pas qui l'ai payé n'enlève en rien que c'est ton idée et toi qui a fait en sorte de l'obtenir ... alors ... Merci ... ! "

Je souris encore bêtement... Elle est si gentille... Je fixe toujours Aïky, plus détendus et touché grâce à ses gestes. Et admire celle que mon cœur à choisis.

" Il est magnifique ... J'ai hâte de l'essayer ! "

" Je t'imaginais bien l'essayé sous la neige... Ça aurait été très jolie. Mais tout bien réfléchis, vue tout ce qui tombe, je pense que ça l'abîmerait... Mais j'ai hâte de t'écouter jouer ! "

Elle me sourit avant de m'embrasser une dernière fois, je lui souris en retour. Elle fouille dans son sac pour en sortir un petit cadeau. Je penche la tête curieusement, elle m'en a fait un ? Enfin, je veux dire, oui bien sûr qu'elle m'en a fait un, c'est la tradition chez elle. Mais des biscuits ou du chocolat dans une tel boîte ?... Elle me le tend fébrilement. En me disant

" Joyeuse Saint Valentin ... "Chéri" "

Je ne m'attendais pas à ce qu'elle dise ce dernier mot en Français, mais je suis agréablement surpris. Cela m'amuse et je lui répond alors dans un japonais assez correct, en prenant soigneusement son cadeau :

" Arigatô Aïky "

J'ouvre alors la petite boîte soigneusement, y passe le couvercle en dessous. Et découvre finalement un pendentif en jade. Étonné, je le prend soigneusement et découvre que le métal qui entourait le jade représente un Dragon Asiatique. Je regarde Aïky, et je lui souris.

" C'est jolie... "

Puis je m'avance vers elle pour voler tendrement ses lèvres, avant de lui murmurer :

" Merci 'tit chou. On aura tout les deux l'autres autours du cous maintenant. "

Je lui souris de nouveau avant de l'embrasser une fois encore... Ou plutôt une dizaine d'autres fois. Puis une question me vint à l'esprit. Je met alors ce généreux cadeau autours de mon cous, par dessus la chemise pour qu'on le voit constamment comme j'aime le faire. Puis demande à Aïky :

" Dis moi, pourquoi le jade ? Je t'avoue que si tu étais une pierre je t'aurais vue d'une autre couleur. Comme du Fluorite aux lueurs rose. Alors pourquoi le jade ? Il représente quelque chose que je n'ai pas encore découvert ? "

Les pierres ont des symboliques diverses et variés, comme les animaux ou toute sorte de choses. J'ai toujours été passionné par cela. Alors évidemment, cela m'intéresse de savoir ce qui se cache derrière le jade !

- Je t'imaginais bien l'essayé sous la neige... Ça aurait été très jolie. Mais tout bien réfléchis, vue tout ce qui tombe, je pense que ça l'abîmerait... Mais j'ai hâte de t'écouter jouer !

C'est vrai que les flocons sont nombreux dans le ciel, tombant silencieusement sur nous.

- Je jouerais s'il neige un peu moins tout à l'heure ...

L'idée d'avoir un public m'angoisse toujours un peu ... mais pour l'homme que j'aime ... je peux bien faire cet effort là !
Quand Revan découvre son cadeau, je l'observe avec appréhension mais il finit par relever son regard sombre sur moi , me remerciant en japonais  trouvant le collier "joli" avant de s'approcher pour venir m'embrasser. Je ne me lasse pas de ces lèvres, son souffle, sa peau et son odeur...

- Merci 'tit chou. On aura tout les deux l’autre autours du cou maintenant.

Cette idée me plait énormément et je lui souris amoureusement. Il m'embrasse à nouveau ... encore et encore ... je ne compte plus, je me laisse aller, mon cœur éclatant d'amour pour lui... De nouveau nous nous séparons ... même si je pourrais passer ma journée contre lui ...

Dis moi, pourquoi le jade ? Je t'avoue que si tu étais une pierre je t'aurais vue d'une autre couleur. Comme du Fluorite aux lueurs rose. Alors pourquoi le jade ? Il représente quelque chose que je n'ai pas encore découvert ?

- Et bien ... à vrai dire, le jade est un symbole d'amour et de vertu ... J'ai plus pensé à la symbolique .. qu'à une pierre qui me représente vraiment. Le jade a aussi des bienfaits thérapeutiques : il permet la détente et la relaxation ... et en Chine c'était
symbole de force et de pouvoir, de chance et de bonne fortune. Et bien sur le symbole a été le symbole des dynasties impériales par excellence. Tout comme le dragon à 5 pattes qui maintient le morceau de Jade. Le symbole impériale ... parce que tu es mon  ... "roi de coeur" !

C'est un peu bête mais je ne peux m'empêcher de rire de cette image que j'ai d'imaginer Revan en roi.

King's Revan:

Je prends les mains de Revan dans les miennes et m'approche, jusqu'à ce que nos fronts se touchent.

- Je t'aime ...

" Et bien ... à vrai dire, le jade est un symbole d'amour et de vertu ... J'ai plus pensé à la symbolique .. qu'à une pierre qui me représente vraiment. Le jade a aussi des bienfaits thérapeutiques : il permet la détente et la relaxation ... et en Chine c'était
symbole de force et de pouvoir, de chance et de bonne fortune. Et bien sur le symbole a été le symbole des dynasties impériales par excellence. Tout comme le dragon à 5 pattes qui maintient le morceau de Jade. Le symbole impériale ... parce que tu es mon  ... "roi de coeur" ! "


J'écoute Aïky attentivement... Autant de vertus transmit dans cette pierre dans la culture Chinoise, je ne m'y attendais pas. Et je m'attendais d'autant moins à ce qu'elle me confie toute ces symboliques... J'ai même la sensation d'être surestimer. Je souris à Aïky, puis me gratte l'arrière de la tête en lui répondant :

" Suis-je vraiment digne d'être votre empereur, princesse ? Mériterais-je vraiment de faire de vous l'impératrice de mon empire charnel ?"

Aïky prend finalement mes mains, et déposer son front contre le mien pour me murmurer avec douceur

" Je t'aime ... "

Je souris, heureux, et lui murmure à mon tour en rapprochant mes lèvres à quelques millimètres des siennes

" Et moi bien plus encore~ "

Puis je l'embrasse de nouveau, de tout cœur. Lui transmettant par les lèvres tout ce qui pétille et me réchauffe en moi. L'embrassant lentement, tendrement. D'une douceur infinis. Se faisant petit à petit des plus passionné. Finalement ma langue viendra dévoilé sa présence en léchouillant gentiment entre les lèvres de ma bien aimé afin de lui demander la permission de danser avec elle. Mon bras droits enroule Aïky autour de sa taille et la coller contre moi, tandis que ma mains gauche caresse sa joue avec affection. Je laisse durer cet instant d'amour rien qu'à nous. Avant de me décoller de ses lèvres à contre cœur. Je prend ses mains délicatement, lui souriant, puis lui propose sur un ton joueur :

" Ma chère et douce impératrice, souhaiteriez-vous de plein gré d’atténuer votre appétit dans un humble restaurant ? "

" Je suivrais partout où ira mon beau et tendre Empereur ! "

Nous ricanons, Aïky reprend son cadeau, tout en se débarrassant du papier cadeau. Je lui propose alors :

" Tiens tu ne veux pas plutôt mon sac ? Le tiens a à peine la place, ce serait plus pratique ! "

Je lui tend gentiment mon sac, attendant de voir ce qu'elle en fera.


Nous marchons ensuite main dans la main, à observer les alentours. Les flocons qui pleuvent, les enfants qui jouent. C'est tout un autre monde qui se dévoile, et qui embellit cette journée rien qu'à nous. Les crépitements de la neige que l'on écrase au fil de nos pas est si agréable à entendre, c'est un plaisir auditif que peu comprenne. Quoi qu'il en soit je lance plusieurs regard amoureux à Aïky. Pour l'admiré et lui sourire. Je l'incite également à se coller à moi, pour profiter d'autant plus de la présence de l'autre.

Après une dizaine de minutes de marche, nous voila finalement face au restaurant que je voulais présenter à Aïky. Enfaîte je voulais à la base l'emmener dans un restaurant aux allures romantique. Mais finalement... J'ai opté pour quelque chose d'un peu plus "personnel". Nous pouvons voir depuis la vitre que les places aux fenêtres sont des sofa en cuir rouge avec des tables blanches, la décoration à l'intérieur est chic, les mur sont peint en gris dans des mouvement circulaire, ce qui explique les différentes variante de gris qui forment des dessins ondulé ou tourbillonnant. Mise à part les sofa qui encadre le restaurant, ce dernier est constituer de tables en bois noir et des chaises de même couleurs munie de cuir blanc pour les rendre confortable. Ayant toujours la main d'Aïky, je m'avance avec elle, avant d'ouvrir la porte et la laisser galamment passer devant. Nous sommes chaleureusement accueillis, on nous demande combien nous sommes, je répond que nous ne serons que deux. Et on nous positionne à une table de deux. J'invite Aïky à s'asseoir la première, avant de m'asseoir en face d'elle.

" Au départ je voulais un restaurant assez romantique, et non aussi "confortable". Mais... Je me suis dis que cela te ferait plaisir de retourner un peu chez toi, d'une certaine manière. "

Je m'empare délicatement de la carte qui était planté au centre de la table. Pour la tendre à Aïky. Celle-ci pourra constaté qu'il s'agit d'un restaurant japonnais, qui propose tout un panel de plat qui est difficile à trouver en occident. Comme des Takoyaki ou des Okonomiyaki. Après il y a les classiques Ramen mais bon. Je regarde Aïky, espérant qu'elle y trouve un plat qu'elle à toujours affectionner et qui ne soit pas trop "atypique" pour être présent sur la carte. Espérant qu'elle apprécie de retourner un peu chez elle, dans un univers culinaire bien différent du notre.