Guess who's back !!!! [Pv Taylor][No Mj]

Pris de sa paranoïa habituelle, notre protagoniste se dirigeait vers le portail comme pour surveiller les entrées et sorties de Tsuki. C'était une vieille habitude qu'il prenait le matin avant d'aller au réfectoire pour manger le petit déjeuner. De toute façon, il avait sa propre diète rangé dans son dortoir, sous forme séché, donc ça lui suffisait. Il faisait un peu frisquet en ce mois de Février, expliquant un accoutrement chaud de la part de notre Junalkin. Veste en laine, treillis, bottes, la totale pour pouvoir attendre dehors patiemment un morceau de bœuf Jerky dans la main. Il fermait les yeux et analysait chaque aura présentes, se laissant la permission d'observer les intentions de chacun des êtres vivants présents. Pour l'instant, rien d'anormal, si ce n'est que des pensées ayant l'air préoccupées par les cours, du moins, en supposant. C'était dur de comprendre réellement une intention en dehors d'un combat où la volonté de l'adversaire guidait son poing.

C'est alors qu'en mâchant sa viande tranquillement, un thé dans un thermos dans l'autre main, il venait à le porter jusqu'à ses lèvres pour y délecter le breuvage. Néanmoins, une sorte de présence familière, grande, protectrice, inspirante même, remontant loin, dans un passé presque oublié....

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Il s'essuyait la bouche grâce au dos de sa main avant de se redresser pour marcher d'un pas rapide au portail. Non...Cela n'était pas...si ? Pourquoi ? Pourquoi après autant de temps ? Et...Et tout le reste ? Notre protagoniste commençait à se poser des milliards de questions. S'il ne se trompait pas, et vu qu'il ne se trompait jamais, alors c'était bien lui...Son cœur battait plus vite et plus fort. Ce léger stress lui prenant le ventre ainsi qu'une joie presque proche de l'hystérie le saisissait. Le portail n'allait certainement pas tarder à s'ouvrir, laissant dans cette brume matinale une silhouette marchant possiblement à son rythme assuré habituel. Le temps semblait se suspendre dans son esprit, se concentrant uniquement sur les bruits de pas qu'il percevait grâce à ses sens largement supérieurs. Il passerait pour un fou à rester immobile devant le portail à environ 10 mètres, avec un air surpris. Il ouvrait les lèvres, pour ne finalement rien prononcer pour ne pas ruiner ce moment important.

Son esprit remémorait des lointains souvenirs. Tout son parcourt de Tsukien défilait à une vitesse plus folle que celle qu'il pouvait atteindre à son plein potentiel. Ses entraînements de perception, les combats dans la rue, la visite de son domicile....Il n'y avait qu'un Homme dans ce bas monde pour lui évoquer autant d'efforts payants. Un seul. Le seul et l'unique....

Musique:

Quelques miettes tombaient de sa bouche pour atteindre le sol. Il secouait la tête à gauche puis à droite. Oui ! C'était bien lui ! Dean FUCKING Taylor. Le meilleur professeur de pouvoir à ses yeux. Chu était pas mal dans son genre mais ça ne valait pas sa virilité et sa pédagogie. Notre protagoniste s'apprêtait à faire un pas en avant pour le saluer en se retenant de trembler comme une fangirl. Il se redressait en se dépoussiérant les vêtements, puis en rangeant son thermos fermé dans sa sacoche tenant à son flanc droit. Il serrait la main avec un grand respect, pas trop fort, le coude pas trop proche ni trop loin. Une vrai poignée de main virile.

- Ça fait longtemps Jïnn, j'ai entendu parler de tes avancements, j'espère juste que tu te contrôles mieux qu'avant.


Sa frottant l'arrière de la tête d'un air propre à la moue, il souriait ensuite avec une légère crispation. Il est vrai que la dernière fois, il était tombé dans l'abus. Il avait tellement de choses à lui raconter. S'il existait bien un diamant digne de confiance, c'était Dean Taylor. Toutes les fois où les psy ou autres diamants avaient essayé de découvrir le fin mot de l'histoire, il les avait envoyé bouler. Non...Patience. Il vient à peine de revenir, donc il fallait attendre. L'océan est aussi profond dans le calme que dans la tempête. Il soufflait doucement par le nez, prenant une bonne bouffée d'air frais ensuite. Il répondait d'un air visiblement heureux de le revoir, malgré le sarcasme :

Je pourrais vous compter tous mes progrès, je n'en suis pas peu fier. Mais, sans vouloir faire de la lèche, c'est grâce à vos enseignements. Disons que vous m'avez montré la voie à suivre.

Le Junalkin s'écartait d'un pas sur le côté, pour le laisser passer. N'ayant pas spécialement d'affaires sur lui, il supposait qu'il devait être en service, ou qu'il avait un cours à faire. D'ailleurs à se propos, il se devait de demander des informations. Il avait hâte de refaire des cours de pouvoirs avec lui. Élargir encore plus son panel d'options serait un avantage non négligeable.

D'ailleurs monsieur, vous comptez en refaire des cours de pouvoir ?

Demandait-il alors calmement mais avec une légère flamme de hype dans les yeux. Il suivait alors d'un pas calme et rassuré plus qu'assuré l'ex professeur pour l'accompagnement tranquillement. Evidemment, si sa présence dérangeait, alors il le sentirait et disposera aussitôt. Juste avant qu'il ne réponde à sa question, il laissait d'un air assez mélancolique, incapable de le dissimuler :

J'ai tellement de choses à vous raconter...

Il regardait alors le chef des surveillants dans les yeux. Son regard voulait communiquer toutes les emmerdes qu'il avait subit, quitte à devoir mettre au courant ce diamant précisément, le seul jugé apte à pouvoir y faire quelque chose. Déviance, l'agence, tout, tout à propos de la sécurité. A défaut d'avoir perdu des alliés récemment, il en retrouvera certainement un.

Avec un peu de recul immédiat, il doutait de sa propre demande. A vrai dire, il savait pas vraiment comment en parler, ni par quoi commencer. Puis c'était long aussi. Peux-être fallait-il le faire dans un huit-clos comme son bureau.

- Tu m'accompagnes? On aura le temps de parler sur la route.


Une bonne idée que voilà. Il restait naturel pour faire paraître à une belle retrouvaille, ce qui était effectivement, du moins à ses yeux, le cas. Mais quitte à balancer les propos qui suivront, autant le faire en étant détendu, même si évidemment, rien qu'à l'évocation des souvenirs douloureux, il en gardait une cicatrice permanente. Repenser à ces "superbes" moments de dissection avec comme vision ses deux yeux sur soi même, son corps réagissait de lui même en envoyant encore un signal faible de douleur. Il serrait légèrement les dents afin de relâcher ses épaules. Il restait attentif.

- Alors, donc oui, pour les cours... Je pense que tu as pas forcément dû être mis au courant, mais je ne reviens pas à Tsuki en temps que professeur. Je vais gérer tout le pôle surveillance. En gros j'aurais à répondre qu'à deux personnes sinon je suis votre nouveau patron en dehors de ses deux là héhé.


Oh...C'est bien dommage mais pas si mal en fin de compte. Après tout, le dernier banquet manquait de surveillant compétents. Surtout qu'il n'avait aucune nouvelle des directeurs ou des instances supérieures. Avoir Taylor à ce poste pourrait créer plus de communications et faciliter les échanges. Il trouvait en son mentor un moyen d'enlever les barrières qu'il s'imposait lui même, en lui confiant ses doutes, ses craintes et ses solutions. Ce retour lui paraissait très prometteur. A moins que....Et si Taylor était un agent double ? Non, ce serait partir trop loin, il ne faut pas tomber dans ces dimensions de tromperies ou il se mordra tout seul les doigts.

- Alors Jïnn, qu'est-ce qui te tiens tant à me raconter, nous sommes plus que deux.


Bon et bien, même s'il n'avait pas l'expérience il avait son aura donc si une intention se portait sur eux, il le sentirait. Au moins, son entraînement en solitaire portait ses fruits. Il adoptait un air un peu grave avant de lui annoncer la couleur. Sa voix pourrait paraître troublée à certains moments du récits, ne s'étant clairement pas remis de la dernière fois. Il n'en dormait plus parfois.

C'est après la forêt. Déjà, sachez qu'elle a repoussé depuis, enfin je suppose que vous l'avez vu. Je vous expliquerai pourquoi juste après.
Quoi qu'il en soit, après les événements entre Warren Kisuke et moi, nous avons vécu comme d'habitude à l'académie. On attendait notre lettre de renvoie venant de la main propre du directeur, du moins, on supposait. En se réveillant un matin, un papier sur notre porte indiquait qu'on devait se rendre au bureau du directeur. Ce papier était soumis à une influence surnaturelle et nous avons été comme....fortement incité, limite contrôlé pour y aller.  Une fois dans la pièce,
je ne sentais rien, pas d'auras, que dalle. Warren avait deux dons à ce moment là, dont le mien. Une fois qu'on les a perçu, c'était trop tard. Il serrait les poings, instinctivement, expirant doucement avant de passer sa main sur sa nuque, l'endroit touché. Sa main s'emportait dans le ton mais pas dans le volume.
Jamais il ne s'était confié sur ça, toute sa charge émotionnelle se vidait pendant qu'il tremblait légèrement.  On a été endormis par une aiguille puis on s'est réveillé sur des tables opératoires avant de se faire disséquer encore et encore et encore et encore....On était vide...les yeux sans âme...On s'est réveillé à l'académie en entendant juste avant de repartir des voix pressées, comme si des gens avaient découvert leurs agissements. Je soupçonne l'agence...Cette même agence qui a envoyé une escouade dans ma chambre, armée jusqu'aux dents alors que je venais à peine de recouvrer mes pouvoirs et mes forces....sortant d'un handicap physique invivable où je ne mangeais plus et où je vomissais en étant aussi frêle et fragile qu'une feuille. Il rapprochait ses mains de sa poitrine, voulant ressentir sa chaleur, secouant doucement la tête pour enlever sa peur apparente. Il expirait doucement, limite comparable
à un soupir d'une personne frigorifiée. Après ce terrible séjour, j'ai été à l'agence, dans une salle blanche, sans son, sans air, sans sens...Une personne au centre. J'ai essayé de le combattre en vain, avant de me changer en arbre. Il m'a fait une introspection mentale sur tous mes souvenirs. Cette personne m'en a voulu pour la forêt rasée et m'a déposé une marque sur le crâne, cachée par mes cheveux, puisant mes forces pour alimenter la future repousse de la forêt.

Il avait omis des détails mais l'essentiel devrait passer. Sa main caressait son front à l'aide de son pouce s'éloignant du reste de ses doigts. Il expirait par le nez d'un coup sec. Comme pour vouloir se détendre lui même, il rajoutait en se voulant sarcastique de manière assez raté, regardant Dean Taylor avec un maigre sourire d'une personne qui finalement avait ouverte sa coquille :

Sinon, c'est cool de vous avoir en patron des surveillants, le dernier banquet c'était le merdier. Héhé...

Bon retour, Dean.

Nous étions donc deux, seuls sur au moins 30 mètres minimum à la ronde. Aucun risque d'oreilles indiscrète, et je suis bien placé pour savoir qu'on a pas de caméra ou de micro caché dans le coin. C'est donc avec un air très sérieux, trop sérieux, que Jïnn commença a délier sa langue, et comme dans une sorte d'ambiance ou il veut se débarrasser de son mal, il parle et parle encore. Moi, je l'écoute et au début, rien d'alarmant. Il explique juste l'après forêt mais plus l'histoire avance et plus ce que j'entends ne me plaît absolument pas. Comment ça c'était trop tard? Comment ça dans le bureau du directeur? J'avais pas le temps de poser ses questions que Jïnn après avoir souffler pour garder son calme reprends ce qu'il a commencé.

Et là je détestais ce que j'étais entrain d'entendre. "disséquer encore et encore et encore et encore...", "vide...les yeux sans âme..". J'avais les points serrées presque au point de me faire saigner. J'apprend en plus que l'organisation qui se veut comme étant un peu nos régents, nos pseudo-protecteur, n"ont pas vraiment arranger la situation, juste aggraver son trouble et sa situation physique. Un homme surement avec un pouvoir immense le punis pour son acte, très bien, mais met sa vie en danger, non. Juste non. Jïnn fini juste par une tentative d'apaiser la situation.

- Sinon, c'est cool de vous avoir en patron des surveillants, le dernier banquet c'était le merdier. Héhé...

Sauf que le regard que je renvoyais n'était pas celui que Jïnn attendais. Un regard emplis de colère, et de regrets. Mon impuissance à gérer tout cela, mon abandon, tout ça a mener à ce que des élèves, si jeunes, subissent de tels expériences, cette école n'est elle pas faites pour eux, pour les protéger, pour qu'ils s’épanouissent? Je ne vais plus fuir, je vais changer les choses de l'intérieur. Je vais tenter de suivre les règles, si je sors tout de suite des sentiers battu je vais me faire remarquer. Mais il va falloir qu'un jour ou l'autre j'ai une discussion avec le directeur. Cette homme a besoin qu'on lui remette les idées au clair. Car j'ai des doutes sur son idéologie quand je vois ce que cette académie a offert aux élèves depuis que je l'ai connu. Et même avant mon arrivé j'avais entendu parler d'autres soucis. Je suis étonné qu'on est encore autant d'élèves.

Ses paroles avait sonné comme un déclic en moi. J'avais déjà le cœur emplis de doutes sombres avec tout les événements que l'académie a vécu, mais maintenant c'est certain, je vais comme pour la fois ou j'ai tué l'homme qui a tué mes amis, jouer avec mes propres règles. Je vais juste rester en stand-by pendant une petite semaine, histoire de me mettre en place.
Sinon, retournons à notre ami à l'aura. Je pose ma main, lourde, sur son épaule.

- Désolé. Je vais changer cette endroit, soit patient. Il se peut même que j'ai besoin de ton aide dans un futur proche. L'agence... Déviance... Le Directeur, tout ça... Ils ne font au font que servir leurs égos, ils ne pensent pas à vous. Je vais tout renverser, faire de cet endroit une VRAIE académie pour les gens comme vous. Comme nous.

Je lâche alors son épaule, le regard toujours fâché et sérieux. En soit, je suis réellement déçu. Quand je suis arrivé dans cet endroit la première fois, j'avais le cœur emplis d'espoir et d'une grande curiosité. Aujourd'hui c'est l'inverse, je reviens, je revois un élève avec qui je m'entendais très bien et j'ai des réponses aux questions que je me posais, mais des réponses que je n'aurais jamais voulu entendre. Je vais devoir devenir plus fort, bien plus fort.

- Ça te tente qu'un de ses jours on s’entraîne ensemble?

Du coin de l'oeil, il observait la contraction des poings de Dean, se demandant s'il le fallait vraiment. Il n'avait pas réellement pensé à sa réaction, le considérant juste comme la figure paternelle et responsable. Il s'attendait surement inconsciemment à une réaction stoïque, un sourire rassurant, une canalisation de ses émotions. En réalité le voir énervé lui laissait un frisson léger dans l'échine. S'il y a bien une chose qu'il ne maîtrisait pas, c'était l'appréhension des émotions des autres. En général, il se devait d'y aller avec le sourire, jouant d'un cliché souvent inspirant. Là, il était question de tout autre chose. Peut-être que Dean Taylor se montrait transparent après tout ? N'était-ce pas la meilleure réaction qu'il puisse espérer ? Possiblement. En tout cas, lorsqu'il sentait sa main lourde sur son épaule, il se relâchait complètement, libre de sa propre crispation instinctive.

- Désolé. Je vais changer cette endroit, soit patient. Il se peut même que j'ai besoin de ton aide dans un futur proche. L'agence... Déviance... Le Directeur, tout ça... Ils ne font au font que servir leurs égos, ils ne pensent pas à vous. Je vais tout renverser, faire de cet endroit une VRAIE académie pour les gens comme vous. Comme nous.


Si seulement Dean ou Jïnn pouvait lire dans les pensées l'un de l'autre. La vision qu'ils ont est la même, du moins, initialement. La brochure lui avait toujours vendu du rêve, au point de tout quitter pour se lancer dans un monde qu'il pensait totalement féerique. Il n'en était rien. En tout cas, li voyait en Dean, surement à tord ou à raison, seul le temps le dira, un leader. Cette même figure symbolique qu'il percevait plus tôt, il semblait d'accord pour l'accepter en tant que dirigeant. Néanmoins, il avait besoin de lui ? Oui avec plaisirs mais...Warren avait tenu les mêmes paroles à l'époque et il est disparu on ne sait où. A moins qu'il ait perdu contact et encore...Il avait l'impression d'entendre le même disque rayé. Cependant, il allait accepter de manière plus modérée cette fois. Il n'avait plus à foncer tête baissée. Il avait ses propres cartes en main. La puissance qu'il possédait il ne la maîtrisait pas pleinement sans une tête calme. L'océan est aussi profond dans la sérénité que dans la tempête. C'était une leçon durement apprise.

- Ça te tente qu'un de ses jours on s’entraîne ensemble?


Il haussait un sourcil, l'air curieux. C'était un honneur mais...Un surveillant avait-il le droit ? En tout cas, utiliser le pouvoir à l'extérieur comportait un risque, même si évidemment il n'y avait pas que ça à travailler. Il lui fallait des informations même s'il imaginait la couleur. Pour réussir un dessein pareil, tout renverser comme il a dit....Il en fallait des moyens. Et encore...Renverser n'était pas le mot juste selon lui. Il fallait juste...Changer le leader, sans forcément employer la manière forte comme le suggérait ce mot. Après, il pouvait tout simplement se tromper. C'est pour cette raison qu'il se contentait d'opiner en regardant son interlocuteur dans les yeux, déterminé mais interrogateur :

Bien sûr que ça me tente. Je commençais à stagner à force de m'entraîner seul. Mais, vous voulez faire ça sur le terrain d'entraînement comme une séance pendant vos heures de libres ? Enfin si vous en avez. C'est quoi le plan ?

Il se tenait alors le menton pour réfléchir par lui même. Rien aux alentours dans cette zone déserte du portail. Les murs servaient de parfait isolants sonores pour les plus curieux même si évidemment, un pouvoir peut changer la donne. En tout cas, même s'il percevait des présences à 150m au maximum, il ne se sentait pas épié ni écouté. Pour s'éviter une longue explication, tout en partant du principe qu'il existait une faculté capable de connaître celle des autres, il ajoutait rapidement :

Si vous voulez monsieur, pour connaître ma situation actuelle, si du moins on parle de pouvoir, je crois que mon dossier vous résumera tout quand vous aurez le temps. Je ne pense pas que nous ayons le temps de tout développer ici. Mais sinon...J'arrête de vous couper et je vous écoute. C'est vous le patron.

Cette petite dernière phrase servait à lui faire prendre un peu de distance avec un brin d'ironie. Il n'avait pas de mal à être sérieux mais autant essayer de faire croire à des possibles regards omniscients qu'il rigolait bien avec son premier mentor. Après tout, Dean n'était qu'une lumière guidant Jïnn dans ses propres ténèbres qu'il voyait surement à cause d'une paranoïa maladive. Il était très attentif.