Johann Munnin [Terminé]
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Johann Munnin [Terminé]
Johann Muninn
Pouvoir
- Personnage : Clear [Dramatical murder]
- Âge : 22 ans
- Sexe : Homme
- Origines : Islandais
- Taille : 1m80
- Cheveux :Blanc
- Yeux : rose/violet
- Logement : maison en périphérie de la ville
- Travail : Justicier/Policier
This is me...
Mental
Traits de caractère : Johann se montre sous la forme d’une personne plutôt sympathique jovial et particulièrement sociable. Souriant et plein de vie sa nature espiègle et malicieuse lui donne un petit côté enfantin. Envers les personnes qu’il affectionne, il est particulièrement dévoué en tant qu’amis. Cela dit même avec les inconnus, il est plutôt serviable. Pour les autres en revanche et n’hésite pas à montrer qu’il a la langue bien pendue et n’a aucun remord à envoyer des pics et paître les gens méchamment. Il aime laisser les autres penser qu’il est niais avec une intelligence limitée. Souvent impulsif, on pourrait le soupçonner d’être lunatique et est parfois dure à suivre dans sa démarche avec une logique bien à lui.
Mais tout ceci n'est qu'une façade. Derrière son sourire, se cache un complexe d'infériorité résultant de son vécu. ceci a tendance à entraîner un sentiment de paranoïa parfois l'impression de n'être qu'un bouche-trou pour les autres ou encore la cinquième roue du carrosse, c'est pourquoi il ne s'attache que très peu aux autres en réalité. Son vécu lui a laissé bon nombre de sentiments négatif et refoulés.
De la honte pour commencer, la honte de ce qu'il était et de ce qu'il a peur d'être toujours.
De la rancœur aussi et surtout de la colère envers tous ceux qui l'ont fait souffrir, ceux qui n'ont rien fait face à sa détresse et tout leur semblables doublé d'une profonde amertume qui l'a poussé à partir si loin de son pays natal.
Enfin, il y a en lui une certaine culpabilité. C'est d'ailleurs elle qui l'a poussé à devenir policier/Justicier, vous verrez plus tard pourquoi.
c'est de là que lui vient un côté fourbe et extrêmement vicieux. Les coups bas ne lui posent aucun problème. Pour tout vous dire il n’accorde que bien peu d’importance aux valeurs morales telle que le respect, le fair-play ou autre blague dans le genre… Pour lui il ne s'agit que d'une excuse, un moyen utilisé par les personnes pour tenter de se rassurer sur sa propre valeur ou d'essayer de ce placer au dessus de autres : "je vaut mieux que lui parce que j'ai de l'honneur". Pour lui l'honneur ce n'est rien de plus que de la fierté mal placé.
Quoiqu'il en soit il ne se confiera que rarement même à son entourage le plus proche
Aime :le folkore, faire rire les autres, parfois les agacer aussi, rire d'absolument tout, l'humour noir et les jeux de mot même les plus mauvais, chanter, les sport de combats
Déteste :l'intimidation,l'abus de pouvoir, être pris de haut et rabaisser , les personnes qui passent leur temps à s'apitoyer sur leurs sort, l’hypocrisie, les personnes qui n'assument pas leurs actes et leurs conséquences
Autre :(facultatif)
mon Physique
Du haut de ses 1m80 sa pigmentation atypique ne cache rien sur sa nature véritable en tant que détenteurs d’un pouvoir. Sa chevelure d’un blanc nacré pour commencer, coupé mis court et coiffer en arrière à l’exception de sa frange. Enfin et surtout ses yeux d’un violet claire presque rose. À cause de son pouvoir, il arrive que ceux-ci se mettent à briller d’une couleur rougeoyante tandis que ses pupilles deviennent fendus. Côté corpulence, c’est un garçon bien battit notamment grâce à ses nombreux entraînements aux différentes formes de self défense.
Pour ce qui est de sa tenue, en tant que civil il n’y a rien de bien remarque qui vaille la peine d’être précisé puisqu’il s’habille de manière plutôt quelconque. Pour son travail en revanche, la société Olympus lui a fourni une tenue bien particulière spécialement adaptée à son pouvoir composer d’un tissu qui ne se déchire pas à l’apparition de ses tentacules, mais au contraire va les laisser pousser et en épouser le contour. Cet ensemble de vêtements est à peu près semblable aux tenues militaires à cette différence près qu’au lieu des habituels motifs Kakis celle-ci est intégralement blanche. Olympus à justifier cela par le fait qu’en tant que gardien de la paix les civils doivent pouvoir le remarqué de loin en cas de besoin. Argument discutable certes, mais néanmoins le seul qu’on lui a fourni. Toutefois, il a réclamé une petite personnalisation qui consiste en un simple masque orné d’un visage qui sourit. Il n’a rien de bien particulier si ce n’est qu’il est parfaitement adapté à la forme du visage de son propriétaire.
This is my story...
Issu, d’une mère islandaise et d’un père anglais, j’ai vu le jour sur les terres glacées de l’Islande. Dès ma naissance, je présentais des anomalies physiques qui laissèrent à supposer que j’étais un détenteur. Cela n’avait en rien surpris mes parents puisque les deux branches de ma généalogie contaient déjà plusieurs détenteurs de pouvoir. Pourtant malgré tout l’amour inconditionnel que me portait ma famille, j’avais souffert dès ma plus tendre enfance de discrimination dû à la couleur de mes cheveux et mes yeux. Au départ, cela ne s’était limité qu’une mise à l’écart justifié par le simple argument que j’étais trop bizarre et différent. Jusque-là rien de bien méchant pensez, mais pour un enfant, c’est quelque chose qui peut être très mal vécu. Cependant en comparaison des événements qui ont suivi, je dirais que c’était plutôt supportable. C’est à partir du collège que les choses ont empiré. De paria mise à l‘écart, je suis passé au statut de bouc émissaire centre de toutes les attentions et les moqueries. En tant qu’individus perpétuellement seul, j’étais une cible facile pour tous mes camarades. Rien ne me fut épargné pendant ces sombres années, des moqueries aux coups, en passant par les blagues, les rumeurs et les humiliations. Je me souviens à l’époque, j’avais demandé de me teindre les cheveux et porté des lentilles pour être comme tout le monde et ne plus avoir à supporter l’animosité qu’éveil chez les autres un pouvoir qui ne s’était toujours pas montré. Mes parents avaient refusé. Il m’avait répondu qu’en voulant être comme les autres, je finirais par ne plus être personne. Je devais assumer et être fière de ce qui me rendait unique. Ce n’est que bien plus tard que je compris ce que cela signifiais. En attendant mon calvaire continua encore et encore jusqu’au jour où je ne supportais plus ce petit jeu. J’étais rentré de l’école couvert de blessure, le visage déformé par les bleus et les ecchymoses, les yeux rougis par les larmes quand ils n’étaient pas gonflés par l’hématome et le nez dégoulinant de sang. Mes parents n’étaient pas encore rentrés de leur emploie alors j’ai profité de ce moment seul pour commettre ce qui a bien failli être irréparable. Je m’étais approprié dans la pharmacie de la maison divers cachets et médicaments sans me soucier de leur usage et leurs effets. J’avais contemplé une dernière fois le résultat de ma faiblesse couplé à la barbarie de mes camarades avant d’aller dans ma chambre pour ingurgiter les médicaments et me laisser mourir dans mon lit.
Mes parents m’ont heureusement trouvé suffisamment tôt pour agir, me faire régurgiter les produits médicaux et m’amener aux urgences. C’est après une longue hospitalisation pour me remettre sur pieds et des séances chez le psychologue pour regagner confiance en moi et surpasser ma détresse que j’ai compris une chose. Les humains excellents dans l’art de trouver des prétextes à la discrimination. Ton physique, tes origines, ton pedigree, tes activités, tes capacités, tes croyances, ton opinion. Tout absolument, tout pourra toujours servir de prétexte à t’humilier, pour des critères que tu as choisie… Ou non ... Que tu essayes tant bien que mal de changer ou non ...
Suite à cette mésaventure, j’avais trouvé refuge dans les arts martiaux en particulier tout ce qui touche au self défense. Ju-juistu, Krav Maga, Pencak-sillat. Bien que ce soit mon père qui en a été l’instigateur, exigeant de moi que j’apprenne à me défendre, c’est à l’intérieur de ces dojos que je me suis fait une promesse. Celle de ne plus jamais être vulnérable.
Durant cette période était survenus un autre évènement majeur de ma vie qui avait influencé mes choix et mon avenir. Cette fois-ci, ce n’était pas un évènement dont j’étais acteur, mais seulement témoins. Parmi toutes les personnes que je connaissais, il y en avait une avec qui j’étais particulièrement proche et qui était mon meilleur ami. Une fille que j’avais rencontrée au collège. Celle-ci eu la malchance de tomber sur un homme qui l’avait détruite. Pour commencer, elle est tombé enceinte aux environs de 15 ans ce qui en a fait une pariât auprès des autres tout comme je l’ai été. J’ai vu tout ceux qu’elle considérait comme ses amis lui tourné dos, chose qui m’a conforté dans ma solitude. Je me disais qu’au moins quand on est seul personne ne peut te blesser. C’est pourquoi aujourd’hui encore je ne m’attache que très peu au gens. Mais ce n’est pas tout, pendant près de deux ans, elle avait été séquestrée et battue par le père biologique de son enfant. Et moi pendant tout ce temps, je n’ai rien pu faire. Quelque chose qui me fera certainement culpabiliser toute ma vie. Pourtant mon amie, elle, ne me tient nullement rigueur. Parfaitement consciente que j’étais trop occupé à lutter contre mes propres démons pour pouvoir lui venir en aide. Malgré tout à mes yeux, rien ne justifiait mon inaction. C’est de cette culpabilité qu’est née la décision devenir policier et ainsi pouvoir venir en aide aux personnes qui comme moi et comme elle ne trouvait aucune réponse à leur détresse.
Les années se sont écoulées, je suis entré au lycée ou les choses se sont grandement améliorées. Je m’étais fait des amies et m’étais trouver mon premier petit copain j’avais en grande parti fait la paix avec moi-même et mon passé. Malheureusement, cette phase ne put durer bien longtemps. Avec ma bande, nous étions tous allers au concert de l’un de nos artistes favoris, tous nous passion un moment d’amusement et d’insouciance la plus totale. C’est justement pendant cette célébration que par étourderie, j’avais confondu mon verre avec celui d’une de mes amies. Ce que nous ignorions tous à ce moment-là, c’est que quelqu’un y avait glissé une drogue afin de pouvoir abusé d’elle. Drogue dont je me retrouvais à être victime, mais d’une manière inattendue. Par une réaction probablement défensive, presque comme une allergie mon corps se retrouva subitement parcouru de douleurs dans son entièreté. La souffrance fut telle que je suis tombé à terre, tentant de me déplacer et me relever tant bien que mal à quatre pattes. Puis un pic de douleurs d’une intensité insupportable se fit sentir dans mon dos. C’est comme si on m’arrachait la chère. De longues et impressionnantes tentacules armés d’innombrables écailles avaient poussé dans mon dos, sifflante dans un bruit semblable à l’avertissement d’un crotale, ravageant tout autour de moi, à une vitesse époustouflante, projetant des écailles tranchante comme des rasoirs dans toute les directions répondant avec agressivité aux personnes qui tentaient de les maîtriser tout cela dans un brouhaha mêlant cris de de détresse, pleurs et fracas jusqu’à ce que mon pouvoir s’estompa en même temps que je perdais connaissance à bout de force.
À mon réveil, j’étais dans un lit d’hôpital pris en charge par des personnes spécialisées pour les individus comme moi. J’ai appris que même s’il y avait eu de nombreux blessé, très grave pour certains, il n’y avait eu par miracle aucun mort. C'est à cette occasion qu’on m’a parlé d’une école destiné au gens comme moi pour apprendre à me contrôler et faire en sorte que ce genre d’incident ne survienne plus.
À mon retour du Lycée tout à changé. J’étais fui, crains et détesté. Les gens me voyait comme un danger publique, une bombe à retardement prête à exposer à tout moment. Mon quotidien n’était plus qu’un enchaînement de regard en croit, de grand silence lourd lorsque j’entrais dans une pièce, couper seulement par quelques messes basses et insultes proférées dans mon dos. Même en cours ou au self plus personne n’osait s’asseoir près de moi. Ces agissements m’avaient grandement rappelé les tristes souvenirs du collège. Même mon petit ami m’avait tourné le dos au moment où j’avais le plus besoin de lui. J’avais compris qu’il n’était qu’un nombriliste trop occupé à s’apitoyer sur son sort pour voir ma propre détresse. Moi qui me suis plié en quatre afin de le sortir de sa dépression en vain. a seule chose à laquelle j’ai eu droit en retour fut des reproches.
Je ne vous cache pas que ma stabilité émotionnelle s’en retrouva grandement ébranlée par tous ses événements. Je m’isolais de plus en plus et avais pris l’habitude de fuguer la nuit le foret pour ne revenir qu’à l’aube. Mon comportement en société avait également changé. J’étais devenus beaucoup plus agressif et insolent avec les figures d’autorité. Puisque de toute façon tous m’ont catalogué comme monstre sans même me laisser une chance de me défendre pourquoi je me fatiguerais à essayer de leur donnée tord ? C’est ce que je me disais, et c’est également ce qui dictait ma conduite à l’époque.
Ce n’est qu'en venant à abondance pour suivre les formations de policier et justicier que j’ai pu apprendre à canaliser et contenir mon agressivité grâce à la discipline quasi-militaire que mon choix professionnel exigeais ... mais pour combien de temps ?
Mes parents m’ont heureusement trouvé suffisamment tôt pour agir, me faire régurgiter les produits médicaux et m’amener aux urgences. C’est après une longue hospitalisation pour me remettre sur pieds et des séances chez le psychologue pour regagner confiance en moi et surpasser ma détresse que j’ai compris une chose. Les humains excellents dans l’art de trouver des prétextes à la discrimination. Ton physique, tes origines, ton pedigree, tes activités, tes capacités, tes croyances, ton opinion. Tout absolument, tout pourra toujours servir de prétexte à t’humilier, pour des critères que tu as choisie… Ou non ... Que tu essayes tant bien que mal de changer ou non ...
Suite à cette mésaventure, j’avais trouvé refuge dans les arts martiaux en particulier tout ce qui touche au self défense. Ju-juistu, Krav Maga, Pencak-sillat. Bien que ce soit mon père qui en a été l’instigateur, exigeant de moi que j’apprenne à me défendre, c’est à l’intérieur de ces dojos que je me suis fait une promesse. Celle de ne plus jamais être vulnérable.
Durant cette période était survenus un autre évènement majeur de ma vie qui avait influencé mes choix et mon avenir. Cette fois-ci, ce n’était pas un évènement dont j’étais acteur, mais seulement témoins. Parmi toutes les personnes que je connaissais, il y en avait une avec qui j’étais particulièrement proche et qui était mon meilleur ami. Une fille que j’avais rencontrée au collège. Celle-ci eu la malchance de tomber sur un homme qui l’avait détruite. Pour commencer, elle est tombé enceinte aux environs de 15 ans ce qui en a fait une pariât auprès des autres tout comme je l’ai été. J’ai vu tout ceux qu’elle considérait comme ses amis lui tourné dos, chose qui m’a conforté dans ma solitude. Je me disais qu’au moins quand on est seul personne ne peut te blesser. C’est pourquoi aujourd’hui encore je ne m’attache que très peu au gens. Mais ce n’est pas tout, pendant près de deux ans, elle avait été séquestrée et battue par le père biologique de son enfant. Et moi pendant tout ce temps, je n’ai rien pu faire. Quelque chose qui me fera certainement culpabiliser toute ma vie. Pourtant mon amie, elle, ne me tient nullement rigueur. Parfaitement consciente que j’étais trop occupé à lutter contre mes propres démons pour pouvoir lui venir en aide. Malgré tout à mes yeux, rien ne justifiait mon inaction. C’est de cette culpabilité qu’est née la décision devenir policier et ainsi pouvoir venir en aide aux personnes qui comme moi et comme elle ne trouvait aucune réponse à leur détresse.
Les années se sont écoulées, je suis entré au lycée ou les choses se sont grandement améliorées. Je m’étais fait des amies et m’étais trouver mon premier petit copain j’avais en grande parti fait la paix avec moi-même et mon passé. Malheureusement, cette phase ne put durer bien longtemps. Avec ma bande, nous étions tous allers au concert de l’un de nos artistes favoris, tous nous passion un moment d’amusement et d’insouciance la plus totale. C’est justement pendant cette célébration que par étourderie, j’avais confondu mon verre avec celui d’une de mes amies. Ce que nous ignorions tous à ce moment-là, c’est que quelqu’un y avait glissé une drogue afin de pouvoir abusé d’elle. Drogue dont je me retrouvais à être victime, mais d’une manière inattendue. Par une réaction probablement défensive, presque comme une allergie mon corps se retrouva subitement parcouru de douleurs dans son entièreté. La souffrance fut telle que je suis tombé à terre, tentant de me déplacer et me relever tant bien que mal à quatre pattes. Puis un pic de douleurs d’une intensité insupportable se fit sentir dans mon dos. C’est comme si on m’arrachait la chère. De longues et impressionnantes tentacules armés d’innombrables écailles avaient poussé dans mon dos, sifflante dans un bruit semblable à l’avertissement d’un crotale, ravageant tout autour de moi, à une vitesse époustouflante, projetant des écailles tranchante comme des rasoirs dans toute les directions répondant avec agressivité aux personnes qui tentaient de les maîtriser tout cela dans un brouhaha mêlant cris de de détresse, pleurs et fracas jusqu’à ce que mon pouvoir s’estompa en même temps que je perdais connaissance à bout de force.
À mon réveil, j’étais dans un lit d’hôpital pris en charge par des personnes spécialisées pour les individus comme moi. J’ai appris que même s’il y avait eu de nombreux blessé, très grave pour certains, il n’y avait eu par miracle aucun mort. C'est à cette occasion qu’on m’a parlé d’une école destiné au gens comme moi pour apprendre à me contrôler et faire en sorte que ce genre d’incident ne survienne plus.
À mon retour du Lycée tout à changé. J’étais fui, crains et détesté. Les gens me voyait comme un danger publique, une bombe à retardement prête à exposer à tout moment. Mon quotidien n’était plus qu’un enchaînement de regard en croit, de grand silence lourd lorsque j’entrais dans une pièce, couper seulement par quelques messes basses et insultes proférées dans mon dos. Même en cours ou au self plus personne n’osait s’asseoir près de moi. Ces agissements m’avaient grandement rappelé les tristes souvenirs du collège. Même mon petit ami m’avait tourné le dos au moment où j’avais le plus besoin de lui. J’avais compris qu’il n’était qu’un nombriliste trop occupé à s’apitoyer sur son sort pour voir ma propre détresse. Moi qui me suis plié en quatre afin de le sortir de sa dépression en vain. a seule chose à laquelle j’ai eu droit en retour fut des reproches.
Je ne vous cache pas que ma stabilité émotionnelle s’en retrouva grandement ébranlée par tous ses événements. Je m’isolais de plus en plus et avais pris l’habitude de fuguer la nuit le foret pour ne revenir qu’à l’aube. Mon comportement en société avait également changé. J’étais devenus beaucoup plus agressif et insolent avec les figures d’autorité. Puisque de toute façon tous m’ont catalogué comme monstre sans même me laisser une chance de me défendre pourquoi je me fatiguerais à essayer de leur donnée tord ? C’est ce que je me disais, et c’est également ce qui dictait ma conduite à l’époque.
Ce n’est qu'en venant à abondance pour suivre les formations de policier et justicier que j’ai pu apprendre à canaliser et contenir mon agressivité grâce à la discipline quasi-militaire que mon choix professionnel exigeais ... mais pour combien de temps ?
Under the mask...
Prénom ou surnom : Noa
Anniversaire : je ne le fête jamais
Loisirs :jardin
Tu aimes :vous ne voudriez pas savoir ....
Tu détestes :tellement de choses
Ton rêve :aucune idée
Comment es tu arrivé ici ?je suis une relique mon pote !
Des idées pour améliorer le forum ? on va déjà voir s'il dépasse les 1 an
Le mot de la fin :#####
Re: Johann Munnin [Terminé]
C'est tout bon, merci discord pour la rapidité !
Felicitation !
T'es validé !
Felicitation !
T'es validé !
Tu vas pouvoir enfin commencer tes activités de membre sur le forum et tu auras très prochainement ta couleur correspondant à ton groupe.
(Si l’une des deux fiches à faire n’a pas été validée, concentre-toi dessus pour enfin nous rejoindre pour de bon ! Si tout est déjà fait, alors welcome !)
Pour la suite je te propose quelques liens utiles :
- Liste de demande de Rp
- Et enfin, si tu le souhaites, créer ton journal intime
Si tu as des questions, n'hésite pas à m'envoyer un MP.
(Si l’une des deux fiches à faire n’a pas été validée, concentre-toi dessus pour enfin nous rejoindre pour de bon ! Si tout est déjà fait, alors welcome !)
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Si tu as des questions, n'hésite pas à m'envoyer un MP.
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