Complots, pyjamas et chocolat ! [Pv Daaf]

Je me réveille un samedi tout à fait banal. Il est visiblement aux alentours de 11h, ce qui ne m'étonne pas vraiment vu que je me suis couché plutôt tard. Xeruo doit être au terrain d'entrainement, et les autres je ne leur parlent jamais. Maxime a visiblement changé de chambre il y a un petit moment. J'avais peur qu'il ne soit allé trop loin dans ses recherches, et que des scientifiques fous l'avaient enlevé pour punir sa curiosité avec un tas d'expériences douloureuses, mais visiblement il va bien. Je l'ai croisé hier, son projet à l'air d'avancer a petit pas. J'ai un problème, je commence à me sentir coupable de ne pas avoir trouve de gens pour le projet. En fait, je voulais en parler a Xeruo, mais j'ai trop la flemme d'aller le chercher.... Bon aller Kupo, c'est pour la bonne cause...

Je sors donc de la maison émeraude, habillé vite fait, et passe au réfectoire avant d'aller chercher le sportif. Comme d'habitude, j'avale mon déjeuner en quelques minutes, ce qui me fait le plaisir d'avoir des bout de bacon coincé entre les dents toute la journée. Quand je sors pour aller le chercher, je ne trouve personne. Oh purée, il est où celui là ? Ailleurs, comme toujours. Je soupire et descends dans la ville pour le chercher. Journée pourrie qui commence....

14h, Pas de russe qui joue avec les couteaux en vue. Moi en revanche, j'ai faim et j'en ai marre de chercher Xeruo. Et puis finalement, l'idée de chercher des gens pour le projet de Maxime ne m'enchante plus vraiment. Je rentre à l'académie pour manger en réfléchissant à ce que je pourrais faire cette après midi... J'en ai un peu marre de chercher Xeruo, je le ferais demain... Peut être. Pour être honnête, une autre idée m'est venue à l'esprit. J'avale donc mes carottes en vitesse et fonce vers l'infirmerie.

Grâce à l'astuce de la psy, je réussi facilement a attirer Marihuana en dehors de chez elle. La chatte me rejoint timidement, et je laisse un message rapide a la Madame Mac-Agosse pour lui expliquer que je suis avec elle, et avec la promesse de lui ramener ce soir avant 18h. J'entraine le félin en dehors de l'infirmerie, et nous nous dirigeons vers le terrain d'entrainement.

Aussitôt arrivé, Marihuana commence a jouer avec une feuille. Nous passons l'après midi tranquillement, et après une ballade en forêt, des jeux avec des vieux sac de chips et quelques caresses, je ramène le chat dans sa maison vers 17h. Je le laisse devant la maison Diamant, et j'espère qu'elle trouveras tout seul le chemin vers sa maison. Malgré mes quelques recherches, je n'ai pas croisé Xeruo. Je continue la fin d'après midi tout seul. J'ai beau chercher des idées, je ne trouve pas quoi faire.

Il est maintenant 20h. Cette journée est passé à tout vitesse. J'ai mangé, je suis douché et je n'ai toujours rien à faire. Je sors donc jusqu'au foyer émeraude, portable et livre a la main, sans oublier une tablette entière de chocolat blanc. Comme j'ai la flemme de me changer, je suis en pyjama. Je m'assoit sur l'un des fauteuil, et commencer à lire mon livre. Je ne trouvais pas le temps pour lire ce livre ( ou plus exactement, j'avais la flemme, soyons honnête ) alors cette occasion est bien tombée ! Le dernier tome de la Guerre des Clans... Depuis le temps que je lit cette série.... J'ouvre donc le livre, et commence à lire les aventures des triplés élus des étoiles, tandis que les émeraudes entre par groupe au fur et a mesure que les heures passent...

Il faisait froid la nuit, et il avait bien chaud. Daaf était recouvert par un bon pyjama de laine blanche, d'une douceur comparable à la fourrure d'un lapin, qui prenait ainsi bien soin de sa peau, l'installant dans un doux duvet que les gens adorent. Ces vêtements le confortait si bien qu'il aurait voulu rester avec pour longtemps encore. C'était si duveteux, si agréable au toucher et en même temps si protecteur du froid, que les envieux se compteraient par centaine. Le confort était inégalable. Le garçon, lui, était tellement bercé par ce blanc manteau qu'il ne pensait plus qu'à cela. Il resta alors pendant une heure, comme ça, allongé sur son lit.

Ce lit, qui avait le même effet : un bon support moelleux avec un oreiller rembourré généreusement, doublant le volume de la berceuse déjà chantée par son pyjama. Un enchaînement de rembourrage et de tissu, une succession de couette et de draps qui portait le jeune homme au paradis, un paradis tout blanc où l'on ne voudrait plus redescendre sur Terre tellement on y bien.

Mais quelque chose manquait à l'appel de ce trio de rêve : le sommeil. Malgré ces petites attentions, il ne voulait pas dormir. Il lui fallait même combler sa soirée par autre chose. Il réfléchit à l'endroit le plus accueillant qui puisse être, le plus reposant pour compléter son état de bien-être absolu, c'était bien sûr le foyer. Un endroit convivial à souhait, une ambiance chaleureuse comme il en existe rarement. Il s'y imaginait, installé au fond d'un vieux fauteuil, regarder la télévision et ses émissions de détentes où l'on oublie ses problèmes ou lire un vieux livre à l'histoire merveilleuse et féerique qui ferait trépasser tous ses soucis. Il ne penserait plus à ce moment terrible, ce vol de l'objet fétiche qu'il affectionnait tant, maintenant heureusement retrouvé.

C'est ainsi que, se déplacement lentement, sourire au lèvre, l'air endormi, presque niais, il se leva de son lit et atteint, après une longue minute, la porte du dortoir. Toujours dans la même démarche, les escaliers furent descendus à pas lents et calmes, ceux d'un jeune garçon reposé et à l'aise dans son esprit, qui cherche en plus à rester pour toujours dans cet état de détente infini. Finissant par arriver au foyer, il y vit un garçon du même âge, encore mieux : son esprit rêvait déjà à des jeux de cartes, des petits rires, une bonne ambiance dans un endroit qui en possède déjà une, une complicité à côté du radiateur, une chaleur commune dans un lieu où elle existe d'elle même. De plus, c'était une connaissance amicale, à laquelle il n'hésita pas à dire un salut amical. C'était comme si tout allait se passer pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Totalement absorbé par mon livre, je ne vois même pas ce qu'il se passe autour. Ça doit maintenant faire 5 ans que je suis cette série. 5 ans que j'attends avec impatience chaque tome, et le lis en quelques soirée. J'avais oublié cette sensation, et comme chaque fois que l'un des livres sort, je redécouvre avec émerveillement le talent d'écriture de E. Hunter. Je finis un chapitre, où Feuille de Lis se retrouve encore une fois dans la Forêt Sombre, et relève la tête. Il fait bien nuit dehors, le silence règne et un calme impérial plane dans le foyer.

Après quelques minutes de lecture de plus, j'entends des pas qui brisent enfin le silence. Des pas lents, comme si la personne  ne voulait pas casser cet instant d'un calme rare. Ou alors qu'elle ne voulait pas se faire entendre. Elle se dirige vers là... Quelqu'un qui veut sortir en douce ? Je lève la tête et mes yeux se pose sur Daaf.

J'ai rencontré Daaf il n'y a pas si longtemps. Honnêtement, c'est quelqu'un de spécial. Il est lent dans ses mouvements, mais sans être frustrant. Il agit comme si des assiettes de porcelaine reposaient sans cesse sur ses bras. Cette lenteur se confond facilement avec de la douceur. Cette dernière est d'ailleurs la définition du mode de vie de Daaf. La preuve est juste devant moi : Alors que la plupart des gens choisissent un pyjama ample pour ne pas être gêné pendant leurs sommeil, et souvent avec des décorations divers dessus, Daaf en porte un  aussi blanc que la neige, et à l'allure soyeuse. Ça pourrait servir de cosplay en mouton franchement réussi. Il me salue, et je lui répondes également :

"Salut Daaf ! Ça va ? Tu te réveille ou tu ne trouve pas le sommeil ?"

Je lui sourit, et ferme mon livre en prenant soin de corner la page où j'en était, pour facilement la retrouver quand j'aurais le temps de continuer ma lecture ( La super technique quand t'as oublié ton marque page ! ). J'en viens a me questionner si Daaf aime le chocolat. Je pense que s'il est blanc ça va, vu que le blanc est un peu la couleur de la douceur. Conclusion : Le chocolat blanc, c'est vraiment le meilleur chocolat. Pas moyen de discuter.

<< Salut Daaf ! Ça va ? Tu te réveille ou tu ne trouve pas le sommeil ? >>

- J'arrive pas à trouver le sommeil, fit-il avec un sourire en coin. J'aimerais faire des trucs pour m'occuper, tu proposes quoi ?

L'ambiance était partie pour un bon moment de détente : il y avait autour d'eux de quoi s'amuser de longues heures. Des jeux de société qui traînait par terre, face à la télévision des années 80, elle même à côté d'une étagère à livre en tout genre, avec sur le dessus un jeu d'échec et un jeu de dame. Dans un coin le babyfoot, au milieu des quelques bandes dessinées jonchant le sol et qui faisaient un chemin jusqu'au fauteuils et canapés, où Kupo était assis.

Daaf prit un léger moment pour le dévisager : ses cheveux blancs et ses yeux bleus-verts n'étaient pas habituels et ça l'avait d'ailleurs toujours étonné. En tout cas, la blancheur des cheveux, chez des jeune personnes, lui a toujours plus, ça lui rappelait la lumière, et en plus ça donnait au garçon un côté chou.

Même si la question était déjà posée, lui savait ce qui lui faisait envie : une bonne partie de Monopoly. Dans sa tête se dessinait déjà le plateau, les petites pièces en métal, les petits papiers et les petits billets. Se dessinait la rigolade et le plaisir de jouer, près du radiateur réchauffant agréablement la pièce et faisant oublier le dur froid de l'extérieur. Se dessinait lui en train de gagner et l'autre faisant la grimace, puis l'inverse. Alors il fit un pas sur le côté et ramassa la large boite verte et rouge avec le fameux bonhomme à la moustache, tout en la regardant d'un air pensif, mais heureux.

"J'arrive pas à trouver le sommeil"

Roh ça va, il n'est que.... ah ok, il est déjà 23h00. Bon, c'est pas si tard, mais j'ai cours tôt demain je crois.... Ou alors on est dimanche demain. Ouais, c'est plus logique sachant qu'on est samedi.  Alors pas de problème d'heures ! En vrai il n'est pas si tard, je me demande pourquoi il y a si peu de monde dans le foyer... Enfin bon.

"J'aimerais faire des trucs pour m'occuper, tu proposes quoi ?"

Pourquoi pas ! J'étais justement à la fin d'un chapitre plutôt hypant, mais comme ça je trépignerait pendant toute la nuit d'être demain et de pouvoir continuer ma lecture !  Bon, s'occuper. Je suis d'accord, c'est mieux de s'occuper à deux que lire chacun dans son coin. Alors, qu'est ce qu'on peut faire...

"Bah écoute, ya pas mal de trucs à faire ici... Babyfoot je suis trop nul, alors pitié non... La télé peut être ? SI tu as quelque chose à regarder pourquoi pas, ça nous endormira peut être... Ensuite les livres c'est trop solo... Ya des jeux de société en masse sinon. Un jeux de cartes ? Moi je suis pour, mais pas trop longtemps c'est barbant à la longue... Ensuite les échecs je sais pas jouer, les dames Si tu veux, et tout le reste c'est suivant ton choix.... Alors, jetu veux faire quoi ?"

En vrai j'ai envie de faire un kems, mais on est que 2... Je pourrais aller réveiller Xeruo et Maxime vite fait, mais je suis pas méchant à ce point là. Du coup il reste les dames, un jeu cool mais vite répétitif. J'aimerai bien savoir jouer aux échecs. Il faut réfléchir et tout, mais je suis pas fait pour ce genre de choses je pense.  Enfin bref, jouons vite, sinon je vais tomber devant lui. L'adrénaline de la Guerre des Clans ne fait presque plus effet, je ne vais pas tarder à m'endormir si je n'ai rien à faire !

<< Bah écoute, y'a pas mal de trucs à faire ici... Babyfoot je suis trop nul, alors pitié non... La télé peut être ? SI tu as quelque chose à regarder pourquoi pas, ça nous endormira peut être... Ensuite les livres c'est trop solo... Y'a des jeux de société en masse sinon. Un jeux de cartes ? Moi je suis pour, mais pas trop longtemps c'est barbant à la longue... Ensuite les échecs je sais pas jouer, les dames Si tu veux, et tout le reste c'est suivant ton choix.... Alors, tu veux faire quoi ? >>

- Oh, je voudrais bien faire un monopoly, comme tu peux le voir !

Il avait répondu ça en souriant. Il voulait, et allait, passer un bon moment. Cette ambiance lui rappelait celle des soirées en famille autour de la table où l'on s'amusait aux jeux de sociétés, comme celles des scrabbles et des motus. Ces soirées où l'on riait, où l'on traitait l'autre de tricheur et où on trichait un peu aussi, ces soirées où après une longue partie de jeu on allait sur le balcon profiter de la fraîcheur de la nuit qui se pointait ou grignoter un morceau de fromage doux, quelques cacahuètes et un peu d'eau. Des moments si agréables, qu'ils étaient à vivre ou qu'ils sont à se rappeler. Et cette ambiance allait sûrement, bien qu'à deux seulement, égaler ce niveau de plaisir, même le surpasser.

Il s'installa au sol et invita Kupo à faire de même, poussant sur le côté les quelques bandes dessinées qui traînaient ça et là. Il posa la boite de Monopoly devant lui.

<< Tu veux... ? >>, dit-il souriant, toujours.

" Oh, je voudrais bien faire un monopoly, comme tu peux le voir !"

Il a une voix cool Daaf.... Enfin bref. Un monopoly donc. Ça tombe bien, j'ai une technique du tonnerre pour gagner.  Privilégier la quantité sur la qualité ! Je lui fait un grand sourire, prévoyant déjà ce que je vais acheter. Par contre, tout le monde à ses propres règles de Monopoly. Je m'adapterais aux siennes, si elles ne sont pas trop farfelues non plus ! Il s'assoit par terre, et m'invite à faire de même.  

"Tu veux... ?"

Il dit ça avec son éternel sourire. Je ne sais pas trop ce qu'il me propose en fait.... Probablement de choisir un pion ? Ou alors de faire la banque ? Je fais toujours la banque.  Je hoche la tête, ne sachant toujours pas ce qu'il voulait me proposer, et ouvre le plateau de jeu. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, il est en très bon état. Les billets sont légèrement en bazar, mais sinon tout est à sa place.

"Bon, si ça te gêne pas j'ai l'habitude de faire la banque. Après, si tu as des "Home Rules" un peu spéciales sit le moi, histoires qu'on ne se mélange pas les pinceaux !"

J'installe donc le plateau, ici les cartes chances, là bas les autres cartes, je met les cartes de terrain dans le bon ordre, je range les quelques billets qui se sont éparpillés dans toute  la boite, et pour finir je distribue les 1500 £ a chacun de nous deux. Je choisi ensuite le pion chapeau, et pousse la boite vers Daaf.

"Je prends chapeau ! Vas y, choisi ton pion. Fait gaffe, y a un... Truc non identifié dans le dés à coudre. Bref,   du coup on tire les dés, et le plus grand score commencer, ça te va ?

Hrp:

Le membre 'Kupo' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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#1 'Dés de danger' : 7

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#2 'Dés de danger' : 5

<< Je prends chapeau ! Vas y, choisi ton pion. Fait gaffe, y a un... Truc non identifié dans le dés à coudre. Bref, du coup on tire les dés, et le plus grand score commence, ça te va ? >>

- Ok ! Je prends le bateau !

Pendant qu'il choisissait son pion, le garçon remarqua comme une tablette près de son camarade. Ce devait être du chocolat blanc. Et il adorait ça, le chocolat blanc. C'était pour lui l'un des meilleurs aliments. C'était une chose qu'il avait toujours beaucoup aimé. Déjà plus petit encore, il s'aventurait la nuit dans la cuisine, pour chiper un ou deux morceaux en secret. Il lui arrivait même de prendre une tablette entière et de l'amener jusqu'à sa chambre pour ensuite la savourer jusqu'au matin. Et maintenant, se souvenant de cela, un délicieux goût lui revint dans la bouche et de la salive commença à emplir celle ci.

De simple carrés de chocolat qui lui provoquèrent de puissants souvenirs : il resta là, la tête en l'air, à se remémorer la saveur et la texture, il resta là, les yeux dans le vague, à apprécier quelque chose qu'il n'avait pas manger depuis un bon bout de temps. C'était si doux et si sucré qu'un filet de bave coula de sa bouche sans qu'il ne s'en rende compte, lui s'était presque rendu au paradis.

Malgré cette faim de plus en plus présente, il fallait lancer les dés. Il redescendit tant bien que mal de son petit nuage et essuya d'un air gêné la salive qui lui coulait au menton. Il prit les dés dans sa main et d'un simple jet, les lança au sol.

"- Ok ! Je prends le bateau !"

Le bateau... Un pion populaire. ça me fait penser que cette édition est plutôt jeune. En effet, le chat est présent. Donc ce monopoly a été acheté après 2013. Purée, je suis fier de moi là. mais l'heure n'est pas à l'investigation. Les billets soigneusement distribué, je lance mon dés. 8 ! Pas mal comme score, mais Daaf pourrait le battre. Quel suspens intenable ! Je me demande s'il y a des coupe du monde de monopoly. Avec des commentateurs survoltés. Je veux voir ça au moins un fois dans ma vie !

Alors que je tendais les dés à Daaaaaaaf, celui ci fixait ma tablette de chocolat blanc avec un intérêt tel que je serais prêt à parier qu'il se jettera dessus dés que j'aurai le dos tourné. Attends... IL BAVE LA ? Depuis quand n'a t il pas mangé ? Le pauvre. Son regard avide se perds, et il reprends subitement ses esprits, essuyant le filet de salive brillant qui découlait de ses lèvres fines. Puis, il reprends son air habituellement calme et serein, et lance les dés comme de rien. 6 ! Je le bat donc. Tout content de moi, je lance les dés en un jet long et imprécis, ce qui me donne un 10 tout rond. Droit sur le case prison ! je suis donc en simple visite de cette dernière.

"Bon bah... C'est à toi."

Mais soudain, un accès de gentillesse envahi mon cœur, et avec une tendresses sans pareil, je lui annonce :

"Oh, et puis tu sais, comme t'as l'air d'à la fois aimer le chocolat blanc à la folie, et d'avoir faim comme si tu n'avais pas mangé depuis une bonne dizaine de jour, je te laisse ma tablette."

Je ne m'empêche pas d'en prendre un bout avant, puis je fais glisser la petit boite cartonné vers lui. Mangeant immédiatement mon carrée nacré, je songe à quelque chose. Je n'ai pas croisé Xeruo aujourd'hui. Je dois quand même recruter quelques dans la super organisation sans nom de Maxime, parce que sinon je vais me sentir coupable. En plus, j'ai envie de m'investir là dedans. Mon regard va droit sur Daaf. Je le regarde droit dans les yeux, lui transmettant avec mes pupilles bleues claires l'interrogation de toute une journée. Est ce que je dois recruter Daaf ?

"Et dit moi, est ce que tu intéresses au passé de l'académie ? je dit ça parce que... ça nous ferait un bon sujet de discussion non ?"

C'est plus un test qu'autre chose. Je veux juste savoir s'il en sais un minimum sur l'académie, mais aussi s'il est motivé. Si c'est le cas, c'est sur que je le recrute direct !