Toujours devenir plus forte [PV Jïnn]

Rappel du premier message :

Je venais d'arriver, mais pour moi, m'entraîner était capital. Pour survivre, il avait fallut que je devienne toujours plus forte, plus rapide, plus efficace. L'entraînement quotidien était pour moi devenu une obligation, mais aussi une routine rassurante. Au bout de quelques jours, ce besoin de bouger devint intenable, et je décidais donc d'aller aux terrains d'entraînements. Je glissais mon arc et mon carquois dans mon dos, ainsi que mon sac contenant toutes mes gardes et me rendis à destination. J'observais quelques instants les lieux et aperçus des cibles. Tant mieux. Faute de partenaire d'entraînement, j'allais travailler autre chose que la manipulation de Fialinn. Du coin de l’œil, je vis quelqu'un s'entraîner avec un bâton mais ne m'en préoccupais pas. Un bâton contre une épée, c'était pas très équitable ! Je me rendis compte que j'avais oublié de récupérer mes flèches normales, je repartis les chercher au bureau des surveillants ignorant les regards interloqués que l'on me jetais. Je revins quelques minutes plus tard et entrais d'un pas décidé sur les terrains. Je déposais mes affaires. Avant de sortir de ma chambre, j'avais enfilé un large t-shirt et un leggins afin d'être à l'aise dans mes mouvements. Je commençais par quelques étirements puis des petits sauts et d'autres mouvements afin de m'échauffer et de me concentrer. Puis lorsque je me sentis prête, je récupérais mon carquois et mon arc. Je tirais une dizaine de flèches en me plaçant à une soixantaine de mètres de la cible, celle-ci étant plutôt grande. Je vérifiais que personne ne tirais à côté de moi et allais récupérer mes flèches. Elles étaient presque toutes au centre, et celles qui n'y étaient pas n'en étaient pas loin. J'enchainais par une série en mouvement, c'est à dire que j'esquivais des tirs imaginaires. De loin, cela pouvait paraître étrange, mais ça m'avais sauvé la vie plus d'une fois, car cela m'avais aidé à acquérir certains réflexes. Un peu moins de flèches au centre cette fois. Mais le résultat était tout de même acceptable. Je commençais à hésiter à utiliser mon pouvoir mais me retins en observant l'entraînement du garçon de plus près. Certains de ses mouvement ressemblaient à des feintes et des bottes que je connaissais. Je me décidais donc à aller l'aborder. Je m'approchais et attendis qu'il me remarque avant de me présenter et de lui demander d'une voix mal assurée :
-Bonjour. Je m'appelle Gwendoline. J'ai remarquer ta façon de t'entraîner. Est-ce que tu voudrais bien t'entraîner avec moi ? Je peux matérialiser une lame à partir d'une garde que j'ai, mais j'ai aussi emprunté une épée au bureau des surveillants pour pouvoir m'entraîner plus longtemps.

Il s'était à son tour lancé dans une assez longue tirade. L'Agence, Déviance, tout ça commençais à prendre forme dans ma tête, et de ce que j'en comprenais, l'Agence était une sorte de police des pouvoirs. Mon instinct me soufflait qu'il ne faudrai pas forcément leur faire confiance. Je fronçais les sourcils lorsqu'il parla du tribut qu'il avait à payer pour la forêt. Pas cool. En même temps il l'avait un peu cherché quand même. Détruire Déviance... Autrement dit une sorte de vengeance. En tout cas pour moi. Les abrutis voulaient s'emparer de notre pouvoir à travers différentes expériences alors pour moi il était clair qu'ils étaient liés. Après, je me trompais peut être, mais la ressemblance était troublante. Et ça faisait un bout de temps que je pensais sincèrement à me venger. Ou plutôt à épargner à d'autres ce que j'avais moi même vécut. Sauf que j'en avait pas les moyens. Jusqu'à maintenant. Ensuite, second point. Devenir sa "disciple". M'entraîner, je n'avais que ça a faire dans mes temps libres, et sinon je passais mon temps à traîner dans les jardins. Et puis, il me proposais d'aider Kénan. Lui ne supportais pas la discipline. Ce gosse était incapable de rester concentré plus de 5 minutes sur la même chose. J'eus un petit sourire qui s'éteignit assez vite. Il fallait pas être devin pour deviner à quel point j'aimais mon petit frère et à quel point je m'inquiétais pour lui. Je repris donc :

-Donc pour résumer, tu veux former un groupe capable de détruire Déviance c'est ça ? C'est un bon but. Quant à Kénan, je pense qu'il n'y a pas besoin de l'entraîner là dedans. Il a déjà un pouvoir. Faut juste que je trouve un moyen pour que l'Académie s'active à lui envoyer cette fichue lettre. Ça serait déjà une bonne chose. Et pour en revenir au fait d'ôter des vies, faut pas croire que ça me plaise non plus, mais parfois il y a pas le choix, c'est la loi de la jungle. Et puis à part Kénan, je n'ai personne, et sans Tsuki, je serais encore en train de fuir. Alors j'aime bien cet endroit et je veux le défendre malgré ce que cela pourrait impliquer.

J'étais prête à m'engager la dedans, parce que je comprenais ce qu'il avait dit précédemment. Que ce soit de simple camarades ou des membres de sa famille, voir les gens auquel on tiens baigner dans leur propre sang est une chose horrible. Tsuki était sûrement la meilleure chose qu'il me soit arrivé jusqu'ici, alors je n'étais pas prête à ce qu'on me reprenne ça. Je repensais également à mes camarades de chambre que j'avais rencontrées. La gentille Mana, la timide Charlie et Yumiko. Je les appréciais vraiment même si je ne les avaient croisés que peu de fois. Je n'avais pas envie qu'il leur arrive quelque chose. Ni aux autres personnes que je pourrais potentiellement croiser. Comme Enil ce matin par exemple. J'attendais qu'il réagisse à ma réponse, ma pizza définitivement abandonnée. Il devait en rester deux part peut être, mais je ne pouvais plus rien avaler.

Et ! Mes bouts de pizza ! Bah en fait j'avais plus faim, mais à peine je les quitte des yeux qu'ils disparaissent subitement ! Il m'avait énoncé ses condition pour entrer dans son groupe. Se donner les moyens. Avec le ton qu'il prenait, on aurait dit que c'était impossible. Bah alors t'attends pas à réussir un jour à trouver quelqu'un. Sérieusement...

-Il y a un truc que je comprends pas. Pourquoi tu veux absolument que les gens soient capables d'utiliser ton pouvoir ? Ok il est puissant, mais quand même...
Si il avait fallu que je me décourage, ça serait arrivé bien avant aujourd'hui. Après, si vous avez besoin d'aide, je peux toujours être utile, faites comme vous voulez

Je n'étais pas spécialement découragée, juste blasée par les histoires des groupes armés, et par le fait que l'académie n'est pas aussi sécurisée qu'elle n'en a l'air. Je restais pensive. Puis je demandais, curieuse :

-Tu connais beaucoup de gens à l'académie ?

J'espérais avoir son avis sur le peu de personnes que j'avais rencontré. Enfin, deux en particulier : Quiet que je n'arrivais pas à cerner, et Yumiko, car je voulais comprendre son isolement.

-Il y a un truc que je comprends pas. Pourquoi tu veux absolument que les gens soient capables d'utiliser ton pouvoir ? Ok il est puissant, mais quand même...
Si il avait fallu que je me décourage, ça serait arrivé bien avant aujourd'hui. Après, si vous avez besoin d'aide, je peux toujours être utile, faites comme vous voulez


Finalement, elle avait augmenté bien haut dans mon estime mais ça diminuait petit à petit. J'étais surement impatient d'une certaine façon. Néanmoins, tout cela va bien plus loin qu'une simple question de "pouvoir puissant". Si la puissance suffisait, les menaces n'existeraient plus. Après tout...c'est un tout. Une force a obligatoirement besoin d'une autre équivalente pour l'annuler. Si la puissance existe d'un côté, alors de l'autre elle est égale si ce n'est supérieure. C'est comme ça que je voyais la chose. J'ouvrais la bouche pour lui répondre sur ça et...

-Tu connais beaucoup de gens à l'académie ?


Je vois...Détournement de sujet. Pourquoi pas ? Comme on dit chez moi "Fais et ensuite du comprendra". C'était à elle de trouver la finalité dans tout ça. C'était bien plus qu'un pouvoir, c'était un mécanisme naturel. En sachant comme l'irriguer,
elle saurait alors comme utiliser l'énergie pour ses épées et flèches. Tout n'est qu'énergie dans le monde. J'espère qu'elle s'en rendra compte bien assez tôt. Je soupirais avec un léger sourire avant de lui répondre :

-Beaucoup...Environ un millier ? Enfin je dis ça...pas vraiment. Disons que maintenant leur Ki ne m'est pas tant inconnu. Sinon en terme social...J'en connais...beaucoup. Une blonde un peu renfermée sur elle et avec plus de soucis que le monde n'en porte...Un prof' de pouvoir ultra classe et badass qui est un militaire...Des grands, des musclés, des gros,
des maigres, des jaunes, des noirs, des blancs...J'en ai vu du monde. Tellement que te faire la liste t'endormirai.

Je restais vague exprès. Peux-être les avait-elle déjà rencontré ? Quoi qu'il en soi, je me relevais. Il était temps de partir. Cependant je terminais la limonade maison que Luccio m'avait apporté. En me relevant, je remerciais mon poto cuistot :

-Merci encore mon gros ! On se revoit lors de ton ouverture spécial jour à volonté.

-De rien ma caille ! Rentrez bien !

J'y compte bien ! (En se retournant vers Gwendoline) On y va à pieds ? Cela nous fera digérer tout ça. Puis rien de mieux que parler tranquillement en marchand et en découvrant le paysage pas vrai ?

A la suite de sa réponse, je sortais dehors. Mes mains rentraient dans leurs poches. Un petit bout de mon bandeau dépassait de mon avant-bras droit. J'ajoutais alors tout simplement en marchant d'un pas lent mais léger :

-Sinon, tu as des passions dans la vie ? Des activités qui te font rêver ?

-Beaucoup...Environ un millier ? Enfin je dis ça...pas vraiment. Disons que maintenant leur Ki ne m'est pas tant inconnu. Sinon en terme social...J'en connais...beaucoup. Une blonde un peu renfermée sur elle et avec plus de soucis que le monde n'en porte...Un prof' de pouvoir ultra classe et badass qui est un militaire...Des grands, des musclés, des gros,
des maigres, des jaunes, des noirs, des blancs...J'en ai vu du monde. Tellement que te faire la liste t'endormirai.

-Ah... Ok.

Je me voyais mal lui demander : "Et du coup, qu'est-ce-que tu pense de untel si tu le connais". J'optais donc pour une réponse plus vague :

-C'est juste parce que... Quand je suis arrivée, un garçon est venu me voir et... Il m'a semblé étrange... Je ne sais pas si on peux lui faire confiance... Quiet... Comme si il jouait un double jeu ou quelque chose comme ça... Après, je suis peut-être un peu trop méfiante, mais bon...

En fait, finalement j'avais dit son nom. Mais je le trouvais vraiment étrange comme garçon. Je me fiais à mon instinct, comme souvent. On se leva pour partir, et après les salutation d'usage :  

-On y va à pieds ? Cela nous fera digérer tout ça. Puis rien de mieux que parler tranquillement en marchand et en découvrant le paysage pas vrai ?

-Oui oui.

Puis en suivant Jïnn dehors :

-Au revoir Lucio !

Je suivis ensuite mon camarade qui lança un nouveau sujet :

-Sinon, tu as des passions dans la vie ? Des activités qui te font rêver ?

Je dus réfléchir pendant un moment, comme lorsque Charlie m'avait posé la même question deux semaines plus tôt :

-Euh... J'aime lire, tirer à l'arc, mais, je n'ai pas spécialement de passions. Il y a plein de choses que j'aimerais savoir faire, ou au moins tester. Mais des passions... non, pas vraiment. Et toi ?

C'était déprimant. Obligé de renvoyer la question, par manque de réponse. Bref, j'avais le temps maintenant de trouver quelque chose, une activité qui me plaisait.

La réponse fourni par Gwendoline ne lui semblait pas suffisante. L'instinct de survie et la protection du reste de son patrimoine génétique était la seule et unique raison qui l'animait ? Jïnn se disait qu'un jour cette même passion s'éteindra car elle n'aura plus lieu d'être. Avoir un but, un objectif, même s'il est inatteignable, permet de toujours avancer et cela peu importe les conséquences ou obstacles. Tel était la vision de notre protagoniste en la regardant marcher. Finalement, il se disait que tout était fragile chez elle. Un corps qui a eu du mal à se développer, un mental pas si stable...Elle ne lui inspirait que de la compassion. Auparavant il aurait tenté certainement de l'encourager ou de lui donner des précieux conseils assez niais et fourre tout. Maintenant...Il ne combattait même plus sa nature profonde et préférait ne rien dire que de la voir évoluer à son rythme. Bref, son introspection l'empêchait un instant de répondre à sa propre question qu'elle venait de renvoyer. Sa voix était calme et posée, tel un vieux sage.

-Comme tu t'en doutes, je suis très sportif. Mes domaines de prédilections sont les arts martiaux et cela peu importe le style. Je compte crée mon propre style de combat en suivant la philosophie de Bruce Lee. Prendre ce qui est bon, rejeter le négatif et être comme l'eau, insaisissable, sans forme. En somme, pour être le meilleur dans le domaine que je viens de te décrire, il faut à cela des caractéristiques essentielles. D'une part, le corps qui suit. J'ai une bonne génétique pour faire du muscle personnellement, ce qui fait que je peux m'entraîner trois fois par semaines sur le renforcement et le conditionnement physique afin de mettre le temps et l'énergie restant aux arts martiaux techniques.
D'autres parts il faut aussi s'enrichir des autres sports. Il n'est pas rare que tu me vois faire du parcourt, de la natation,
de la randonnée et de la méditation ou autre. Bref, pour moi mes passions se résument en une chose : La constante évolution par l'enrichissement d'ailleurs.

Voilà de quoi certainement lui fourni un discours inspirant. Il regardait le ciel en marchant, les mains derrières sa tête, ses coudes pointant donc vers le ciel. Il connaissait la route au passage pour rentrer à l'académie, après tout, il le faisait des dizaines de fois par mois. Il ajoutait alors :

-Tu sais...Quand j'ai un objectif en tête, je ne pense qu'à une chose. Tu te diras certainement la victoire ou la rage de vaincre...cependant je vois la chose autrement. Pour moi, plus un objectif est haut et plus glorieuse est la défaite. Penser de la sorte serait un peu une sorte de pessimisme mais la défaite est toujours plus instructive que la victoire. Pour l'anecdote, je n'ai jamais gagner un combat à Tsuki. Étonnant pas vrai ? J'ai techniquement perdu les trois contre mon maître, même s'il était KO un court instant. Le destin dit souvent qu'une personne n'aura qu'une seule vrai victoire dans sa vie, celle qui sera décisive. Cette fois il la regardait avec un léger sourire et une voix bien plus profonde : Comme on dit : Par l'action, un Homme devient un héros. Par la mort, un héros devient une légende. Par le temps, une légende devient un mythe et en apprenant de ce mythe un Homme accomplit ses actions. C'est beau n'est-ce pas ?

La vrai question est...va-t-elle le comprendre ?

HRP:

-Comme tu t'en doutes, je suis très sportif. Mes domaines de prédilections sont les arts martiaux et cela peu importe le style. Je compte crée mon propre style de combat en suivant la philosophie de Bruce Lee. Prendre ce qui est bon, rejeter le négatif et être comme l'eau, insaisissable, sans forme. En somme, pour être le meilleur dans le domaine que je viens de te décrire, il faut à cela des caractéristiques essentielles. D'une part, le corps qui suit. J'ai une bonne génétique pour faire du muscle personnellement, ce qui fait que je peux m'entraîner trois fois par semaines sur le renforcement et le conditionnement physique afin de mettre le temps et l'énergie restant aux arts martiaux techniques.
D'autres parts il faut aussi s'enrichir des autres sports. Il n'est pas rare que tu me vois faire du parcourt, de la natation,
de la randonnée et de la méditation ou autre. Bref, pour moi mes passions se résument en une chose : La constante évolution par l'enrichissement d'ailleurs.

Je hochais la tête, comprenant ce qu'il disait. Par contre, euh... ça faisait pas un peu beaucoup de sport ? Autant moi, j'ai aucune activité, autant lui.... C'était l'inverse. Il repris :

Tu sais...Quand j'ai un objectif en tête, je ne pense qu'à une chose. Tu te diras certainement la victoire ou la rage de vaincre...cependant je vois la chose autrement. Pour moi, plus un objectif est haut et plus glorieuse est la défaite. Penser de la sorte serait un peu une sorte de pessimisme mais la défaite est toujours plus instructive que la victoire. Pour l'anecdote, je n'ai jamais gagner un combat à Tsuki. Étonnant pas vrai ? J'ai techniquement perdu les trois contre mon maître, même s'il était KO un court instant. Le destin dit souvent qu'une personne n'aura qu'une seule vrai victoire dans sa vie, celle qui sera décisive. Comme on dit : Par l'action, un Homme devient un héros. Par la mort, un héros devient une légende. Par le temps, une légende devient un mythe et en apprenant de ce mythe un Homme accomplit ses actions. C'est beau n'est-ce pas ?

Je réfléchis quelques instants à ce qu'il venait de dire. Je comprenais à peu près, mais ça ne me faisais pas grand-chose. Je haussais les épaules :

-Perdre apporte plus de leçon que gagner, si tant est qu'on ai le droit de perdre à ce moment là.

Je n'avais rien à dire, je continuais donc de marcher, les mains enfoncées dans les poches de mon sweat. Je ne savais pas vraiment si nous étions encore loin de l'Académie, puisque je n'avais pas fait l'aller à pieds. Par ailleurs, marcher ne me dérangeais pas, j'en avais l'habitude. Je réfléchissais à tout ce qui avait été dit. Je comparais aussi avec ma vie d'avant. Ce qu'il en ressortais, c'était que quoi qu'il se passait, quoi qu'on en dise, je me sentais enfin à ma place à l'Académie. C'était "chez moi". Tout n'y était pas parfait loin de là, mais il ne manquait plus que Kénan pour envisager sereinement un futur plus lointain que "demain". Il allait par contre vraiment falloir que je me trouve quelque chose à faire, parce que traîner dans les jardins, c'est bien un moment, mais je vais finir par les connaître par cœur ! Et puis, j'avais envie de découvrir de nouvelles choses. Ce qui me faisais penser que j'avais oublié mon téléphone dans ma chambre. J'en avais pas l'habitude, donc je le laissais souvent sur mon bureau, ce qui est d'une utilité folle bien sûr. A quoi ça sert d'avoir un portable, si on le laisse chez soi. Il fallait aussi dire que je savais à peine m'en servir... Et j'étais partie dans des pensées sans aucune utilité, comme d'habitude ! Nous arrivâmes enfin à l'Académie, et je saluais mon camarade, avant de gagner me chambre, pensive.

HRP: