Les nouveaux Héros de Tsuki. [ Pv Elisan, Warren, Himiko ]

Bon finalement je m'en étais plutôt pas mal sorti, j'avais envoyé valser au moins la moitié de leur troupe grâce a l'explosion qu'avait provoquer l'autre Terminator de mes deux. En y repensant sur le coup j'étais plus moi même, c'étais la toute première fois de ma vie que j’ôtais la vie a quelqu'un et cela ma pas vraiment déranger j'y ai même pris goût.. Ils avaient Warren, fallait bien que je fasse quelque chose comme ci j'allais les laissés se tirer avec lui sans bronché.. Impossible, je venais de retrouvé mon meilleur pote et j'allais le laissé se faire enlever par des petites salopes en blouse blanche..

Finalement je me suis réveillé sur un lit d’hôpital, je ne savais même pas ou je me trouvais tout était blanc autour de moi et tout paraissait neuf. J'avais l’impression d'être au paradis, j'étais mort? Non pas possible la dernière chose que j'me souviens c'était que j'étais entrain de ramper vers les autres pour qu'on s'échappe de tous se merdier.. Me dites pas que j'suis chez nos ennemis ? Mais non bordel.. Sur le coup j'étais encore dans le gaz, j'avais l'impression d' être mort et la seul chose je pouvais faire c'était d'attendre.. Attendre que quelqu'un vienne me sortir de se mauvais rêve, ou m'annonce une bonne nouvelle. C'est alors qu'un genre de scientifique entra dans cette pièce et se mit a m'expliquer comment je m'étais retrouver ici..

Alors j'avais réussi a sauver Warren, j'étais plutôt content de moi c'était la première fois de ma vie que je portais autant d’intérêt a quelqu'un d'autre que moi. Enfin bon c'est vrai que Warren et moi sommes plus que des amis, plus complice que nous tu meurt ! Je questionna donc le " medecin " sur l'endroit ou mon chère et tendre ami pouvait se trouver, que j'aille lui rendre visite et lui exposé tout ce que savais sur ces satané machines. Il m'indiqua donc sa chambre et sans vraiment réfléchir a si je me portais mieux, je débranché les truc collé sur mon corps attrapa un tee-shirt et me mit en direction de la chambre 22z

Arrivé devant j'appréhendais un peu l'état dans lequel il serait, c'est donc avec un peu d’hésitation que je poussa la porte en regardant discrètement dedans.. Ça va il n'avait rien, personne n'avait réussi a lui amoché sa gueule d'ange et cela me rassura un peu plus. Bon se flemmard était encore entrain de dormir, je passa près de lui en lui tapotant sur le visage pour essaye de le réveiller mais rien.. Lui quand il dort c'est souvent pour de bon, la seul chose qui puisse le réveiller c'est le doux parfum d'une nana, j'esquissai un sourire a se moment la en repensant a toute sorte de situation dans laquelle nous avions été avant d'être séparé..


Toujours aucune réaction, je décida donc d'arrêté de le faire chier en me posant un peu plus loin sur un siège qui était soit dit en passant très très confortable. Tellement que je me suis endormi comme un gros dessus, je me disais que Warren allait finir par se réveiller et venir a son tour me faire chier pour que je me lève aussi. Pendant un court instant avant de m'endormir je réfléchissais et commençait déjà a réunir toute les informations que je savais sur nos ennemis mais une seul manquait a l'appel, j’espérais donc que soit Himiko soit l'autre singlé d'Elizabeth pourrait venir combler se vide la..

<< Tu sais ce qu'on te veut n'est-ce pas ? Imagine un peu ce qu'une armée détenant ton pouvoir pourrait faire ! Imagine la puissance ! On deviendrait les maitres de ce monde ! Mais pour cela il faut des pertes... des dommages colatéraux ! C'est pour cela que tu ne ressortiras pas d'ici... >>

<< Tu n'as pas su te sauver. Comment aurais-tu pu sauver les autres ? Tu tiens à eux ? Pense que tu ne les verras plus jamais. >>


Mes yeux s'ouvrirent d'un coup, comme s'ils avaient réagi à un coup de jus. Je ne vis que du blanc qui affolla les battements de mon cœur et crispa chacun de mes muscles. Je me redressais d'un bloc, cherchant un indice d'où je me trouvais. À n'en pas douter, cela s'approchait d'un hopital avec toutes ses machines et ses bips incessants. Je clignais des yeux en voyant le monde se flouter, jusqu'à ce que quelque chose chatouille ma joue. Quelque chose qui laissa un rond plus foncé sur ma jupe. J'essuyais ma joue de mes doigts, dépitée d'avoir subi une nouvelle terrible nuit. Une nuit dont mon sommeil était agité de larmes.

Je posais ma main sur mon front où une douleur habituelle venait me hanter à chaque fois qu'un cauchemar me réveillait. À tatons, je sentis un pansement sur le haut de mon crâne... Mes souvenirs peinaient à être cohérents et je devais les démêler de mes rêves. L'attaque, le gymnase, les éclairs, les super-soldats... les chutes... Plus j'avançais plus la douleur était vive comme si intérieurement je ne voulais pas me rappeler. Mais tout me revient quand je me remis à paniquer. Je savais que j'avais couru vers le terrain d'entrainement avec quelques autres élèves, j'avais vu les blouses blanches et je m'étais évanouie à bout de force. A moins que ce soit à cause de la seringue qui s'était niché dans mon coude. Mais je ne pouvais pas dire si cela s'était bien passé ou si je ne l'avais pas altéré. Mon cauchemar était encore bien trop présent...

Je me levais pour me changer les idées quand, une fois que je m'étais étirée, quelque chose se débloqua dans ma tête. Je sortis avec précipitation de la chambre et courrais dans les couloirs en regardant dans tous sens. J'arrivais dans une grande salle qui semblait être une salle d'attente. La chevelure rouge m'attira directement et je sautais dans les bras de ma tante. S'en suivirent un long moment de pleurs et de consolation. Elle m'expliqua ce que l'on faisait dans les locaux de l'Agence et tenta de me rassurer comme elle le pouvait mais j'avais perdu beaucoup de monde dans cette affaire. Plus de la moitié des personnes que je connaissais s'étaient fait prises, sans parler de la mort d'Erin. Elle put au moins me donner quelques noms qui soulagèrent légèrement ma peine. L'un d'eux retient mon attention. Warren... Je me rapelais l'avoir mis sur un bouclier mais rien d'autre... Lui et moi avions été chargé par Maester de gérer les élèves. Au final, il avait bien plus donné que moi pour sauver les autres... J'espérais qu'il n'était pas en mauvais état... Je laissais ma tante et allais parcourir les couloirs à la recherche de sa chambre.

Je toquais doucement mais je n'eus pas de réponse. Me sentant vraiment pas à l'aise dans les couloirs de l'Agence, je ne tergiversais pas longtemps avant d'entrer dans la pièce en refermant derrière moi. Je retenus une exclamation de surprise en voyant que son ami aux cheveux rouges était installé dans la salle, endormis. Je suppose qu'on avait eu la même idée. J'approchais du lit, voyant que Warren dormait lui aussi. Je souris légèrement, consciente de voir qu'il allait bien.

<< Ah la la ! Les garçons sont de vraies marmottes ! >> murmurais-je comme pour me confirmer que nous étions vraiment maintenant en sécurité.

Je me posais sur le bout du lit, appuyé sur son rebord metallique. J'allais juste attendre qu'il se réveille, le remerciais pour ce qu'il avait fait puis je le laisserais se reposer et discuter avec son pote.

Le noir. Le noir total. Quel crétin. Quel fier crétin. Tu avais intérêt, grand intérêt à être fier de ton coup, car il pouvait être le dernier. Te sacrifier à la cause de tes camarades… Jamais tu n’aurais fait ça en temps normal. C’était ce que tu te disais. Mais d’un autre côté, tu étais content. Tu étais content que cet endroit te change. Cela signifiait que tu t’y sentais bien. Que tu te laissais prendre à cette ambiance. Que tu estimais ces gens dignes de pouvoir te changer. Cependant, tu ne te laisseras pas totalement « convertir ». Tu avais plutôt intérêt !

Tu commençais à émerger. Tu appréhendais presque d’ouvrir les yeux. Qui sait combien de personnes tu découvriras en tant que capturées ? Seulement Ren’ et Maester ? Un, deux, dix, trente autres ? Tu avais peur de le savoir. Mais tu finis par entrouvrir les yeux. Mais les refermas presque instantanément. Une lumière blanche t’aveuglait. Tu les ouvris alors peu à peu, t’habituant à la lumière. La salle était blanche. Blanche ? Étrangement accueillante. Que se passait-il ? Tu te mis à regarder autour de toi… Et, là, le choc. Tu pensais rêver… Myo d’un côté, assis sur une chaise, et sur le bord du lit, juste à côté de toi… Elisan. Oh, Elisan… Que faisaient-ils ici ? Tu te redressas soudainement, mais dus vite t’adosser sur ton oreiller : la fatigue… Elisan te regardait en souriant. Tu ne pus que lui rendre son sourire, et avec douceur, la prendre doucement dans tes bras.

« Oh, Elisan… Putain, Elisan… »

Tu étais soulagé. Si soulagé. Elle allait bien. Myo allait bien. Mais que se passait-il, ici ? Tu gardas dans tes bras Elisan un petit moment. Ces moments à ses côtés, à lutter avec elle avaient créé quelque chose. Tu pensais que c’était pareil de son côté. Tu l’espérais presque.

« … Que s’est-il passé ? »

En suivant quelques élèves, j'avais réussi à attendre le terrain d'entraînement. Cet endroit était une sorte de porte de sortie, tous les élèves encore en vie semblaient s'être rassemblés ici et des personnes portant de grandes blouses blanches semblaient nous accueillir. De nombreux cars blancs nous attendaient, ils avaient d'ailleurs l'air d'être flambant neuf. J'étais l'une des dernières à être arrivée et je ne compris donc pas de suite ce qu'il se passait. M'approchant avec hésitation vers l'un des derniers cars encore disponible, un homme en blouse blanche m'administra dans le bras gauche, une substance qui m'étais totalement inconnue. Il me fit ensuite signe de monter dans le véhicule. Je ne le fis pas attendre et exécutais alors ce qu'il venait de me dire. En montant dans le car, je pris un siège un peu au hasard à l'écart de certaines personnes. Bizarrement, le calme était là, personne ne se plaignait et finalement ce n'était pas plus mal que cela, nous étions "sauver" après tout non ? Et puis, sans vraiment m'en rendre compte, j'avais finis par m'endormir. Bizarre n'est ce pas ? Alors que je n'avais aucunement l'air fatiguée juste avant cela.



Je me réveillais peu à peu et ce, sur quelque chose de très confortable. Mes yeux avaient du mal à s'ouvrir et mon corps était encore engourdit. Que s'était-il passé ? Avais-je fais un mauvais rêve ? En m'habituant à la lueur du jour, je pus me rendre compte de ce qui m'entourais avec un peu plus de netteté. Tout m'étais totalement inconnu, que ce soit les meubles, la salle ou même l'endroit où je me trouvais. Ceci me fis vite revenir à la réalité : cette sorte d'attentat n'était pas un rêve, loin de là. À vrai dire j'étais légèrement paniqué et la première chose qui me vint en tête fut de sortir de cette pièce. Alors je me suis levée, j'étais légèrement chancelante au début mais après avoir atteint la porte, mon corps se désengourdit. J'étais à présent dans un couloir, un couloir d'un blanc indescriptible.

Tout ce que j'avais pus remarquer étaient ces hommes en blanc qui semblaient faire des allers-retours, rien de très angoissant finalement. En fait, pour tout vous dire, tout ce blanc avait un côté apaisant et rassurant, j'avais l'impression d'être dans une sorte d'hôpital, là où personne n'aurait pu venir me déranger et me mettre en danger. Je me mis alors à marcher, d'un pas lent, très lent. Je me remémorais toutes ces "petites" choses, vous savez, ces événements assez perturbant qui venait de nous arriver. Je marchais alors en repensant à tout cela, en repensant à ma frustration de n'avoir rien fais, en repensant à ma culpabilité d'avoir abandonné cette jeune fille aux cheveux blonds du nom d'Elizabeth. Alors que je marchais dans un silence absolu, quelques brides de phrases vinrent me sortir de mes pensées. Je venais de passer près d'une porte mal fermé. J'allais justement continuer mon chemin lorsque soudainement, je crus reconnaître la voix d'une personne. Curieuse, j'ouvris alors la porte puis fis face à 3 personnes.

Le lit bougea d'un coup et me retira ma semi-rêverie qui malheureusement s'apparentait plus au cauchemar. Warren s'était redressé d'un coup, exactement de la même façon que moi il y a quelques minutes. Nous devions tous être surpris par ce lieux que nous n'avions vu et que franchement nous avons jamais vraiment voulu connaitre. Ses yeux se posèrent d'abord sur son ami puis sur moi, comme si nous étions les dernières personnes qu'il s'attendait à voir. J'étais moi étonnée de la douceur que ses yeux renvoyés et tellement heureuse de voir qu'il allait bien. Je lui souris, je ne le connaissais pas mais se retrouver dans la même galère, il n'y a pas à dire, ça rapproche. Peut-être assez pour expliquer le fait qu'il me tira dans ses bras.

« Oh, Elisan… Putain, Elisan… »

Je ne sais pas si c'était ses mots, son ton ou ses bras mais je sentis une grosse boule d'émotion qui me serra la gorge et embua mes yeux. Je ne savais pas trop quoi faire, je ne m'étais pas préparée à cet élan d'affection qui pourtant réchauffait légèrement mon cœut sans cesse occupé de douleurs. Je me sentais si mal par rapport aux événements à vrais dires que je me laissais aller dans ses bras le temps qu'il m'accorderait.

« … Que s’est-il passé ? »

J'hésitais à répondre, je ne pensais pas encore mon esprit et mes souvenirs à cent pourcents fiables. Mais je n'eus pas à me poser la question très longtemps puisqu'une fille entra dans la pièce. Elle était dans le gymnase avec nous il me semble. Son regard se porta de suite sur le rouquin assis et un soupir de soulagement sortit de ses lèvres.

« Ah ! Myo ! Tu t'en es sortis ! »

Donc celui qui était venu nous aider s'appelait Myo, bonne chose à retenir. Elle se tourna alors vers nous.

« Oh hum.. Désolé de vous interrompre dans un moment comme celui-ci. »

Un moment comme celui-ci ? ... Oooooooh ! Je me redressais presque gênée par la remarque, je n'osais imaginer ce que l'on pouvait penser en nous voyamt comme ça ! Je me mis debout pour retirer toute ambiguité quand le dénommé Myo se leva aussi regardant Warren.

[center]« J'espère que ta bien dormis, hier j'ai du te sauver la vie au moins une bonne dizaine de fois enfoiré ! Quand tu nous a projeter en arrière avec ton pouvoir avant de tomber ko, ils ont réussi a rattraper Lynn c'est enfoiré ! Ils se sont mit ensuite a deux sur moi, puis a 3 sur toi pour nous emmener a notre tour.. En voyant cette bande salope se mettre a trois sur toi, j'ai perdu le contrôle de moi même et puis après en avoir massacrer un j'suis venu te secourir avec l'aide de ta petite copine.. Elle aurait pas été la j'aurais rien pu faire, je te remercie infiniment de m'avoir soutenu dans tout ce merdier ! »

Petite copine ? Qui donc ? ... Attends mais il me remerciais moi en faite ! C'était donc moi ! En même temps j'aurais dû m'en douter au vu de ma taille ! Je me contentais de lui faire un petit sourire parce qu'au final, je n'avais pas fait grand chose. Myo regarda alors la nouvelle venue en lui tapotant l'épaule.

« J'suis content de te compter parmi nous ma petite Himiko, je vois que tu te porte plutôt bien mais quand vous êtes sorti de la salle pour échapper au soldat qu'est que vous avez fait? Elle est ou Elizabeth? Elle t'a raconter quelque chose sur ce qu'elle avait vu a l’intérieur de sa tête? »

Alors de la première je compris que la brune se tenant devant nous s'appelait Himiko, du reste j'ai cru que j'allais m'étrangler avec ma propre salive en me faisant mon interprétation.

<< Juste pour être sûre... vous parlez de quelle tête ? >>

Ce moment de pure affection… Il était privilégié. Clairement privilégié. Mais il fallait bien y mettre un terme. Et ce fut une nouvelle arrivante qui s’en chargea : la fille des gradins. Celle que tu avais invitée pour t’aider, Myo et toi… Elle se tourna d’ailleurs vers ce dernier en premier, avant de nous adresser la parole. Un moment comme celui-ci… Oh wait, l’ambiguïté, effectivement. Aussitôt, tu la laissas se détacher de tes bras. Toi, tu retombas aussitôt sur ton oreiller, l’adrénaline du sentiment de joie étant retombée. Tu te sentais un peu mieux, cependant. Bien mieux que la dernière chose dont tu te souviens. Utiliser Encounter jusqu’à en tomber de fatigue… Ça, tu ne l’avais encore jamais fait. Et à moins de nouveau devoir se battre pour quelque chose qui en vaille réellement la peine, tu n’étais certainement pas prêt à le refaire. Prêtant alors attention à Myo, tu écoutas le récit de tes aventures. Alors, tu n’avais pas réussi à sauver Lynn’, la fille aux cheveux rouges et au tempérament manifestement brûlant, en fin de compte… Argh. Tu semblas rater un battement. Sur ta couette, tu serras les poings. Ni Maester, ni Ren’, ni Lynn’… Ils les avaient eus. Tu n’avais pas réussi à les protéger.

Tss. Le second round arrivera bien vite. Là, en te disant cela, tu te retrouvas. Le véritable Warren, relativisant en une seconde-et-demi. Si tu n’avais pas réussi à les protéger, tu réussiras à les sauver. A tous les sauver. Qu’ils soient trois, cinq, dix ou trente. Tout le monde rentrera à Tsuki. Sur la tête de… De Myo. Wallah l7ardim. Tu repassas d’ailleurs rapidement la dernière phrase de Myo dans ta tête. Ignorant son sarcasme quant à la relation que tu entretenais avec Elisan… Cela voulait dire en plus que c’était celle qui avait réussi à te ramener bien que tu aies voulu te sacrifier pour eux ? Tu lui adressas un regard plein de reconnaissance. Tu la remercieras lorsque vous serez seuls. Car l’heure était manifestement à autre chose… Uh ? Tu te posais la même question que ta nouvelle amie aux cheveux rouges… Voir à l’intérieur de la tête de… Que tu pouvais être bête, c’était pourtant évident.

« Vous parlez de lire dans les pensées ? De qui donc ? Vous savez quelque chose ? »

Dans cette salle ou plutôt, dans cette chambre de couleur blanche se trouvait trois personnes. Trois personnes que je reconnaissais parfaitement : tout d'abord il y avait Myo, le leader de notre groupe de recherche, ensuite le blond, vous savez, celui qui possède la capacité de répulsion absolue, la personne que je désirais pour ma garde rapprochée. Et enfin, la jeune fille aux cheveux rouges-roses, l'une des personnes que j'avais vaguement aperçu près de Maester lors de la préparation de la contre attaque. Cette contre attaque avait d'ailleurs prit beaucoup de temps niveau organisation... M'enfin bref, nous nous en étions "tous" sortis et c'était ça le plus important. Je regardais alors un peu partout autour de moi, l'air curieuse. Où est-ce que nous nous trouvions exactement ? Je ne savais pas... Ou du moins, je ne m'en rappelais pas. Mes pensées s'entremêlaient, j'étais encore confuse et alors que des pensées assez bizarres commençaient à m'envahir, une personne vint m'extirper de tout cela.





Petite Himiko ? Depuis quand étais-je petite ? Ceci me fis esquisser un petit sourire, ma foi, c'était plutôt mignon mais lorsque vint le moment où le jeune homme mentionna la jeune Elizabeth, mon teint devint pale. Je me rappelais encore de cette scène, de ce moment où je l'avais abandonnée. Un sentiment de culpabilité me rongeait et cela se voyait. J'avais été lâche, voilà tout et j'essayais alors d'éviter leurs regards. Malheureusement je me doutais bien que des questions allaient fuser de tous les côtés et je me devais de leur fournir une certaine explication, après tout, nous voulions tous connaître le comment du pourquoi de cet "attentat" sur l'académie.