Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
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Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
(PV Mlle Denarbonne)
J’attrape le sel et le poivre pour assaisonner mon plat. Je crois que c’est bon, tout est prêt. Et qu’elle ne vienne pas me dire que c’est mauvais où je lui fais bouffer par un autre orifice. Enfin bref, calmons nos ardeurs. J’éteins la chaîne qui est branchée sur mon émission favorite et vais ranger toutes mes précieuses, précieuses peluches de Bob l’éponge dans un coffre. Imaginez. Notre très chère enseignante tombant sur leurs bouilles affreusement mignonnes. Ma réputation serait ruinée en quelques secondes. Et comment pourrais-je encore avoir un minimum de prestance devant elle après ça ? Non c’est tout bonnement impensable.
Allez savoir pourquoi…. j’ai envie de faire les choses bien. Et de part ce faite, je dresse une table agrémentée d’une table blanche, chandelles ou ce genre d'imbécillité. Après tout on dîne chez moi, il faut que ce soit classe. En passant vers la commode où sont rangés les couverts d’argents, mes yeux tombent sur la magnifique photo de Juliette assis sur le trône en tenue de cuir. Franchement. C’est vraiment une bonne idée de collectionner mes jeux à son encontre. Pauvre Mlle Denarbonne. Que ne ferais-je pas pour vous faire chiez ?
Je regarde le travail, les mains posées sur mes hanches. Quelque chose me dérange. C’est trop parfait. Dans le sens trop parfait pour accueillir cette conne de Denarbonne. Mince, l’injure m’a échappé. Il n’empêche que ça reste le cas. Ça y est. Un nouveau jeu me vient en tête. Si l’ambiance tend au romantique, pourquoi ne pas en profiter pour se foutre de ses anciens sentiments pour moi. Un sourire se dessine sur mes lèvres. Ma petite Juliette, ce soir, je serais le parfait faux petit ami.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
Juliette tente de suivre son petit papier chiffonné. En effet, Adam lui a donné le nom de sa rue et l'heure. La française sait que si elle n'arrivera pas à l'heure au dîner, elle entendra parler de lui. Cette dernière est un peu stressée à cette idée, et le fait de ne pas trouver le lieu de rendez-vous l'énerve encore plus. Pourquoi a-t-il fallu qu'il emménage dans actif le soir ? Heureusement que ce n'est pas dans le quartier animé mais quand même. Il a fallut plus d'une demie heure avant de trouver enfin l'immeuble où se trouve Adam Cooper. Et de se rendre compte qu'elle a oublié la bouteille de vin. Sans plus attendre, Juliette retourne à son appartement chercher la précieuse bouteille. Enfin de retour, Juliette regarde sa montre. Vingt cinq minutes de retard. Elle est dans la merde. Même le narrateur ne veut pas poursuivre les aventures de Juliette tellement qu'il appréhende la punition de Denarbonne. Celle-ci soupire, se contentant du simple fait d'avoir trouvé le bon endroit. Elle sonne à l'entrée, et la porte ne se tarde de s'ouvrir. Juliette déglutit avant de prendre son courage à deux mains -non Maxime son pénis ne s'appelle pas Courage- et d'entrer dans l'établissement.
Une fois devant la porte de Mr Cooper, Juliette inspire un bon coup avant de sonner de nouveau. Adam l'a fait rentré directement. Oubliant totalement son retard indécent, Juliette admire le resplendissant appartement. Il est si propre, et si peu lumineux. Juliette s'apprête à faire la bise à son hôte mais il ne mérite pas assez ses joues, et la bise est trop tactile d'après certains pays. Elle se contente juste d'un petit : « Bonsoir Cooper. »
La française enlève sa veste, laissant apparaître un adorable t-shirt sans manche très glamour. Elle ne comprend d'ailleurs pas pourquoi le petit nid d'Adam est si peu lumineux, mais c'est en apercevant la table à manger que tout s'explique : La pièce est éclairée par de longues et grandes bougies romantique. Juliette éclate de rire.
Juliette : « C'est donc un dîner romantique ? Oh seigneur, il y a vingt ans tu ne m'aurai même pas laissé manger avec toi à la cantine. »
C'est absurde et mignon à la fois, la patriote se hâte de voir comment leur repas va se dérouler.
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« Adam Cooper. »
(PV Mlle Denarbonne)
Enfin j’entends l’appelle me signifiant qu’elle est à l’entrée du bâtiment. Je lui ouvre une première fois puis une deuxième lorsqu’elle arrive à ma porte. Elle, ne semble pas gênée de son retard. La délicieuse tenue qu’elle a habillée ce soir ne pardonne pas tout. Par ailleurs il hors de question que je la complimente la dessus. Elle prendrait trop confiance en elle…
Commençons tout de même à jouer. Son arrivée est le meilleur instant pour la surprendre. D’une main j’attrape la veste qu’elle vient de retirer et de l’autre je prends son visage pour la forcer à le lever vers moi. Mon action soudaine la poussée contre le mur. Mes lèvres s’approchent dangereusement des siennes sans pour autant les toucher. Mince alors… Elle sent bon…
Voyons ma chère Juliette, c’était il y a 20 ans… Les choses ont changé depuis n’est-ce pas ? Par contre…
Je suis désolé mais c’est impensable pour moi. Je ne peux pas laisser passer son retard si indécent. Me faire attendre ? Quel manque de politesse de sa part, c’est enrageant !
Par contre, tu es en retard et tu n’as même pas prononcé un mot d’excuse. Ma belle, la prochaine fois que tu te présentes à moi avec ne serait-ce une seconde de retard, je te fais bouffer la viande du repas cru. Et ça me serait encore plus plaisant si le vers solitaire si trouve.
Je la relâche doucement, un sourire se dessinant sur mes lèvres. La soirée promet d’être très intéressante.
Je vais poser ta veste. Va t’asseoir.
Je n’y peux rien si je suis trop directif. Avec une fille comme Juliette, c’est instinctif. De toute façon, elle doit bien en avoir l’habitude. Je vais porter sa veste jusqu’à la chambre. A elle d’aller la chercher toute seule en fin de soirée, sinon c’est tant pis pour elle. Je la garde.
Je reviens un instant plus tard et remarque la bouteille de vin qu’elle à amener. J’oubliais qu’elle m’avait prévenu du geste. Je vais la prendre en regardant son origine. Elle a bon goût en vin. C’est indiscutable.
Bon choix pour une fois… Je vais l’ouvrir.
Mince, pas de remarque acerbes ce soir ! C’est plus difficile que ce que je pensais. Je disparais dans la cuisine avant de revenir avec la bouteille ouverte pour nous servir.
Tu sais quoi… je suis heureux de passer une soirée en ta compagnie.
Le terme « jubiler » aurait été plus correct. Reprendre mes petits jeux du passé, c’est absolument excitant.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
Adam (too close) : « Voyons ma chère Juliette, c’était il y a 20 ans… Les choses ont changé depuis n’est-ce pas ? Par contre… »
Changé ? C'est impensable pour Juliette. Leur relation sera toujours la même, Adam restera ce garçon qui aime humilier et briser les sentiments de personnes sensibles et Juliette aura toujours cet esprit de vengeance, elle est déterminée à venger tous ces pauvres élèves étant sous l'emprise de Cooper. Oui, le temps passe et les sentiments changent, mais la patriote tient à ne pas estomper son sentiment de haine. Probablement pour en cacher un autre hinhin. L'homme continue alors l'engueulade se plaignant du retard scandaleux de la femme. Ah, oui, Juliette a oublié le mot d'excuse, cela l'a fait bien rire d'offenser l’ego de son hôte.
Une menace après, ce dernier la relâche. Elle peut enfin reprendre sa respiration, non pas qu'il a mauvaise haleine mais c'est plutôt un soupire de soulagement. La vieille fille remet correctement son haut avant d'exécuter les ordres d'Adam. Celui-ci complimente au moins le choix de la bouteille. Juliette sourit, flattée malgré elle.
Juliette : « Évidemment que j'ai fais le bon choix. Je sais goûter le vin et j'ai mis une petite fortune dans cette bouteille. »
Enfin, cette dernière va s'asseoir à la jolie table. L'argenterie bien placé et l'habillement de la table est très agréable. C'est beaucoup trop parfait. Pourquoi autant de mal pour un dîner avec Mlle Denarbonne ? En tout cas, il sait plaire. Elle espère que ce dernier sera parfaitement manier l'art de la table, Juliette est formelle avec ses mœurs. Elle a beau se montrer rustre et malpolie, mais lorsqu'il s'agit d'appliquer excellemment ses coutumes françaises, Juliette est très stricte. Celle-ci se tient droite, jambe croisée et les mains liées reposant sa tête. Elle attend le serveur qui revient avec la bouteille ouverte.
Adam : « Tu sais quoi… je suis heureux de passer une soirée en ta compagnie. »
Juliette ne s'attend pas à une telle remarque. Ses joues deviennent un peu plus roses derrière son blush et ricane nerveusement.
Juliette : « Ivre avant l'heure, je n'y crois pas ! »
Ce n'est que maintenant que Juliette sent la délicieuse odeur venant de la cuisine. Elle se hâte de juger le talent culinaire de son cher ami.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
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Tu devrais assez me connaître pour savoir que je ne reçois pas d’invité ivre. J’ai tout de même un peu plus de dignité que toi.
Les termes sortent tout seuls, ne m’en voulez pas. Je me rattraperais bien par quelques gestes au cours de la soirée.
Mes mains glissent lentement. Je me penche à son oreille. Mes yeux brillent d’amusement mais de là où elle est, elle ne peut le voir. Ma voix se fait plus suave, plus séductrice.
Je suis réellement heureux – satisfait – de diner avec toi.
D’une main, je dégage légèrement ses cheveux.
Si ce n’était pas le cas, pourquoi passerais-je autant de temps avec toi depuis que l’on s’est revu, mh ?
Pour m’amuser, me divertir, jouer. Et parce qu’elle me plait. Hein, quoi ? Non, rien.
Je me redresse doucement, l’esquisse d’un sourire sur les lèvres.
Qui aime bien, châtie bien, n’est-ce pas Mlle Denarbonne ? Je reviens, j’apporte les entrées.
Je pars en cuisine, pris par mes pensées. De quelle belle manière vais-je pouvoir anéantir et briser ma belle Juliette. Ne nous emballons pas trop vite. Il faut d’abord que je la séduise à nouveau. Pour mieux la détruire. Comme on dit, après l’effort, le réconfort.
J’apparais de nouveau dans la salle à manger et dépose les deux assiettes à la présentation maîtrisée. Et petit plus, une baguette de pain juste pour faire honneur aux origines de mon invitée.
Fois gras et confiture de groseilles, j’espère que tu aimes.
Je lève mes yeux sur elle. Ma voix prend un timbre ronronnant pour prononcer dans un français parfait.
Bon appétit.
Je ne connais pas beaucoup de termes mais je sais que cela lui fera tout de même effet. Juliette et son français, c’est sacré. C’est comme moi et Bob l’éponge. Personne n’y touche.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
Juliette : « P-peu importe, balance la bouffe poto. »
Le concerné part directement dans la cuisine. Juliette souffle un bon coup avant de faire tomber sa tête entre ses mains. Il a marqué des points, mais Juliette a encore des cartes en main qu'Adam ne sait pas.Utiliser la carte de la femme sexy n'est pas très nécessaire, Juliette pense que la carte de l'élégance et de la noblesse pourrait être plus efficace, bien qu'un petit décolleté n'est pas à négliger. Cet alors que Yu-Gi-Oh pioche la carte ''Décolletée'' et optera les cartes ''Classe'' et ''Grâce'' par la suite. Tout d'abord, Gordon Ramsay doit juger la qualité culinaire du cuisinier. Fois gras et cofiture de Groseilles dit-il ? Il y a intérêt à ce qu'il y est du pain, de préférence une bonne vieille baguette comme on les aime mais cela serait trop beau. Peu de temps après avoir annoncé son entrée, leur regard se croise et, d'un français impeccable Adam souhaite la bonne appétit à Juliette. Trop excellent. Sa prononciation et sa simple petite réplique se plante tout droit dans le cœur de Juliette. Et elle l'a bien senti, c'est douleur. Un autre point du côté des danois.
Notre patriote se tient alors droite, la tête haute à la limite du ridicule. Elle remercie avec snobisme le cuistot avant d'attaquer le repas, les manches relevées. Cette dernière se sert d'un petit bout de pain qui semble bien sur provenir d'une baguette française bien fraîche. Il a fait le grand jeu. Juliette découpe un petit morceau du foie gras et prend avec sa petite cuillère la confiture de groseilles, déposée proprement à côté. Enfin, Juliette a le droit dégoûter à un aliment béni des Dieux. Seigneur Dieu. Encore un point dans l'équipe adverse. Adam Cooper a réussi à décrocher une larme à Mlle Denarbonne. Le foie gras fond dans la bouche et la confiture relève une touche sucrée titillant les papilles. Le pain lie le tout, il manque plus qu'un bon vin pour marier toutes ces délicates saveurs. Juliette n'en revient pas. Elle ne regrette pas d'être venue chez son antagoniste favori, c'est tout de même différent d'un fast food britannique. Séchant sa larme et avalant goulûment ce bijou gastronomique, Juliette se tourne vers Adam.
Juliette : « J'aurai du amener du vin blanc, le mariage aurait tellement été parfait. »
Alors Juliette, qu'elle est ton vote ?
Je lui met un six car je fais la vieille coincée qui n'aime rien dans Un Dîner Presque Parfait.
Même si cette entrée frôle l'excellence. Juliette a d'ailleurs effleuré l'orgasme, mais son hôte n'a pas encore touché le point G.
Une fois avoir dégustée en silence le reste de l'entrée, notre protagoniste tapote ses lèvres avec le mouchoir en soie.
Juliette : « Je vais être franche, il ne me tarde de voir la suite. L'entrée était pour le moins fameux. »
Juliette préfère pour le moment se concentrer sur cette délectable nourriture française, Adam sera pour plus tard. Il a malheureusement trois point d'avance sur Mlle Denarbonne, mais elle se promet de rattraper et de ne pas se laisser faire.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
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Il n’empêche que l’entrée semble lui convenir. Le repas semble même l’émouvoir. Je sais ma Juliette, je touche à la perfection. N’en sois pas jalouse. Enfin perfection… j’ai oublié le vin blanc. Erreur impardonnable. Je me rattraperais. Je me rattrape toujours.
Son commentaire complimentant mon entrée m’arrache un sourire. Mon égo est bien plus que flatté. Elle marque un point, je ne peux résister à ce qu’on complimente ma personne. La garce, elle me connait.
Heureux que cela t’ai plu. Le plat sera à la hauteur de l’entrée. Avec une invitée pareille, je ne pouvais faire dans la médiocrité.
Est-ce que j’en fais un peu trop ? Non, ça devrait passer… Je débarrasse nos deux assiettes et retourne en cuisine. La suite du repas paraît prometteuse. Je lance la cuisson de deux magrets de canard. L’assaisonnement que j’ajoute fait monter une délicieuse odeur dans tout l’appartement. Je ne tarde pas à me lancer dans le dressage de mon plat puis retourne dans la salle à manger. On ne fait pas attendre les dames. Jamais.
En entrant dans la salle, je m’arrête un instant. Mon regard glisse légèrement sur l’ouverture laissée par son vêtement avant de remonter vivement sur ses yeux. Ce n’est pas de ma faute, je suis comme tous les hommes. Intéressé, disons. Mais restons sérieux. Il ne faut pas que je me laisse déconcentrer de mon but premier. Je viens déposer les assiettes en annonçant, comme pour les entrées, leur contenu.
Magret de canard au miel et gratin dauphinois.
En espérant qu’elle apprécie le mélange sucré/salé. Par chance, la bouteille qu’elle a amenée correspond parfaitement aux mets. Je nous sers donc, sourire aux lèvres en repensant à ce qu’elle a dit.
Une petite fortune pour ce vin, mh ? Tu puises dans tes économies rien que pour moi ma Juliette ? C’est appréciable.
Je m’assieds face à elle, commençant à déguster. Même si, pour être honnête, mon petit jeu trouve plus d’intérêt à mes yeux que le repas que j’ai pu concocter. Bien qu’évidemment, la nourriture soit à la hauteur de ma personne.
Puisque c’est moi qui ai cuisiné pour la dette que tu avais envers moi…
C’est tout de même grâce à moi qu’elle n’a pas finit en poulet rôti. Je penche légèrement la tête en l’observant d’un œil amusé.
…j’estime avoir le droit à une dernière demande. De plus je te fais profiter d’un repas de très bonne qualité. Ce serait malhonnête que de refuser.
Je garde mes yeux sur elle, attendant une réponse favorable de sa part.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
L'assiette est déposée et le verre est rempli. L'homme ajoute :
Adam le maléfique : « Une petite fortune pour ce vin, mh ? Tu puises dans tes économies rien que pour moi ma Juliette ? C’est appréciable. »
La vieille fille, pouffe de rire, un peu nerveuse. Elle ne sait pas attendue à un tel commentaire, il faut qu'elle réplique.
Juliette : « Mph, ne croit pas que c'est pour toi, c'était o-bli-ga-toire d'en apporter une. C'est uniquement pour le bien de mes papilles. »
Juliette de mord le pouce, elle est bloquée, il faut contre-attaquer et vite. Cependant, ce magnifique pavé de canard recouvert d'un délicat filet de miel met l'eau à la bouche, sans oublier ce somptueux gratin dauphinois baignant dans la sauce de la viande. C'est trop tentant, Juliette doit manger. Pas par politesse, mais juste pour le canard et les pommes de terre. L'air inquiet, l'enseignante découpe un morceau de son volatile se détachant très facilement. La cuisson semble parfaite. Elle le trempe ensuite dans la sauce et l'associe avec un une pomme de terre. Enfin, le morceau entre dans sa bouche. C'est un festival qui s'y produit, l'alliance de tous ces aliments est indéfinissable. Juliette rougit, prenant plaisir à mâcher goulûment cette nourriture chaude et sucré. La femme ne peut s'empêcher d'échapper un petit gémissement. Mais ce n'est pas fini, il faut mêler le tout avec le vin. Cet alors que les papilles de Juliette palpitent et la rend complètement démente. Après avoir mangé un autre morceau en réagissant de la même manière, Juliette tape du point sur la table.
Juliette : « TU VEUX ME FAIRE JOUIR AV- »
Adam le maléfique (l'interrompant) : « Puisque c’est moi qui ai cuisiné pour la dette que tu avais envers moi… »
Notre héroïne se calme instantanément et se rassied délicatement, attentive, alors qu'Adam se lève à son tour, ses yeux plantés dans les siens.
Adam le maléfique : « …j’estime avoir le droit à une dernière demande. De plus je te fais profiter d’un repas de très bonne qualité. Ce serait malhonnête que de refuser. »
Juliette est vraiment curieuse. Il est vrai que finalement, excepté le fait d'avoir apporté une bouteille de vin, elle ne lui a rien payé. La patriote croise les bras et les jambes, le fixant intensément.
Juliette : « Tu as raison, je te dois toujours quelque chose. Dit moi ta demande je l'accepterai. »
Il faut être honnête, Juliette lui est entièrement redevable maintenant, ce qui contrarie sa victoire puisqu' Adam l'a sous la main. Mais la française reste déterminée, elle aura la gloire quoiqu'il arrive.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
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Tu ravis aussi les miennes, ma belle.
Je m’arrête un instant de manger pour noter ses réactions. Oui je dois bien l’avouer. Je suis soucieux de ce qu’elle pense du plat.
Finalement, tenter d’interpréter ses gestes pour savoir si elle aime ou non n’aura servi rien. Raison à cela, et bien disons qu’elle s’exprime de façon bien plus bruyante que je ne l’aurais imaginé. Je ne peux retenir mon sourire. J’ai bien envie d’éclater de rire mais je me retiens. Qui aurait cru que la nourriture aurait un si grand effet sur elle ? Je pensais qu’elle était étrange, mais là... elle bat tous les records ! Et alors sa dernière phrase. Elle m’a tout simplement achevé. Plus un Mlle Denarbonne, tu as réussi à perturber l’homme imperturbable que je suis.
Wow…
J’essaye de remettre un peu d’ordre dans mon esprit mais c’est peine perdue. J’éclate de rire.
Je te reconnais bien là, unique en ton genre ! Attends donc le dessert, l’orgasme n’est plus loin…
Je parviens à me calmer comme je peux. C’est tout Juliette ça. Absolument imprévisible. Sa connerie est stupéfiante !
Je retiens. A l’avenir, je t’inviterais plus souvent à diner.
Je pose ma tête sur ma main en l’observant longuement. Un sourire étire mes lèvres et mes yeux sont animés par une lueur amusée. Passons maintenant aux choses sérieuses. Elle accepte. Comme je m’y attendais. Parfait, continuons de jouer.
Embrasse-moi.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
... L'embrasser ?
Alors que la professeure d'histoire-géographie mange un morceau de son gratin, cette dernière s'étouffe à cette demande. Elle s'est plutôt attendu à un travail forcé comme laver sa voiture, son vélo, son sol, ses chaussures, son chient Pepette, ses vêtements, tout sauf embrasser. C'est tout simplement impossible. A cause de lui, Juliette s'étouffe et doit se forcer de boire le fond de son verre de vin, ce qui l'a fait frémir, probablement à cause de l'alcool. Une fois le bout passer, la protagoniste reprend conscience de la situation et commence à rigoler nerveusement.
Juliette : « C'est une blague hein ? »
Un bref silence s'installe avant que Juliette comprenne rien qu'à son regard que ce n'est pas une blague. Il semble vraiment sérieux. Il veut vraiment se moquer d'elle jusqu'au bout ? Cet alors que la patriote se lève en soupirant bruyamment. Elle remet correctement son haut et fait semblant d'être agacée pour cacher son embarras le plus total.
Juliette : « ... Si c'n'est qu'ça. »
Cette dernière s'avance doucement vers lui, laissant installer une ambiance des plus étrange, et pose ses mains sur les épaules d'Adam. Après une grande inspiration, le regard farouche, Juliette pose finalement ses lèvres sur celle de son ennemi juré. Le baiser n'est pas aussi rapide. En effet, ce bécot est totalement différent du baiser volé de Myo Monacelli. Celui-là n'est pas soudain, et les émotions sont différents. Chaque souvenir de fac remonte, et les sentiments de la jeune Denarbonne refont surface. Soudain, une image étrange de Dominique Strauss-Khan apparaît. C'est cette impression d'embrasser ce bon vieux DSK qui rompt cette tendresse.
Juliette retire ses mains et se mord la lèvre. Elle regrette presque d'avoir arrêtée l'étreinte. Brusquement, notre protagoniste pense que c'est le meilleur moment pour lui faire payer cela. S'essuyant la lèvre avec son pouce, Juliette lui envoie un sourire des plus mesquins.
Juliette : « Au fait, c'est quoi ton dessin animé ? J'ai cru avoir entendu que tu aimais bien les dessins animés pour gosse. »
Elle ne peut s'empêcher de pouffer de rire. Cette réplique va surment faire redescendre Adam de ses lauriers. Échec et mat mon ami, du moins, c'est ce qu'imagine note héroïne, de toute façon, elle a d'autres cartes en poche, juste au cas où.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
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Il faut bien dire ce qui est. J’avais pleinement confiance en mon écrasante victoire. A un tel point que sa question me rend incapable de parler pendant un long moment. Il y a deux choses qui ne devaient jamais arriver un jour. La mort de Bob l’éponge… Et mon plus grand secret révélé à Mlle Denarbonne. Mon sourire disparaît pour laisser place à une expression traduisant ma surprise.
...
Je la fixe pendant de longues secondes. Puis soudainement, je me reprends. J’attrape son bras et la tire avec brusquerie sur mes genoux. Face à moi, mes yeux ne lâchent pas les siens. Enfin, je prends la parole.
Qui t’a dit ça ?
J’aurais pu nier l’information. Malheureusement la surprise qu’a provoquée la question ne me permet pas de mentir. Autrement dit, je suis complètement grillé. Je prends le verre de vin qui se trouve derrière elle et en boit une gorgée. Mentalement, je jure en danois. La salope. Elle a du tout faire pour trouver une faiblesse sur moi. Je me recule contre le dossier de mon siège. Je ne dois pas la laisser faire. Je sais que j’ai un certain pouvoir sur elle. Elle ne s’en tira pas ainsi. Je pose lentement mon verre sur le bord de la table, songeur. Puis enfin mes yeux reviennent sur elle.
Je tire sur ses jambes pour la rapprocher le plus de moi. Mon pouce vient tracer une ligne sous sa lèvre inférieure tandis que mon sourire joueur refait surface. Ma main parcours sa joue jusqu’à ses cheveux pour les repousser derrière son oreille.
Donne-moi une bonne raison de te le dire.
On n’a rien sans rien. Si elle veut une réponse de ma part, il faudra qu’elle me donne quelque chose qui me satisfasse suffisamment. Et je suis impatient de découvrir quoi.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
Les yeux de notre protagoniste reste déterminée et joueur. Elle le regarde en train de déguster péniblement son alcool. Semble-t-il réfléchir à une contre-attaque ? Comme c'est mignon, il est complètement perturbé. Le concerné s'éloigne un peu et médite toujours autant. Juliette apprécie le spectacle. Cet alors qu'il avance les jambes de la femme avant de caresser sa lèvre, faisant frémir la trentenaire. Adam en profite pour caresser le visage de Juliette et remettre les mèches rebelles derrière l'oreille. Trop de contact, trop suspect. Cependant, cela ne semble pas repousser l'enseignante.
Adam : « Donne-moi une bonne raison de te le dire. »
Qu'est-ce que cela veut dire ? Que doit faire Juliette ? Elle se l'admet, cela est étrange. Celle-ci prend un air interloqué, essayant de trouver une solution. Juliette se relève de plus belle, étant toujours face à son interlocuteur, l'index sur le menton.
Juliette : « Eh bien Adam, que te faut-il de plus ? Tu as eu une bouteille de vin de qualité et mes lèvres. Cela ne te suffit pas ? »
Celle-ci soupire. Jamais satisfait les hommes. Soudain, Juliette eu la meilleure des idées. La vieille fille ravive son sourire mesquin, retirant son doigt du menton.
Juliette (moqueuse) : « Oh ! Tu voudrais que je t'achète une énooorme peluche de ton super-héros préféré ? C'est ça hein ? Hein ? ♥ »
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
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J’ai eu ?
Je prends son visage entre mes mains et presse mes lèvres contre les siennes. Je fais durer le contact un moment. Lui faire comprendre que je fais ce que je veux. C’est le but. Finalement je m’écarte que très légèrement.
Tu t’es trompé. Je les ai quand je le souhaite. Et je suis sûr que tu l’apprécies.
Revenons à son sujet d’attaque. Je recule mon visage. Sa proposition me fait éclater de rire.
Voyons, des peluches énormes de lui, j’en ai tous pleins !
Je dors même avec. Mais ça, mieux vaut ne pas trop y faire référence. Cela la confortera dans son idée de victoire. Hors elle n’a pas gagné. Surtout avec ce que je lui prévois.
Très bien Juliette. Je vais te le dire.
Je la soulève pour la déposer par terre puis me lève à mon tour. Je prends sa main et traverse l’appartement jusqu’à ma chambre. Oh, tiens. Depuis ma récente arrivée à l’académie Tsuki, cela aura été la première femme à aller dans ma chambre. Bien que le contexte soit légèrement étrange. Quelle ironie du destin. Elle qui fut pendant mon divertissement favoris.
Je m’arrête devant le coffre qui referme tout mon univers. Evidemment, il est fermé à clé. Et la clé, elle, se trouve avec moi. Il aurait été imprudent de la laisser ailleurs.
Mais avant ça, j’ajoute une condition.
Je me tourne face à elle, le sourire aux lèvres. A vrai dire, même si elle va découvrir quelque chose que personne n’a jamais su avant, ma future demande me fait jubiler. Si elle doit savoir mon secret, autant que j’en profite non ?
Je te dis ce que tu veux savoir si tu acceptes de porter une tenue de mon idole.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
TOUTAFÉ JEAN-PIERRE C'EST COMPLÈTEMENT RENVERSANT, RENVERSANT QUE DIS-JE PATRICK LES FRANÇAIS SONT COMPLÈTEMENT DÉSTABILISÉE PAR LES DANOIS QUE VONT ILS FAIRE A PRÉSENT NOUS SOMMES A 3-4 POUR LES DANOIS ET LES FRANÇAIS SONT VOUER A PERDRE C'EST TOTALEMENT DÉSASTREUX POUR PARIS-SAINT-GERMAIN
Juliette se mord la lèvre. C'est à moment qu'elle réalise qu'elles ont été touchés par celles d'Adam Cooper il y a très peu. Finalement, son ennemi juré accepte. Mais notre héroïne sait que ce n'est pas fini, il ne peut pas se dévoiler gratuitement. Cet alors qu'Adam se lève, attrape la main de la vieille fille l'amenant quelque part. Oh non, serait-ce ce fameux moment qui arrive après le troisième rendez-vous ? Juliette a entendu parlé de cette règle : « Ne pas coucher avant le troisième rendez-vous ». Juliette n'a jamais comprit cette phrase. De toute façon, ce n'est que le deuxième rencard donc rien à craindre. Cependant, la tournure des événements sont assez imprévus.
Adam l'amène alors dans sa chambre, près d'un coffre. Alors, ce qui se trouve dans ce coffre est la faiblesse même de Cooper ? Il faut absolument qu'elle voit ce que c'est. Cependant, Juliette ne s'attend pas à une telle demande.
Christian Grey : « Je te dis ce que tu veux savoir si tu acceptes de porter une tenue de mon idole. »
Juliette est ébranler. Est-ce donc le fantasme d'Adam de voir son cobaye déguisé en héros pour enfant ? La professeure ne peut s'empêche de s'empourprer. Elle plaque sa main sur son visage pour cacher son embarras. Elle ne sait comment expliquer à quel point c'est étrange et extrêmement rabaissant. Juliette peut perdre tout son honneur et ne serait plus digne d'être la Jeanne d'Arc du XXIe siècles.
Anastasia Steele : « T-tu rigoles là ... »
Cette dernière regarde le coffre avant d'avoir eu un éclat. Mais qui dit qu'elle perdrait son honneur ? Juliette restera toujours une femme très noble et digne. Peu importe ses faits et gestes elle a le swag comme le dirait Jean-Kevin de la street. Et puis, qui sait, la réaction de Mr Grey serait amusante à voir, qui dit qu'il ne la câlinerait pas comme un grand gamin ou qu'il fasse d'autres choses absolument hilarant ? Juliette et forte, et ne doit pas se montrer réticente. Elle se serait de toute façon cosplayer si elle a apprit.
Enlevant directement sa main de la figure, la patriote plante son regard joueur dans celui de Christian. Mlle Steele marche dans son jeu.
Anastasia Steele : « Très bien je le fais. Je pourrais même te le faire dans ton lieu de travail, ou même les toilettes. Allez, ouvre ce coffre. »
La trentenaire esquisse un large sourire impatient. Elle espère que le contenu de ce coffre en vaudrait la peine.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
(PV Mlle Denarbonne)
Ne me cherche pas trop ma belle, je pourrais très bien te le demander.
A mon goût, la soirée échappe bien trop à mon contrôle. Je me suis assis en tailleurs devant le coffre comme un grand enfant devant sa caisse à jouet. Ne suis-je pas en train d’anéantir ma réputation ? J’aurais très bien pu m’arrêter à ta première découverte et ne pas te laisser en savoir plus sur mon idole. Pourtant l’idée que tu entres dans mon univers est absolument alléchante. Je sors la fameuse clé en l’observant un instant. J’hésite. Cela va sûrement se retourner contre moi. Toi qui m’as toujours détesté. Il y a un énorme pourcentage pour que tu utilises cette passion à mon encontre. Mais ce n’est pas de ma faute si je rattrape mon enfance… De toute façon, je ne pense pas pouvoir faire marche arrière. Je mets la clé dans la serrure. Le « clic » qui en sort m’indique que le coffre est maintenant ouvert. Mes mains se posent sur la partie supérieure de la caisse avec l’angoisse de l’ouvrir. Finalement, d’un geste, le couvercle part en arrière pour laisser apparaître une importante collection de peluches et goodies en tout genre. C’est simple, la boite est remplie de petites bouilles jaunes.
Bob l’éponge. Je suis fan de Bob l’éponge.
Je lève mes yeux vers toi. Tu n’as pas intérêt à te foutre de moi. C’est déjà assez humiliant qu’une fille comme toi vienne à le découvrir.
Mon regard redescend sur la caisse. Ma main vient masser nerveusement mon cou tandis que j’essaye d’expliquer la chose.
Je ne sais pas exactement pourquoi. J’aime, c’est tout.
Je n’aurais jamais imaginé que la soirée tournerait comme ça. En soit, c’est plutôt agaçant. Nous jouons tous les deux au même jeu et je ne suis pas vraiment sûr que je sois en train de gagner… Après tout même si mon repas ta presque porté à l’orgasme, tu as maintenant connaissance de cette passion pour le moins étrange. Je dois l’avouer, je t’ai sous-estimé. Tu es légèrement plus forte que je ne le pensais. Mais la partie n’est pas terminé mon chat. Je fouille dans le coffre et en sors une tenue pour le moins sexy de mon idole. Oui, je vous assure, une tenue sexy de Bob l’éponge, ça existe. Le tissu moulant du vêtement oblige à le porter sans rien en dessous. Et ne me demander pas pourquoi j’ai acheté ça, à vrai dire j’achète tout ce qui ressemble de près ou de loin à mon éponge jaune.
Toujours assis en tailleur je tourne la tête vers toi et te tend le costume.
Enfile-le.
Tu as trop voulu jouer. Je ne peux pas t’en vouloir. Mais je vais t’avoir à ton propre jeu. Mon sourire s’élargit.
Ici.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
Clic. Adam l'a enfin ouvert.
Des peluches, des jouets, des posters, des babioles, des figurines, des sexes toys de Bob l'éponge déborde de la boite magique. Le pauvre, il est complètement gêné. La patriote éclate de plus belle à en pleurer. Cette dernière prend Adam dans ses bras comme un enfant en ébouriffant sans gêne ses cheveux et en caressant sa joue de son index. C'est fort, très fort. Elle peut crier victoire, Juliette a décidé de le prendre à jamais pour un gosse, il est condamné. Cependant, la pauvre homme ne semble pas avoir dit son dernier mot. Pendant que Juliette le torture, l'enfant fouille dans son bac à jouet et en sort un vêtement petit et très court. Juliette arrête immédiatement ses mamours en contemplant le déguisement.
Adam : « Enfile-le. »
Pas de problème pour la professeure d'histoire-géographie. Facile. Elle saisit le costume, s'apprêtant partir se changer dans une autre salle. Mais, avant de pouvoir l'effleurer, Adam ajoute un ordre.
Adam : « Ici »
Juliette ne peut s'empêcher d'être bouche-bée. Ce simple mot rajoute une certaine difficulté, du moins, cela salirait d'avantage l'honneur de la trentenaire. Adam semble se réjouir de cette commande. Évidemment, il va pouvoir voir son professeure préférée en sous-vêtements. Un rire nerveux s'échappe de sa gorge.
Juliette : « Eh bien, tu semble aimer mon corps de rêve coquin. Je suppose que tu vas rester ici me regarder, même pas besoin de te demander. »
Elle lui arrache le vêtement des mains, le posant sur le lit à proximité. La vieille fille retire délicatement ses talons hauts. Sans plus attendre, Juliette retire son haut sans manche, dos à Adam, abîmant malencontreusement son magnifique chignon. Ce dernier ne ressemblant plus à rien, Mlle Denarbonne lâche ses cheveux en soupirant. Sa coupe était si bien faite. Tant pis. Elle prend le haut qui semble bien trop petit. Elle ne va pas le craquer ? Hésitante, la française tente de l'enfiler tant bien que mal. La tête passe mais c'est trop serré au niveau des bras, sans soutien-gorge, le vêtement devrait passer. Évidemment, le fan service n'est pas de refus. Une fois avoir de nouveau retiré le t-shirt pour détacher le sous-vêtement en grognant, c'est au tour du bas. Juliette regrette de porter un string, il va si bien avec le bustier. Et non, comme on pourrait le croire, Mlle Denarbonne ne porte pas que des culottes de grand-mères. Askip, les françaises ont de magnifiques lingeries en dentelle, alors Juliette veut respecter ce stéréotype quelque peu mélioratif. Évidemment, le bas est aussi minuscule que le haut, alors le cache-sexe passe de justesse, il suffit de monter les bretelles du string. Enfin, elle remet ses chaussures et se tourne vers Adam le regard faussement aguicheur.
Juliette : « Adam Cooper, vous avez de drôle de fantasme. Serais-ce possible de, de nouveau, me changer pour que nous puissions finir de manger ? Ça va être froid. »
Voyons le bon côté des choses, Juliette brise le stéréotype de la française poilue en montrant ses belles jambes et ses aisselles parfaites.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
(PV Mlle Denarbonne)
Bien que j’aie déjà vu Mlle Denarbonne nue aux thermes, il est toujours agréable d’en profiter d’avantage. Quoique qu’elle ne soit pas entièrement nue. Mais sa lingerie fine est tout aussi plaisante à regarder. Puis vient le moment où elle revêt le fameux costume. Mon magnifique costume sur ma belle Juliette. Qui aurait cru qu’on pourrait assister à une telle scène un jour ? Après une photo rapide de son corps moulé en Bob l’éponge je me lève, sourire aux lèvres. Je m’approche lentement jusqu’à elle avant de prendre un ton ronronnant.
Comme quoi je peux vraiment faire tout ce que je veux de toi, Juliette.
Je passe ma main autour de sa taille.
J’avais raison quand je disais que tu ne te rappelais plus de qui j’étais exactement. Aloors… Comment te faire comprendre que je ne suis pas un petit gamin innocent comme tu sembles le croire maintenant. Voyoons...
Je fais mine de réfléchir avant d’afficher un sourire carnassier.
Oh, je sais ! Il me semble que moi aussi je connais beaucoup de chose secrète sur toi ! Comme ta plus grande peur par exemple. Ma Juliette, je vais te faire découvrir la deuxième partie de mon pouvoir.
Je la force à me fixer. Lentement la pièce autour de nous se met à changer. Le lit, les murs, le sol… toute la pièce se transforme pour la chambre que j’ai pu voir lorsque j’ai observé les peurs de Juliette. L’ambiance elle aussi prend une autre tournure. La pièce devient sombre mise à part une fente de lumière laissée par la légère ouverture de la porte.
Excuse-toi et on retournera manger mon chat. Ah d’ailleurs ! Habillé comme ça, tu es magnifique.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Foutre cul » pense Juliette. Un point de plus pour Adam, la française a pensé qu'elle l'intimiderait à assumer ses actes mais finalement, cela n'a fait que nourrir l'ego d'Adam qui se sent à présent imposant. Enfin, il s'est toujours pensé plus imposant. Alors qu'il l'attrape par les hanches, Juliette se demande ce qui se passe. Tout se passe si vite.
Adam : « J’avais raison quand je disais que tu ne te rappelais plus de qui j’étais exactement. Aloors… Comment te faire comprendre que je ne suis pas un petit gamin innocent comme tu sembles le croire maintenant. Voyoons... »
La patriote se mord la lèvre. Adam se sent plus.
Adam : « Oh, je sais ! Il me semble que moi aussi je connais beaucoup de chose secrète sur toi ! Comme ta plus grande peur par exemple. Ma Juliette, je vais te faire découvrir la deuxième partie de mon pouvoir. »
Alors que Juliette détourne le regard, Adam prend son visage pour l'obliger à le regarder. Brusquement, l'environnement se métamorphose en un endroit que la professeure d'Histoire-Géographie connaît trop bien : la chambre de son enfance, la chambre de tout les cauchemars. Elle n'a pas eu le temps de réagir, elle est forcée à subir les conséquences. Rien qu'à la vue de ce lit, Juliette se met à paniquer. Instinctivement, elle s'accroche à Adam. Évidemment, pour sortir d'ici, elle doit une fois de plus se soumettre à son pire ennemi, ce qui est tout à fait impensable. Si Juliette doit une fois de plus obéir à Adam, elle n'aura plus la main sur lui malgré ses autres cartes en poche. Elle doit se montrer forte, et c'est ainsi qu'Adam pourra enfin la respecter. Cependant, il fait fort, très fort.
Juliette ne prend même pas en compte son petit compliment, elle s'en aurait d'ailleurs bien passé. La simple atmosphère parvient à la rendre tremblotante et ose même se coller au torse d'Adam en s'y cachant.
Juliette : « O-oh non tout mais pas ça, non, NON Adam, arrête ça, je t'en supplie ! »
Quittes à le supplier, Juliette ne s'excusera pas. Elle se jure de se moquer d'Adam jusqu'à la fin de leur vie, afin de se venger du harcèlement qui lui cause. C'est une façon bien immature certes, mais c'est sa seule façon de le harceler, mais d'autres arriveront plus tard, probablement.
La patriote pense que de rester coller à lui ainsi en ne lui demandant pas le pardon lassera Adam. Malgré cette horrible situation, Juliette va résister comme elle pourra.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
« Adam Cooper. »
(PV Mlle Denarbonne)
Mon bras est toujours enroulé autour d’elle. Je l’observe d’un œil songeur. Dois-je accepter les supplications ou non ? A près tout, ce n’est pas ça que je lui ai demandé. Bien que j’aime l’entendre me supplier.
Je m’assieds sur le lit, du moins le siens à ce moment là, en l’entrainant sur mes genoux. Elle semble assez mal face à cette illusion. En la voyant ainsi, je pourrais bien arrêter mais je ne ressens pas vraiment de pitié. Enfin même si la, c’est un peu plus compliqué. Et bien oui, c’est qu’elle est déguisée en Bob l’éponge ! C’est bien plus dur de résister.
10:55 ; 10:54 ; 10:53… Une fois l’illusion créée, celle-ci dure exactement 12 minutes. Lorsqu’elle apparait, je sais avec précision combien de temps il me reste pour torturer mon jouet. 10:46 ; 10:45 ; 10:46… Pour cette partie Juliette, je serais bon joueur. Si tu parviens à tenir les 12 minutes sans dire les mots que je veux, tu gagneras. A l’inverse, si j’obtiens ce que j’ai demandé, tu auras perdu et la victoire me reviendra. Même si je ne doute pas de ta défaite. J’ai des années de tortures par la peur derrière moi. Il fallait bien que je maitrise le don que Dieu m’a offert.
Assise perpendiculairement sur mes genoux, on dirait que je suis venu la rassurer du gros méchant monstre qui se cachait dans son placard. Quoique c’est à peu près ça. Le monstre est cet homme qui la terrorise. Mais moi, je ne suis pas vraiment venu la rassurer. Je la prends doucement contre moi.
Excuse-toi tout de suite Juliette…
Tout comme la vision du cauchemar qu’elle m’a laissé voir, la porte s’entrouvre lentement avec un grincement sinistre. Une ombre se dessine dans l’ouverture face à nous.
Fais-le ou je te laisse seule avec l’homme qui est là-bas.
8:52 ; 8:51 ; 8:50… 12 minutes, ça passe vite. Enfin pour moi. J’imagine que c’est bien trop long pour cette pauvre Juliette.
Je la couche sur le lit pour me lever.
Fais ton choix Juliette.
L’ombre se précise, s’avançant lentement dans la chambre. J’oubliais une dernière règle. Tu gagnes également si tu parviens à vaincre ta peur.
Re: Cinquante nuances de Cooper [PV Mlle Denarbonne]
Soudain, la porte de la pièce grince. Le monstre arrive, Juliette le sait. La vieille fille panique de nouveau et s'accroche plus fermement au haut d'Adam, quitte à l'arracher. Il ne faut surtout pas qu'il la lâche. Ce dernier insiste, mais Juliette feins, elle fait semblant de ne pas l'entendre.
Finalement, le couple atteigne le lit et Adam dépose l'enfant sur le lit, l'abandonnant sans aucun scrupule. La petite fille, perdue, tente de nouveau de s'agrippe à son homme, mais ce dernier est à présent loin d'elle. Fais ton choi dit-il ? Juliette l'a déjà fait. Elle n'a pas le choix, elle se doit d'affronter sa peur.
L'homme est dans la chambre. Il semble à moitié saoul et s'approche dangereusement de la petite. Elle semble tétaniser, et n'ose se mouvoir, la pauvre enfant va être une fois de plus souillée. L'humain inhumain est assis sur le lit, regardant salement le gosse. Celui-ci est assis, immobile, tenant fortement son drap.
La gamine (pensive) : « Non, ne me touche pas. »
Malheureusement pour elle, l'homme commence à délicatement caresser sa jambe. Juliette se met à pleurer et à s'alarmer brutalement. Brusquement et instinctivement, elle lui donne un coup de jambe alors qu'il s'approche de sa jambe. L'homme grogne avec qu'il saigne du nez. Ce n'est que maintenant qu'elle se rend compte que ce n'est pas enfant. Ce n'est plus un gamin sans défense.
Juliette (rigole nerveusement) : « Quelle idiote. Tu n'es pas ici, tu es en prison, loin de nous. »
A ses mots, la jeune femme saute de son lit, le fuyant de justesse alors qu'il s'apprête à la frapper. Les coups, elle connaît bien trop cela. A force, elle sait les esquiver et s'y préparer. Celle-ci s'approche d'une petite chaise qu'elle lève à sa hauteur, s'apprêtant à l'assomer.
Enflure : « Bah alors, on obéit pas à Papa ? Reviens tout de suite dans ton lit et restes-y. »
Obéir, obéir, Juliette ne supporte plus ce mot. Elle n'obéira qu'à soi-même et personne d'autre. Ce n'est pas pour rien qu'elle est née dans un siècle ou la femme est maintenant indépendante. Diable pourquoi encore doit-elle rester soumise à son âge ? Elle ne doit rien à personne, alors qu'on la laisse tranquille. Ayant eu cette soudaine prise de conscience, Juliette court vers son père le heurtant à grand coup de chaise. La bête grogne et s'assied brutalement sur le lit en gémissant. Sans compassion, la femme jette les morceaux de bois, appuie fermement son talon contre l'entre-jambe de l'homme et le tire par les cheveux.
Juliette : « Je n'suis pas ta fille et je devrai encore moins t'obéir. Dégage de ma chambre, j'veux plus t'revoir illusion de merde. »
Juliette s'essaie à la vulgarité. Ça ne lui va pas non ? Elle lui crache un mollard digne d'un grand fumeur avant de le relâcher sauvagement. La française tremble de tout son être malgré le soulagement énorme qu'elle porte. L'homme est complètement replié sur lui-même à cause du coup fatal. Juliette a gagné la partie.
Brusquement, l'environnement redevient normal. Adam est là, devant Juliette, tandis qu'elle, reprend son souffle et tente de se calmer. La femme semble toujours sur le choc, mais peu de temps après, elle semble aller un peu mieux. Après avoir déglutit une dernière fois et expire un long soupire serein, la patriote lève son regard froid vers son ennemi juré.
Juliette : « Bon, on peut manger maintenant ? Il y a intérêt à ce que le reste du repas soit divin, je serai très impitoyable sur la qualité du plat. »
Sans plus attendre, la française commence à se changer avec des gestes vifs, en remettant proprement ses vêtements. Elle marmonne des insultes en françaises, relativement très énervée.
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» Une femme exemplaire? (PV Mlle Denarbonne)
» non tu rêves pas c'est bien un cour de Mlle Denarbonne {PV • Les élèves}
» Mlle Denarbonne • « Cher journal, aujourd'hui mon chat a dit que j'étais moche et vieille. »
» Première expérience de la foule...plongée dans un bain de pensées. [PV Mlle Denarbonne - Ariake]
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