Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
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Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Dans ma chambre, je me sens un peu à l'étroit. Je n'ai jamais vraiment aimé partager mon espace vital. Ça m'énerve d'autant plus que je suis un peu sur les nerfs, sans livre à lire ou envie de dessiner... Ma musique me saoule aussi ! Dès qu'on écoute une chanson trop souvent, ça devient irritant ! En plus, comme je n'entend pas tous les sons, c'est compliqué de trouver des morceaux appréciables.
Pour respirer un peu, je n'ai qu'à faire un tour en ville. Seule. Avec un peu de chance, je vais trouver des coins à squatter.
Avec mon sens de l'orientation légendairement nul, j'ai pris des rues au hasard et je suis tombée sur le quartier des boîtes de nuit... Il y a des boutiques ouvertes, mais plusieurs des bâtiments sont fermés par leurs rideaux métalliques tagués. Le contraste entre les graffitis sur les murs et ceux des portes est assez saisissant d'ailleurs : les briques et le béton sont couverts de petits signes obscènes dignes de la plus vieille table d'un collège (ou lycée, en fait), tandis que les portes me donnent envie de prendre des photos. Certaines enseignes méritent aussi l'attention des passants. Mais personne ne s'arrête. En même temps, la saison touristique est passée, il ne reste que les résidents.
Je tourne un peu sur moi-même pour me repérer. Voyons, de quoi j'ai besoin en premier ? ... Alors, soit j'opte pour un café direct, soit je tente ma chance au magasin vintage qui fait l'angle... Ils vendent des CDs ? Bon bah, on va commencer par là.
A l'intérieur, pas de musique forte. Le volume est juste assez bas pour ne créer qu'une ambiance. Ô joie pour mes oreilles meurtries par les moteurs ! En plus, le peu de clients ne parle presque pas.
La plupart des étagères portent une étiquette "Rock" ou bien "Jazz" (j'en remarque une "Metal" aussi), mais je me dirige d'abord vers les casques, au fond de la boutique, histoire de tester quelques albums.
Pour respirer un peu, je n'ai qu'à faire un tour en ville. Seule. Avec un peu de chance, je vais trouver des coins à squatter.
Avec mon sens de l'orientation légendairement nul, j'ai pris des rues au hasard et je suis tombée sur le quartier des boîtes de nuit... Il y a des boutiques ouvertes, mais plusieurs des bâtiments sont fermés par leurs rideaux métalliques tagués. Le contraste entre les graffitis sur les murs et ceux des portes est assez saisissant d'ailleurs : les briques et le béton sont couverts de petits signes obscènes dignes de la plus vieille table d'un collège (ou lycée, en fait), tandis que les portes me donnent envie de prendre des photos. Certaines enseignes méritent aussi l'attention des passants. Mais personne ne s'arrête. En même temps, la saison touristique est passée, il ne reste que les résidents.
Je tourne un peu sur moi-même pour me repérer. Voyons, de quoi j'ai besoin en premier ? ... Alors, soit j'opte pour un café direct, soit je tente ma chance au magasin vintage qui fait l'angle... Ils vendent des CDs ? Bon bah, on va commencer par là.
A l'intérieur, pas de musique forte. Le volume est juste assez bas pour ne créer qu'une ambiance. Ô joie pour mes oreilles meurtries par les moteurs ! En plus, le peu de clients ne parle presque pas.
La plupart des étagères portent une étiquette "Rock" ou bien "Jazz" (j'en remarque une "Metal" aussi), mais je me dirige d'abord vers les casques, au fond de la boutique, histoire de tester quelques albums.
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
L'académie Tsuki a beau être une école pas comme les autres, ça reste une école et rien que l'ambiance me dégonfle les ballons. Voir tous ces gens vaquer sagement m'ennuie. Il y a sûrement des élèves cools, comme moi, mais je ne les connais toujours pas alors je sors en ville pour m'occuper. Il y a quelques bars sympa et je finis rapidement dans l'un d'eux.
La porte semble plus lourde qu'à mon entrée, et le trottoir étrangement moins droit et stable. Avec mon porte-monnaie vide et mon estomac remplit, je m'avance dans la rue en laissant mon foie commencer son travail. Je bouscule quelque gens dans la rue et je m'excuse en pointant mon majeur au ciel, après tout je suis tout-puissant qu'est ce qu'ils pourraient faire ? Bande de moldus. Cette fois quelqu'un me bloque tandis que je fais une marche arrière pour mieux m'excuser. Je me retourne pour voir qui c'est et je constate qu'il s'agit d'un mur en brique.
"-Haha désolé mec, je t'avais pas vu."
Aucune réponse du mur, normal après tout. Des gros cons gloussent sur ma gauche, à l'intérieur d'un vieux magasin. Je m'approche d'eux l'oeil mauvais et la plupart retourne à leur occupation : Regarder leurs pieds. Tiens ce magasin vends des CD ... si j'arrive à trouver un mange-disque ce serait cool. Ils vendent quoi de bien ?
Depuis combien de temps je regarde le vide comme ça ? Oh putain je me sens moyen, il va falloir que je reboive un coup. Je me reprends, choppe un CD au hasard ( de Dire Straits ), et je me dirige tant bien que mal vers la caisse. Il y a des gens agglutinés près des étagères avec un casque sur les oreilles, ils me regardent bizarrement. Ils m'énervent. Je les hais. Je croise brièvement le regard d'une jeune fille. Pourquoi tu me regardes toi ? Y a quelque chose qui te reviens pas ?
"-Dis donc toi, si tu continues de me fixer comme ça je vais finir par croire que tu veux me sucer."
La porte semble plus lourde qu'à mon entrée, et le trottoir étrangement moins droit et stable. Avec mon porte-monnaie vide et mon estomac remplit, je m'avance dans la rue en laissant mon foie commencer son travail. Je bouscule quelque gens dans la rue et je m'excuse en pointant mon majeur au ciel, après tout je suis tout-puissant qu'est ce qu'ils pourraient faire ? Bande de moldus. Cette fois quelqu'un me bloque tandis que je fais une marche arrière pour mieux m'excuser. Je me retourne pour voir qui c'est et je constate qu'il s'agit d'un mur en brique.
"-Haha désolé mec, je t'avais pas vu."
Aucune réponse du mur, normal après tout. Des gros cons gloussent sur ma gauche, à l'intérieur d'un vieux magasin. Je m'approche d'eux l'oeil mauvais et la plupart retourne à leur occupation : Regarder leurs pieds. Tiens ce magasin vends des CD ... si j'arrive à trouver un mange-disque ce serait cool. Ils vendent quoi de bien ?
Depuis combien de temps je regarde le vide comme ça ? Oh putain je me sens moyen, il va falloir que je reboive un coup. Je me reprends, choppe un CD au hasard ( de Dire Straits ), et je me dirige tant bien que mal vers la caisse. Il y a des gens agglutinés près des étagères avec un casque sur les oreilles, ils me regardent bizarrement. Ils m'énervent. Je les hais. Je croise brièvement le regard d'une jeune fille. Pourquoi tu me regardes toi ? Y a quelque chose qui te reviens pas ?
"-Dis donc toi, si tu continues de me fixer comme ça je vais finir par croire que tu veux me sucer."
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Le temps que j'arrive à me saisir d'un des casques, une vague de clients déferlent dans les rayonnages étroits. Moi qui voulait de l'espace, c'est foutu pour cette fois. Plus il y a de monde, plus on parle fort et plus il fait chaud. Du coup, je commence à me sentir mal. Migraine. Heureusement, le bourdonnement grave émit par les écouteurs me coupe un peu du brouhaha.
Le magasin se vide un peu. Il y a toujours plus de gens qu'à mon arrivée, mais la musique couvre maintenant toutes les conversations. Juste pour ce moment de quiétude, je crois bien que je vais acheter ce CD. Je vais juste parcourir les autres pistes pour être sûre.
En prêtant l'oreille aux vibrations de la basse, j'observe les autres clients. La caisse est juste à côté, difficile de les louper. Comme j'ai écouté tout le disque, j'y jette un coup d’œil, histoire d'évaluer le temps d'attente. Il n'y a qu'un seul acheteur et il est déjà en train de payer.
Une autre personne arrive dans mon champ de vision. Je crois bien l'avoir déjà vu à l'académie lui. Il ne m'a pas l'air très frais en tout cas. Je déteste faire ça, mais je le dévisage pour me rappeler où je l'ai vu exactement. Sauf qu'il finit par me regarder dans les yeux.
- Dis donc toi, si tu continues de me fixer comme ça je vais finir par croire que tu veux me sucer.
Ah...c'est direct. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais j'éclate de rire.
- On me l'avais jamais faite celle-là ! Je te préviens tout de suite : j'suis plutôt du genre exigeante.
Sans le lâcher du regard, je me dirige vers la caisse. (Bon, je le double un peu, mais il n'est pas encore dans la file) J'ai répondu du tac-au-tac et ma réponse m'amuse assez. Si j'avais été plus explicite, j'aurais probablement eu honte.
Le magasin se vide un peu. Il y a toujours plus de gens qu'à mon arrivée, mais la musique couvre maintenant toutes les conversations. Juste pour ce moment de quiétude, je crois bien que je vais acheter ce CD. Je vais juste parcourir les autres pistes pour être sûre.
En prêtant l'oreille aux vibrations de la basse, j'observe les autres clients. La caisse est juste à côté, difficile de les louper. Comme j'ai écouté tout le disque, j'y jette un coup d’œil, histoire d'évaluer le temps d'attente. Il n'y a qu'un seul acheteur et il est déjà en train de payer.
Une autre personne arrive dans mon champ de vision. Je crois bien l'avoir déjà vu à l'académie lui. Il ne m'a pas l'air très frais en tout cas. Je déteste faire ça, mais je le dévisage pour me rappeler où je l'ai vu exactement. Sauf qu'il finit par me regarder dans les yeux.
- Dis donc toi, si tu continues de me fixer comme ça je vais finir par croire que tu veux me sucer.
Ah...c'est direct. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais j'éclate de rire.
- On me l'avais jamais faite celle-là ! Je te préviens tout de suite : j'suis plutôt du genre exigeante.
Sans le lâcher du regard, je me dirige vers la caisse. (Bon, je le double un peu, mais il n'est pas encore dans la file) J'ai répondu du tac-au-tac et ma réponse m'amuse assez. Si j'avais été plus explicite, j'aurais probablement eu honte.
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Alors toi tu pouvais tomber sur mieux que moi, sans vouloir me vanter je suis sûrement le plus expérimenté de la ville vu le passé que je traine. A peine te ferais-je valser du bout de mes doigts que j'aurais déjà éclipser n'importe lequel de tes anciens partenaires. Putain que c'est cool ! Je vais enfin pouvoir changer d'air, j'en ai déjà marre des pucelles coincés de Tsuki. Celle là je la connais pas mais au moins elle a du répondant. Mais t'inquiète bébé, moi aussi. Je me rapproche de toi et me mets dans la file.
"Heureusement pour toi, moi non."
Sourire en coin et clin d’œil à l'instant ou elle se retourne légèrement. C'est pas un canon mais le meilleur coup de ma vie était une dame de 55 ans, flasque et avec des vergetures sur le ventre et des rides partout où c'est imaginable et même à d'autres endroits beaucoup envisageables, du coup je ne juge pas. Et puis elle a un air fille sage que je me ferais un plaisir d'effacer.
Je me sens pas bien.
"Bon du coup tu me montres où tu habites ou tu as besoin de temps pour flirter ?"
Je me sens pas bien. J'ai plus vraiment le contrôle non plus.
"Parce que sinon ..."
VOMIR ! Je me précipite en dehors et je gerbe sur le trottoir. Le bon point c'est que je me sens mieux, le mauvais c'est que je me tape la honte. Je me retourne vers l'inconnu et lui dis en rigolant :
"C'est sexy, non ?"
"Heureusement pour toi, moi non."
Sourire en coin et clin d’œil à l'instant ou elle se retourne légèrement. C'est pas un canon mais le meilleur coup de ma vie était une dame de 55 ans, flasque et avec des vergetures sur le ventre et des rides partout où c'est imaginable et même à d'autres endroits beaucoup envisageables, du coup je ne juge pas. Et puis elle a un air fille sage que je me ferais un plaisir d'effacer.
Je me sens pas bien.
"Bon du coup tu me montres où tu habites ou tu as besoin de temps pour flirter ?"
Je me sens pas bien. J'ai plus vraiment le contrôle non plus.
"Parce que sinon ..."
VOMIR ! Je me précipite en dehors et je gerbe sur le trottoir. Le bon point c'est que je me sens mieux, le mauvais c'est que je me tape la honte. Je me retourne vers l'inconnu et lui dis en rigolant :
"C'est sexy, non ?"
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Je ris encore. Très franchement, j'ai du mal à croire à un plan de drague aussi direct et je ne m'attendais pas vraiment à une réponse. Ça relève de la blague à ce niveau-là.
Globalement, mes ex sont plutôt le genre de mecs avec qui tu sors par gentillesse, vu que tu es célibataire et qu'ils sont plus timides que toi. Le genre avec qui il ne se passe strictement rien et qui te gonfle au bout d'un ou deux mois.
Donc, déjà, j'ai pas l'habitude de ce type d'approche, mais ce mec en est déjà à penser à une étape très lointaine pour moi. Surtout qu'il est très sérieux. Et très proche aussi.
- Bon du coup, tu me montres où tu habites ou tu as besoin de temps pour flirter ?
Ouais, aller, pourquoi pas. De toute façon, j'ai envie de boire un coup. Autant avoir un guide. Et puis, je vais pas le ramener à l'académie. Je suis pas très premier soir. Il est pas mal, hein, mais faudrait voir à pas pousser mémé dans les orties.
Il allait dire autre chose, pendant que le vendeur me remettait le ticket de caisse, mais il est sorti en courant. Je le suis sans me presser. Je dois bien sortir du magasin à un moment ou à un autre. En fait, il n'est pas parti bien loin : je le trouve plié en deux, en train de vomir. Par réflexe, je me rapproche et lui frotte le dos. (J'ai peut-être un peu trop l'habitude du baby-sitting) Je me doutais bien qu'il avait bu, mais pas à ce point-là.
- C'est sexy, non ?
Ah bah voilà ! Il a une tête vachement plus rassurante quand il rit ! ... Bon, d'un autre côté, je suis un peu prude des fois...
- Ça passe. Tu te sens toujours d'attaque pour flirter ?
J'ai encore répondu en riant. D'habitude, je n'aurais jamais osé dire ça ! Mais j'ai très envie d'aller m'asseoir dans un bar ou un café et ça me mettrait mal à l'aise d'y être seule. Autant en profiter.
Globalement, mes ex sont plutôt le genre de mecs avec qui tu sors par gentillesse, vu que tu es célibataire et qu'ils sont plus timides que toi. Le genre avec qui il ne se passe strictement rien et qui te gonfle au bout d'un ou deux mois.
Donc, déjà, j'ai pas l'habitude de ce type d'approche, mais ce mec en est déjà à penser à une étape très lointaine pour moi. Surtout qu'il est très sérieux. Et très proche aussi.
- Bon du coup, tu me montres où tu habites ou tu as besoin de temps pour flirter ?
Ouais, aller, pourquoi pas. De toute façon, j'ai envie de boire un coup. Autant avoir un guide. Et puis, je vais pas le ramener à l'académie. Je suis pas très premier soir. Il est pas mal, hein, mais faudrait voir à pas pousser mémé dans les orties.
Il allait dire autre chose, pendant que le vendeur me remettait le ticket de caisse, mais il est sorti en courant. Je le suis sans me presser. Je dois bien sortir du magasin à un moment ou à un autre. En fait, il n'est pas parti bien loin : je le trouve plié en deux, en train de vomir. Par réflexe, je me rapproche et lui frotte le dos. (J'ai peut-être un peu trop l'habitude du baby-sitting) Je me doutais bien qu'il avait bu, mais pas à ce point-là.
- C'est sexy, non ?
Ah bah voilà ! Il a une tête vachement plus rassurante quand il rit ! ... Bon, d'un autre côté, je suis un peu prude des fois...
- Ça passe. Tu te sens toujours d'attaque pour flirter ?
J'ai encore répondu en riant. D'habitude, je n'aurais jamais osé dire ça ! Mais j'ai très envie d'aller m'asseoir dans un bar ou un café et ça me mettrait mal à l'aise d'y être seule. Autant en profiter.
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Encore un point de marquer pour moi, je suis vraiment trop fort ! Réussir à emmener une fille au bar en vomissant, ça c'est de l'exploit. En plus je vais pouvoir encore boire.
"Je suis toujours d'attaque. Suis moi je vais te montrer un bar sympa."
Demi-tour, et on retourne dans le bar d'où je suis à peine sorti. On avance de quelques pas, plus ou moins droit, et je lui montre le CD que j'avais toujours en main.
"J'ai même pas eu besoin de passer en caisse."
Ha c'est vraiment drôle !
"Je suis un Bad boy moi princesse, dis-je en souriant, un vrai de vrai. Bon par contre quand tu vois un bar qui te plait tu me dis et on y va, parce que là ... je suis perdu."
Le bon sens voudrait que je retourne à l'académie mais le bon sens c'est chiant. Laissez moi pousser mon corps en dehors de ses limites, moi je vis au moins ! Laissez moi me détruire si je veux, moi je vis au moins ! Laissez moi ... danser ? Dalida sort de ce corps ! Ce serait drôle que Dalida sorte réellement de mon corps à ce moment là. Je trébuche et m'accroche à la jeune fille pour ne pas tomber. Je passe mon bras sur ses épaules, plus pour soutenir que pour la rapprocher de moi et je continue de glousser en imaginant une blonde sortir de nulle part et chanter. Je regarde la jeune fille et lui dit :
"Tu t'es toujours pas décidé sur l'endroit où tu voudrais aller, Mademoiselle ? Parce bon hein voilà, c'est compliqué de marcher de nos jours."
"Je suis toujours d'attaque. Suis moi je vais te montrer un bar sympa."
Demi-tour, et on retourne dans le bar d'où je suis à peine sorti. On avance de quelques pas, plus ou moins droit, et je lui montre le CD que j'avais toujours en main.
"J'ai même pas eu besoin de passer en caisse."
Ha c'est vraiment drôle !
"Je suis un Bad boy moi princesse, dis-je en souriant, un vrai de vrai. Bon par contre quand tu vois un bar qui te plait tu me dis et on y va, parce que là ... je suis perdu."
Le bon sens voudrait que je retourne à l'académie mais le bon sens c'est chiant. Laissez moi pousser mon corps en dehors de ses limites, moi je vis au moins ! Laissez moi me détruire si je veux, moi je vis au moins ! Laissez moi ... danser ? Dalida sort de ce corps ! Ce serait drôle que Dalida sorte réellement de mon corps à ce moment là. Je trébuche et m'accroche à la jeune fille pour ne pas tomber. Je passe mon bras sur ses épaules, plus pour soutenir que pour la rapprocher de moi et je continue de glousser en imaginant une blonde sortir de nulle part et chanter. Je regarde la jeune fille et lui dit :
"Tu t'es toujours pas décidé sur l'endroit où tu voudrais aller, Mademoiselle ? Parce bon hein voilà, c'est compliqué de marcher de nos jours."
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Finalement, en choisissant de continuer la discussion, je le baby-sitte vraiment. C'est à peine si il peut aligner deux pas sans se casser la gueule. Pour une fois que j'accepte des avances, il faut que ça vienne d'un mec bourré... Bon, j'ai eu du bol de tomber sur un jeune bourré. C'est plutôt des vieux avec un visage gris et bouffi qu'on croise dans la rue, chez moi.
Pas besoin de payer... Tu m'étonnes ! Le vendeur commençait limite à craindre qu'on fasse mauvaise presse ! (En même temps, dans le quartier des night clubs, il ferait mieux d'être prêt) Nan, et puis, ça marche encore l'histoire du "bad-boy" ?! Surtout quand on se sert de la nana comme d'une béquille. D'un autre côté, j'avais pas eu droit à un câlin (platonique, je précise) depuis longtemps.
- Tu t'es toujours pas décidé sur l'endroit où tu voudrais aller, Mademoiselle ? Parce bon hein voilà, c'est compliqué de marcher de nos jours.
- Tu voulais pas me montrer un bar "sympa" y a deux s'condes ? ... En fait, t'as raison, je vais choisir. On va y aller mollo sur le whisky, hein.
Rectification : je ne suis pas une béquille. Je suis un chien d'aveugle. J'ai toujours cru que seuls les ivrognes de fictions se prenaient des lampadaires en pleine face. J'avais tort. Comme il est plus grand et fort (lourd me paraît plus juste actuellement), il nous fait faire un beau slalom sur le trottoir.
- Regardes ! Un café ! C'est pas bon de boire le ventre vide, on va manger un bout. Ça te dit du brownie ? Une forêt noire (y a de l'alcool dedans) ? Quoi que tu m'ais l'air plutôt kouglof ou quatre-quarts.
Je vais pas le laisser trop boire en fait. L'emmener aux toilettes m'a l'air d'être une bonne première étape. Après, il commandera ce qu'il veut. Je doute qu'il y ait de l'alcool fort à la carte.
... Naaah. J'ai pas le courage de le traîner jusqu'au fond de la salle. On va s'asseoir en terrasse, et j'aurai qu'à partir si ça tourne mal.
Pas besoin de payer... Tu m'étonnes ! Le vendeur commençait limite à craindre qu'on fasse mauvaise presse ! (En même temps, dans le quartier des night clubs, il ferait mieux d'être prêt) Nan, et puis, ça marche encore l'histoire du "bad-boy" ?! Surtout quand on se sert de la nana comme d'une béquille. D'un autre côté, j'avais pas eu droit à un câlin (platonique, je précise) depuis longtemps.
- Tu t'es toujours pas décidé sur l'endroit où tu voudrais aller, Mademoiselle ? Parce bon hein voilà, c'est compliqué de marcher de nos jours.
- Tu voulais pas me montrer un bar "sympa" y a deux s'condes ? ... En fait, t'as raison, je vais choisir. On va y aller mollo sur le whisky, hein.
Rectification : je ne suis pas une béquille. Je suis un chien d'aveugle. J'ai toujours cru que seuls les ivrognes de fictions se prenaient des lampadaires en pleine face. J'avais tort. Comme il est plus grand et fort (lourd me paraît plus juste actuellement), il nous fait faire un beau slalom sur le trottoir.
- Regardes ! Un café ! C'est pas bon de boire le ventre vide, on va manger un bout. Ça te dit du brownie ? Une forêt noire (y a de l'alcool dedans) ? Quoi que tu m'ais l'air plutôt kouglof ou quatre-quarts.
Je vais pas le laisser trop boire en fait. L'emmener aux toilettes m'a l'air d'être une bonne première étape. Après, il commandera ce qu'il veut. Je doute qu'il y ait de l'alcool fort à la carte.
... Naaah. J'ai pas le courage de le traîner jusqu'au fond de la salle. On va s'asseoir en terrasse, et j'aurai qu'à partir si ça tourne mal.
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Alors déjà tu me parles sur un autre ton hein ! Kouglof toi même non mais ! Par contre je veux bien manger un bout, j'ai l'estomac étrangement vide. Elle m'assois (me laisse tomber) sur ma chaise et elle s'assoit en face de moi. Ces chaises métalliques ne sont pas très confortables mais bon, au moins j'ai le soleil dans le dos, et par un après-midi encore chaud de fin d'été je dois dire que c'est agréable. Et puis Machine est bien éclairé et je peux mieux la regarder.
"-Je suppose que t'as un prénom ? C'est pas dit que je m'en souvienne demain mais au moins quand je pense j’arrêterais de penser Machine."
D'ailleurs elle doit aussi penser Machin ! Mince, mon prénom est tellement plus beau à penser que Machin.
"-D'ailleurs moi je m'appelle pas Machin, mais bon tu t'en fous peut-être."
Évidemment qu'elle ne s'en fout pas, elle me désire ça ce voit. Comme tout le monde d'ailleurs. Bon peut-être pas dans l'immédiat car j'ai passablement bu mais quand même ! Les gens m'aiment ! N'est-ce pas que vous m'aimez ?
Je pose ma main droite sur la table métallique tandis que l'autre pendouille élégamment dans le vide.
"-Je vais prendre des frites quand elle viendra, je veux pas d'un gâteau. C'est bien les frites ..."
Ah douce nostalgie, comme je te hais ! Pourquoi tu reviens quand je bois ? Pourquoi je bois pour que tu reviennes ?
"-Tu fais quoi dans la vie sinon ?"
"-Je suppose que t'as un prénom ? C'est pas dit que je m'en souvienne demain mais au moins quand je pense j’arrêterais de penser Machine."
D'ailleurs elle doit aussi penser Machin ! Mince, mon prénom est tellement plus beau à penser que Machin.
"-D'ailleurs moi je m'appelle pas Machin, mais bon tu t'en fous peut-être."
Évidemment qu'elle ne s'en fout pas, elle me désire ça ce voit. Comme tout le monde d'ailleurs. Bon peut-être pas dans l'immédiat car j'ai passablement bu mais quand même ! Les gens m'aiment ! N'est-ce pas que vous m'aimez ?
Je pose ma main droite sur la table métallique tandis que l'autre pendouille élégamment dans le vide.
"-Je vais prendre des frites quand elle viendra, je veux pas d'un gâteau. C'est bien les frites ..."
Ah douce nostalgie, comme je te hais ! Pourquoi tu reviens quand je bois ? Pourquoi je bois pour que tu reviennes ?
"-Tu fais quoi dans la vie sinon ?"
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Au lieu de le regarder dans les yeux, je regarde un peu partout, << pour observer l'endroit >> je me convaincs. En fait, j'ai toujours du mal à soutenir le regard des gens. Surtout avec des inconnus.
Quand j'en reviens à lui, j'utilise une bonne vieille astuce d'un prof de français : regarder le front, juste au-dessus des sourcils. Je souris quand même, mais ça m'évite d'éclater de rire (plus ou moins) ou de regarder mes pieds sans arrêt.
- Je vais juste prendre un smoothie, ça me tente bien.
Sinon, "Machine" ?! Perso, je penserais plutôt "la fille" ou "elle", pas besoin de prénom. Et je me doute que tu ne t'appelles pas "Machin". Y a que mon père pour appeler des Sims comme ça, juste pour essayer le jeu. Ou mon bon vieux voisins de derrière, en sciences, l'année précédente, qui ne m'appelait jamais normalement pour ramasser son stylo tombé (environ deux fois par heure). Soit c'était effectivement par un << Machine ! >> à peine craché, soit en poupoutant comme pour attirer l'attention d'un petit animal.
- Bien supposé, Sherlock. [Bon, d'accord, je me moque là] J'm'appelle Capucine. Pour le moment, je...
Il y a pas mal de boucan à droite, c'est pour ça que je m'interromps et jette un coup d’œil. Un type grisonnant qui gronde un gamin (son fils ? petit-fils ?) pour un rien en le menaçant d'une baffe. Ça m'insupporte. Mais, je ne peux pas me permettre d'intervenir, ce ne sont pas mes affaires, à ce qu'il paraît.
Je me tourne à nouveau vers "Machin". Je vais pas fixer la scène indéfiniment. Mon visage garde tout de même un air contrarié. (Ça, j'y peux rien non plus)
- ... suis en dernière année de lycée. Enfin, en équivalence, je crois. J'ai pas trop compris l'organisation de l'académie sur les niveaux d'études. Et toi ?
Quand j'en reviens à lui, j'utilise une bonne vieille astuce d'un prof de français : regarder le front, juste au-dessus des sourcils. Je souris quand même, mais ça m'évite d'éclater de rire (plus ou moins) ou de regarder mes pieds sans arrêt.
- Je vais juste prendre un smoothie, ça me tente bien.
Sinon, "Machine" ?! Perso, je penserais plutôt "la fille" ou "elle", pas besoin de prénom. Et je me doute que tu ne t'appelles pas "Machin". Y a que mon père pour appeler des Sims comme ça, juste pour essayer le jeu. Ou mon bon vieux voisins de derrière, en sciences, l'année précédente, qui ne m'appelait jamais normalement pour ramasser son stylo tombé (environ deux fois par heure). Soit c'était effectivement par un << Machine ! >> à peine craché, soit en poupoutant comme pour attirer l'attention d'un petit animal.
- Bien supposé, Sherlock. [Bon, d'accord, je me moque là] J'm'appelle Capucine. Pour le moment, je...
Il y a pas mal de boucan à droite, c'est pour ça que je m'interromps et jette un coup d’œil. Un type grisonnant qui gronde un gamin (son fils ? petit-fils ?) pour un rien en le menaçant d'une baffe. Ça m'insupporte. Mais, je ne peux pas me permettre d'intervenir, ce ne sont pas mes affaires, à ce qu'il paraît.
Je me tourne à nouveau vers "Machin". Je vais pas fixer la scène indéfiniment. Mon visage garde tout de même un air contrarié. (Ça, j'y peux rien non plus)
- ... suis en dernière année de lycée. Enfin, en équivalence, je crois. J'ai pas trop compris l'organisation de l'académie sur les niveaux d'études. Et toi ?
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Mes paupières sont lourdes, c'est chiant. La voix de Capucine (la coquine héhéhé) résonne comme un berceuse dans mon crane. Quand je la regarde elle semble énervé, quelque chose la dérange. Qu'est ce que j'ai fais encore ? Elle jette quelques regards sur sa droite, je tourne lentement la tête, ouvre les yeux le plus grand que je puisse faire et je vois un vieux qui engueule son gamin. Chanceux, au moins il te parle. Quoique, mon père aussi me parlait parfois. AAAAH PUTAIN !!! Pourquoi je repense à tout ça maintenant ? J'ai d'autres choses à foutre ! C'est terminé depuis longtemps tout ça ! Je me lève tant bien que mal, j'attrape Capucine par le poignet et je la tire sans ménagement derrière moi. Je ne la regarde pas, je ne lui parles pas, je me contente de la trainer derrière moi. Elle se débat, probablement en tout cas. Elle a peur aussi, enfin probablement.
Je l'emmène plus loin, en suivant un chemin pas très droit mais c'est du détail. Je la plaque contre un mur et, énervé, je lui gueules dans les oreilles.
"-MAINTENANT TU ARRETES ! J'en peux plus ..."
Je m’effondre, plus sous l'effet de l'alcool qu'autre choses et je revomis sur les pavés. Bah tient, elle doit être contente de son rendez-vous la p'tite dame. Elle n'a rien fait ni rien demandé. Bah tant pis, je suis sûr que l'académie m'enverra voir un psy un jour. Foutu académie, tu m'apportes pas grand chose à vrai dire. Je comptais sur toi pour me trouver un but à accomplir. Un jour je te détruirai Tsuki, juste par déception. Mais pour l'instant je voudrais juste dormir.
Je l'emmène plus loin, en suivant un chemin pas très droit mais c'est du détail. Je la plaque contre un mur et, énervé, je lui gueules dans les oreilles.
"-MAINTENANT TU ARRETES ! J'en peux plus ..."
Je m’effondre, plus sous l'effet de l'alcool qu'autre choses et je revomis sur les pavés. Bah tient, elle doit être contente de son rendez-vous la p'tite dame. Elle n'a rien fait ni rien demandé. Bah tant pis, je suis sûr que l'académie m'enverra voir un psy un jour. Foutu académie, tu m'apportes pas grand chose à vrai dire. Je comptais sur toi pour me trouver un but à accomplir. Un jour je te détruirai Tsuki, juste par déception. Mais pour l'instant je voudrais juste dormir.
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
A peine ai-je fini ma phrase que "Machin" me choppe le poignet et m'emmène loin de la terrasse. Il est tendu. Ça suffit pour que j'ai mal avec sa force.
Sans me dégager, j'essaye de ralentir, mais il m'oblige à suivre le pas.
Je me demande bien quelle mouche l'a piqué...ça commence à m'inquiéter...
Il me balance contre un mur assez fort pour que mon souffle se coupe un instant.
-MAINTENANT TU ARRÊTES ! J'en peux plus ...
La peur commence à monter (avec un sacrée migraine). Arrêter quoi ?! Mon cœur bat de plus en plus v... Ah ! J'avais carrément arrêté de respirer, en fait. Remplis tes poumons !
C'est un peu mieux l...à.
Il a vomi à nouveau en tombant le front sur mon épaule. Je lui frotte encore le dos ou pas ?! Je n'arrive pas à bouger de toute façon. Je suis trop en panique. En revanche, lui s'est détendu.
J'espère quand même que mon t-shirt n'en a pas pris un coup (après à peine deux jours à l'académie, ça m'embête de devoir faire une lessive).
Pendant quelques secondes, je ne bouge pas, essayant de calmer mon souffle. Je me demande si il pleure sur mon épaule ?
C'est sûrement moi qui imagine des sensations. Ou alors, il est tellement ivre qu'il a démarré une dépression à l'instant.
J'hésite à agir... Dans un élan de détermination, je murmure dans son oreille (qui est juste à côté de ma bouche après effondrement).
- Ça va ?
Attends ! Et si il repète les plombs ?! Essayes autre chose !
L'estomac noué, je pose une main sur son dos. Il est très chaud, et la fatigue ou l'énervement le fait un peu trembler. De la fièvre peut-être ?
- Tu m'as toujours pas dit ton nom, au fait...
De mon autre main, je lui frotte les cheveux. C'est ce que je fais pour calmer les enfants quand ils paniquent à cause d'un cauchemar, par exemple. C'est marrant que je trouve une utilité à mes réflexes de nounou maintenant. Enfin, j'aurai préféré que ce gars aille bien. Pas tellement que ça me gonfle, plutôt que je vois mal comment l'aider et que je voudrais toujours sauver tout le monde.
Sans me dégager, j'essaye de ralentir, mais il m'oblige à suivre le pas.
Je me demande bien quelle mouche l'a piqué...ça commence à m'inquiéter...
Il me balance contre un mur assez fort pour que mon souffle se coupe un instant.
-MAINTENANT TU ARRÊTES ! J'en peux plus ...
La peur commence à monter (avec un sacrée migraine). Arrêter quoi ?! Mon cœur bat de plus en plus v... Ah ! J'avais carrément arrêté de respirer, en fait. Remplis tes poumons !
C'est un peu mieux l...à.
Il a vomi à nouveau en tombant le front sur mon épaule. Je lui frotte encore le dos ou pas ?! Je n'arrive pas à bouger de toute façon. Je suis trop en panique. En revanche, lui s'est détendu.
J'espère quand même que mon t-shirt n'en a pas pris un coup (après à peine deux jours à l'académie, ça m'embête de devoir faire une lessive).
Pendant quelques secondes, je ne bouge pas, essayant de calmer mon souffle. Je me demande si il pleure sur mon épaule ?
C'est sûrement moi qui imagine des sensations. Ou alors, il est tellement ivre qu'il a démarré une dépression à l'instant.
J'hésite à agir... Dans un élan de détermination, je murmure dans son oreille (qui est juste à côté de ma bouche après effondrement).
- Ça va ?
Attends ! Et si il repète les plombs ?! Essayes autre chose !
L'estomac noué, je pose une main sur son dos. Il est très chaud, et la fatigue ou l'énervement le fait un peu trembler. De la fièvre peut-être ?
- Tu m'as toujours pas dit ton nom, au fait...
De mon autre main, je lui frotte les cheveux. C'est ce que je fais pour calmer les enfants quand ils paniquent à cause d'un cauchemar, par exemple. C'est marrant que je trouve une utilité à mes réflexes de nounou maintenant. Enfin, j'aurai préféré que ce gars aille bien. Pas tellement que ça me gonfle, plutôt que je vois mal comment l'aider et que je voudrais toujours sauver tout le monde.
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
C'est beau, c'est doux, c'est … rond je dirais. Cette sensation que soudain les angles sont en coton et que l'univers se rétrécit pour ne former qu'un cocon protecteur et … parfait ? C'est le seul mot qu'y me vient, d'ailleurs les mots perdent en substances ce qui les rends de plus en plus difficiles à le prononcer correctement. Je bafouille, ma lèvre du bas tirent en arrière celle du haut et elles se mêlent en un balet chaotique et pure. Cette fille aussi à certainement un super-pouvoir, celui de me faire sentir bien. C'est probablement un ange qui me demande mon prénom, et bien que je déteste les religions, je ne peux m’empêcher de succomber au charme de ce chérubin et de lui donner mon nom
Achille.
C'est mon nom, je l'aime. Il me va assez bien quand on y pense, autant par le sens qu'il porte que par sa prononciation. Il y a une ouverture dans le « a », puis de la sensualité de le « ch » suivit d'une pointe de gaieté. Je l'aime. C'est certainement ma mère qui l'a choisit. Mère remplacé par Capucine en ce moment. J'ai l'impression d'être son enfant, blottit dans ses bras et aspirant tout le réconfort possible pour faire passer un chagrin aussi injustifié que chronique, mais si discret qu'il en est presque vicieux. L'instant est si beau, je n'ai pas envie de parler mais juste écouter. Écouter cette voix aussi douce que celle de Minnie Riperton.
« -Parles moi de toi s'il-te-plaît. »
Enfin ça c'est la phrase tel que je voulais la prononcer, mais les mots sont si peu de choses que le résultat devient être bien inégal. Toujours est-il que : OH MON DIEU !! Je viens de m'intéresser sincèrement à quelqu'un ? C'est étrange comme sensation … d'où me viens cette sensation de gêne et de pudeur, moi qui suis un être impur ? C'est comme ça que sont les vrais relations ? Si c'est le cas je ne pense pas que je recommencerai d'aussitôt, même si c'est très agréable il n'en reste pas moins que Capucine est une flamme trop blanche, trop pure et propre pour moi. Je pourrais m'y perdre, brûler et éparpiller la moindre parcelle de mon être. Mais juste pour cette fois, laisse-moi m'endormir à la chaleur de cette bougie, j'en ai bien besoin.
Achille.
C'est mon nom, je l'aime. Il me va assez bien quand on y pense, autant par le sens qu'il porte que par sa prononciation. Il y a une ouverture dans le « a », puis de la sensualité de le « ch » suivit d'une pointe de gaieté. Je l'aime. C'est certainement ma mère qui l'a choisit. Mère remplacé par Capucine en ce moment. J'ai l'impression d'être son enfant, blottit dans ses bras et aspirant tout le réconfort possible pour faire passer un chagrin aussi injustifié que chronique, mais si discret qu'il en est presque vicieux. L'instant est si beau, je n'ai pas envie de parler mais juste écouter. Écouter cette voix aussi douce que celle de Minnie Riperton.
« -Parles moi de toi s'il-te-plaît. »
Enfin ça c'est la phrase tel que je voulais la prononcer, mais les mots sont si peu de choses que le résultat devient être bien inégal. Toujours est-il que : OH MON DIEU !! Je viens de m'intéresser sincèrement à quelqu'un ? C'est étrange comme sensation … d'où me viens cette sensation de gêne et de pudeur, moi qui suis un être impur ? C'est comme ça que sont les vrais relations ? Si c'est le cas je ne pense pas que je recommencerai d'aussitôt, même si c'est très agréable il n'en reste pas moins que Capucine est une flamme trop blanche, trop pure et propre pour moi. Je pourrais m'y perdre, brûler et éparpiller la moindre parcelle de mon être. Mais juste pour cette fois, laisse-moi m'endormir à la chaleur de cette bougie, j'en ai bien besoin.
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
-Achille...
Il est peut-être sonné, mais il a pris la peine de bien articuler son nom. A moins qu'il ne soit en plein délire et qu'il me parle de son hamster ou je ne sais quoi... Bon, on va dire Achille alors.
En tout cas, j'ai toujours la tête comme une pastèque. Il n'a pas crié longtemps pourtant. C'est sûrement parce que j'ai combiné lieu bondé, musique et engueulade que je douille comme ça.
- Parles moi de toi s'il-te-plaît.
Hein ? ... Euh... Parler ? Bien sûr que ça me plaît ! J'suis super bavarde ! (Enfin, quand mes cordes vocales ne sont pas trop tendues par la timidité. J'estime que pour un mec qui a vomi deux fois devant moi, ça devrait aller.)
- Euh...Bah...[J'ai un petit rire avant de sortir une phrase correcte] J'suis migraineuse, alors je vais prendre un médoc vite-fait.
Sans le dégager de mon épaule, je fouille dans ma poche pour attraper une gélule et la pose sur ma langue le plus rapidement possible.
- Je viens de France, à la base, et ça fait quelques jours que je suis dans le coin. Du coup, je connais pas grand-chose ou grand-monde ici. Et je suis descendue en ville parce que je suis en manque de nouveauté musicale. Je galère trop pour trouver des morceaux qui me plaisent !
Ma voix déraille ! Ça ne m'était pas arrivé depuis un moment... et je n'ai pas utilisé mes cris de Banshee dernièrement... La migraine ? Une grippe ?
- En fait, j'aime bien la musique qui pète, mais ça me fait super mal à la tête, et j'aime bien les textes travaillés aussi, mais, souvent, l'instrumental est trop aigu pour que je l'entende.
J'ai du mal à continuer avec ma voix bizarre. Comme si l'air venait s'accrocher sur la paroi de la trachée, il frotte en produisant moins de sons. Le spectre vocal est de plus en plus présent et le frottement me dérange.
Achille me semble toujours détendu. Il a des cheveux brillants. Je me remet à jouer avec d'une main. C'est tout doux !
Je racle ma gorge. Ma voix ne sort plus que comme un souffle. C'est sûrement inaudible.
En désespoir de cause, je joue toujours avec ses cheveux en prenant garde de ne pas les tirer.
Il est peut-être sonné, mais il a pris la peine de bien articuler son nom. A moins qu'il ne soit en plein délire et qu'il me parle de son hamster ou je ne sais quoi... Bon, on va dire Achille alors.
En tout cas, j'ai toujours la tête comme une pastèque. Il n'a pas crié longtemps pourtant. C'est sûrement parce que j'ai combiné lieu bondé, musique et engueulade que je douille comme ça.
- Parles moi de toi s'il-te-plaît.
Hein ? ... Euh... Parler ? Bien sûr que ça me plaît ! J'suis super bavarde ! (Enfin, quand mes cordes vocales ne sont pas trop tendues par la timidité. J'estime que pour un mec qui a vomi deux fois devant moi, ça devrait aller.)
- Euh...Bah...[J'ai un petit rire avant de sortir une phrase correcte] J'suis migraineuse, alors je vais prendre un médoc vite-fait.
Sans le dégager de mon épaule, je fouille dans ma poche pour attraper une gélule et la pose sur ma langue le plus rapidement possible.
- Je viens de France, à la base, et ça fait quelques jours que je suis dans le coin. Du coup, je connais pas grand-chose ou grand-monde ici. Et je suis descendue en ville parce que je suis en manque de nouveauté musicale. Je galère trop pour trouver des morceaux qui me plaisent !
Ma voix déraille ! Ça ne m'était pas arrivé depuis un moment... et je n'ai pas utilisé mes cris de Banshee dernièrement... La migraine ? Une grippe ?
- En fait, j'aime bien la musique qui pète, mais ça me fait super mal à la tête, et j'aime bien les textes travaillés aussi, mais, souvent, l'instrumental est trop aigu pour que je l'entende.
J'ai du mal à continuer avec ma voix bizarre. Comme si l'air venait s'accrocher sur la paroi de la trachée, il frotte en produisant moins de sons. Le spectre vocal est de plus en plus présent et le frottement me dérange.
Achille me semble toujours détendu. Il a des cheveux brillants. Je me remet à jouer avec d'une main. C'est tout doux !
Je racle ma gorge. Ma voix ne sort plus que comme un souffle. C'est sûrement inaudible.
En désespoir de cause, je joue toujours avec ses cheveux en prenant garde de ne pas les tirer.
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Tient, une française, c'est assez rare dans le coin. Enfin sauf à l'Académie. Il semble qu'il y ait de tout là-bas. Mais ça fait un sacré paquet de temps que je n'ai pas parlé français avec quelqu'un. Je m'exclame avec mon bon accent belge :
« - Ha ! Enfin un francophone … tu peux pas savoir comme ça m'a manqué. Comme tu peux l'entendre je viens de Belgique, je suis arrivé en Angleterre il y a un an un peu près. Et là, euh … »
Je ne peux décemment pas lui parler de l'Académie ni de mes capacités.
« - … je suis en recherches d'emploi. »
C'est tout ce que j'ai trouvé à lui dire ...
Elle fait des boucles dans mes cheveux lourd et souple. Ils sont suffisamment long pour qu'ils soient naturellement mais légèrement ondulés. J'adore ça, presque autant que les grattouilles dans le cou. Je crois qu'on reste comme ça pendant une dizaine de minutes . Ne sentant plus la Terre tournée, je décide de me relever. Je la libère de mon emprise et recule de quelques pas. Je vais déjà mieux, et j'ai les idées un peu plus clair.
« - Pour la musique je ne pourrais pas t'aider, les musiques que j'écoute auront sûrement une instrumental trop aigu. D'ailleurs, comment ça se fait que tu ais déjà des problèmes d'audition à ton âge ? »
Elle semblait avoir du mal à répondre, comme si sa gorge lui faisait mal. Désolé jeune fille, je n'ai jamais eu ce genre de problème grâce à mon pouvoir, mais je ne peux pas te soigner. Je ne sais pas si je pourrais utiliser mon pouvoir sur les autres un jour, probablement pas. Je m'approche d'elle et pose ma main sur son épaules.
« - Ça va ? Tu veux rentrer chez toi ? »
Cette fois c'est moi qui lui frotte l'épaule, et oui ma petite, les rôles sont inversés. Etant donné que j'étais dans le mal absolu et maintenons c'est ton tour, on peut dire que c'est une sortie ratée. Tant pis, on sortira de nouveau une prochaine fois.
« - T'inquiètes pas, si tu ne veux pas que je saches où tu habites je ne te suivrais pas, dis-je en rigolant, je comprendrais que tu ne veuilles pas qu'un alcoolo traine sur ton palier. »
« - Ha ! Enfin un francophone … tu peux pas savoir comme ça m'a manqué. Comme tu peux l'entendre je viens de Belgique, je suis arrivé en Angleterre il y a un an un peu près. Et là, euh … »
Je ne peux décemment pas lui parler de l'Académie ni de mes capacités.
« - … je suis en recherches d'emploi. »
C'est tout ce que j'ai trouvé à lui dire ...
Elle fait des boucles dans mes cheveux lourd et souple. Ils sont suffisamment long pour qu'ils soient naturellement mais légèrement ondulés. J'adore ça, presque autant que les grattouilles dans le cou. Je crois qu'on reste comme ça pendant une dizaine de minutes . Ne sentant plus la Terre tournée, je décide de me relever. Je la libère de mon emprise et recule de quelques pas. Je vais déjà mieux, et j'ai les idées un peu plus clair.
« - Pour la musique je ne pourrais pas t'aider, les musiques que j'écoute auront sûrement une instrumental trop aigu. D'ailleurs, comment ça se fait que tu ais déjà des problèmes d'audition à ton âge ? »
Elle semblait avoir du mal à répondre, comme si sa gorge lui faisait mal. Désolé jeune fille, je n'ai jamais eu ce genre de problème grâce à mon pouvoir, mais je ne peux pas te soigner. Je ne sais pas si je pourrais utiliser mon pouvoir sur les autres un jour, probablement pas. Je m'approche d'elle et pose ma main sur son épaules.
« - Ça va ? Tu veux rentrer chez toi ? »
Cette fois c'est moi qui lui frotte l'épaule, et oui ma petite, les rôles sont inversés. Etant donné que j'étais dans le mal absolu et maintenons c'est ton tour, on peut dire que c'est une sortie ratée. Tant pis, on sortira de nouveau une prochaine fois.
« - T'inquiètes pas, si tu ne veux pas que je saches où tu habites je ne te suivrais pas, dis-je en rigolant, je comprendrais que tu ne veuilles pas qu'un alcoolo traine sur ton palier. »
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
La migraine s'est évaporée face aux médicaments. Et Achille est bien plus audible qu'avant. Je n'avais jamais entendu l'accent belge... C'est agréable. Comme instantanément amical.
Recherche d'emploi ?! Ah ! C'est vrai que les élèves majeurs peuvent suivre les cours en prenant un boulot. Enfin, ça ne veut pas dire que c'est un élève pour autant. D'un autre côté, trouver quelqu'un qui ressemble autant à une des étudiants en ville, ça serait une drôle de coïncidence...
Il se relève. Dommage. J'étais bien moi : il me tenait chaud.
Sinon, j'aimerai bien participer à la conversation, mais mes cordes vocales sont toujours hors-service. << Mes problèmes d'audition, c'est à cause d'une sombre histoire d'enceintes >>, j'aurais répondu en riant sans raison.
- Ça va ? Tu veux rentrer chez toi ?
La main sur l'épaule me surprend un peu. Mon bras et mon dos se sont raidis d'un coup. N'empêche, c'est dingue ce qu'il est rassurant une fois qu'il a dégrisé !
J'amène aussi la main sur mon épaule et acquiesce.
- T'inquiètes pas, si tu ne veux pas que je saches où tu habites je ne te suivrais pas, je comprendrais que tu ne veuilles pas qu'un alcoolo traîne sur ton palier.
Ah mais nan ! Tu vas pas me laisser toute seule ! Je sais déjà pas comment je suis arrivée, comment veux-tu que je saches comment rentrer ? Etudiant ou pas, à la guerre comme à la guerre, je vais pas me re-perdre !
En ouvrant la bouche, je tousse tellement que mes yeux larmoient.
- T'es sympa comme alcoolique, je réponds d'un voix très enraillée. Tant que tu gueules pas trop, je m'en fous que tu sois sur mon palier... Je me rappelle plus des rues, tu saurais pas où elle est l'académie Tsuki ?
Recherche d'emploi ?! Ah ! C'est vrai que les élèves majeurs peuvent suivre les cours en prenant un boulot. Enfin, ça ne veut pas dire que c'est un élève pour autant. D'un autre côté, trouver quelqu'un qui ressemble autant à une des étudiants en ville, ça serait une drôle de coïncidence...
Il se relève. Dommage. J'étais bien moi : il me tenait chaud.
Sinon, j'aimerai bien participer à la conversation, mais mes cordes vocales sont toujours hors-service. << Mes problèmes d'audition, c'est à cause d'une sombre histoire d'enceintes >>, j'aurais répondu en riant sans raison.
- Ça va ? Tu veux rentrer chez toi ?
La main sur l'épaule me surprend un peu. Mon bras et mon dos se sont raidis d'un coup. N'empêche, c'est dingue ce qu'il est rassurant une fois qu'il a dégrisé !
J'amène aussi la main sur mon épaule et acquiesce.
- T'inquiètes pas, si tu ne veux pas que je saches où tu habites je ne te suivrais pas, je comprendrais que tu ne veuilles pas qu'un alcoolo traîne sur ton palier.
Ah mais nan ! Tu vas pas me laisser toute seule ! Je sais déjà pas comment je suis arrivée, comment veux-tu que je saches comment rentrer ? Etudiant ou pas, à la guerre comme à la guerre, je vais pas me re-perdre !
En ouvrant la bouche, je tousse tellement que mes yeux larmoient.
- T'es sympa comme alcoolique, je réponds d'un voix très enraillée. Tant que tu gueules pas trop, je m'en fous que tu sois sur mon palier... Je me rappelle plus des rues, tu saurais pas où elle est l'académie Tsuki ?
Re: Rencontre quasi-improbable [PV Achille]
Ah bah merde, moi qui croyais avoir rencontré quelqu'un de lambda ... c'est raté. Finalement on en revient toujours à l'académie. C'est fou, je suis arrivé depuis très peu de temps et j'ai déjà l'impression qu'une fois rentré à Tsuki il est impossible d'avoir une vie en dehors. Tout se ramène toujours à Tsuki. Bon l'avantage c'est qu'on pourra se revoir.
Mais attends ? Si elle me parle comme ça de l'académie, c'est qu'elle m'a probablement déjà vu là-bas. En général on évite d'en parler en public pour pas trop attirer l'attention, donc je ne pense pas qu'elle dirais cela à un parfait inconnu. Traduction : Elle m'a déjà remarqué ! Aaaah, ça fait plaisir.
"-C'est pas dis que je retrouve le chemin mais je peux toujours essayer."
Et nous nous mettons en route, moi le guide presque sobre et elle avec son extinction de voix. Pour lui éviter d'avoir à trop parler je me lance dans un monologue, lui racontant mon départ de Belgique, mon année à vivoter çà et là en Angleterre, puis mon arrivé. Le tout ponctué d'anecdotes drôles et/ou salaces. Je ne sais pas si c'est dû à mon pouvoir mais les effets de l'alcool sont très limités dans le temps. Comme si mon corps décuvait très vite. Au fur et à mesure de notre marche je deviens de plus en plus lucide jusqu'à être complétement remis sur pied. Au moins je pourrais avoir une discussion plus sensée avec elle. On commence à distingué le bâtiment au loin. Dis-moi Tsuki, quel genre de rencontres tu me réserves encore ?
Mais attends ? Si elle me parle comme ça de l'académie, c'est qu'elle m'a probablement déjà vu là-bas. En général on évite d'en parler en public pour pas trop attirer l'attention, donc je ne pense pas qu'elle dirais cela à un parfait inconnu. Traduction : Elle m'a déjà remarqué ! Aaaah, ça fait plaisir.
"-C'est pas dis que je retrouve le chemin mais je peux toujours essayer."
Et nous nous mettons en route, moi le guide presque sobre et elle avec son extinction de voix. Pour lui éviter d'avoir à trop parler je me lance dans un monologue, lui racontant mon départ de Belgique, mon année à vivoter çà et là en Angleterre, puis mon arrivé. Le tout ponctué d'anecdotes drôles et/ou salaces. Je ne sais pas si c'est dû à mon pouvoir mais les effets de l'alcool sont très limités dans le temps. Comme si mon corps décuvait très vite. Au fur et à mesure de notre marche je deviens de plus en plus lucide jusqu'à être complétement remis sur pied. Au moins je pourrais avoir une discussion plus sensée avec elle. On commence à distingué le bâtiment au loin. Dis-moi Tsuki, quel genre de rencontres tu me réserves encore ?
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