[Event] Spooky Scary Halloween {Groupe 2}

par **Yahiko** Mar 01 Nov 2016, 12:05

Cela fait déjà une semaine que des choses étranges se produisent à l’académie Tsuki. Si au départ, cela pouvait paraitre anodin, très vite les différents événements inexplicables se multiplièrent. Des objets disparaissaient, des courants d’air froids vous faisaient soudainement frissonner, des voix lointaines se faisaient entendre dans les couloirs sans qu’on sache qui parlaient, des fenêtres claquaient ou se couvraient de givre, des portes s’ouvraient et grinçaient et plus la semaine avançait plus cela se produisait. Mais en ce jour, quelque chose de plus étrange encore vous réveilla ou alerta pendant la nuit. De la musique. Une musique de bal se faisait entendre un peu partout dans l’académie et semblait venir de plusieurs endroits à la fois. Vous décidez de suivre les notes musicales, poussé par votre curiosité. Elles vous guident jusqu’au couloir de l'académie. Cependant vous sentez que ce n'est pas le lieu exact et c'est quand vous arrivez, en même temps que d'autres élèves, devant la porte des toilettes de l'académie que vous en êtes sûr ! Vous rentrez à l'intérieur pour trouver une pièce sombre et froide. Sur les murs comme des ombres se dessinent et parcourent la pièce. Au plafond un voile blanc... ou deux, voir plus se baladent. Des fantômes ? Ça n'existe pas voyons ou plutôt ça n'existait pas ! C'est à ce moment qu'un grincement ce fit entendre avant que la porte ne se ferme définitivement derrière vous.

par Invité Mar 01 Nov 2016, 14:22

Spooky Scary Halloween

Ce soir c'était Halloween... enfin je dis ce soir, mais ici.. cela faisait déjà un moment que les choses avaient tourné au mystique. Je sais bien qu'ici avec tout les pouvoirs qu'on pouvait trouver, les petites blagues pouvaient sembler normales, mais il y avait dans l'air une sensation étrange, des fois fois j'avais l'impression d'être dans un film d'horreur... même si des fois on m'a prise pour Sadako.. je veux bien croire que mon look est assez sombre, mais de là à me prendre pour l'esprit d’une fillette japonaise... Ces événements semblaient devenir de plus en plus répétitif et en s'accentuant, jusqu'à aujourd'hui.. jusqu’à ce soir.

Pour l'occasion de la traditionnelle fête, j'avais un simple maquillage de style "Sugar Skull", couplé avec mon look, je pouvais avoir une chance d'être effrayante.. ou très belle fallait voir les avis. Bref j'étais là à errer dans les couloirs... tel un fantôme, mais je ne semblais pas être la seule. Une musique, qui normalement m'aurais ravie, résonnait dans l'académie ; une musique de bal, en temps normal j'aurais sorti mes plus belles robes pour participer à un événement aussi raffiné... mais là quelque chose n'allait pas, je ne saurais pas comment l'expliquer, mais cette musique semblait venir réellement d'une autre époque, d'un autre endroit, pourtant c'était bien ici, dans l'académie que semblait se dérouler ce bal. À l'oreille on aurait même dit que la musique venait de plusieurs endroits dans l'académie, je me suis donc dirigée vers la source la plus proche de moi, elle semblait venir de quelques couloirs plus loin. Je me suis donc mise en route pour trouver une réponse à ce mystère, je me suis retrouvée devant la porte des toilettes, d'autres personnes se sont joint à moi, elles devaient se demander ce qu'il se passait ici ; une fille, un enfant.. je ne saurais dire si c'était une fille ou un garçon, ses traits ne sont pas évident à lire et un... vieux ? Enfin non je ne sais pas, il semblait jeune mais complètement décoloré. je ne savais pas vraiment quoi faire face à cette porte, mais je devais savoir. J'ai donc simplement ouvert et poussé la porte sans entrer dans un premier temps, ce qui n'a pas empêché un air presque glacial de nous traverser... La première chose que j'ai vu était insensée, des ombres dansaient sur les murs. Je ne pouvais me risquer à entrer seule... J'ai donc agrippé le bras du seul homme du groupe.

-À trois nous y allons !!

Je n'ai même pas commencé un décompte et je me suis engouffrée avec lui dans les toilettes, là je n'ai même plus porté mon attention sur lui, mon regard fixé au plafond observant des sortes de voiles blanc. Après un petit instant j'ai entendu les deux autres rentrer et un grincement, suivi d'un claquement de porte.

-Des fantômes... sérieusement ??

C'est tout ce que j'ai trouvé à dire sur le moment, plus déboussolée qu'effrayée.

@ pyphi(lia)

par Désirée Vermeil Mar 01 Nov 2016, 17:40

En gros, j'étais sortie, j'étais revenue la nuit avec quelques grammes dans le sang. Voilà, rappelez-moi de rajouter des détails après... EN FAIT NON JE NE LE FERAI PAS. Du coup, j'étais rentrée tranquille, et avant même que je n’atteigne ma superbe chambre, j'entendis une SUBLIME MÉLODIE ! Intriguée, j'ai décidé d'en chercher la source comme TOUTE PERSONNE CENSÉE QUAND IL SE PASSE DES TRUCS CHELOUS DANS SON ÉCOLE DEPUIS UNE SEMAINE. Bref, j'avais vu des gens au niveau des toilettes, et donc, forcément, j'y suis allée avec eux ! Je sais pas trop ce qu'ils faisaient devant les toilettes mais PEUT-ÊTRE QUE la musique venait de là. D'ailleurs c'était pas trop mon style de musique mais je vais pas mettre de jugement là dessus sinon on VA ENCORE ME CASSER LES COUILLES, ET MES ÉCRITS DE MERDE SONT DÉJÀ BIEN ASSEZ LONGS ET CHIANTS À LIRE MDR. D'ailleurs, j'ai reconnu Loys à sa tête d'abruti. (tiens, si tu lis ça un jour fils de pute) ET DU COUP, COURAGEUSE COMME ELLE EST, une meuf s'est accrochée au Loys en question avant de rentrer suite à un magnifique "À trois nous y allons" alors que concrètement cette connasse n'a même pas commencé à compter. PUTAIN MAIS COMMENCER BORDEL DE MERDE, RIEN QUE ÇA, elle, niveau cohérence c'est zéro... HO UNE AMIE MDR ! Bref, pour en revenir à ça, moi, il me restais que la gamine là, elle avait l'air zarb en plus mdr. Bref, j'ai poussé la petit dans la salle parce que je suis une connasse, et je suis rentrée moi même après. Tout le monde a levé la tête genre "WAAAAAAAAOOOOO QUE C BO !" et surtout, pour la même meuf qui avait l'air d'être la seule à savoir parler "Des fantômes... sérieusement ??" NAN PAS SÉRIEUSEMENT, C'EST UNE BLAGUE, BON ANNIVERSAIRE CONNASSE. Là, croyant que j'écoute qui que ce soit, vous me direz "MAIS LIZZIE, CE SONT DES FANTÔMES ! TU DEVRAIS AVOIR PEUR !" Hé bah écoutez-moi bien, la seule chose qui me fait peur ici, c'est la tête de Loys, rien de plus. Du coup, comme moi je ne crains NI LA MORT NI LA SOUFFRANCE, j'ai saisi les deux mains de la p'tite gamine, et j'ai commencé à la faire tourner autour de moi en chantant "YOU SPIN ME RIGHT ROUND BABY RIGHT ROUND LIKE A RECORD BABY RIGHT ROUND ROUND ROUND !" Avant que ses mains ne m'échappent et que je me casse la gueule par terre. Putain j'devais avoir l'air conne mais JE NE REGRETTE RIIIIIIIIIIIEEEEEEEEEEEEEN ! NI LE BIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN QU'ON M'A FAIIIIIIIIIIIIIIIT, NI LE MAAAAAAAAAAL, TOUT ÇA M'EST BIEN ÉGAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAL !

par Invité Mar 01 Nov 2016, 21:09

Les examens étaient passés depuis quelques jours maintenant, mais il était toujours aussi fatigué. Enfin fatigué dans un sens bien à lui puisque, comme le sommeil lui était interdit, il ne pouvait ressentir de fatigue comme tout le monde. Mais il avait une certaine forme de lassitude mentale qui l’accablait. Bien que ceci fût éprouvant pour lui ; d’un certain côté, il en retirait un sentiment d’accomplissement qui le grandissait et le confortait dans son rôle de professeur. Tout, c’était bien déroulé, dans le sens où il n’y a pas eu de catastrophe ni de blessé. À noté quand même que bon nombre avait eu un découragement et avait finalement décidez de ne rien faire et d’attendre. Ceci restera une tâche sur le tableau de sa réussite, une teinte amère qui lui rappelait la paresse était un fléau dans les rangs de ses élèves.

Daniel reposant sa plume dans son encrier et s’adossa à son fauteuil. Quelque chose, une pensé habitait son esprit. Depuis peu, il y avait des événements assez étranges. Les élèves, notamment, se plaignaient de disparitions d’objets, et de plein d’autres événements inexpliqués. Mais pas forcément inexplicables. Pour sa part Loys sortait moins souvent faire ses promenades nocturnes depuis le début de tout ceci. Il ne le montrait ni ne l’avouait pas, mais il était très superstitieux. Ceci à cause de son époque natale certainement. Il se leva pour se servir une tasse de thé sur la table, mais une fois la théière en main, il entendit un bruit étrange. Il se leva pour se servir une tasse de thé sur la table, mais une fois la théière en main, il entendit un bruit étrange. Des notes de musique… Une musique de bal qui plus est ? Le soir d’Halloween ? De deux choses, l’une, soit il avait raté l’information qu’un bal à thème avait lieu à l’académie, soit de jeunes gens profitait de la nuit pour aller faire quelques activités nocturnes prohibées. Il y avait une troisième option, mais Daniel préféra la taire de son esprit. C’est donc dans l’idée et l’espoir de trouver des fauteurs de troubles qu’il attrapa sa canne et parti vêtu d’une chemise couleur citrouille sur un gilet noir. Son écharpe aussi était noire et finalement, son pantalon moulant en coton également, il n’y avait que ses baskets qui encore une fois sortait du cadre de tout son accoutrement. Elle était Rose et violet à cause d’un accident de lessive, mais il les portait quand même.

Dans les bâtiments de l’académie, il suivait donc la musique. Après quelque fausse routes, il finit par arriver devant les toilettes des dames… Mais dieu pourquoi à t’il fallut que ce soit ce lieu entre tous ! Il ne pouvait décemment pas rentrer, c’était hors de question. Il cherchait une solution quand il remarqua plusieurs autres personnes avec lui. Sur les 3, il en connaissait 2. Lizzie et Cheshire. L’une par leur rencontre une nuit semblable à celle-ci, et l’autre au cours de l’examen. Lizzie, elle semblait toujours fidèle à elle-même avec son allure des plus… Et bien trop de choses pour être énuméré, mais l’ensemble était peu flatteur. Cette fois au moins elle n’avait pas de cigarette sur les lèvres. Elle dénotait énormément avec l’autre jeune femme, enfin l’autre, Lizzie n’avait de femme aux yeux de Daniel que son appartenance à la jante féminine. Cette Jeune femme donc, bien qu’elle portât un maquillage traditionnel, Hispanique ? Mexicain ? Elle avait une allure plaisante, bien tenue, et même si ses vêtements étaient sombre dans l’ensemble, elle dégageait une certaines aura qui ne saurait être trouvée chez la plus part. Elle s’était placée devant la porte et quand elle l’ouvrit, Daniel se rapprocha d’elle pour avoir une vue de l’intérieur. Un courant d’air horriblement froid passa entre eux. Qui avait bien put laisser les fenêtres ouvertes ? Des ombres se trouvaient sur les murs et semblaient danser par un jeu de lumière. La jeune femme qui était au côté de Daniel lui saisit le bras de manière tout à fait cavalière, et sans le regarder, elle prit les devants.

-À trois nous y allons !!

Sans prévenir et sans respecter son décompte, elle se jeta dans la pièce. Bien obligé d’aller à sa suite, Loys fut entrainé malgré lui dans la pièce. Il n’y avait rien de plus à y avoir… Sans compter les draps blancs qui étaient sur le plafond… Personne ne semblait bouger jusqu’à ce que Lizzie et Cheshire ne rentrent… Et que la porte ne se referme évidemment ! Mais bon sang qu’est-ce qu’il se passe ici ?

-Des fantômes... sérieusement ??

Daniel se retourna vers la jeune femme à son bras, l’air incrédule. Non les fantômes ne peuvent exister… n’est-ce pas ?

"YOU SPIN ME RIGHT ROUND BABY RIGHT ROUND LIKE A RECORD BABY RIGHT ROUND ROUND ROUND !"

Mais qu’avait encore cette hystérique ! Daniel se retourna aussi sec pour ordonner le calme.

« Il suffit de vos enfantillages ! Et laissez donc cette enfant en paix bon sang ! »

À peine eu t’il le temps de finir ses mots que Lizzie tomba à la reverse et qu’il se plaça prêt à saisir la jeune Saphir si elle en venait à perdre l’équilibre aussi. Bien fait pour cet écervelé. Plus il la voyait plus il pensait que ça place était une cellule d’isolement avec quelques Électrothérapie. Même si les pratiques avaient évolué la méthode bien que barbare avait était conservé dans un pratique plus douce, preuve que l’efficacité était bien présente. En tout cas, ceci avait mis le professeur dans une humeur assez peu propice à la plaisanterie.

Il leva sa canne pour tenter de toucher les draps sur le plafond, mais il ne parvenait pas à les atteindre. Exaspéré, il poussa un soupir et se dirigea vers la porte en exprimant son idée.

« Rien ne nous oblige à assister à cette blague de mauvais goût ! J’en ai assez vu. »

Posant la main sur la poigne, il tenta de l’ouvrir.

par Chester Mer 02 Nov 2016, 14:20

Spooky Scary Halloween

Je suis sur le point de me coucher mais j'entend une étrange musique. De la musique de bal ? Etrange. Et si c'était encore ce farceur qui nous faisait encore une blague ? Je vais quand meme aller vérifier et peut-etre que je trouverai la personne qui nous fait ces blagues. Je me change parce que j'ai pas envie de sortir en pyjama et en chat. Je porte un gilet a capuche, un t-shirt, un short et des baskets enfin les habits que je porte d'habitude. Je vais vers la musique. Le bruit venait....des toilettes ? Euh y'avait pas meilleur endroit pour faire des farces ? Devant la porte se trouve 3 personnes. Je ne connais pas les deux élèves mais il me semble que l'adulte enfin je crois que c'est un adulte soit Mr. Loys. L'une des deux élèves porte...euh en faite je sais pas ? On dirait les squelettes en Espagne, c'est assez jolie. La fille au masque ouvre la porte des toilettes. D'ailleurs on dirait presque un film d'horreur. C'est jamais bon d'ouvrir une porte dans les films d'horreur mais si on n'ouvre pas la porte l'histoire n'avance pas. Bon c'est pas comme si on était dans un film d'horreur. Je jette un petit coup pour voir des ombres. Et c'est censé nous faire peur ? Des ombres on en voit tout les jours mais bon pour avoir vraiment peur il faudrait entrer. La fille au visage squelettique s'accroche au bras de Loys et dit :

"À trois nous y allons !!"

Elle entre sans meme compter. Il ne reste que moi et l'autre fille. Je reste pendant un instant devant la porte et regarde de droite à gauche. Finalement la fille me pousse à l'intérieur et entre à son tour. La porte se referme. Roh c'est pas drole. A l'intérieur il y a des voiles blanc. La fille au visage squelettique répondit :

"Des fantômes... sérieusement ??"

Euh des fantomes j'en doute fort. Personne n'est mort dans l'académie, non ? C'est pas comme si l'académie avait un sombre passé, si ? Bon je commence a douter de moi. La fille de tout à l'heure me prend les mains et me fait tourner autour d'elle. Je commence à avoir le tourni. Elle commence a crié :

"YOU SPIN ME RIGHT ROUND BABY RIGHT ROUND LIKE A RECORD BABY RIGHT ROUND ROUND ROUND !"

Wah mes mains commencent a glisser. Le professeur Mr. Loys nous répondit :

"Il suffit de vos enfantillages ! Et laissez donc cette enfant en paix bon sang !"

Nos mains finissent par lâcher. La fille tombe et qu'en a moi Mr. Loys me saisi pour que je ne tombe pas, enfin je crois que c'est pour ca.

"Rien ne nous oblige à assister à cette blague de mauvais goût ! J’en ai assez vu"

Il avait raison. Moi je veux voir comment cette histoire va finir. Pendant que le professeur essaye d'ouvrir la porte je vais essayer d'attraper ces draps. Je prends de l'élan et fonce droit sur le mur. En m'appuyant du mur je saute puis fait salto arrière et attrape un drap.

(c) Rin sur Epicode

par Invité Mer 02 Nov 2016, 16:50

Alors que l'enseignant tente d'ouvrir la porte, la poignée résiste comme si elle était fermement tenue par une force surnaturelle. Elle tourne, mais la porte reste fermée. Sa tentative d'atteindre les draps s'est montrée peu fructueuse, cependant, Cheshire parvient à retirer l'un des draps. En apparence, on dirait un drap blanc bien ordinaire... Sauf qu'il semble y avoir des taches rouge-brunâtre dessus. En fait... Les murs semblent étrangement sales. N'étaient-ils pas blancs d'habitude? Considérant que nos protagonistes sont prisonniers, une inspection des lieux s'impose...

par Invité Sam 05 Nov 2016, 16:49

Actionnant le mécanisme, Daniel fut soulagé quand il put tourné la poignée, mais tout autant désabusé quand il ne put ouvrir la porte. Quelque-chose bloquait le battant, donc la porte aurait été fermée par quelqu'un qui aurait ensuite entraverl'ouverture afin de les laisser piégé... C'était le plus logique non ? S'il tombait sur l'auteur de cette manigance, il allait prendre grand plaisir à inculqué le savoir vivre et le respect des règles à qui de droit. Pour le moment, retenant un soupir de frustration, il se tourna vers ses élèves le visage assuré, mais ne disant rien. Il était incertain qu'il trouve les bons mots pour rassurer les jeunes personnes présente, surtout Cheshire. Il ne la connaissait pas particulièrement, mais son jeune âge laissait à penser qu'elle serait la plus susceptible à la panique., bien qu'elle ai attrapé un des draps sans aide.

Draps qui avait une allure des plus déplorables, il était imbibé d'un miasme repoussant... Après une rapide vérification, il sut que celui-ci venait des murs, qui en étaient tout autant recouverts. Fronçant le nez de dégoût, il passa un de ses doigts sur le mûr le plus proche afin de vérifier la propriété de cette substance dégoûtante. Il ne savait trop que penser de son analyse pour le moment et arriva une idée dans son esprit. S'il faisait si froid ici, les fenêtres devaient être ouvertes, et donc une échappatoire se trouvait peut-être à porté.

Saisissant sa canne sous le pommeau, il pressa le pas pour se diriger vers la cabine la plus éloignée et l'ouvrit, pensant trouver une fenêtre au-dessus du sanitaire, qui avec une certaine dose de chance et de prière, serait ouverte.

par Chester Dim 06 Nov 2016, 07:50

Spooky Scary Halloween

C'était facile de l'enlever. Ce n'est qu'une farce mais justement où est le farceur ? En y regardant de plus près je remarque que le drap est taché d'une étrange substance. Qu'est-ce que c'est ? Je n'arrive pas bien a distinguer puisqu'il fait tout noir. On dirait du sang coagulé ? Non ce n'est pas, n'est-ce pas ? Ma main tremble. Du sang comme cette fois-là. Je dois me ressaisir ca n'a pas la meme odeur que du sang. Je pourrais allumer mon téléphone mais j"ai peur de découvrir réellement ce qu'il y a. Je repense a mon frère. Un jour le Lapin Blanc m'a dit : Si tu as peur ferme les yeux et saute comme un Lapin. Je lui ai répondue : Un chat ne saute pas mais j'ai compris. Je ferme les yeux et allume mon téléphone en direction des murs pour ne pas éblouir les autres. Je tiens ma clochette que j'ai autour du cou et ouvre les yeux. J'entends des bruits de pas et tourne mon téléphone. Ah c'était simplement Mr. Loys. Mince j'ai du l'éblouir avec la lumière de mon téléphone. Je chuchote en bafouillant :

"Pa-pardon"

Je regarde le drap avec plein de taches. Je regarde ensuite le plafond et les murs pour savoir d'où proviennent les taches.

(c) Rin sur Epicode

par Invité Mer 09 Nov 2016, 15:05

Spooky Scary Halloween

J'ai baissé mon regard du plafond après avoir aperçu la canne de l'homme du coin de l’œil, il avait essayé de faire descendre les draps visiblement, sans réellement y arriver. J'étais toujours perdu dans mes pensées, ne pouvant croire ce qui se passe, sérieusement les fantômes existent ? Je ne savais pas quoi penser, je n'avais aucune raison d'avoir peur pourtant, je me disais que si ces esprits étaient vraiment dangereux, ils nous auraient attaqué à l'instant où la porte s'est refermé. D'ailleurs en parlant de la porte... je me suis retournée pour voir que l'homme s'essayait à l'ouvrir, visiblement cela ne marchait pas du tonnerre, il n'a pas l'air très doué dans ce qu'il entreprend, au même moment et en un instant la petite nous a réalisé un enchaînement acrobatique du plus bel effet pour venir attraper un drap.

L'homme est alors revenu vers nous pour inspecter le drap ; le tissu était recouvert d'une substance dégoûtante, on aurait dit du sang ou alors une peinture qui aurait mal vieillit je n'allais surtout pas y toucher... exactement comme venait de faire l'homme avec les murs... eux aussi étaient bien sales... et dégoûtants.

Je me suis remise à regarder le reste des draps flotter au plafond... et là une lumière m'a sorti de mon observation, c'était quoi ? Oh... ce n'était que le téléphone de la petite.

"Pa-pardon"

J'ai alors aperçu l’homme qui s’avançait pour ouvrir la porte d'une des cabines, était-il curieux ?.. J'étais aussi curieuse de voir ce qui pouvait se cacher là dedans, je me suis alors dirigée vers lui en pressant le pas.... et c'est là que j'ai glissé, je ne sais pas comment, venant atterrir dans le dos du curieux nous poussant tous les deux dans la cabine qu'il venait d'ouvrir. J'ai simplement pu le prévenir que trop tard de la collision en criant presque à l'instant de l'impact :

"ATTENTION"

@ pyphi(lia)

par Invité Ven 11 Nov 2016, 05:56

Carly glissa et tomba sur le dos de Mr Loys. Ce dernier, ayant ouvert la porte de la cabine des toilettes manque de peu de tomber, mais peut se retenir en mettant les mains sur les murs. Heureusement parce que la toilette est pleine d'une substance séchée répugnante. En retirant ses mains du mur, le professeur Loys remarque grâce à la lumière du téléphone de Cheshire que ses mains sont écarlates. Pourtant, à première vue, les murs sales sont tout de même secs. Carly peut sentir le plancher glissant, même si elle ne remarque pas la cause. Elle a l'impression aussi d'avoir du mal à avancer, comme si elle pataugeait dans du liquide. Sur le mur en face du professeur il y a l'inscription: Votre temps est compté.

Saurez-vous trouver la source de cette menace invisible?

par Invité Mar 15 Nov 2016, 13:26

En se dirigeant vers son but, d’un pas décidé, Daniel fut surpris par une lumière vive qui lui brûla un peu les yeux. La petite Cheshire avait son téléphone de poche braqué sur son visage. Il leva une main pour s’en protéger quand l’enfant s’excusa. Gardant des taches dans son champ de vision il se demandait comment un si petit appareil pouvait produire une lumière si forte. Et surtout ce n’était pas une lampe mais un téléphone, était-ce normal ? Il avait encore des choses à apprendre avant d’être bien à l’aise avec les choses de cette époque.

« Ce n’est rien jeune demoiselle, mais j’apprécierais si vous pouviez ne pas éclairer directement mon visage avec votre appareil. »

Clignant des yeux il reprit ça route et ouvra la porte du cabinet. Au même instant il entendit la voix de la jeune femme qui portait son masque de maquillage.

« "ATTENTION" »

Daniel n’eut pas le temps de se retourner et subit l’impact d’un corps sur le sien le frappant dans le dos. Déséquilibré, il fut obligé de s’aider de ses mains pour forcer sur les parois de la cabine afin de ne pas être entrainé au sol. Et fort heureusement, car il sentit quelque chose qui recouvrait les parois entacher ses mains quand il les posa. Une fois stabilisé, il se retourna vivement sur lui-même afin d’apercevoir dans son dos qui avait pu le percuter de la sorte. C’était bien la jeune femme aux habits sombre qui s’était retenu à lui pour ne pas tomber, nullement une attaque d’un quelconque garnement qui aurait eu l’idée de le piéger dans la cabine. Il se détendit à cette nouvelle, tout crisper qu’il était-il se sentait prêt à exploser. Il porta à la jeune femme un regard soulagé et amusé.

« Et bien si vous êtes si prompte aux contacts, pourriez-vous en profiter pour me donner votre nom. Mademoiselle… … ? »

Laissant la fin de sa phrase en suspens, il l’aida à se remettre sur ses pieds et l’invita à se présenter par son silence. Une fois fait il lui adressa un sourire et repris son action ou il en était, explorer la cabine. Elle était recouverte d’une matière inconnue mais qui paraissait sèche. Elle avait une allure des plus repoussantes, l’état de ces toilettes était immonde. Si il attrapait les scélérats qui sont à l’origine de tout ceci, il entendait bien les obliger à nettoyer avec une simple brosse à dent. Pourtant quelque chose le frappa, si la matière était sèche, pourquoi avait-il du miasme sur une partie de ses mains ? Profitant de l’éclairage de la jeune Cheshire, il porta son regard sur ses mains. Elles étaient écarlates, visqueuse, et dieu sait quoi d’autre. Il décidait de promptement stopper son analyse, le résultat préliminaire le laissant à penser que c’était du sang. Désormais il espérait encore plus fermement que tout ceci était une farce. Sinon quelqu’un avait eu de gros problèmes à cet endroit. Peut-être le Narok Devos avait une part de responsabilité dans cette histoire ? Lui qui contrôlait le sang il faisait coupable tout désigné. Ou bien Lucy White ? Ou encore … plein d’autre personne en fait. Plus il poussait sa mémoire et sa réflexion sur les pouvoirs ayant permis ceci, plus la liste devenait affreusement longue. Finalement, ce pouvait être presque n’importe qui. HA QUE CELA CESSE ! Il en avait soupé de toutes ses inepties ! Jetant un dernier coup d’œil dans la cabine, quelque chose apparaissait à sa vue qu’il ne pensait pas avoir remarqué avant.

Votre temps est compté.

Cette fois malgré son sang-froid et la présence de ses élèves qui l’aidait à garder le cap, il commençait à paniquer. Revenant dans l’allée entre les cabines il prit la parole.

« Bon écoutez-moi, il nous faut trouver une solution pour partir dans les meilleurs délais. Je ne sais pas qui nous joue ce mauvais tour, mais il a visiblement prévue un temps limite à ceci. Je ne préfère pas attendre de voir qu’elles autre surprise nous sont réservées. Alors prenons les devants. »

Retournant son attention vers les cabines, il entreprit d’ouvrir toutes les portes une par une pour trouver quelque indices ou nouvel éléments que ce soit. N’importe quoi qui pourrait les aider à comprendre.

par Désirée Vermeil Mer 16 Nov 2016, 18:34

LE HALLOWEEN QUI FAIT TRÈS PEUR

Feat : DES GENS ADORABLES ! <3

« Bon écoutez-moi, il nous faut trouver une solution pour partir dans les meilleurs délais. Je ne sais pas qui nous joue ce mauvais tour, mais il a visiblement prévue un temps limite à ceci. Je ne préfère pas attendre de voir qu’elles autre surprise nous sont réservées. Alors prenons les devants. »

Disait Loys. Mais, comment ces quatre galopins en étaient-ils arrivés là ? En fait, j'ai vraiment, VRAIMENT, la flemme de résumer, et puis comme ça, ça fait MOINS DE CONTENU, ON EST OKÉDAC' ? OUAIS ? NICE ! EN PLUS ON PEUT MÊME RECYCLER MES PHRASES D'LA PAGE D'AVANT : genre "C D JA LON LOL" putain. Bon, du coup il s'est passé PLEIN DE TRUCS SUPER COOL ET SUPER INTÉRESSANTS ! Seulement, problème, j'ai la flemme de les résumer. Voilà, j'ai autre chose à penser parce qu'en fait JE VAIS PEUT-ÊTRE MOURIR LOL. En fait, moi nan, mais Abruti, Carly et Cheshire oui. 'ME D'MANDEZ PAS COMMENT J'CONNAIS LEUR NOMS J'AI DES RELATIONS. Bon, sauf pour Loys, lui avant même de lui avoir parlé on sait qu'il est stupide. C'est fou ; il a le physique de l'emploi ! C'est comme si c'était noté sur sa gueule que c'était un connard. Mais on va pas épiloguer sur lui putain PARCE QUE ÇA VA M'VÉNÈR UN TRUC DE GUEDIN DONC ON STOPPE TOUT ÇA DIRECT MAMEN. Bref, Loys il était tout tristounet et il avait peur de la suite. ATTENDS J'SUIS DÉSOLÉE QUAND TU DIS "HO J'AI PAS ENVIE DE SAVOIR LA SUITE !" C'EST CLAIREMENT QUE T'ES UNE PUTAIN DE FIOTTE ET QUE T'AS PEUR. LÀ IL A PEUR. Ha mais, je parle de Loys en fait, je voulais arrêter mais il est partout, IL EST PARTOUT, COMME LES BOUGNOULS ! "Ho, les blagues racistes c'est facile Lizzie, franchement bravo !" CAUSE TOUJOURS J'IRAI AU BOUT DE MES RÊVES LÀ OÙ LA RAISON S'ACHÈVE, HÉ OUAIS LES P'TITES PARENTHÈSES MUSICALES C'EST PAS FINIR PUTAIN, J'EN AI ENCORE PLEIN. Mais comme dirait l'autre : "Rien ne sert de courir pour qui sait attendre." Et le premier qui me dit "Ho bah, hé dis donc, holàlà, Lizzie, tu t'es trompée !" j'lui fais bouffer mon talon à c'fils de pute, ai-je bien été claire ? "CHEF OUI CHEF !" J'AI RIEN ENTENDU FILS DE PUTE "CHEF OUI CHEF !" VOILÀ, VOILÀ BORDEL DE MERDE LÀ ON VOIT QUE TU VIS TON TEXTE, TU VIS TA VIE AUSSI, SANS T'OCCUPER DES GRIMACES TOUT ÇA BIM, TA RACE, +1 RÉFÉRENCE MUSICALE POUR MOI. ET SI TU LA CONNAIS PAS, "SHAME ON YOU FACE YOU LITTLE SON OF A BITCH" PARCE QUE C'EST MÊME PAS DANS MA LANGUE MATERNELLE QU'ELLE EXISTE CETTE CHANSON DE MERDE. Ha ouais, 'faut qu'j'arrête les majuscules parce que c'est un peu comme la putain de grossièreté, tu vois, ça perd un peu de son PUTAIN DE CHARME QUAND ON EN USE TROP. ET LÀ J'EN USE BEAUCOUP TU VOIS. J'espère que tu vois en tout cas, sinon tu ne peux lire mes DÉLICIEUX ÉCRITS TA MÈRE LA PUTE.

"Bon, écoutez Monsieur Loys, c'est facile pour personne ici ! DONC PROPOSEZ DES SOLUTIONS OU BIEN ON VA Y PASSER ! VOUS DEVRIEZ SAVOIR QUOI FAIRE MONSIEUR !"

Lizzie saisit alors la personne la plus proche d'elle pour la secouer en criant "on va tous mourir". Mais là, lecteurs attentifs que vous êtes (j'espère que vous l'êtes sinon vous allez finir en steak tartare fissa) vous me direz "Lizzie, comment veux-tu qu'on sache qui est proche de toi puisque tu ne précises pas tes déplacements !" À ça je répondrai "ta gueule" dans un premier temps, et ensuite je te dirais que finalement, j'ai jamais vraiment quitté Cheshire. Nan mais vraiment, sauf quand elle s'est décidée à faire ses acrobaties, nan nan, pas de ça chez moi, je suis PAS D'CE BORD PUTAIN. Et puis tiens j'ai la flemme de continuer mon récit, contentez-vous de ça. T'façons j'ai tout dit, j'vois pas c'qui manque (à part le cerveau de Loy) "Mais c'est quoi cet acharnement verbal sur lui là ? HO LIZZIE TU TE CALMES !" NAN TOI TU T'CALMES FILS DE PUTE LES MAJUSCULES C'EST À MOI. T'FAÇONS J'FAIS C'QUE J'VEUX, J'SUIS LIBRE MAX, PUTAIN RÉFÉRENCE COMPTE DOUBLE PLUS RIEN NE M'ARRÊTERA, NOTRE AMITIÉ TRIOMPHERA ; ET BIM ! ENCORE UN POINT POUR MOI ! J'LES TRACE TOUS CES ENCULÉS ! J'SUIS TROP LA BEST TA RACE.

(c) Rin sur Epicode

par Chester Ven 18 Nov 2016, 21:32

Finalement ces toilettes ne sont pas si effrayante, ce sont de simple toilette enfin je crois. Le professeur Loys répondit à mes excuses :

"Ce n'est rien jeune demoiselle, mais j'apprécierais si vous pouviez ne pas éclairer directement mon visage avec votre appareil"

Je pointe mon téléphone vers le mur pour n'éblouir personne. J'en profite pour examiner les murs. Tiens ils ont une étrange couleur. Ils sont blanc normalement, non ? Une nouvelle peinture ? Ils ont fait des rénovations sans que personne ne le sache ? C'est peut-être dû à un pouvoir. Je pose ma main sur le mur. La peinture est sèche, alors d'où viennent ces tâches ? Il y a un grand vacarme vers les cabines :

"ATTENTION!"

Hein ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Ils ont vue quelque chose ? Je vais vers la vabine et les éclairent avec la lumière du télé phone. Je regarde et vois lq fille au visage squelettique sur le dos de Loys. Elle a dû glisser ou quelque chose dans le genre. Je soupir. Au moins on sait maintenant que le professeur Loys a de bon réflexe. Je suis un peu surprise par l'inscription sur le mur : Le temps vous est compter. Ce genre de menace ne me fait pas peur. D'un côté je ne pouvais m'empêcher de trouver ça amusant. Je souris. Je pars inspecter le plafond avec la lumière de mon téléphone. Le professeur Loys prit la parole :

"Bon écoutez-moi, il nous faut trouver une solution pour partir dans les meilleurs. Je ne sais pas qui nous joue ce mauvais tour, mais il a visiblement prévue un temps limite à ceci. Je ne préfère pas attendre de voir qu’elles autre surprise nous sont réservées. Alors prenons les devants."

Le professeur essaye d'ouvrir les portes des cabines. J'inspecte le plafond et le sol. La fille de tout à l'heure répondit au professeur Loys :

"Bon, écoutez Monsieur Loys, c'est facile "Bon, écoutez Monsieur Loys, c'est facile pour personne ici ! DONC PROPOSEZ DES SOLUTIONS OU BIEN ON VA Y PASSER ! VOUS DEVRIEZ SAVOIR QUOI FAIRE MONSIEUR !"

personne ici ! DONC PROPOSEZ DES SOLUTIONS OU BIEN ON VA Y PASSER ! VOUS DEVRIEZ SAVOIR QUOI FAIRE MONSIEUR !"

Il y a sûrement un moyen d'aller rapidement. Pour l'instant ce qu'ont peut faire c'est de chercher. Je regarde les lavabos et le miroir en passant.

Édit:

par Invité Ven 25 Nov 2016, 16:30

Monsieur Loys se dirige vers les autres cabines, ses pas plus lourds que d'habitude comme s'il avançait avec difficulté. Il essaie d'ouvrir les autres cabines, mais celles-ci restent fermées comme si quelque chose d'invisible les retenait. Cheshire, fidèle à son nom, découvre la vérité de l'autre côté du miroir. Elle voit son propre reflet et celui de la pièce: La pièce sombre est peu à peu en train de s'innonder d'un liquide rouge et visqueux, leur arrivant aux mollets. Les portes des cabines sont retenues par ce qui ressemble à des fils rouges, étrangement organiques. Sauf une, la cabine directement derrière Cheshire, qui semble porté une inscription en fluorescent. "Payez d'une partie de vous même".

par Chester Sam 26 Nov 2016, 20:35

Mon titre ici

J'ouvre le robinet en ne faisant pas attention au miroir. Après avoir fermé le robinet, je regarde le miroir. Je suis surprise parce que je vois. Hein ? Qu'est-ce que c'est ? Non c'est quoi ce liquide rouge ? Du-du du sang ? Je devrais peut-être les avertirs, non ? Non mauvaise idée, ils vont avoir peur, en plus ils vont le découvrir tôt ou tard. Je me demande ce que c'est ces files, on dirait un peu.....on dirait que ça appartient à un être vivant. Me dites pas que ça vient d'un cadavre, si ? C'est glauque et pourtant c'est classe. Enfin classe dans le sens on dirait un film d'horreur. Bon doit se dépêcher avant de finir noyé sous le sang. J'observe au dessus des cabines. Il n'y a qu'une cabine qui n'a pas de fil. C'est sur cette cabine. Sur la porte il y est écrit : "Payez d'une partie de vous même" J'ai peur. J'ai vraiment peur. Mes mains tremblent ainsi que mes jambes. Bon reprens ton calme, reprend ton calme. Je respire profondément et expire. Mes membres s' arrêtent de trembler. Payer d'une partie de nous même ? C'est-à-dire qu'il faut renoncer à un membre ou autre chose ? Je vais donner que dalle à ce farceur et je ne pense pas que les autres le feront. En tout cas il faut ouvrir cette porte mais.....est-ce que j'aurai le courage nécessaire pour l'ouvrir ? J'attend une minute. Je m'approche de la cabine et l'enfonce en fermant les yeux. Pourvue qu'un monstre ne sort pas de cette cabine.

(c) Rin sur Epicode

par Invité Sam 26 Nov 2016, 23:54

Futilité.... C'est le mot que Cheshire entends, prononcée par elle-même, dans sa propre tête, résonnant comme une écho lointaine alors qu'elle cherche à utiliser la force. D'un point de vue extérieur, Loys, Lizzie et Carly voient Cheshire faire un vol plané à la renverse. Pour elle, c'est comme s'il est avait ressentit son propre impact se retourner contre elle. Dans sa courte voltige, elle se voit à travers le miroir, attachée par les mêmes "fils" obstruant les autres cabines, mais venant cette fois de la substance visqueuse qui les menaçait à leur insu. Elle se sent entraînée en dessous. Tout ce que Loys et les autres peuvent voir c'est une Cheshire se débattant et s'étouffant. Elle ne voit pas le liquide, mais elle le sent et le goûte, l'étouffant alors qu'elle se noyait.

HORS JEU: Elle n'est pas morte, mais le temps presse. Chacune de vos actions comptent pour la sauver.

par Invité Lun 28 Nov 2016, 11:08

Poussant la première porte, il se trouva bien en peine dans ses efforts. La porte refusait de s'ouvrir comme si elle avait été barricadée. Daniel voulut vérifier ce qui empêchait d'ouvrir, il se pencha posant un genou et ses mains à terre afin de d'apercevoir l'autre côté de la porte par l'espace en dessous. Mais quand il pencha sa tête, il sentit quelque-chose se coller à son visage, à sa peau. Surpris et surtout sentant que quelque-chose n'allait pas, il releva la tête brusquement et porta ses mains à son visage. Elle revenait poisseuse, mais il ne semblait ne rien avoir sur ces dernières, par conséquent, il ne devait ne rien avoir sur son visage ? Mais il était certain de sentir une matière sur son visage, la sensation était poisseuse et dérangeante. Bien dissuadé de réitérer l'expérience, il se contenta de se relaver et de tenter d'ouvrir les portes suivantes. Aucune ne voulait s’ouvrir et se trouvait fermée de l'intérieur. Bon sang, mais que ce passe t-il ici ? Quel était le but de les empêcher d'aller dans une cabine ?

Réfléchissant, il observait la jeune Cheshire qui à part lui semblait bien avoir la conviction de faire quelque-chose, elle s’approcha d'une cabine sembla regarder quelque-chose sur la porte et finalement tenta de l'enfoncer avec son petit gabarit de fillette. Peine perdue, elle échoua dans son entreprise, mais un événement qui n'aurait pas dû être se produisit. Elle fut rejetée en arrière pas l'impact, mais avec une force anormale, suffisamment pour la projeter dans les airs et qu'elle passe devant Daniel, et un miroir. Il semblait avoir vu plus de choses dans le miroir que dans la réalité... Mais n'y pensant pas trop, il préféra s'avancer vers la petite qui semblait peiner de respirer, elle devait avoir le souffle coupé par sa chute. Il s'agenouilla et quand il avança la main vers elle pour l'aider à se relever calmement, il sentit que sa main plongea dans un liquide, maintenant qu'il y pensait quand il avait rapproché sa tête du sol, il avait senti un liquide étrange, et sa marche était gênée pour une raison qu'il ignorait jusque-là. Peut-être ? Peut-être y avait-il ce même liquide qui empêchait l'enfant de respirer ? Précipitamment, il plaça sa tête sur le torse de la fillette, il ne semblait pas pouvoir respirer non plus, oppressé par une étrange matière, épaisse et lourde. Il se releva, mais pourquoi ne se relevait-elle pas non plus ? Peut-être à cause de ce qu'il avait vue dans le miroir ? Mais tout, c'était passé trop vite, il n'avait pas pu voir ce qu'il avait exactement, ni même avait la certitude qu'il y avait quoi que ce soit.

Prenant le petit par le col et la ceinture, il la releva au niveau de son torse et changea ses prises pour la prendre dans ses bras, mais il ne semblait pas être le seul à la tenir, elle était très rigide, comme tenu par des liens invisibles. Il s'en occuperait après, si elle pouvait respirer, c'était le plus urgent.

« Alors jeune fille ? Racontez-moi.»

Il avait une voix rassurante et calme, comme un père qui rassure son enfant après un cauchemar, avec la certitude que tout allait bien, et que tout irait bien. Mais intérieurement, il était assailli par une strasse grandissant et sa nature superstitieuse commençait à prendre le dessus sur son bon sens et à peu près tout le reste.

par Chester Lun 28 Nov 2016, 21:08

Spooky Scary

Aïe j'ai vraiment mal. On dirait que j'ai donné un coup de pied à mon clone. C'est bizarre. En tombant j'ai l'impression que quelque chose me retient. Je peux voir grâce au miroir. Bon sang, dites-moi que c'est un cauchemar. Je suis plaqué au sol. Hein ? Je ne vois rien et pourtant. Ce liquide dans ma bouche et ces fils qui me retiennent sont bien réel. Ce miroir nous permet de voir les choses invisible à nos yeux ? S' il vous plaît aidez-moi. Le professeur Loys sort au moins ma tête pour que je respire. Je recrache ce liquide. J'ai vraiment failli mourir ? Je tousse. Ils ne doivent pas toucher cette porte, surtout pas. Le professeur me répondit :

"Alors jeune fille, racontez-moi"

Pour sortir payez avec une partie de nous même. Qu'est-ce qu'il va arriver à cette partie de nous même ? Si on ne paye pas, on va rester ici pour toujours ? Et les autres ? Mon bras est toujours dans le liquide. J'espère que mon téléphone est Waterproof. Je dois les prévenir. On trouvera une solution. Je réponds avec beaucoup de mal :

"Ne *kof kof* N'ouvrez pas *kof kof* N'ouvrez pas la porte. Le *kof kof* le miroir, regardez dans le miroir"

(c) Rin sur Epicode

par Invité Mar 13 Déc 2016, 13:04

Respirant enfin, la jeune demoiselle semblait aller mieux au grand soulagement de son professeur. Il prenait des airs sereins et tranquilles, mais en réalité il était au bord de la panique. S’il avait été seul, il aurait surement crié depuis longtemps. A grande peine, la petite parvient à parler.

"Ne *kof kof* N'ouvrez pas *kof kof* N'ouvrez pas la porte. Le *kof kof* le miroir, regardez dans le miroir"

Se mettant debout avec son élève toujours dans ses bras, il s’approcha du miroir comme il lui était demandé. Oui mais lequel ? Il fit un pas é réfléchi. Si ce n’était pas spécifié, alors il devait être évident qu’il saurait quand il serait en face du bon. Il fit un autre pas, vers le miroir le plus proche. Hésitant, il bougea un peu ses bras sous la petite pour s’assurer une prise ferme. Il ne savait pas trop ce que la jeune fille maquillée faisait, mais il était devait soit fouiller de son côté, soit, observer avec attention ce que faisait Daniel… Il fit un autre pas. Quand il eut la vision de la pièce entière recouverte de ce qui semblait être du sang, en tout cas, il liquide à l’aspect repoussant, il ne put réprimer un sursaut. Il avait un haut le cœur, toute cette ambiance lui donnait la nausée. L’instant suivant il s’aperçu que son élève était recouverte de cette infâme mixture, dégoulinante de la tête au pied, et lui aussi en avait plein de visage. Il commençait à respirer de plus en plus vite, bientôt haletant, s’efforçant de s’essuyer le visage avec ses manches toutes aussi engluées de ce qui deviendra sûrement le sujet d’angoisse futures. Son regard repassa dans le miroir, et ses yeux furent happés par une porte, qui comprenait une inscription.

"Payez d'une partie de vous même".

Mon dieu mais de quel jeux macabre sont-ils les pantins. Cheshire avait prévenue de ne pas ouvrir la porte, mais pourtant elle représentait leur seul sortie. La panique jouant certainement un grand rôle dans cette décision, il fit quelques pas vers la porte, ouvrir prestement sa canne pour dégainer sa lame fine, et replaçant son fardeau pour qu’elle tienne approximativement debout appuyée contre lui, il s’ouvrit la paume de la main. Serrant le poing pour faire couler le sang plus vite, il appliqua ensuite son main sur le battant de la porte, là où il se souvenait avoir vu l’inscription. Précipitamment, il dirigea aussi sa lame vers la petite Cheshire qui ne semblait toujours pas bouger. Il n’avait rien vu de plus dans le miroir, que la liquide qui la couvrait, mais peut-être y avait-il autre chose sous se miasme ? Dans tous les cas elle ne semblait être en dangers à cause de ça, et bien incapable de voir ce que c’était, il ne pouvait la libérer, sa priorité était ailleurs. D’un coup de lame près de sa nuque, il prit une mèche de cheveu à la petite, et la posa sur la porte là où restait la trace de sa main ensanglanté. Il ne restait plus qu’à prier le ciel que la porte s’ouvre et qu’une sortie se trouvait de l’autre côté. Il n’avait même pas prit le temps de s’excuser de ce qu’il venait de faire à son élève tellement il était concentré sur son unique objectif. Sortir… vivant de préférence.

par Invité Ven 23 Déc 2016, 04:37

Mr. Loys peut remarquer deux choses: La première et la plus évidente dans le miroir est la seconde réalité démontrée. Il se voit dans une pièce où une substance poisseuse rouge continue de monter lentement, menaçant de les noyer. La seconde chose qu'il remarque par la suite... Carly et Lizzie ne sont plus là. Elles ne sont ni visibles dans le miroir, ni de leur côté où la menace est invisible.

Cependant, il voit que son geste a porté fruit. Son sang et la mèche de cheveux de Cheshire semblent suffir à ouvrir la porte et à libérer la jeune fille de l'emprise des fils, la permettant de se relever. Elle est visiblement sans souillure, ainsi que lui-même, sauf dans le miroir bien sûr.

La porte s'ouvre, révélant une toilette ordinaire à première vue.

Il y a toutefois un audible: Clap, clap, clap... Comme quelqu'un applaudissant lentement.

- Quelqu'un qui sait se servir de sa tête. Bien... Très bien.

La perception de Loys lui donne l'impression d'entendre une voix familière: Celle de Cheshire.

Pour Cheshire, elle entends celle de Loys.

HRP: Lizzie et Carly sont exclue de l'event pour le manque de réponses. Si quelqu'un d'autre veux participer, je vous invite à contacter par mp.

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