il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
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il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Pour résumé, je m’apprêtais a quitté l’académie mais Luxia et Yumiko ont tenté de m’en empêché, jusqu’à ce que Luxia face à nouveau une de ses crise et que je me trouvai obligé de la ramener à l’infirmerie. Entre temps Yumiko m’avais fait savoir que Yasushi ne jouait pas les fantômes qu’avec moi … du coup je lui ai promis de le retrouver et de le ramené. Et j’avais déjà une petite idée de comment le retrouver … le ramené ça … c’est une autre histoire … mais j’improviserais le moment venus. Au talent comme on dit ! cela m’as plutôt bien réussis jusqu’à présent
Après avoir emmené Luxia a l’infirmerie, je récupérais les affaires que m’avais gentiment ramener Yumiko avant de la remercié et la quitter pour les déposer dans ma chambre.
Une fois fait je regagnais à nouveau l’arrêt de bus pour aller en ville, au bar de Berth. Je connaissais le chemin puisque j’y suis déjà allé deux fois. La première c’était Yasushi qui m’avait guidé. La seconde c’était pour qu’elle puisse parler avec ce dernier pour prendre de ces nouvelles alors qu’il était en voyage avec Archie .
Je retrouvais donc l’établissement sans difficulté et traversa la porte d’entrée. Je reconnus la vieille femme s’attelant a exercé son métier. La question qui se pose est. Est-ce que elle me reconnaitras.. bof je ne fais pas que soucis à ce sujet elle m’a démontré qu’elle possède une très bonne intuitions. Je m’approchais donc du bar pour y prendre place, attendant que la patronne passe à proximité pour la salué.
_ Bonjour Berth .
Après avoir emmené Luxia a l’infirmerie, je récupérais les affaires que m’avais gentiment ramener Yumiko avant de la remercié et la quitter pour les déposer dans ma chambre.
Une fois fait je regagnais à nouveau l’arrêt de bus pour aller en ville, au bar de Berth. Je connaissais le chemin puisque j’y suis déjà allé deux fois. La première c’était Yasushi qui m’avait guidé. La seconde c’était pour qu’elle puisse parler avec ce dernier pour prendre de ces nouvelles alors qu’il était en voyage avec Archie .
Je retrouvais donc l’établissement sans difficulté et traversa la porte d’entrée. Je reconnus la vieille femme s’attelant a exercé son métier. La question qui se pose est. Est-ce que elle me reconnaitras.. bof je ne fais pas que soucis à ce sujet elle m’a démontré qu’elle possède une très bonne intuitions. Je m’approchais donc du bar pour y prendre place, attendant que la patronne passe à proximité pour la salué.
_ Bonjour Berth .
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
Combien de temps étaient passés depuis ma « rencontre » avec Toko ? Cela faisait bien un ou deux jours, non ? Ce jour-là, qui correspondait aussi à des retrouvailles mouvementées avec Caitlyn et une petite blessure par balle au bras, j’avais revu les trois assassins. Ils n’avaient apparemment toujours pas abandonné leurs desseins et avaient même contribué à un enlèvement pour ça. Que du bonheur ! Pourtant, je n’avais toujours pas changé la routine que je m’étais imposée depuis mon retour du Japon. La seule différence était que je faisais encore plus attention de ne pas tomber nez à nez avec des connaissances/amis. Seule la raison à cette attitude ne changeait pas : leur protection. Après tout, si l’un d’eux venait à mourir, je savais que je ne le supporterais pas. Voilà pourquoi, en ce jour enneigé qui était aussi celui qui était destiné à ce que je me repose, je restai sur la « place » qui avait vu mourir mes gosses.
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Pendant que j’étais seul dans le froid, Berth et Tom s’occupaient de quelques courageux qui étaient essentiellement venus pour boire un bon remontant entre amis. Le jeune homme était donc en train de se reposer dans une des chambres à l’étage alors que la dame s’occupait du bar. Elle aurait presque cru que ce serait une journée tranquille, jusqu’à ce qu’un invité surprise n’arrive. Ne l’ayant pas vu entrer parce qu’elle préparait une commande, elle ne s’en rendit réellement compte que lorsqu’elle passa devant lui.
_ Bonjour Berth.
- Bonjour. Attends un instant s’il te plaît.
Elle partit rapidement non sans sourire pour donnant la chope récemment préparée à un des clients au bar. Puis, constatant que personne n’avait actuellement besoin d’elle, Berth revint vers le jeune homme qui l’avait hélée et lui demanda :
- Si je me souviens bien, tu es un ami de Yasushi. Noa, n’est-ce pas ?
Elle attendit qu’il lui confirme l’information avant de continuer :
- Qu’est-ce qui t’amène ? Veux-tu quelque à boire ? Manger ?
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Pendant que j’étais seul dans le froid, Berth et Tom s’occupaient de quelques courageux qui étaient essentiellement venus pour boire un bon remontant entre amis. Le jeune homme était donc en train de se reposer dans une des chambres à l’étage alors que la dame s’occupait du bar. Elle aurait presque cru que ce serait une journée tranquille, jusqu’à ce qu’un invité surprise n’arrive. Ne l’ayant pas vu entrer parce qu’elle préparait une commande, elle ne s’en rendit réellement compte que lorsqu’elle passa devant lui.
_ Bonjour Berth.
- Bonjour. Attends un instant s’il te plaît.
Elle partit rapidement non sans sourire pour donnant la chope récemment préparée à un des clients au bar. Puis, constatant que personne n’avait actuellement besoin d’elle, Berth revint vers le jeune homme qui l’avait hélée et lui demanda :
- Si je me souviens bien, tu es un ami de Yasushi. Noa, n’est-ce pas ?
Elle attendit qu’il lui confirme l’information avant de continuer :
- Qu’est-ce qui t’amène ? Veux-tu quelque à boire ? Manger ?
(c) Rin sur Epicode
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
La vieille femme m’adressa un sourire, signe qu’elle m’avait reconnu. Elle est forte quand même, même mes amis ont eut plus de mal. Elle servit rapidement une bière à l’un de ses clients avant de revenir me voir.
- Si je me souviens bien, tu es un ami de Yasushi. Noa, n’est-ce pas ?
Whoua ! Elle avait même retenus mon prénom. J’acquiesçais par un hochement de tête.
Oui c’est bien ça
- Qu’est-ce qui t’amène ? Veux-tu quelque à boire ? Manger ?
Non merci, c’est gentil mais je passe en coup de vent. En fait je suis à la recherche de Yasushi. Ça fait un moment que je ne l’ai pas vu et je commence à m’inquiéter … surtout avec sa manie de broyer du noir seul dans son coin …Je me demandais s’il n’était pas là… ou si vous n’avez pas une idée de ou il pourrait être …
Je ne sais pas si je devais lui parler des récents évènements … j’ignore complètement si elle a été mise a courant pour la malédiction de Yasushi. Même si je suis près a parié qu’elle a quelque soupçons à ce sujet. On va mettre ça sur le compte de l’intuition féminine … ça ou alors elle a un pouvoir
- Si je me souviens bien, tu es un ami de Yasushi. Noa, n’est-ce pas ?
Whoua ! Elle avait même retenus mon prénom. J’acquiesçais par un hochement de tête.
Oui c’est bien ça
- Qu’est-ce qui t’amène ? Veux-tu quelque à boire ? Manger ?
Non merci, c’est gentil mais je passe en coup de vent. En fait je suis à la recherche de Yasushi. Ça fait un moment que je ne l’ai pas vu et je commence à m’inquiéter … surtout avec sa manie de broyer du noir seul dans son coin …Je me demandais s’il n’était pas là… ou si vous n’avez pas une idée de ou il pourrait être …
Je ne sais pas si je devais lui parler des récents évènements … j’ignore complètement si elle a été mise a courant pour la malédiction de Yasushi. Même si je suis près a parié qu’elle a quelque soupçons à ce sujet. On va mettre ça sur le compte de l’intuition féminine … ça ou alors elle a un pouvoir
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
- Non merci, c’est gentil mais je passe en coup de vent. En fait je suis à la recherche de Yasushi. Ça fait un moment que je ne l’ai pas vu et je commence à m’inquiéter … surtout avec sa manie de broyer du noir seul dans son coin …Je me demandais s’il n’était pas là… ou si vous n’avez pas une idée de ou il pourrait être …
-Mmh… Personnellement je ne l’ai pas vu depuis qu’il était venu avec toi, mais si même ses amis ne savent pas où il est, il reste plus qu’une personne qui pourrait te renseigner. Il ne devrait plus tarder maintenant.
Quelques jours plus tôt, un client lui avait donné une missive pour Yasushi. Elle ne l’avait pas ouverte mais n’en avait pas été moins surprise et inquiète. Depuis qu’il vivait à l’académie c’était rare qu’on lui fasse par venir les messages en passant par elle. En plus de cela, elle ne l’avait pas revu depuis sa venue/fuite avec Noa justement. Ce dernier lui avait laissé un souvenir quasi indélébile, ce qui lui avait permis de se rappeler de lui malgré ses changements physiques. Il n’en fut cependant pas de même pour le jeune homme qui descendit dans la salle pour aller vers la propriétaire des lieux. Il lui demanda :
- Tu as besoin d’aide Berth, pour t’occuper de la salle ?
- Merci Tom, mais j’aimerais que tu accompagnes ce jeune homme jusque Yasushi. Il me semble que tu l’as trouvé il y a quelques jours, n’est-ce pas ?
- OK, mais… c’est qui ?
- Bah ! C’est Noa. Tu ne le reconnais pas ? Il était venu lors de la dernière visite de Yasu ?
- Il était pas comme ça Noa, Berth ! Déjà, il n’avait pas les cheveux aussi longs mais plus comme ça (faisant le geste en même temps), ni les yeux rouges ! Et…
- Tom, voyons… Tu ne me crois plus capable de reconnaître les amis de Yasushi ?
- Si. Mais… !
- Alors tout est réglé ! Tu vas pouvoir le mener à ce gredin de Yasu dans ce cas.
L’idée ne semblait toujours pas plaire à Tom qui regarda le Rubis avec un regard noir. Il ne lui faisait pas confiance bien qu’il voulut croire la tavernière. Comment croire que quelqu’un puisse changer en si peu de temps ?!
-Mmh… Personnellement je ne l’ai pas vu depuis qu’il était venu avec toi, mais si même ses amis ne savent pas où il est, il reste plus qu’une personne qui pourrait te renseigner. Il ne devrait plus tarder maintenant.
Quelques jours plus tôt, un client lui avait donné une missive pour Yasushi. Elle ne l’avait pas ouverte mais n’en avait pas été moins surprise et inquiète. Depuis qu’il vivait à l’académie c’était rare qu’on lui fasse par venir les messages en passant par elle. En plus de cela, elle ne l’avait pas revu depuis sa venue/fuite avec Noa justement. Ce dernier lui avait laissé un souvenir quasi indélébile, ce qui lui avait permis de se rappeler de lui malgré ses changements physiques. Il n’en fut cependant pas de même pour le jeune homme qui descendit dans la salle pour aller vers la propriétaire des lieux. Il lui demanda :
- Tu as besoin d’aide Berth, pour t’occuper de la salle ?
- Merci Tom, mais j’aimerais que tu accompagnes ce jeune homme jusque Yasushi. Il me semble que tu l’as trouvé il y a quelques jours, n’est-ce pas ?
- OK, mais… c’est qui ?
- Bah ! C’est Noa. Tu ne le reconnais pas ? Il était venu lors de la dernière visite de Yasu ?
- Il était pas comme ça Noa, Berth ! Déjà, il n’avait pas les cheveux aussi longs mais plus comme ça (faisant le geste en même temps), ni les yeux rouges ! Et…
- Tom, voyons… Tu ne me crois plus capable de reconnaître les amis de Yasushi ?
- Si. Mais… !
- Alors tout est réglé ! Tu vas pouvoir le mener à ce gredin de Yasu dans ce cas.
L’idée ne semblait toujours pas plaire à Tom qui regarda le Rubis avec un regard noir. Il ne lui faisait pas confiance bien qu’il voulut croire la tavernière. Comment croire que quelqu’un puisse changer en si peu de temps ?!
(c) Rin sur Epicode
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle !
feat Yasushi
Après notre échange avec Berth je vis Tom descendre de l’étage et partir dans un débat pour savoir si il s’agissait bien de moi ou pas. L’adolescent semblait très moyennement convaincu par les argument de la vieille femme
Je saluais et remerciait la tavernière pour ensuite accompagné l’orphelin à l’extérieur. Il va falloir que je gagne sa confiance, mais le temps presse alors je ne vais pas y aller par quatre chemin. Lorsque nous fûmes seules dehors et libre de parler je plantais mon regard dans le siens l’air déterminé. Je l’ignorais mais à ce moment-là mes yeux prirent une teinte violette tandis que mes pupilles étaient devenus fendus. .
Je marquai un petit temps de pause pour me calmer, tandis que mes yeux retrouvèrent une teinte rouge.
Si il ne veut vraiment pas m’aider je me débrouillerais autrement je n’ai vraiment pas de temps à perdre.
_ Je t’expliquerais tout en chemin ….
Je saluais et remerciait la tavernière pour ensuite accompagné l’orphelin à l’extérieur. Il va falloir que je gagne sa confiance, mais le temps presse alors je ne vais pas y aller par quatre chemin. Lorsque nous fûmes seules dehors et libre de parler je plantais mon regard dans le siens l’air déterminé. Je l’ignorais mais à ce moment-là mes yeux prirent une teinte violette tandis que mes pupilles étaient devenus fendus. .
_ _ Oui je suis bien Noa Greenwitch, Je suis cette amis que Yasushi amené au refuge, ce même garçon qui vous avais amené des dragibus et des fraises tagadas et sur qui vous êtes précipité en voyant les bonbon. Ce même garçon qui vous a distribué deux tourné de bonbons avec Yasushi. Et qui s’était transformé en nué de corneilles quand Colin avait voulu lui sauter dessus pour faire une blague pendant que Yasushi vous distrayait avec ses sphère lumineuse. Ce même garçon qui était venus une seconde fois a l’auberge pour que vous puissiez parler avec Yasushi par le biais de son téléphone.
Je marquai un petit temps de pause pour me calmer, tandis que mes yeux retrouvèrent une teinte rouge.
_ Je t’expliquerais une autre fois ce qui a fait que j’ai autant changé mais pour le moment je cherche Yasushi. Il a disparu de plusieurs jours et j’ai des raisons de m’inquiéter et même de penser qu’il est danger. Alors est ce que tu veux bien me conduire à lui ou pas ?
Si il ne veut vraiment pas m’aider je me débrouillerais autrement je n’ai vraiment pas de temps à perdre.
Ici j'écris mon HRP
(c) Yumiko sur Académie Tsuki
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
Tom se sentait comme obligé d’obéir à Berth qui, pourtant, ne faisait preuve d’aucune réelle autorité et restait souriante. Elle faisait preuve d’une bienveillance qui donnait aux gosses, comme à Yasushi quand il était à l’auberge avant, l’impression que ne pas faire ce qu’elle demandait n’était même pas à penser. Il contourna donc le bar en soupirant pour rejoindre Noa et sortir à l’extérieur en sa compagnie. Il s’arrêta cependant lorsqu’ils furent seuls, attendant les explications promises :
_ Oui je suis bien Noa Greenwitch, Je suis cet ami que Yasushi amené au refuge, ce même garçon qui vous avais amené des dragibus et des fraises tagadas et sur qui vous êtes précipité en voyant les bonbons. Ce même garçon qui vous a distribué deux tourné de bonbons avec Yasushi. Et qui s’était transformé en nué de corneilles quand Colin avait voulu lui sauter dessus pour faire une blague pendant que Yasushi vous distrayait avec ses sphères lumineuses. Ce même garçon qui était venus une seconde fois à l’auberge pour que vous puissiez parler avec Yasushi par le biais de son téléphone.
Oulah ! Tom ne savait pas trop quoi penser du fait qu'il était visiblement énervé, mais n’importe qui ne pouvait pas savoir ce qu’il s’était passé ces jours-là. Il comprit donc que ce mec était ben Noa. Par contre… c’était normal ce changement de couleur concernant ces yeux ? A moins que ce ne soit son imagination ? Peut-être, mais il n’avait aucun moyen d’avoir une vraie réponse. De toute façon, ils redevinrent rouges juste avant qu’il ne reprenne plus calmement la parole :
_ Je t’expliquerais une autre fois ce qui a fait que j’ai autant changé mais pour le moment je cherche Yasushi. Il a disparu de plusieurs jours et j’ai des raisons de m’inquiéter et même de penser qu’il est danger. Alors est-ce que tu veux bien me conduire à lui ou pas ?
Tom soupira encore une fois. Cependant ce n’était plus du tout de l’agacement puisque celui-ci était remplacé par de la capitulation. Certainement était-ce plus compréhensible lorsqu’il répondit :
- OK, tu m’as convaincu. Je vais te mener là où je l’ai trouvé la dernière fois. Par contre, va pas me blâmer s’il n’est pas là : je l’ai trouvé sur un coup de bol mais je doute qu’il vive réellement là où mon frère et les autres ont été tués.
Sur ces mots, Tom commença à marcher, menant Noa dans les ruelles. Pas forcément sombres, elles étaient tout de même différentes des autres. Peut-être était-ce un vestige du passé contribuant à perdre les ennemis puisqu’on aurait pu croire qu’il s’agissait d’un labyrinthe. Pourtant, rien ne les distinguaient réellement des autres si ce n’était qu’elles étaient peut-être plus silencieuses et vides sans parler de leur propreté. Bien entendu, elles étaient indiquées, mais là encore, d’une façon très différente : des écussons incrustés dans les murs permettaient de se diriger si on arrivait à les distinguer. Ce fut ainsi jusqu’à ce que les deux jeunes hommes arrives à l’entrée d’une place à ciel ouvert. Celle-ci était comme creusée en cuvette, effet surtout visible par quelques marches d’escalier. Et, au centre, une bouche d’égout était ce qui faisait office de décoration.
- Je n’irais pas plus loin. J’ai pas envie de voir le lieu où mon frère est mort. Je reste dans les parages et je partirais si j’entends que tu as trouvé Yasu. Ça te va ?
Tom avait chuchoté ces déclarations comme s’il avait peur que quelqu’un l’entende. En vérité, en plus de la raison donnée, il n’avait pas envie de croiser Yasushi alors que ce dernier voulait clairement rester seul depuis le début.
_ Oui je suis bien Noa Greenwitch, Je suis cet ami que Yasushi amené au refuge, ce même garçon qui vous avais amené des dragibus et des fraises tagadas et sur qui vous êtes précipité en voyant les bonbons. Ce même garçon qui vous a distribué deux tourné de bonbons avec Yasushi. Et qui s’était transformé en nué de corneilles quand Colin avait voulu lui sauter dessus pour faire une blague pendant que Yasushi vous distrayait avec ses sphères lumineuses. Ce même garçon qui était venus une seconde fois à l’auberge pour que vous puissiez parler avec Yasushi par le biais de son téléphone.
Oulah ! Tom ne savait pas trop quoi penser du fait qu'il était visiblement énervé, mais n’importe qui ne pouvait pas savoir ce qu’il s’était passé ces jours-là. Il comprit donc que ce mec était ben Noa. Par contre… c’était normal ce changement de couleur concernant ces yeux ? A moins que ce ne soit son imagination ? Peut-être, mais il n’avait aucun moyen d’avoir une vraie réponse. De toute façon, ils redevinrent rouges juste avant qu’il ne reprenne plus calmement la parole :
_ Je t’expliquerais une autre fois ce qui a fait que j’ai autant changé mais pour le moment je cherche Yasushi. Il a disparu de plusieurs jours et j’ai des raisons de m’inquiéter et même de penser qu’il est danger. Alors est-ce que tu veux bien me conduire à lui ou pas ?
Tom soupira encore une fois. Cependant ce n’était plus du tout de l’agacement puisque celui-ci était remplacé par de la capitulation. Certainement était-ce plus compréhensible lorsqu’il répondit :
- OK, tu m’as convaincu. Je vais te mener là où je l’ai trouvé la dernière fois. Par contre, va pas me blâmer s’il n’est pas là : je l’ai trouvé sur un coup de bol mais je doute qu’il vive réellement là où mon frère et les autres ont été tués.
Sur ces mots, Tom commença à marcher, menant Noa dans les ruelles. Pas forcément sombres, elles étaient tout de même différentes des autres. Peut-être était-ce un vestige du passé contribuant à perdre les ennemis puisqu’on aurait pu croire qu’il s’agissait d’un labyrinthe. Pourtant, rien ne les distinguaient réellement des autres si ce n’était qu’elles étaient peut-être plus silencieuses et vides sans parler de leur propreté. Bien entendu, elles étaient indiquées, mais là encore, d’une façon très différente : des écussons incrustés dans les murs permettaient de se diriger si on arrivait à les distinguer. Ce fut ainsi jusqu’à ce que les deux jeunes hommes arrives à l’entrée d’une place à ciel ouvert. Celle-ci était comme creusée en cuvette, effet surtout visible par quelques marches d’escalier. Et, au centre, une bouche d’égout était ce qui faisait office de décoration.
- Je n’irais pas plus loin. J’ai pas envie de voir le lieu où mon frère est mort. Je reste dans les parages et je partirais si j’entends que tu as trouvé Yasu. Ça te va ?
Tom avait chuchoté ces déclarations comme s’il avait peur que quelqu’un l’entende. En vérité, en plus de la raison donnée, il n’avait pas envie de croiser Yasushi alors que ce dernier voulait clairement rester seul depuis le début.
(c) Rin sur Epicode
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
feat Yasushi
Visiblement mes explications semblèrent avoir surpris le jeune garçon mais aussi le convaincre.
- OK, tu m’as convaincu. Je vais te mener là où je l’ai trouvé la dernière fois. Par contre, ne va pas me blâmer s’il n’est pas là : je l’ai trouvé sur un coup de bol mais je doute qu’il vive réellement là où mon frère et les autres ont été tués.
Son frère et les autres ? Est e qu’il fait allusions aux gosses dont Yasushi m’avait parlé l’autre fois ? J’en ai bien l’impression. Quels idée il a eu de trainé dans un endroit pareil ? Faut vraiment qu’on m’explique …
Quoi qu’il en soit Tom me guida à travers un dédale de vieilles rues, presque qui semblait abandonné. Chapeaux pour le sens que l’orientation a passage parce que moi j’aurais surement tourné en rond pendant un long moment avant de trouver le point de destinations. Alors qu’en forêt je me perds rarement … cherchez l’erreur … Ainsi donc non finîmes par arrivé dans une sorte de place creusé dans le sol, quine manquais pas de me faire penser à un amphithéâtre. Surtout avec les escaliers qui ferait presque comme des gradins. Bref je m’égare.
- Je n’irais pas plus loin. J’ai pas envie de voir le lieu où mon frère est mort. Je reste dans les parages et je partirais si j’entends que tu as trouvé Yasu. Ça te va ?
L’orphelin m’avait murmuré ces mots. J’ignore pourquoi mais je pris la peine de lui répondre d’une manière similaire
Suite à cela je rejoignais cette fameuse « place » pour découvrir non sans une certaine surprise qu’il était bien la … ça fait tellement longtemps que je ne l’ai pas vu j’en étais presque à me demander si je n’hallucinais pas. J’eu un long moment d’hésitation avant de m’approcher d’avantage
.
- OK, tu m’as convaincu. Je vais te mener là où je l’ai trouvé la dernière fois. Par contre, ne va pas me blâmer s’il n’est pas là : je l’ai trouvé sur un coup de bol mais je doute qu’il vive réellement là où mon frère et les autres ont été tués.
Son frère et les autres ? Est e qu’il fait allusions aux gosses dont Yasushi m’avait parlé l’autre fois ? J’en ai bien l’impression. Quels idée il a eu de trainé dans un endroit pareil ? Faut vraiment qu’on m’explique …
Quoi qu’il en soit Tom me guida à travers un dédale de vieilles rues, presque qui semblait abandonné. Chapeaux pour le sens que l’orientation a passage parce que moi j’aurais surement tourné en rond pendant un long moment avant de trouver le point de destinations. Alors qu’en forêt je me perds rarement … cherchez l’erreur … Ainsi donc non finîmes par arrivé dans une sorte de place creusé dans le sol, quine manquais pas de me faire penser à un amphithéâtre. Surtout avec les escaliers qui ferait presque comme des gradins. Bref je m’égare.
- Je n’irais pas plus loin. J’ai pas envie de voir le lieu où mon frère est mort. Je reste dans les parages et je partirais si j’entends que tu as trouvé Yasu. Ça te va ?
L’orphelin m’avait murmuré ces mots. J’ignore pourquoi mais je pris la peine de lui répondre d’une manière similaire
H_ Je comprends, je te remercie, c’est déjà énorme ! .
Suite à cela je rejoignais cette fameuse « place » pour découvrir non sans une certaine surprise qu’il était bien la … ça fait tellement longtemps que je ne l’ai pas vu j’en étais presque à me demander si je n’hallucinais pas. J’eu un long moment d’hésitation avant de m’approcher d’avantage
H_ Yasushi ? .
.
Ici j'écris mon HRP
(c) Yumiko sur Académie Tsuki
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
Ne bougeant pas malgré le froid, j’espérais presque que ce dernier m’emporte. Presque… Il y avait en moi des sentiments, des évènements qui m’empêchaient de partir sans me sentir coupable. Cela me gênait puisque j’étais ainsi certain que ma disparition ne passerait pas inaperçue. La volonté de ne blesser personne, source de mon isolement, était très forte, mais loin d’être infaillible. Elle avait, après tout, failli être brisée lorsque j’avais sauvé Toko, alors animé de ma raison de vivre, et amené dans l’appartement de Caitlyn. Elle m’avait montré ce que pouvait être une après-midi normale, une soirée entre amis. Mais j’avais peur. En moi une réelle contradiction créait des frictions, me détruisant à petit feu. Plus le temps passait, moins je me sentais fiable. Je n’osais pas en reparler puisque je n’étais pas certaine qu’on me comprenne. Concernant Noa… Je l’avais blessé ! Comment pouvais-je espérer me montrer devant lui comme si rien ne s’était passé ? Pourtant, ce n’était pas l’envie qui me manquait…
Le temps que j’avais parce que je ne travaillais pas, je le passais à réfléchir, argumentant et contre-argumentant avec moi-même. Il n’était pas dit que l’assassin ne m’aidait pas à le faire. Puis, au moment où je m’y attendais le moins, j’entendis la voix que j’espérais autant que je la redoutais :
_ Yasushi ?
Surpris, je tournai des yeux ronds vers Noa qui se tenait près de l’entrée de la place. Que faisait-il là ? Comment m’avait-il trouvé ?! La façon dont il avait prononcé mon nom ma laissait penser qu’il savait déjà que je serais là. Après tout, de nous deux, c’était moi qui ne m’attendais pas à le voir. Je m’en levai rapidement en l’observant. Ses cheveux avaient poussés et ses yeux me surprenaient toujours par leur couleur rouge suite à sa réanimation au Japon. J’étais pourtant persuadé qu’il était la même personne rien qu’en me fiant à sa voix comme sa présence. Il me semblait ne jamais pouvoir le confondre avec un autre et cela me fit mal. Très mal. Tant et si bien que ma surprise se transforma en douleur que je tentai de cacher alors que je lui répondais :
- Noa… N’as-tu pas peur que je t’attaque encore une fois ?
Je ne pouvais pas le rejeter. Mais il m’était tout autant impossible de l’accueillir à bras ouverts. Certainement m’en voulait-il. Il aurait raison. Après tout, j’étais partis sans laisser de nouvelles, sans dire où j’allais. Même pas à lui...
Le temps que j’avais parce que je ne travaillais pas, je le passais à réfléchir, argumentant et contre-argumentant avec moi-même. Il n’était pas dit que l’assassin ne m’aidait pas à le faire. Puis, au moment où je m’y attendais le moins, j’entendis la voix que j’espérais autant que je la redoutais :
_ Yasushi ?
Surpris, je tournai des yeux ronds vers Noa qui se tenait près de l’entrée de la place. Que faisait-il là ? Comment m’avait-il trouvé ?! La façon dont il avait prononcé mon nom ma laissait penser qu’il savait déjà que je serais là. Après tout, de nous deux, c’était moi qui ne m’attendais pas à le voir. Je m’en levai rapidement en l’observant. Ses cheveux avaient poussés et ses yeux me surprenaient toujours par leur couleur rouge suite à sa réanimation au Japon. J’étais pourtant persuadé qu’il était la même personne rien qu’en me fiant à sa voix comme sa présence. Il me semblait ne jamais pouvoir le confondre avec un autre et cela me fit mal. Très mal. Tant et si bien que ma surprise se transforma en douleur que je tentai de cacher alors que je lui répondais :
- Noa… N’as-tu pas peur que je t’attaque encore une fois ?
Je ne pouvais pas le rejeter. Mais il m’était tout autant impossible de l’accueillir à bras ouverts. Certainement m’en voulait-il. Il aurait raison. Après tout, j’étais partis sans laisser de nouvelles, sans dire où j’allais. Même pas à lui...
(c) Rin sur Epicode
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
C’était bien mon ami en face de moi. Il était assis et semblait perdu dans ses pensées comme en pleine réflexions. Lorsque je l’eu appelé celui-ci dirigea son regard dans ma direction en arborant un air des plus surpris mêler a autre chose … comme … de la peur je dirais. Sa voix tremblante tout en se relevant me confortait dans mon idée.
- Noa… N’as-tu pas peur que je t’attaque encore une fois ?
La question fatidique heins ? les évènement du japon risquent de nous suivre pendant un long moment … étrangement je m’y attendais mais je ne savais pas vraiment quoi répondre .J’avais stoppé ma progression a quelque mètre de mon ami comme pour prendre le temps de réfléchir avant de finalement me rapprocher un peu plus de lui, lentement d’un pat à la fois calme et confiant.
_ Je sais que ce n’est pas toi qui m’as blessé, que ce n’était pas de ta faute.
Je me tenais à présent face à lui plongeant mon regard toujours aussi amoureux dans le siens je voulais porter ma main à son visage pour lui caressé la joue mais je le vit se reculer légèrement, ce qui m’interrompit dans mon geste. Toutefois je ne me laissais pas déstabilisé pour autant.
_ Et toi ? … tu n’as pas peur de te mettre en danger en t’isolant de tout le monde ?
- Noa… N’as-tu pas peur que je t’attaque encore une fois ?
La question fatidique heins ? les évènement du japon risquent de nous suivre pendant un long moment … étrangement je m’y attendais mais je ne savais pas vraiment quoi répondre .J’avais stoppé ma progression a quelque mètre de mon ami comme pour prendre le temps de réfléchir avant de finalement me rapprocher un peu plus de lui, lentement d’un pat à la fois calme et confiant.
_ Je sais que ce n’est pas toi qui m’as blessé, que ce n’était pas de ta faute.
Je me tenais à présent face à lui plongeant mon regard toujours aussi amoureux dans le siens je voulais porter ma main à son visage pour lui caressé la joue mais je le vit se reculer légèrement, ce qui m’interrompit dans mon geste. Toutefois je ne me laissais pas déstabilisé pour autant.
_ Et toi ? … tu n’as pas peur de te mettre en danger en t’isolant de tout le monde ?
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
Quand je le vis s’arrêter à quelques mètres de moi je m’attendis à ce qu’il se fâche, voir même qu’il parte sans demander son reste. Après tout, n’étais-je pas en train de le rejeter ? Pour moi, mes propres mots ressemblaient à ça et c’est la raison pour laquelle je sentais mon cœur se déchirer. Pourtant, après qu’il resta immobile et silencieux pendant un instant, il recommença à s’avancer d’un pas sur et calme. Lors des premiers pas, je n’osai pas le regarder en face. Pourtant, je savais qu’il préférait qu’on le regarde dans les yeux quand on abordait des sujets sérieux. Je levai donc mon regard pour regarder le sien. La tendresse qui en émanait me laissa totalement sans voix. Je n’arrivais pas à comprendre. N’était-il pas en colère ? Ne m’en voulait-il pas ? J’étais vraiment horrible ! Pourtant, n’avais-je pas fait ça dans le but de le protéger ?
_ Je sais que ce n’est pas toi qui m’as blessé, que ce n’était pas de ta faute.
Pas… ma faute ? Pourtant, c’était mes mains qui avaient été tâchées de son sang. C’était moi qui avait été attaché à une chaise après tout ça. Mais, pire que tout, j’avais été incapable d’empêcher ça d’arriver malgré toute la volonté dont j’avais fait preuve. OK ! Le père de Yumiko nous avait ordonné de nous entretuer et Noa s’était interposé, mais le voir n’aurait-il pas dû m’arrêter ou simplement m’aider à reprendre le contrôle ?
A l’intérieur de moi, je sentis quelque chose qui allait dans ce sens, me rendant responsable de tout ce qu’il s’était passé. L’assassin. Il n’y avait que lui pour me rabaisser de la sorte… C’est aussi lui et sa présence qui me firent reculer quand Noa tenta de me toucher. Non pas que je n’en eusse pas envie, bien au contraire. La peur était la cause de ce recul que je regrettai immédiatement. Pourtant, Noa n’en fus pas découragé et me demanda même :
_ Et toi ? … tu n’as pas peur de te mettre en danger en t’isolant de tout le monde ?
Cette question eu le mérite de remuer quelque chose en moi. Quelque chose qui tentait désespérément de refaire surface chaque fois que je réfléchissais à ce que je voulais faire, à mon isolement. L’envie de vivre. Je ne pouvais pas le nier : j’avais envie de rester en vie. Ça tout autant que protéger ceux qui m’étaient chers pour ne plus perdre personne. Peut-être était-ce pour cela que j’étais venu en ce lieu plus que pour me cacher du reste du monde. Mais, comme j’avais agis totalement à l’instinct comme très souvent, je ne pouvais pas en être persuadé.
La douleur morale que je subissais me fit fermer les yeux et serrer les dents alors que mes mains s’étaient fermées en des poings blanchissant mes jointures et me faisant trembler légèrement. Je regardai cependant le Rubis pour le lui répondre d’une voix calme mais cassée sans cacher à quel point j’étais perdu :
- Je ne veux pas être la cause de la mort de ceux que j’aime comme pour mon groupe. Je ne veux pas qu’on se serve de moi pour faire du mal aux autres. Mais, d’un autre côté, je souhaite de tout mon cœur vivre avec toi et tous mes amis. Je veux revivre une après-midi normale entre amis…
Puis, regardant mes mains tremblantes ouvertes devant moi :
- Mais ce qui vit en moi m’empêche d’avoir les idées claires. Je ne me sens pas assez fiable pour préserver la paix à laquelle j’aspire. Je ne sais pas quoi faire… M’isoler, me cacher pour garder tout le monde en vie ? Rester avec ceux que j’aime et tenter de vivre normalement en prenant des risques inconsidérés ? … Je n’arrive pas à trouver la réponse… Mais, si ça ne tenait qu’à moi, je voudrais être à tes côtés…
En disant mes sentiments réels, je sentis mes yeux se mouiller puis, quelques instants d’après, des larmes mouiller mes mains ouvertes que je refermai, un peu comme si elles représentaient mon cœur.
_ Je sais que ce n’est pas toi qui m’as blessé, que ce n’était pas de ta faute.
Pas… ma faute ? Pourtant, c’était mes mains qui avaient été tâchées de son sang. C’était moi qui avait été attaché à une chaise après tout ça. Mais, pire que tout, j’avais été incapable d’empêcher ça d’arriver malgré toute la volonté dont j’avais fait preuve. OK ! Le père de Yumiko nous avait ordonné de nous entretuer et Noa s’était interposé, mais le voir n’aurait-il pas dû m’arrêter ou simplement m’aider à reprendre le contrôle ?
A l’intérieur de moi, je sentis quelque chose qui allait dans ce sens, me rendant responsable de tout ce qu’il s’était passé. L’assassin. Il n’y avait que lui pour me rabaisser de la sorte… C’est aussi lui et sa présence qui me firent reculer quand Noa tenta de me toucher. Non pas que je n’en eusse pas envie, bien au contraire. La peur était la cause de ce recul que je regrettai immédiatement. Pourtant, Noa n’en fus pas découragé et me demanda même :
_ Et toi ? … tu n’as pas peur de te mettre en danger en t’isolant de tout le monde ?
Cette question eu le mérite de remuer quelque chose en moi. Quelque chose qui tentait désespérément de refaire surface chaque fois que je réfléchissais à ce que je voulais faire, à mon isolement. L’envie de vivre. Je ne pouvais pas le nier : j’avais envie de rester en vie. Ça tout autant que protéger ceux qui m’étaient chers pour ne plus perdre personne. Peut-être était-ce pour cela que j’étais venu en ce lieu plus que pour me cacher du reste du monde. Mais, comme j’avais agis totalement à l’instinct comme très souvent, je ne pouvais pas en être persuadé.
La douleur morale que je subissais me fit fermer les yeux et serrer les dents alors que mes mains s’étaient fermées en des poings blanchissant mes jointures et me faisant trembler légèrement. Je regardai cependant le Rubis pour le lui répondre d’une voix calme mais cassée sans cacher à quel point j’étais perdu :
- Je ne veux pas être la cause de la mort de ceux que j’aime comme pour mon groupe. Je ne veux pas qu’on se serve de moi pour faire du mal aux autres. Mais, d’un autre côté, je souhaite de tout mon cœur vivre avec toi et tous mes amis. Je veux revivre une après-midi normale entre amis…
Puis, regardant mes mains tremblantes ouvertes devant moi :
- Mais ce qui vit en moi m’empêche d’avoir les idées claires. Je ne me sens pas assez fiable pour préserver la paix à laquelle j’aspire. Je ne sais pas quoi faire… M’isoler, me cacher pour garder tout le monde en vie ? Rester avec ceux que j’aime et tenter de vivre normalement en prenant des risques inconsidérés ? … Je n’arrive pas à trouver la réponse… Mais, si ça ne tenait qu’à moi, je voudrais être à tes côtés…
En disant mes sentiments réels, je sentis mes yeux se mouiller puis, quelques instants d’après, des larmes mouiller mes mains ouvertes que je refermai, un peu comme si elles représentaient mon cœur.
(c) Rin sur Epicode
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Face à ma question, mon ami se crispas un peu plus tout en me répondant d’une voix qu’il montrait clairement qu’il baignait dans le doute le plus total.
- Je ne veux pas être la cause de la mort de ceux que j’aime comme pour mon groupe. Je ne veux pas qu’on se serve de moi pour faire du mal aux autres. Mais, d’un autre côté, je souhaite de tout mon cœur vivre avec toi et tous mes amis. Je veux revivre une après-midi normale entre amis…
Je vis poser son regard sur ses mains ouverte. Je pus d’ailleurs remarquer que ses brulures ne s’étaient pas améliorées, signe qu’il s’est servi de son pouvoir récemment
- Mais ce qui vit en moi m’empêche d’avoir les idées claires. Je ne me sens pas assez fiable pour préserver la paix à laquelle j’aspire. Je ne sais pas quoi faire… M’isoler, me cacher pour garder tout le monde en vie ? Rester avec ceux que j’aime et tenter de vivre normalement en prenant des risques inconsidérés ? … Je n’arrive pas à trouver la réponse… Mais, si ça ne tenait qu’à moi, je voudrais être à tes côtés…
Tandis qu’il refermait ses mains je portais l’une des mienne a son menton pour lui faire relever la tête je pus ainsi remarquer qu’il pleurait
_ J’ai cru comprendre qu’on a plutôt tendance à se servir des autres pour te faire du mal. Et il y a de nombreuses personnes veulent de revoir, Yumiko, Archie, Berth, les mômes, et ce n’est que pour ceux que je connais.
Je fis glisser ma main sur sa joue, essuyant une larme avec mon pouce tandis que l’autre venait prendre l’un de ses poings.
_ Quant à moi …peu importe les blessures … ce sera toujours moins douloureux que de te perdre.
A mes mots j’approchais mon visage du siens, jusqu’à ce que nos lèvre entrèrent en contact pour échanger un baisé avec celui que j’aime
- Je ne veux pas être la cause de la mort de ceux que j’aime comme pour mon groupe. Je ne veux pas qu’on se serve de moi pour faire du mal aux autres. Mais, d’un autre côté, je souhaite de tout mon cœur vivre avec toi et tous mes amis. Je veux revivre une après-midi normale entre amis…
Je vis poser son regard sur ses mains ouverte. Je pus d’ailleurs remarquer que ses brulures ne s’étaient pas améliorées, signe qu’il s’est servi de son pouvoir récemment
- Mais ce qui vit en moi m’empêche d’avoir les idées claires. Je ne me sens pas assez fiable pour préserver la paix à laquelle j’aspire. Je ne sais pas quoi faire… M’isoler, me cacher pour garder tout le monde en vie ? Rester avec ceux que j’aime et tenter de vivre normalement en prenant des risques inconsidérés ? … Je n’arrive pas à trouver la réponse… Mais, si ça ne tenait qu’à moi, je voudrais être à tes côtés…
Tandis qu’il refermait ses mains je portais l’une des mienne a son menton pour lui faire relever la tête je pus ainsi remarquer qu’il pleurait
_ J’ai cru comprendre qu’on a plutôt tendance à se servir des autres pour te faire du mal. Et il y a de nombreuses personnes veulent de revoir, Yumiko, Archie, Berth, les mômes, et ce n’est que pour ceux que je connais.
Je fis glisser ma main sur sa joue, essuyant une larme avec mon pouce tandis que l’autre venait prendre l’un de ses poings.
_ Quant à moi …peu importe les blessures … ce sera toujours moins douloureux que de te perdre.
A mes mots j’approchais mon visage du siens, jusqu’à ce que nos lèvre entrèrent en contact pour échanger un baisé avec celui que j’aime
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
Fixant mes poings qui finirent par descendre le long de mon corps, la main de Noa que j’avais initialement évitée attrapa avec douceur mon menton pour me faire relever les yeux. Qu’allait-il dire maintenant qu’il avait entendu mes doutes ? Avais-je fait une erreur en parlant ainsi ? Non… S’il me cherchait, n’était-ce pas parce qu’il voulait entendre ce que j’avais à dire ? Après tout, les amis se parlaient à cœur ouvert. Je sentis la culpabilité monter en réalisant que je n’avais pas été là pour lui alors qu’il était blessé, qu’il avait lui aussi vécu quelque chose de difficile alors que nous étions au Japon. N’était-ce pas horrible de ma part ?
_ J’ai cru comprendre qu’on a plutôt tendance à se servir des autres pour te faire du mal. Et il y a de nombreuses personnes veulent te revoir, Yumiko, Archie, Berth, les mômes, et ce n’est que pour ceux que je connais.
En y réfléchissant, je devais bien avouer qu’il n’avait pas tort… Après tout, cela avait été prouvé par l’enlèvement de Toko quelques jours plus tôt. D’un autre côté, était-ce totalement la raison derrière ces évènements ? Cela ne changeait rien, au fond.
Alors qu’il attrapait une de mes mains qui s’ouvrit à son contact, il passa ses doigts de mon menton à ma joue, essuyant mes larmes dans le même geste. Je sentis alors mon cœur bondir tel un animal enfermé dans une cage beaucoup trop petite pour lui. Quel était ce sentiment qui explosait chaque fois que j’étais près de lui ?
_ Quant à moi …peu importe les blessures … ce sera toujours moins douloureux que de te perdre.
Tout en parlant, il s’était rapproché de moi jusqu’à ce que nos lèvres s’enlacent en un baiser auquel je ne m’attendais pas. La surprise passa cependant rapidement, laissant ces sentiments forts m’envahir. Lui et moi, nous pensions la même chose : nous ne voulions pas que l’autre disparaisse. Moi non plus, je ne voulais pas le perdre. Je compris alors ce qu’il avait sans aucun doute ressentis lorsque j’étais partit, quand je me cachais. A cause de cela, quand nous mîmes fin au baiser qu’il avait engagé, je mis ma main libre sur celle qui se trouvait sur ma joue et enlaçait l’autre pour lui murmurer après avoir humecté mes lèvres rapidement :
- Je suis désolé Noa. Je comprends maintenant…
Un bruit lointain mais que je reconnu assez bien pour l’avoir entendu peu de temps auparavant m’arrêta dans mes dires. Prenant une expression de peur, je pris le Rubis dans mes bras pour le pousser un peu plus loin. Un impact ne tarda pas à se faire dans le mur proche de nous. Non ! Ils étaient là ?! Comment… ?
Sans plus réfléchir, je pris la main de Noa et le traînai dans les ruelles jusqu’à la première bouche d’égout que je vis. J’ouvris cette dernière avant de demander avec empressement.
- Descends ! Vite !
_ J’ai cru comprendre qu’on a plutôt tendance à se servir des autres pour te faire du mal. Et il y a de nombreuses personnes veulent te revoir, Yumiko, Archie, Berth, les mômes, et ce n’est que pour ceux que je connais.
En y réfléchissant, je devais bien avouer qu’il n’avait pas tort… Après tout, cela avait été prouvé par l’enlèvement de Toko quelques jours plus tôt. D’un autre côté, était-ce totalement la raison derrière ces évènements ? Cela ne changeait rien, au fond.
Alors qu’il attrapait une de mes mains qui s’ouvrit à son contact, il passa ses doigts de mon menton à ma joue, essuyant mes larmes dans le même geste. Je sentis alors mon cœur bondir tel un animal enfermé dans une cage beaucoup trop petite pour lui. Quel était ce sentiment qui explosait chaque fois que j’étais près de lui ?
_ Quant à moi …peu importe les blessures … ce sera toujours moins douloureux que de te perdre.
Tout en parlant, il s’était rapproché de moi jusqu’à ce que nos lèvres s’enlacent en un baiser auquel je ne m’attendais pas. La surprise passa cependant rapidement, laissant ces sentiments forts m’envahir. Lui et moi, nous pensions la même chose : nous ne voulions pas que l’autre disparaisse. Moi non plus, je ne voulais pas le perdre. Je compris alors ce qu’il avait sans aucun doute ressentis lorsque j’étais partit, quand je me cachais. A cause de cela, quand nous mîmes fin au baiser qu’il avait engagé, je mis ma main libre sur celle qui se trouvait sur ma joue et enlaçait l’autre pour lui murmurer après avoir humecté mes lèvres rapidement :
- Je suis désolé Noa. Je comprends maintenant…
Un bruit lointain mais que je reconnu assez bien pour l’avoir entendu peu de temps auparavant m’arrêta dans mes dires. Prenant une expression de peur, je pris le Rubis dans mes bras pour le pousser un peu plus loin. Un impact ne tarda pas à se faire dans le mur proche de nous. Non ! Ils étaient là ?! Comment… ?
Sans plus réfléchir, je pris la main de Noa et le traînai dans les ruelles jusqu’à la première bouche d’égout que je vis. J’ouvris cette dernière avant de demander avec empressement.
- Descends ! Vite !
(c) Rin sur Epicode
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Yasushi avait ouvert une de ses mains me permettant ainsi d’entremêlé mes doigts aux siens durant le baisé. Je ressentis d’ailleurs un sentiment des plus agréable à ce moment, je n’avais plus du tout envie de le quitté, quand je pense que j’ai voulu tout abandonné et partir, heureusement que les filles m’en ont empêché. Le contact avec ses lèvres était si agréable, je pouvais sentir mon cœur s’emballer.
Lorsque nous mîmes fin au baiser il portait sa main libre à la mienne.
- Je suis désolé Noa. Je comprends maintenant…
Il fut coupé par un bruit de coup de feu qui avait retentit à travers la place. Ne me dis pas que ce sont les assassins dont il m’avait parlé ? Putain ! Juste au moment où j’échange l’un de mes premiers baisés avec Yasushi il faut qu’ils viennent tout gâché. Yasushi apeuré par un second bruit identique me traina dans les ruelles et ce jusqu’à la bouche d’égout la plus proche.
- Descends ! Vite !
Au vu de la situation j’obéissais sans discuter. Il s’y connaissait mieux que moi niveau survit en milieu urbains et tout le toutime et en plus je suis vulnérable sans mon pouvoir …. Donc ce n’est pas trop le moment de faire le malin ou de jouer les héros
Lorsque nous mîmes fin au baiser il portait sa main libre à la mienne.
- Je suis désolé Noa. Je comprends maintenant…
Il fut coupé par un bruit de coup de feu qui avait retentit à travers la place. Ne me dis pas que ce sont les assassins dont il m’avait parlé ? Putain ! Juste au moment où j’échange l’un de mes premiers baisés avec Yasushi il faut qu’ils viennent tout gâché. Yasushi apeuré par un second bruit identique me traina dans les ruelles et ce jusqu’à la bouche d’égout la plus proche.
- Descends ! Vite !
Au vu de la situation j’obéissais sans discuter. Il s’y connaissait mieux que moi niveau survit en milieu urbains et tout le toutime et en plus je suis vulnérable sans mon pouvoir …. Donc ce n’est pas trop le moment de faire le malin ou de jouer les héros
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
Sans poser de question, ni même attendre une seule seconde, Noa descendit dans les égouts. Rapidement, et fermant la grille derrière moi, je le suivis. Je ne savais pas à quel point nos assaillants avaient préparé leur attaque. Jusqu’où avaient-ils arpenté les égouts ? Je n’en avais pas la moindre idée et cela me paniquait. Je ne voulais pas que Noa soit pris dans cette guerre qui ne le concernait que parce que nous étions liés par un sentiment réciproque. Cependant, si je le laissai derrière, j’étais persuadé que le même schéma se répéterait : s’ils le trouvaient ils l’utiliseraient pour m’atteindre. Etais-je à ce point « invincible » pour qu’on emploi sans cesse cette technique ?
- Viens !
J’avais, en disant cela avec autant d’empressement que précédemment, pris sa main dans la mienne et commencé à courir dans la direction opposée de la place. J’espérais ainsi pouvoir mettre autant de distance que possible entre eux et nous. De cette façon, je m’éloignai aussi des vestiges du camps dans lequel j’avais vécu en compagnie de mes gosses disparus, puis lors de mon isolement. Malheureusement, ma tactique ne fonctionna pas aussi bien que je l’aurais voulu.
Après quelques minutes de course, je nous arrêtai pour reprendre notre souffle. J’avais choisi un embranchement afin de pouvoir avoir une retraite s’ils n’avaient pas décidé de se séparer. Je n’arrivais cependant plus du tout à réfléchir. Je ne parvenais plus à me poser les bonnes questions. Ils avaient voulu me tuer devant lui, voir mettre fin à sa vie aussi ! Je ne pouvais pas le permettre ! Je ne pouvais pas !
Ma détresse était assez visible : au lieu d’être calme et méthodique comme je tentais de l’être à l’accoutumée, je ne cessai de regarder partout, vérifier si Noa allait bien en plus de marmonner.
- Viens !
J’avais, en disant cela avec autant d’empressement que précédemment, pris sa main dans la mienne et commencé à courir dans la direction opposée de la place. J’espérais ainsi pouvoir mettre autant de distance que possible entre eux et nous. De cette façon, je m’éloignai aussi des vestiges du camps dans lequel j’avais vécu en compagnie de mes gosses disparus, puis lors de mon isolement. Malheureusement, ma tactique ne fonctionna pas aussi bien que je l’aurais voulu.
Après quelques minutes de course, je nous arrêtai pour reprendre notre souffle. J’avais choisi un embranchement afin de pouvoir avoir une retraite s’ils n’avaient pas décidé de se séparer. Je n’arrivais cependant plus du tout à réfléchir. Je ne parvenais plus à me poser les bonnes questions. Ils avaient voulu me tuer devant lui, voir mettre fin à sa vie aussi ! Je ne pouvais pas le permettre ! Je ne pouvais pas !
Ma détresse était assez visible : au lieu d’être calme et méthodique comme je tentais de l’être à l’accoutumée, je ne cessai de regarder partout, vérifier si Noa allait bien en plus de marmonner.
(c) Rin sur Epicode
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
feat Yasushi
Yasushi m’avait suivi dans les égouts. J’étais rassuré pendant un instant j’avais eu peur qu’il joue les héros ou qu’il me couvre. Fort heureusement ce ne fut pas le cas, il me prit par la main pour nous emmener courir à travers le dédale de formait les canalisations souterraines des égouts. L’odeur y était vraiment … infecte. Relativement proche de celle des lisiers mais en légèrement pire. Ceci dis je prenais sur moi et faisait tout pour ne pas ralentir. Là nos vie étaient en jeu ce n’était vraiment pas le moment de jouer les fines fleurs.
Au bout d’un moment nous finement par nous arrêter au niveau d’une sorte de … carrefours à trois voix. Pour que nous puissions reprendre notre souffle. Yasushi plus que moi. Etant plus sportif et pas sous-alimenté j’avais besoin d’un temps de récupération bien plus court … ceci dit, pendant que je voyais mon ami regardé de partout l’air inquiet tout en murmurant des choses que je ne comprenais pas, sans doute était-il en train de réfléchir à voix haute, j’avais comme l’impression qu’un danger s’approchait de nous dans toute les directions … j’ignorais ce qui me faisait penser cela, c’était comme une sorte d’intuition …
Et malheureusement j’avais bel et bien raison … à peine eus-je finis ma phrase que les trois hommes sortir de la pénombre … après quelque échange verbaux entre Yasushi et les assassins le combat passa aux actes physique. Yasushi s’était interposé pour me protéger et faisait appel à son pouvoir pour lutter, malheureusement les trois hommes étaient également armés, et a trois contre un … Yasushi se retrouva rapidement en situation de faiblesse …. Deux des hommes le distrayait tandis que le troisième s’apprêtait à lui tiré dessus … en voyant cela mon sang ne fit qu’un tour
Hors que question que cela recommence … je ne verrais pas une fois de plus l’un de mes proches se faire blesser ou tuer alors que je suis impuissant ….
Je me mis à hurler à pleins poumons
Tout s’enchaina très vite, mes yeux retrouvèrent leur éclat violet tandis que mes pupilles devinrent fendus comme celles d’une vipère. Un coup de feu retentit, et au même moment des tentacules noirs plates et pointus sortir de mon dos, déchirant mes vêtements …. Elles étaient douze. L’une se plaça devant Yasushi, faisant ricocher la balle dessus. Quelques étincelles apparurent à cause du frottement entre la balle et mon vecteur.
Quatres tentacules de part et d’autre de mon amis repoussèrent ces deux assaillants lui permettant de reprendre le dessus tandis qu’un autre s’élança en direction de l’homme armé, fit un ricoché au sol afin de frapper violement au niveau de sa main, détruisant l’arme à feu et blessant le porteur. Deux tentacules le saisir au niveau des jambes pour le trainer un peu plus près de moi. Trois tentacules supplémentaires vinrent le saisir fermement à chaque bras et la gorge, le soulevant brutalement pour le cogner au plafond, puis au sol, contre le mur pour au final l’envoyer valser sur ses deux acolytes ….
En réalité je n’avais aucun contrôle sur ces tentacules, elles agissaient entièrement d’elles même, comme animé par leur propre conscience …
Au bout d’un moment nous finement par nous arrêter au niveau d’une sorte de … carrefours à trois voix. Pour que nous puissions reprendre notre souffle. Yasushi plus que moi. Etant plus sportif et pas sous-alimenté j’avais besoin d’un temps de récupération bien plus court … ceci dit, pendant que je voyais mon ami regardé de partout l’air inquiet tout en murmurant des choses que je ne comprenais pas, sans doute était-il en train de réfléchir à voix haute, j’avais comme l’impression qu’un danger s’approchait de nous dans toute les directions … j’ignorais ce qui me faisait penser cela, c’était comme une sorte d’intuition …
_ …. On est cerné ….
Et malheureusement j’avais bel et bien raison … à peine eus-je finis ma phrase que les trois hommes sortir de la pénombre … après quelque échange verbaux entre Yasushi et les assassins le combat passa aux actes physique. Yasushi s’était interposé pour me protéger et faisait appel à son pouvoir pour lutter, malheureusement les trois hommes étaient également armés, et a trois contre un … Yasushi se retrouva rapidement en situation de faiblesse …. Deux des hommes le distrayait tandis que le troisième s’apprêtait à lui tiré dessus … en voyant cela mon sang ne fit qu’un tour
Hors que question que cela recommence … je ne verrais pas une fois de plus l’un de mes proches se faire blesser ou tuer alors que je suis impuissant ….
Je me mis à hurler à pleins poumons
_ ARRETEZ !!!!
Tout s’enchaina très vite, mes yeux retrouvèrent leur éclat violet tandis que mes pupilles devinrent fendus comme celles d’une vipère. Un coup de feu retentit, et au même moment des tentacules noirs plates et pointus sortir de mon dos, déchirant mes vêtements …. Elles étaient douze. L’une se plaça devant Yasushi, faisant ricocher la balle dessus. Quelques étincelles apparurent à cause du frottement entre la balle et mon vecteur.
Quatres tentacules de part et d’autre de mon amis repoussèrent ces deux assaillants lui permettant de reprendre le dessus tandis qu’un autre s’élança en direction de l’homme armé, fit un ricoché au sol afin de frapper violement au niveau de sa main, détruisant l’arme à feu et blessant le porteur. Deux tentacules le saisir au niveau des jambes pour le trainer un peu plus près de moi. Trois tentacules supplémentaires vinrent le saisir fermement à chaque bras et la gorge, le soulevant brutalement pour le cogner au plafond, puis au sol, contre le mur pour au final l’envoyer valser sur ses deux acolytes ….
En réalité je n’avais aucun contrôle sur ces tentacules, elles agissaient entièrement d’elles même, comme animé par leur propre conscience …
Ici j'écris mon HRP
(c) Yumiko sur Académie Tsuki
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
_ …. On est cerné ….
Ses dires me stoppèrent net dans mes agissements totalement décousus pour permettre à mon regard de se poser sur lui avec un mélange de peur et d’interrogation. Je n’eus cependant pas le loisir de lui poser une quelconque question puisque les trois poursuivants arrivèrent chacun d’un côté. Ils semblaient plus déterminés que jamais de terminer le travail qui leur avait été demandé. C’était assez flagrant, surtout lorsqu’on voyait leurs visages tordus par l’agacement et une certaine euphorie. Déjà ça, mais en plus ils me dirent tour à tour :
- C’est finis, Yasushi. Tu ne peux plus t’échapper !
- Si tu veux t’en sortir vivant, t’as une victime parfaite derrière toi…
- On peut même te donner l’arme de ton choix pour ça.
Leurs sourire me donnaient des sueurs froides, bien que ce ne soit pas le seul élément… Leur « offre » faisait remuer en moi l’assassin, me mettant à mal. Pourtant, il m’était hors de question que je mette en péril la vie de Noa. C’était inconcevable ! C’est pourquoi je leur répondis froidement d’aller se faire foutre. Rien que cela suffit à ce que l’affrontement passe du verbal au physique. Autant que possible, usant de mon pouvoir comme barrière contre les balles, je protégeai mon ami. Je fus cependant rapidement mis à mal : mes mains commençaient à me faire très mal. Déjà qu’elles étaient pleines de cloques avant cela, leur état commençait à s’aggraver. Le pire était que je ne pouvais pas me focaliser totalement sur les trois ennemis : derrière nous s’étendait l’eau sale des égouts, nous bloquant au même titre que les trois gaillards qui nous entouraient. Du coup, ils en avaient profité pour que deux d’entre eux attirent mon attention le plus possible, m’empêchant de voir ce que faisait le troisième. Est-ce que Noa était hors de danger ? Est-ce qu’il allait bien ? Allait-on tenter de lui faire du mal ? Je n’en savais strictement rien et n’avait pas l’occasion de le vérifier. Même lorsqu’il hurla, je ne pus que sursauter avant de devoir me reconcentrer sur le combat pour éviter de me faire tirer dessus. Heureusement, des sortes de tentacules noires apparurent comme pour me protéger.
D’où venaient ces sortes de rubans ? Qui était donc capable de cela ? Je ne comprenais pas trop ce qu’il se passait. Je n’étais de toute façon pas encore sorti d’affaire et le danger était encore assez grand pour que mon esprit reste focalisé sur le combat. Je jetai un petit coup d’œil sur Noa, puis, voyant qu’il allait bien, je créai de nouvelles bulles, tuant dans le même temps les paumes de mes mains, pour les lancer sur mes deux adversaires. Ayant peur de me perdre en tuant par inadvertance l’un d’eux, je les assommai en jouant sur la ruse avant de prendre le Rubis par la main et le trainer dans les souterrains, allant le plus possible vers l’académie. La fatigue et le stress me rongeaient, mais je tenais bon grâce à l’adrénaline créée par tout cela et l’envie de mettre Noa en sécurité.
Lorsque nous fûmes assez loin et proches d’une sortie, toujours en ville selon une plaque près de l’échelle, je demandai à mon ami en tentant de reprendre mon souffle, les yeux fermés et en m’appuyant sur mes genoux :
- Est-ce… Est-ce que ça va… Noa ? Ils ne t’ont… rien fait ?
Ses dires me stoppèrent net dans mes agissements totalement décousus pour permettre à mon regard de se poser sur lui avec un mélange de peur et d’interrogation. Je n’eus cependant pas le loisir de lui poser une quelconque question puisque les trois poursuivants arrivèrent chacun d’un côté. Ils semblaient plus déterminés que jamais de terminer le travail qui leur avait été demandé. C’était assez flagrant, surtout lorsqu’on voyait leurs visages tordus par l’agacement et une certaine euphorie. Déjà ça, mais en plus ils me dirent tour à tour :
- C’est finis, Yasushi. Tu ne peux plus t’échapper !
- Si tu veux t’en sortir vivant, t’as une victime parfaite derrière toi…
- On peut même te donner l’arme de ton choix pour ça.
Leurs sourire me donnaient des sueurs froides, bien que ce ne soit pas le seul élément… Leur « offre » faisait remuer en moi l’assassin, me mettant à mal. Pourtant, il m’était hors de question que je mette en péril la vie de Noa. C’était inconcevable ! C’est pourquoi je leur répondis froidement d’aller se faire foutre. Rien que cela suffit à ce que l’affrontement passe du verbal au physique. Autant que possible, usant de mon pouvoir comme barrière contre les balles, je protégeai mon ami. Je fus cependant rapidement mis à mal : mes mains commençaient à me faire très mal. Déjà qu’elles étaient pleines de cloques avant cela, leur état commençait à s’aggraver. Le pire était que je ne pouvais pas me focaliser totalement sur les trois ennemis : derrière nous s’étendait l’eau sale des égouts, nous bloquant au même titre que les trois gaillards qui nous entouraient. Du coup, ils en avaient profité pour que deux d’entre eux attirent mon attention le plus possible, m’empêchant de voir ce que faisait le troisième. Est-ce que Noa était hors de danger ? Est-ce qu’il allait bien ? Allait-on tenter de lui faire du mal ? Je n’en savais strictement rien et n’avait pas l’occasion de le vérifier. Même lorsqu’il hurla, je ne pus que sursauter avant de devoir me reconcentrer sur le combat pour éviter de me faire tirer dessus. Heureusement, des sortes de tentacules noires apparurent comme pour me protéger.
D’où venaient ces sortes de rubans ? Qui était donc capable de cela ? Je ne comprenais pas trop ce qu’il se passait. Je n’étais de toute façon pas encore sorti d’affaire et le danger était encore assez grand pour que mon esprit reste focalisé sur le combat. Je jetai un petit coup d’œil sur Noa, puis, voyant qu’il allait bien, je créai de nouvelles bulles, tuant dans le même temps les paumes de mes mains, pour les lancer sur mes deux adversaires. Ayant peur de me perdre en tuant par inadvertance l’un d’eux, je les assommai en jouant sur la ruse avant de prendre le Rubis par la main et le trainer dans les souterrains, allant le plus possible vers l’académie. La fatigue et le stress me rongeaient, mais je tenais bon grâce à l’adrénaline créée par tout cela et l’envie de mettre Noa en sécurité.
Lorsque nous fûmes assez loin et proches d’une sortie, toujours en ville selon une plaque près de l’échelle, je demandai à mon ami en tentant de reprendre mon souffle, les yeux fermés et en m’appuyant sur mes genoux :
- Est-ce… Est-ce que ça va… Noa ? Ils ne t’ont… rien fait ?
(c) Rin sur Epicode
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Durant tout le combat j’étais comme absent. Mon esprit vagabondait ailleurs
Tout était noir autour de moi la seul chose que je parvenais a distingué était un énorme serpent d’une bonne dizaine de mètre de long au moins, aux écailles noir hérissées en pointes semblable aux serpents athéris lui donnant des airs de dragon. Le reptile me regardait de ses yeux violets, brillant faiblement. Tout son corps était enroulé sur lui-même. Puis au bout d’un moment la créature déploya ses anneaux pour se redresser tout en me regardant et sifflant la bouche grande ouverte, dévoilant ces crochets venimeux. Je ne ressentais aucune peur … il me sembla avoir déjà vu cette animal auparavant ….
Je fus brusquement ramené à la réalité par Yasushi qui me tira par la main pour nous enfuir. Deux des hommes était à terre inconscients, tandis que le troisième poussait des râles de douleurs, la main en sang avec un pistolet réduit en miette près de lui. Alors que nous nous replions toujours plus profondément dans les égouts le dernier mercenaire encore conscient sortit un second pistolet de sa poche et nous tira dessus mais mes tentacules parait les balles avec une facilité qui me surprenait moi-même, je ne faisais rien, c’est comme si elles étaient animé par leur propre volonté.
Nous finîmes par nous stopper à proximité d’une ouverture, tandis que Yasushi reprenais son souffle, l’adrénaline redescendais mon cœur battait a m’en rompre les côtes, mes yeux retrouvais petit à petit leur couleur rouge tandis que mes tentacules disparaissaient … mais quelque chose clochait … ma vision se troublait jusqu’à devenir nul. J’étais devenu aveugle, mes yeux semblaient recouverts par un feutrage blanc leur donnant une couleur laiteuse.
_ - Est-ce… Est-ce que ça va… Noa ? Ils ne t’ont… rien fait ?
_ Je… je ne vois plus rien ….
Tout était noir autour de moi la seul chose que je parvenais a distingué était un énorme serpent d’une bonne dizaine de mètre de long au moins, aux écailles noir hérissées en pointes semblable aux serpents athéris lui donnant des airs de dragon. Le reptile me regardait de ses yeux violets, brillant faiblement. Tout son corps était enroulé sur lui-même. Puis au bout d’un moment la créature déploya ses anneaux pour se redresser tout en me regardant et sifflant la bouche grande ouverte, dévoilant ces crochets venimeux. Je ne ressentais aucune peur … il me sembla avoir déjà vu cette animal auparavant ….
Je fus brusquement ramené à la réalité par Yasushi qui me tira par la main pour nous enfuir. Deux des hommes était à terre inconscients, tandis que le troisième poussait des râles de douleurs, la main en sang avec un pistolet réduit en miette près de lui. Alors que nous nous replions toujours plus profondément dans les égouts le dernier mercenaire encore conscient sortit un second pistolet de sa poche et nous tira dessus mais mes tentacules parait les balles avec une facilité qui me surprenait moi-même, je ne faisais rien, c’est comme si elles étaient animé par leur propre volonté.
Nous finîmes par nous stopper à proximité d’une ouverture, tandis que Yasushi reprenais son souffle, l’adrénaline redescendais mon cœur battait a m’en rompre les côtes, mes yeux retrouvais petit à petit leur couleur rouge tandis que mes tentacules disparaissaient … mais quelque chose clochait … ma vision se troublait jusqu’à devenir nul. J’étais devenu aveugle, mes yeux semblaient recouverts par un feutrage blanc leur donnant une couleur laiteuse.
_ - Est-ce… Est-ce que ça va… Noa ? Ils ne t’ont… rien fait ?
_ Je… je ne vois plus rien ….
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
_ Je… je ne vois plus rien ….
Cette déclaration de Noa me fit relever la tête soudainement en écarquillant les yeux de stupeur. Il… ne voyait plus rien ?! Lui avait-on tiré dessus ? Avait-il eu une blessure quelconque ? Terrorisé à cette idée et envahie par une certaine culpabilité puisque j’étais la cause de la présence du danger, je me précipitai vers lui et lui prit le menton avec douceur pour regarder ce qu’il en était. Je pus ainsi remarquer que ses yeux paraissaient laiteux mais qu’il n’avait aucune blessure apparente. Je n’en fus que très peu soulagé, ce qui ne fut pas plus mal puisque le stress me permettait de rester debout. J’avais tout de même quelques difficultés à réfléchir : lâchant Noa en faisant attention de ne pas être brusque, je me mis à tourner en rond pendant un instant. Finalement, la solution, la seule qui existait, me parut évidente. Autant qu’elle était redoutée. Je devais mener Noa à l’académie. D’un autre côté, je me doutais que le Rubis n’était pas venu me chercher pour conter fleurette… Je pris donc une grande inspiration pour me calmer avant de retourner vers mon ami qui ne devait pas être rassuré et je lui pris la main en lui parlant avec douceur :
- T’inquiète pas, je vais te ramener à l’infirmerie. Pour ça, faut qu’on sorte de là. Je vais donc te montrer où est l’échelle avant de monter pour ouvrir la plaque, OK ?
J’attendis qu’il me montre ou me dise qu’il avait compris et qu’il était d’accord avant de le lui mettre la main que je tenais sur un barreau de l’échelle tout en gardant contact d’une paume sur le dos. Je le prévins ensuite que je montai avant de me mettre à l’œuvre. J’eus quelques difficultés à décoller la plaque, mais j’y parvins tout de même assez tôt pour sortir et aider le jeune homme.
Lorsque nous fûmes tous deux à l’air libre, je fermais l’ouverture en regardant autour pour vérifier qu’ils ne s’étaient pas remis plus tôt que prévu. Puis, lorsque je fus certain que nous étions en sécurité, je repris la main de Noa et me mis à marcher aussi lentement qu’il en avait besoin tout en le guidant. Silencieux, je ne pus m’empêcher de repenser au baiser que nous avions échangé plus tôt. Que devais-je en penser ? J’avais aimé, de cela je n’en avais aucun doute. Mais, n’était-ce pas… Non ! sinon cela voudrait dire que Noa l’était aussi et je me refusais de le penser. Alors quoi ? Je n’avais encore jamais vu ce genre de relation, et celle-ci me semblait être une voie de facilité par rapport à mon histoire avec Yumi. Pourtant, il ne me semblait pas que les sentiments que j’éprouvais lorsque j’étais à ses côtés ou même en pensant simplement à lui étaient faux. Non, ce n’était pas possible qu’ils le soient…
Lorsque nous fûmes arrivés devant les grilles de l’académie, je m’arrêtai un instant, en proie aux mêmes doutes qui m’avaient assailli avant que le Rubis ne vienne me trouver. Je mis donc à penser à ses paroles : « J’ai cru comprendre qu’on a plutôt tendance à se servir des autres pour te faire du mal. », « Quant à moi …peu importe les blessures … ce sera toujours moins douloureux que de te perdre. ». C’est ce qui me permit d’avancer encore, d’entrer dans ce lieu que je m’étais interdit pour protéger les autres, et ainsi mener Noa à l’infirmerie, près du seul qui pourrait le guérir : mon père de cœur, Archie.
Cette déclaration de Noa me fit relever la tête soudainement en écarquillant les yeux de stupeur. Il… ne voyait plus rien ?! Lui avait-on tiré dessus ? Avait-il eu une blessure quelconque ? Terrorisé à cette idée et envahie par une certaine culpabilité puisque j’étais la cause de la présence du danger, je me précipitai vers lui et lui prit le menton avec douceur pour regarder ce qu’il en était. Je pus ainsi remarquer que ses yeux paraissaient laiteux mais qu’il n’avait aucune blessure apparente. Je n’en fus que très peu soulagé, ce qui ne fut pas plus mal puisque le stress me permettait de rester debout. J’avais tout de même quelques difficultés à réfléchir : lâchant Noa en faisant attention de ne pas être brusque, je me mis à tourner en rond pendant un instant. Finalement, la solution, la seule qui existait, me parut évidente. Autant qu’elle était redoutée. Je devais mener Noa à l’académie. D’un autre côté, je me doutais que le Rubis n’était pas venu me chercher pour conter fleurette… Je pris donc une grande inspiration pour me calmer avant de retourner vers mon ami qui ne devait pas être rassuré et je lui pris la main en lui parlant avec douceur :
- T’inquiète pas, je vais te ramener à l’infirmerie. Pour ça, faut qu’on sorte de là. Je vais donc te montrer où est l’échelle avant de monter pour ouvrir la plaque, OK ?
J’attendis qu’il me montre ou me dise qu’il avait compris et qu’il était d’accord avant de le lui mettre la main que je tenais sur un barreau de l’échelle tout en gardant contact d’une paume sur le dos. Je le prévins ensuite que je montai avant de me mettre à l’œuvre. J’eus quelques difficultés à décoller la plaque, mais j’y parvins tout de même assez tôt pour sortir et aider le jeune homme.
Lorsque nous fûmes tous deux à l’air libre, je fermais l’ouverture en regardant autour pour vérifier qu’ils ne s’étaient pas remis plus tôt que prévu. Puis, lorsque je fus certain que nous étions en sécurité, je repris la main de Noa et me mis à marcher aussi lentement qu’il en avait besoin tout en le guidant. Silencieux, je ne pus m’empêcher de repenser au baiser que nous avions échangé plus tôt. Que devais-je en penser ? J’avais aimé, de cela je n’en avais aucun doute. Mais, n’était-ce pas… Non ! sinon cela voudrait dire que Noa l’était aussi et je me refusais de le penser. Alors quoi ? Je n’avais encore jamais vu ce genre de relation, et celle-ci me semblait être une voie de facilité par rapport à mon histoire avec Yumi. Pourtant, il ne me semblait pas que les sentiments que j’éprouvais lorsque j’étais à ses côtés ou même en pensant simplement à lui étaient faux. Non, ce n’était pas possible qu’ils le soient…
Lorsque nous fûmes arrivés devant les grilles de l’académie, je m’arrêtai un instant, en proie aux mêmes doutes qui m’avaient assailli avant que le Rubis ne vienne me trouver. Je mis donc à penser à ses paroles : « J’ai cru comprendre qu’on a plutôt tendance à se servir des autres pour te faire du mal. », « Quant à moi …peu importe les blessures … ce sera toujours moins douloureux que de te perdre. ». C’est ce qui me permit d’avancer encore, d’entrer dans ce lieu que je m’étais interdit pour protéger les autres, et ainsi mener Noa à l’infirmerie, près du seul qui pourrait le guérir : mon père de cœur, Archie.
(c) Rin sur Epicode
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
A mes mots je pouvais entendre et sentir mon ami se rapprocher de moi pour me saisir par le menton délicatement et me faire tourner la tête avant de s’agiter autour de moi. Je ne comprenais ni ce qui m’arrivait ni ce qui se passait mais je faisais suffisamment confiance a Yasushi pour me laisser faire.
- T’inquiète pas, je vais te ramener à l’infirmerie. Pour ça, faut qu’on sorte de là. Je vais donc te montrer où est l’échelle avant de monter pour ouvrir la plaque, OK ?
_ d’ … d’accord
Une fois que j’eus acquiescé, toujours avec la même douceur je le sentis prendre ma main pour la poser sur une barre de fer froide et légèrement humide. Je pouvais en conclure qu’il s’agissait de la fameuse échelle. J’entendais Yasushi la gravir suivit d’un bruit lourd et métallique. A en juger par les bruits l’échelle ne paraissait pas bien grande et je pensais qu’il sera facile de la gravir. Je me trompais imaginé que vous gravissez une échelle les yeux fermé, sans aucune idée de hauteur qu’il vous reste à gravir ni du vide qu’il y avait sous vos pied. Je peux vous dire que mes sens, en particulier celui de l’équilibre ainsi que mon sang froid étaient mis à rude épreuve.
Au bout d’un moment qui m’avait paru être une éternité je pouvais sentir Yasushi me saisir la main pour m’aider à regagner la surface.
Le bruit lourd et métallique se fit à nouveau entendre, j’imagine qu’il s’agissait de Yasushi qui refermait la bouche d’égout derrière nous. Puis il me guida à travers ce qui devait être la ville. Le brouhaha qui y régnait bien que je le connaissais ne manquait de me paniqué alors que j’étais plongé dans les ténèbres et je dus resserrer un peu plus ma main sur celle de Yasushi comme pour ma rassuré de sa présence.
Au bout d’un moment je sentis que nous nous arrêtions je ne comprenais pas pourquoi mais au final nous avions repris notre progression. Le bruit qui nous entourait était différent de celui en ville … nous franchissions une première porte et je pus entendre des vois discuter, des casiers claqué … il n’y avait plus de bruit de moteur. On était arrivé
- T’inquiète pas, je vais te ramener à l’infirmerie. Pour ça, faut qu’on sorte de là. Je vais donc te montrer où est l’échelle avant de monter pour ouvrir la plaque, OK ?
_ d’ … d’accord
Une fois que j’eus acquiescé, toujours avec la même douceur je le sentis prendre ma main pour la poser sur une barre de fer froide et légèrement humide. Je pouvais en conclure qu’il s’agissait de la fameuse échelle. J’entendais Yasushi la gravir suivit d’un bruit lourd et métallique. A en juger par les bruits l’échelle ne paraissait pas bien grande et je pensais qu’il sera facile de la gravir. Je me trompais imaginé que vous gravissez une échelle les yeux fermé, sans aucune idée de hauteur qu’il vous reste à gravir ni du vide qu’il y avait sous vos pied. Je peux vous dire que mes sens, en particulier celui de l’équilibre ainsi que mon sang froid étaient mis à rude épreuve.
Au bout d’un moment qui m’avait paru être une éternité je pouvais sentir Yasushi me saisir la main pour m’aider à regagner la surface.
Le bruit lourd et métallique se fit à nouveau entendre, j’imagine qu’il s’agissait de Yasushi qui refermait la bouche d’égout derrière nous. Puis il me guida à travers ce qui devait être la ville. Le brouhaha qui y régnait bien que je le connaissais ne manquait de me paniqué alors que j’étais plongé dans les ténèbres et je dus resserrer un peu plus ma main sur celle de Yasushi comme pour ma rassuré de sa présence.
Au bout d’un moment je sentis que nous nous arrêtions je ne comprenais pas pourquoi mais au final nous avions repris notre progression. Le bruit qui nous entourait était différent de celui en ville … nous franchissions une première porte et je pus entendre des vois discuter, des casiers claqué … il n’y avait plus de bruit de moteur. On était arrivé
Re: il est plus que temps qu'on parle (pv Yasushi)
Il est plus que temps qu'on parle
Archie était installé à son bureau, mettant à jour les dossiers tout en prêtant une oreille attentive à ce qui se passait dans la pièce. Dans l'un des lits entouré par des rideaux se trouvait une Luxia présentement endormie. Il ne la connaissait que peu, sachant uniquement qu'elle était une amie de Noa et qu'elle était une personne très serviable. La pauvre ayant souffert d'un usage trop intensif de son pouvoir fut transportée par le Rubis et Yumiko à l'infirmerie quelques heures plus tôt. Sa condition dépassant la médecine régulière, il n'eut pas le choix de la mettre au repos forcé. Au moins, en vérifiant ses signes vitaux régulièrement, il voyait que son état était stable, donc hors de danger. Il prit une gorgée de chocolat chaud, finissant sa tasse avant de la poser sur son bureau lorsque la porte de l'infirmerie s'ouvrit.
Archie leva d'abord les yeux pour accueillir ses visiteurs... Mais finit par se lever lui-même d'un coup, accrochant son bureau et... sa tasse finit en morceau sur le sol. ...C'était toujours ses tasses préférées qui payaient le prix, hein? Mais enfin ce n'était pas l'important!
En voyant Yasushi arriver avec Noa, il avait eu le net pressentiment que quelque chose n'allait pas. D'abord, connaissant son fils, Archie avait jeté un regard à ses mains, sérieusement brûlées. L'effet secondaire bien connu de son pouvoir... Mais ce qui avait tant surpris l'infirmier était de voir les yeux de Noa, blanc comme du lait.
Tentant de garder une voix basse pour ne pas réveiller Luxia, Archie s'exclama tout de même:
- Yasu, Noa?! Que s'est-il passé, bon Dieu?
Il se dirigea d'abord vers le jeune homme aux cheveux noirs, le guidant en le tenant par les épaules. Par la même occasion il remarqua ses vêtements déchirés au niveau du dos. Alors que les questions se multipliaient dans la tête du Diamant, il les tut le temps de conduire Noa vers l'un des lits libres avant de le faire s'asseoir.
- Ne bouge pas, je reviens tout de suite, lui dit-il avant d'aller ramasser les miettes de céramique. D'un coup d'un élève débarque et se blesse en marchant dessus.
Tandis qu'il faisait cela, il leva les yeux vers Yasushi comme pour demander silencieusement des explications. Leur vie était (trop) riche en rebondissements dangereux...
Archie leva d'abord les yeux pour accueillir ses visiteurs... Mais finit par se lever lui-même d'un coup, accrochant son bureau et... sa tasse finit en morceau sur le sol. ...C'était toujours ses tasses préférées qui payaient le prix, hein? Mais enfin ce n'était pas l'important!
En voyant Yasushi arriver avec Noa, il avait eu le net pressentiment que quelque chose n'allait pas. D'abord, connaissant son fils, Archie avait jeté un regard à ses mains, sérieusement brûlées. L'effet secondaire bien connu de son pouvoir... Mais ce qui avait tant surpris l'infirmier était de voir les yeux de Noa, blanc comme du lait.
Tentant de garder une voix basse pour ne pas réveiller Luxia, Archie s'exclama tout de même:
- Yasu, Noa?! Que s'est-il passé, bon Dieu?
Il se dirigea d'abord vers le jeune homme aux cheveux noirs, le guidant en le tenant par les épaules. Par la même occasion il remarqua ses vêtements déchirés au niveau du dos. Alors que les questions se multipliaient dans la tête du Diamant, il les tut le temps de conduire Noa vers l'un des lits libres avant de le faire s'asseoir.
- Ne bouge pas, je reviens tout de suite, lui dit-il avant d'aller ramasser les miettes de céramique. D'un coup d'un élève débarque et se blesse en marchant dessus.
Tandis qu'il faisait cela, il leva les yeux vers Yasushi comme pour demander silencieusement des explications. Leur vie était (trop) riche en rebondissements dangereux...
(c)Rin sur Epicode
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