Not the fastest yet. [Solo]
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Not the fastest yet. [Solo]
Il y avait une grosse lacune dans mon pouvoir, quelque chose qui me torturait par sa présence, révélant un point que je n’avais réussi à résoudre depuis que j’avais découvert mon pouvoir. Nous avons tous besoin de temps et personnellement je trouvais que j’en avais bien trop besoin. Tant besoin que j’utilisais rarement des objets à présent me contentant d’avoir recours à mon sang seul, brute et inchangé pour répondre à mes envies. Mais ce n’était pas ce qu’il me fallais, je devais Pouvoir créer des objets plus rapidement pour répondre à ce que mon sang ne sait pas faire, soit me protéger de tout ce qui est attaques trop violente en therme de milieu. Par là j’entendais tout ce qui était température extrêmes et choc électrique tout particulièrement. Même si je pouvais m’en défendre assez facilement en théorie, utiliser mon sang pour tout donnais une voie d’entré pour plusieurs agressions qui pouvaient se révéler problématiques si je ne prenais pas garde. Et puis je préférais être un dieu des lames plutôt qu’un dieu des tentacules, je laissais ça à qui le voudra, Noa par exemple, pour ma part les tentacules c’était un jeux avec Lucy, mais maintenant qu’elle était partie, il n’y avait pas vraiment de raison pour moi de continuer avec ça.
Je tirai un peu sur mon costume pour en parfaire l’apparence. J’étais « déguisé » en magicien de rue et mon idée avait été de faire un tour de magie avec mon pouvoir sans que personne ne s’en redent compte. Il fallait donc que je déguise et détourne l’attention pendant que je créais et réduisais en sang mes créations pour faire illusion. C’était difficile, je faisais actuellement un spectacle dans la rue et il y avait beaucoup de monde qui se baladait en ce samedi midi dans le quartier. Je tendis mon bras pour cacher une carte au dos de ma main et pendant la rotation la carte se consuma dans l’air pour disons plutôt fondre dans ma main. Parfaitement disparue l’illusion était là, et c’était assez simple, mais la partie difficile était de la faire réapparaitre le plus vite possible pour que personne ne voit une goutte de rouge et seulement une carte. Je fis un moulinet avec ma main et donna à mon sang une forme de carte dans ma paume, je fermai le poing dessus et attira l’attention des spectateurs sur l’autre main afin de gagner mes trois secondes, et en même temps que je leurs donnais le change je me concentrais, forçais sur mon sang pour qu’il se change, se désorganise, se soude à nouveau mais une autre forme, une autre composition. Il me fallait me concentrer pour visualiser sans faute le processus, mais surtout pour le faire plus vite, le faire mieux, et le faire sans être vu. Je sentais mon sang se détruire et se reformer, c’était difficile de faire plus vite, c’était comme une seringue pleine d’eau et bouchée qu’on voudrait compresser au maximum. Mais comme chacun le sait l’eau est incompressible et de la même manière j’avais l’impression de forcer, de jouer un bras de fer contre une force invisible que je parvenais pas à faire mienne, je n’arrivais pas à gagner du terrain.
A un autre moment j’avais décidé de faire le coup du mouchoir de 10m qui sortait de mon poing fermé mais pour me forcer un peu à réussir, j’avais donné le premier bout de tissu à un enfant dans l’assistance, et je me doutais que quand il aurait compris qu’il n’y avait pas de fin à ce tissu il tirerait de plus en plus vite pour tester la théorie, et en même temps sans le savoir me tester moi. L’enfant se saisit du petit bout et commença à tirer timidement sous le regard amusé de son père, quand elle comprit elle tira avec ses deux mains sans discontinuer pour comme prévu alla de plus en plus vite. De mon côté au début s’était facile j’avais une petite réserve de secours pour faire tampon si jamais je flanchais, mais je n’avais pas prévu que l’enfant mette autant d’entrain à réaliser son œuvre et le tampon avait bien vite fondu. Je commençais à fatiguer, de ma journée premièrement et aussi de la situation, il avait tiré 2m et je m’efforçais de suivre son rythme grandissant. Mon sang sortait comme c’était sur lui qu’il tirait directement et l’arrachait à mon corps je ne parvenais pas à garder le rythme et rapidement il arriva le moment où je n’allais plus assez vit pour lui, dans la précipitation je n’ai trouvé qu’une seule et unique parade, ne pas tout faire d’un coup, quand le sang sortait de mon ping il devait avoir l’apparence du tissu, identique au reste du mouchoir géant, mais il ne devait en avoir que l’apparence, le ‘’cœur’’ du tissue n’avait pas besoin d’être complet et je redoubla de concentration afin de parvenir à ce stratagème de secours. Jusqu’à ce que je fasse une erreur et que le sang se fonda dans le tissu de mon gant blanc et que l’enfant me l’arracha sans s’en rendre compte.
J’était trop concentré pour l’avoir envisagé et ceci me fit sursauter, mais en bon acteur je m’en servi pour créer la surprise chez tout le monde en sautant en arrière dans le même geste et en écartant le bras pour parfaire le prestige. Ça n’était que maigre performance pour ma part mais tout le monde semblait parfaitement ébahi et satisfait. Une petite consolation pour moi mais les pièces pleurèrent après les applaudissements et je fis mine de ranger mon mouchoir et mon gant dans ma poche alors qu’en réalité je le réintégrais dans mon sang. Cette journée touchait à sa fin pour moi, je remballai tout ce qui était à moi et trainer ici et là réunissant mes affaires pour enfin arrêter, c’était fatiguant de prétendre sans arrêt sur quelque chose dont on n’a pas l’habitude et je sentais une envie de sieste poindre. Je remerciai tout le monde, les salua et prit ma route pour aller dormir quelque part de tranquille, donnant le contenue de mon chapeau à un SDF qui faisait la manche quelques rues à côté. Je ne le connaissais pas mais je n’avais pas grand-chose à faire de cette monnaie et j’avais horreur de trimbaler des pièces dans mes poches pour faire dling dling à chaque pas.
Je tirai un peu sur mon costume pour en parfaire l’apparence. J’étais « déguisé » en magicien de rue et mon idée avait été de faire un tour de magie avec mon pouvoir sans que personne ne s’en redent compte. Il fallait donc que je déguise et détourne l’attention pendant que je créais et réduisais en sang mes créations pour faire illusion. C’était difficile, je faisais actuellement un spectacle dans la rue et il y avait beaucoup de monde qui se baladait en ce samedi midi dans le quartier. Je tendis mon bras pour cacher une carte au dos de ma main et pendant la rotation la carte se consuma dans l’air pour disons plutôt fondre dans ma main. Parfaitement disparue l’illusion était là, et c’était assez simple, mais la partie difficile était de la faire réapparaitre le plus vite possible pour que personne ne voit une goutte de rouge et seulement une carte. Je fis un moulinet avec ma main et donna à mon sang une forme de carte dans ma paume, je fermai le poing dessus et attira l’attention des spectateurs sur l’autre main afin de gagner mes trois secondes, et en même temps que je leurs donnais le change je me concentrais, forçais sur mon sang pour qu’il se change, se désorganise, se soude à nouveau mais une autre forme, une autre composition. Il me fallait me concentrer pour visualiser sans faute le processus, mais surtout pour le faire plus vite, le faire mieux, et le faire sans être vu. Je sentais mon sang se détruire et se reformer, c’était difficile de faire plus vite, c’était comme une seringue pleine d’eau et bouchée qu’on voudrait compresser au maximum. Mais comme chacun le sait l’eau est incompressible et de la même manière j’avais l’impression de forcer, de jouer un bras de fer contre une force invisible que je parvenais pas à faire mienne, je n’arrivais pas à gagner du terrain.
A un autre moment j’avais décidé de faire le coup du mouchoir de 10m qui sortait de mon poing fermé mais pour me forcer un peu à réussir, j’avais donné le premier bout de tissu à un enfant dans l’assistance, et je me doutais que quand il aurait compris qu’il n’y avait pas de fin à ce tissu il tirerait de plus en plus vite pour tester la théorie, et en même temps sans le savoir me tester moi. L’enfant se saisit du petit bout et commença à tirer timidement sous le regard amusé de son père, quand elle comprit elle tira avec ses deux mains sans discontinuer pour comme prévu alla de plus en plus vite. De mon côté au début s’était facile j’avais une petite réserve de secours pour faire tampon si jamais je flanchais, mais je n’avais pas prévu que l’enfant mette autant d’entrain à réaliser son œuvre et le tampon avait bien vite fondu. Je commençais à fatiguer, de ma journée premièrement et aussi de la situation, il avait tiré 2m et je m’efforçais de suivre son rythme grandissant. Mon sang sortait comme c’était sur lui qu’il tirait directement et l’arrachait à mon corps je ne parvenais pas à garder le rythme et rapidement il arriva le moment où je n’allais plus assez vit pour lui, dans la précipitation je n’ai trouvé qu’une seule et unique parade, ne pas tout faire d’un coup, quand le sang sortait de mon ping il devait avoir l’apparence du tissu, identique au reste du mouchoir géant, mais il ne devait en avoir que l’apparence, le ‘’cœur’’ du tissue n’avait pas besoin d’être complet et je redoubla de concentration afin de parvenir à ce stratagème de secours. Jusqu’à ce que je fasse une erreur et que le sang se fonda dans le tissu de mon gant blanc et que l’enfant me l’arracha sans s’en rendre compte.
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