Une invitation à parler [Revan]
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Une invitation à parler [Revan]
Une invitation à parler
"Tic ... Tac ... Tic ... Tac ..." Les aiguilles de l'horloge avançaient si lentement ... et pourtant si vite ... Il était 13h27 et je fixais l'heure d'un regard un peu absent. J'étais assise sur le lit , les jambes croisées , jouant avec une mèche de cheveux , tirant sur un plis de ma jupe distraitement. J'avais encore un peu de temps avant de descendre pour aller à l'arrêt de bus, mais je me sentais horriblement nerveuse ... Ce n'était pas un rendez-vous amoureux alors pourquoi me m'étais-je dans cet état ... ? Je n'avais pas pu avaler grand chose à midi et j'espérais juste que plus tard mon ventre ne grognerait pas , pour me rappeler mon manque d'appétit au déjeuner ...
Je me releva , vérifiant encore une fois mes affaires rangées dans mon sac, regarda si mon téléphone était bien allumé et chargé.
En passant devant le miroir, je me demandais si je ne devais pas attacher mes cheveux ... mais après avoir commençait une tresse, je la secoua pour la défaire , préférant les laisser flotter librement sur mes épaules, leur donnant un dernier coup de brosse. Kaname n'était pas là et Haru était sortie se promener dans les jardins ... J'avais donc tout le loisir de stresser seule dans la chambre. Je réfléchissais à ce que je pourrais lui dire ... ce que nous allions devoir évoquer ... et ma gorge se resserrait encore plus ... " Aiky calme toi , enfin ! "
Afin de me calmer, je me décida à mettre mes bottes à talon, pris ma veste que je passais au dessus de mon pull blanc et déposa une goutte de parfum " Sweet Rose" derrière chaque oreille, dans le creux, juste en dessous de la pomme d'Adam et sur mes poignets. Kaname m'aurait sans doute conseillé de ma maquiller ... mais j'aimais rester au naturel et puis .. maladroite comme j'étais, je ne savais de toute façon pas tracer un trait droit d'eye-liner ou connaitre la façon de mettre du blush ou les couleurs de fard adaptés à mes yeux ... Je n'avais de toute façon pas grand chose comme matériel alors la question était vite réglée.
Je soupirais face au reflet du miroir, coinçant ma mèche rebelle derrière mon oreille (stupide tic !) et attrapa mon sac avant de sortir de la chambre. Il ne fallait pas que je flâne trop au risque d'arriver en retard et il n'y avait pas beaucoup de passage de bus le weekend.
Je marchais d'un pas vif dans le couloir et descendis l'escalier pour sortir du bâtiment et me diriger vers l'entrée de l'académie dont l'arrêt de bus était juste de l'autre côté de la grille. Je respirais profondément l'odeur de terre humide et de gazon couvert de rosé, plus calme à présent.
Mes mains cachées dans mes manches trop longues se balançaient au rythme de mes pas et je relevais la tête en voyant un oiseau s'enfuir à tire d'aile au dessus de moi. Il faisait beau, un peu frais avec un léger vent qui faisait onduler mes cheveux derrière moi, quelques rayons de soleil jouant dans le feuillage des arbres ... une belle journée pour aller se balader sans aucun doute.
Enfin, j'arrivais au niveau de la grille que j'ouvris , m'arreta à peine une seconde le temps de respirer profondément, avant de tourner la tête vers l'arrêt de bus pour y rejoindre Revan.
Re: Une invitation à parler [Revan]
C'est le grand jour, et je n'ai pas cessé d'angoissé de la journée. J'ai à peine fermé l’œil cette nuit, et au réveil j'ai fais les cents pas ne serait-ce que pour vérifié cinq-cent fois si j'étais présentable. En réalité je m'en fiche un peu, je reste toujours naturel, mais il y a tout de même des limites. Il est 13h30, autrement dit, dans une demie heure je serais aux côtés d'Aïky. C'est un bête rendez-vous amicale, pour passer du temps ensemble et mettre certaine choses au clair. Mais j'ai si peu l'habitude, que je ne peux qu'être nerveux. Il faudrait vraiment m'expliquer le fonctionnement de mon corps. Je stresse quand il ne faut pas, par contre quand il faut paniqué je suis plus poser que Bob Marley ayant fumé un joins. Niveau complexité et incohérence, je suis le pro, c'est indéniable. Ceci dit les minutes passent et au lieux de rester dans ma chambre à continuer de battre le record d'aller retour, je vérifie si j'ai toujours mes 20£, je frotte ma légère veste noir comme pour la dépoussiérer alors qu'il n'y a pas de raisons. Je m'assure que mon jean est bien enfilé, réajuste mon tee-shirt blanc ainsi que mon pendentif. Puis lâche un soupire tremblant. Vue d'extérieur on ne me croirait pas angoissé, mais je peux assuré qu'à l'intérieur mon corps fait une samba macabre. 13h35, je sors dans les jardins pour me calmer.
Après ma courte mais nécessaire promenade, me voila tout de même plus détendus. Toujours stressé, mais à un taux plus gérable. Je me dirige donc vers l'arrêt de bus, et en vérifiant l'heure sur mon portable, je constate qu'il est 13h47. J'arrive donc à peu près dix minutes en avance, ce n'est pas plus mal. Mes mains plongé dans mes proches, je regarde par-ci par-là. Mon portable aussi de temps en temps, pour m'assurer qu'Aïky ne m’envoie pas un changement de dernière minute où je ne sais quoi. Puis quelques minutes plus tard, j'aperçois sa silhouette au loin. En la constatant, mon cœur me gifle un petit instant pour réveiller la pression que j'avais en partie endormis.
Son jolie manteau et son foulard à carreaux recouvre son cous et le pull blanc qui la garde au chaud. En espérant d'ailleurs qu'elle n'ait pas trop chaud vue le beau temps. Quoi qu'il en soit elle porte aussi une jupe ma foi sympathique, avec un collant noir pour recouvrir ses jambes. Et des bottes tout aussi mignonne. Oh, et également une casquette marron. La regardant respectueusement de haut en bas, mon cœur se noue bien plus. Il faut dire ce qui est, elle est vraiment charmante. Très certainement plus que moi qui ne porte qu'une légère veste à capuche noir, un tee-shirt blanc qui d'ailleurs met à nue ma paume d'Adam ainsi que quelques centimètres de mes clavicules disons... Mature. Un jean simple et des chaussures noir et blanche tout aussi quelconque.
Lorsqu'Aïky m'approche, je lui sourit gentiment mais nerveusement. Ne savant pas trop comment l'aborder. En bon français ça aurait commencer par un "coucou" et une petite bise. Mais elle est japonaise alors... Je dois rester un peu en retrait. Timidement je lui adresse :
" Coucou Aïky, tu vas bien ? "
Après ma courte mais nécessaire promenade, me voila tout de même plus détendus. Toujours stressé, mais à un taux plus gérable. Je me dirige donc vers l'arrêt de bus, et en vérifiant l'heure sur mon portable, je constate qu'il est 13h47. J'arrive donc à peu près dix minutes en avance, ce n'est pas plus mal. Mes mains plongé dans mes proches, je regarde par-ci par-là. Mon portable aussi de temps en temps, pour m'assurer qu'Aïky ne m’envoie pas un changement de dernière minute où je ne sais quoi. Puis quelques minutes plus tard, j'aperçois sa silhouette au loin. En la constatant, mon cœur me gifle un petit instant pour réveiller la pression que j'avais en partie endormis.
- HRP:
- Tu me dis si je me trompes, j'éditerais
Son jolie manteau et son foulard à carreaux recouvre son cous et le pull blanc qui la garde au chaud. En espérant d'ailleurs qu'elle n'ait pas trop chaud vue le beau temps. Quoi qu'il en soit elle porte aussi une jupe ma foi sympathique, avec un collant noir pour recouvrir ses jambes. Et des bottes tout aussi mignonne. Oh, et également une casquette marron. La regardant respectueusement de haut en bas, mon cœur se noue bien plus. Il faut dire ce qui est, elle est vraiment charmante. Très certainement plus que moi qui ne porte qu'une légère veste à capuche noir, un tee-shirt blanc qui d'ailleurs met à nue ma paume d'Adam ainsi que quelques centimètres de mes clavicules disons... Mature. Un jean simple et des chaussures noir et blanche tout aussi quelconque.
Lorsqu'Aïky m'approche, je lui sourit gentiment mais nerveusement. Ne savant pas trop comment l'aborder. En bon français ça aurait commencer par un "coucou" et une petite bise. Mais elle est japonaise alors... Je dois rester un peu en retrait. Timidement je lui adresse :
" Coucou Aïky, tu vas bien ? "
Re: Une invitation à parler [Revan]
Revan était déjà là et m'attendait. Il me sourit mais je notais que son sourire était légèrement crispé ... pourquoi ... ? est ce qu'il est fâché parce que je n'arrive pas plus tôt ? Ou bien est ce ... ce que j'avais pressenti par rapport à la facette qu'il a pu découvrir ..? Il ... a peur ... ou me déteste t-il ?
Il me salut tout de même gentiment, son regard plongeant dans le mien.
- Coucou Aïky, tu vas bien ?
Je souris, nerveuse.
- Bonjour Revan. Je vais bien , merci et toi ? [ Je marque une légère pause ] J'espère que je ne t'ai pas fait attendre trop longtemps !
Je m'approche mais reste à une distance raisonnable , l'observant timidement. Les habits qu'il porte sont simple mais j'aime le coté décontracté qui ressort de l'ensemble. Cela change de l'uniforme stricte. Mais quasiment que du noir ou du blanc ... Il manque un peu de couleur .. ce petit constat m'attriste et mon regard termine sa course en remontant et tombe sur son pendentif que je prends quelques secondes pour détailler. Je me demande d’où cela lui vient et si ça a une signification ...
Mais mon coeur se ressert encore un plus quand je laisse mon regard glisser sur son visage ... il a une coupure entre sa joue et sa mâchoire droite, qui longe son visage plus ou moins finement. Comment s'est il fait cela ?
Son message sur les 3 rubis me revient immédiatement en tête ... il m'aurait menti et aurait eu des soucis ... et des blessures suite à ça ?
Des questions qui se bousculent dans ma tête me laisse silencieuse pour l'instant ... Les 3 rubis contre lesquels nous nous sommes battus ... ont ils ensuite essayé de se venger ?
Je ne les ai pas revus suite à cet incident mais .... quand est il de Revan ?
Il me salut tout de même gentiment, son regard plongeant dans le mien.
- Coucou Aïky, tu vas bien ?
Je souris, nerveuse.
- Bonjour Revan. Je vais bien , merci et toi ? [ Je marque une légère pause ] J'espère que je ne t'ai pas fait attendre trop longtemps !
Je m'approche mais reste à une distance raisonnable , l'observant timidement. Les habits qu'il porte sont simple mais j'aime le coté décontracté qui ressort de l'ensemble. Cela change de l'uniforme stricte. Mais quasiment que du noir ou du blanc ... Il manque un peu de couleur .. ce petit constat m'attriste et mon regard termine sa course en remontant et tombe sur son pendentif que je prends quelques secondes pour détailler. Je me demande d’où cela lui vient et si ça a une signification ...
Mais mon coeur se ressert encore un plus quand je laisse mon regard glisser sur son visage ... il a une coupure entre sa joue et sa mâchoire droite, qui longe son visage plus ou moins finement. Comment s'est il fait cela ?
Son message sur les 3 rubis me revient immédiatement en tête ... il m'aurait menti et aurait eu des soucis ... et des blessures suite à ça ?
Des questions qui se bousculent dans ma tête me laisse silencieuse pour l'instant ... Les 3 rubis contre lesquels nous nous sommes battus ... ont ils ensuite essayé de se venger ?
Je ne les ai pas revus suite à cet incident mais .... quand est il de Revan ?
- HRP:
- Non, ne t'en fais pas ! tout est ok !
Re: Une invitation à parler [Revan]
Aïky me dévisage timidement, mais ses yeux craignent mon regard. Aurait-elle peur de moi ? Ou bien de ce que je pense d'elle ? Je n'ai jamais considérer Aïky autrement que comme une proche. Et cela me fait plaisir de me retrouver de nouveau avec elle. Mais elle ? Que pense t-elle ?
" Bonjour Revan. Je vais bien , merci et toi ? [ Je marque une légère pause ] J'espère que je ne t'ai pas fait attendre trop longtemps ! "
Je lui souris plus sereinement, la voix d'Aïky ne pouvant que m’apaiser.
" Je suis content de l'apprendre ! Sinon oui, ça va, comme d'hab' ! Pour ce qu'il y est de l'attente, tu n'as pas à t'en faire, tu es pile à l'heure [Je sors mon PETIT smartphone pour lui montré l'heure] C'est moi qui était bien trop en avance, je n'arrivais pas à tenir en place. Excuse moi "
J'ajuste nerveusement ma veste, tout comme je frotte mon cous et gratte l'arrière de ma tête. Aïky m'observe de haut en bas, et je sens aussitôt son regard percer la coupure entre ma joue et ma mâchoire. Aïe, on passe à l'étape inévitable où elle va très probablement me demander comment je "me" suis fais ça. Quand il s'agit de ne pas inquiéter l'autre, je mens bien. Il n'y a que mon regard qui pourrait me trahir, mais peu savent interpréter le langage des yeux. Je lui souris, non pas pour la déconcentrer, mais pour lui montrer que je suis tout de même content qu'elle soit là, et qu'elle n'a vraiment pas à s'en faire. Par contre si j'ai le malheur d'affiché d'une quelconque manière les marques que j'ai sur le corps et plus précisément au niveau des hanches et côtes, je n'aurais plus aucune excuse. Il ne devrait pas y avoir de raisons pour qu'Aïky voit sous mon tee-shirt, mais on ne sait jamais. Ce n'est pas comme si nous étions officiellement un couple... Sauf preuve du contraire du moins... 'fin après ça fait partie des sujets dont on doit discuter. Mais tout ça pour dire que ce n'est pas comme si elle était susceptible de passer ses mains dans ces zones pour me toucher. Ou qu'elle me voit me dénuder pour x raison, qu'elle soit innocente ou pas. Puis on ne va pas non plus à la piscine, peut-être une autre fois, mais ce sera sûrement partie d'ici là. Donc encore une fois, il y a peu de chance qu'elle constate ces vilaines traces. Mais si elle les remarques...
Le bus ne tarde pas à arrivé, et j'invite Aïky à monté la première. Bien sûr je la suis juste après. Une fois que ce sera à mon tour de lui adresser la parole, je lui demande :
" Nous commençons donc par faire un tour à ta boutique ? Ensuite tu voudrais aller où ? Faire du shopping ? Boire un café ? "
" Bonjour Revan. Je vais bien , merci et toi ? [ Je marque une légère pause ] J'espère que je ne t'ai pas fait attendre trop longtemps ! "
Je lui souris plus sereinement, la voix d'Aïky ne pouvant que m’apaiser.
" Je suis content de l'apprendre ! Sinon oui, ça va, comme d'hab' ! Pour ce qu'il y est de l'attente, tu n'as pas à t'en faire, tu es pile à l'heure [Je sors mon PETIT smartphone pour lui montré l'heure] C'est moi qui était bien trop en avance, je n'arrivais pas à tenir en place. Excuse moi "
J'ajuste nerveusement ma veste, tout comme je frotte mon cous et gratte l'arrière de ma tête. Aïky m'observe de haut en bas, et je sens aussitôt son regard percer la coupure entre ma joue et ma mâchoire. Aïe, on passe à l'étape inévitable où elle va très probablement me demander comment je "me" suis fais ça. Quand il s'agit de ne pas inquiéter l'autre, je mens bien. Il n'y a que mon regard qui pourrait me trahir, mais peu savent interpréter le langage des yeux. Je lui souris, non pas pour la déconcentrer, mais pour lui montrer que je suis tout de même content qu'elle soit là, et qu'elle n'a vraiment pas à s'en faire. Par contre si j'ai le malheur d'affiché d'une quelconque manière les marques que j'ai sur le corps et plus précisément au niveau des hanches et côtes, je n'aurais plus aucune excuse. Il ne devrait pas y avoir de raisons pour qu'Aïky voit sous mon tee-shirt, mais on ne sait jamais. Ce n'est pas comme si nous étions officiellement un couple... Sauf preuve du contraire du moins... 'fin après ça fait partie des sujets dont on doit discuter. Mais tout ça pour dire que ce n'est pas comme si elle était susceptible de passer ses mains dans ces zones pour me toucher. Ou qu'elle me voit me dénuder pour x raison, qu'elle soit innocente ou pas. Puis on ne va pas non plus à la piscine, peut-être une autre fois, mais ce sera sûrement partie d'ici là. Donc encore une fois, il y a peu de chance qu'elle constate ces vilaines traces. Mais si elle les remarques...
Le bus ne tarde pas à arrivé, et j'invite Aïky à monté la première. Bien sûr je la suis juste après. Une fois que ce sera à mon tour de lui adresser la parole, je lui demande :
" Nous commençons donc par faire un tour à ta boutique ? Ensuite tu voudrais aller où ? Faire du shopping ? Boire un café ? "
Re: Une invitation à parler [Revan]
Malgré ma nervosité, Revan me sourit gentiment et semble plus calme à présent.
- Je suis content de l'apprendre ! Sinon oui, ça va, comme d'hab' ! Pour ce qu'il y est de l'attente, tu n'as pas à t'en faire, tu es pile à l'heure !
Il sors son téléphone pour donner du poids à ces propos et continue .
- C'est moi qui était bien trop en avance, je n'arrivais pas à tenir en place. Excuse moi
Je secoue la tête pour lui signifier qu'il n'a pas besoin de s'excuser ... mais j'avoue que ça me fait un peu plaisir qu'il soit impatient comme ça , même si du coup ça me rajoute un peu de trac aussi pour que la journée soit chouette.
Cependant, lorsque mon regard s'est arrêté sur la cicatrice de Revan , j'ai tout de suite envie de savoir d’où lui vient cette dernière mais .. Revan me sourit et ça me stop net dans ma question.
Bizarrement ... je pense que si je lui demande ... il essayera de me rassurer ou au pire de rester vague dans sa réponse ... je n'ai pas envie qu'il me mente , j'ai envie qu'il me fasse confiance ... pas qu'il essaye de "me protéger" Je pense qu'il a suffisamment vu que je pouvais être ... dangereuse ... moi aussi ... et donc me défendre.
Je garde donc mon interrogation pour plus tard et le bus arrive à ce moment là. Nous montons, Revan me laissant galamment laisser passer devant. Après avoir tendu acheté mon ticket, je m'assois à peu près au niveau du bus, contre la fenêtre. Revan me suit de près et s'assoit à coté de moi. J'avoue que nous sommes vraiment proche, vu la place réduite qu'offre les sièges et je m’appuie contre la vitre pour lui laisser de la place.
- Nous commençons donc par faire un tour à ta boutique ? Ensuite tu voudrais aller où ? Faire du shopping ? Boire un café ?
- Et bien je me suis renseigné un peu plus pour des endroits ou tu pourrais postuler et il y a deux restaurants dans la vieille ville qui cherchent des serveurs ! On pourra y passer si tu veux ! Autrement ... je t'avoue ne pas avoir de programme particulier mais on pourra aller s'asseoir à une terrasse pour ... parler...
J'ai dit le dernier mot en détournant le regard, à nouveau mal à l'aise ... J'avais peur de me retrouver face à cette discussion mais en même temps ... je suppose que cela ne servait à rien de faire retarder ce moment.
Le bus roule à bonne allure et je jette parfois des coups d'oeil vers les paysages qui défilent devant mes yeux, nous traversons des champs et une foret avant de nous retrouver face à Touhills.
- Je suis content de l'apprendre ! Sinon oui, ça va, comme d'hab' ! Pour ce qu'il y est de l'attente, tu n'as pas à t'en faire, tu es pile à l'heure !
Il sors son téléphone pour donner du poids à ces propos et continue .
- C'est moi qui était bien trop en avance, je n'arrivais pas à tenir en place. Excuse moi
Je secoue la tête pour lui signifier qu'il n'a pas besoin de s'excuser ... mais j'avoue que ça me fait un peu plaisir qu'il soit impatient comme ça , même si du coup ça me rajoute un peu de trac aussi pour que la journée soit chouette.
Cependant, lorsque mon regard s'est arrêté sur la cicatrice de Revan , j'ai tout de suite envie de savoir d’où lui vient cette dernière mais .. Revan me sourit et ça me stop net dans ma question.
Bizarrement ... je pense que si je lui demande ... il essayera de me rassurer ou au pire de rester vague dans sa réponse ... je n'ai pas envie qu'il me mente , j'ai envie qu'il me fasse confiance ... pas qu'il essaye de "me protéger" Je pense qu'il a suffisamment vu que je pouvais être ... dangereuse ... moi aussi ... et donc me défendre.
Je garde donc mon interrogation pour plus tard et le bus arrive à ce moment là. Nous montons, Revan me laissant galamment laisser passer devant. Après avoir tendu acheté mon ticket, je m'assois à peu près au niveau du bus, contre la fenêtre. Revan me suit de près et s'assoit à coté de moi. J'avoue que nous sommes vraiment proche, vu la place réduite qu'offre les sièges et je m’appuie contre la vitre pour lui laisser de la place.
- Nous commençons donc par faire un tour à ta boutique ? Ensuite tu voudrais aller où ? Faire du shopping ? Boire un café ?
- Et bien je me suis renseigné un peu plus pour des endroits ou tu pourrais postuler et il y a deux restaurants dans la vieille ville qui cherchent des serveurs ! On pourra y passer si tu veux ! Autrement ... je t'avoue ne pas avoir de programme particulier mais on pourra aller s'asseoir à une terrasse pour ... parler...
J'ai dit le dernier mot en détournant le regard, à nouveau mal à l'aise ... J'avais peur de me retrouver face à cette discussion mais en même temps ... je suppose que cela ne servait à rien de faire retarder ce moment.
Le bus roule à bonne allure et je jette parfois des coups d'oeil vers les paysages qui défilent devant mes yeux, nous traversons des champs et une foret avant de nous retrouver face à Touhills.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Après avoir acheté nos tickets, Aïky se dirige vers une place, contre une fenêtre. Je me siège bien sûr à ses côtés, et veille à ce qu'elle ait de l'espace. Je la questionne alors sur le programme de la journée, elle me répond :
" Et bien je me suis renseigné un peu plus pour des endroits ou tu pourrais postuler et il y a deux restaurants dans la vieille ville qui cherchent des serveurs ! On pourra y passer si tu veux ! Autrement ... je t'avoue ne pas avoir de programme particulier mais on pourra aller s'asseoir à une terrasse pour ... parler... "
Oh... Elle à donc fait des recherches pour moi... Je ne peux qu'esquisser un sourire touché et attendrie par ce geste. J'aurais effectivement, tôt ou tard, besoin d'un boulot pour des raisons que j'ai déjà évoqué. Ceci dit, je me perds dans mes pensées lorsqu'elle mentionne "parler". Oui, nous devons tout les deux parler de beaucoup de choses. Et j'avoue être impatient d'avoir des réponses sur certains points. A commencer par notre baiser prématurée, ce qu'elle en pense tout comme ce qu'elle pense de moi. Ce genre de fantasy aussi mielleuse que dangereuse. Mais je ne peux pas rester non plus muet le long du trajet en bus, d'autant plus que je ne sais pas pour elle, mais être dans un véhicule me détend grandement. Mes yeux se dirigent vers elle, que lui dire en premier ? Mon regard dérive le long de ses bras, pour finalement fixé ses mains. Une évidente question me vint à l'esprit :
" Dis moi... Est-ce que tes mains vont bien ? "
Je sais, elle m'a dit qu'elle allait bien, mais je ne peux m'empêcher de penser au vilain coup que ses doigts ont du encaissé. Si ça ne tenait qu'à moi, elles seraient déjà sous mon emprise bienveillante pour m'assurer de moi même que ça va. Mais je dois garder cette malheureuse distance. Et puis, je ne peux pas non plus la questionné si tôt à propos du sujet phare de notre rendez-vous. Ce qui s'est passé dans son petit coin secret. Je préfère attendre un lieux plus propice ou romantique. Eh, cela me dérange vraiment de devoir utilisé le mot romantique, à cause des sous-entendus qu'autrui peuvent s'imaginer à tords, mais c'est celui qui décrit le mieux ce à quoi je pense.
" Et bien je me suis renseigné un peu plus pour des endroits ou tu pourrais postuler et il y a deux restaurants dans la vieille ville qui cherchent des serveurs ! On pourra y passer si tu veux ! Autrement ... je t'avoue ne pas avoir de programme particulier mais on pourra aller s'asseoir à une terrasse pour ... parler... "
Oh... Elle à donc fait des recherches pour moi... Je ne peux qu'esquisser un sourire touché et attendrie par ce geste. J'aurais effectivement, tôt ou tard, besoin d'un boulot pour des raisons que j'ai déjà évoqué. Ceci dit, je me perds dans mes pensées lorsqu'elle mentionne "parler". Oui, nous devons tout les deux parler de beaucoup de choses. Et j'avoue être impatient d'avoir des réponses sur certains points. A commencer par notre baiser prématurée, ce qu'elle en pense tout comme ce qu'elle pense de moi. Ce genre de fantasy aussi mielleuse que dangereuse. Mais je ne peux pas rester non plus muet le long du trajet en bus, d'autant plus que je ne sais pas pour elle, mais être dans un véhicule me détend grandement. Mes yeux se dirigent vers elle, que lui dire en premier ? Mon regard dérive le long de ses bras, pour finalement fixé ses mains. Une évidente question me vint à l'esprit :
" Dis moi... Est-ce que tes mains vont bien ? "
Je sais, elle m'a dit qu'elle allait bien, mais je ne peux m'empêcher de penser au vilain coup que ses doigts ont du encaissé. Si ça ne tenait qu'à moi, elles seraient déjà sous mon emprise bienveillante pour m'assurer de moi même que ça va. Mais je dois garder cette malheureuse distance. Et puis, je ne peux pas non plus la questionné si tôt à propos du sujet phare de notre rendez-vous. Ce qui s'est passé dans son petit coin secret. Je préfère attendre un lieux plus propice ou romantique. Eh, cela me dérange vraiment de devoir utilisé le mot romantique, à cause des sous-entendus qu'autrui peuvent s'imaginer à tords, mais c'est celui qui décrit le mieux ce à quoi je pense.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Il a l'air de se laisser aller dans ces pensées , comme moi ... Si je n'étais pas aussi stressée l'idée que nous soyons tous deux dans l'appréhension de cette conversation m'aurais fait rire devant nos airs ... Mais je reste silencieuse.
Revan lui m'observe et je sens son regard glisser sur moi ... c'est troublant ... et il s’arrête sur mes mains cachées dans mes manches
- Dis moi... Est-ce que tes mains vont bien ?
Je souris et acquiesce !
- Ca va, je n'ai presque plus mal ! L'infirmière a l'habitude avec moi !
Je rigole doucement et tends mes paumes. Une fine ligne rouge sépare mes paumes en deux qui n'est heureusement pas trop profonde. Je n'ai plus vraiment mal. Mais du coup, j'aimerais en profiter pour savoir un peu plus sur sa cicatrise ... j'ai été franche avec lui ... peut être que cela le poussera à être honnête avec moi.
- Et .. toi ? Ou as tu eu cette ... cicatrice ?
Je lui désigne du doigt son visage, les sourcils froncés car je n'aime pas voir ce genre de marque sur sa peau ... mon cœur se resserre un peu ... Pourquoi cela me tient tant à coeur qu'il aille bien ... qu'il ne souffre pas ... ?
A nouveau ... une pensée ... qui vient se faufiler dans ma tête ... une envie ... de passer mon doigt sur toute la longueur de sa cicatrice, comme si je pouvais l'effacer ... j'ai envie de tendre la main vers son visage , de caresser sa joue ...
Je soupire ... il faut que j’arrête d'avoir ce genre de pensée ... je ne me reconnais plus... et puis ... il pourrait avoir un mouvement de recul.
je dois rester calme et puis... selon ce qu'il en ressort de notre discussion ... la question de pouvoir le toucher ne se posera peut-être même plus ...
Revan lui m'observe et je sens son regard glisser sur moi ... c'est troublant ... et il s’arrête sur mes mains cachées dans mes manches
- Dis moi... Est-ce que tes mains vont bien ?
Je souris et acquiesce !
- Ca va, je n'ai presque plus mal ! L'infirmière a l'habitude avec moi !
Je rigole doucement et tends mes paumes. Une fine ligne rouge sépare mes paumes en deux qui n'est heureusement pas trop profonde. Je n'ai plus vraiment mal. Mais du coup, j'aimerais en profiter pour savoir un peu plus sur sa cicatrise ... j'ai été franche avec lui ... peut être que cela le poussera à être honnête avec moi.
- Et .. toi ? Ou as tu eu cette ... cicatrice ?
Je lui désigne du doigt son visage, les sourcils froncés car je n'aime pas voir ce genre de marque sur sa peau ... mon cœur se resserre un peu ... Pourquoi cela me tient tant à coeur qu'il aille bien ... qu'il ne souffre pas ... ?
A nouveau ... une pensée ... qui vient se faufiler dans ma tête ... une envie ... de passer mon doigt sur toute la longueur de sa cicatrice, comme si je pouvais l'effacer ... j'ai envie de tendre la main vers son visage , de caresser sa joue ...
Je soupire ... il faut que j’arrête d'avoir ce genre de pensée ... je ne me reconnais plus... et puis ... il pourrait avoir un mouvement de recul.
je dois rester calme et puis... selon ce qu'il en ressort de notre discussion ... la question de pouvoir le toucher ne se posera peut-être même plus ...
Re: Une invitation à parler [Revan]
Et me voila ensorcelé par la sincérité et la douceur d'Aïky. Son honnêteté et sa bienveillance sont si pur que de nouveau je ne peux que flancher. D'une voix si tendre elle me demande :
" Et .. toi ? Ou as tu eu cette ... cicatrice ? "
Je m'étais bien douté qu'elle me poserait la question après l'énonciation de la mienne. Mais si il y a bien une chose que j'ai oublié, c'est qu'Aïky est l'incarnation d'un de mes points faible. Et qu'ainsi je ne peux que faiblir. Je la regarde dans les yeux quelques instant, je pourrais me perdre dans ses iris à longueur de journées, ceux-ci faisant chaviré ma poitrine. Mais je détourne finalement le regard, trahissant donc ma position dans cette situation. Puisqu'en effet, je le rappelle, je ne détourne jamais le regard. Je soupire tendrement, fermant les yeux. Puis regarde le siège face à moi en jouant nerveusement avec mon pendentif. Je suis dos au mur, et je suis contrains d'être honnête avec elle. D'un côté, je veux lui cacher cette vérité qui va compliqué d'autant plus notre situation déjà si brouillé. Puisque j'imagine déjà ses réactions et émotions. Mais d'un autre... Elle mérite de savoir. Elle me fait confiance, et je dois nullement la décevoir... Je caresse l'entaille du bout de l'index, avant de laisser retomber ma main nerveusement contre ma cuisse, mon autre main touchant toujours au pendentif. Je répond alors calmement :
" Je t'avoue que je ne voulais pas en arriver à devoir te dire la vérité... Je ne veux pas que tu te fasses trop de soucis pour moi, je ne veux pas effacer ce sourire si salvateur sur ton visage. Je ne veux pas tâcher ce tableau dont tu es le modèle. Ni notre journée avec des histoires de toute façon terminé. Mais... [Je soupire, puis relève mes yeux vers elle] Bon... Peu importe. Tu te souviens, il y a quelques jours nous avions, avec Noa, recadré des Rubis. Et bien, bon nombre d'entre-eux n'étaient pas du tout satisfait, et ils avaient un ego à laver. Les trois type que nous avions gérer, eux, sont rester sagement devant la cheminé de leurs maisons après avoir donner ma tête à leurs compère. Trois d'entre-eux sont venue me choper. J'étais au départ calme et confiant, puis ça à dégénérer. Avec mes chaînes j'ai pu les gérer, mais pour un temps seulement. A un moment j'ai voulus réagir plus vite que je ne le pouvais, mes chaînes allant trop vite, on rapidement atteint leurs longueurs maximale. Mais avec l'élan, elles m'ont arraché la chaire de mes avant bras. [Je défait mon bras droit de ma veste, affichant mon bras nue à Aïky, dont l'avant-bras est recouvert d'un épais bandage visiblement neuf, signe qu'il à été changé très récemment, ce matin sûrement. Les bandages sont également très serré contre ma peau.] Mes bras était sans vie, comme à chaque fois que j'atteins la limite de l'usage de mon pouvoir. Et là forcément... [J'esquisse un bref sourire, en soufflant un rire moqueur] Ils ont pu faire tout ce qu'ils voulaient. [Cette fois, je relève le côté gauche de mon tee-shirt, jusqu'au téton, dévoilant les formes de mon corps souillé par les traces et bleus au niveau du ventre, des hanches, et quelques éraflures au niveau des côtes] Voila voila, comme je l'ai dis, ce n'est pas grave. Et puis dans le fond, je leurs devais bien ça. Ceci dit c'est du passé alors n'en parlons plus et pensons plutôt à cette belle journée qui nous attends. "
Voila, j'ai tout dis à Aïky. L'essentiel du moins. Je me suis battu, j'ai perdu, point. Et en y repensant, je suis choqué d'en avoir dit autant à Aïky. Car ça c'est pas moi. Moi je n'aurais strictement rien dit peu importe le contexte. Excepté dans un câlin orné de caresses et mots doux. Là, j'aurais pu me confié. Mais pas comme ça et encore moins en publique. Je suis très têtue et lorsque je décide quelque chose, c'est catégorique. Même ce faible que j'ai pour Aïky n'est pas sensé percé ma fermeté. Ma décision était ferme, je ne voulais pas lui dire quoi que ce soit. Pourtant je viens de le faire et je ne comprend pas pourquoi. Je ne comprend pas comment j'ai pu en dire autant. C'est aller à l'encontre de ma volonté, ça m'a échappé, chose qui n'arrive jamais. Et intérieurement j'ai envie de me punir plus violemment que les trois rubis. Car je viens de violé plusieurs de mes principes. Mais trop tard, c'est fait. Et je ne peux que serrer les dents en m'insultant d'avoir été aussi con. Ce n'est pas le fait d'avoir tout dis à Aïky le problème. Le problème, c'est... Raah... Ce serait trop long à expliquer la profondeur de ces mécanismes faisant de moi un être très, très complexe. Je ne peux que résumé vulgairement par "ça m'a échappé, je voulais pas". Et résumer les choses aussi simplement m'afflige et m'énerve à un point inimaginable. C'est exécrable.
Quoi qu'il en soit, je remet correctement mes vêtement, puis regarde Aïky, guettant sa réaction. Me préparant à recevoir ses mots et ses gestes empathique.
" Et .. toi ? Ou as tu eu cette ... cicatrice ? "
Je m'étais bien douté qu'elle me poserait la question après l'énonciation de la mienne. Mais si il y a bien une chose que j'ai oublié, c'est qu'Aïky est l'incarnation d'un de mes points faible. Et qu'ainsi je ne peux que faiblir. Je la regarde dans les yeux quelques instant, je pourrais me perdre dans ses iris à longueur de journées, ceux-ci faisant chaviré ma poitrine. Mais je détourne finalement le regard, trahissant donc ma position dans cette situation. Puisqu'en effet, je le rappelle, je ne détourne jamais le regard. Je soupire tendrement, fermant les yeux. Puis regarde le siège face à moi en jouant nerveusement avec mon pendentif. Je suis dos au mur, et je suis contrains d'être honnête avec elle. D'un côté, je veux lui cacher cette vérité qui va compliqué d'autant plus notre situation déjà si brouillé. Puisque j'imagine déjà ses réactions et émotions. Mais d'un autre... Elle mérite de savoir. Elle me fait confiance, et je dois nullement la décevoir... Je caresse l'entaille du bout de l'index, avant de laisser retomber ma main nerveusement contre ma cuisse, mon autre main touchant toujours au pendentif. Je répond alors calmement :
" Je t'avoue que je ne voulais pas en arriver à devoir te dire la vérité... Je ne veux pas que tu te fasses trop de soucis pour moi, je ne veux pas effacer ce sourire si salvateur sur ton visage. Je ne veux pas tâcher ce tableau dont tu es le modèle. Ni notre journée avec des histoires de toute façon terminé. Mais... [Je soupire, puis relève mes yeux vers elle] Bon... Peu importe. Tu te souviens, il y a quelques jours nous avions, avec Noa, recadré des Rubis. Et bien, bon nombre d'entre-eux n'étaient pas du tout satisfait, et ils avaient un ego à laver. Les trois type que nous avions gérer, eux, sont rester sagement devant la cheminé de leurs maisons après avoir donner ma tête à leurs compère. Trois d'entre-eux sont venue me choper. J'étais au départ calme et confiant, puis ça à dégénérer. Avec mes chaînes j'ai pu les gérer, mais pour un temps seulement. A un moment j'ai voulus réagir plus vite que je ne le pouvais, mes chaînes allant trop vite, on rapidement atteint leurs longueurs maximale. Mais avec l'élan, elles m'ont arraché la chaire de mes avant bras. [Je défait mon bras droit de ma veste, affichant mon bras nue à Aïky, dont l'avant-bras est recouvert d'un épais bandage visiblement neuf, signe qu'il à été changé très récemment, ce matin sûrement. Les bandages sont également très serré contre ma peau.] Mes bras était sans vie, comme à chaque fois que j'atteins la limite de l'usage de mon pouvoir. Et là forcément... [J'esquisse un bref sourire, en soufflant un rire moqueur] Ils ont pu faire tout ce qu'ils voulaient. [Cette fois, je relève le côté gauche de mon tee-shirt, jusqu'au téton, dévoilant les formes de mon corps souillé par les traces et bleus au niveau du ventre, des hanches, et quelques éraflures au niveau des côtes] Voila voila, comme je l'ai dis, ce n'est pas grave. Et puis dans le fond, je leurs devais bien ça. Ceci dit c'est du passé alors n'en parlons plus et pensons plutôt à cette belle journée qui nous attends. "
Voila, j'ai tout dis à Aïky. L'essentiel du moins. Je me suis battu, j'ai perdu, point. Et en y repensant, je suis choqué d'en avoir dit autant à Aïky. Car ça c'est pas moi. Moi je n'aurais strictement rien dit peu importe le contexte. Excepté dans un câlin orné de caresses et mots doux. Là, j'aurais pu me confié. Mais pas comme ça et encore moins en publique. Je suis très têtue et lorsque je décide quelque chose, c'est catégorique. Même ce faible que j'ai pour Aïky n'est pas sensé percé ma fermeté. Ma décision était ferme, je ne voulais pas lui dire quoi que ce soit. Pourtant je viens de le faire et je ne comprend pas pourquoi. Je ne comprend pas comment j'ai pu en dire autant. C'est aller à l'encontre de ma volonté, ça m'a échappé, chose qui n'arrive jamais. Et intérieurement j'ai envie de me punir plus violemment que les trois rubis. Car je viens de violé plusieurs de mes principes. Mais trop tard, c'est fait. Et je ne peux que serrer les dents en m'insultant d'avoir été aussi con. Ce n'est pas le fait d'avoir tout dis à Aïky le problème. Le problème, c'est... Raah... Ce serait trop long à expliquer la profondeur de ces mécanismes faisant de moi un être très, très complexe. Je ne peux que résumé vulgairement par "ça m'a échappé, je voulais pas". Et résumer les choses aussi simplement m'afflige et m'énerve à un point inimaginable. C'est exécrable.
Quoi qu'il en soit, je remet correctement mes vêtement, puis regarde Aïky, guettant sa réaction. Me préparant à recevoir ses mots et ses gestes empathique.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Ma question semble le mettre mal à l'aise ... mais mon regard reste fermement ancré au sien jusqu'à ce que finalement il baisse les yeux en soupirant.
Lui qui a toujours un regard si direct, transperçant mon âme à travers mes yeux ... le voir détourner les yeux comme ça ... c'est vraiment troublant.
J'aimerais lui faire comprendre qu'il peut tout me dire .... sans jugement de ma part ... qu'il peut me faire confiance .
Mais je reste silencieuse, le laissant parler quand il le souhaiteras. Ce qu'il finit par faire alors qu'il regarde dans le vague, jouant avec son pendentif nerveusement.
Il passe distraitement son index contre sa cicatrise, revivant peut être l'instant ou il l'a reçu ... avant de finalement laisser tomber sa main sur sa cuisse ... Je regrette mon excès de curiosité ... mais je veux savoir.
- Je t'avoue que je ne voulais pas en arriver à devoir te dire la vérité... Je ne veux pas que tu te fasses trop de soucis pour moi, je ne veux pas effacer ce sourire si salvateur sur ton visage. Je ne veux pas tâcher ce tableau dont tu es le modèle. Ni notre journée avec des histoires de toute façon terminé. Mais...
Il me regarde à nouveau, plongeant ses iris brunes foncées dans les miennes ...
- Bon... Peu importe. Tu te souviens, il y a quelques jours nous avions, avec Noa, recadré des Rubis. Et bien, bon nombre d'entre-eux n'étaient pas du tout satisfait, et ils avaient un ego à laver. Les trois type que nous avions gérer, eux, sont rester sagement devant la cheminé de leurs maisons après avoir donner ma tête à leurs compère. Trois d'entre-eux sont venue me choper. J'étais au départ calme et confiant, puis ça à dégénérer. Avec mes chaînes j'ai pu les gérer, mais pour un temps seulement. A un moment j'ai voulus réagir plus vite que je ne le pouvais, mes chaînes allant trop vite, on rapidement atteint leurs longueurs maximale. Mais avec l'élan, elles m'ont arraché la chaire de mes avant bras.
Mes craintes d'hier soir étaient donc fondées ... et quand il parle de ces bras en me montrant les gros bandages sur sa peau , je retiens un soupir effrayé, mes mains plaquées contre ma bouche. Ses avant-bras sont complétement bandés . Je n'imagine même pas la douleur que cela a du engendrer ...
- Mes bras était sans vie, comme à chaque fois que j'atteins la limite de l'usage de mon pouvoir. Et là forcément... Ils ont pu faire tout ce qu'ils voulaient.
Il dit cela en riant alors que j'ai un haut le cœur .... Ils l'ont tabassé ? Ils ont profité du contre coup de son pouvoir ?
- Voila voila, comme je l'ai dis, ce n'est pas grave. Et puis dans le fond, je leurs devais bien ça. Ceci dit c'est du passé alors n'en parlons plus et pensons plutôt à cette belle journée qui nous attends.
Il monte son t-shirt et me montre les blessures, bleus et écorchures sur son torse . J'en suis horrifiée ... Les marques de violence sur son corps me répugnent ... Chaque marque que je voix est comme un coup de plus dans mon cœur ... J'ai mal pour Revan ...
Encore une fois, mon corps réagit plus vite que ma pensée et je viens poser délicatement ma main sur celle de Revan .
- Merci .. Revan ... de m'avoir dit la vérité !
Je serre un peu ma main sur la sienne et lui sourit tendrement.
- Mais tu n'avais pas à subir ça ... Ils étaient 3 face à toi ... c'est déloyal et tu devrais en parler à quelqu'un ... pour que ça ne se reproduise plus ...
Je soupire, essayant de me calmer un peu. Je ne veux pas qu'il s'inquiète pour moi mais j'ai réellement peur pour lui ... une peur vicéral qui me tord le ventre ...
- Combien de temps pense tu être dans cet état ... ? Tu ... as mal ?
Je pointe timidement du doigt ses avant bras , laissant le flot de questions couler entre mes lèvres ... alors que je devrais le laisser souffler ... je vois bien qu'il a du faire un sacré effort pour me parler et j'en suis touchée.
- Enfin ... en tout cas ... je suis touchée .. que tu m'en ai parlé sans détour ..
Je rougis et détourne le regard, enlevant doucement ma main de la sienne.
Lui qui a toujours un regard si direct, transperçant mon âme à travers mes yeux ... le voir détourner les yeux comme ça ... c'est vraiment troublant.
J'aimerais lui faire comprendre qu'il peut tout me dire .... sans jugement de ma part ... qu'il peut me faire confiance .
Mais je reste silencieuse, le laissant parler quand il le souhaiteras. Ce qu'il finit par faire alors qu'il regarde dans le vague, jouant avec son pendentif nerveusement.
Il passe distraitement son index contre sa cicatrise, revivant peut être l'instant ou il l'a reçu ... avant de finalement laisser tomber sa main sur sa cuisse ... Je regrette mon excès de curiosité ... mais je veux savoir.
- Je t'avoue que je ne voulais pas en arriver à devoir te dire la vérité... Je ne veux pas que tu te fasses trop de soucis pour moi, je ne veux pas effacer ce sourire si salvateur sur ton visage. Je ne veux pas tâcher ce tableau dont tu es le modèle. Ni notre journée avec des histoires de toute façon terminé. Mais...
Il me regarde à nouveau, plongeant ses iris brunes foncées dans les miennes ...
- Bon... Peu importe. Tu te souviens, il y a quelques jours nous avions, avec Noa, recadré des Rubis. Et bien, bon nombre d'entre-eux n'étaient pas du tout satisfait, et ils avaient un ego à laver. Les trois type que nous avions gérer, eux, sont rester sagement devant la cheminé de leurs maisons après avoir donner ma tête à leurs compère. Trois d'entre-eux sont venue me choper. J'étais au départ calme et confiant, puis ça à dégénérer. Avec mes chaînes j'ai pu les gérer, mais pour un temps seulement. A un moment j'ai voulus réagir plus vite que je ne le pouvais, mes chaînes allant trop vite, on rapidement atteint leurs longueurs maximale. Mais avec l'élan, elles m'ont arraché la chaire de mes avant bras.
Mes craintes d'hier soir étaient donc fondées ... et quand il parle de ces bras en me montrant les gros bandages sur sa peau , je retiens un soupir effrayé, mes mains plaquées contre ma bouche. Ses avant-bras sont complétement bandés . Je n'imagine même pas la douleur que cela a du engendrer ...
- Mes bras était sans vie, comme à chaque fois que j'atteins la limite de l'usage de mon pouvoir. Et là forcément... Ils ont pu faire tout ce qu'ils voulaient.
Il dit cela en riant alors que j'ai un haut le cœur .... Ils l'ont tabassé ? Ils ont profité du contre coup de son pouvoir ?
- Voila voila, comme je l'ai dis, ce n'est pas grave. Et puis dans le fond, je leurs devais bien ça. Ceci dit c'est du passé alors n'en parlons plus et pensons plutôt à cette belle journée qui nous attends.
Il monte son t-shirt et me montre les blessures, bleus et écorchures sur son torse . J'en suis horrifiée ... Les marques de violence sur son corps me répugnent ... Chaque marque que je voix est comme un coup de plus dans mon cœur ... J'ai mal pour Revan ...
Encore une fois, mon corps réagit plus vite que ma pensée et je viens poser délicatement ma main sur celle de Revan .
- Merci .. Revan ... de m'avoir dit la vérité !
Je serre un peu ma main sur la sienne et lui sourit tendrement.
- Mais tu n'avais pas à subir ça ... Ils étaient 3 face à toi ... c'est déloyal et tu devrais en parler à quelqu'un ... pour que ça ne se reproduise plus ...
Je soupire, essayant de me calmer un peu. Je ne veux pas qu'il s'inquiète pour moi mais j'ai réellement peur pour lui ... une peur vicéral qui me tord le ventre ...
- Combien de temps pense tu être dans cet état ... ? Tu ... as mal ?
Je pointe timidement du doigt ses avant bras , laissant le flot de questions couler entre mes lèvres ... alors que je devrais le laisser souffler ... je vois bien qu'il a du faire un sacré effort pour me parler et j'en suis touchée.
- Enfin ... en tout cas ... je suis touchée .. que tu m'en ai parlé sans détour ..
Je rougis et détourne le regard, enlevant doucement ma main de la sienne.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Aïky m'écoute de plus en plus horrifié, comme je le craignais. Finalement une fois après avoir dévoilé tout ce que mes vêtements recouvrent, c'est sa main qui vient se déposer sur la mienne. Ce geste réconfortant mêler à sa douceur me fait bien sûr frétiller, et mes yeux se tournent dans les siens.
" Merci .. Revan ... de m'avoir dit la vérité ! "
Sa main se resserre, et que je le veuille ou non, ma main suit le mouvement, se liant également à celle d'Aïky. Je la regarde toujours, et son sourire chaleureux est toujours un si beau cadeau.
" Mais tu n'avais pas à subir ça ... Ils étaient 3 face à toi ... c'est déloyal et tu devrais en parler à quelqu'un ... pour que ça ne se reproduise plus ... "
" Les deux types que j'ai attaqué l'autres fois ont perdu l'usage de deux de leurs membres soit pour très longtemps, soit très certainement à vie. Bien sûr que j'avais à subir cela, c'est un juste retour des choses. Même si ils nous ont agressé, ils ne méritaient pas non plus des séquelles aussi grave. Mais peu importe. Tu te doutes bien que depuis l'incident avec les Rubis, les profs ont eu connaissances de toute l'histoire. Et tu te doutes également que j'ai subis le courroux des Diamants, comme Noa certainement. Dans les faits, ce sont nous qui avons attaqué les premier, les deux maisons ne s'étaient pas encore sauter dessus. Et si j'ai pu m'en tiré avec un "simple" grave avertissements, c'est uniquement parce que les trois rubis qui nous ont confronté ne nous ont pas laissé le choix. "
Je soupire légèrement, puis lui dis droit dans les yeux :
" Et je préfère mille fois me faire tabassé et cracher dessus, plutôt que te voir au sol à peine consciente. Donc si le prix de ta sécurité, est ma propre santé. J'accepte sans regret, je ne suis bon qu'à ça. "
Je la fixe toujours, et je sens qu'elle à peur de moi. Enfin, non, qu'elle à peur pour moi. Et cela me touche. Elle pointe timidement mes avant-bras avant de me questionner :
" Combien de temps pense tu être dans cet état ... ? Tu ... as mal ? "
" La je devrais en avoir pour un bon mois. La dernière fois que je me suis entraîné, il y a environs une semaine, j'y suis aller un peu trop fort. Ce qui à mener à ce même résultat. Heureusement que des passant ont eu la gentillesse de m'envoyé à l'infirmerie. Car avoir les bras sans vie saignant à flot et en étant à peine conscient, j'en aurais eu du chemin. Encore une fois après que les rubis ont fait leurs petites affaires, j'ai eu de la chance que qu'un émeraude et un saphir m'aient trouver, puisque nous étions dans un coins discret. "
Je marque une pause
" Sinon, oui, bien sûr que j'ai mal. Cela ne parait pas mais je peux à peine les bouger. Et bouger les doigts m'empoignent les avant-bras. Mais je ne laisse rien paraître, comme toujours. Et je fais avec. Lorsqu'on n'y prête pas attention c'est plus supportable. Mais voila. "
Aïky finit par détourner le regard, pour m'énoncer doucement :
" Enfin ... en tout cas ... je suis touchée .. que tu m'en ai parlé sans détour .. "
Elle rougit légèrement, et cela m'attendris. Je la regarde avec douceur, au fond j'ai déjà oublié les principes que j'ai violé. Le sourire d'Aïky en valait largement la peine... Tout comme sa main qui s'est généreusement déposé, qui ne m'a pas laisser indifférent.
" Je te devais bien ça Aïky. "
" Merci .. Revan ... de m'avoir dit la vérité ! "
Sa main se resserre, et que je le veuille ou non, ma main suit le mouvement, se liant également à celle d'Aïky. Je la regarde toujours, et son sourire chaleureux est toujours un si beau cadeau.
" Mais tu n'avais pas à subir ça ... Ils étaient 3 face à toi ... c'est déloyal et tu devrais en parler à quelqu'un ... pour que ça ne se reproduise plus ... "
" Les deux types que j'ai attaqué l'autres fois ont perdu l'usage de deux de leurs membres soit pour très longtemps, soit très certainement à vie. Bien sûr que j'avais à subir cela, c'est un juste retour des choses. Même si ils nous ont agressé, ils ne méritaient pas non plus des séquelles aussi grave. Mais peu importe. Tu te doutes bien que depuis l'incident avec les Rubis, les profs ont eu connaissances de toute l'histoire. Et tu te doutes également que j'ai subis le courroux des Diamants, comme Noa certainement. Dans les faits, ce sont nous qui avons attaqué les premier, les deux maisons ne s'étaient pas encore sauter dessus. Et si j'ai pu m'en tiré avec un "simple" grave avertissements, c'est uniquement parce que les trois rubis qui nous ont confronté ne nous ont pas laissé le choix. "
Je soupire légèrement, puis lui dis droit dans les yeux :
" Et je préfère mille fois me faire tabassé et cracher dessus, plutôt que te voir au sol à peine consciente. Donc si le prix de ta sécurité, est ma propre santé. J'accepte sans regret, je ne suis bon qu'à ça. "
Je la fixe toujours, et je sens qu'elle à peur de moi. Enfin, non, qu'elle à peur pour moi. Et cela me touche. Elle pointe timidement mes avant-bras avant de me questionner :
" Combien de temps pense tu être dans cet état ... ? Tu ... as mal ? "
" La je devrais en avoir pour un bon mois. La dernière fois que je me suis entraîné, il y a environs une semaine, j'y suis aller un peu trop fort. Ce qui à mener à ce même résultat. Heureusement que des passant ont eu la gentillesse de m'envoyé à l'infirmerie. Car avoir les bras sans vie saignant à flot et en étant à peine conscient, j'en aurais eu du chemin. Encore une fois après que les rubis ont fait leurs petites affaires, j'ai eu de la chance que qu'un émeraude et un saphir m'aient trouver, puisque nous étions dans un coins discret. "
Je marque une pause
" Sinon, oui, bien sûr que j'ai mal. Cela ne parait pas mais je peux à peine les bouger. Et bouger les doigts m'empoignent les avant-bras. Mais je ne laisse rien paraître, comme toujours. Et je fais avec. Lorsqu'on n'y prête pas attention c'est plus supportable. Mais voila. "
Aïky finit par détourner le regard, pour m'énoncer doucement :
" Enfin ... en tout cas ... je suis touchée .. que tu m'en ai parlé sans détour .. "
Elle rougit légèrement, et cela m'attendris. Je la regarde avec douceur, au fond j'ai déjà oublié les principes que j'ai violé. Le sourire d'Aïky en valait largement la peine... Tout comme sa main qui s'est généreusement déposé, qui ne m'a pas laisser indifférent.
" Je te devais bien ça Aïky. "
Re: Une invitation à parler [Revan]
Ainsi donc, Revan me raconte plus en détail ce qu'il s'est passé avec les rubis et l'avertissement qu'il a eu en retour de ça ... mais l'idée qu'en effet Le pouvoir de Revan permet de blesser de manière quasi définitive une autre personne est assez effrayante aussi .. mais si je fais l'amalgame avec mon propre pouvoir .... je pourrais aussi tuer quelqu'un .... il me suffirait d'appuyer mes ongles contre le cou d'une personne et activer mes griffes pour qu'elles transpercent sa gorge ....
Les pouvoirs ... sont des choses terrifiantes ... j'ai un frisson glacé qui descend le long de ma colonne vertébrale et je sers la poing de la main que Revan ne peut pas voir.
Mais lui, se tourne pour me regarder droit dans les yeux
- Et je préfère mille fois me faire tabassé et cracher dessus, plutôt que te voir au sol à peine consciente. Donc si le prix de ta sécurité, est ma propre santé. J'accepte sans regret, je ne suis bon qu'à ça.
Je baisse le regard sur mes genoux ... je sens une colère sourde gronder en moi à ces paroles mais je reste silencieuse pour le moment. Il continue
- La je devrais en avoir pour un bon mois. La dernière fois que je me suis entraîné, il y a environs une semaine, j'y suis aller un peu trop fort. Ce qui à mener à ce même résultat. Heureusement que des passant ont eu la gentillesse de m’envoyer à l'infirmerie. Car avoir les bras sans vie saignant à flot et en étant à peine conscient, j'en aurais eu du chemin. Encore une fois après que les rubis ont fait leurs petites affaires, j'ai eu de la chance que qu'un émeraude et un saphir m'aient trouver, puisque nous étions dans un coins discret.
Il marque une pause alors que je l'observe.
- Sinon, oui, bien sûr que j'ai mal. Cela ne parait pas mais je peux à peine les bouger. Et bouger les doigts m'empoignent les avant-bras. Mais je ne laisse rien paraître, comme toujours. Et je fais avec. Lorsqu'on n'y prête pas attention c'est plus supportable. Mais voila.
Il faudra que je fasse attention à cela , que je le ménage ... Je me sens mal du coup de l'avoir invité, il aurait mieux fallu qu'il se repose tranquillement plutôt que d'aller déambuler dehors ... et par gentillesse, il a accepté ... peut être devrions nous faire demi-tour ... ?
Mais à ma réponse quand au fait qu'il a été sincère avec moi, il me dit avec son sourire doux
- Je te devais bien ça Aïky.
Je souris ... j'aime son sourire si doux ... cette sensation rassurante ... ce sentiment si chaud ... si doux et agréable qui gonfle dans mon cœur quand il est là ... cette envie d'être assise à coté de lui ... et d'arrêter le temps ... comme si j'avais trouvé ce que je cherchais depuis tout ce temps ....
Trouver ...
Ce ..
Que ..
Je cherchais ... ?
Mais qu'est ce que je cherchais réellement .. ? Et même ... y ais-je droit ? Un sanglot se bloque dans ma gorge mais rien n'est visible sur mon visage sans expression ... mes cheveux me couvrent comme un voile.
Quand je repense à ce que Revan m'a dit sur le fait de donner sa santé pour moi ... Non ... non ... je ne peux pas ... cette idée m'attriste au plus haut point ... je n'ai pas envie qu'il soit blessé pour moi ... ni lui, ni personne ... et je ressens la même honte que lors de mon arrivée à Tsuki , quand Kaname s'est faite gifler pour moi ... cette même envie de disparaitre ...
Je baisse la tête, mes cheveux me couvrent comme un voile, soudainement, abattue par cette tristesse et lui dit d'une voix neutre ... ou aucune émotion ne transparait alors que mes yeux brillent:
- Et comment ... crois tu que je pourrais me sentir ... s'il t'arrivait quelque chose ... par ma faute ... ou parce que tu aurais essayé de me protéger ... ?
Comment pourrais-je encore oser croiser mon reflet si à cause de moi tu es blessé... Je ... ne veux pas ... que toi ... ou quelqu'un soit blessé pour moi ...
Si les rubis devaient s'en prendre à moi, je ne penserais même pas à fuir ou à me cacher... Je subirais leur colère jusqu'à ce qu'ils soient rassasiés de vengeance ... après tout , mon père faisait bien pire et j'ai toujours réussi à me relever ensuite ...
Je relève la tête vers Revan , mon regard est dur mais déterminé. Je sais que je peux le blesser par mes mots ... qu'il voudra me protéger ... mais je ne peux pas ... tout simplement pas le laisser faire ... au risque qu'il lui arrive quelque chose de grave ... et que je le perde réellement ... je ne veux pas ... le perdre ... je ne veux pas ... le perdre ... pas lui ....
- Je ne veux pas ... que tu me protèges.
Les pouvoirs ... sont des choses terrifiantes ... j'ai un frisson glacé qui descend le long de ma colonne vertébrale et je sers la poing de la main que Revan ne peut pas voir.
Mais lui, se tourne pour me regarder droit dans les yeux
- Et je préfère mille fois me faire tabassé et cracher dessus, plutôt que te voir au sol à peine consciente. Donc si le prix de ta sécurité, est ma propre santé. J'accepte sans regret, je ne suis bon qu'à ça.
Je baisse le regard sur mes genoux ... je sens une colère sourde gronder en moi à ces paroles mais je reste silencieuse pour le moment. Il continue
- La je devrais en avoir pour un bon mois. La dernière fois que je me suis entraîné, il y a environs une semaine, j'y suis aller un peu trop fort. Ce qui à mener à ce même résultat. Heureusement que des passant ont eu la gentillesse de m’envoyer à l'infirmerie. Car avoir les bras sans vie saignant à flot et en étant à peine conscient, j'en aurais eu du chemin. Encore une fois après que les rubis ont fait leurs petites affaires, j'ai eu de la chance que qu'un émeraude et un saphir m'aient trouver, puisque nous étions dans un coins discret.
Il marque une pause alors que je l'observe.
- Sinon, oui, bien sûr que j'ai mal. Cela ne parait pas mais je peux à peine les bouger. Et bouger les doigts m'empoignent les avant-bras. Mais je ne laisse rien paraître, comme toujours. Et je fais avec. Lorsqu'on n'y prête pas attention c'est plus supportable. Mais voila.
Il faudra que je fasse attention à cela , que je le ménage ... Je me sens mal du coup de l'avoir invité, il aurait mieux fallu qu'il se repose tranquillement plutôt que d'aller déambuler dehors ... et par gentillesse, il a accepté ... peut être devrions nous faire demi-tour ... ?
Mais à ma réponse quand au fait qu'il a été sincère avec moi, il me dit avec son sourire doux
- Je te devais bien ça Aïky.
Je souris ... j'aime son sourire si doux ... cette sensation rassurante ... ce sentiment si chaud ... si doux et agréable qui gonfle dans mon cœur quand il est là ... cette envie d'être assise à coté de lui ... et d'arrêter le temps ... comme si j'avais trouvé ce que je cherchais depuis tout ce temps ....
Trouver ...
Ce ..
Que ..
Je cherchais ... ?
Mais qu'est ce que je cherchais réellement .. ? Et même ... y ais-je droit ? Un sanglot se bloque dans ma gorge mais rien n'est visible sur mon visage sans expression ... mes cheveux me couvrent comme un voile.
Quand je repense à ce que Revan m'a dit sur le fait de donner sa santé pour moi ... Non ... non ... je ne peux pas ... cette idée m'attriste au plus haut point ... je n'ai pas envie qu'il soit blessé pour moi ... ni lui, ni personne ... et je ressens la même honte que lors de mon arrivée à Tsuki , quand Kaname s'est faite gifler pour moi ... cette même envie de disparaitre ...
Je baisse la tête, mes cheveux me couvrent comme un voile, soudainement, abattue par cette tristesse et lui dit d'une voix neutre ... ou aucune émotion ne transparait alors que mes yeux brillent:
- Et comment ... crois tu que je pourrais me sentir ... s'il t'arrivait quelque chose ... par ma faute ... ou parce que tu aurais essayé de me protéger ... ?
Comment pourrais-je encore oser croiser mon reflet si à cause de moi tu es blessé... Je ... ne veux pas ... que toi ... ou quelqu'un soit blessé pour moi ...
Si les rubis devaient s'en prendre à moi, je ne penserais même pas à fuir ou à me cacher... Je subirais leur colère jusqu'à ce qu'ils soient rassasiés de vengeance ... après tout , mon père faisait bien pire et j'ai toujours réussi à me relever ensuite ...
Je relève la tête vers Revan , mon regard est dur mais déterminé. Je sais que je peux le blesser par mes mots ... qu'il voudra me protéger ... mais je ne peux pas ... tout simplement pas le laisser faire ... au risque qu'il lui arrive quelque chose de grave ... et que je le perde réellement ... je ne veux pas ... le perdre ... je ne veux pas ... le perdre ... pas lui ....
- Je ne veux pas ... que tu me protèges.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Aïky se perd dans de mystérieuse pensées que n'arrives point à sondé. Sa tête est baissé et ses beaux cheveux voile son doux visage. A quoi pense t-elle ? Je ne peux que l'observer et attendre les mots qu'elle semble cherché. Ses yeux commencent dès lors à briller, ce qui pince aussitôt ma poitrine. Sa voix est neutre, non, elle est froide et remplis de tristesse
" Et comment ... crois tu que je pourrais me sentir ... s'il t'arrivait quelque chose ... par ma faute ... ou parce que tu aurais essayé de me protéger ... ?
Comment pourrais-je encore oser croiser mon reflet si à cause de moi tu es blessé... Je ... ne veux pas ... que toi ... ou quelqu'un soit blessé pour moi ... "
Elle relève la tête vers moi, et son regard luisant est dur, décidé. Mais je l'affronte jusqu'au bout, les yeux dans les yeux, des aiguilles et des pierres. Mes yeux se plissent légèrement pour percer d'autant plus la décision qu'elle à prise intérieurement, mon regard se faisant plus déterminé, et plus insurgé, malgré les lueurs d'empathie et de tendresse que j'éprouve pour elle. Mais ce sont ces dernier mot, qui génèrent de la douleur.
" Je ne veux pas ... que tu me protèges. "
Mes dents se resserrent. Dois-je comprendre que c'est finis et que je devrais partir ? Que comme tout les autres elle m'abandonne ?
...
Non... Ses yeux trahissent toujours cette crainte pour moi... Elle ne dis pas ça pour me repousser...
Mes yeux se mettent à briller lorsque j'ai compris le sens cacher de ses mots.
Elle ne dit pas ça pour m'éloigner.
Elle dit ça pour me protéger.
Mon corps craque sous le besoin de réconfort qu'elle et moi ressentons, du moins de ce que j'en conclus en l'observant. Mon bras droit passe sous son bras gauche pour s'enrouler au niveau de ses fines omoplates. Ma main gauche rejoins l'arrière de sa tête. Je la penche vers moi, pour ainsi la garder quelques instant contre moi. Ma main gauche entreprend de lui papouiller la tête, mais la douleur survient et me crispe. Mais je serre de nouveau les dents, et passe cette envie et ce besoin au dessus de cela. Ainsi mes doigts vas et viennent de haut en bas avec une douceur fragile, chaque petit geste me faisant mal. Mais j'ignore cette douleur qui ne signifie rien comparer à ce que l'échange que l'on vient d'avoir nous à tout deux fait ressentir. Je laisse cet instant durer deux bonnes minutes, avant de briser le silence en remontant mes lèvres jusque son oreille. Afin de lui murmurer :
" Ce n'est pas à toi de le décider... "
Non, ce n'est pas à elle de le décider. Ce n'est pas à elle de me priver de la protéger, de veiller sur elle. Je tiens à elle, et comme toute les personnes en qui j'ai tenue par le passé, il n'y aura qu'elle qui compte et tout sacrifice seront bon à prendre. Il n'y a que son sourire qui compte, que son bien être. Elle, et uniquement elle. Et je sais pertinemment qu'un beau jour je la perdrais comme tout les autres, et que je serais le seul perdant de l'histoire. Mais comme à chaque fois je m'en fout, je veux en profiter quelques instant avant d'en assumer la souffrance. Les scénarios sont toujours les mêmes, seul les détails et les acteurs changent. Mais tant pis, je veux faire de mon mieux pour elle. Je la resserre contre moi, comme un rapace s'emparant de sa proie. Ma tête penché contre son épaule garde en contact mon cous contre le siens, comme un serpent qui s'enroule. Mon corps se tendant pour se montrer plus tenace et protecteur.
Peu importe combien me traiterons encore de monstre, sans même avoir besoin de mes pouvoirs.
Peu importe combien de gens serons contre moi.
Peu importe combien je souffrirais.
Même si comme tout les autres je dois te perdre un jour Aïky.
Comme tout les autres, je me battrais pour ton sourire.
" Et comment ... crois tu que je pourrais me sentir ... s'il t'arrivait quelque chose ... par ma faute ... ou parce que tu aurais essayé de me protéger ... ?
Comment pourrais-je encore oser croiser mon reflet si à cause de moi tu es blessé... Je ... ne veux pas ... que toi ... ou quelqu'un soit blessé pour moi ... "
Elle relève la tête vers moi, et son regard luisant est dur, décidé. Mais je l'affronte jusqu'au bout, les yeux dans les yeux, des aiguilles et des pierres. Mes yeux se plissent légèrement pour percer d'autant plus la décision qu'elle à prise intérieurement, mon regard se faisant plus déterminé, et plus insurgé, malgré les lueurs d'empathie et de tendresse que j'éprouve pour elle. Mais ce sont ces dernier mot, qui génèrent de la douleur.
" Je ne veux pas ... que tu me protèges. "
Mes dents se resserrent. Dois-je comprendre que c'est finis et que je devrais partir ? Que comme tout les autres elle m'abandonne ?
...
Non... Ses yeux trahissent toujours cette crainte pour moi... Elle ne dis pas ça pour me repousser...
Mes yeux se mettent à briller lorsque j'ai compris le sens cacher de ses mots.
Elle ne dit pas ça pour m'éloigner.
Elle dit ça pour me protéger.
Mon corps craque sous le besoin de réconfort qu'elle et moi ressentons, du moins de ce que j'en conclus en l'observant. Mon bras droit passe sous son bras gauche pour s'enrouler au niveau de ses fines omoplates. Ma main gauche rejoins l'arrière de sa tête. Je la penche vers moi, pour ainsi la garder quelques instant contre moi. Ma main gauche entreprend de lui papouiller la tête, mais la douleur survient et me crispe. Mais je serre de nouveau les dents, et passe cette envie et ce besoin au dessus de cela. Ainsi mes doigts vas et viennent de haut en bas avec une douceur fragile, chaque petit geste me faisant mal. Mais j'ignore cette douleur qui ne signifie rien comparer à ce que l'échange que l'on vient d'avoir nous à tout deux fait ressentir. Je laisse cet instant durer deux bonnes minutes, avant de briser le silence en remontant mes lèvres jusque son oreille. Afin de lui murmurer :
" Ce n'est pas à toi de le décider... "
Non, ce n'est pas à elle de le décider. Ce n'est pas à elle de me priver de la protéger, de veiller sur elle. Je tiens à elle, et comme toute les personnes en qui j'ai tenue par le passé, il n'y aura qu'elle qui compte et tout sacrifice seront bon à prendre. Il n'y a que son sourire qui compte, que son bien être. Elle, et uniquement elle. Et je sais pertinemment qu'un beau jour je la perdrais comme tout les autres, et que je serais le seul perdant de l'histoire. Mais comme à chaque fois je m'en fout, je veux en profiter quelques instant avant d'en assumer la souffrance. Les scénarios sont toujours les mêmes, seul les détails et les acteurs changent. Mais tant pis, je veux faire de mon mieux pour elle. Je la resserre contre moi, comme un rapace s'emparant de sa proie. Ma tête penché contre son épaule garde en contact mon cous contre le siens, comme un serpent qui s'enroule. Mon corps se tendant pour se montrer plus tenace et protecteur.
Peu importe combien me traiterons encore de monstre, sans même avoir besoin de mes pouvoirs.
Peu importe combien de gens serons contre moi.
Peu importe combien je souffrirais.
Même si comme tout les autres je dois te perdre un jour Aïky.
Comme tout les autres, je me battrais pour ton sourire.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Mon regard se perds dans le sien ... Je ne regrette pas mes mots .... mais l'éclair de douleur qui traverse dans son regard me transperce littéralement ... je l'ai blessé alors que je ne veux que le protéger ... Il sert les dents ... et je dois retenir cette envie de le prendre dans mes bras pour le consoler ... mais ... je ne dois pas bouger ... il doit s'éloigner de moi.
Au moment ou je crois qu'il va se reculer ... se lever et changer de place ... son regard redevient plus fort ... qu'est ce~
Son bras droit m'attrape pour me plaquer contre lui et son autre main passe sur l'arrière de ma tête, ses doigts glissant entre mes mèches. Je le sens se crisper un peu quand il bouge ces bras ... il doit avoir mal ... je devrais lui dire de ne pas se mettre dans ces situations là ou ses bras lui font mal ... mais ... je me laisse aller contre lui ... , une de me mes passent dans son dos et s’agrippe à sa veste ... Pourquoi est ce que je me laisse encore faire ... pourquoi j'ai besoin de ces bras ... et pourquoi m'apaise t-il tant ... ? un petit sanglot s'échappe entre mes lèvres et je cache mon visage dans le creux de son cou, quelques larmes venant mouiller sa veste. Puis il se redresse et vient murmure contre mon oreille
- Ce n'est pas à toi de le décider...
C'est vrai ... la réalité de sa phrase me tombe dessus et je soupire contre son cou. Je ne peux pas l'en empêcher ... alors il faudra que je redouble d'effort pour qu'il n'ai pas de raison de me protéger ... Je veillerais sur lui ... cette idée m'apaise, me calme et je sens de nouveau cette boule chaude en moi.
- Je ferais en sorte que tu n'es pas à me protéger alors !
Je me redresse à peine , juste de quoi rompre ce contact pour qu'il puisse remettre ces bras tranquillement sans que cela ne le blesse plus. Tout en lui souriant, plus sereine à présent , j’essuie rapidement mes joues salées par mes quelques larmes.
Je pose mon front contre le sien.
- ça ... tu ne peux pas m'en empêcher
Un léger rire s'échappe de mes lèvres ... nous sommes deux fichus tête de mule qui ne lâcheront rien ... et cette idée me ravie ... ne pas le lâcher !
Au moment ou je crois qu'il va se reculer ... se lever et changer de place ... son regard redevient plus fort ... qu'est ce~
Son bras droit m'attrape pour me plaquer contre lui et son autre main passe sur l'arrière de ma tête, ses doigts glissant entre mes mèches. Je le sens se crisper un peu quand il bouge ces bras ... il doit avoir mal ... je devrais lui dire de ne pas se mettre dans ces situations là ou ses bras lui font mal ... mais ... je me laisse aller contre lui ... , une de me mes passent dans son dos et s’agrippe à sa veste ... Pourquoi est ce que je me laisse encore faire ... pourquoi j'ai besoin de ces bras ... et pourquoi m'apaise t-il tant ... ? un petit sanglot s'échappe entre mes lèvres et je cache mon visage dans le creux de son cou, quelques larmes venant mouiller sa veste. Puis il se redresse et vient murmure contre mon oreille
- Ce n'est pas à toi de le décider...
C'est vrai ... la réalité de sa phrase me tombe dessus et je soupire contre son cou. Je ne peux pas l'en empêcher ... alors il faudra que je redouble d'effort pour qu'il n'ai pas de raison de me protéger ... Je veillerais sur lui ... cette idée m'apaise, me calme et je sens de nouveau cette boule chaude en moi.
- Je ferais en sorte que tu n'es pas à me protéger alors !
Je me redresse à peine , juste de quoi rompre ce contact pour qu'il puisse remettre ces bras tranquillement sans que cela ne le blesse plus. Tout en lui souriant, plus sereine à présent , j’essuie rapidement mes joues salées par mes quelques larmes.
Je pose mon front contre le sien.
- ça ... tu ne peux pas m'en empêcher
Un léger rire s'échappe de mes lèvres ... nous sommes deux fichus tête de mule qui ne lâcheront rien ... et cette idée me ravie ... ne pas le lâcher !
Re: Une invitation à parler [Revan]
Aïky verse quelques larmes contre moi, mais je la maintiens dans mes bras. Je serais toujours là pour recevoir ses larmes. Que ce soit en tant qu'ami, ou en tant que...
Bref, Aïky reste contre moi et je sens une chaleureuse humeur grimper en elle. Elle me sourit toujours aussi divinement, pour finalement m'énoncer :
" Je ferais en sorte que tu n'es pas à me protéger alors ! "
Ces mots, plus joyeux, ravivent aussitôt la bonne humeur qui se perdait peu à peu. Elle se redresse un peu, mais je ne suis pas décidé à rompre ce petit contact si vite. Si je le pouvais, j'essuierais les larmes qui ornent désormais son visage. Mais mes gestes sont limité. Et puis... Je la garde toujours dans mes bras. Je chavire une fois encore sous sa douceur lorsque son front se dépose délicatement contre le mien.
" ça ... tu ne peux pas m'en empêcher "
Je lui souris bêtement comme un enfant heureux. Nos regards signifiant que l'on ne se lâchera pas l'un l'autre me remplis de force. Ce contact si tendre et mutuel, si bienveillant... Je pourrais le savourer des heures et des heures. Mes yeux dans les siens, son visage légèrement surélever. La situation est presque, voire carrément, romantique... Et me voila bloquer dans l'incertitude. Que dois-je faire ? Nous étions sensé nous revoir pour justement discuter de notre relation, repartir sur de bonnes base, ralentir un peu les choses. Pourtant, comme au jardin, j'ai ce désir de douceur qui m'est insupportable. Mais la dernière fois, c'est moi qui lui ait voler ses lèvres. Je ne peux pas me permettre de recommencer.
Mais que va t-elle choisir, elle ? Avant que le bus ne s'arrête à notre destination ?
Bref, Aïky reste contre moi et je sens une chaleureuse humeur grimper en elle. Elle me sourit toujours aussi divinement, pour finalement m'énoncer :
" Je ferais en sorte que tu n'es pas à me protéger alors ! "
Ces mots, plus joyeux, ravivent aussitôt la bonne humeur qui se perdait peu à peu. Elle se redresse un peu, mais je ne suis pas décidé à rompre ce petit contact si vite. Si je le pouvais, j'essuierais les larmes qui ornent désormais son visage. Mais mes gestes sont limité. Et puis... Je la garde toujours dans mes bras. Je chavire une fois encore sous sa douceur lorsque son front se dépose délicatement contre le mien.
" ça ... tu ne peux pas m'en empêcher "
Je lui souris bêtement comme un enfant heureux. Nos regards signifiant que l'on ne se lâchera pas l'un l'autre me remplis de force. Ce contact si tendre et mutuel, si bienveillant... Je pourrais le savourer des heures et des heures. Mes yeux dans les siens, son visage légèrement surélever. La situation est presque, voire carrément, romantique... Et me voila bloquer dans l'incertitude. Que dois-je faire ? Nous étions sensé nous revoir pour justement discuter de notre relation, repartir sur de bonnes base, ralentir un peu les choses. Pourtant, comme au jardin, j'ai ce désir de douceur qui m'est insupportable. Mais la dernière fois, c'est moi qui lui ait voler ses lèvres. Je ne peux pas me permettre de recommencer.
Mais que va t-elle choisir, elle ? Avant que le bus ne s'arrête à notre destination ?
Re: Une invitation à parler [Revan]
Après ma dernière phrase, Revan me sourit joyeusement, ce qui me fait sourire aussi à mon tour ... Nous nous sourions toujours l'un appuyé contre l'autre ... mais après ce petit moment de joie ... de retrouvailles et de promesses silencieuses, Revan change imperceptiblement de regard ... plus tendre ... plus chaud ...
Comme dans le jardin ... juste avant de ...
Je suis de nouveau emprisonnée par son regard ... mon souffle s’accélère un peu et je sens mes joues se teinter un peu de rose.
Que ... qu'est ce que je dois faire ? La dernière fois c'est Revan qui a fait le premier pas ... pourtant on voulait ... mettre tout ça au clair , en parler ensemble ...
Si je l'embrasses ... cela sera encore plus compliqué ... mais ... j'en ai envie ... et tout le corps de Revan se tends vers moi ... son regard en dit long sur son envie.. et mon regard doit être identique au sien ...
Nous sommes comme dans une bulle ... plus rien n'existe en dehors de nos regards, nos souffles qui se mélangent ... cette attente , ce besoin ...
Qui m'embrase ... m'envahit, me fait bouger sans que je ne l'en empêche.
Je relève un peu plus ma tête et mes lèvres frôlent celle de Revan , doucement .. avant de se poser complètement contre elles, se moulant dessus avec crainte et avidité. Je l'embrasse tendrement ...
Je ne réfléchis même plus , je me laisse aller , ma bouche sur la sienne ... si chaude et si douce ...
Elle n'a plus le gout salée des larmes ...
Mon baiser se fait plus intense, presque vorace ...
Je passe timidement mes bras autour du cou de Revan, me blottissant encore plus contre lui mes doigts agrippant sa nuque avec ferveur ...
Je n'arrive pas à m'arrêter de l'embrasser ... j'ai besoin ... de lui ...
Comme dans le jardin ... juste avant de ...
Je suis de nouveau emprisonnée par son regard ... mon souffle s’accélère un peu et je sens mes joues se teinter un peu de rose.
Que ... qu'est ce que je dois faire ? La dernière fois c'est Revan qui a fait le premier pas ... pourtant on voulait ... mettre tout ça au clair , en parler ensemble ...
Si je l'embrasses ... cela sera encore plus compliqué ... mais ... j'en ai envie ... et tout le corps de Revan se tends vers moi ... son regard en dit long sur son envie.. et mon regard doit être identique au sien ...
Nous sommes comme dans une bulle ... plus rien n'existe en dehors de nos regards, nos souffles qui se mélangent ... cette attente , ce besoin ...
Qui m'embrase ... m'envahit, me fait bouger sans que je ne l'en empêche.
Je relève un peu plus ma tête et mes lèvres frôlent celle de Revan , doucement .. avant de se poser complètement contre elles, se moulant dessus avec crainte et avidité. Je l'embrasse tendrement ...
Je ne réfléchis même plus , je me laisse aller , ma bouche sur la sienne ... si chaude et si douce ...
Elle n'a plus le gout salée des larmes ...
Mon baiser se fait plus intense, presque vorace ...
Je passe timidement mes bras autour du cou de Revan, me blottissant encore plus contre lui mes doigts agrippant sa nuque avec ferveur ...
Je n'arrive pas à m'arrêter de l'embrasser ... j'ai besoin ... de lui ...
Re: Une invitation à parler [Revan]
Je fixe Aïky avec tendresse, notre respiration qui s'entre-mêle me fait frétiller. Je savoure cet instant intemporel où il n'y a rien d'autre qu'elle et moi. Nos promesses, notre bienveillance. Une communication silencieuse mais des plus sincère. Aïky est tout aussi incertaine que moi, c'est normal... Nous avions prévue ce rendez-vous pour mettre les choses au clair, et nous revoilà confronté à la même situation qui à générer tout ces doutes... Mais mon cœur trahit cette envie et ce désir... Ce besoin de tendresse... Non. Ce besoin d'elle...
Mon cœur s'accélère et tambourine ma poitrine lorsque je sens les lèvres d'Aïky caresser furtivement les miennes... Et mon corps explose de milles feu lorsqu'elle décide finalement d'unir nos lèvres des plus tendrement. Mes yeux se referment pour se concentrer sur ces gestes si pur dont on brûlait tout deux d'envie... Je l'embrasse aussi tendrement qu'elle le fait, à son rythme, me laissant guidé par mon cœur. Je me rend à peine compte qu'Aïky me dévore comme un être affamé... Et je ne peux que satisfaire cette faim en l'embrassant de plus en plus passionnément... Cette voracité mutuelle la mène à me prendre par la nuque comme le ferait les serres d'un vautour... Et j'en frissonne drastiquement avant de prendre le dessus sur nos baiser, déposant ma main droite près de sa mâchoire, pour l'embrasser d'autant plus tendrement. Me surprenant au final à ressentir la même famine qui l'anime.
Oui... Elle m'a sous son total contrôle... Et je pourrais la dévorer des plus sensuellement... Et si nous n'étions pas dans un bus, mes lèvres auraient rejoins son cous depuis longtemps... J'en suis certain désormais, j'ai besoin d'elle et de son amour. Jamais je n'ai éprouvé ce genre de choses aussi vite... Mais je l'aime. Aïky, qui était sensé être ma meilleur amie, se retrouve finalement être la nouvelle gardienne de mon cœur... La seule princesse à qui je plierait le genoux aveuglément... La femme que je veux satisfaire en tout point, rendre heureuse quoi qu'il en coûte...
Je l'aime, et mes lèvres ne cessent de le lui hurler. De lui hurler ces sentiments ardents demeurant incontrôlable. Ces émotions si puissante qui anéantissent la raison pour ne laisser place qu'à la pureté des gestes. Je dévore son amour égoïstement tout en caressant sa joue malgré la douleur procuré à mon avant-bras. Mais peu m'importe, ce n'est certainement pas ça qui m'empêchera de savourer son amour et sa sincérité durant les quelques instant avant que l'on ne soit séparé par l'arrêt de bus.
Entre deux baiser, mon corps ne peux se priver de lui murmurer amoureusement :
" Je t'aime... Aïky... "
Avant de reprendre des baiser plus fougueux, tous plus sincère les uns que les autres.
La bêtise que nous partageons n'en est plus une. Puisqu'au final elle m'affirme une chose.
J'aime Aïky.
Mon cœur s'accélère et tambourine ma poitrine lorsque je sens les lèvres d'Aïky caresser furtivement les miennes... Et mon corps explose de milles feu lorsqu'elle décide finalement d'unir nos lèvres des plus tendrement. Mes yeux se referment pour se concentrer sur ces gestes si pur dont on brûlait tout deux d'envie... Je l'embrasse aussi tendrement qu'elle le fait, à son rythme, me laissant guidé par mon cœur. Je me rend à peine compte qu'Aïky me dévore comme un être affamé... Et je ne peux que satisfaire cette faim en l'embrassant de plus en plus passionnément... Cette voracité mutuelle la mène à me prendre par la nuque comme le ferait les serres d'un vautour... Et j'en frissonne drastiquement avant de prendre le dessus sur nos baiser, déposant ma main droite près de sa mâchoire, pour l'embrasser d'autant plus tendrement. Me surprenant au final à ressentir la même famine qui l'anime.
Oui... Elle m'a sous son total contrôle... Et je pourrais la dévorer des plus sensuellement... Et si nous n'étions pas dans un bus, mes lèvres auraient rejoins son cous depuis longtemps... J'en suis certain désormais, j'ai besoin d'elle et de son amour. Jamais je n'ai éprouvé ce genre de choses aussi vite... Mais je l'aime. Aïky, qui était sensé être ma meilleur amie, se retrouve finalement être la nouvelle gardienne de mon cœur... La seule princesse à qui je plierait le genoux aveuglément... La femme que je veux satisfaire en tout point, rendre heureuse quoi qu'il en coûte...
Je l'aime, et mes lèvres ne cessent de le lui hurler. De lui hurler ces sentiments ardents demeurant incontrôlable. Ces émotions si puissante qui anéantissent la raison pour ne laisser place qu'à la pureté des gestes. Je dévore son amour égoïstement tout en caressant sa joue malgré la douleur procuré à mon avant-bras. Mais peu m'importe, ce n'est certainement pas ça qui m'empêchera de savourer son amour et sa sincérité durant les quelques instant avant que l'on ne soit séparé par l'arrêt de bus.
Entre deux baiser, mon corps ne peux se priver de lui murmurer amoureusement :
" Je t'aime... Aïky... "
Avant de reprendre des baiser plus fougueux, tous plus sincère les uns que les autres.
La bêtise que nous partageons n'en est plus une. Puisqu'au final elle m'affirme une chose.
J'aime Aïky.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Mon cœur va exploser ... trop de sensations, de chaleur ... trop de trop .. mais pas assez de Revan ... il est contre moi, ses lèvres accrochées aux miennes et je ne me rassasie pas de lui ... au contraire , il nourrit mon envie, mon besoin ... c'est paradoxal ...
Il a posé ma main sur ma mâchoire, la caressant un peu sans cesser de m'embrasser ... Dans son baisers j'y retrouve tout ce que je voudrais lui exprimer ... un besoin, une faim de l'autre, quelque chose d'insatiable ... d'incalculable ... Je n'ai jamais ressenti ce besoin pour quelqu'un ... un besoin physique et intime envers une personne ... un besoin de sa proximité , de sa présence.
Les seules personnes qui aient pu me faire ressentir un besoin plus ou moins comparable était ma mère et plus récemment Kaname ... mais ... ce n'était pas ... aussi viscéral cette envie ... et je n'avais pas envie de les embrasser d'ailleurs ...
Nos lèvres s'unissent, s'éloignent pour mieux se retrouver, nos sentiments réciproques se déversent sur la peau de l'autre, s'impriment dans la chaleur de nos bouches mais c'est les mots qu'il prononce dans un murmure qui me fait chavirer.
- Je t'aime... Aïky...
J'ai l'impression de rêver ... pourtant ces mots mais son corps entier crie ce message , ses lèvres contre les miennes l'affirme et le revendique ...
Est ce donc cela ... j'aime ... Revan ?
Je n'ai jamais été amoureuse .. mais je crois bien que l'expression "tomber amoureuse" prends son sens à cet instant ... car oui une évidence me tombe dessus ... j'aime cet homme ...
Ce sentiment est si gros, si intense j'ai l'impression qu'il prends toute la place ... il me brule sans jamais me consumer ... J'ai envie de pleurer ... j'ai envie de rire ..
Je frissonne, je frémis contre sa bouche ... je n'arrive pas à lui dire tout ça ...
Je ne sais même pas comment lui dire
Alors ... puisque je n'ai pas encore les mots qu'il faut ... ceux qui décriraient toutes les sensations qui se bousculent en moi, m'effraient mais m'apaisent en même temps , je me recule un peu , rompant notre baiser quelques secondes pour plonger mon regard dans ces yeux, une main remonte le long de sa mâchoire jusqu'à sa bouche que je caresse tendrement et fugacement avec l'index. Je lui souris et revient l'embrasser avec toute ma tendresse, mes peurs, mes espoirs et mes sentiments que je ne comprends pas encore tout à fait ... dans un long et tendre baiser, caressant sa joue, sa mâchoire et son cou, comme pour imprimer ses traits dans ma mémoire ... m'approprier son visage.
- Revan ...
Son nom s'échappe dans un murmure alors qu'à nouveau nous nous reculons.
Le bus s'arrête à cet instant, comme pour mettre un point à ce moment , nous laissant dans une joie rêveuse ...
Nous nous levons ensemble et descendons du bus. L'air frais m'aide à calmer les battements de mon coeur encore excité par ce que nous avons fait dans le bus ... mais je ne le regrette pas ...
Nous nous jetons des regards timides mais heureux, et commençons à marcher l'un à coté de l'autre , nous dirigeant vers le quartier ou je dois acheter mon produit pour mon violon.
Il a posé ma main sur ma mâchoire, la caressant un peu sans cesser de m'embrasser ... Dans son baisers j'y retrouve tout ce que je voudrais lui exprimer ... un besoin, une faim de l'autre, quelque chose d'insatiable ... d'incalculable ... Je n'ai jamais ressenti ce besoin pour quelqu'un ... un besoin physique et intime envers une personne ... un besoin de sa proximité , de sa présence.
Les seules personnes qui aient pu me faire ressentir un besoin plus ou moins comparable était ma mère et plus récemment Kaname ... mais ... ce n'était pas ... aussi viscéral cette envie ... et je n'avais pas envie de les embrasser d'ailleurs ...
Nos lèvres s'unissent, s'éloignent pour mieux se retrouver, nos sentiments réciproques se déversent sur la peau de l'autre, s'impriment dans la chaleur de nos bouches mais c'est les mots qu'il prononce dans un murmure qui me fait chavirer.
- Je t'aime... Aïky...
J'ai l'impression de rêver ... pourtant ces mots mais son corps entier crie ce message , ses lèvres contre les miennes l'affirme et le revendique ...
Est ce donc cela ... j'aime ... Revan ?
Je n'ai jamais été amoureuse .. mais je crois bien que l'expression "tomber amoureuse" prends son sens à cet instant ... car oui une évidence me tombe dessus ... j'aime cet homme ...
Ce sentiment est si gros, si intense j'ai l'impression qu'il prends toute la place ... il me brule sans jamais me consumer ... J'ai envie de pleurer ... j'ai envie de rire ..
Je frissonne, je frémis contre sa bouche ... je n'arrive pas à lui dire tout ça ...
Je ne sais même pas comment lui dire
Alors ... puisque je n'ai pas encore les mots qu'il faut ... ceux qui décriraient toutes les sensations qui se bousculent en moi, m'effraient mais m'apaisent en même temps , je me recule un peu , rompant notre baiser quelques secondes pour plonger mon regard dans ces yeux, une main remonte le long de sa mâchoire jusqu'à sa bouche que je caresse tendrement et fugacement avec l'index. Je lui souris et revient l'embrasser avec toute ma tendresse, mes peurs, mes espoirs et mes sentiments que je ne comprends pas encore tout à fait ... dans un long et tendre baiser, caressant sa joue, sa mâchoire et son cou, comme pour imprimer ses traits dans ma mémoire ... m'approprier son visage.
- Revan ...
Son nom s'échappe dans un murmure alors qu'à nouveau nous nous reculons.
Le bus s'arrête à cet instant, comme pour mettre un point à ce moment , nous laissant dans une joie rêveuse ...
Nous nous levons ensemble et descendons du bus. L'air frais m'aide à calmer les battements de mon coeur encore excité par ce que nous avons fait dans le bus ... mais je ne le regrette pas ...
Nous nous jetons des regards timides mais heureux, et commençons à marcher l'un à coté de l'autre , nous dirigeant vers le quartier ou je dois acheter mon produit pour mon violon.
Re: Une invitation à parler [Revan]
Comme deux loups affamé nous nous échangeons d'incalculables baiser, témoignant définitivement des sentiments que l'on éprouve pour l'autre. Mes lèvres pourraient s'unirent aux siennes à longueur de journées tant ils ne satisfont nullement ce besoin d'elle. Bien au contraire, ils donnent l'illusion d’apaiser cette famine, tandis qu'ils ne la font que grandir. Mais finalement, c'est Aïky qui recule un peu son visage, pour mieux plonger ses yeux dans les miens. Ses mains parcours mon visage avec douceur, et me provoquent de délicieux frissons. Je la regarde, elle me regarde, il n'y a que nous en cet instant. Nos émotions, nos sourires. Sa main parcours ma mâchoire pour finalement rejoindre les lèvres dont elle s'est déjà emparé... Elle les caresse quelques instants à peine... Pour finalement m'offrir de nouveau son sourire si chaleureux. Et m'offrir ses lèvres qui me font tant chavirer, orné de ses doigts qui marquent son nom sur ma peau...
" Revan... "
Ce murmure si sensuelle me soumet à elle...
Mais le bus achève son chemin, et nous sommes contraints de nous reculer. Je l'observe quelque instants, si cela ne tenait qu'à moi je lui sauterait dessus pour lui hurler tout ces sentiments qui me dévorent... Mais il fallait mettre un terme à ce moment que l'on vient de savourer. Je caresse sa joue doucement, avant qu'elle ne me dise indirectement, de par ses gestes, que l'on devait se dépêcher pour ne pas manquer l'arrêt. Je me lève alors avec elle, passe devant pour qu'elle puisse partir. Mais la laisse repasser devant avec le sourire. Nous nous échangeons plusieurs regards, avant de descendre du bus.
On ne sait pas quoi se dire, nous sommes comme deux enfants innocents qui ne savent pas ce qu'est l'amour, en étant pourtant gaga de l'autres. Aïky ouvre la marche et je la suis à ses côtés. Finalement je prend timidement sa main, et y glisse mes doigts entre les siens avec douceur. Marchant à ses côtés, tel un couple qui vient de se former.
Après quelques minutes de silences à nous échanger des regards heureux, je brise finalement cette seule distance qui nous sépare en lui demandant tendrement :
" Dis, est-ce que tu aimes les Milkshake ? J'avais pensé à t'en offrir un après que l'on ait chercher ton produit... Sauf si tu préfères un tee-shirt ? "
" Revan... "
Ce murmure si sensuelle me soumet à elle...
Mais le bus achève son chemin, et nous sommes contraints de nous reculer. Je l'observe quelque instants, si cela ne tenait qu'à moi je lui sauterait dessus pour lui hurler tout ces sentiments qui me dévorent... Mais il fallait mettre un terme à ce moment que l'on vient de savourer. Je caresse sa joue doucement, avant qu'elle ne me dise indirectement, de par ses gestes, que l'on devait se dépêcher pour ne pas manquer l'arrêt. Je me lève alors avec elle, passe devant pour qu'elle puisse partir. Mais la laisse repasser devant avec le sourire. Nous nous échangeons plusieurs regards, avant de descendre du bus.
On ne sait pas quoi se dire, nous sommes comme deux enfants innocents qui ne savent pas ce qu'est l'amour, en étant pourtant gaga de l'autres. Aïky ouvre la marche et je la suis à ses côtés. Finalement je prend timidement sa main, et y glisse mes doigts entre les siens avec douceur. Marchant à ses côtés, tel un couple qui vient de se former.
Après quelques minutes de silences à nous échanger des regards heureux, je brise finalement cette seule distance qui nous sépare en lui demandant tendrement :
" Dis, est-ce que tu aimes les Milkshake ? J'avais pensé à t'en offrir un après que l'on ait chercher ton produit... Sauf si tu préfères un tee-shirt ? "
Re: Une invitation à parler [Revan]
Nous étions montés dans ce bus l'un derrière l'autre et maintenant nous marchons cote à coté , timides et silencieux, découvrant un sentiment nouveau ?
Je lui jette quelques regards timide en marchant ... et ... je sens ses doigts se glisser entre les miens
Je tourne mon regard vers Revan et le regarde surpris mais son sourire doux et ses doigts qui se resserrent sur les miens me calme et je lui réponds avec un sourire, prenant plus fermement ta main.
Revan finit par rompre le silence en me posant une question
- Dis, est-ce que tu aimes les Milkshake ? J'avais pensé à t'en offrir un après que l'on ait chercher ton produit... Sauf si tu préfères un tee-shirt ?
J'avoue que sa dernière question me fait rire intérieurement ! Je ne saisis pas la logique entre un milkshake et un t-shirt.
Après ... je n'ai jamais été en couple ... c'est peut être normal d'offrir un t-shirt ?
Je rougis en pensant au statut de couple ... sommes nous en couple du coup ? Nous nous tenons la main et ... dans le bus ... enfin je pense que nous n'en sommes plus au stade d'amis
- Oui j'aime bien les Milkshakes ! On devrait bien trouver un café qui en propose sur la place centrale de Touhills !
Nous marchons d'un bon pas et je me surprends à sourire sans raison, juste heureuse.
Enfin nous arrivons à la petite boutique de bric à brac. Je sors de mon sac mon petit carnet dans lequel j'ai marqué le nom et l'adresse de la boutique pour vérifier que je ne me sois pas trompée mais c'est bien là "La trouvaille du jour" écrit en or sur une plaquette en bois noir, accrochée au dessus de la porte en bois noir aussi. Un petit carton était accroché sur la vitre "Open" nous invitant à entrer. Je Poussais donc la porte et rentra dans la petite boutique. Un joli son de clochette retentit et un vieil homme sort de derrière l'arrière le magasin pour nous accueillir chaleureusement
- Bonjour messieurs Dames, en quoi puis je vous aider ?
Le typique anglais : la chemise à carreaux sous un petit veston rouge bordeaux, une couronne de cheveux blanc, une petite moustache peignée toute droite, un visage jovial dont une petite paire de lunette avec un cordon blanc raccrocher à chaque branche, venait rajouter une touche de sagesse au portrait de l'homme en face de nous.
- Oh , Bonjour ... Je recherche un produit particulier pour mon violon. [ je recherchais rapidement la page de mon carnet ou j'avais noté le nom et la référence du produit] Je cherche du GEWA ... de la cire pour nettoyer les instruments à corde.
- Bien sûr, je dois en avoir au fond de la boutique ! Je reviens.
Le vieux monsieur s'éloigne , nous laissant , Revan et moi, seuls. J'en profite pour regarder plus en détail la boutique ... il y a des rayons remplies de vases, cage à coucou , poupées de porcelaines sur leur présentoir, vieux appareils à photo ou encore un rockingchair dans un coin contre lequel est posé un énorme luth. Je m'y approche , passant mes doigts contre les cordes, les faisant un peu vibrer. Un léger voile de poussière flotte dans les rayons de soleil qui percent à travers la grande vitrine. Une collection de pipe en bois est accrochée sur un tableau contre un mur et quelques autres tableaux ornent les murs ... il y a une odeur de menthe et d'amande qui flotte dans l'air ... la boutique n'est pas très grande mais je la trouve mignonne. Je continue mon exploration, regardant partout autour de moi avant de tomber sur un violon, délicatement présenté dans son étui dans l'intérieur est en velours rouge.
Je m'approche et l'observe ... c'est un Stradivarius ... il est magnifique. La couleur du bois typique , la forme des S sur le coté ... bien peu de doute à avoir ... et ses cotés sont finement ciselés ... une œuvre d'art et de finesse.
Le vieil homme revient avec un pot du produit et s'approche dans mon dos. Je suis hypnotisée par le violon, je ne tourne même pas la tête vers lui, mon regard glissant sur les courbes de l'instrument.
- Oh je vois que vous avez trouvé mon Stradivarius ! C'est une taille 3/4 tout en épicéa et et ébène. Il a était fait en 1967 dans la plus pure tradition des Stradivarius. Et d'ailleurs je l'ai nettoyé hier avec le Gewa !
L'homme continua sur sa lancée, expliquant qu'il l'avait d'une femme dont la grand-mère avait été une célèbre violoniste. Je n'y prêtais qu'une oreille distraite , contemplant l'instrument ... J'imaginais les notes , les vibrations et la puissance qu'il pouvait offrir. Mais le vendeur me fit bien vite revenir sur terre en m'annonçant son prix composé de 4 chiffres.
Et du coin de l’œil je voyais Revan patienter. Il ne fallait pas que je m'attarde trop et le faire attendre.
Je remercia le vendeur et m’enquis encore de quelques rapides conseils pour utiliser au mieux le produit. Il prit plaisir à me répondre. On sentait qu'il était passionné et je soupçonnais même qu'il ne soit aussi un peu musicien. Je payais le produit et le remercia chaleureusement.
Il se fit un plaisir de nous raccompagner à la porte, nous invitant à revenir aussi souvent que nous le souhaitions.
Une fois dehors, je rangeais le pot dans mon sac et me tourna vers Revan.
- Je suis désolé, j'espère que je n'ai pas été trop longue ?
Je lui jette quelques regards timide en marchant ... et ... je sens ses doigts se glisser entre les miens
Je tourne mon regard vers Revan et le regarde surpris mais son sourire doux et ses doigts qui se resserrent sur les miens me calme et je lui réponds avec un sourire, prenant plus fermement ta main.
Revan finit par rompre le silence en me posant une question
- Dis, est-ce que tu aimes les Milkshake ? J'avais pensé à t'en offrir un après que l'on ait chercher ton produit... Sauf si tu préfères un tee-shirt ?
J'avoue que sa dernière question me fait rire intérieurement ! Je ne saisis pas la logique entre un milkshake et un t-shirt.
Après ... je n'ai jamais été en couple ... c'est peut être normal d'offrir un t-shirt ?
Je rougis en pensant au statut de couple ... sommes nous en couple du coup ? Nous nous tenons la main et ... dans le bus ... enfin je pense que nous n'en sommes plus au stade d'amis
- Oui j'aime bien les Milkshakes ! On devrait bien trouver un café qui en propose sur la place centrale de Touhills !
Nous marchons d'un bon pas et je me surprends à sourire sans raison, juste heureuse.
Enfin nous arrivons à la petite boutique de bric à brac. Je sors de mon sac mon petit carnet dans lequel j'ai marqué le nom et l'adresse de la boutique pour vérifier que je ne me sois pas trompée mais c'est bien là "La trouvaille du jour" écrit en or sur une plaquette en bois noir, accrochée au dessus de la porte en bois noir aussi. Un petit carton était accroché sur la vitre "Open" nous invitant à entrer. Je Poussais donc la porte et rentra dans la petite boutique. Un joli son de clochette retentit et un vieil homme sort de derrière l'arrière le magasin pour nous accueillir chaleureusement
- Bonjour messieurs Dames, en quoi puis je vous aider ?
Le typique anglais : la chemise à carreaux sous un petit veston rouge bordeaux, une couronne de cheveux blanc, une petite moustache peignée toute droite, un visage jovial dont une petite paire de lunette avec un cordon blanc raccrocher à chaque branche, venait rajouter une touche de sagesse au portrait de l'homme en face de nous.
- Oh , Bonjour ... Je recherche un produit particulier pour mon violon. [ je recherchais rapidement la page de mon carnet ou j'avais noté le nom et la référence du produit] Je cherche du GEWA ... de la cire pour nettoyer les instruments à corde.
- Bien sûr, je dois en avoir au fond de la boutique ! Je reviens.
Le vieux monsieur s'éloigne , nous laissant , Revan et moi, seuls. J'en profite pour regarder plus en détail la boutique ... il y a des rayons remplies de vases, cage à coucou , poupées de porcelaines sur leur présentoir, vieux appareils à photo ou encore un rockingchair dans un coin contre lequel est posé un énorme luth. Je m'y approche , passant mes doigts contre les cordes, les faisant un peu vibrer. Un léger voile de poussière flotte dans les rayons de soleil qui percent à travers la grande vitrine. Une collection de pipe en bois est accrochée sur un tableau contre un mur et quelques autres tableaux ornent les murs ... il y a une odeur de menthe et d'amande qui flotte dans l'air ... la boutique n'est pas très grande mais je la trouve mignonne. Je continue mon exploration, regardant partout autour de moi avant de tomber sur un violon, délicatement présenté dans son étui dans l'intérieur est en velours rouge.
Je m'approche et l'observe ... c'est un Stradivarius ... il est magnifique. La couleur du bois typique , la forme des S sur le coté ... bien peu de doute à avoir ... et ses cotés sont finement ciselés ... une œuvre d'art et de finesse.
Le vieil homme revient avec un pot du produit et s'approche dans mon dos. Je suis hypnotisée par le violon, je ne tourne même pas la tête vers lui, mon regard glissant sur les courbes de l'instrument.
- Oh je vois que vous avez trouvé mon Stradivarius ! C'est une taille 3/4 tout en épicéa et et ébène. Il a était fait en 1967 dans la plus pure tradition des Stradivarius. Et d'ailleurs je l'ai nettoyé hier avec le Gewa !
L'homme continua sur sa lancée, expliquant qu'il l'avait d'une femme dont la grand-mère avait été une célèbre violoniste. Je n'y prêtais qu'une oreille distraite , contemplant l'instrument ... J'imaginais les notes , les vibrations et la puissance qu'il pouvait offrir. Mais le vendeur me fit bien vite revenir sur terre en m'annonçant son prix composé de 4 chiffres.
Et du coin de l’œil je voyais Revan patienter. Il ne fallait pas que je m'attarde trop et le faire attendre.
Je remercia le vendeur et m’enquis encore de quelques rapides conseils pour utiliser au mieux le produit. Il prit plaisir à me répondre. On sentait qu'il était passionné et je soupçonnais même qu'il ne soit aussi un peu musicien. Je payais le produit et le remercia chaleureusement.
Il se fit un plaisir de nous raccompagner à la porte, nous invitant à revenir aussi souvent que nous le souhaitions.
Une fois dehors, je rangeais le pot dans mon sac et me tourna vers Revan.
- Je suis désolé, j'espère que je n'ai pas été trop longue ?
Re: Une invitation à parler [Revan]
Aïky nous dirige vers la fameuse boutique. En y entrant, et après avoir saluer le gentilhomme qui nous a accueillit, je me sens détendus par l'ambiance vieillot mais cosy. Aïky ne tarda pas à demander le produit qu'elle recherche, avant de visiter la boutique. De mon côté, même si des objets attirent mon attention, mes yeux sont focalisé sur une tout autre chose. Aïky, bien sûr. Il n'y a que son doux visage qui m'hypnotise, ce soleil dans son sourire, les étoiles dans ses yeux. Je me surprend à sourire bêtement rien qu'en l'observant. Admirant ce cadeau dont les pensées se perdent sur chaque article. Aïky s'arrêta cependant devant un magnifique violon. Et mes lèvres dessinent aussitôt un sourire malicieux. Comme un animal qui se lécherait les babines face à une nouvelle proie.
" Oh je vois que vous avez trouvé mon Stradivarius ! C'est une taille 3/4 tout en épicéa et et ébène. Il a était fait en 1967 dans la plus pure tradition des Stradivarius. Et d'ailleurs je l'ai nettoyé hier avec le Gewa ! "
Et bien et bien, l'entendre décrire ce splendide appareil ne fait qu'accentué les valeurs artistique qu'il symbolise. Mais Aïky sembla vite déçus en entendant le prix. Les instruments ont toujours été chère après tout. Après une discrète recherche sur google, je constate la définition de "Stradivarius", qui m'était jusqu'ici méconnus. Et comprend d'avantage le prix. Mais voir l'air rêveur d'Aïky brisé par l'argent me fend le cœur.
Aïky me lança un discret regard, dont je répond par un sourire avant de regarder un peu partout. Elle demande alors quelques conseil au vendeurs, avant de le remercier et de s'en aller. Je demande à Aïky de m'attendre quelques instant dehors, pour poser quelques timide questions au vendeur. Qui ne tarde pas à me sourire ou même à ricaner. Ce qui me fait gonfler une joue tout en voilant mes joues de rose. Après notre petite discussion d'homme, je le remercie chaleureusement, avant de rejoindre ma dulcinée qui commençait sûrement à s'impatienter.
" Je suis désolé, j'espère que je n'ai pas été trop longue ? "
Je lui souris, avant de déposer un bisous sur son front
" Tu rigoles ? C'est même moi qui ait fait traîner les choses en restant un peu. Puis même si c'était long ça n'aurait pas été grave. Je veux dire, tu avais l'air émerveillé par la boutique. Surtout par le "Stradivarius". Et ça fait plaisir de te voir comme ça. "
Je commence alors à marcher, guettant un café chaleureux pouvant nous proposer des Milkshake. Mais je retiens également les lieux et les diverses enseignes. Après tout, j'y referais prochainement un tour !
Nous marchons l'un à côtés de l'autre, puis décide de lancer un sourire malicieux à Aïky
" Au faîte, j'ai un cadeau pour toi "
Je sors mon portable, que je lui tends. Lorsqu'elle le prendra en main, elle y verra sur l'écran une photo du Stradivarius qu'ils viennent de voir. Revan lui sourit d'autant plus amusé, pour finalement lui énoncé sur un ton humoristique et innocent comme un enfant :
" C'est magique non ? Tu as ce violon avec toi maintenant ! "
" Oh je vois que vous avez trouvé mon Stradivarius ! C'est une taille 3/4 tout en épicéa et et ébène. Il a était fait en 1967 dans la plus pure tradition des Stradivarius. Et d'ailleurs je l'ai nettoyé hier avec le Gewa ! "
Et bien et bien, l'entendre décrire ce splendide appareil ne fait qu'accentué les valeurs artistique qu'il symbolise. Mais Aïky sembla vite déçus en entendant le prix. Les instruments ont toujours été chère après tout. Après une discrète recherche sur google, je constate la définition de "Stradivarius", qui m'était jusqu'ici méconnus. Et comprend d'avantage le prix. Mais voir l'air rêveur d'Aïky brisé par l'argent me fend le cœur.
Aïky me lança un discret regard, dont je répond par un sourire avant de regarder un peu partout. Elle demande alors quelques conseil au vendeurs, avant de le remercier et de s'en aller. Je demande à Aïky de m'attendre quelques instant dehors, pour poser quelques timide questions au vendeur. Qui ne tarde pas à me sourire ou même à ricaner. Ce qui me fait gonfler une joue tout en voilant mes joues de rose. Après notre petite discussion d'homme, je le remercie chaleureusement, avant de rejoindre ma dulcinée qui commençait sûrement à s'impatienter.
" Je suis désolé, j'espère que je n'ai pas été trop longue ? "
Je lui souris, avant de déposer un bisous sur son front
" Tu rigoles ? C'est même moi qui ait fait traîner les choses en restant un peu. Puis même si c'était long ça n'aurait pas été grave. Je veux dire, tu avais l'air émerveillé par la boutique. Surtout par le "Stradivarius". Et ça fait plaisir de te voir comme ça. "
Je commence alors à marcher, guettant un café chaleureux pouvant nous proposer des Milkshake. Mais je retiens également les lieux et les diverses enseignes. Après tout, j'y referais prochainement un tour !
Nous marchons l'un à côtés de l'autre, puis décide de lancer un sourire malicieux à Aïky
" Au faîte, j'ai un cadeau pour toi "
Je sors mon portable, que je lui tends. Lorsqu'elle le prendra en main, elle y verra sur l'écran une photo du Stradivarius qu'ils viennent de voir. Revan lui sourit d'autant plus amusé, pour finalement lui énoncé sur un ton humoristique et innocent comme un enfant :
" C'est magique non ? Tu as ce violon avec toi maintenant ! "
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