Paradox Ultime. [Venez tous]
Olympus Project :: Avant le jeu :: Gestion du RP :: Souvenirs :: Archive Tsuki 2014/2018 :: Parc intérieur :: Jardins
Page 1 sur 2 • Partagez
Page 1 sur 2 • 1, 2
Paradox Ultime. [Venez tous]
Comme un cadeau venu du ciel, en cet après-midi de novembre, le soleil brillait sur la plage et il faisait chaud. Très chaud. Je sirotai un thé glacé en attrapant enfin le dernier Pokémon qui manquait à mon inventaire, sur ma console vert pomme. A côté d’moi, une montagne de cadeaux que des passants m’avaient offerts sans raisons particulières, n'attendaient que d'être ouverts. Tout allait pour le mieux. Du haut de mes 22 ans, (Mes 22 ans depuis le temps que je suis à l'académie) j’avais été accepté sans problèmes comme directeur de l’académie, et mon niveau en magie était tellement supérieur à celui des autres que Dieu en personne - Si si, il existe. Ce n'est pas une blague. Et il est encore plus barbu que le père noël- m’avait demandé de prendre sa place parce qu'il devenait trop vieux. Quand soudain ... Plic ! Plic. Plouc ... Plouc ... Plouc... Qui osait déranger la tranquillité du remplaçant de Dieu ?! Mais ... Minute. Oh nooon ! Ce n'était qu'un rêve.
Une averse venait de se déclencher, me tirant d'un coup sec des bras de Morphée. Où était passé le beau temps, mes cadeaux, et mes supers-pouvoirs terrifiants ? Au lieu de ça, j’étais trempé jusqu'aux os, sans vêtements de rechange, et je ne pouvais pas me rendormir tellement je crever de froid. Qu'est ce qui m’a pris de m'endormir dans le jardin, aussi ? C'était la faute de cet enregistrement étrange sur mon téléphone intitulé « Séance d'hypnose contre le stress » Ça fonctionne ce truc. Whaoh… Ou pas en fait, une fois que je me pose quelque part c’est parti pour le monde des rêves.
« Bonjour euh ... Grand arbre ! Je peux m'abriter là, un instant ?! De toute façon, tu n'as pas vraiment le choix, désolé. »
Oui, bon. Ce n’est pas comme si c'était étrange de voir un gars parler aux arbres. De toute façon, je n'avais pas peur du ridicule, et y’avait plus personne en plus… Même pas ils m’ont prévenu ces connards. Quoi ? C’est mon RP j’dis ce que j’veux. Bref. Je regarde mon téléphone pour voir l’heure. Super plus de batterie et en plus l’académie et loin… Au moins 500 mètre… si je bouge je risque d’encore plus me mouiller de de tomber malade. Quel ennui. Vivement que cette pluie diluvienne se termine, pour que je puisse enfin rentrer à ma maison ! Le temps passe.
Cherchant à m'occuper avec les moyens du bord, j’attrape un escargot sur l’arbre. « Salut mec ! Tu t'ennuies aussi ? Pour la peine, je vais t'appeler ... Rick ! Tu as faim ? » Je m’accroupie puis le pose par terre avant de prendre un morceau de bâton et de jouer avec lui. J’avais l’air d’un gosse comme ça.
Une averse venait de se déclencher, me tirant d'un coup sec des bras de Morphée. Où était passé le beau temps, mes cadeaux, et mes supers-pouvoirs terrifiants ? Au lieu de ça, j’étais trempé jusqu'aux os, sans vêtements de rechange, et je ne pouvais pas me rendormir tellement je crever de froid. Qu'est ce qui m’a pris de m'endormir dans le jardin, aussi ? C'était la faute de cet enregistrement étrange sur mon téléphone intitulé « Séance d'hypnose contre le stress » Ça fonctionne ce truc. Whaoh… Ou pas en fait, une fois que je me pose quelque part c’est parti pour le monde des rêves.
« Bonjour euh ... Grand arbre ! Je peux m'abriter là, un instant ?! De toute façon, tu n'as pas vraiment le choix, désolé. »
Oui, bon. Ce n’est pas comme si c'était étrange de voir un gars parler aux arbres. De toute façon, je n'avais pas peur du ridicule, et y’avait plus personne en plus… Même pas ils m’ont prévenu ces connards. Quoi ? C’est mon RP j’dis ce que j’veux. Bref. Je regarde mon téléphone pour voir l’heure. Super plus de batterie et en plus l’académie et loin… Au moins 500 mètre… si je bouge je risque d’encore plus me mouiller de de tomber malade. Quel ennui. Vivement que cette pluie diluvienne se termine, pour que je puisse enfin rentrer à ma maison ! Le temps passe.
Cherchant à m'occuper avec les moyens du bord, j’attrape un escargot sur l’arbre. « Salut mec ! Tu t'ennuies aussi ? Pour la peine, je vais t'appeler ... Rick ! Tu as faim ? » Je m’accroupie puis le pose par terre avant de prendre un morceau de bâton et de jouer avec lui. J’avais l’air d’un gosse comme ça.
Dernière édition par Kuro le Ven 10 Nov 2017, 16:16, édité 1 fois
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
Ma plume grattait sur le papier blanc de mon carnet, traçant fidèlement ces quelques mots du livre de Jane Austen " Orgueil et Préjugés".
« Mon caractère, je ne saurais m'en porter garant. Je crois qu'il manque de souplesse. Il est sans doute trop rigide, en tout cas au goût des gens que je fréquente. Je ne parviens pas à oublier les folies et les vices d'autrui aussi vite qu'il le faudrait, ni les torts qu'ils m'ont fait subir. On ne réussit pas à m'influencer chaque fois que l'on me flatte. Je suis d'une humeur qu'on pourrait qualifier de rancunière. Quand je retire mon estime, c'est pour toujours. »
J’aimais la manière dont écrivait cette auteure anglaise … le style typiquement romantique … qui laissait rêveur. Le passage était une parole du beau Darcy qui décrivait son caractère avec clarté et simplicité.
Posant mon carnet et mon livre sur mes genoux, je m’étirais, ma nuque un peu douloureuse d’avoir passé une partie de l’après-midi assise contre un vieux chêne, le nez dans l’histoire d’Elizabeth Benett. Une femme avec un caractère fort…
Je suçotais le bout de mon stylo plume en rêvassant …La famille Benett avec leurs 5 filles. La maison remplie de rire et de murmures. La table du repas toujours remplie. Ce genre d’ambiance familiale qui m’était totalement inconnu. Mes pensées s’assombrissaient et je secouais vivement la tête pour me défaire de cela. Je n’avais pas envie d’être triste.
Le vent était doux et l’odeur de l’automne enivrait l’air … La tête relevait vers la cime de l’arbre, je respirais doucement.
Soudain une bourrasque ébouriffa mes cheveux et je resserrais mon foulard sur mes épaules.
Une goutte tomba sur ma joue, dévala ma peau jusqu’à glisser sur mon genou … Puis une autre, et une autre… Cette petite averse me sortit de mes pensées et la fraicheur de l’air finit par me décider à envisager de rentrer.
Je rassemblais mes quelques affaires quand une voix se fit entendre
- Bonjour euh ... Grand arbre ! Je peux m'abriter là, un instant ?! De toute façon, tu n'as pas vraiment le choix, désolé.
Toujours assise, je me retournais et me pencha discrètement pour voir qui avait parlé.
Il y avait un homme. Très grand et il était trempé … l’averse n’avait pas dû le louper.
Ces cheveux étaient tout ébouriffés mais ce qui me surprit c’est la couleur bleue de sa chevelure. Son regard semblait l’être également mais je ne pus m’y attarder davantage. C’était un bel homme, les épaules fermes mais mon observation fut stoppée quand l’homme reprit :
- Salut mec ! Tu t'ennuies aussi ?
A qui parlait-il ? il m’avait repéré ? Je m'appuya vivement contre le tronc, comme si j'avais été prise sur le fait. Mais à bien y réfléchir, cela m’étonnerait car l’arbre me cachait… sauf quand ma tête dépassait pour l’observer.
Il attrapa quelque chose et s’accroupit sur l’herbe devenu humide.
- Pour la peine, je vais t'appeler ... Rick ! Tu as faim ?
Je me relevais discrètement et m’appuya contre le tronc pour l’observer.
Il jouait avec un escargot … son attitude avait quelque chose d’enfantin et je ne pus m’empêcher de rire tendrement devant cette scène vraiment mignonne. Il semblait pourtant plus vieux que moi et avec sa taille de géant, je l’imaginais plutôt en adulte sérieux.
« Mon caractère, je ne saurais m'en porter garant. Je crois qu'il manque de souplesse. Il est sans doute trop rigide, en tout cas au goût des gens que je fréquente. Je ne parviens pas à oublier les folies et les vices d'autrui aussi vite qu'il le faudrait, ni les torts qu'ils m'ont fait subir. On ne réussit pas à m'influencer chaque fois que l'on me flatte. Je suis d'une humeur qu'on pourrait qualifier de rancunière. Quand je retire mon estime, c'est pour toujours. »
J’aimais la manière dont écrivait cette auteure anglaise … le style typiquement romantique … qui laissait rêveur. Le passage était une parole du beau Darcy qui décrivait son caractère avec clarté et simplicité.
Posant mon carnet et mon livre sur mes genoux, je m’étirais, ma nuque un peu douloureuse d’avoir passé une partie de l’après-midi assise contre un vieux chêne, le nez dans l’histoire d’Elizabeth Benett. Une femme avec un caractère fort…
Je suçotais le bout de mon stylo plume en rêvassant …La famille Benett avec leurs 5 filles. La maison remplie de rire et de murmures. La table du repas toujours remplie. Ce genre d’ambiance familiale qui m’était totalement inconnu. Mes pensées s’assombrissaient et je secouais vivement la tête pour me défaire de cela. Je n’avais pas envie d’être triste.
Le vent était doux et l’odeur de l’automne enivrait l’air … La tête relevait vers la cime de l’arbre, je respirais doucement.
Soudain une bourrasque ébouriffa mes cheveux et je resserrais mon foulard sur mes épaules.
Une goutte tomba sur ma joue, dévala ma peau jusqu’à glisser sur mon genou … Puis une autre, et une autre… Cette petite averse me sortit de mes pensées et la fraicheur de l’air finit par me décider à envisager de rentrer.
Je rassemblais mes quelques affaires quand une voix se fit entendre
- Bonjour euh ... Grand arbre ! Je peux m'abriter là, un instant ?! De toute façon, tu n'as pas vraiment le choix, désolé.
Toujours assise, je me retournais et me pencha discrètement pour voir qui avait parlé.
Il y avait un homme. Très grand et il était trempé … l’averse n’avait pas dû le louper.
Ces cheveux étaient tout ébouriffés mais ce qui me surprit c’est la couleur bleue de sa chevelure. Son regard semblait l’être également mais je ne pus m’y attarder davantage. C’était un bel homme, les épaules fermes mais mon observation fut stoppée quand l’homme reprit :
- Salut mec ! Tu t'ennuies aussi ?
A qui parlait-il ? il m’avait repéré ? Je m'appuya vivement contre le tronc, comme si j'avais été prise sur le fait. Mais à bien y réfléchir, cela m’étonnerait car l’arbre me cachait… sauf quand ma tête dépassait pour l’observer.
Il attrapa quelque chose et s’accroupit sur l’herbe devenu humide.
- Pour la peine, je vais t'appeler ... Rick ! Tu as faim ?
Je me relevais discrètement et m’appuya contre le tronc pour l’observer.
Il jouait avec un escargot … son attitude avait quelque chose d’enfantin et je ne pus m’empêcher de rire tendrement devant cette scène vraiment mignonne. Il semblait pourtant plus vieux que moi et avec sa taille de géant, je l’imaginais plutôt en adulte sérieux.
Dernière édition par Aiky le Lun 27 Nov 2017, 17:25, édité 3 fois
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
Après quelques secondes je soupire portant mon regarde vers le ciel. L’air blasé « Vraiment ? Tu comptes me faire ça ? A moi ? Ton plus fervent Admirateur ? » Je fronce les sourcils me retournant d’un coup avant de frapper violemment le tronc d’arbre avec un bon coup de pied… Ce que je regrette bien vite car toutes les gouttelettes d’eau sur les feuillages chutèrent, ce qui m’aspergeait encore plus. « D’accord… J’ai compris, je m’excuse… » Dis-je tout bas.
Je rêve d’un feu de cheminée, tout en sachant pertinemment que ça n’arrivera pas. Je sais très bien ce qu’il va se passer. Je vais arriver, les autres ils vont m’engueuler en voyant que je n’étais pas à mon poste et l’état dans lequel je suis, je vais les ignorer et monter à l’infirmerie pour me changer et m’endormir comme une masse. Point. Super soirée en perspective.
Je m’étire longuement avant de voir la petite tête qui dépasse de derrière le tronc d’arbre. C’est sûr, il y avait quelqu’un derrière cet arbre, ce n’étais pas mon imagination. En général quelqu’un de normal devrais dire « Salut, pas besoin de te cacher. Je ne vais pas te mordre .» Ou encore « Oh, pardon je ne t’avais pas remarqué, désolé pour les gouttes d’eau… » Ou une phrase du genre.
Mais malheureusement pour cette personne, je n’étais pas quelqu’un de normal… Et puis même… De quelle façon délimitons / définissons-nous les concepts de normalité – folie / bien – mal ? Pourquoi cherchons-nous, en tant qu’êtres humains, à quantifier de telles choses, de tels concepts humains ? Peut-on réellement le faire ? y a-t-il une réelle utilité à tout ceci, excepté la simplification, la caricature, le résumé par grossièreté ?
Pendant que je me posais tous ces questions, inutile, bien évidement. J’étais déjà de l’autre côté de l’arbre pour faire peur à… Une jeune fille. Une occasion à ne surtout pas raté, n’est-ce pas ? J’approche lentement mon visage près de son oreille avant de lui sortir un petit « Bhouh » Tout doucement. Je n’étais pas un monstre non plus, je n’allais pas lui exploser les Tympan. Enfin, pas encore. J’attendais patiemment sa réaction avec un petit sourire sur le visage.
Je rêve d’un feu de cheminée, tout en sachant pertinemment que ça n’arrivera pas. Je sais très bien ce qu’il va se passer. Je vais arriver, les autres ils vont m’engueuler en voyant que je n’étais pas à mon poste et l’état dans lequel je suis, je vais les ignorer et monter à l’infirmerie pour me changer et m’endormir comme une masse. Point. Super soirée en perspective.
Je m’étire longuement avant de voir la petite tête qui dépasse de derrière le tronc d’arbre. C’est sûr, il y avait quelqu’un derrière cet arbre, ce n’étais pas mon imagination. En général quelqu’un de normal devrais dire « Salut, pas besoin de te cacher. Je ne vais pas te mordre .» Ou encore « Oh, pardon je ne t’avais pas remarqué, désolé pour les gouttes d’eau… » Ou une phrase du genre.
Mais malheureusement pour cette personne, je n’étais pas quelqu’un de normal… Et puis même… De quelle façon délimitons / définissons-nous les concepts de normalité – folie / bien – mal ? Pourquoi cherchons-nous, en tant qu’êtres humains, à quantifier de telles choses, de tels concepts humains ? Peut-on réellement le faire ? y a-t-il une réelle utilité à tout ceci, excepté la simplification, la caricature, le résumé par grossièreté ?
Pendant que je me posais tous ces questions, inutile, bien évidement. J’étais déjà de l’autre côté de l’arbre pour faire peur à… Une jeune fille. Une occasion à ne surtout pas raté, n’est-ce pas ? J’approche lentement mon visage près de son oreille avant de lui sortir un petit « Bhouh » Tout doucement. Je n’étais pas un monstre non plus, je n’allais pas lui exploser les Tympan. Enfin, pas encore. J’attendais patiemment sa réaction avec un petit sourire sur le visage.
#9999ff
Dernière édition par Kuro le Sam 11 Nov 2017, 08:29, édité 2 fois
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
J'étais en train de rentrer à l'Académie, après avoir été aidé dans un petit magasin où j'avais trouvé du travail, lorsqu'une pluie diluvienne se mit à tomber. Je commençais par mettre ma capuche sur ma tête, puis, voyant à quel point ça tombait fort, je me mis à courir, ce qui, bien évidement enleva ma capuche. Je passais le portail, et avisais un grand arbre. Je me précipitais dessous, pour tenter de me mettre un minimum à l'abri le temps que le déluge se calme un peu. Je repris mon souffle pendant quelques secondes avant de relever la tête. Ah, je n'étais pas la seule à m'être faite surprendre par la pluie.
-Euh... Bonjour...
Je devais avoir l'air pitoyable, avec mon sweat et mes cheveux trempés, ainsi que mon sac. Oh merde, il y avait mon arc dedans ! Je laissais choir mon sac au sol, m'accroupis devant et l'ouvrit. L'intérieur était sec, un petit soupir de soulagement faillit m'échapper. Même si mes affaires avaient déjà vu bien plus d'eau que ça, j'avais toujours peur que la pluie ne les esquinte. J’aperçus un objet de forme oblongue au fond de mon sac. En fait non, deux plutôt. Un juron m'échappa :
-Merde, quelle idiote !
Je sortis deux parapluies que je gardais dans mon sac. Deux parce que l'un des deux était légèrement cassé, et que je n'avais toujours pas pensé à le jeter. Je refermais mon sac et me redressais. Je montrais les deux parapluies aux autres :
-Ça vous dirait de rentrer dans le bâtiment au sec ?
-Euh... Bonjour...
Je devais avoir l'air pitoyable, avec mon sweat et mes cheveux trempés, ainsi que mon sac. Oh merde, il y avait mon arc dedans ! Je laissais choir mon sac au sol, m'accroupis devant et l'ouvrit. L'intérieur était sec, un petit soupir de soulagement faillit m'échapper. Même si mes affaires avaient déjà vu bien plus d'eau que ça, j'avais toujours peur que la pluie ne les esquinte. J’aperçus un objet de forme oblongue au fond de mon sac. En fait non, deux plutôt. Un juron m'échappa :
-Merde, quelle idiote !
Je sortis deux parapluies que je gardais dans mon sac. Deux parce que l'un des deux était légèrement cassé, et que je n'avais toujours pas pensé à le jeter. Je refermais mon sac et me redressais. Je montrais les deux parapluies aux autres :
-Ça vous dirait de rentrer dans le bâtiment au sec ?
- HRP:
- Bonjour je m'incruste !
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
La pluie, moi j'l'ai toujours bien aimé, ça fait chier des gens et ça arrive sans prévenir, c'est juste la planète qui passe en mode « Allez, aujourd'hui on casse les couilles ». Mais le problème c'est que...
HA ! MOI CA ME FAIT PAS CHIER CONNASSE !
Oui, je faisais suivre mes pensées et mes paroles... parce que voilà nique sa mère. Le truc était arrivé pendant une p'tite course de mon cru, toujours avec mes poids hein, l'entraînement on le saute pas, c'est pas vos daronnes va falloir vous calmer. Du coup même si j'étais trempée jusqu'au bout de ma vie avec mon débardeur noir, mon jogging gris et mes tiff en full liberdad et complètement mouillés comme le reste d'ailleurs, bah ça me faisait pas chier. Et je m'étais pas arrêtée juste pour ça JUSQU'A ! Jusqu'à... ce que je reçois un appel de mon ancien putain de proprio sa mère ! Je l'avais déjà appelé avant ça, histoire de voir si je pouvais ravoir mon appart' parce que le problème c'tait juste une absence de... bon ok trois mois MAIS JE POUVAIS PAYER BORDEL ! Du coup la réponse c'tait que j'avais eu de la chance parce que le trou était tellement pourri que personne voulait le prendre... et pour mon bordel... la vie, il avait dit qu'il l'avait pas encore viré... donc mes deagles et tout mon bordel étaient encore bon.
Tout ça en avançant sauf QUE ! Bah j'avais fini par bourrer quelqu'un à force de pas mater où j'allais du coup baaaaaaaah je l'ai d'jà dit. En plus, j'étais sur le Lilith express... j'vais devoir expliquer c'que c'est que le Lilith express évidemment, en gros j'étais assis en tailleur, elle me portait et en avant Billy pour des aventures de ouf, fin de l'histoire. Et bourrer des gens avec Lilith, vous pouvez me croire que c'est pas moi qui bougeait quand ça arrivait, parce que je rappelle que si y'avait un obstacle, que je le voyais pas et que je la faisais pas esquiver, cette débile fonçait dedans et baaaaaaaah y'avait que deux solutions soit le truc en face était trop résistant et ça la faisait s'arrêter... bonne chance pour trouver ça hein parce qu'un mur ça suffisait pas... si elle avait assez de vitesse, soit le truc en face bougeait de sa route... or là, y'avait aucun mur vu que j'étais encore en vie et surtout bah je m'étais arrêtée parce que mon téléphone avait faillit se casser la gueule. Bon j'étais pas tombée mais je savais que j'avais bourré quelqu'un quand j'avais vu une tignasse blonde dans mon champs de vision en essayant d'empêcher mon téléphone de faire l'amour à la camer- au sol. Payer deux phones en un mois, je savais que j'avais du blé mais fallait pas déconner non plus quoi, parce que oui, j'avais acheté un autre téléphone entre temps... et rattrapé mon retard dans DBS... et remarqué que certains persos me ressemblaient un peu trop. Donc la parole arrive, installe toi, on a pas de thé, ferme ta gueule et dis ce que t'as à dire.
Bon, j'ai roulé sur qui l-... vous faites une partouze sous la pluie ou ça s'passe comment ?
Ouaip, le temps que je vois qui j'avais bourré, j'avais remarqué tout les autres... ils étaient là... comme des cons... à rien faire.... y'avait deux blondes et un mec.... j'avais l'impression de connaître une des blondes mais j'arrivais pas a savoir d'où, du couuuuuuuuup j'avais laissé tomber, quand j'oublie des gens c'est qu'ils ont aucun intérêt donc aucune raison de me faire chier pour ça.
HA ! MOI CA ME FAIT PAS CHIER CONNASSE !
Oui, je faisais suivre mes pensées et mes paroles... parce que voilà nique sa mère. Le truc était arrivé pendant une p'tite course de mon cru, toujours avec mes poids hein, l'entraînement on le saute pas, c'est pas vos daronnes va falloir vous calmer. Du coup même si j'étais trempée jusqu'au bout de ma vie avec mon débardeur noir, mon jogging gris et mes tiff en full liberdad et complètement mouillés comme le reste d'ailleurs, bah ça me faisait pas chier. Et je m'étais pas arrêtée juste pour ça JUSQU'A ! Jusqu'à... ce que je reçois un appel de mon ancien putain de proprio sa mère ! Je l'avais déjà appelé avant ça, histoire de voir si je pouvais ravoir mon appart' parce que le problème c'tait juste une absence de... bon ok trois mois MAIS JE POUVAIS PAYER BORDEL ! Du coup la réponse c'tait que j'avais eu de la chance parce que le trou était tellement pourri que personne voulait le prendre... et pour mon bordel... la vie, il avait dit qu'il l'avait pas encore viré... donc mes deagles et tout mon bordel étaient encore bon.
Tout ça en avançant sauf QUE ! Bah j'avais fini par bourrer quelqu'un à force de pas mater où j'allais du coup baaaaaaaah je l'ai d'jà dit. En plus, j'étais sur le Lilith express... j'vais devoir expliquer c'que c'est que le Lilith express évidemment, en gros j'étais assis en tailleur, elle me portait et en avant Billy pour des aventures de ouf, fin de l'histoire. Et bourrer des gens avec Lilith, vous pouvez me croire que c'est pas moi qui bougeait quand ça arrivait, parce que je rappelle que si y'avait un obstacle, que je le voyais pas et que je la faisais pas esquiver, cette débile fonçait dedans et baaaaaaaah y'avait que deux solutions soit le truc en face était trop résistant et ça la faisait s'arrêter... bonne chance pour trouver ça hein parce qu'un mur ça suffisait pas... si elle avait assez de vitesse, soit le truc en face bougeait de sa route... or là, y'avait aucun mur vu que j'étais encore en vie et surtout bah je m'étais arrêtée parce que mon téléphone avait faillit se casser la gueule. Bon j'étais pas tombée mais je savais que j'avais bourré quelqu'un quand j'avais vu une tignasse blonde dans mon champs de vision en essayant d'empêcher mon téléphone de faire l'amour à la camer- au sol. Payer deux phones en un mois, je savais que j'avais du blé mais fallait pas déconner non plus quoi, parce que oui, j'avais acheté un autre téléphone entre temps... et rattrapé mon retard dans DBS... et remarqué que certains persos me ressemblaient un peu trop. Donc la parole arrive, installe toi, on a pas de thé, ferme ta gueule et dis ce que t'as à dire.
Bon, j'ai roulé sur qui l-... vous faites une partouze sous la pluie ou ça s'passe comment ?
Ouaip, le temps que je vois qui j'avais bourré, j'avais remarqué tout les autres... ils étaient là... comme des cons... à rien faire.... y'avait deux blondes et un mec.... j'avais l'impression de connaître une des blondes mais j'arrivais pas a savoir d'où, du couuuuuuuuup j'avais laissé tomber, quand j'oublie des gens c'est qu'ils ont aucun intérêt donc aucune raison de me faire chier pour ça.
- J'ai roulé sur qui ?:
- T'as ouvert le spoiler, tu pourras pas venir gueuler maintenant : Gwendoline, nan Aiky t'es pas le centre de mon monde désolé :D
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
J’étais toujours appuyée contre mon arbre, observant l’homme aux cheveux bleu. Il jouait avec son escargot, l’air de rien. C’était curieux de voir que certaines personnes arrivées à garder leur âme d’enfant sans que le temps et la vie ne leur efface cette insouciance.
Finalement, il se redressa et s’en prit au ciel gris. C’est vrai que le temps ne semblait pas vouloir s’adoucir et je sentais l’humidité commencer à me transpercer. Je devrais me dépêcher de rentrer, mais je ne voulais pas que l’homme me remarque… Allais-je attendre longtemps avant qu’il ne se décide à partir ?
Mes pensées furent cependant vite perturbées par l’homme qui frappa le tronc d’arbre…. « Pourquoi fait-il cela ? » il avait frappé fort, car j’avais ressenti la vibration du choc jusque dans mes paumes, appuyées sur l’écorce. Puis … un nuage de gouttes d’eau nous tomba dessus.
J’avais réussi à me protéger de l’averse … maintenant me voilà tremper … de l’eau glissait même dans ma nuque … provoquant des frissons glacés le long de ma colonne vertébrale. « Aaaah …. Froid… »
Espérant ne pas être vu, j’avais fait un pas en arrière, commençant à essuyer mon visage avec ma manche essayant de réprimer le léger tremblement de froid que provoquait les gouttes de pluie quand je sentis un souffle chaud contre mon oreille et un « Bouh ! » venu de nulle part.
En lâchant un petit cri de surprise, je me retournai vivement et me retrouve face à face avec l’homme au cheveux bleu. Il devait être fier de sa petite farce car il avait un petit sourire et m’observait sans ciller. Je le regardai, les pupilles dilatés par la surprise, le souffle court avant de me rendre compte que mes griffes n’étaient pas sorties… je baissais mes yeux sur mes mains à demi cachées par mes manches … comment cela se faisait—il ? A la moindre impulsion un peu trop forte, mon pouvoir s’éveillait instinctivement et mes « griffes » poussés toujours de quelques millimètres. Mais là … rien … je n’avais jamais réussi à maîtriser cela. Avais-je réussi ? cela m’étonnait beaucoup … rien n’avait changé pourtant.
Je relevais les yeux vers le « farceur », interloquée, sans réussir à dire quoi que ce soit. La surprise me faisait oublier les gouttes qui glissaient de mes cheveux, sur mes tempes et mes joues.
- Uh…
Essayant de reprendre contenance, je passais une mèche de cheveux humide derrière mon oreille. Mon cœur battait encore fort dans ma poitrine. Mon regard était fixé au sien et je m’y perdais un peu… une couleur comme un ciel d’été…
-Euh... Bonjour...
Une jeune demoiselle venait d’arriver sous l’arbre. Je ne l’avais même pas entendu arriver. Je serrais mes mains sur ma poitrine… cet Arbre était un lieu de rendez-vous ?
- Bon… jour
Je la saluais en baissant un peu la tête me rapprochant du tronc, tant pour m’éloigner de ces deux personnes que pour rester au sec. La nouvelle venue avait une longue chevelure comme la mienne mais sa couleur blonde était plus claire que la mienne, tirant même vers le blanc. Un regard vert et un joli visage fin
« Il n’y a que de belles personnes ici … ? » La seule remarque qui me vains à l’esprit alors que la jolie blonde commençait à fouiller son sac et sortis deux … parapluies ?
- Ça vous dirait de rentrer dans le bâtiment au sec ?
Elle tombait à pic avec ces parapluies… mais du coup … on allait être deux sous le même parapluie ? Est-ce que je pouvais en prendre un toute seule ? « Au moins mes livres pourront éviter la pluie »
Tout à coup un autre élément perturbateur arriva … Une ombre noire … une chevelure rouge et … la belle blonde à coté de moi qui tomba à la renverse, renversé par … elle.
« Pas elle … »
- J'ai roulé sur qui l-... vous faites une partouze sous la pluie ou ça s'passe comment ?
La « furie » rouge nous regarda tous les trois … son regard se posa sur moi, je sentis mon cœur loupé un battement et … elle continua son observation sur mon voisin, sans me prêter plus d’attention.
« Elle … ne m’a pas reconnue … ? »
J’avais passé 1 semaine et demi à l’infirmerie à cause d’elle … et cette … fille ne me reconnait pas ?
Ce n’était peut-être pas plus mal… elle n’allait peut-être pas m’embêter cette fois-là…
Je m’étais tout de même rapprocher de l’homme aux cheveux bleu, sur mes gardes. J’allais faire profil bas en espérant ne pas attirer l’attention.
Finalement, il se redressa et s’en prit au ciel gris. C’est vrai que le temps ne semblait pas vouloir s’adoucir et je sentais l’humidité commencer à me transpercer. Je devrais me dépêcher de rentrer, mais je ne voulais pas que l’homme me remarque… Allais-je attendre longtemps avant qu’il ne se décide à partir ?
Mes pensées furent cependant vite perturbées par l’homme qui frappa le tronc d’arbre…. « Pourquoi fait-il cela ? » il avait frappé fort, car j’avais ressenti la vibration du choc jusque dans mes paumes, appuyées sur l’écorce. Puis … un nuage de gouttes d’eau nous tomba dessus.
J’avais réussi à me protéger de l’averse … maintenant me voilà tremper … de l’eau glissait même dans ma nuque … provoquant des frissons glacés le long de ma colonne vertébrale. « Aaaah …. Froid… »
Espérant ne pas être vu, j’avais fait un pas en arrière, commençant à essuyer mon visage avec ma manche essayant de réprimer le léger tremblement de froid que provoquait les gouttes de pluie quand je sentis un souffle chaud contre mon oreille et un « Bouh ! » venu de nulle part.
En lâchant un petit cri de surprise, je me retournai vivement et me retrouve face à face avec l’homme au cheveux bleu. Il devait être fier de sa petite farce car il avait un petit sourire et m’observait sans ciller. Je le regardai, les pupilles dilatés par la surprise, le souffle court avant de me rendre compte que mes griffes n’étaient pas sorties… je baissais mes yeux sur mes mains à demi cachées par mes manches … comment cela se faisait—il ? A la moindre impulsion un peu trop forte, mon pouvoir s’éveillait instinctivement et mes « griffes » poussés toujours de quelques millimètres. Mais là … rien … je n’avais jamais réussi à maîtriser cela. Avais-je réussi ? cela m’étonnait beaucoup … rien n’avait changé pourtant.
Je relevais les yeux vers le « farceur », interloquée, sans réussir à dire quoi que ce soit. La surprise me faisait oublier les gouttes qui glissaient de mes cheveux, sur mes tempes et mes joues.
- Uh…
Essayant de reprendre contenance, je passais une mèche de cheveux humide derrière mon oreille. Mon cœur battait encore fort dans ma poitrine. Mon regard était fixé au sien et je m’y perdais un peu… une couleur comme un ciel d’été…
-Euh... Bonjour...
Une jeune demoiselle venait d’arriver sous l’arbre. Je ne l’avais même pas entendu arriver. Je serrais mes mains sur ma poitrine… cet Arbre était un lieu de rendez-vous ?
- Bon… jour
Je la saluais en baissant un peu la tête me rapprochant du tronc, tant pour m’éloigner de ces deux personnes que pour rester au sec. La nouvelle venue avait une longue chevelure comme la mienne mais sa couleur blonde était plus claire que la mienne, tirant même vers le blanc. Un regard vert et un joli visage fin
« Il n’y a que de belles personnes ici … ? » La seule remarque qui me vains à l’esprit alors que la jolie blonde commençait à fouiller son sac et sortis deux … parapluies ?
- Ça vous dirait de rentrer dans le bâtiment au sec ?
Elle tombait à pic avec ces parapluies… mais du coup … on allait être deux sous le même parapluie ? Est-ce que je pouvais en prendre un toute seule ? « Au moins mes livres pourront éviter la pluie »
Tout à coup un autre élément perturbateur arriva … Une ombre noire … une chevelure rouge et … la belle blonde à coté de moi qui tomba à la renverse, renversé par … elle.
« Pas elle … »
- J'ai roulé sur qui l-... vous faites une partouze sous la pluie ou ça s'passe comment ?
La « furie » rouge nous regarda tous les trois … son regard se posa sur moi, je sentis mon cœur loupé un battement et … elle continua son observation sur mon voisin, sans me prêter plus d’attention.
« Elle … ne m’a pas reconnue … ? »
J’avais passé 1 semaine et demi à l’infirmerie à cause d’elle … et cette … fille ne me reconnait pas ?
Ce n’était peut-être pas plus mal… elle n’allait peut-être pas m’embêter cette fois-là…
Je m’étais tout de même rapprocher de l’homme aux cheveux bleu, sur mes gardes. J’allais faire profil bas en espérant ne pas attirer l’attention.
Dernière édition par Aiky le Lun 27 Nov 2017, 17:25, édité 1 fois
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
La jeune fille en se retournant avant lâcher un petit cri de surprise assez mignon. Ce qui me donne une envie soudaine de rire, pas pour me moquer d’elle à cause de la blague, mais à la tête qu’elle faisait. Elle n’a pas l’air d’être très âgée, et vu sa réaction, elle ne va sûrement pas être content. Je me demande bien ce qu’elle fait toute seule ici. Remarque, elle doit se poser la même question à propos de moi. Un sourire, un pas. Va-t-elle me parler ? Je ne suis absolument pas préparé, ça risque d’être gênant. Je ne la connais même pas, qu’est-ce que je vais bien pouvoir répondre ? Tout à coup, je me rends compte que je pense n’importe quoi. Pourquoi elle me parlerait, les jeunes filles ne parlent pas aux inconnus. Je me fais toujours des films.
Je lui lance un regarde en coin. Elle fixe ses mains, elle n’en a rien à faire de moi, super. J’hésite à m’en aller. Cela ferait encore plus idiot il me semble. Je reste sur place, au cas où. Dans 5 secondes, si elle n’a pas réagi, je m’en vais. 5. 4. 3… Okay ! j’ai compris je me casse ! J’ai déjà eu des problèmes avec l’administration avec ce genre de fille, parce que soi-disant demander à une fille la couleur de sa culotte ça ne se fait pas… Sottise ! J'ai quand-même fini par accepté ils avaient raison. Tout est une question d'art. L'art n'est d'autre que la capacité à imaginer l'inconnu, mener une quête insatiable pour le mystère. La forme d'art qui transcende tout... Se trouve au sein de notre univers propre ! Il en va de même pour la jupe d'une jeune fille. Si on voyait dessous ce ne serait que de simple sous-vêtements. C'est un art de ne rien montrer... Je me retourne prêt à m’en aller quand soudain en face de moi je me retrouve en face d’une autre fille. BLONDE qui plus est.
Deux pour le prix d’une, serait-ce un don du ciel ? Celle-là, avait l’air plus détendu que l’autre. Plus petite, plus tremper aussi, Et trop mignonne ! Quoi que… ? Je me retourne doucement pour scruter une dernière fois la jeune blonde… Avec ses cheveux Imbiber d’eau, quelque chose émanait d’elle… Quelque chose de super charnelle ! Je me retourne de nouveau pour faire face à la nouvelle venue. Plus je l’observe et plus j’ai envie de la soulever comme une enfant et de faire un tour sur moi-même. Me voilà face à une sorte de dilemme… « C’est compliqué » dis-je à voix basse.
D’un coup la petite blonde se penche dans son sac pour en sortir deux parapluie… Bon. Voilà, mon choix est fait. Désolé blonde sexy avec les cheveux trempé, mais, j’pense que j’vais choisir la petit Loli. Avant même que je ne puisse attraper le parapluie une autre inconnue sortie des ténèbres sur un objet maléfique… C’était quoi ce machin ? Pourquoi elle était dessus ? Et pourquoi elle ne regardait pas où elle allait ?! Plus je me poser de question et plus elle se rapprocher de nous à grande vitesse. Il était trop tard pour éviter, mais avec un peu de chance… J’attrape la main de la jeune fille in extrémis l’attirant vers moi, avant qu’elle ne se fasse percuter… Mais je n’étais pas assez rapide, donc, au lieu qu’elle se fasse percuter toute seule et bah nous étions deux. Ça m’apprendra à vouloir jouer les héros.
Le choque nous projette vers l’arbre juste derrière moi. Mon dos frappe violemment le tronc de celui-ci, faisant à nouveau tomber des gouttes d’eau. Je soupire un bon coup avant de me relever doucement avec la petite dans les bras. « Whaoh, si c’était la vraie vie, j’serais déjà impotent. » Je porte ensuite mon regarde vers l’étrange chose qui venant de nous percuter, et la jeune fille dessus par conséquence. « J'ai roulé sur qui l-... vous faites une partouze sous la pluie ou ça s'passe comment ? » Je vois, c’était sans doute son pouvoir, comme je ne m’y attendais pas, j’ai pas réussi à réagir vite. Mais quand même. Cette agressivité dans sa voix, elle ne mâche pas ses mots… Une rubis ! Je relâche lentement la jeune fille avant de secouer la tête pour retirer les fines gouttes d’eau dessus.
« Ne t’excuse pas, hein. C’est de notre faute, nous avions pas qu’à être là, n’est-ce pas ? » dis-je à la furie aux cheveux rouge.
Bien évidement elle ne s’excusera jamais, je ne connais que trop bien ce genre de personne… Je me baisse avant d’attraper un des parapluies avant de l’ouvrir et de me réfugier en dessous. Je déteste avoir les cheveux mouiller. Ça dégouline de partout sur mon visage chaque fois. Je regarde la petite fille avec son sac à dos avant de reprendre « Bon, vus que je t’ai aidé il est donc normal qu’un des parapluies me revienne… » je lâche un petit rire avant de m’enfuir comme un connard vers le bâtiment principal avec le parapluie. « Je viendrais avec des autres parapluies ! Promis ! » S’il croyait vraiment à ce que je venais de dire, les pauvres ils allaient attendre longtemps sous cet arbre. J’vais devoir faire des recherches dans les dossiers pour voir un peu les têtes et les pouvoirs !
Je lui lance un regarde en coin. Elle fixe ses mains, elle n’en a rien à faire de moi, super. J’hésite à m’en aller. Cela ferait encore plus idiot il me semble. Je reste sur place, au cas où. Dans 5 secondes, si elle n’a pas réagi, je m’en vais. 5. 4. 3… Okay ! j’ai compris je me casse ! J’ai déjà eu des problèmes avec l’administration avec ce genre de fille, parce que soi-disant demander à une fille la couleur de sa culotte ça ne se fait pas… Sottise ! J'ai quand-même fini par accepté ils avaient raison. Tout est une question d'art. L'art n'est d'autre que la capacité à imaginer l'inconnu, mener une quête insatiable pour le mystère. La forme d'art qui transcende tout... Se trouve au sein de notre univers propre ! Il en va de même pour la jupe d'une jeune fille. Si on voyait dessous ce ne serait que de simple sous-vêtements. C'est un art de ne rien montrer... Je me retourne prêt à m’en aller quand soudain en face de moi je me retrouve en face d’une autre fille. BLONDE qui plus est.
Deux pour le prix d’une, serait-ce un don du ciel ? Celle-là, avait l’air plus détendu que l’autre. Plus petite, plus tremper aussi, Et trop mignonne ! Quoi que… ? Je me retourne doucement pour scruter une dernière fois la jeune blonde… Avec ses cheveux Imbiber d’eau, quelque chose émanait d’elle… Quelque chose de super charnelle ! Je me retourne de nouveau pour faire face à la nouvelle venue. Plus je l’observe et plus j’ai envie de la soulever comme une enfant et de faire un tour sur moi-même. Me voilà face à une sorte de dilemme… « C’est compliqué » dis-je à voix basse.
D’un coup la petite blonde se penche dans son sac pour en sortir deux parapluie… Bon. Voilà, mon choix est fait. Désolé blonde sexy avec les cheveux trempé, mais, j’pense que j’vais choisir la petit Loli. Avant même que je ne puisse attraper le parapluie une autre inconnue sortie des ténèbres sur un objet maléfique… C’était quoi ce machin ? Pourquoi elle était dessus ? Et pourquoi elle ne regardait pas où elle allait ?! Plus je me poser de question et plus elle se rapprocher de nous à grande vitesse. Il était trop tard pour éviter, mais avec un peu de chance… J’attrape la main de la jeune fille in extrémis l’attirant vers moi, avant qu’elle ne se fasse percuter… Mais je n’étais pas assez rapide, donc, au lieu qu’elle se fasse percuter toute seule et bah nous étions deux. Ça m’apprendra à vouloir jouer les héros.
Le choque nous projette vers l’arbre juste derrière moi. Mon dos frappe violemment le tronc de celui-ci, faisant à nouveau tomber des gouttes d’eau. Je soupire un bon coup avant de me relever doucement avec la petite dans les bras. « Whaoh, si c’était la vraie vie, j’serais déjà impotent. » Je porte ensuite mon regarde vers l’étrange chose qui venant de nous percuter, et la jeune fille dessus par conséquence. « J'ai roulé sur qui l-... vous faites une partouze sous la pluie ou ça s'passe comment ? » Je vois, c’était sans doute son pouvoir, comme je ne m’y attendais pas, j’ai pas réussi à réagir vite. Mais quand même. Cette agressivité dans sa voix, elle ne mâche pas ses mots… Une rubis ! Je relâche lentement la jeune fille avant de secouer la tête pour retirer les fines gouttes d’eau dessus.
« Ne t’excuse pas, hein. C’est de notre faute, nous avions pas qu’à être là, n’est-ce pas ? » dis-je à la furie aux cheveux rouge.
Bien évidement elle ne s’excusera jamais, je ne connais que trop bien ce genre de personne… Je me baisse avant d’attraper un des parapluies avant de l’ouvrir et de me réfugier en dessous. Je déteste avoir les cheveux mouiller. Ça dégouline de partout sur mon visage chaque fois. Je regarde la petite fille avec son sac à dos avant de reprendre « Bon, vus que je t’ai aidé il est donc normal qu’un des parapluies me revienne… » je lâche un petit rire avant de m’enfuir comme un connard vers le bâtiment principal avec le parapluie. « Je viendrais avec des autres parapluies ! Promis ! » S’il croyait vraiment à ce que je venais de dire, les pauvres ils allaient attendre longtemps sous cet arbre. J’vais devoir faire des recherches dans les dossiers pour voir un peu les têtes et les pouvoirs !
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
J'étais là, planté avec mes parapluies comme une idiote. Je remarquais le mouvement de recul de l'autre blonde. Je perçois également un mouvement rapide du coin de l’œil. Je n’ai pas le temps de faire quoi que ce soit que je sens qu'on me prends la main et qu'on tente de me tirer, puis, l'instant d'après, je me sens projetée, et je me retrouve dans les bras de l'homme et une froide pluie s'abat sur nous. Il se relève en me serrant toujours. Dès qu'il ouvre ses bras, je m'écarte vivement de lui, soudainement muette, dans l'incompréhension la plus totale.
-J'ai roulé sur qui l-... vous faites une partouze sous la pluie ou ça s'passe comment ?
- Ne t’excuse pas, hein. C’est de notre faute, nous avions pas qu’à être là, n’est-ce pas ?
J'étais déjà trempée, mais là, ça battait des records. J'essaye en vain d'essorer un peu mes cheveux, mais peine perdue. Je regarde la nouvelle arrivée et répondis d'un ton morne :
-Sur lui... Et accessoirement sur moi.
Un petit moment se passa, et le garçon se baissa pour ramasser l'un des parapluies :
-Bon, vus que je t’ai aidé il est donc normal qu’un des parapluies me revienne… Je viendrais avec des autres parapluies ! Promis !
Et il parti en courant en direction du hall. Je lève les yeux au ciel. Comme si j'allais le croire. De toute façon, il a attrapé celui qui est cassé. Je devait le jeter, je vais pas me casser le cul à lui courir après pour le récupérer. Je regarde l'autre blonde et lui tends le dernier parapluie :
-Tu veux l'utiliser ? Dans l'état où je suis, un peu plus de pluie ou un peu moins, ça va pas changer grand chose. Autant qu'il serve à quelque chose.
Puis, en me tournant vers la fille aux cheveux écarlates :
-Regardes où tu vas la prochaine fois.
J'attends mes réponses, commençant à trembler légèrement à cause de mes vêtements humides.
-J'ai roulé sur qui l-... vous faites une partouze sous la pluie ou ça s'passe comment ?
- Ne t’excuse pas, hein. C’est de notre faute, nous avions pas qu’à être là, n’est-ce pas ?
J'étais déjà trempée, mais là, ça battait des records. J'essaye en vain d'essorer un peu mes cheveux, mais peine perdue. Je regarde la nouvelle arrivée et répondis d'un ton morne :
-Sur lui... Et accessoirement sur moi.
Un petit moment se passa, et le garçon se baissa pour ramasser l'un des parapluies :
-Bon, vus que je t’ai aidé il est donc normal qu’un des parapluies me revienne… Je viendrais avec des autres parapluies ! Promis !
Et il parti en courant en direction du hall. Je lève les yeux au ciel. Comme si j'allais le croire. De toute façon, il a attrapé celui qui est cassé. Je devait le jeter, je vais pas me casser le cul à lui courir après pour le récupérer. Je regarde l'autre blonde et lui tends le dernier parapluie :
-Tu veux l'utiliser ? Dans l'état où je suis, un peu plus de pluie ou un peu moins, ça va pas changer grand chose. Autant qu'il serve à quelque chose.
Puis, en me tournant vers la fille aux cheveux écarlates :
-Regardes où tu vas la prochaine fois.
J'attends mes réponses, commençant à trembler légèrement à cause de mes vêtements humides.
- HRP:
- Sorry pour le temps de réponse !
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
Du coup c'tait quoi c't'histoire déjà ? Ah ouais ça... meh... bon, en gros j'avais roulé sur quelqu'un, un connard random était pas content parce qu'il avait joué au héros, nique sa mère la pute tout ça. Ca demandait de m'excuser, c'tait osef, c'tait de la merde tout ça et d'un coup, le gars se barre comme ça parce que.... parce que. Du coup j'avais roulé sur deux personnes ouais, mais bon on sait tous que je m'en foutais parce que... je m'en foutais, ouais j'étais hyper simple des fois. Le truc c'est que moi, j'voulais continuer à avancer hein, genre contourné tout ce merdier après avoir fait genre j'en avais quelque chose à foutre de sur qui j'avais roulé mais spoiler, non MAIS ! Lilith voulait pas avancer à un certain moment... sauf que ça a pas duré longtemps en fait, genre ils s'étaient plaint et pouf, elle voulait bien repartir à la fin, 'tain même elle était contre moi à l'époque... pas qu'elle ait déjà été de mon côté mais bref. La suite c'est que la meuf qu'était au sol qui me demandait de regarder où j'allais sauf que rip elle, j'étais déjà en train de recevoir un appel de J. donc hein dommage, je l'avais pas écouté, j'étais trop haute.
"Yo bg de l'UG... ouais ? Là ? SOUS LA PLUIE !? PUTAIN TU MERITES DE MOURIR NOYÉ DANS DES CULS PUTAIN ! J'DÉBARQUE CHEZ MOI DANS....Putain j'suis loin sa mère, j'arrive, T'Y VAS PAS SANS MOI ENCULÉ !"
Et c'est comme ça que j'avais sauté de Lilith... DE Lilith, et que j'avais rushé la sortie de l'académie à pied, après l'avoir absorbée. Ouais alors ce qu'il m'avait dit ? ...C'est pas dans le scrip- NAN JE DECONNE en gros, y'avait un p'tit truc pas trop advertisé qui allait commencer. Ca commençait par « bas » et ça finissait par « ton », un truc pas gros ET GRACE A CE PUTAIN DE FILS DE PUTE J'POUVAIS Y ALLER DONC EVIDEMMENT QUE JE RUSHAIS MA VIE ! Tout ça pour dire, ma journée était faite là... voilà. Bon en vrai là j'ai plus rien à dire depuis le début parce qu'y s'est rien passé dans l'univers là à part cet appel... du coup... j'peux me barrer aussi ? Ouais ? OK LYNN' OUT !
"Yo bg de l'UG... ouais ? Là ? SOUS LA PLUIE !? PUTAIN TU MERITES DE MOURIR NOYÉ DANS DES CULS PUTAIN ! J'DÉBARQUE CHEZ MOI DANS....Putain j'suis loin sa mère, j'arrive, T'Y VAS PAS SANS MOI ENCULÉ !"
Et c'est comme ça que j'avais sauté de Lilith... DE Lilith, et que j'avais rushé la sortie de l'académie à pied, après l'avoir absorbée. Ouais alors ce qu'il m'avait dit ? ...C'est pas dans le scrip- NAN JE DECONNE en gros, y'avait un p'tit truc pas trop advertisé qui allait commencer. Ca commençait par « bas » et ça finissait par « ton », un truc pas gros ET GRACE A CE PUTAIN DE FILS DE PUTE J'POUVAIS Y ALLER DONC EVIDEMMENT QUE JE RUSHAIS MA VIE ! Tout ça pour dire, ma journée était faite là... voilà. Bon en vrai là j'ai plus rien à dire depuis le début parce qu'y s'est rien passé dans l'univers là à part cet appel... du coup... j'peux me barrer aussi ? Ouais ? OK LYNN' OUT !
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
Bon alors si je récapitule :
La mignonne petite blonde à coté de moi s'était fait renversée malgré que l'homme au cheveux bleu avait sauté pour tenter de la sauver. Tous les deux avait subis le choc de l'arrivé de Lynn qui ...bien sur .. arrivait en plein milieu comme un boulet de canon ...
Lynn demanda sur qui elle avait roulé et je sentis la légere irritation dans la voix de la petite blonde quand elle lui répondit
- Sur lui... Et accessoirement sur moi.
Par la suite Kuro avait un peu provoqué Lynn en lui lançant une petite pique.
- Ne t’excuse pas, hein. C’est de notre faute, nous avions pas qu’à être là, n’est-ce pas ?
En l'entendant j'avais eu peur que Lynn ne s’énerve ou ne fasse une des ces "répliques"de grande blasé de la vie ou de "moichuislameilleurekestuveujesorsmab*temoi" ... Je n'avais pas l'habitude de penser ce genre de chose et je me choquais moi même de la virulence de mes pensées mais cette Lynn avait le don de me mettre à cran même sans me parler ...
Toute cette scène semblait vraiment irréaliste en fait et je soupirais en pensant à l’après midi calme que j'avais eu avant l'arrivée de tout ce petit monde.
Finalement La petite blonde proposait ses parapluies pour tenter de rentrer sans être totalement trempée et L'homme aux cheveux bleu attrapa un des deux parapluies, ria tout en nous lançant un :
- Bon, vus que je t’ai aidé il est donc normal qu’un des parapluies me revienne… Je viendrais avec des autres parapluies ! Promis !
Bizarrement je n'étais pas sur qu'il revienne et à sa manière de partir en courant de manière si guillerette, je l'imaginais plutôt rire de sa blague pour ne plus jamais revenir ... Je me tourna vers Lynn mais elle était au téléphone hurlant encore de ces propos incohérents en reprenant son ... moyen de transport et repartie aussi vite qu'elle était arrivée alors que la petite blonde à coté de moi avait essayé de l'apostropher quand au fait de regarder devant elle la prochaine fois ... "peine perdue ..."
Il ne restait donc plus que moi et la petite blonde qui avait suivi le trajet de l'homme aux cheveux bleu d'un air blasé... elle devait avoir compris qu'il ne reviendrait pas de sitôt.
Je remarquais que la petite blonde tremblait de froid et pourtant elle eu la gentillesse de me tendre son autre parapluie.
- Tu veux l'utiliser ? Dans l'état où je suis, un peu plus de pluie ou un peu moins, ça va pas changer grand chose. Autant qu'il serve à quelque chose.
Elle me tendait le parapluie et j'hésitais à lui prendre ... elle devait avoir plus froid que moi sachant qu'elle était complétement trempée alors que moi je n'avais que la tête de mouillée... Je détachais mon foulard de mon cou et lui tendis.
- On peut prendre le parapluie ensemble ... mais avant tiens , sèche toi un peu. Tu as l'air d'avoir froid.
Je pris le parapluie et déposa le tissu encore tiède dans la paume de sa main. Elle parut surprise et j'insistais un peu.
- Ce n'est qu'un foulard mais si ça peut t'éviter d'attraper froid ! Et au fait, je suis Aiki ... Aiki Hito de la maison Saphir... enchanté de te rencontrer ... même si les circonstances ne sont pas les meilleures
Je passais ma main dans mes cheveux pour les tirer un peu en arrière et essuyer ma tempe où quelques gouttes d'eau glissaient contre ma peau.
La mignonne petite blonde à coté de moi s'était fait renversée malgré que l'homme au cheveux bleu avait sauté pour tenter de la sauver. Tous les deux avait subis le choc de l'arrivé de Lynn qui ...bien sur .. arrivait en plein milieu comme un boulet de canon ...
Lynn demanda sur qui elle avait roulé et je sentis la légere irritation dans la voix de la petite blonde quand elle lui répondit
- Sur lui... Et accessoirement sur moi.
Par la suite Kuro avait un peu provoqué Lynn en lui lançant une petite pique.
- Ne t’excuse pas, hein. C’est de notre faute, nous avions pas qu’à être là, n’est-ce pas ?
En l'entendant j'avais eu peur que Lynn ne s’énerve ou ne fasse une des ces "répliques"de grande blasé de la vie ou de "moichuislameilleurekestuveujesorsmab*temoi" ... Je n'avais pas l'habitude de penser ce genre de chose et je me choquais moi même de la virulence de mes pensées mais cette Lynn avait le don de me mettre à cran même sans me parler ...
Toute cette scène semblait vraiment irréaliste en fait et je soupirais en pensant à l’après midi calme que j'avais eu avant l'arrivée de tout ce petit monde.
Finalement La petite blonde proposait ses parapluies pour tenter de rentrer sans être totalement trempée et L'homme aux cheveux bleu attrapa un des deux parapluies, ria tout en nous lançant un :
- Bon, vus que je t’ai aidé il est donc normal qu’un des parapluies me revienne… Je viendrais avec des autres parapluies ! Promis !
Bizarrement je n'étais pas sur qu'il revienne et à sa manière de partir en courant de manière si guillerette, je l'imaginais plutôt rire de sa blague pour ne plus jamais revenir ... Je me tourna vers Lynn mais elle était au téléphone hurlant encore de ces propos incohérents en reprenant son ... moyen de transport et repartie aussi vite qu'elle était arrivée alors que la petite blonde à coté de moi avait essayé de l'apostropher quand au fait de regarder devant elle la prochaine fois ... "peine perdue ..."
Il ne restait donc plus que moi et la petite blonde qui avait suivi le trajet de l'homme aux cheveux bleu d'un air blasé... elle devait avoir compris qu'il ne reviendrait pas de sitôt.
Je remarquais que la petite blonde tremblait de froid et pourtant elle eu la gentillesse de me tendre son autre parapluie.
- Tu veux l'utiliser ? Dans l'état où je suis, un peu plus de pluie ou un peu moins, ça va pas changer grand chose. Autant qu'il serve à quelque chose.
Elle me tendait le parapluie et j'hésitais à lui prendre ... elle devait avoir plus froid que moi sachant qu'elle était complétement trempée alors que moi je n'avais que la tête de mouillée... Je détachais mon foulard de mon cou et lui tendis.
- On peut prendre le parapluie ensemble ... mais avant tiens , sèche toi un peu. Tu as l'air d'avoir froid.
Je pris le parapluie et déposa le tissu encore tiède dans la paume de sa main. Elle parut surprise et j'insistais un peu.
- Ce n'est qu'un foulard mais si ça peut t'éviter d'attraper froid ! Et au fait, je suis Aiki ... Aiki Hito de la maison Saphir... enchanté de te rencontrer ... même si les circonstances ne sont pas les meilleures
Je passais ma main dans mes cheveux pour les tirer un peu en arrière et essuyer ma tempe où quelques gouttes d'eau glissaient contre ma peau.
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
-On peut prendre le parapluie ensemble ... mais avant tiens , sèche toi un peu. Tu as l'air d'avoir froid.
Elle me tendait son foulard. Je reculais légèrement, hochant négativement la tête :
-Mais non c'est bon...
Elle insista, me prenant le parapluie des mains, et déposant à sa place son vêtement :
-Ce n'est qu'un foulard mais si ça peut t'éviter d'attraper froid ! Et au fait, je suis Aiki ... Aiki Hito de la maison Saphir... enchanté de te rencontrer ... même si les circonstances ne sont pas les meilleures.
Je balbutiais un peu avant de me reprendre :
-Euh... Et bien merci. Je... Je m'appelle Gwendoline Arget, Saphir aussi.
Je restais là, les bras ballant, le tissu tiède entre les mains, ne sachant pas vraiment quoi faire. Mon cerveau mettait apparemment un peu de temps pour se connecter. Aiky.... Saphir. Saphir ! Mais voilà, j'ai trouvé quoi faire !
-Du coup, on peut aller directement au dortoir pour se mettre au chaud, tu en dis quoi ?
Je réfléchis encore un peu, laissant un nouveau silence. J'aime pas les blancs... C'est gênant... Il faut que je trouve un truc à dire... :
-Ça fait longtemps que tu es à l'Académie ?
C'était la première chose qui m'était passée par la tête. Elle ne semblait pas beaucoup plus âgée que moi. Mais par contre, pour une fois, je suis plus grande que quelqu'un ! Pas de beaucoup, mais quand même ! Ça me change de d'habitude ! Je suis toujours obligée de lever la tête pour voir les gens à qui je parle normalement. Bon ok, je me perds encore dans mes pensées là...
Elle me tendait son foulard. Je reculais légèrement, hochant négativement la tête :
-Mais non c'est bon...
Elle insista, me prenant le parapluie des mains, et déposant à sa place son vêtement :
-Ce n'est qu'un foulard mais si ça peut t'éviter d'attraper froid ! Et au fait, je suis Aiki ... Aiki Hito de la maison Saphir... enchanté de te rencontrer ... même si les circonstances ne sont pas les meilleures.
Je balbutiais un peu avant de me reprendre :
-Euh... Et bien merci. Je... Je m'appelle Gwendoline Arget, Saphir aussi.
Je restais là, les bras ballant, le tissu tiède entre les mains, ne sachant pas vraiment quoi faire. Mon cerveau mettait apparemment un peu de temps pour se connecter. Aiky.... Saphir. Saphir ! Mais voilà, j'ai trouvé quoi faire !
-Du coup, on peut aller directement au dortoir pour se mettre au chaud, tu en dis quoi ?
Je réfléchis encore un peu, laissant un nouveau silence. J'aime pas les blancs... C'est gênant... Il faut que je trouve un truc à dire... :
-Ça fait longtemps que tu es à l'Académie ?
C'était la première chose qui m'était passée par la tête. Elle ne semblait pas beaucoup plus âgée que moi. Mais par contre, pour une fois, je suis plus grande que quelqu'un ! Pas de beaucoup, mais quand même ! Ça me change de d'habitude ! Je suis toujours obligée de lever la tête pour voir les gens à qui je parle normalement. Bon ok, je me perds encore dans mes pensées là...
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
La demoiselle finit par prendre mon foulard non sans une certaine hésitation, le gardant dans les mains sans trop savoir quoi en faire . Elle me remercie et se présente à son tour.
-Euh... Et bien merci. Je... Je m'appelle Gwendoline Arget, Saphir aussi.
Je lui fais un petit sourire en ouvrant le parapluie au dessus de nous deux, je commence à avancer, l'invitant d'un regard à me suivre. Elle se rapproche de moi et nous avançons doucement nous serrant sous le parapluie.
La jeune fille est un peu plus grande que moi mais pas énormément. Cela ne pose donc aucun problème pour le parapluie que je tiens cependant assez haut pour ne pas que cela la dérange.
Elle est donc saphir comme moi ? Peut être auront nous l'occasion de nous voir d'autres fois ? Elle me tire de mes pensées en me parlant, me jetant un regard.
- Du coup, on peut aller directement au dortoir pour se mettre au chaud, tu en dis quoi ?
Je souris et acquiesce
Je note cependant qu'elle tient tjrs le foulard dans ces mains sans s'en servir . Elle ne laisse d'ailleurs pas le silence s'installer et me questionne.
-Ça fait longtemps que tu es à l'Académie ?
- uhm ... je crois que ça fait 2 mois à peine ? J'en suis encore à me perdre dans les couloirs...
Je ris doucement et passe mes doigts dans mes cheveux pour les tirer en arrière, essuyant les quelques gouttes d'eau qui perlent sur mon visage.
- Et toi Gwendoline ? Depuis combien de temps es tu là ?
Je tourne la tête pour l'observer et rajoute :
- Tu devrais la mettre au moins autour de ton cou, pour ne pas risquer de tomber trop malade...
-Euh... Et bien merci. Je... Je m'appelle Gwendoline Arget, Saphir aussi.
Je lui fais un petit sourire en ouvrant le parapluie au dessus de nous deux, je commence à avancer, l'invitant d'un regard à me suivre. Elle se rapproche de moi et nous avançons doucement nous serrant sous le parapluie.
La jeune fille est un peu plus grande que moi mais pas énormément. Cela ne pose donc aucun problème pour le parapluie que je tiens cependant assez haut pour ne pas que cela la dérange.
Elle est donc saphir comme moi ? Peut être auront nous l'occasion de nous voir d'autres fois ? Elle me tire de mes pensées en me parlant, me jetant un regard.
- Du coup, on peut aller directement au dortoir pour se mettre au chaud, tu en dis quoi ?
Je souris et acquiesce
Je note cependant qu'elle tient tjrs le foulard dans ces mains sans s'en servir . Elle ne laisse d'ailleurs pas le silence s'installer et me questionne.
-Ça fait longtemps que tu es à l'Académie ?
- uhm ... je crois que ça fait 2 mois à peine ? J'en suis encore à me perdre dans les couloirs...
Je ris doucement et passe mes doigts dans mes cheveux pour les tirer en arrière, essuyant les quelques gouttes d'eau qui perlent sur mon visage.
- Et toi Gwendoline ? Depuis combien de temps es tu là ?
Je tourne la tête pour l'observer et rajoute :
- Tu devrais la mettre au moins autour de ton cou, pour ne pas risquer de tomber trop malade...
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
- uhm ... je crois que ça fait 2 mois à peine ? J'en suis encore à me perdre dans les couloirs...
Je ris en même temps qu'elle. Gentiment hein, je ne me moquais pas du tout ! C'est vrai que cette Académie est immense, et que se perdre est très facile. Elle me retourna la question, en même temps, il fallait bien s'y attendre, c'était facile, et surtout automatique :
- Et toi Gwendoline ? Depuis combien de temps es tu là ?
Je réfléchis quelques instants :
-Euh... Ça doit faire environ... 5 mois...
Je me perds dans mes souvenirs de mon arrivée ici. Le combat de coq entre Quiet et le surveillant, la découverte de mes camarades de chambres, toute ces nouvelles choses qui me rendaient heureuse par leur simple normalité, mais cette sensation d'être seule aussi. Perdue. Quelque part dans ma tête, j'étais toujours dans la rue à fuir. Mais tout a finit par rentrer dans l'ordre quand Kénan est arrivé. Je fus ramenée sur terre par la voix d'Aiky qui me fixe :
- Tu devrais la mettre au moins autour de ton cou, pour ne pas risquer de tomber trop malade...
Je compris après quelques instants qu'elle parle de son foulard :
-Heu... D'accord...
J'obtempère, glissant la douce étoffe autour de mon cou. Je sens immédiatement que mes cheveux l'imbibent d'eau à l'arrière, mais elle a au moins le mérite de protéger ma gorge. Je n'ai pas l'habitude qu'on fasse ce genre de choses pour moi. Je suis touchée, et je ne sais pas vraiment comment réagir. Je suis gênée, surtout que je remarque qu'elle fait bien attention à ce que nous restions toute les deux sous le parapluie. J'espère que je la reverrais dans l'Académie. Et surtout, j'espère qu'elle ne disparaîtra pas sans un mot comme mes autres camarades de chambre. Mana... La première personne dans cette Académie à avoir pris soin de moi... Cela faisait 8 ans que personne ne s'était jamais soucié de moi, et elle l'avait fait,... Sans rien demander en retour, de façon totalement désintéressée... Et puis elle avait disparue comme ça, sans un mot... Du jour au lendemain, ses affaires, et celles de Yumiko avaient disparues, tout comme celles de Charlie. Ne me restait plus qu'un téléphone, un ordinateur et un dessin. Les seules choses qui me rappelaient qu'elles avaient été là un jour dans cette chambre. J'avais plutôt mal vécut ce départ, un peu comme une trahison...
Avec tout ça, nous étions presque arrivées au dortoir. J'essuyais rapidement les quelques larmes qui m'avaient échappées, tout en espérant que ma camarade n'ai rien vu, ou qu'elle pense qu'il s'agissait de gouttes de pluie...
Je ris en même temps qu'elle. Gentiment hein, je ne me moquais pas du tout ! C'est vrai que cette Académie est immense, et que se perdre est très facile. Elle me retourna la question, en même temps, il fallait bien s'y attendre, c'était facile, et surtout automatique :
- Et toi Gwendoline ? Depuis combien de temps es tu là ?
Je réfléchis quelques instants :
-Euh... Ça doit faire environ... 5 mois...
Je me perds dans mes souvenirs de mon arrivée ici. Le combat de coq entre Quiet et le surveillant, la découverte de mes camarades de chambres, toute ces nouvelles choses qui me rendaient heureuse par leur simple normalité, mais cette sensation d'être seule aussi. Perdue. Quelque part dans ma tête, j'étais toujours dans la rue à fuir. Mais tout a finit par rentrer dans l'ordre quand Kénan est arrivé. Je fus ramenée sur terre par la voix d'Aiky qui me fixe :
- Tu devrais la mettre au moins autour de ton cou, pour ne pas risquer de tomber trop malade...
Je compris après quelques instants qu'elle parle de son foulard :
-Heu... D'accord...
J'obtempère, glissant la douce étoffe autour de mon cou. Je sens immédiatement que mes cheveux l'imbibent d'eau à l'arrière, mais elle a au moins le mérite de protéger ma gorge. Je n'ai pas l'habitude qu'on fasse ce genre de choses pour moi. Je suis touchée, et je ne sais pas vraiment comment réagir. Je suis gênée, surtout que je remarque qu'elle fait bien attention à ce que nous restions toute les deux sous le parapluie. J'espère que je la reverrais dans l'Académie. Et surtout, j'espère qu'elle ne disparaîtra pas sans un mot comme mes autres camarades de chambre. Mana... La première personne dans cette Académie à avoir pris soin de moi... Cela faisait 8 ans que personne ne s'était jamais soucié de moi, et elle l'avait fait,... Sans rien demander en retour, de façon totalement désintéressée... Et puis elle avait disparue comme ça, sans un mot... Du jour au lendemain, ses affaires, et celles de Yumiko avaient disparues, tout comme celles de Charlie. Ne me restait plus qu'un téléphone, un ordinateur et un dessin. Les seules choses qui me rappelaient qu'elles avaient été là un jour dans cette chambre. J'avais plutôt mal vécut ce départ, un peu comme une trahison...
Avec tout ça, nous étions presque arrivées au dortoir. J'essuyais rapidement les quelques larmes qui m'avaient échappées, tout en espérant que ma camarade n'ai rien vu, ou qu'elle pense qu'il s'agissait de gouttes de pluie...
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
-Euh... Ça doit faire environ... 5 mois...
Elle n'est donc pas ici depuis longtemps ... je suis ici depuis septembre, pas très longtemps non plus. En tout cas, elle a l'air gentille. J'espère pouvoir m'en faire une amie . Avec un peu de chance, comme nous sommes toutes les deux saphirs, nous pourront nous voir souvent ? Cette perspective me ravit mais je ne sais pas ce qu'elle en pense. Elle est plutôt restée silencieuse.
Elle a simplement dit "D'accord" quand je lui ai dit de prendre mon écharpe pour la mettre autour du cou, ce qu'elle a fait sans refuser cette fois. Elle l'a passait autour de son cou et mon foulard lui monte jusqu'à la bouche. Elle marche la tête un peu basse ... elle a l'air abattue tout à coup ... que lui arrive t-il ?
Je l'observe discrètement, faisant tout de même attention au parapluie. Nous finissons par traverser les jardins et arrivons à l'entrée du bâtiment des maisons. Je lui ouvre la porte et elle rentre , son regard toujours vide ... marchant ... la tête dans ses pensées. Je secoue le parapluie pour enlever un maximum de goutte de pluie et le referme.
Nous montons l'escalier toujours en silence et finissons par arriver vers le couloir des dortoirs.
Je vois du coin de l'oeil Gwendoline essuyer ses yeux ... Est ce ... des larmes ?
J'hésite à lui demander si ça va ... je ne voudrais pas la mettre mal à l'aise mais .. j'aimerais lui faire savoir que je suis ouverte si elle veut discuter ...
Nous nous arretons finalement devant la porte de la chambre de Gwendoline et elle se tourne vers moi.
Avant qu'elle ne parle , je m'approche un peu et lui murmure gentiment.
- N'hésite pas à me parler si tu ... enfin si tu en as envie ... J'aimerais t'aider et puis ... une belle demoiselle comme toi ne devrait pas pleurer comme ça ...
Je souris, la tête un peu penchée sur le coté, l'observant avec gentillesse. C'est vrai que je ne connais rien d'elle mais son visage doux et sa gentillesse tout à l'heure avec le parapluie ... ces larmes m'ont serrés le coeur ... j'aimerais que nous soyons amies toutes les deux.
- Oh et voici ton parapluie.
Je lui tends son parapluie encore un peu humide.
Elle n'est donc pas ici depuis longtemps ... je suis ici depuis septembre, pas très longtemps non plus. En tout cas, elle a l'air gentille. J'espère pouvoir m'en faire une amie . Avec un peu de chance, comme nous sommes toutes les deux saphirs, nous pourront nous voir souvent ? Cette perspective me ravit mais je ne sais pas ce qu'elle en pense. Elle est plutôt restée silencieuse.
Elle a simplement dit "D'accord" quand je lui ai dit de prendre mon écharpe pour la mettre autour du cou, ce qu'elle a fait sans refuser cette fois. Elle l'a passait autour de son cou et mon foulard lui monte jusqu'à la bouche. Elle marche la tête un peu basse ... elle a l'air abattue tout à coup ... que lui arrive t-il ?
Je l'observe discrètement, faisant tout de même attention au parapluie. Nous finissons par traverser les jardins et arrivons à l'entrée du bâtiment des maisons. Je lui ouvre la porte et elle rentre , son regard toujours vide ... marchant ... la tête dans ses pensées. Je secoue le parapluie pour enlever un maximum de goutte de pluie et le referme.
Nous montons l'escalier toujours en silence et finissons par arriver vers le couloir des dortoirs.
Je vois du coin de l'oeil Gwendoline essuyer ses yeux ... Est ce ... des larmes ?
J'hésite à lui demander si ça va ... je ne voudrais pas la mettre mal à l'aise mais .. j'aimerais lui faire savoir que je suis ouverte si elle veut discuter ...
Nous nous arretons finalement devant la porte de la chambre de Gwendoline et elle se tourne vers moi.
Avant qu'elle ne parle , je m'approche un peu et lui murmure gentiment.
- N'hésite pas à me parler si tu ... enfin si tu en as envie ... J'aimerais t'aider et puis ... une belle demoiselle comme toi ne devrait pas pleurer comme ça ...
Je souris, la tête un peu penchée sur le coté, l'observant avec gentillesse. C'est vrai que je ne connais rien d'elle mais son visage doux et sa gentillesse tout à l'heure avec le parapluie ... ces larmes m'ont serrés le coeur ... j'aimerais que nous soyons amies toutes les deux.
- Oh et voici ton parapluie.
Je lui tends son parapluie encore un peu humide.
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
- N'hésite pas à me parler si tu ... enfin si tu en as envie ... J'aimerais t'aider et puis ... une belle demoiselle comme toi ne devrait pas pleurer comme ça ...
Je sursautais. Perdue dans mes pensées comme je l'étais, je n'avais plus fait attention à Aiky. Je m'en voulais un peu pour ça. Nous étions déjà devant ma chambre. Ma chambre vide. Morne. Dans laquelle je n'ai même pas envie de rentrer. Enfin, sauf pour me changer et me sécher les cheveux, parce que là, c'est une urgence. Ses mots... C'est trop gentil... Ils me touchent en plein cœur... C'est à dire que si elle voulait me consoler, c'est râpe. Alors que j'avais presque réussi à me calmer toute seule, mes larmes reprennent de plus belle, mais je ne cherche plus à les camoufler, ça ne sert à rien de toute façon, elle m'a vue. Entre temps, elle m'avait retendu mon parapluie. J'essayais de lui sourire à travers mes larmes. Je ne voulais pas qu'elle s'inquiète...
-Merci, ce n'est rien...
J'ouvris la porte de ma chambre, tâtonnant un peu pour bien rentrer la clé dans la serrure. Je ne me souciais pas qu'elle puisse voir toute ma chambre, de toute façon, il n'y avait que moi ici, je ne risquais pas de gêner qui que ce soit. Mes vêtements étaient rangées, il y avait deux trois livres qui traînaient un peu partout dans la pièce, et l'ordinateur portable ouvert sur mon lit. Je posais le parapluie à l'entrée de la pièce sur une serviette qui me servait de serpillère. On fait avec les moyens du bord hein !
Je restais sur le pas de ma porte, hésitante. Je ne voulais pas rester toute seule... Mais j'avais froid... Ah tiens, d'ailleurs, en parlant de ça... Je détachais le foulard avant de lui rendre.
-Désolée il est tout mouillé...
Je restais encore plantée là, sans bouger. Je passais la main dans mes cheveux d'un air gêné. Je pu sentir tous les nœuds dans mes cheveux... Ça va encore me prendre 3 heures à démêler tout ça ! En baissant les yeux au sol je remarquais la petite enveloppe glissée sous ma porte. A l'intérieur, un simple message de mon frangin, qui avait eu la bonne idée d'écrire en anglais :
Coucou grande sœur, tu as passé une bonne journée ?
Un sourire amusé se dessina sur mes lèvres. Je marmonnais :
-Un jour il faudra qu'il m'explique comment il fait pour arriver ici sans se faire remarquer...
Par contre j'en étais toujours au même problème en ce qui concernait Aiky. J'avouais enfin avec un sourire piteux :
-J'aime pas rester toute seule...
Je rougis et baissais encore plus la tête. Si je pouvais disparaître dans le sol ce serait encore mieux !
Je sursautais. Perdue dans mes pensées comme je l'étais, je n'avais plus fait attention à Aiky. Je m'en voulais un peu pour ça. Nous étions déjà devant ma chambre. Ma chambre vide. Morne. Dans laquelle je n'ai même pas envie de rentrer. Enfin, sauf pour me changer et me sécher les cheveux, parce que là, c'est une urgence. Ses mots... C'est trop gentil... Ils me touchent en plein cœur... C'est à dire que si elle voulait me consoler, c'est râpe. Alors que j'avais presque réussi à me calmer toute seule, mes larmes reprennent de plus belle, mais je ne cherche plus à les camoufler, ça ne sert à rien de toute façon, elle m'a vue. Entre temps, elle m'avait retendu mon parapluie. J'essayais de lui sourire à travers mes larmes. Je ne voulais pas qu'elle s'inquiète...
-Merci, ce n'est rien...
J'ouvris la porte de ma chambre, tâtonnant un peu pour bien rentrer la clé dans la serrure. Je ne me souciais pas qu'elle puisse voir toute ma chambre, de toute façon, il n'y avait que moi ici, je ne risquais pas de gêner qui que ce soit. Mes vêtements étaient rangées, il y avait deux trois livres qui traînaient un peu partout dans la pièce, et l'ordinateur portable ouvert sur mon lit. Je posais le parapluie à l'entrée de la pièce sur une serviette qui me servait de serpillère. On fait avec les moyens du bord hein !
Je restais sur le pas de ma porte, hésitante. Je ne voulais pas rester toute seule... Mais j'avais froid... Ah tiens, d'ailleurs, en parlant de ça... Je détachais le foulard avant de lui rendre.
-Désolée il est tout mouillé...
Je restais encore plantée là, sans bouger. Je passais la main dans mes cheveux d'un air gêné. Je pu sentir tous les nœuds dans mes cheveux... Ça va encore me prendre 3 heures à démêler tout ça ! En baissant les yeux au sol je remarquais la petite enveloppe glissée sous ma porte. A l'intérieur, un simple message de mon frangin, qui avait eu la bonne idée d'écrire en anglais :
Coucou grande sœur, tu as passé une bonne journée ?
Un sourire amusé se dessina sur mes lèvres. Je marmonnais :
-Un jour il faudra qu'il m'explique comment il fait pour arriver ici sans se faire remarquer...
Par contre j'en étais toujours au même problème en ce qui concernait Aiky. J'avouais enfin avec un sourire piteux :
-J'aime pas rester toute seule...
Je rougis et baissais encore plus la tête. Si je pouvais disparaître dans le sol ce serait encore mieux !
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
Mes paroles firent sursauter Gwendoline. Mince ... elle était surement dans ces pensées ... je l'avais perturbé mais je constatais aussi qu'elle pleurait beaucoup maintenant. Avais-je dit quelque chose de méchant ? Je l'observais avec inquiétude et comme pour me rassurer, elle murmura entre ces larmes
- Merci, ce n'est rien...
Elle se tourna face à la porte hésitante un peu mais finit par tourner la serrure, l'ouvrant doucement. Par Politesse , je ne m'attardais pas sur l'intérieur de la chambre. Pas qu'elle croit que je suis une incorrigible curieuse.
Est ce que je dois la laisser et m'en aller ? Elle veut peut-être rester tranquillement dans sa chambre pour se changer ? Mais elle reste sur le pas de la porte, hésitante, semblant réfléchir à la suite. Puis elle détacha mon foulard et me le tendit.
-Désolée il est tout mouillé...
- Ce n'est pas grave !
Elle passait ces doigts dans ces cheveux , toujours gênée. Je repliais mon foulard , me notant de le faire sécher en rentrant. Gwendoline se baissa d'un coup et je l'observais , intriguée. Il y avait une enveloppe au sol et elle l'ouvrit , déchiffra le petit papier qui y était joint et soupira : "Un jour il faudra qu'il m'explique comment il fait pour arriver ici sans se faire remarquer..." mais son sourire prouvait que le mot l'avait touché. Je me demandais bien de qui venait ce petit mot ... un homme apparemment ...
Gwendoline finit par se tourner vers moi, avec un sourire triste et intimidée.
- J'aime pas rester toute seule...
Je restais surprise de cette petite demande qu'elle osait me formuler, attendrie par la rougeur de ces joues et son regard qui évita précipitamment le mien. Elle était mignonne et je ne pouvais que l'aider comme ça.
Je n'étais pas quelqu'un de tactile mais cette demoiselle avait vraiment quelque chose d'attendrissant.
Je posais délicatement ma main sur sa tête baissée.... un contact léger, presque fugace car je ne m'y attarde pas mais quand elle relève la tête vers moi, surprise, je lui souris.
- Ça tombe bien, je n'ai rien de prévu cette après midi !
Mais je n'ai pas non plus envie de m'imposer et vu l'état de ses habits et comme elle est trempée, elle va surement se changer.
- Tu veux que je te laisse te changer et on se mets quelque part ensuite ou bien ... je t'attends dans le couloir le temps que tu t'habille chaudement ?
- Merci, ce n'est rien...
Elle se tourna face à la porte hésitante un peu mais finit par tourner la serrure, l'ouvrant doucement. Par Politesse , je ne m'attardais pas sur l'intérieur de la chambre. Pas qu'elle croit que je suis une incorrigible curieuse.
Est ce que je dois la laisser et m'en aller ? Elle veut peut-être rester tranquillement dans sa chambre pour se changer ? Mais elle reste sur le pas de la porte, hésitante, semblant réfléchir à la suite. Puis elle détacha mon foulard et me le tendit.
-Désolée il est tout mouillé...
- Ce n'est pas grave !
Elle passait ces doigts dans ces cheveux , toujours gênée. Je repliais mon foulard , me notant de le faire sécher en rentrant. Gwendoline se baissa d'un coup et je l'observais , intriguée. Il y avait une enveloppe au sol et elle l'ouvrit , déchiffra le petit papier qui y était joint et soupira : "Un jour il faudra qu'il m'explique comment il fait pour arriver ici sans se faire remarquer..." mais son sourire prouvait que le mot l'avait touché. Je me demandais bien de qui venait ce petit mot ... un homme apparemment ...
Gwendoline finit par se tourner vers moi, avec un sourire triste et intimidée.
- J'aime pas rester toute seule...
Je restais surprise de cette petite demande qu'elle osait me formuler, attendrie par la rougeur de ces joues et son regard qui évita précipitamment le mien. Elle était mignonne et je ne pouvais que l'aider comme ça.
Je n'étais pas quelqu'un de tactile mais cette demoiselle avait vraiment quelque chose d'attendrissant.
Je posais délicatement ma main sur sa tête baissée.... un contact léger, presque fugace car je ne m'y attarde pas mais quand elle relève la tête vers moi, surprise, je lui souris.
- Ça tombe bien, je n'ai rien de prévu cette après midi !
Mais je n'ai pas non plus envie de m'imposer et vu l'état de ses habits et comme elle est trempée, elle va surement se changer.
- Tu veux que je te laisse te changer et on se mets quelque part ensuite ou bien ... je t'attends dans le couloir le temps que tu t'habille chaudement ?
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
Je sentis quelque chose se poser furtivement sur ma tête. Sa main. Je relevais la tête d'un air timide ou se mêlait de la surprise.
- Ça tombe bien, je n'ai rien de prévu cette après midi !
J'hésitais à comprendre. Elle voulait rester avec moi ? Je ne voulais pas m'imposer...
- Tu veux que je te laisse te changer et on se mets quelque part ensuite ou bien ... je t'attends dans le couloir le temps que tu t'habille chaudement ?
Je la regardais quelques secondes, muette. C'est limite si je ne penchais pas la tête sur le côté. Elle ne partait pas ? Elle restait vraiment avec moi ? Je murmurais précipitamment :
-Euh... J'arrive !
Je fermais doucement la porte pour me précipiter sur mon armoire. J'attrapais une serviette pour enrouler tant bien que mal mes cheveux dedans. C'était une catastrophe. J'avais l'habitude de me changer rapidement, tout comme d'être mouillée, enlever mes vêtements humides pour les remplacer par d'autres n'était donc pas un problème. J'attrapais un nouveau leggings noir, un débardeur noir, un t-shirt noir également avec un motif écrit "freedom rebellion" en blanc dans un style un peu ethnique. et une chemise en jean un peu large. C'était un peu léger, mais j'aimais bien ces vêtements confortables, et si on ressortait, je mettrais mon long manteau noir, l'un de mes rares achats depuis que j'étais arrivée ici. Il faut dire que les vêtements n'étaient pas ma priorité, mais ma garde-robe était plutôt réduite et un vrai manteau n'en faisait pas partie. J'avais abandonné mes bottes dans l'entrée de ma chambre, et j'enlevais rapidement la terre dessus avec des feuilles d'essuie-tout que je conservait dans un coin pour ce genre de cas. Parce que sinon après je vais coller de la terre dans tout le bâtiment. J'avais abandonné ma dague juste à côté de mes bottes, c'était le seul avantage à être toute seule dans cette chambre, je n'avait pas à me préoccuper du fait que le port d'armes était interdit et qu'on me la confisquerait si on la trouvait.
J'attrapais ma brosse et la passait une première fois dans ma tignasse.
-Aïe !
La brosse m'échappa des mains et restait coincé dans mes cheveux. Je la dégageait en grommelant. J'attrapais serre-tête noir pour pouvoir le passer dans mes cheveux quand j'aurais finit de les démêler au moins, de les attacher au mieux. Au bout du troisième passage de brosse, je finis par comprendre que j'allais en avoir pour une éternité, je rouvris donc ma porte, en chaussettes, ma brosse toujours en mains. Et encore coincée dans mes cheveux... Je tirais un peu dessus pour la dégager une nouvelle fois en explosant de rire devant le ridicule de la situation.
-Si tu veux rentrer au lieu de rester plantée là, tu peux, parce que je crois que je suis pas prête d'arriver à quelque chose là !
- Ça tombe bien, je n'ai rien de prévu cette après midi !
J'hésitais à comprendre. Elle voulait rester avec moi ? Je ne voulais pas m'imposer...
- Tu veux que je te laisse te changer et on se mets quelque part ensuite ou bien ... je t'attends dans le couloir le temps que tu t'habille chaudement ?
Je la regardais quelques secondes, muette. C'est limite si je ne penchais pas la tête sur le côté. Elle ne partait pas ? Elle restait vraiment avec moi ? Je murmurais précipitamment :
-Euh... J'arrive !
Je fermais doucement la porte pour me précipiter sur mon armoire. J'attrapais une serviette pour enrouler tant bien que mal mes cheveux dedans. C'était une catastrophe. J'avais l'habitude de me changer rapidement, tout comme d'être mouillée, enlever mes vêtements humides pour les remplacer par d'autres n'était donc pas un problème. J'attrapais un nouveau leggings noir, un débardeur noir, un t-shirt noir également avec un motif écrit "freedom rebellion" en blanc dans un style un peu ethnique. et une chemise en jean un peu large. C'était un peu léger, mais j'aimais bien ces vêtements confortables, et si on ressortait, je mettrais mon long manteau noir, l'un de mes rares achats depuis que j'étais arrivée ici. Il faut dire que les vêtements n'étaient pas ma priorité, mais ma garde-robe était plutôt réduite et un vrai manteau n'en faisait pas partie. J'avais abandonné mes bottes dans l'entrée de ma chambre, et j'enlevais rapidement la terre dessus avec des feuilles d'essuie-tout que je conservait dans un coin pour ce genre de cas. Parce que sinon après je vais coller de la terre dans tout le bâtiment. J'avais abandonné ma dague juste à côté de mes bottes, c'était le seul avantage à être toute seule dans cette chambre, je n'avait pas à me préoccuper du fait que le port d'armes était interdit et qu'on me la confisquerait si on la trouvait.
J'attrapais ma brosse et la passait une première fois dans ma tignasse.
-Aïe !
La brosse m'échappa des mains et restait coincé dans mes cheveux. Je la dégageait en grommelant. J'attrapais serre-tête noir pour pouvoir le passer dans mes cheveux quand j'aurais finit de les démêler au moins, de les attacher au mieux. Au bout du troisième passage de brosse, je finis par comprendre que j'allais en avoir pour une éternité, je rouvris donc ma porte, en chaussettes, ma brosse toujours en mains. Et encore coincée dans mes cheveux... Je tirais un peu dessus pour la dégager une nouvelle fois en explosant de rire devant le ridicule de la situation.
-Si tu veux rentrer au lieu de rester plantée là, tu peux, parce que je crois que je suis pas prête d'arriver à quelque chose là !
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
Gwendoline ne semblait pas me croire quand je lui dis que je l'attendrais dehors. J'ai cru qu'elle allait finir la tête par terre tant elle penchait sous la surprise et l'incompréhension. Je retins un petit rire quand elle répondit précipitamment qu'elle arrivait avant de s'engouffrer dans sa chambre, la porte se claquant derrière elle.
Je m'adossa donc contre le mur, essayant de secouer un peu mes cheveux pour les sécher rapidement ... sans grand succès ... j'aurais peut-être du lui proposer de se retrouver dans le couloir le temps que je me change aussi ... ? Au moins changer de pull car je commençais à sentir l'humidité sur le haut de mon dos et mes épaules.
Mes cheveux humides avaient les pointes trempées ... je ne pouvais pas les essorer sur le sol ... j'essayais de les lisser un peu en y passant mes doigts et essaya de les tresser rapidement , au moins pour ne pas les avoir devant les yeux. J'entendis vaguement des bruits dans la chambre de Gwendoline mais je n'allais pas m'approcher pour entendre d'avantage. C'était impoli et je ne voulais pas paraître grossière. Gwendoline finit par rouvrir la porte en éclatant de rire, la brosse coincée dans ces cheveux.
- Si tu veux rentrer au lieu de rester plantée là, tu peux, parce que je crois que je suis pas prête d'arriver à quelque chose là !
Je l'observais quelques secondes et plaqua ma main sur ma bouche pour retenir un rire. La situation était cocasse mais je ne voulais pas qu'elle croit que je me moque. Je rentrais donc dans sa chambre, veillant à ne pas marcher sur les affaires trainant au sol. Je jeta un rapide coup d’œil à la chambre, notant qu'elle semblait n’être habité que par Gwen. C'était plutôt triste ... je comprenais mieux maintenant sa demande pour ne pas rester seule.
Cela provoqua un autre élan de sympathie et de compassion pour Gwendoline ... Si j'avais eu une petite sœur j'aurais aimé l'avoir elle ...
Mais pour l'instant, je m'approchais et lui demanda gentiment si elle avait besoin d'aide
- Tu veux que je t'aide à démêler tes cheveux ? J'ai peur qu'à force de tirer comme ça avec ta brosse.. tu ... ne t'arraches les cheveux ...
Elle avait de jolis cheveux ... ce serait dommage de les abimer comme ça.
Je m'adossa donc contre le mur, essayant de secouer un peu mes cheveux pour les sécher rapidement ... sans grand succès ... j'aurais peut-être du lui proposer de se retrouver dans le couloir le temps que je me change aussi ... ? Au moins changer de pull car je commençais à sentir l'humidité sur le haut de mon dos et mes épaules.
Mes cheveux humides avaient les pointes trempées ... je ne pouvais pas les essorer sur le sol ... j'essayais de les lisser un peu en y passant mes doigts et essaya de les tresser rapidement , au moins pour ne pas les avoir devant les yeux. J'entendis vaguement des bruits dans la chambre de Gwendoline mais je n'allais pas m'approcher pour entendre d'avantage. C'était impoli et je ne voulais pas paraître grossière. Gwendoline finit par rouvrir la porte en éclatant de rire, la brosse coincée dans ces cheveux.
- Si tu veux rentrer au lieu de rester plantée là, tu peux, parce que je crois que je suis pas prête d'arriver à quelque chose là !
Je l'observais quelques secondes et plaqua ma main sur ma bouche pour retenir un rire. La situation était cocasse mais je ne voulais pas qu'elle croit que je me moque. Je rentrais donc dans sa chambre, veillant à ne pas marcher sur les affaires trainant au sol. Je jeta un rapide coup d’œil à la chambre, notant qu'elle semblait n’être habité que par Gwen. C'était plutôt triste ... je comprenais mieux maintenant sa demande pour ne pas rester seule.
Cela provoqua un autre élan de sympathie et de compassion pour Gwendoline ... Si j'avais eu une petite sœur j'aurais aimé l'avoir elle ...
Mais pour l'instant, je m'approchais et lui demanda gentiment si elle avait besoin d'aide
- Tu veux que je t'aide à démêler tes cheveux ? J'ai peur qu'à force de tirer comme ça avec ta brosse.. tu ... ne t'arraches les cheveux ...
Elle avait de jolis cheveux ... ce serait dommage de les abimer comme ça.
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
Lorsque je sortis sur le palier, Aiky se retint de rire. En même temps, vu la situation, quoi de plus normal. J'avisais ses cheveux rassemblés en une natte humide. Oups, je devrais lui proposer une serviette aussi ! Ce serait ballot qu'elle attrape froid. J'en attrapais une autre dans le haut de mon armoire, et faillis lui lancer, vieux réflexe de quand je dois fliquer Kénan. A la place, je m'approchais pour lui donner de façon bien plus normale.
-Tiens, tes cheveux sont tous mouillés aussi...
Et je continuais de me bagarrer avec les miens. Que quelqu'un m'explique pourquoi je les avait pas attaché ce matin ! Je crois que j'avais eu la flemme. Ou alors j'allais être en retard. En tout cas, je regrette maintenant. Aiky m'interrompis dans mon combat en me proposant son aide :
- Tu veux que je t'aide à démêler tes cheveux ? J'ai peur qu'à force de tirer comme ça avec ta brosse.. tu ... ne t'arraches les cheveux ...
Des cheveux, je m'en arrachais par poignées tout les jours. Avec le temps, j'étais devenue un peu brute avec au moment de les démêler. Tout simplement parce qu'il y avait tellement de nœuds dedans que si j'y allais doucement j'y passais des heures. Et que y'avait personne pour m'aider. Non mais, parce que Kénan, il est bien gentil, mais je le laisse pas toucher à mes cheveux, il va faire plus de nœuds qu'autre chose ce boulet. Bref, je m'égare un peu là. Je la remerciais d'une voix sincère en lui abandonnant la brosse, objet de malheur :
-Merci, c'est trop gentil...
Au passage, j'avais rassemblé sur une table les trucs qui trainaient par terre. Des bouquins... Me demandez pas pourquoi, des fois il m'arrive de lire à plat ventre par terre. Alors que j'ai mon lit juste à côté. Moi et la logique parfois, ça fait deux. Je sentais encore un truc humide dans mon cou. Bon, mes cheveux ok, ça on sait, mais autre chose encore, quelque chose devenu froid sur ma peau. Je sais ! Je détachais mon médaillon en passant mes mains dans ma nuque. C'était de la qualité en fait ce truc ! Assez étanche pour que les photos dedans ne soient pas abimées, et il n'a jamais rouillé au contact de l'eau, pourtant je m'en suis prise pas mal des trombes d'eau. Bon, il était un peu terne, mais dans mes souvenirs, il avait toujours été ainsi.
Clic, j'ouvris le pendentif pour vérifier l'état de son contenu. Nickel. Clac, je refermais mes doigts dessus pour le fermer. Quelques secondes où quatre visages souriants étaient apparus, heureux, les parents sur la photo de gauche, les enfants sur celle de droite. Un père, une mère, une petite fille et un tout petit garçon. On était vraiment minuscules sur cette photo en fait. On devait avoir allez quoi 8 ans pour moi et 1 an pour Kénan dont les cheveux n'avaient pas encore changés de couleur. Ils étaient bruns. C'était stupide d'être autant attaché à un collier, mais je n'y pouvais rien. En plus, cet idiot de Noa me l'avait piqué. Et il avait coupé ma ceinture en deux ! J'avais toujours pas eu le temps de la réparer. Alors en attendant, je fourrais mes gardes dans une sacoche bandoulière, ou dans les poches ventrales de mes sweats.
-Dis... Est-ce-que tu as des frères et sœurs toi ?
La question était sortie toute seule, comme souvent lorsque je me perdait un peu dans mes pensées. Mon petit frère adoré. Il était vraiment chiant, mais bon, c'était mon frère je l'aimais comme ça, même si je le montrais pas souvent. En fait, je n'imaginais même pas ma vie sans ce chenapan de première qui me remontait le moral à tout les coups. Et j'étais encore partie dans mes pensées moi... Je suis infernale en vrai...
-Tiens, tes cheveux sont tous mouillés aussi...
Et je continuais de me bagarrer avec les miens. Que quelqu'un m'explique pourquoi je les avait pas attaché ce matin ! Je crois que j'avais eu la flemme. Ou alors j'allais être en retard. En tout cas, je regrette maintenant. Aiky m'interrompis dans mon combat en me proposant son aide :
- Tu veux que je t'aide à démêler tes cheveux ? J'ai peur qu'à force de tirer comme ça avec ta brosse.. tu ... ne t'arraches les cheveux ...
Des cheveux, je m'en arrachais par poignées tout les jours. Avec le temps, j'étais devenue un peu brute avec au moment de les démêler. Tout simplement parce qu'il y avait tellement de nœuds dedans que si j'y allais doucement j'y passais des heures. Et que y'avait personne pour m'aider. Non mais, parce que Kénan, il est bien gentil, mais je le laisse pas toucher à mes cheveux, il va faire plus de nœuds qu'autre chose ce boulet. Bref, je m'égare un peu là. Je la remerciais d'une voix sincère en lui abandonnant la brosse, objet de malheur :
-Merci, c'est trop gentil...
Au passage, j'avais rassemblé sur une table les trucs qui trainaient par terre. Des bouquins... Me demandez pas pourquoi, des fois il m'arrive de lire à plat ventre par terre. Alors que j'ai mon lit juste à côté. Moi et la logique parfois, ça fait deux. Je sentais encore un truc humide dans mon cou. Bon, mes cheveux ok, ça on sait, mais autre chose encore, quelque chose devenu froid sur ma peau. Je sais ! Je détachais mon médaillon en passant mes mains dans ma nuque. C'était de la qualité en fait ce truc ! Assez étanche pour que les photos dedans ne soient pas abimées, et il n'a jamais rouillé au contact de l'eau, pourtant je m'en suis prise pas mal des trombes d'eau. Bon, il était un peu terne, mais dans mes souvenirs, il avait toujours été ainsi.
Clic, j'ouvris le pendentif pour vérifier l'état de son contenu. Nickel. Clac, je refermais mes doigts dessus pour le fermer. Quelques secondes où quatre visages souriants étaient apparus, heureux, les parents sur la photo de gauche, les enfants sur celle de droite. Un père, une mère, une petite fille et un tout petit garçon. On était vraiment minuscules sur cette photo en fait. On devait avoir allez quoi 8 ans pour moi et 1 an pour Kénan dont les cheveux n'avaient pas encore changés de couleur. Ils étaient bruns. C'était stupide d'être autant attaché à un collier, mais je n'y pouvais rien. En plus, cet idiot de Noa me l'avait piqué. Et il avait coupé ma ceinture en deux ! J'avais toujours pas eu le temps de la réparer. Alors en attendant, je fourrais mes gardes dans une sacoche bandoulière, ou dans les poches ventrales de mes sweats.
-Dis... Est-ce-que tu as des frères et sœurs toi ?
La question était sortie toute seule, comme souvent lorsque je me perdait un peu dans mes pensées. Mon petit frère adoré. Il était vraiment chiant, mais bon, c'était mon frère je l'aimais comme ça, même si je le montrais pas souvent. En fait, je n'imaginais même pas ma vie sans ce chenapan de première qui me remontait le moral à tout les coups. Et j'étais encore partie dans mes pensées moi... Je suis infernale en vrai...
Re: Paradox Ultime. [Venez tous]
Gwendoline me fit entrer et me tandis une serviette propre pour que je puisse essuyer mes cheveux. Je la remercia et sécha mes cheveux qui commençaient à gouter sur mon épaule. Ensuite, il fallait que je m'attaque à ces cheveux ! Je passe derrière elle, ce à quoi elle s'empresse de me dire :
- Merci, c'est trop gentil...
Je lui souris . A vrai dire , je trouve ça plutôt mignon cette image ... Moi qui lui démêle les cheveux comme une grande sœur aurait pu le faire.
- Je t'en prie Gwendoline !
Je passe mes doigts dans ces cheveux pour détecter tous les nœuds qu'il va falloir défaire : Un vrai nid à nœud. Je repère sur la table un peigne que j'attrape. Essayer de démêler un nœud avec une grosse brosse était compliqué et je ne voulais pas lui faire mal. Il fallait faire ça minutieusement et calmement.
Je commença donc à séparer ces cheveux par une raie au milieu commençant par un coté. Je démêler ces cheveux, mèches par mèche, veillant à ne pas tirer trop fort ou quand je le devait, à maintenir d'une main, les cheveux le plus près de la racine pour ne pas tirer directement sur son cuir chevelu.
Un nœud en particulier me pris pas mal de temps avant que je ne puisse enfin passer un coup de brosse sans m'accrocher dedans et je demandais parfois à Gwendoline si je ne lui faisais pas trop mal, veillant à faire des gestes doux et minutieux.
Pendant que j'essayais de remettre de l'ordre dans sa crinière, Je vis Gwendoline jouer avec le pendentif qu'elle portait au cou, qu'elle retira alors que je lui maintenait les cheveux sur la nuque. Elle l'ouvrit et le referma presque aussitôt. Je n'avais pas vu ce qu'il contenait , concentré sur ces cheveux mais il me semblait que ce genre de pendentif avec un clapet était fait pour contenir des photos. Des photos de sa famille peut-être ?
Je souris pour moi même ... je n'ai pas une seule photo de mes parents , de moi petite ... bref rien d'avant ... avant de devenir Aiky Hito ...
- Dis... Est-ce-que tu as des frères et sœurs toi ?
Sa question me fit suspendre mon geste quelques secondes.
- Non j'étais ... je suis fille unique ! Pas de sœur ni de frères. Et toi ?
Je changeais de coté, ayant réussi à démêler un premier coté, mais mon regard était à présent plus triste. Je fis seulement en sorte que Gwendoline ne le voit pas.
- Merci, c'est trop gentil...
Je lui souris . A vrai dire , je trouve ça plutôt mignon cette image ... Moi qui lui démêle les cheveux comme une grande sœur aurait pu le faire.
- Je t'en prie Gwendoline !
Je passe mes doigts dans ces cheveux pour détecter tous les nœuds qu'il va falloir défaire : Un vrai nid à nœud. Je repère sur la table un peigne que j'attrape. Essayer de démêler un nœud avec une grosse brosse était compliqué et je ne voulais pas lui faire mal. Il fallait faire ça minutieusement et calmement.
Je commença donc à séparer ces cheveux par une raie au milieu commençant par un coté. Je démêler ces cheveux, mèches par mèche, veillant à ne pas tirer trop fort ou quand je le devait, à maintenir d'une main, les cheveux le plus près de la racine pour ne pas tirer directement sur son cuir chevelu.
Un nœud en particulier me pris pas mal de temps avant que je ne puisse enfin passer un coup de brosse sans m'accrocher dedans et je demandais parfois à Gwendoline si je ne lui faisais pas trop mal, veillant à faire des gestes doux et minutieux.
Pendant que j'essayais de remettre de l'ordre dans sa crinière, Je vis Gwendoline jouer avec le pendentif qu'elle portait au cou, qu'elle retira alors que je lui maintenait les cheveux sur la nuque. Elle l'ouvrit et le referma presque aussitôt. Je n'avais pas vu ce qu'il contenait , concentré sur ces cheveux mais il me semblait que ce genre de pendentif avec un clapet était fait pour contenir des photos. Des photos de sa famille peut-être ?
Je souris pour moi même ... je n'ai pas une seule photo de mes parents , de moi petite ... bref rien d'avant ... avant de devenir Aiky Hito ...
- Dis... Est-ce-que tu as des frères et sœurs toi ?
Sa question me fit suspendre mon geste quelques secondes.
- Non j'étais ... je suis fille unique ! Pas de sœur ni de frères. Et toi ?
Je changeais de coté, ayant réussi à démêler un premier coté, mais mon regard était à présent plus triste. Je fis seulement en sorte que Gwendoline ne le voit pas.
Page 1 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» [Event] La fin de Tsuki [Tête de marteau]
» Le tag team ultime! (PV Jïnn)
» L'ULTIME DUO DE LA CHATTE [LIVRE I] : Le Commencement
» Venez proposez vos quêtes !
» Venez exaucer vos souhaits
» Le tag team ultime! (PV Jïnn)
» L'ULTIME DUO DE LA CHATTE [LIVRE I] : Le Commencement
» Venez proposez vos quêtes !
» Venez exaucer vos souhaits
Olympus Project :: Avant le jeu :: Gestion du RP :: Souvenirs :: Archive Tsuki 2014/2018 :: Parc intérieur :: Jardins
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum