Le retour du Grand Saut ! [Libre]
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Le retour du Grand Saut ! [Libre]
par Invité Ven 23 Jan 2015, 14:14
Rappel du premier message :
![Le retour du Grand Saut ! [Libre] - Page 2 150123021658426156](https://nsa34.casimages.com/img/2015/01/23/150123021658426156.jpg)
Voilà maintenant six mois… Six longs mois que je n’avais plus déambulée dans l’académie… Cette ambiance un peu vieillotte qui se dégage des murs anciens, le silence, le plancher qui claque sous chacun de mes talons. Il était temps que je reprenne du service… J’en étais sûre, et même convaincue, qu’aucun de ses élèves n’avait travaillé sur son pouvoir ! La vie est bien trop belle ici ! On s’y plait, on s’y amuse, on y paresse, et on tourne en rond dans une routine sans fin. Certain ce sont sûrement déjà résigné à y mourir de vieillesse ici !
Je m’étais arrangée pour avoir cours le plus rapidement possible, afin de juger moi-même des avancées de chacun. Me mettre sur mon 31 pour le premier cours, je leur devais bien ça, après tout, si c’est pour leur passer un savon, autant avoir une tenue qui impose le respect ! Mes pas résonnaient dans les couloirs, j’avais volontairement choisie d’arriver quelques minutes après la sonnerie pour faire mon entrée en scène, dès la première heure de la journée.
Ils n’avaient pas changés, la salle était toujours aussi bruyante en l’absence d’un professeur. Personne n’était fichu de les encadrer ? Même pas un délégué, ou un surveillant ? Personne… Des jeunes sans encadrement, ça finit par ressembler à un rassemblement d’animaux sauvages. Encore heureux qu’ils ne s’en prennent que très rarement aux plus faibles, heureusement…pour eux, moi ça m’aurait fait tellement plaisir d’en corriger quelques-uns… J’attendais quelques temps, derrière la porte, j’écoutais un petit peu leurs conversations, mais il était clair qu’eux même ne s’entendaient pas parler, j’entendais une dizaine de sujets de conversation, certaines parlaient vêtement, d’autres jeux vidéo, quelques-uns organiser une soirée buvette. Il était temps…temps d’unir tout le monde sur le même sujet…
J’ouvris délicatement la porte, appuyé gracieusement sur la poignée, histoire d’ouvrir de quelques millimètres l’entrée de la salle. Puis d’une poussée spartiate, la porte vint caresser le mur avec passion, faisant un impact sur la surface en bois plaqué. Aucuns soucis, de toute manière mes cours ne se déroulent pas dans cette petite pièce confinée, j’avais besoin d’air, d’espace, d’un endroit où les faire se dépenser un peu.
Alors que tout le monde était bouche bée devant mon entrée, j’avançais calmement bras croisées vers mon bureau. Je me postais devant et scrutais la pièce, avec amusement, je découvrais que certaines têtes étaient toujours vivante, ils avaient tenus, j’admirais également qu’il y avait toujours plus de nouveaux visages. Des jeunes enfants qui ne s’attendaient pas à ce qui allait se passer ! Finalement, une fois le scan fini je passais derrière mon bureau, j’inscrivais mon nom en Japonais, puis en lettre Latine pour les Non-Japonais, histoire qu’ils savent à quelle bête féroce ils auraient à faire durant leur séjour ici.
Je pris une grande inspiration, décroisais mes bras, et posait avec fracas les paumes de mes mains sur le bureau, pour les réveiller. D’une voix puissante, j’entrais dans le vif du sujet, et leur montraient les couleurs.
« Bonjour à toutes les limaces ici présentes ! Certains me connaissent, à supposer qu’ils se rappellent de moi, pour les autres, je suis votre Professeur à la Maitrise des Pouvoirs, Shizuka Honô. Ma lourde de tâche est de faire de vous des êtres capables d’utiliser pleinement et sans soucis les dons que la nature vous a offerts ! Je n’aime pas les longs discours, et je suis sûre que vous ne voulez pas m’entendre vous dénigrer des heures durant… Les anciens élèves savent comment je fonctionne, pour débuter mes cours, il y a un petit rituel à effectuer… Se jeter corps et âmes… Par cette fenêtre ici présente ! Et je suppose que je n’ai pas à vous rappeler que nous sommes au deuxième étage ? Je passe la première, et vous suivrez, ceux qui ne se sentent pas capable de suivre iront voir ailleurs, avec un petit bout de papier, plus communément appelé Heure de Colle. »
Après ce discours improvisé, malgré moi, j’approchais de la fenêtre et l’ouvrit dans un claquement, je pris une grande inspiration, un bon bol d’air frais, rien de mieux pour commencer une journée. Le soleil était au rendez-vous, il faisait frais, mais c’était normal pour cette fin de Janvier. Je regardais le sol de là ou j’étais, hauteur approximative de 7 mètre, un jeu d’enfant. Je passais les jambes l’une après l’autre et m’assis sur le rebords de fenêtre, un dernier regard vers la classe, qui ne savait plus quoi penser, un sourire en coin, légèrement provocateur, et je me laissais tomber dans le vide…
Un pilier en pierre arrondi, formant une plateforme sorti du sol et s’arrêtait a environ 3 m du sol, histoire de faire une marche à mi-chemin, évidemment c’était par mesure de sécurité et pour les aider « un petit peu », s’ils s’écrasaient tous lamentablement sur le sol, à qui ferais-je cours ?
De la plateforme il fallait juste ce laissait tomber le long de la paroi, elle était parfaitement plate et légèrement courbée, afin de glisser tout le long sans soucis. Une fois en bas je retirais mon costume, j’avais en dessous un simple survêtement de sport blanc, ce qui me permettait de travailler aisément. Le tout ranger dans un sac de sport au préalable accroché dans un arbre plus tôt avant de rejoindre la salle.
J’étais fin prête et il ne me restait plus qu’à voir à qui je vais faire cours. Je commençais des étirements en regardant de temps en temps plus haut dans la salle, voir qui aurait le cran de sauter le premier.
Voilà maintenant six mois… Six longs mois que je n’avais plus déambulée dans l’académie… Cette ambiance un peu vieillotte qui se dégage des murs anciens, le silence, le plancher qui claque sous chacun de mes talons. Il était temps que je reprenne du service… J’en étais sûre, et même convaincue, qu’aucun de ses élèves n’avait travaillé sur son pouvoir ! La vie est bien trop belle ici ! On s’y plait, on s’y amuse, on y paresse, et on tourne en rond dans une routine sans fin. Certain ce sont sûrement déjà résigné à y mourir de vieillesse ici !
Je m’étais arrangée pour avoir cours le plus rapidement possible, afin de juger moi-même des avancées de chacun. Me mettre sur mon 31 pour le premier cours, je leur devais bien ça, après tout, si c’est pour leur passer un savon, autant avoir une tenue qui impose le respect ! Mes pas résonnaient dans les couloirs, j’avais volontairement choisie d’arriver quelques minutes après la sonnerie pour faire mon entrée en scène, dès la première heure de la journée.
Ils n’avaient pas changés, la salle était toujours aussi bruyante en l’absence d’un professeur. Personne n’était fichu de les encadrer ? Même pas un délégué, ou un surveillant ? Personne… Des jeunes sans encadrement, ça finit par ressembler à un rassemblement d’animaux sauvages. Encore heureux qu’ils ne s’en prennent que très rarement aux plus faibles, heureusement…pour eux, moi ça m’aurait fait tellement plaisir d’en corriger quelques-uns… J’attendais quelques temps, derrière la porte, j’écoutais un petit peu leurs conversations, mais il était clair qu’eux même ne s’entendaient pas parler, j’entendais une dizaine de sujets de conversation, certaines parlaient vêtement, d’autres jeux vidéo, quelques-uns organiser une soirée buvette. Il était temps…temps d’unir tout le monde sur le même sujet…
J’ouvris délicatement la porte, appuyé gracieusement sur la poignée, histoire d’ouvrir de quelques millimètres l’entrée de la salle. Puis d’une poussée spartiate, la porte vint caresser le mur avec passion, faisant un impact sur la surface en bois plaqué. Aucuns soucis, de toute manière mes cours ne se déroulent pas dans cette petite pièce confinée, j’avais besoin d’air, d’espace, d’un endroit où les faire se dépenser un peu.
Alors que tout le monde était bouche bée devant mon entrée, j’avançais calmement bras croisées vers mon bureau. Je me postais devant et scrutais la pièce, avec amusement, je découvrais que certaines têtes étaient toujours vivante, ils avaient tenus, j’admirais également qu’il y avait toujours plus de nouveaux visages. Des jeunes enfants qui ne s’attendaient pas à ce qui allait se passer ! Finalement, une fois le scan fini je passais derrière mon bureau, j’inscrivais mon nom en Japonais, puis en lettre Latine pour les Non-Japonais, histoire qu’ils savent à quelle bête féroce ils auraient à faire durant leur séjour ici.
Je pris une grande inspiration, décroisais mes bras, et posait avec fracas les paumes de mes mains sur le bureau, pour les réveiller. D’une voix puissante, j’entrais dans le vif du sujet, et leur montraient les couleurs.
« Bonjour à toutes les limaces ici présentes ! Certains me connaissent, à supposer qu’ils se rappellent de moi, pour les autres, je suis votre Professeur à la Maitrise des Pouvoirs, Shizuka Honô. Ma lourde de tâche est de faire de vous des êtres capables d’utiliser pleinement et sans soucis les dons que la nature vous a offerts ! Je n’aime pas les longs discours, et je suis sûre que vous ne voulez pas m’entendre vous dénigrer des heures durant… Les anciens élèves savent comment je fonctionne, pour débuter mes cours, il y a un petit rituel à effectuer… Se jeter corps et âmes… Par cette fenêtre ici présente ! Et je suppose que je n’ai pas à vous rappeler que nous sommes au deuxième étage ? Je passe la première, et vous suivrez, ceux qui ne se sentent pas capable de suivre iront voir ailleurs, avec un petit bout de papier, plus communément appelé Heure de Colle. »
Après ce discours improvisé, malgré moi, j’approchais de la fenêtre et l’ouvrit dans un claquement, je pris une grande inspiration, un bon bol d’air frais, rien de mieux pour commencer une journée. Le soleil était au rendez-vous, il faisait frais, mais c’était normal pour cette fin de Janvier. Je regardais le sol de là ou j’étais, hauteur approximative de 7 mètre, un jeu d’enfant. Je passais les jambes l’une après l’autre et m’assis sur le rebords de fenêtre, un dernier regard vers la classe, qui ne savait plus quoi penser, un sourire en coin, légèrement provocateur, et je me laissais tomber dans le vide…
Un pilier en pierre arrondi, formant une plateforme sorti du sol et s’arrêtait a environ 3 m du sol, histoire de faire une marche à mi-chemin, évidemment c’était par mesure de sécurité et pour les aider « un petit peu », s’ils s’écrasaient tous lamentablement sur le sol, à qui ferais-je cours ?
De la plateforme il fallait juste ce laissait tomber le long de la paroi, elle était parfaitement plate et légèrement courbée, afin de glisser tout le long sans soucis. Une fois en bas je retirais mon costume, j’avais en dessous un simple survêtement de sport blanc, ce qui me permettait de travailler aisément. Le tout ranger dans un sac de sport au préalable accroché dans un arbre plus tôt avant de rejoindre la salle.
J’étais fin prête et il ne me restait plus qu’à voir à qui je vais faire cours. Je commençais des étirements en regardant de temps en temps plus haut dans la salle, voir qui aurait le cran de sauter le premier.
Invité- Invité
Re: Le retour du Grand Saut ! [Libre]
par Invité Ven 30 Jan 2015, 02:40
*Un cours en duo...*
Jamais Shiranui n'aurait pensé que ce genre d'événement se produirait au sein de l'académie. Shizuka Honô, une jeune femme imposante de par son caractère et ses capaciés, lui a fait l'honneur de lui demander de l'aide afin de "gérer" une classe d'élèves. Shiranui était bel et bien conscient que ça changerait de son premier cours, où il n'avait accueilli que trois élèves, mais il en était impatient.
Le professeur aux longs cheveux blonds avait changé de tenue pour l'occasion. Il portait une chemise grise et un pantalon noir mais - peut-être était-il inspiré par l'un de ses élèves - il était pieds nus. Il s'avança vers la classe qui se trouvait dans le lieu de l'académie qu'il préférait et, à mi-distance, prit son katana par le fourreau et accéléra le pas. Était-ce de l'impatience? Lui-même ne saurait répondre à cette question. Il soupira ensuite lorsqu'une pensée lui traversa l'esprit:
* Je n'ai pas pris une seule goutte de thé et je n'ai même pas médité... Étais-je vraiment pressé de rencontrer toutes ces personnes uniques...? *
Le problème de Shiranui est que, sans thé, il était un peu comme un drogué qui n'avait pas sa dose: nerveux. Le professeur blond était quelqu'un qui savait garder son calme mais, jusqu'à une certaine limite, lorsqu'il n'avait pas eu sa tasse de thé quotidienne.
Il parcourut le groupe du regard et reconnut trois personnes: Nolan Stoke, ce jeune homme dispose d'un pouvoir au potentiel incommensurable. Shiranui se souvient lui avoir proposé son aide mais son voyage au Japon l'avait beaucoup plus préoccupé, étant donné que son corps ne suivait plus son esprit, situation cruciale pour Shiranui, dont l'efficacité du pouvoir réside dans l'équilibre entre le corps et l'esprit... Son regard s'arrêta ensuite sur Mikhaïl Palakov. Le professeur n'eut pas de mal à constater, agréablement surpris, que le jeune slave avait suivi le conseil du professeur.
* J'ignore s'il a remarqué à quel point son corps paraît plus léger, maintenant qu'il est reposé. J'ai l'impression qu'il dégage une aura combattive bien plus forte que la première fois que je l'ai vu... *
Ensuite, il arriva sur Joann... Il eut des difficultés à la reconnaître... Elle était... Différente. Shiranui haussa les épaules en se disant qu'elle a probablement dû trouver sa voie sans passer par lui, ce qui l'arrangeait. Certaines personnes sont autodidactes, comme Shiranui. Ce dernier pensait que la jeune fille l'était tout autant.
Il s'arrêta à côté de Shizuka et esquissa un sourire avant de s'adresser à la classe:
- Bonjour, tout le monde. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis Shiranui Tenbatsu, également un professeur de maîtrise des pouvoirs. Ma spécialité est de faire voir aux personnes d'autres facettes de leurs pouvoirs afin d'en améliorer la maîtrise. Néanmoins, aujourd'hui, mon rôle est différent. Chacun d'entre vous est unique en son genre mais vos pouvoir peuvent être catégorisés. Il y a ceux dont les pouvoirs sont plus "physiques" que d'autres et ceux dont les pouvoirs ont des origines ou un impact mental. En principe, ces personnes-là sont celles qui se sont mises sur le côté et qui auront la suite du cours avec moi.
Il tourna son regard vers le groupe d'élèves qui avaient précédemment détruit les statues:
* En gros, ceux-là, ils vont finir ce cours recouverts de sueur... Je les plainds ... *
Jamais Shiranui n'aurait pensé que ce genre d'événement se produirait au sein de l'académie. Shizuka Honô, une jeune femme imposante de par son caractère et ses capaciés, lui a fait l'honneur de lui demander de l'aide afin de "gérer" une classe d'élèves. Shiranui était bel et bien conscient que ça changerait de son premier cours, où il n'avait accueilli que trois élèves, mais il en était impatient.
Le professeur aux longs cheveux blonds avait changé de tenue pour l'occasion. Il portait une chemise grise et un pantalon noir mais - peut-être était-il inspiré par l'un de ses élèves - il était pieds nus. Il s'avança vers la classe qui se trouvait dans le lieu de l'académie qu'il préférait et, à mi-distance, prit son katana par le fourreau et accéléra le pas. Était-ce de l'impatience? Lui-même ne saurait répondre à cette question. Il soupira ensuite lorsqu'une pensée lui traversa l'esprit:
* Je n'ai pas pris une seule goutte de thé et je n'ai même pas médité... Étais-je vraiment pressé de rencontrer toutes ces personnes uniques...? *
Le problème de Shiranui est que, sans thé, il était un peu comme un drogué qui n'avait pas sa dose: nerveux. Le professeur blond était quelqu'un qui savait garder son calme mais, jusqu'à une certaine limite, lorsqu'il n'avait pas eu sa tasse de thé quotidienne.
Il parcourut le groupe du regard et reconnut trois personnes: Nolan Stoke, ce jeune homme dispose d'un pouvoir au potentiel incommensurable. Shiranui se souvient lui avoir proposé son aide mais son voyage au Japon l'avait beaucoup plus préoccupé, étant donné que son corps ne suivait plus son esprit, situation cruciale pour Shiranui, dont l'efficacité du pouvoir réside dans l'équilibre entre le corps et l'esprit... Son regard s'arrêta ensuite sur Mikhaïl Palakov. Le professeur n'eut pas de mal à constater, agréablement surpris, que le jeune slave avait suivi le conseil du professeur.
* J'ignore s'il a remarqué à quel point son corps paraît plus léger, maintenant qu'il est reposé. J'ai l'impression qu'il dégage une aura combattive bien plus forte que la première fois que je l'ai vu... *
Ensuite, il arriva sur Joann... Il eut des difficultés à la reconnaître... Elle était... Différente. Shiranui haussa les épaules en se disant qu'elle a probablement dû trouver sa voie sans passer par lui, ce qui l'arrangeait. Certaines personnes sont autodidactes, comme Shiranui. Ce dernier pensait que la jeune fille l'était tout autant.
Il s'arrêta à côté de Shizuka et esquissa un sourire avant de s'adresser à la classe:
- Bonjour, tout le monde. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis Shiranui Tenbatsu, également un professeur de maîtrise des pouvoirs. Ma spécialité est de faire voir aux personnes d'autres facettes de leurs pouvoirs afin d'en améliorer la maîtrise. Néanmoins, aujourd'hui, mon rôle est différent. Chacun d'entre vous est unique en son genre mais vos pouvoir peuvent être catégorisés. Il y a ceux dont les pouvoirs sont plus "physiques" que d'autres et ceux dont les pouvoirs ont des origines ou un impact mental. En principe, ces personnes-là sont celles qui se sont mises sur le côté et qui auront la suite du cours avec moi.
Il tourna son regard vers le groupe d'élèves qui avaient précédemment détruit les statues:
* En gros, ceux-là, ils vont finir ce cours recouverts de sueur... Je les plainds ... *
Invité- Invité
Re: Le retour du Grand Saut ! [Libre]
par Invité Ven 30 Jan 2015, 18:45
Plusieurs élèves se jetèrent à leur tour dans le vide, suivant les exercices loufoques de leur professeur. Mais Mikhaïl ne s'y attardait pas, il regardait simplement ses mains bandés. Il n'avait aucune douleur et ne ressentait aucune courbature. En général, ce genre d'acrobatie avec son pouvoir lui faisait plus mal que ça. Là non, il s'était même senti plus léger, plus fort. Il pouvait sauter plus haut et aller plus vite. Serait-ce le fruit du conseil de Shiranui ? Finalement il eut du monde qui sauta par la fenêtre, certains n'avaient même pas de pouvoirs qui pouvaient leur garantir une sécurité totale. A ceux là, Mikhaïl levait son chapeau. Quand tout le monde finit de sauter, le professeur détruisit sa structure comme si de rien n'était. Le contrôle de la terre... ça devait être génial ! Cette pensée ne fît que se confirmer quand tous les élèves virent leur professeur créer avec les morceaux de la plateforme brisée d'authentiques soldats de pierre comme dans le dernier film de Harry Potter ! La prof' dicta alors les consignes, l'une des deux statues est plus facile à détruire que l'autre. "Peuh, je ne cherche pas la facilité !" pensa le Russe. Alors que ceux qui n'avaient pas de pouvoir offensif que mettaient sur le côté, le Rubis qu'il avait rencontré l'autre fois s'avança vers la statue et après un petit pelotage où Mikhaïl n'y comprit rien, il la détruisit. Vint ensuite un type du nom de Faust qui détruisit une autre statue d'un coup de poing, sans trop forcer. Un autre s'avança vers le colosse de roche et en absorba la substance avant de le balayer simplement. Mais bon, apparemment, il s'était fait mal et poussa un juron ce qui fît ricaner le slave.
*Bon... A mon tour...*
Mikhaïl s'avança vers la statue en enlevant son manteau avec lequel il avait bien chaud et le posa au sol à côté de son sac. Il se présenta comme tout le monde avec son accent russe bien prononcé.
- Mikhaïl Palakov
Il ferma les yeux puis quant il les ré-ouvrit, l'un d'eux était comme tout à l'heure. Rouge sur fond noir. Il se mît derrière la statue, positionnant ses mains à la ceinture de cette dernière, comme si il allait faire un suplex. Puis grâce aux muscles des ses jambes, il se propulsa dans les airs, à trois mètres de haut. Habituellement, sauterait bien plus haut que ça, mais la statue était bien lourde. Grâce au contrôle de son activité musculaire, il avait pu gérer les muscles de ses jambes, mais aussi de ses bras pour soulever le colosse ! Et alors, il se servit des muscles de son dos pour faire un suplex en l'air à la statue, la brisant en morceaux lorsqu'elle atterrit tête première sur le sol. Mikhaïl eut le temps de se réceptionner rapidement en atterrissant sur ses pieds. Il désactiva son pouvoir et souffla. Cette technique était bien plus éprouvante par contre, il en ressentait la fatigue et les quelques courbatures au niveau de son dos.
Mais cette technique lui aurait été beaucoup plus difficile à faire et à encaisser si il ne s'était pas reposé une semaine, comme lui avait suggéré Shiranui.
- Shiranui-sensei ! S'exclama le Russe, en utilisant un suffixe japonais, comme il avait l'habitude de le faire avec ses professeurs d'art-martiaux.
Le professeur venait de se présenter aux élèves qu'il ne connaissait pas, Mikhaïl espérait que son professeur avait vu sa démonstration et que sa promesse d'un éventuel combat tenait toujours...
*Bon... A mon tour...*
Mikhaïl s'avança vers la statue en enlevant son manteau avec lequel il avait bien chaud et le posa au sol à côté de son sac. Il se présenta comme tout le monde avec son accent russe bien prononcé.
- Mikhaïl Palakov
Il ferma les yeux puis quant il les ré-ouvrit, l'un d'eux était comme tout à l'heure. Rouge sur fond noir. Il se mît derrière la statue, positionnant ses mains à la ceinture de cette dernière, comme si il allait faire un suplex. Puis grâce aux muscles des ses jambes, il se propulsa dans les airs, à trois mètres de haut. Habituellement, sauterait bien plus haut que ça, mais la statue était bien lourde. Grâce au contrôle de son activité musculaire, il avait pu gérer les muscles de ses jambes, mais aussi de ses bras pour soulever le colosse ! Et alors, il se servit des muscles de son dos pour faire un suplex en l'air à la statue, la brisant en morceaux lorsqu'elle atterrit tête première sur le sol. Mikhaïl eut le temps de se réceptionner rapidement en atterrissant sur ses pieds. Il désactiva son pouvoir et souffla. Cette technique était bien plus éprouvante par contre, il en ressentait la fatigue et les quelques courbatures au niveau de son dos.
Mais cette technique lui aurait été beaucoup plus difficile à faire et à encaisser si il ne s'était pas reposé une semaine, comme lui avait suggéré Shiranui.
- Shiranui-sensei ! S'exclama le Russe, en utilisant un suffixe japonais, comme il avait l'habitude de le faire avec ses professeurs d'art-martiaux.
Le professeur venait de se présenter aux élèves qu'il ne connaissait pas, Mikhaïl espérait que son professeur avait vu sa démonstration et que sa promesse d'un éventuel combat tenait toujours...
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