Une pizza aux chorizos • {PV Eri Satou}
Olympus Project :: Avant le jeu :: Gestion du RP :: Souvenirs :: Archive Tsuki 2014/2018 :: Centre ville :: Vieille ville
Page 1 sur 1 • Partagez
Une pizza aux chorizos • {PV Eri Satou}
Mon invitée réfléchit à un endroit pendant quelques secondes avant de sortir une idée dont je ne m'y attendais absolument pas.
« J'avais pensé à acheter de la nourriture puis aller manger en forêt, ça te va ? »
Mon visage s'illumine.
« Oh, quelle idée Eri ! Cela m'incitera à prendre un peu l'air, cette idée me plaît vraiment. Bien joué héhé. »
Je sors de l'infirmerie avant de rajouter :
« Il faut juste que j'aille chercher mon porte monnaie et on y va. Excuse-moi de te faire marcher. »
Puis, je pars, espérant qu'elle me suit. Nous sommes donc passé brièvement dans le dortoir Saphir. Je ne sais pas si une personne des autres maisons est autorisée à venir dans une maison qui n'est pas sienne, mais de toute façon, mon passage est bref. Je fonce donc dans ma chambre fantôme, fouillant dans mes sacs et valises à la recherche de mon porte-monnais. Peu de temps après, le voilà dans ma main. Je le mis dans ma petite sacoche brune et sort de ma chambre en disant à Eri que nous pouvons partir. Et c'est ce que nous ne tardons pas à faire.
Le centre-ville est à quand même une petite trotte, nous allons pas rester à marcher en écoutant le bruit des voitures, du vent, des insectes et des discussions des habitants. Pourtant, il y a de quoi parler, nous pouvons apprendre à nous connaître après tout. C'est pourquoi, un peu timide, je lui pose la première question qui me vient à l'esprit.
« D-dit … C'est quoi ton pouvoir ? » parle-je assez bas pour ne pas que les passants puissent entendre.
Je suis un peu gênée, je trouve que cette question est un peu trop directe. J'aurai pu dire, de quelle origine es-tu, quel âge as-tu, te plais-tu à l'Académie, et j'en pense. Mais je vais mettre cela sur le fait que je ne suis pas très bonne pour engager des conversations. J'appréhende le fait qu'elle me rembarre, mais m'excuser serait encore plus sot, je dois assumer les bêtises que je peux sortir.
« J'avais pensé à acheter de la nourriture puis aller manger en forêt, ça te va ? »
Mon visage s'illumine.
« Oh, quelle idée Eri ! Cela m'incitera à prendre un peu l'air, cette idée me plaît vraiment. Bien joué héhé. »
Je sors de l'infirmerie avant de rajouter :
« Il faut juste que j'aille chercher mon porte monnaie et on y va. Excuse-moi de te faire marcher. »
Puis, je pars, espérant qu'elle me suit. Nous sommes donc passé brièvement dans le dortoir Saphir. Je ne sais pas si une personne des autres maisons est autorisée à venir dans une maison qui n'est pas sienne, mais de toute façon, mon passage est bref. Je fonce donc dans ma chambre fantôme, fouillant dans mes sacs et valises à la recherche de mon porte-monnais. Peu de temps après, le voilà dans ma main. Je le mis dans ma petite sacoche brune et sort de ma chambre en disant à Eri que nous pouvons partir. Et c'est ce que nous ne tardons pas à faire.
Le centre-ville est à quand même une petite trotte, nous allons pas rester à marcher en écoutant le bruit des voitures, du vent, des insectes et des discussions des habitants. Pourtant, il y a de quoi parler, nous pouvons apprendre à nous connaître après tout. C'est pourquoi, un peu timide, je lui pose la première question qui me vient à l'esprit.
« D-dit … C'est quoi ton pouvoir ? » parle-je assez bas pour ne pas que les passants puissent entendre.
Je suis un peu gênée, je trouve que cette question est un peu trop directe. J'aurai pu dire, de quelle origine es-tu, quel âge as-tu, te plais-tu à l'Académie, et j'en pense. Mais je vais mettre cela sur le fait que je ne suis pas très bonne pour engager des conversations. J'appréhende le fait qu'elle me rembarre, mais m'excuser serait encore plus sot, je dois assumer les bêtises que je peux sortir.
Re: Une pizza aux chorizos • {PV Eri Satou}
" J'avais pensé à acheter de la nourriture puis aller manger en forêt, ça te va ? "
Cette idée fut plutôt bien accueillie par mon interlocutrice:
" Oh, quelle idée Eri ! Cela m'incitera à prendre un peu l'air, cette idée me plaît vraiment. Bien joué héhé. "
Fière, je tirai un sourire narquois. Puis sous sortîmes de l'infirmerie. Une fois sorties, Yumie ajouta:
" Il faut juste que j'aille chercher mon porte monnaie et on y va. Excuse-moi de te faire marcher. "
" Ce n'est rien. " , avais-je répondu sans émotion, comme à mon habitude. Ou du moins lorsque je n'utilise pas un ton arrogant. Alors je la suivit dans le dortoir des Saphirs dans sa quête pour trouver son portefeuille. Ce dortoir est différent de celui des Rubis. Les gens ont l'air de scientifiques précoces ou de rêveurs. Cela me fit sourire, il serait amusant et intéressant de faire partie de cette maison. Je savais que ce ne sera jamais mon cas, je risquerais de laisser ma fierté dominer et provoquerai occasionnellement quelques bagarres...
Une fois que Yumie trouva son portefeuille, elle me dit que l'on pouvait partir, et nous le fîmes un bref instant après. Nous nous dirigeâmes vers le centre-ville.
Le trajet s'annonçait long. Pendant une très petite partie du parcours, on ne dit rien. Parfois, en marchant, je laissait mon regard se diriger vers la jolie Saphir, et détournai le regard immédiatement s'il venait à croiser le sien. Puis elle me regarda directement et me posa une question.
" D-dit … C'est quoi ton pouvoir ? "
Elle chuchotait, et elle faisait bien, car les gens au alentours pourraient entendre. Du moins, c'est ce que je me suis dit lorsque j'avais répondu banalement sans y faire attention:
" Mon pouvoir? Eh bien, je peux me transformer en louve blanche pendant deux heures tant qu'il n'y a pas de soleil. "
... Aïe. C'est une bourde. Une grosse bourde. Un couple d'adultes avait entendu et se mit à rire.
" Ahah ! Quel imagination qu'ont les enfants. "
" J-je ne suis pas.. ! " dis-je en m'apprêtant à révéler mon âge. Je m'interrompis en me mordant la langue (je me suis fait mal).
... Il vaut mieux que je laisse les choses comme ça, c'est une chance que je ressemble à une gamine, du moins dans cette situation. Non, c'est une poisse. Bref. Je rougis et tournai la tête en boudant. J'ai faillit faire une énorme bêtise. J'ajoutai timidement et tout bas:
" Et... toi? "
Cette idée fut plutôt bien accueillie par mon interlocutrice:
" Oh, quelle idée Eri ! Cela m'incitera à prendre un peu l'air, cette idée me plaît vraiment. Bien joué héhé. "
Fière, je tirai un sourire narquois. Puis sous sortîmes de l'infirmerie. Une fois sorties, Yumie ajouta:
" Il faut juste que j'aille chercher mon porte monnaie et on y va. Excuse-moi de te faire marcher. "
" Ce n'est rien. " , avais-je répondu sans émotion, comme à mon habitude. Ou du moins lorsque je n'utilise pas un ton arrogant. Alors je la suivit dans le dortoir des Saphirs dans sa quête pour trouver son portefeuille. Ce dortoir est différent de celui des Rubis. Les gens ont l'air de scientifiques précoces ou de rêveurs. Cela me fit sourire, il serait amusant et intéressant de faire partie de cette maison. Je savais que ce ne sera jamais mon cas, je risquerais de laisser ma fierté dominer et provoquerai occasionnellement quelques bagarres...
Une fois que Yumie trouva son portefeuille, elle me dit que l'on pouvait partir, et nous le fîmes un bref instant après. Nous nous dirigeâmes vers le centre-ville.
Le trajet s'annonçait long. Pendant une très petite partie du parcours, on ne dit rien. Parfois, en marchant, je laissait mon regard se diriger vers la jolie Saphir, et détournai le regard immédiatement s'il venait à croiser le sien. Puis elle me regarda directement et me posa une question.
" D-dit … C'est quoi ton pouvoir ? "
Elle chuchotait, et elle faisait bien, car les gens au alentours pourraient entendre. Du moins, c'est ce que je me suis dit lorsque j'avais répondu banalement sans y faire attention:
" Mon pouvoir? Eh bien, je peux me transformer en louve blanche pendant deux heures tant qu'il n'y a pas de soleil. "
... Aïe. C'est une bourde. Une grosse bourde. Un couple d'adultes avait entendu et se mit à rire.
" Ahah ! Quel imagination qu'ont les enfants. "
" J-je ne suis pas.. ! " dis-je en m'apprêtant à révéler mon âge. Je m'interrompis en me mordant la langue (je me suis fait mal).
... Il vaut mieux que je laisse les choses comme ça, c'est une chance que je ressemble à une gamine, du moins dans cette situation. Non, c'est une poisse. Bref. Je rougis et tournai la tête en boudant. J'ai faillit faire une énorme bêtise. J'ajoutai timidement et tout bas:
" Et... toi? "
Re: Une pizza aux chorizos • {PV Eri Satou}
Eri a un pouvoir intéressant, et plutôt original, je ne m'y attendais pas à vrai dire. J'aurai plutôt imaginé un truc inoffensif mais non, c'est encore plus extraordinaire, je serai curieuse de la voir ainsi, vraiment. Mon interlocutrice à sans doute parlée un trop fort ce qui a fait réagir certains passant. Je me mords la lèvre, espérant qu'ils ne prennent pas ses dires au sérieux. Et c'est le cas. D'ailleurs, Eri a tenté de rétorquer, ne semblant pas d'accord avec leurs commentaires. C'est fou comme les adultes sous-estime les « enfants ». Je soupire, tout aussi agacée par leurs propos. Les adultes ne sont que des snobs de toute façon, mais leurs vanité nous a quand même sauvé.
Eri me retourne finalement la question. Cette fois, je serai un peu plus discrète qu'elle. Je lui souris alors en lui donnant ma réponse.
« Quant à moi, je contrôle les rêves. Rien de très impressionnant finalement comparé à toi. »
Si je la connaissais un peu plus, je lui aurai bien demandé une petite prestation.
Distraite par la présence de l'adorable Eri, je traverse un passage piéton alors qu'une voiture le traverse à pleine vitesse. Miraculeusement, je me reprends très vite et me recule instantanément, percutant maladroitement mon invitée. La scène typique des shojos, hormis le fait que le garçon rattrape la fille, or je suis en train d'écraser Eri avec mes fesses l'ayant surement fait très mal à la tête vu le choc.
Je me relève instantanément et aide la petite albinos.
« Zut, je suis vraiment désolée ! Ça va, même si on s'est cogné à la tête et que je t'ai écrasé comme une baleine et que je te demande si ça va alors que l'on vient de te bousculer ? »
Je ne sais pas du tout comment réagir, sachant que je ne peux rien faire pour elle, et j'ai du sans doute l'énerver avec ma maladresse lamentable. Je me mords les lèvres, espérant qu'elle n'a rien de grave.
Eri me retourne finalement la question. Cette fois, je serai un peu plus discrète qu'elle. Je lui souris alors en lui donnant ma réponse.
« Quant à moi, je contrôle les rêves. Rien de très impressionnant finalement comparé à toi. »
Si je la connaissais un peu plus, je lui aurai bien demandé une petite prestation.
Distraite par la présence de l'adorable Eri, je traverse un passage piéton alors qu'une voiture le traverse à pleine vitesse. Miraculeusement, je me reprends très vite et me recule instantanément, percutant maladroitement mon invitée. La scène typique des shojos, hormis le fait que le garçon rattrape la fille, or je suis en train d'écraser Eri avec mes fesses l'ayant surement fait très mal à la tête vu le choc.
Je me relève instantanément et aide la petite albinos.
« Zut, je suis vraiment désolée ! Ça va, même si on s'est cogné à la tête et que je t'ai écrasé comme une baleine et que je te demande si ça va alors que l'on vient de te bousculer ? »
Je ne sais pas du tout comment réagir, sachant que je ne peux rien faire pour elle, et j'ai du sans doute l'énerver avec ma maladresse lamentable. Je me mords les lèvres, espérant qu'elle n'a rien de grave.
Re: Une pizza aux chorizos • {PV Eri Satou}
Tandis que je demandai quel était son pouvoir à Yumie, celle me répondit discrètement:
" Quant à moi, je contrôle les rêves. Rien de très impressionnant finalement comparé à toi. "
Mais c'est juste génial ! Mon dieu, un jour, je lui demanderai de venir dans les miens, je faisait pas mal de rêves bizarres ou de cauchemars en à cette époque... Je trouvai ce pouvoir très impressionnant, et je fus flattée qu'elle ait sous-entendu que mon pouvoir était impressionnant. Je ne voulu pas qu'elle croie que son pouvoir était nul, il était génial, alors je lui répondis simplement:
" Tu sais, tout dépend de la manière dont tu l'utilises. "
Pas la meilleure réponse du monde, cependant je souris toujours, car elle était une personne très agréable. Alors nous continuâmes à marcher en quête d'une pizzeria ou d'un fast food.
C'était la première fois que je vois cette ville de l'intérieur. En fait, c'était comme la ville où j'avais vécu une bonne partie de ma vie, chez Mei. Sauf que celle-ci était plus grande et avec plus de magasins. Et elle était différente, très différente de l'endroit où j'étais née. Cependant, il y avait tout de même une forêt. Mais elle doit être loin de l'endroit où nous nous trouvions actuellement. J'avais aussi pris mon argent, ça ira, on pourrait prendre le bus.
Puis, plusieurs choses arrivèrent très vite. Alors que j'appréciais la compagnie de mon aînée et que j'admirais la complexité de certaines infrastructures de cette ville, je vis que Yumie avait tenté de traverser et qu'une voiture a foncé à ce moment là. Oui, 'en suis certaine, la voiture l'a fait exprès ! Alors, je la vis reculer tout de suite pendant que je lui criait un avertissement.
" Senpai !! At... "
Cette phrase fut coupée par l'intéressée qui me bouscula en reculant et qui tomba sur moi. Ma tête se cogna violemment contre le béton du trottoir, mais cela ne fit mal que 3 secondes. Quant à Yumie, elle se releva immédiatement et s'adressa à moi.
" Zut, je suis vraiment désolée ! Ça va, même si on s'est cogné à la tête et que je t'ai écrasé comme une baleine et que je te demande si ça va alors que l'on vient de te bousculer ? "
Je grognai et me levai. J'avais un caractère de peste, mais je savais reconnaître qui méritait de se le prendre en pleine figure. La voiture. Elle venait de s'arrêter, alors je courus vers elle un peu plus loin et me mis à hurler après le conducteur après avoir frappé contre sa portière afin qu'il baisse sa vitre:
" Eh ! ça va pas ?! Il était rouge, ce putain de feu ! T'es daltonien ?! "
Et je continuai mon flot d'insultes, bien consciente que cela allait m'attirer des problèmes.
" Quant à moi, je contrôle les rêves. Rien de très impressionnant finalement comparé à toi. "
Mais c'est juste génial ! Mon dieu, un jour, je lui demanderai de venir dans les miens, je faisait pas mal de rêves bizarres ou de cauchemars en à cette époque... Je trouvai ce pouvoir très impressionnant, et je fus flattée qu'elle ait sous-entendu que mon pouvoir était impressionnant. Je ne voulu pas qu'elle croie que son pouvoir était nul, il était génial, alors je lui répondis simplement:
" Tu sais, tout dépend de la manière dont tu l'utilises. "
Pas la meilleure réponse du monde, cependant je souris toujours, car elle était une personne très agréable. Alors nous continuâmes à marcher en quête d'une pizzeria ou d'un fast food.
C'était la première fois que je vois cette ville de l'intérieur. En fait, c'était comme la ville où j'avais vécu une bonne partie de ma vie, chez Mei. Sauf que celle-ci était plus grande et avec plus de magasins. Et elle était différente, très différente de l'endroit où j'étais née. Cependant, il y avait tout de même une forêt. Mais elle doit être loin de l'endroit où nous nous trouvions actuellement. J'avais aussi pris mon argent, ça ira, on pourrait prendre le bus.
Puis, plusieurs choses arrivèrent très vite. Alors que j'appréciais la compagnie de mon aînée et que j'admirais la complexité de certaines infrastructures de cette ville, je vis que Yumie avait tenté de traverser et qu'une voiture a foncé à ce moment là. Oui, 'en suis certaine, la voiture l'a fait exprès ! Alors, je la vis reculer tout de suite pendant que je lui criait un avertissement.
" Senpai !! At... "
Cette phrase fut coupée par l'intéressée qui me bouscula en reculant et qui tomba sur moi. Ma tête se cogna violemment contre le béton du trottoir, mais cela ne fit mal que 3 secondes. Quant à Yumie, elle se releva immédiatement et s'adressa à moi.
" Zut, je suis vraiment désolée ! Ça va, même si on s'est cogné à la tête et que je t'ai écrasé comme une baleine et que je te demande si ça va alors que l'on vient de te bousculer ? "
Je grognai et me levai. J'avais un caractère de peste, mais je savais reconnaître qui méritait de se le prendre en pleine figure. La voiture. Elle venait de s'arrêter, alors je courus vers elle un peu plus loin et me mis à hurler après le conducteur après avoir frappé contre sa portière afin qu'il baisse sa vitre:
" Eh ! ça va pas ?! Il était rouge, ce putain de feu ! T'es daltonien ?! "
Et je continuai mon flot d'insultes, bien consciente que cela allait m'attirer des problèmes.
Re: Une pizza aux chorizos • {PV Eri Satou}
Eri semble très mécontente. Ce qui se comprend. Mais bon, je culpabilise, je ne voulais pas lui faire de mal. Je me mords la lèvre m'apprêtant à m'excuser de nouveau lorsque je remarque qu'elle n'en a pas après moi, mais après le chauffard. La petite fille albinos se précipite vers la voiture qui s'est d'ailleurs stoppé. Confuse, je cours vers elle, pour savoir ce qu'il se passe. Eri semble vraiment de très mauvaise humeur et lâche toutes sortes d'insultes sur le conducteur. C'est incroyable. Cela m'a fait réaliser quelque chose : je ne suis pas la seule coupable. L'homme n'a pas à conduire comme un sauvage et faire attention aux piétons. Après tout, ils sont responsables de ce qu'ils causent à nous, marcheur. Finalement, je rejoins l'avis d'Eri, mais je ne m'énerverai pas comme elle le fait. Il m'a fallut quelques secondes avant de prendre la prendre dans mon bras et lui dire avec douceur :
« V-viens, ne t'en fais pas, on est toujours en vie, c'est déjà ça. »
Sans plus attendre, je la tire vers moi et partons. Je ne veux pas attirer l'attention, encore moins dans ce genre de situation. Il n'empêche que cela m'a fait tout drôle de la voir dans une telle rage, j'ai même eu peur. J'ai crus que c'était ce genre de personne timide et calme, mais je me suis trompée. Et tant mieux. La prévisibilité, c'est ennuyant. Et nous devrions accepter chaque personnes comme elles sont.
Nous nous écartons du lieu du drame, reprenant ainsi notre chemin.
« Eh ben, merci d'avoir pris notre défense, mais je ne voulais pas attirer les foules sinon je t'aurai laissé volontiers l'insulter. » dit-je en plaisantant. Bien que ce n'est pas complètement faux, j'ai cru voir ma vie se défiler sous mes yeux.
Oubliant cet incident, je décide de retourner au sujet initial.
« Tu parlais de ma manière d'utiliser mon pouvoir ? Que veux-tu dire par là ? »
« V-viens, ne t'en fais pas, on est toujours en vie, c'est déjà ça. »
Sans plus attendre, je la tire vers moi et partons. Je ne veux pas attirer l'attention, encore moins dans ce genre de situation. Il n'empêche que cela m'a fait tout drôle de la voir dans une telle rage, j'ai même eu peur. J'ai crus que c'était ce genre de personne timide et calme, mais je me suis trompée. Et tant mieux. La prévisibilité, c'est ennuyant. Et nous devrions accepter chaque personnes comme elles sont.
Nous nous écartons du lieu du drame, reprenant ainsi notre chemin.
« Eh ben, merci d'avoir pris notre défense, mais je ne voulais pas attirer les foules sinon je t'aurai laissé volontiers l'insulter. » dit-je en plaisantant. Bien que ce n'est pas complètement faux, j'ai cru voir ma vie se défiler sous mes yeux.
Oubliant cet incident, je décide de retourner au sujet initial.
« Tu parlais de ma manière d'utiliser mon pouvoir ? Que veux-tu dire par là ? »
Re: Une pizza aux chorizos • {PV Eri Satou}
Eriko Satou, la
Une nouvelle page s'écrit aujourd'hui ~
Tandis que mon flot d'insultes se déversait sur le chauffard, ma jolie senpai tenta de m'arrêter, peut-être parce qu'elle s'inquiétait des quelques personnes qui regardaient la scène (mais de quoi ils se mêlent eux?). Elle me prit avec son bras, cela me donna un petit frisson, et je m'arrêtai immédiatement de parler. Puis elle essaya de me raisonner:
" V-viens, ne t'en fais pas, on est toujours en vie, c'est déjà ça. "
Je me calmai ensuite, en poussant un soupire irrité et en lançant un regard noir vers le conducteur idiot. Après cela elle m'attira contre elle, ce qui provoqua un nouveau frisson et une petit rougissement. Aussi, mon visage énervé ressemblait plus à une expression triste en quelque sorte. Je me sentais idiote de m'être autant emportée. Ensuite, nous nous éloignons pour reprendre notre chemin vers la pizzeria. Plus tard, elle reprit la parole:
" Eh ben, merci d'avoir pris notre défense, mais je ne voulais pas attirer les foules sinon je t'aurai laissé volontiers l'insulter. "
J'étouffai un rire et hochai la tête en souriant pour lui montrer que j'étais d'accord avec ce qu'elle disait. Ensuite, elle était revenue sur ce que je disais plus tôt.
" Tu parlais de ma manière d'utiliser mon pouvoir ? Que veux-tu dire par là ? "
" Eh bien, c'est simple. Je crois que n'importe quel pouvoir peut-être très utile ou très maléfique. Tu peux te servir des rêves pour réconforter quelqu'un ou garder une sorte de contact, ou pousser au suicide... le champ des possibilités est infini ! Les rêves ont un impact énorme sur la vie et le comportement des personnes. D'ailleurs je comptais voir si je pouvais ouvrir un club d'interprétation des rêves, de voyance, ce genre de choses... "
Remarquant que j'en avais sûrement trop dit, je plaquai une main contre ma bouche, me tus, rougis, puis détournai le regard, gênée.
Re: Une pizza aux chorizos • {PV Eri Satou}
Sa réponse est assez immédiate, ce qui me fait rapidement oublier ce qu'il s'est passé précédemment. Je retrouve mon aise et m'intéresse à ce qu'elle dit.
« Eh bien, c'est simple. Je crois que n'importe quel pouvoir peut-être très utile ou très maléfique. Tu peux te servir des rêves pour réconforter quelqu'un ou garder une sorte de contact, ou pousser au suicide... le champ des possibilités est infini ! Les rêves ont un impact énorme sur la vie et le comportement des personnes. D'ailleurs je comptais voir si je pouvais ouvrir un club d'interprétation des rêves, de voyance, ce genre de choses... »
Elle frappe ses lèvres avec la paume de ses mains. Mon interlocutrice semble relativement embarrassée. Un large sourire fait grimacer mon visage : elle est adorable et me plaît bien, beaucoup même.
Mon visage devient alors plus doux et enfantin lorsque je lui fais un sourire lumineux, les mains liées dans le dos. J'essaie de me montrer la plus amicale et mignonne possible pour lui montrer toute ma sincère sympathie.
« Mais c'est génial Eri ! Je serai ravie de faire partir de ton groupe, honnêtement. Je pourrai en apprendre plus sur mon pouvoir. »
A vrai dire, je n'ai jamais constaté que la psychanalyse pourrait m'aider à mieux comprendre le processus de mon pouvoir et à la façon de s'en servir. Je peux les rendre encore plus poignant, percutant, et cette idée me monte à la tête et me fait jubiler. Qui sait, je pourrai apprendre plus sur moi-même et ce que certaines choses comme, KumuKumu font ici. Tout ceci me met de la meilleure humeur possible et me donne envie de m'endormir sur le champ pour pouvoir m'exercer au plus vite. Ma joie de ces découvertes est tellement immense que j'arrive à être tactile sans m'en rendre compte.
J'arrache la main de la bouche d'Eri pour la prendre avec mes deux mains, me rapprochant d'elle pour planter mon regard pétillant dans les siens.
« Et qui sait, un jour, tu pourras me croiser ! Je pourrai te faire voyager et exaucer le moindre de tes souhaits ! Ça pourrait vraiment être marrant, je n'ai jamais pensé à ''coopérer'' avec quelqu'un pour faire un rêve dont moi et lui avons le pouvoir et, et ... »
En vérité, je me laisse emporter et je commence à dire n'importe quoi, mais je suis vraiment contente de pouvoir faire, qui sait, cette future expérience qui va venir plus tôt qu'on ne le pense.
« Et franchement, pour le peu que l'on se connaît, je t'apprécie, et je serai ravie de pouvoir t'aider ou de t'apprendre certaines choses ! »
Ce n'est que maintenant que je décide de marquer une pause et de prendre du recul. Nous nous sommes arrêté en pleine rue, gênant les piétons, tandis que moi, je lui hurle beaucoup trop près du visage pour lui donner envie de prendre la suite. Alors, je décide de faire la moe pour me faire pardonner. Je prends un air gêné, et lâche sa main en prenant le temps de caresser ses doigts avec les miens pour la conquérir d'avantage. Je me gratte alors l'arrière de la tête, gênée au possible avec ce rictus du mal aise. Je ricane faiblement.
« Je suis vraiment désolée, je me suis laissée emporter. C'est que je suis vraiment contente, même si ça peut paraître rien, je tiens à mon pouvoir et chaque recherches et expériences dessus m'excite vraiment. »
Il serait stupide de la perdre après cette réaction excessive, alors je pense vraiment ce que je dis, et je m'en voudrais de la refroidir. Décidément, l'heure est à l'embarras ! Par chance, je vois du coin de l’œil le petit camion de pizza. Alors, sans lui laisser le temps de lui répondre, je la préviens.
« Viens, on va se rapprocher du stand de pizza, je te dis pas, ça paraît un peu rustique mais leur pâte est super bonne ! »
En fait, je ne veux même pas entendre sa réponse, je veux juste qu'elle me suit et qu'elle oublie cette histoire. Je m'avance moi-même vers la pizzaria mobile avant de me retourner et de lui faire un sourire convaincant.
« Eh bien, c'est simple. Je crois que n'importe quel pouvoir peut-être très utile ou très maléfique. Tu peux te servir des rêves pour réconforter quelqu'un ou garder une sorte de contact, ou pousser au suicide... le champ des possibilités est infini ! Les rêves ont un impact énorme sur la vie et le comportement des personnes. D'ailleurs je comptais voir si je pouvais ouvrir un club d'interprétation des rêves, de voyance, ce genre de choses... »
Elle frappe ses lèvres avec la paume de ses mains. Mon interlocutrice semble relativement embarrassée. Un large sourire fait grimacer mon visage : elle est adorable et me plaît bien, beaucoup même.
Mon visage devient alors plus doux et enfantin lorsque je lui fais un sourire lumineux, les mains liées dans le dos. J'essaie de me montrer la plus amicale et mignonne possible pour lui montrer toute ma sincère sympathie.
« Mais c'est génial Eri ! Je serai ravie de faire partir de ton groupe, honnêtement. Je pourrai en apprendre plus sur mon pouvoir. »
A vrai dire, je n'ai jamais constaté que la psychanalyse pourrait m'aider à mieux comprendre le processus de mon pouvoir et à la façon de s'en servir. Je peux les rendre encore plus poignant, percutant, et cette idée me monte à la tête et me fait jubiler. Qui sait, je pourrai apprendre plus sur moi-même et ce que certaines choses comme, KumuKumu font ici. Tout ceci me met de la meilleure humeur possible et me donne envie de m'endormir sur le champ pour pouvoir m'exercer au plus vite. Ma joie de ces découvertes est tellement immense que j'arrive à être tactile sans m'en rendre compte.
J'arrache la main de la bouche d'Eri pour la prendre avec mes deux mains, me rapprochant d'elle pour planter mon regard pétillant dans les siens.
« Et qui sait, un jour, tu pourras me croiser ! Je pourrai te faire voyager et exaucer le moindre de tes souhaits ! Ça pourrait vraiment être marrant, je n'ai jamais pensé à ''coopérer'' avec quelqu'un pour faire un rêve dont moi et lui avons le pouvoir et, et ... »
En vérité, je me laisse emporter et je commence à dire n'importe quoi, mais je suis vraiment contente de pouvoir faire, qui sait, cette future expérience qui va venir plus tôt qu'on ne le pense.
« Et franchement, pour le peu que l'on se connaît, je t'apprécie, et je serai ravie de pouvoir t'aider ou de t'apprendre certaines choses ! »
Ce n'est que maintenant que je décide de marquer une pause et de prendre du recul. Nous nous sommes arrêté en pleine rue, gênant les piétons, tandis que moi, je lui hurle beaucoup trop près du visage pour lui donner envie de prendre la suite. Alors, je décide de faire la moe pour me faire pardonner. Je prends un air gêné, et lâche sa main en prenant le temps de caresser ses doigts avec les miens pour la conquérir d'avantage. Je me gratte alors l'arrière de la tête, gênée au possible avec ce rictus du mal aise. Je ricane faiblement.
« Je suis vraiment désolée, je me suis laissée emporter. C'est que je suis vraiment contente, même si ça peut paraître rien, je tiens à mon pouvoir et chaque recherches et expériences dessus m'excite vraiment. »
Il serait stupide de la perdre après cette réaction excessive, alors je pense vraiment ce que je dis, et je m'en voudrais de la refroidir. Décidément, l'heure est à l'embarras ! Par chance, je vois du coin de l’œil le petit camion de pizza. Alors, sans lui laisser le temps de lui répondre, je la préviens.
« Viens, on va se rapprocher du stand de pizza, je te dis pas, ça paraît un peu rustique mais leur pâte est super bonne ! »
En fait, je ne veux même pas entendre sa réponse, je veux juste qu'elle me suit et qu'elle oublie cette histoire. Je m'avance moi-même vers la pizzaria mobile avant de me retourner et de lui faire un sourire convaincant.
Sujets similaires
» Personnages prédéfinis
» Un medoc' et on s'tire • {PV Eri Satou} {Terminé}
» Coup de Foudre et Porcelaine ~ [Privé : Eri Satou, Yumie]
» Un medoc' et on s'tire • {PV Eri Satou} {Terminé}
» Coup de Foudre et Porcelaine ~ [Privé : Eri Satou, Yumie]
Olympus Project :: Avant le jeu :: Gestion du RP :: Souvenirs :: Archive Tsuki 2014/2018 :: Centre ville :: Vieille ville
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum