Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse! [Cours libre avec prof déganté, venez nombreux, petits Kïnder !]
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Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse! [Cours libre avec prof déganté, venez nombreux, petits Kïnder !]
Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse!
Dante Makarov & Alle Schüler
Mardi matin, onze heures. Le blond était dans la salle des diamants, entrain de prendre son café. C'était la première fois qu'il était ici vu que l'académie avait besoin d'un professeur d'allemand, et c'était la langue natale du jeune Arménien. Il était entrain de lire son journal, une, avec une tasse de café sur la table ou il lisait tranquillement. Il était entrain de se reposer avant son tout premier cours à 12 heures, le premier cours qu'il aura à faire de sa vie. Serait-il un bon professeur ? Nous savons tous hélas, qu'il arriverait Certes à faire apprendre des choses sur la langue allemande aux élèves, mais son côté sadique remontera bien au moins une ou deux fois par cours. Mais cela ne le dérangeait pas, au contraire, il était impatient, excité de voir de quelles manières ses petits Kïnders allaient réagir face à ce dingue. Douze heures moins le quart, le blond avait finit de déguster son café. Il rangea son journal soigneusement en le pliant en quatre et en le laissant sur la table ou il était, si quelqu'un s’intéresserait à ce qu'il lisait, mit sa tasse dans le petit lave-vaisselle et alla en direction de sa salle de classe qui était à une centaine de mètre de la salle réservé aux diamants. Il arriva à onze heures quarante-neuf devant sa salle, il l'ouvrit avec sa clé, et entra délicatement. La salle était grande, soigneuse, limite brillante avec une vue sur le jardin de l'établissement. Il posa alors sa mallette sur son bureau et vint se mettre su la fenêtre, la jambe droite sur le rebord ainsi que son corps, avec la jambe gauche qui était entrain de toucher le sol. Il contemplât alors le jardin, pensant alors que le jardinier faisait son travail comme un Dieu en voyant l'esthétique des buissons et des arbres finement travaillée à la main, et pensa alors à la guerre... Quand il était petit...
DRIIIIIIIIING !
La sonnerie venait de retentir alors que le jeune diamant se leva, jeta un dernier regard au jardin, et alla en direction de la porte pour la fermer, en accueillant les derniers retardataires. Étrangement, il ne dit rien à ces derniers. Il ferma la porte délicatement, alla en direction du tableau ou il prit une craie blanche toute neuve, qu'il avait acheté exprès dans un magasin pour son premier cours. Il écrit alors son prénom et nom, à savoir "Dante MAKAROV" et se retourna pour dire d'une voix chaleureuse en fermant les yeux avec un sourire d'ange
<<- Hier ist mein Vorname, mein Name Dante Makarov, schön dich zu treffen ! * >>
Voici mon prénom, je me nomme Dante Makarov, ravie de vous connaître*
Il soupira alors, pour ouvrir les yeux et regarda ses élèves d'un regard froid et dit d'une voix plus rappeuse, plus forte, plus pesante :
<<- Bien sur, je ne parlerai pas tout le temps l'allemand.... Maintenant prenez une feuille et pliez-là pour faire en sorte que je vois votre prénom et nom écrit dessus, Enthalten* ? >>
Compris*
Il attendait alors que les élèves fassent ce que le prof leur avait demandé... non, ordonné, et se mit dos aux élèves pour écrire différentes choses aux tableaux. Il écrivit précisément : Eins Zwei Drei Vier Fünf ( soit : Un Deux Trois Quatre et Cinq) en soulignant chacun de ces mots avec une craie de couleur différentes. Il souligna le Eins en rouge, le Zwei en noir, le Drei en blanc, le Vier en jaune et le Fünf en vert.
Il se retourna encore une fois vers les élèves en donnant un petit coups de jambe sur le sol pour avoir de l'impulsion et fit deux tours sur lui même avant de se remettre normalement droit devant les Kïnders, tellement droit que Dante ressemblait presque à un "i" et vint se placer à côté de son écriture pour que les élèves puissent voir ce que Dante allait montrer sur le tableau.
<<- Maintenant, écrivez votre niveau sur votre feuille ou il y à votre nom pour savoir quel cours je dois aborder. Le "Eins" signifie que vous êtes une Scheiße* mais une belle grosse Scheiße alors que Fünf signifie que vous êtes un Mann von großem Maßstab ** même si dans les deux cas, vous serez toujours une Scheiße à mes yeux. Il ferma alors les yeux et mit sa main droite dans ses cheveux pour les pousser en l'air, pour que ses mèches blondes volent Car moi et moi seul ici à le niveau d'un Gott***, Kïnders.>>
Merde* Homme de grand envergure** Dieu***
Il se retourna alors pour que les élèves marquent leur niveau pour que Dante.... Ne fasse rien en fait, il fera un cours normal, même si ceux qui débutent l'Allemand ne comprennent pas, ou ceux qui sont expert en la matière ont déjà apprit, il s'en fiche, il fera tout de même le cours qu'il veut, ce n'est pas à cause de ces mômes que le diamant doit faire un cours équitable à tous. Il somnolait un peu, le cours venait à peine de commencer, et la plupart des élèves faisaient le travail soit à moitié, soit pas, soit avec deux de tensions. Tsss, ce que le Blond pouvait s'ennuyer là.
Soudain, il se réveilla, faisant des gros yeux, des yeux de psychopathes, des yeux d'assassin, pouvant vous glacer le sang, limite, vous faire une crise cardiaque. Il n'en revenait pas, il avait entendu la voix d'une fille, il avait entendu quelqu'un parler pendant son cours, son précieux cours. Déjà que l'académie l'a accepté avec plusieurs conditions bien précises, comme ne pas violer les élèves ou les tuer, il n'admet pas le fait que quelqu'un ose déranger son cours. Toujours de dos alors, il mit sa main dans sa poche arrière, prenant ainsi son scalpel délicatement, discrètement, il mit l'objet dans sa manche pour ne pas qu'un élève le repère. Il mit ensuite sa main devant lui, tenant le scalpel entre l'index et le majeur, et il ferma les yeux pour se concentrer sur la voix, d’où elle pouvait venir.
Dernière table, rangé du milieu. pensa l'homme au regard haineux.
Il se retourna d'un geste éclair et lança le scalpel vers l'endroit décrit comme si il lançait un kunaï ou shuriken, ou l'objet se planta sur la table d'une jeune fille rousse. Il avança tranquillement vers elle, un pas après l'autre avec toujours le même regard haineux, sadique, la bouche ouverte montrant ses dents pointues en voyant la jeune fille, le professeur s'était transformé en bête. Arrivé à la table, la pression été présente. Il prit le papier qui était sur le coin de la table de la jeune fille, regarda son nom, et son niveau en Allemand et déchira la feuille en milles-morceaux avant de lâcher ses petites parties de feuille sur la fille en question.
<<- Mademoiselle Yumie ? Est-ce que mon cours vous dérangerait, ou est-ce que ce que vous racontez est plus intéressant à dire ? J'aimerais savoir ce que vous vous disiez avec l'autre personne... Enfin, dites moi son nom également, très chère. Il prit alors le scalpel dans sa main pour le retirer de la table, et le mit entre son index et majeur pour poser l'arme contre la joue gauche de la jeune fille, la lame vers sa peau, ne la faisant pas saigner. En plus d'être une Scheiße, vous vous autorisez à parler dans mon cours ? Je ne peux le supporter, pour chaque mots sortant de votre bouche après avoir répondu à ma question, ça sera une heure de colle supplémentaire aux deux que je vais vous mettre pour manque de respect envers votre professeur.>>
Il retira la lame et écoutait ce que la jeune fille allait dire, cela devenait si excitant pour lui, de voir un élève se faire torturer par son professeur ♥
- Spoiler:
- Hey les mômes ! Avant de répondre, ça serait cool de laisser la première réponse à Yumie, et après, le cours pourra commencer ♥
Re: Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse! [Cours libre avec prof déganté, venez nombreux, petits Kïnder !]
« Halo, guten tag, mein name ist Yumie, und dir …?
J'apprécie par spécialement l'allemand. Pourtant, c'est ma troisième langue avec l'anglais.
« Wie geht es dir ? M, m, mimir geht es gut, danke ... »
J'ai de la famille très éloigné en Allemagne. Ma famille aime beaucoup ce pays avec la France, évidemment. J'ai donc quelques bases en allemand mais honnêtement, j'ai encore du mal. C'est pour cela que, en me dirigeant en classe avec mon petit sac à dos rouge, je révise mes maigres bases. Je me demande encore pourquoi j'ai choisi cette option, peut-être bien parce qu'il le fallait et que c'est la troisième langue avec laquelle j'ai le plus de familiarité. Pourtant, je ne tiens pas tant que cela à parler Allemand, mais qui sait, cela peut toujours servir. Heureusement qu'elle est proche de l'anglais, sinon je n'y arriverai pas, déjà que ma langue natale est assez compliquée comme ça.
« Schön dich kennenzulernen, Herr. »
A ses mots, je pénètre enfin dans la bonne salle d'Allemand. Le cours ne tardera pas à commencer. Stupidement, je m'installe machinalement au fond, au milieu, commençant à sortir toute ma panoplie de gadget. Jusqu'à ce que je me rende compte que je n'ai pas ma trousse. Je me mords la lèvre. mist.
Le professeur est arrivé quelques instants après la sonnerie. Cet un homme, arrivant calmement en classe. Sans plus attendre, il se dirige vers son bureau pour y crayonner son nom. Mr. Makarov n'est-ce pas ? Il n'est pas d'ici, c'est sûr. Ensuite, l'enseignant se présente. Je comprends seulement le début de sa phrase. Il semble si paisible jusqu'à ce qu'il nous ordonne quelques choses en anglais de manière glaciale et grave. Il faut sortir une feuille et un crayon, hélas, cruche que je suis, j'ai oublié ma trousse, et je n'oserai déranger mes voisins. Alors, je me contente d'arracher une feuille de mon cahier sauf que celle-ci est déchiré en deux. Zut, je ne peux pas prendre celle-là, alors j'en arrache une autre. Je regrette de ne pas avoir de grande règle, c'est tellement plus pratique qu'une petite de 15 centimètres qui se trouve dans une trousse perdue au fin fond de mon dortoir fantôme. Je regarde nerveusement les élèves qui ont tous écrit leur prénom sur leur papier. Puis, mes yeux se fixent sur le jeune professeur écrivant certaines choses que je ne comprends pas. Eins ? Zwei ? Ce ne sont pas des numéros ? Je ne sais plus, il devrait écrire en chiffre arabe, il n'y a pas que des allemands natifs ici ! Je soupire de désespoir, vivement la fin du cours histoire que je puisse m'enterrer dans mes draps. Il manquerait plus qu'il me remarque.
Le professeur explique pourquoi ces mots aux tableaux. Il ne m'aide pas beaucoup, finalement. Je ne sais absolument pas ce que veut dire Scheiße, ni Mann von großem Maßstab. Le cours n'a même pas commencé que je suis perdue. J'espère qu'il sera tolérant avec les débutants et les aidera. Oh, que dis-je, évidemment, c'est son rôle de professeur nan ? Je n'ai donc pas à me faire autant de soucis, c'est probablement son attitude intimidante qui me bloque. Il me fait rappeler le prof d'art plastique, et ce n'est sans doute pas une bonne chose.
Les élèves écrivent encore, et moi je reste planter là, avec ma feuille pliée et mon cahier rouge, sans trousse. Comment ne puis-je pas être mal à l'aise ? Finalement, je me penche vers ma voisine pour lui murmurer ma demande. Je ne peux pas rester comme ça.
« E-excuse moi, tu n'aurai pas un crayon ? J-juste un ? J'ai oublié ma trousse, haha ... »
Et ce n'est qu'à ce moment là que mon pire cauchemar se réalise. Hors, la différence entre un cauchemar et la réalité c'est que je ne peux pas faire de cauchemar. Parce que c'est moi qui les fait et pas moi qui subit. Hors, là, je subis. Je déteste cette position de faiblesse. Sauf que je ne peux pas m'occuper de ce sentiment puisque je suis dévorée par la peur et surtout, la culpabilité. En effet, le jeune professeur blond se trouve près de moi, le regard monstrueux, déchirant sans compassion ma petite feuille vierge. Je tremble.
« Mademoiselle Yumie ? Est-ce que mon cours vous dérangerait, ou est-ce que ce que vous racontez est plus intéressant à dire ? J'aimerais savoir ce que vous vous disiez avec l'autre personne... Enfin, dites moi son nom également, très chère. »
Je n'ai pu m'empêcher de répondre d'une petite voix faible. Il fait erreur, je ne bavardais pas et je connais encore moins le nom de ma voisine, je stresse tellement que je n'ai même pas eu l'occasion de voir son visage.
« M-monsieur, j-je, je ne la connais pas, j-je lui demandais juste ... »
Sans même en entendre plus, le voilà qu'il sort un scalpel. Oui, un scalpel. Qui effleure ma joue. Un scalpel. Oui. A cet acte, je n'ai pas pu m'empêcher de couiner innocemment, laissant une larme couler sur ma joue. Tout ce que je veux, c'est un crayon, me faire apprécier et surtout passer discrète. Je ferme les yeux, complètement apeurée.
« Sale faible. Tu l'aurai empalé avec son foutu scalpel si tu étais dans les rêves. »
La ferme. Ici, c'est la réalité. Et je suis complètement impuissante face à un professeur, je leur dois un grand respect car ce sont mes supérieurs. C'est ainsi ce que la société japonaise m'a appris.
« En plus d'être une Scheiße, vous vous autorisez à parler dans mon cours ? Je ne peux le supporter, pour chaque mots sortant de votre bouche après avoir répondu à ma question, ça sera une heure de colle supplémentaire aux deux que je vais vous mettre pour manque de respect envers votre professeur. »
Laissez moi tranquille, par pitié professeur. Vous apprenez réellement aux élèves l'allemand ? Mes fesses. Vous hurlez sur une pauvre gamine voulant tout simplement un misérable stylo. Alors, je ne bronche pas, je ne fais que couiner, retenant mes petites larmes. Je veux sortir d'ici. Et je crois que cela fait la deuxième fois que je souhaite m'enfuir à cause d'un professeur. Dans quel Académie je suis tombée, s'il vous plaît, sauvez moi de ces monstres profitant de la vulnérabilité de jeunes élèves comme moi.
J'apprécie par spécialement l'allemand. Pourtant, c'est ma troisième langue avec l'anglais.
« Wie geht es dir ? M, m, mimir geht es gut, danke ... »
J'ai de la famille très éloigné en Allemagne. Ma famille aime beaucoup ce pays avec la France, évidemment. J'ai donc quelques bases en allemand mais honnêtement, j'ai encore du mal. C'est pour cela que, en me dirigeant en classe avec mon petit sac à dos rouge, je révise mes maigres bases. Je me demande encore pourquoi j'ai choisi cette option, peut-être bien parce qu'il le fallait et que c'est la troisième langue avec laquelle j'ai le plus de familiarité. Pourtant, je ne tiens pas tant que cela à parler Allemand, mais qui sait, cela peut toujours servir. Heureusement qu'elle est proche de l'anglais, sinon je n'y arriverai pas, déjà que ma langue natale est assez compliquée comme ça.
« Schön dich kennenzulernen, Herr. »
A ses mots, je pénètre enfin dans la bonne salle d'Allemand. Le cours ne tardera pas à commencer. Stupidement, je m'installe machinalement au fond, au milieu, commençant à sortir toute ma panoplie de gadget. Jusqu'à ce que je me rende compte que je n'ai pas ma trousse. Je me mords la lèvre. mist.
Le professeur est arrivé quelques instants après la sonnerie. Cet un homme, arrivant calmement en classe. Sans plus attendre, il se dirige vers son bureau pour y crayonner son nom. Mr. Makarov n'est-ce pas ? Il n'est pas d'ici, c'est sûr. Ensuite, l'enseignant se présente. Je comprends seulement le début de sa phrase. Il semble si paisible jusqu'à ce qu'il nous ordonne quelques choses en anglais de manière glaciale et grave. Il faut sortir une feuille et un crayon, hélas, cruche que je suis, j'ai oublié ma trousse, et je n'oserai déranger mes voisins. Alors, je me contente d'arracher une feuille de mon cahier sauf que celle-ci est déchiré en deux. Zut, je ne peux pas prendre celle-là, alors j'en arrache une autre. Je regrette de ne pas avoir de grande règle, c'est tellement plus pratique qu'une petite de 15 centimètres qui se trouve dans une trousse perdue au fin fond de mon dortoir fantôme. Je regarde nerveusement les élèves qui ont tous écrit leur prénom sur leur papier. Puis, mes yeux se fixent sur le jeune professeur écrivant certaines choses que je ne comprends pas. Eins ? Zwei ? Ce ne sont pas des numéros ? Je ne sais plus, il devrait écrire en chiffre arabe, il n'y a pas que des allemands natifs ici ! Je soupire de désespoir, vivement la fin du cours histoire que je puisse m'enterrer dans mes draps. Il manquerait plus qu'il me remarque.
Le professeur explique pourquoi ces mots aux tableaux. Il ne m'aide pas beaucoup, finalement. Je ne sais absolument pas ce que veut dire Scheiße, ni Mann von großem Maßstab. Le cours n'a même pas commencé que je suis perdue. J'espère qu'il sera tolérant avec les débutants et les aidera. Oh, que dis-je, évidemment, c'est son rôle de professeur nan ? Je n'ai donc pas à me faire autant de soucis, c'est probablement son attitude intimidante qui me bloque. Il me fait rappeler le prof d'art plastique, et ce n'est sans doute pas une bonne chose.
Les élèves écrivent encore, et moi je reste planter là, avec ma feuille pliée et mon cahier rouge, sans trousse. Comment ne puis-je pas être mal à l'aise ? Finalement, je me penche vers ma voisine pour lui murmurer ma demande. Je ne peux pas rester comme ça.
« E-excuse moi, tu n'aurai pas un crayon ? J-juste un ? J'ai oublié ma trousse, haha ... »
Et ce n'est qu'à ce moment là que mon pire cauchemar se réalise. Hors, la différence entre un cauchemar et la réalité c'est que je ne peux pas faire de cauchemar. Parce que c'est moi qui les fait et pas moi qui subit. Hors, là, je subis. Je déteste cette position de faiblesse. Sauf que je ne peux pas m'occuper de ce sentiment puisque je suis dévorée par la peur et surtout, la culpabilité. En effet, le jeune professeur blond se trouve près de moi, le regard monstrueux, déchirant sans compassion ma petite feuille vierge. Je tremble.
« Mademoiselle Yumie ? Est-ce que mon cours vous dérangerait, ou est-ce que ce que vous racontez est plus intéressant à dire ? J'aimerais savoir ce que vous vous disiez avec l'autre personne... Enfin, dites moi son nom également, très chère. »
Je n'ai pu m'empêcher de répondre d'une petite voix faible. Il fait erreur, je ne bavardais pas et je connais encore moins le nom de ma voisine, je stresse tellement que je n'ai même pas eu l'occasion de voir son visage.
« M-monsieur, j-je, je ne la connais pas, j-je lui demandais juste ... »
Sans même en entendre plus, le voilà qu'il sort un scalpel. Oui, un scalpel. Qui effleure ma joue. Un scalpel. Oui. A cet acte, je n'ai pas pu m'empêcher de couiner innocemment, laissant une larme couler sur ma joue. Tout ce que je veux, c'est un crayon, me faire apprécier et surtout passer discrète. Je ferme les yeux, complètement apeurée.
« Sale faible. Tu l'aurai empalé avec son foutu scalpel si tu étais dans les rêves. »
La ferme. Ici, c'est la réalité. Et je suis complètement impuissante face à un professeur, je leur dois un grand respect car ce sont mes supérieurs. C'est ainsi ce que la société japonaise m'a appris.
« En plus d'être une Scheiße, vous vous autorisez à parler dans mon cours ? Je ne peux le supporter, pour chaque mots sortant de votre bouche après avoir répondu à ma question, ça sera une heure de colle supplémentaire aux deux que je vais vous mettre pour manque de respect envers votre professeur. »
Laissez moi tranquille, par pitié professeur. Vous apprenez réellement aux élèves l'allemand ? Mes fesses. Vous hurlez sur une pauvre gamine voulant tout simplement un misérable stylo. Alors, je ne bronche pas, je ne fais que couiner, retenant mes petites larmes. Je veux sortir d'ici. Et je crois que cela fait la deuxième fois que je souhaite m'enfuir à cause d'un professeur. Dans quel Académie je suis tombée, s'il vous plaît, sauvez moi de ces monstres profitant de la vulnérabilité de jeunes élèves comme moi.
Re: Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse! [Cours libre avec prof déganté, venez nombreux, petits Kïnder !]
Le cours d’Allemand est un cours dont je pensais pouvoir me dispenser, c’était ma deuxième langue maternelle et je la parlais souvent avec mes parents ou dans mes correspondances avec certains membres de ma famille. J’étais plus curieuse de voir comment la langue était vue en Angleterre… Après le cours avec Mme Denarbonne, j’espérais presque passé une heure ennuyeuse.
Alors que je sortais mon matériel et que je l’organisais méticuleusement sur ma table, une sensation désagréable flottait dans mon esprit. Je n’arrivais pas à mettre un doigt dessus mais c’était aussi plaisant que désagréable : Comme un shot d’adrénaline, sans l’adrénaline mais seulement avec les effets secondaires. Je passais une main dans mes cheveux, je devais me faire des idées depuis l’échec de ma dernière chasse.
Mon livret reposait sur un porte vue où je triais mes notes de cours de la journée, à côté se trouvait une trousse de laquelle je n’avais sortis que la plume. Je ne pensais pas avoir besoin de plus. Le temps passait et je décidais de me concentrer sur la suite du livret que j’avais à lire cette semaine : Les alcools et leurs dérivés. Je me plongeais dans mes formules, oubliant la salle et ce moment de flottement.
Je ne sais pas exactement combien de temps s’était écoulé depuis mon arrivé mais je sentis une secousse prés de ma table qui m’obligea à lever mes yeux de ma lecture. Une petite brune s’était installé à côté de moi et elle commença à sortir un nombre que je trouvais presque ridicule de fournitures pour un simple cours de langue. Je me contentais de replonger mon nez dans mon livre, elle n’avait rien d’intéressant à mes yeux.
La sonnerie retentit et le professeur rentra en refermant la porte derrière lui. Il commença par se présenter : Dante Makarov hein ? Encore un demi. Je détaillais son corps, trop robuste pour quelqu’un qui était sensé gratter du papier à longueur de journée. Une crampe familière dans mon estomac me revint… Pourrait-il être des miens ? J’avais rangé mon livret depuis son arrivé et me concentrer sur ma nouvel objet d’observation… Je ne pouvais me tromper, il y avait quelque chose qui clochait dans ce prof.
Il nous demanda d’écrire nos noms avec notre niveau sur des chevalets de papier. La manière dont il présentait les choses m’agaçait déjà. Une classe de tête blondes hagards et une craie en main : c’est tout ce qu’il lui fallait pour devenir un demi-dieu. C’était pathétique. Je voyais qu’il avait perdu une bonne partie de la classe en ne s’exprimant qu’en Allemand, ce n’était pas spécialement pédagogique. Sa dernière remarque en anglais achevait de le dénigrer à mes yeux. Ce n’était pas un loup mais un chien galeux.
J’écrivis mon nom suivis du numéro 5 sur une feuille sortie de mon calepin et le plia rapidement. Un bruit de déchirure sur mon côté droit attira mon attention, je lançai un regard sur le côté pour voir que ma voisine s’était empêtrée dans une entreprise compliquée… Après s’y être prise à deux fois pour couper une feuille, elle restais penaude à la fixer. Ne me dit pas que tu as oublié de ramener un stylo ? C’est pourtant ce qu’elle me demanda en balbutiant.
Je n’eû pas le temps de lui répondre, mes réflexes me guidèrent avant mon cerveau. Je vis le scintillement d’une lame et sa trajectoire, droit sur la joue de ma voisine. Le scalpel était tout proche de sa joue, prête à la couper et à l’autre bout du bistouri ce n’était autre que ce cher Dante Makarov. Je ne pu m’empêcher de sourire : Nous y voilà, le petit chien avait trouvé son os.
"... Enfin, dites moi son nom également, très chère."
Voilà qu’il essayait de m’impliquer dans ses jeux… Ne soyez pas trop gourmand monsieur. Je relevais un sourcil presque moqueur lorsqu’il commença à parler de respect. Tsk, qu’est-ce que c’était de mauvais goût. Les chiens n’avaient décidément aucune notion d’esthétisme dés qu’il agissait de chasser. La petite brune commençait déjà à couiner, ses yeux devenaient brillants.
Je me décidais à intervenir, cette pièce était laide et la direction artistique catastrophique.
D’un mouvement je me saisis de la main de mon professeur et lui arrache le scalpel. C’était facile, sa prise n’était pas forte puisqu’il ne s’attendait pas forcément à rencontrer de résistance dans son royaume.
Je plaquais alors la lame sur mon bureau grâce à la paume de ma main.
« Was ist dieses Benehmen für einen Lehrer ?* »
*Quel genre de comportement est-ce pour un professeur ?
Je lui faisais complètement face, mon menton dans ma paume gauche et la main droite plaqué contre le bureau. Je continuais avec la même voix sûre et pleine de flegme, un sourire cynique sur le visage.
« Sie ist genau ein dummelnische Scheisse, natürlich kann sie Ihnen nicht enthalten. Herr Makarov… Dies ist eine Schule, Sie sollen nicht so aufgeregt mit Ihren Studenten werden.* »
*Evidemment que c’est une stupide merde, elle ne peut pas vous comprendre. M. Makarov… Ceci est une école, vous ne devriez pas vous exciter autant sur vos élèves.
Je prenais bien soin de rester polie dans mes tournures de phrase mais si un autre élève parlais couramment la langue parmi nous, il comprendrait bien vite que c’était loin d’être le cas. C’était plus fort que moi je n’aimais pas les chiens, encore moins que les brebis je crois… Ils avaient un goût infect.
Alors que je sortais mon matériel et que je l’organisais méticuleusement sur ma table, une sensation désagréable flottait dans mon esprit. Je n’arrivais pas à mettre un doigt dessus mais c’était aussi plaisant que désagréable : Comme un shot d’adrénaline, sans l’adrénaline mais seulement avec les effets secondaires. Je passais une main dans mes cheveux, je devais me faire des idées depuis l’échec de ma dernière chasse.
Mon livret reposait sur un porte vue où je triais mes notes de cours de la journée, à côté se trouvait une trousse de laquelle je n’avais sortis que la plume. Je ne pensais pas avoir besoin de plus. Le temps passait et je décidais de me concentrer sur la suite du livret que j’avais à lire cette semaine : Les alcools et leurs dérivés. Je me plongeais dans mes formules, oubliant la salle et ce moment de flottement.
Je ne sais pas exactement combien de temps s’était écoulé depuis mon arrivé mais je sentis une secousse prés de ma table qui m’obligea à lever mes yeux de ma lecture. Une petite brune s’était installé à côté de moi et elle commença à sortir un nombre que je trouvais presque ridicule de fournitures pour un simple cours de langue. Je me contentais de replonger mon nez dans mon livre, elle n’avait rien d’intéressant à mes yeux.
La sonnerie retentit et le professeur rentra en refermant la porte derrière lui. Il commença par se présenter : Dante Makarov hein ? Encore un demi. Je détaillais son corps, trop robuste pour quelqu’un qui était sensé gratter du papier à longueur de journée. Une crampe familière dans mon estomac me revint… Pourrait-il être des miens ? J’avais rangé mon livret depuis son arrivé et me concentrer sur ma nouvel objet d’observation… Je ne pouvais me tromper, il y avait quelque chose qui clochait dans ce prof.
Il nous demanda d’écrire nos noms avec notre niveau sur des chevalets de papier. La manière dont il présentait les choses m’agaçait déjà. Une classe de tête blondes hagards et une craie en main : c’est tout ce qu’il lui fallait pour devenir un demi-dieu. C’était pathétique. Je voyais qu’il avait perdu une bonne partie de la classe en ne s’exprimant qu’en Allemand, ce n’était pas spécialement pédagogique. Sa dernière remarque en anglais achevait de le dénigrer à mes yeux. Ce n’était pas un loup mais un chien galeux.
J’écrivis mon nom suivis du numéro 5 sur une feuille sortie de mon calepin et le plia rapidement. Un bruit de déchirure sur mon côté droit attira mon attention, je lançai un regard sur le côté pour voir que ma voisine s’était empêtrée dans une entreprise compliquée… Après s’y être prise à deux fois pour couper une feuille, elle restais penaude à la fixer. Ne me dit pas que tu as oublié de ramener un stylo ? C’est pourtant ce qu’elle me demanda en balbutiant.
Je n’eû pas le temps de lui répondre, mes réflexes me guidèrent avant mon cerveau. Je vis le scintillement d’une lame et sa trajectoire, droit sur la joue de ma voisine. Le scalpel était tout proche de sa joue, prête à la couper et à l’autre bout du bistouri ce n’était autre que ce cher Dante Makarov. Je ne pu m’empêcher de sourire : Nous y voilà, le petit chien avait trouvé son os.
"... Enfin, dites moi son nom également, très chère."
Voilà qu’il essayait de m’impliquer dans ses jeux… Ne soyez pas trop gourmand monsieur. Je relevais un sourcil presque moqueur lorsqu’il commença à parler de respect. Tsk, qu’est-ce que c’était de mauvais goût. Les chiens n’avaient décidément aucune notion d’esthétisme dés qu’il agissait de chasser. La petite brune commençait déjà à couiner, ses yeux devenaient brillants.
Je me décidais à intervenir, cette pièce était laide et la direction artistique catastrophique.
D’un mouvement je me saisis de la main de mon professeur et lui arrache le scalpel. C’était facile, sa prise n’était pas forte puisqu’il ne s’attendait pas forcément à rencontrer de résistance dans son royaume.
Je plaquais alors la lame sur mon bureau grâce à la paume de ma main.
« Was ist dieses Benehmen für einen Lehrer ?* »
*Quel genre de comportement est-ce pour un professeur ?
Je lui faisais complètement face, mon menton dans ma paume gauche et la main droite plaqué contre le bureau. Je continuais avec la même voix sûre et pleine de flegme, un sourire cynique sur le visage.
« Sie ist genau ein dummelnische Scheisse, natürlich kann sie Ihnen nicht enthalten. Herr Makarov… Dies ist eine Schule, Sie sollen nicht so aufgeregt mit Ihren Studenten werden.* »
*Evidemment que c’est une stupide merde, elle ne peut pas vous comprendre. M. Makarov… Ceci est une école, vous ne devriez pas vous exciter autant sur vos élèves.
Je prenais bien soin de rester polie dans mes tournures de phrase mais si un autre élève parlais couramment la langue parmi nous, il comprendrait bien vite que c’était loin d’être le cas. C’était plus fort que moi je n’aimais pas les chiens, encore moins que les brebis je crois… Ils avaient un goût infect.
Re: Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse! [Cours libre avec prof déganté, venez nombreux, petits Kïnder !]
Eriko Satou, la
Une nouvelle page s'écrit aujourd'hui ~
Guten Tag, ich heiße Eriko Satou. C'est tout ce que je me souviens de l'Allemand. Ainsi que du fait qu'il faut éviter la liaison entre "ich" et "heiße" et bien pronnoncer le "h" à l'oral pour éviter de dire "scheiße". Du coup je connais aussi "scheiße". La dernière fois que j'ai fait de l'allemand, c'était en primaire, après j'ai lâché la langue. Trop compliqué à mon goût. Cependant, j'ai reçu une lettre de ma chère tante Mei qui m'avait expliqué qu'elle avait choisit TOUTES mes options en accord avec mon géniteur. Du coup pas le choix, ce sera allemand. Ok, je m'en fiche de toute façon, un zéro de plus ou de moins dans ma moyenne, ça ne changera rien.
D'ailleurs, je me rendis compte que j'avais passé un peu trop de temps à travailler ma flûte dans les jardins. Merde. Ou plutôt aurais-je du dire "scheiße", histoire de me mettre dans l'ambiance pour le cours d'Allemand. Je me dirigeai donc vers les salles de classe de l'aile Nord de l'académie afin d'assister à ce fameux cours d'une langue si compliquée. Peut-être suis-je seulement défaitiste ou flemmarde, mais peu importe, je tressaillais de joie à l'idée d'y assister.
Une fois arrivée devant la salle, je m'arrêtai avant de tourner la poignée de porte et d'entrer. J'entendais des cris, ou plutôt des sermons. Ah... Je m'étais toujours imaginé que l'allemand était une langue faite pour réprimander, crier et donner des ordres, je crois que même mes clichés sont d'accord avec moi. Cependant, je ne pris pas peur. Si ce prof était taré et voulait me tuer ou autres, non seulement j'aurai pu le bouffer, mais en plus j'étais vraiment chiante quand il s'agissait de s'entêter à vouloir avoir raison.
Sur ces bonnes pensées, je tourne la poignée de porte et entre dans la salle, peu importe si j'avais interrompu quelque chose ou non, je voulais juste limiter les dégâts et m'asseoir tranquillement afin d'essayer de tirer quelque chose de ce cours, on ne sait jamais, peut-être que finalement j'allais avoir envie d'éprouver de la considération pour cette matière. Une fois la porte ouverte, je jugeai qu'un simple " Guten Tag " ferait l'affaire et attendis les instructions du professeur.
Re: Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse! [Cours libre avec prof déganté, venez nombreux, petits Kïnder !]
Un nouveau matin pour nous, nous tirâmes de notre sommeil, mais comparé à tous les autres jours du mois, ce matin-là, on se réveilla sans aucun sourire sur le visage, après tout, c'était « mon » jour, celui que nous avons convenue ensemble où c'est « moi » qui parle, où c'est « moi » qui bouge, pas « lui ♫ ». Par contre, forcément, c'était aujourd'hui que nous avons conclu qu'il fallait qu'on aille en cours pour se faire virer... La chance nan ? À peine sorti du lit que nous avions déjà envie d'égorger des petits chats...
Doooonc, notre cours du jour était un cours d'allemand, une langue moche, facile, et pas marrante. Bon tout est relatif, je parle pour nous là. On prit donc notre paquet de cartes gentiment offert par la gamine, et nous nous habillâmes pour éviter qu'ils nous cassent les cou****s.
La route était sans vraiment plus d'amusement que ça, même pas de quoi tuer un rôle secondaire inutile. Enfin arrivé devant la salle, on rentra et prit une place au hasard vers le milieu du milieu, mais quand même proche du milieu. Puis on s'était rendu compte qu'on avait oublié nos affaires, mais en y réfléchissant bien, on n'avait pas d'affaire de classes, donc bon, un peu rien à foutre. Après un petit temps à attendre, la salle remplis de jouet, un prof rentra dans la salle, encore heureux d'ailleurs. Il était donc temps de « s'amuser » ? Ah ! Nan, nous déconnons.
Après seulement quelques minutes le tableau était déjà dressé, on était face à un chien allemand juste bon à finir dans un resto chinois, le genre de chien qui pense que parce qu'il aboie de façon spéciale, fait de lui une personne supérieur. Même un autiste sourd aurait compris ses phrases allemandes à trois sous-faits pour des élèves teubés. Donc il voulait notre nom dans une couleur spécial, dommage, nous avions ni crayon de couleur, ni feuille, désolés, on n'avait pas prévu de faire cours d'art plastique. Mais le chien avait déjà la rage après la fin de son discours, il s'en prit à un jouet frêle, fragile, même pas de quoi donner envie de jouer avec quoi. Et ils ont quoi dans cette école avec les scalpels, c'est un objet obligatoire ? Une référence culturelle ?
Mais bon, quelque chose qu'on n'avait pas vu avant allait un peu pimenter l'action de la chose, la gamine était là, et elle fit fermer la gueule du clébard, il est vrai qu'elle était forte cette gamine, mine de rien, nous l'aimions bien, assez bien pour nous réserver le droit de la casser nous-même.
- Aha, Gut gemacht die Mädel. ( Bien envoyée gamine. )
Doooonc, notre cours du jour était un cours d'allemand, une langue moche, facile, et pas marrante. Bon tout est relatif, je parle pour nous là. On prit donc notre paquet de cartes gentiment offert par la gamine, et nous nous habillâmes pour éviter qu'ils nous cassent les cou****s.
La route était sans vraiment plus d'amusement que ça, même pas de quoi tuer un rôle secondaire inutile. Enfin arrivé devant la salle, on rentra et prit une place au hasard vers le milieu du milieu, mais quand même proche du milieu. Puis on s'était rendu compte qu'on avait oublié nos affaires, mais en y réfléchissant bien, on n'avait pas d'affaire de classes, donc bon, un peu rien à foutre. Après un petit temps à attendre, la salle remplis de jouet, un prof rentra dans la salle, encore heureux d'ailleurs. Il était donc temps de « s'amuser » ? Ah ! Nan, nous déconnons.
Après seulement quelques minutes le tableau était déjà dressé, on était face à un chien allemand juste bon à finir dans un resto chinois, le genre de chien qui pense que parce qu'il aboie de façon spéciale, fait de lui une personne supérieur. Même un autiste sourd aurait compris ses phrases allemandes à trois sous-faits pour des élèves teubés. Donc il voulait notre nom dans une couleur spécial, dommage, nous avions ni crayon de couleur, ni feuille, désolés, on n'avait pas prévu de faire cours d'art plastique. Mais le chien avait déjà la rage après la fin de son discours, il s'en prit à un jouet frêle, fragile, même pas de quoi donner envie de jouer avec quoi. Et ils ont quoi dans cette école avec les scalpels, c'est un objet obligatoire ? Une référence culturelle ?
Mais bon, quelque chose qu'on n'avait pas vu avant allait un peu pimenter l'action de la chose, la gamine était là, et elle fit fermer la gueule du clébard, il est vrai qu'elle était forte cette gamine, mine de rien, nous l'aimions bien, assez bien pour nous réserver le droit de la casser nous-même.
- Aha, Gut gemacht die Mädel. ( Bien envoyée gamine. )
Re: Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse! [Cours libre avec prof déganté, venez nombreux, petits Kïnder !]
Re: Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse! [Cours libre avec prof déganté, venez nombreux, petits Kïnder !]
Je me dirigeais vers mon premier cours, un peu anxieuse. J'avais allemand. Je n'avais jamais parler cette langue, en fait, je ne savais même pas en dire un seul mot. Même pas bonjour.
J'étais ainsi installée à ma table. Je sortis mon cahier et, comme à mon habitude, je commençai à y faire des petits dessins de style manga.
Le professeur entra alors, et dit des mots que je ne comprenais pas.
<<- Hier ist mein Vorname, mein Name Dante Makarov, schön dich zu treffen ! * >>
Aie aie aie... Ça commençait bien. Je n'avais rien compris à ce qu'il avait dit, j'allais sûrement être complètement perdue. Désespérée, je me remis à remplir mon cahier de petits dessins.
<<- Bien sur, je ne parlerai pas tout le temps l'allemand.... Maintenant prenez une feuille et pliez-là pour faire en sorte que je vois votre prénom et nom écrit dessus, Enthalten* ? >> , continua-t-il.
Je n'écoutais que d'une oreille. Machinalement, je fis ce qu'il avait demandé et écrivis mon nom sur la feuille. J'aurai bien aimé l'illustrer, mais vu le ton autoritaire du professeur, il valait mieux que j'évite.
Je le vis du coin de l’œil écrire des mots au tableau. Je ne comprenais toujours rien.
<<- Maintenant, écrivez votre niveau sur votre feuille ou il y à votre nom pour savoir quel cours je dois aborder. Le "Eins" signifie que vous êtes une Scheiße* mais une belle grosse Scheiße alors que Fünf signifie que vous êtes un Mann von großem Maßstab ** même si dans les deux cas, vous serez toujours une Scheiße à mes yeux. Il ferma alors les yeux et mit sa main droite dans ses cheveux pour les pousser en l'air, pour que ses mèches blondes volent Car moi et moi seul ici à le niveau d'un Gott***, Kïnders.>>
Ok... Déjà, c'était quoi une SheiBe ? Ou même un Gott ? Il ne pourrait pas nous expliquer ? Je m'aprétais à lever la main pour l'interroger, lorsqu'il lança soudainement un scapel sur la fille assise juste devant moi. Je sursautai.
Il commença à lui hurler dessus. J'avais envie de prendre la défense de la jeune fille, mais je ne savais pas si j'oserai défier un professeur, surtout s' il avait des scapels. Heureusement, quelqu'un le fit à ma place. C'était la voisine de celle qui avait été injustement attaquée par ce professeur.
« Was ist dieses Benehmen für einen Lehrer ?* »
Génial, encore de l'allemand. Je ne comprenais toujours rien. Je poussai un petit soupir et posai ma tête dans la paume de ma main. C'était tellement ennuyeux de ne rien comprendre.
Je me remis à dessiner. Cela ne servait à rien de suivre, le professeur n'avait pas l'air de vouloir nous expliquer quoi que ce soit et les élèves savaient pratiquement tous parler allemand apparemment. Je ne savais vraiment pas ce que je faisais là.
Génial, pour un premier cours...
Soudain, une jeune fille aux cheveux bleus clairs se mit à rire. Son rire était aigu et un peu effrayant. Je me tournai vers elle, étonnée. Je ne voyais pas vraiment ce qu'il y avait de drôle.
Décidément, il n'y avait personne de normal, dans cette classe.
J'étais ainsi installée à ma table. Je sortis mon cahier et, comme à mon habitude, je commençai à y faire des petits dessins de style manga.
Le professeur entra alors, et dit des mots que je ne comprenais pas.
<<- Hier ist mein Vorname, mein Name Dante Makarov, schön dich zu treffen ! * >>
Aie aie aie... Ça commençait bien. Je n'avais rien compris à ce qu'il avait dit, j'allais sûrement être complètement perdue. Désespérée, je me remis à remplir mon cahier de petits dessins.
<<- Bien sur, je ne parlerai pas tout le temps l'allemand.... Maintenant prenez une feuille et pliez-là pour faire en sorte que je vois votre prénom et nom écrit dessus, Enthalten* ? >> , continua-t-il.
Je n'écoutais que d'une oreille. Machinalement, je fis ce qu'il avait demandé et écrivis mon nom sur la feuille. J'aurai bien aimé l'illustrer, mais vu le ton autoritaire du professeur, il valait mieux que j'évite.
Je le vis du coin de l’œil écrire des mots au tableau. Je ne comprenais toujours rien.
<<- Maintenant, écrivez votre niveau sur votre feuille ou il y à votre nom pour savoir quel cours je dois aborder. Le "Eins" signifie que vous êtes une Scheiße* mais une belle grosse Scheiße alors que Fünf signifie que vous êtes un Mann von großem Maßstab ** même si dans les deux cas, vous serez toujours une Scheiße à mes yeux. Il ferma alors les yeux et mit sa main droite dans ses cheveux pour les pousser en l'air, pour que ses mèches blondes volent Car moi et moi seul ici à le niveau d'un Gott***, Kïnders.>>
Ok... Déjà, c'était quoi une SheiBe ? Ou même un Gott ? Il ne pourrait pas nous expliquer ? Je m'aprétais à lever la main pour l'interroger, lorsqu'il lança soudainement un scapel sur la fille assise juste devant moi. Je sursautai.
Il commença à lui hurler dessus. J'avais envie de prendre la défense de la jeune fille, mais je ne savais pas si j'oserai défier un professeur, surtout s' il avait des scapels. Heureusement, quelqu'un le fit à ma place. C'était la voisine de celle qui avait été injustement attaquée par ce professeur.
« Was ist dieses Benehmen für einen Lehrer ?* »
Génial, encore de l'allemand. Je ne comprenais toujours rien. Je poussai un petit soupir et posai ma tête dans la paume de ma main. C'était tellement ennuyeux de ne rien comprendre.
Je me remis à dessiner. Cela ne servait à rien de suivre, le professeur n'avait pas l'air de vouloir nous expliquer quoi que ce soit et les élèves savaient pratiquement tous parler allemand apparemment. Je ne savais vraiment pas ce que je faisais là.
Génial, pour un premier cours...
Soudain, une jeune fille aux cheveux bleus clairs se mit à rire. Son rire était aigu et un peu effrayant. Je me tournai vers elle, étonnée. Je ne voyais pas vraiment ce qu'il y avait de drôle.
Décidément, il n'y avait personne de normal, dans cette classe.
Re: Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse! [Cours libre avec prof déganté, venez nombreux, petits Kïnder !]
Alors...Alors...Alors il fallait trouver un cours intéressant, j'ouvris plusieurs portes, revolver en main en train de le tourner et je regardais le tableau voir si cela pouvait m'intéresser.
1ére salle voyons voir. "Et c'est ainsi que durant le moyen-âge les chevaliers utilisés..." Mouais histoire égale ennui du coup ça va pas le faire
2éme salle, "Et c'est ainsi que Socrate dit d'une voix calme..." AH NON ! Pas de philo le truc aussi horrible que de manger des vers par le nez ! Tu comprends absolument rien et faut "réfléchir avec ton esprit pour contempler la douceur de la vie" ouais c'est cela ouais !
3éme salle espérons que ce soit la bonne. "Si x^6 multiplié par racine carré de 3 le tout divisé par racine quatrième de y le tout égale a 0. Combien vaut x par rapport a y ?" C'est sérieux comme question ? C'est une blague ? Avant de refermer la porte je lançai d'une voix simple "Si le quotient total est égale a 0 alors le numérateur doit être égale a 0 du coup x doit être égale a 0 et ne peut pas être autrement. Attention, cependant, a ne pas avoir un y négatif ou égale a 0"
4éme salle allez quoi il est 11h10 faudrait quand même trouver un truc sympa. J'entrai donc dans une salle, je voyais quelque chose d'écrit au tableau et un prof debout devant une fille qui regarda une autre personne au cheveux rouge qui avait un scalpel posé sur sa table. J'entrai donc dans la salle accompagnée d'un "Yo" habituel. Je fixai le tableau et j'essayai de lire ce qui était marqué "Dante MAKAROV" bon ca, c'était compréhensible et en dessous "Eins Zwei Drei Vier Fünf" par contre le reste aucune idée de ce que cela voulait dire, seul le premier mot de paraissait famillier du coup je l'effaça pris une craie et alors qu'il avait le dos tourné je changé le "Eins" en "Heinz" et avant de me diriger vers ma place habituel, au fond le plus a droite, je lançai au prof "Desolé Boss mais la marque de Ketchup c'est H-E-I-N-Z pas E-I-N-S au départ aussi je faisait la faute c'est drôle de voir ca vous aimez aussi le ketchup Boss ?" Après ces mots, je m'installai, rangeai le revolver dans mon holster regarda le prof qui était encore en train de combattre du regard la jeune fille au cheveux rouges.
Mon regard se balada un peu et je reconnus personne enfin si, si je peux appeler cela reconnaître vu qu'il y avait mon coloc a qui je n'avais pas vraiment adressé la parole.
Par contre arrivée en retard, ca signifie que je ne sais pas quel genre de cours c'est ou quel genre de prof c'est, enfin, on verra bien le temps nous le dira.
1ére salle voyons voir. "Et c'est ainsi que durant le moyen-âge les chevaliers utilisés..." Mouais histoire égale ennui du coup ça va pas le faire
2éme salle, "Et c'est ainsi que Socrate dit d'une voix calme..." AH NON ! Pas de philo le truc aussi horrible que de manger des vers par le nez ! Tu comprends absolument rien et faut "réfléchir avec ton esprit pour contempler la douceur de la vie" ouais c'est cela ouais !
3éme salle espérons que ce soit la bonne. "Si x^6 multiplié par racine carré de 3 le tout divisé par racine quatrième de y le tout égale a 0. Combien vaut x par rapport a y ?" C'est sérieux comme question ? C'est une blague ? Avant de refermer la porte je lançai d'une voix simple "Si le quotient total est égale a 0 alors le numérateur doit être égale a 0 du coup x doit être égale a 0 et ne peut pas être autrement. Attention, cependant, a ne pas avoir un y négatif ou égale a 0"
4éme salle allez quoi il est 11h10 faudrait quand même trouver un truc sympa. J'entrai donc dans une salle, je voyais quelque chose d'écrit au tableau et un prof debout devant une fille qui regarda une autre personne au cheveux rouge qui avait un scalpel posé sur sa table. J'entrai donc dans la salle accompagnée d'un "Yo" habituel. Je fixai le tableau et j'essayai de lire ce qui était marqué "Dante MAKAROV" bon ca, c'était compréhensible et en dessous "Eins Zwei Drei Vier Fünf" par contre le reste aucune idée de ce que cela voulait dire, seul le premier mot de paraissait famillier du coup je l'effaça pris une craie et alors qu'il avait le dos tourné je changé le "Eins" en "Heinz" et avant de me diriger vers ma place habituel, au fond le plus a droite, je lançai au prof "Desolé Boss mais la marque de Ketchup c'est H-E-I-N-Z pas E-I-N-S au départ aussi je faisait la faute c'est drôle de voir ca vous aimez aussi le ketchup Boss ?" Après ces mots, je m'installai, rangeai le revolver dans mon holster regarda le prof qui était encore en train de combattre du regard la jeune fille au cheveux rouges.
Mon regard se balada un peu et je reconnus personne enfin si, si je peux appeler cela reconnaître vu qu'il y avait mon coloc a qui je n'avais pas vraiment adressé la parole.
Par contre arrivée en retard, ca signifie que je ne sais pas quel genre de cours c'est ou quel genre de prof c'est, enfin, on verra bien le temps nous le dira.
Re: Hallo, Dante Makarov es für seine erste Klasse! [Cours libre avec prof déganté, venez nombreux, petits Kïnder !]
Je me demande quel cours on va avoir aujourd'hui! Je n'ai pas retenu mon emploi du temps. Faut dire que je ne l'ai vu qu'une seule fois et que ça ne sert jamais à rien de retenir les emplois du temps! La seule chose que je savais, c'était qu'on avait langue et que je devais venir ici. Mais quelle langue? ça, je n'en savais rien... Je m'étais donc installée dans la rangée de droite, près de la fenêtre, vers le milieu. C'était une bonne place! On sentait le soleil sur sa peau et je m'y sentais bien. Mais j'étais un peu seule.... Sofia avait décidé de faire Italien (ce qui est compréhensible venant d'une italienne) et Edessa elle.... je ne sais pas ce qu'elle a pris comme cours de langue.....
D'ailleurs, quel cours de langue on avait aujourd'hui? Je me tourne vers mon voisin et lui demande quel cours on va avoir. Il me répond gentiment qu'on a cours d'allemand et est surpris de voir que je ne le sais pas....
"Ben.... en fait.... c'est que.... je n'ai pas retenu...."
Mais qu'est-ce que je fais en allemand?! Est-ce que je sais parler cette langue au moins?
Alors que je m’interrogeais, le prof entre donc dans la classe et attend que les dernier élèves entrent avant de refermer la porte. Le silence s'instaure donc dans la salle de classe. Avec sa craie blanche, le prof écrit son nom sur le tableau: Dante MAKAROV.
<< Hier ist mein Vorname, mein Name Dante Makarov, schön dich zu treffen ! >>
Tiens, il n'a pas d'accent! C'est bien d'avoir un prof qui ait de vrais liens avec la langue! Il parle bien, c'est compréhensible! ATTENDS!! Je viens de comprendre ce qu'il veut dire?! Je sais parler allemand?! Depuis quand?!
Je baisse la tête, me tenant le crâne à deux mains pour essayer de me souvenir depuis quand je sais parler la langue de Kant! Mais déjà qu'il nous demande de noter nos noms sur une feuille et de marquer notre niveau en allemand.
Suivant ses instructions, je plie ma feuille en deux et marque mon nom, mais je marque quoi en niveau d'allemand?! Je n'en sais rien moi!! J'étais dans une telle panique intérieure que je n'ai pas remarqué que le professeur avait lancé un scalpel en direction d'une fille, qu'il l'avait menacée de plusieurs heures de colle avec ce-même scalpel et qu'elle a été sauvée par un élève.
J'étais tellement perdue que je ne faisais plus attention à ce qui se passait autour de moi. Je mets quoi? 3 vue que je pense le comprendre ou 1 parce que je n'en sais justement rien? Qu'est-ce que je fais?! Je secoue la tête de nombreuses fois et relève la tête.
Un élève était en train d'écrire Heinz au tableau. Comme la marque de Ketchup? Une fois sa "correction" faite, il se dirige vers le fond de la classe, et passe juste à côté de moi. Mais avant que le prof ait eu le temps de dire quoi que ce soit, je lève la main en me levant et m'écrie:
"Bitte! Was kann ich tun , wenn ich nicht weiß, ob ich gut Deutsch spreche oder nicht?*"
*S'il-vous-plaît! Je fais quoi quand je ne sais pas si je parle bien allemand ou pas?
Mais.... je n'ai aucun accent.... quoi?! Malgré mon amnésie, je sais encore parler allemand?!
D'ailleurs, quel cours de langue on avait aujourd'hui? Je me tourne vers mon voisin et lui demande quel cours on va avoir. Il me répond gentiment qu'on a cours d'allemand et est surpris de voir que je ne le sais pas....
"Ben.... en fait.... c'est que.... je n'ai pas retenu...."
Mais qu'est-ce que je fais en allemand?! Est-ce que je sais parler cette langue au moins?
Alors que je m’interrogeais, le prof entre donc dans la classe et attend que les dernier élèves entrent avant de refermer la porte. Le silence s'instaure donc dans la salle de classe. Avec sa craie blanche, le prof écrit son nom sur le tableau: Dante MAKAROV.
<< Hier ist mein Vorname, mein Name Dante Makarov, schön dich zu treffen ! >>
Tiens, il n'a pas d'accent! C'est bien d'avoir un prof qui ait de vrais liens avec la langue! Il parle bien, c'est compréhensible! ATTENDS!! Je viens de comprendre ce qu'il veut dire?! Je sais parler allemand?! Depuis quand?!
Je baisse la tête, me tenant le crâne à deux mains pour essayer de me souvenir depuis quand je sais parler la langue de Kant! Mais déjà qu'il nous demande de noter nos noms sur une feuille et de marquer notre niveau en allemand.
Suivant ses instructions, je plie ma feuille en deux et marque mon nom, mais je marque quoi en niveau d'allemand?! Je n'en sais rien moi!! J'étais dans une telle panique intérieure que je n'ai pas remarqué que le professeur avait lancé un scalpel en direction d'une fille, qu'il l'avait menacée de plusieurs heures de colle avec ce-même scalpel et qu'elle a été sauvée par un élève.
J'étais tellement perdue que je ne faisais plus attention à ce qui se passait autour de moi. Je mets quoi? 3 vue que je pense le comprendre ou 1 parce que je n'en sais justement rien? Qu'est-ce que je fais?! Je secoue la tête de nombreuses fois et relève la tête.
Un élève était en train d'écrire Heinz au tableau. Comme la marque de Ketchup? Une fois sa "correction" faite, il se dirige vers le fond de la classe, et passe juste à côté de moi. Mais avant que le prof ait eu le temps de dire quoi que ce soit, je lève la main en me levant et m'écrie:
"Bitte! Was kann ich tun , wenn ich nicht weiß, ob ich gut Deutsch spreche oder nicht?*"
*S'il-vous-plaît! Je fais quoi quand je ne sais pas si je parle bien allemand ou pas?
Mais.... je n'ai aucun accent.... quoi?! Malgré mon amnésie, je sais encore parler allemand?!
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