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« Mathilde ? La meuf chiante qui crache sur tout le monde ? Ouais elle est sympa » • {terminée}

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Message par Mathilde Dim 19 Juin 2016, 22:47

Rappel du premier message :



Mathilde Duchenet

Maison Rubis



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♦ Statut : Élève.
♦ Travail : Babysitteur à ses heures perdues.
♦ Origines : Françaises.
♦ Logement : Dortoir Rubis 11F
♦ Pouvoir : Love loves guns.
♦ Sexe :
♦ Âge : 15 ans.
♦ Taille : 1m70.
♦ Yeux : Noisettes.
♦ Cheveux : Châtains.
♦ Peau : Blanche comme un cul avec des rougeurs sur les joues.
♦ Corpulence : Ectomorphe.
♦ Avatar : Minase Iori de The IDOLM@STER.







Mental

A première vue, Mathilde ressemble à une gamine arrogante et prétentieuse. Et c'est bien vrai. Elle se donne des allures de diva faussement intimidante. La demoiselle est du genre à racketter et harceler les plus faibles, mais bien sûr, il faut qu'elle soit en bande. Seule, ce n'est qu'une petite fille inoffensive et frêle. Elle peut se montrer méchante et mesquine, Mathilde adore lancer des petites piques et envenimer les choses, tant qu'elle n'est pas complètement concernée. Mais il faut être idiot pour se limiter qu'à cette facette de la française : sous ses airs de snobinarde sans cœur se cache une éternelle ambitieuse qui déborde d'amour.

Mathilde est avant tout une féministe dans l'âme qui tient à sa liberté et à son indépendance. Ce n'est pas son pouvoir qui la limitera qu'à la recherche du grand amour et si elle n'y était pas contrainte, trouver une personne à aimer et avec qui passer le reste de sa vie lui importe peu. Mais sa volonté d'indépendance se contredit avec sa nature de pot de colle ambulante, particulièrement lorsqu'une personne lui a tapé dans l’œil et Mathilde ne supporte pas de vivre seule. Elle se tuerait pour ne pas se retrouver seule une semaine, coincée sur une île déserte. C'est une extravertie remplie de vie et d'amour à donner et qui aime se dévouer à son prochain. La demoiselle est très tactile et communique beaucoup avec autrui, elle sait se montrer serviable, polie et très sociable, particulièrement avec les adultes. Avec les personnes de son âge, c'est différent : ça passe ou ça casse. Elle se montre méfiante si la personne ne lui plaît pas ou au contraire, très amicale. L'adolescente est aussi très ouverte d'esprit et ne juge jamais véritablement. Même si elle critique certaine personne, ce n'est pas parce qu'ils ont un physique déplaisant ou une telle classe sociale, c'est seulement par affinité. Mathilde est une bonne curieuse et laisse malgré tout une chance à tout le monde de se frotter à elle. Cette dernière a aussi tendance à avoir une humeur très changeante, mais cela est dû à l'adolescence et à tout ce qui l'y a autour.

Dans le domaine du travail, la petite dame est une réelle bosseuse. Elle n'a pas du tout cet esprit de compétition, elle se sent uniquement responsable de son devenir et veut réussir dans la vie. Son travail est vigoureux sans être excessif et passer sa vie dessus. Mathilde se montre méthodique et organisée, c'est quelqu'un qui n'est vraiment pas bête malgré ses quelques faiblesses dans les langues. Ceci dit, lors des travaux de groupe, Mathilde aura souvent tendance à mener les troupes. C'est une dirigeante née, une dominante qui ne se laisse pas faire et ce, dans tous les domaines. Son côté autoritaire et exigeante peut insupporter plus d'un et malencontreusement , Mathilde a du mal à se remettre en question. Elle est absolument têtue et bornée, c'est ce qui la rend aussi immature et méprisante. Son impatience dénote aussi son caractère enfantin.

Il n'empêche que Mathilde cache sa nature passionnée et créative. C'est une ambitieuse persévérante qui va au bout des choses. Elle ne supporte pas la procrastination et fait les choses en temps et en heure. Bonheur des professeurs hein ? Malheureusement pour eux, la demoiselle n'aime pas qu'on lui colle trop et qu'on lui fasse faire des choses dont elle n'a pas envie. En classe, la jeune fille est souvent attentive, mais lorsqu'elle discute, il ne faut surtout pas la déranger au risque de se montrer insolente. Mathilde aura tendance à ne pas respecter les couvre-feux, adorant les soirées festives.

♦ Aime : Aime les travaux manuels et groupés, l'art, travailler le bois, être entourée, les ragots, ses cactus -plus que tout au monde-, se faire draguer et désirer, les histoires drôles, les magasins de papeterie, les plats au curry, le rap américain et français, les ventilateurs, le café,  les défis, se déguiser en homme -mais chut c'est un secret.
♦ Déteste : La solitude -sauf lors de ses entraînements avec son pouvoir et ses travaux d'ébéniste-, être contrainte, les gens déprimés et faussement mystérieux, que l'on ne respecte pas ses exigences, qu'un ami pleure, qu'on lui manque de respect, la concurrence, la compétition.
♦ Autre : Mathilde se recherche. Que ce soit dans ses croyances, son orientation sexuel, son genre et son identité même. Ses goûts changent et ses pensées aussi. Elle est très ouverte et curieuse tant que cela lui permet de trouver qui elle est.

Physique

Mathilde, cette perche maigrichonne qui a toujours rêvé d'un corps pulpeux et plus gras. Malheureusement, sa morphologie fait d'elle une éternelle filiforme. Elle aura beau manger tout et n'importe quoi, tout finira dans son petit ventre sur lequel elle complexe tant, ou dans ses poignées d'amour. Oui, la demoiselle n'aime pas son corps. Cette absence de féminité et de forme la rend infiniment mal à l'aise avec sa même et ne s'assume pas pleinement. En effet, derrière son assurance sans limite et son ego surdimensionné se cache une jeune fille en pleine transformation, ne supportant pas ses petits seins et ses fesses plates. Les seuls atouts qu'elle peut trouver son ses longues jambes, malgré l'absence de graisse au niveau des cuisses, et ses pieds qu'elle idolâtre plus que tout avec son petit vernis qui affine les orteils. Mais son manque de forme se compense d'avantage avec son caractère fort et son jolie minois.

Il ne faut pas se voiler la face : Mathilde est une belle adolescente. Ses yeux en amandes, ses rougeurs naturelles aux joues, ses cheveux châtains aux reflets blonds incroyablement bien dressés, ses petites lèvres roses et fines et ses bonne petites pommettes lui donne un côté adorable et attirant. Comme tout adolescent, Mathilde a un peu d'acné mais elle a la chance que celle-ci soit caché par ses cheveux et très peu visible.

Comme on pourrait le croire, la française serait du genre adepte aux cosmétiques et à la mode. Au contraire des croyances, Mathilde ne porte pas plus gros intérêt à faire du shopping. Bien sûr que c'est un plaisir d'être soigné et d'avoir de nouveaux vêtements du moment qu'elle est à l'aise dedans. En effet, l'adolescente prend soin d'elle : une crème, quelques produits qui entretiennent ses cheveux soyeux et sa peau, du parfum et du mascara et cela lui suffit. Pas mal direz-vous, il ne faut pas oublier que Mathilde est très soigneuse et se respecte un minimum. Quant au niveau vestimentaire, la jeune fille n'a pas de style particulier si ce n'est qu'un look assez simple, mignon et léger. L'adolescente peut très bien passer du gros sweat violet à la jolie petite robe jaune et blanche.

Mise à part tout cela, la française ne porte aucun signe particulier : les oreilles percées, c'est bien la seule chose de spéciale sur son corps. Toutefois, elle a quelques cicatrices au poignet gauche et un au coude après être tombé de vélo quand elle était enfant.

Pouvoir

♦ Avantages et ampleur : LLG, pour ne pas appeler ça « Pouvoir de transformer l'être aimé en arme à feu ». En effet, Mathilde a la capacité de transformer la personne avec qui elle entretient une relation intime en arme à feu. Celle-ci change en fonction de l'évolution de la relation : plus l'amour que la jeune fille porte pour cette personne est forte, plus l'arme sera performante. Pour se faire, Mathilde a juste à déposer un baiser sur les lèvres de l'être aimé pour que son corps se métamorphose en une machine de guerre.
♦ Inconvénients et limites : Cependant, Mathilde ne peut activer correctement une arme. En effet, la puissance et les capacités de l'arme ne tient qu'à l'intérêt de la relation amoureuse. Si Mathilde sort avec quelqu'un de façon superficiel et uniquement dans le but d'obtenir son arme, celui-ci n'aura aucune puissante, aucune portée et ne sera alors d'aucune utilité. La durée de la transformation ne dépend uniquement du consentement de la personne transformée. Mathilde ne connaît que trop mal son pouvoir et la notion de consentement et d'amour,il faudra du temps avant que son don ne puisse avoir un véritable effet.

♦ Autre : Mlle Duchenet est en pleine quête sexuelle, elle pourrait sortir avec n'importe qui si ce n'est que dans l'intérêt de son pouvoir -pourvu que vous soyez à son goût. Donc tout le monde peut tenter sa chance si il le souhaite !

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Histoire


Quand j'étais petite, je m'étais toujours demandée pourquoi maman n'aimait pas papa. La tête sur la table, mon goûter à porté de main, je contemplai maman fumer sa cigarette avec agacement. Elle lisait des papiers que je ne pouvais pas comprendre à six ans. Les gros yeux curieux, les jambes ballantes, je posais ma énième question.

« Maman, pourquoi tu es énervée ? »

Celle-ci me cria après en m'ordonnant de manger mon pain au chocolat en silence. Ce que je fis, me demandant toujours pourquoi elle marmonnait que papa était un « enfoiré ». Ma maman était quelqu'un de très névrosé et d'agressif. Je ne savais pas comment elle était amoureuse de papa mais celle-ci avait plutôt tendance à l'écraser et à l'insulter lorsqu'elle m'en parlait. Quant à lui, il était doux et gentil, je passais toujours du bon temps avec lui et Françoise, une très gentille femme qui m'avait toujours considéré comme une petite princesse.

J'aimais mes parents malgré eux. Maman, malgré qu'elle était très stricte, autoritaire et cassante m'avait toujours aidée à m'affirmer en temps que femme, à être la meilleure sans me mettre de pression et à me faire respecter. C'était une grande femme ma maman. Chef d'une petite entreprise, elle réussissait à supporter la pression du travail, les tensions du divorce et à mon éducation.

Quant à mon papa, c'était le meilleur de tous les papas. Gentil, doux, j'étais sa petite princesse qui méritait tout l'amour du monde. J'étais très gâtée avec lui et Françoise, j'adorais passer mon temps chez eux, mais à chaque fois que je rentrais à la maison, maman était toujours très grognon quand je lui racontait avec enthousiasme mes week-ends géniaux avec ma deuxième famille. Puis un jour, papa et Françoise ont décidé de se marier et d'avoir un enfant.

Le mariage, je l'avais vite accepté. Françoise était très gentille, et je l'avais toujours vu avec mon père donc je n'avais aucune peine. Mais un enfant, là, ça n'allait plus. J'avais onze ans, je rentrais tout juste dans l'adolescence et j'avais décidé de leur tourner le dos. Ma mère avait été bizarrement plus tendre avec moi, il y avait cet été formidable où j'avais passé de super bons moments avec ma maman.

Donc, en ce qui concernait le côté familial, j'avais été élevé dans l'amour malgré de multiples tensions, et j'avais eu cette période où je me sentais abandonnée par le paternel. Quant à l'école, c'était un tout autre univers. Oui, à la maison j'étais la petite diva très gentille et généreuse malgré mes quelques caprices, mais à l'école, tout était différent.

L'école primaire, rien de particulier, ou presque. C'était une école privée de petits bourgeois orléanais. J'étais timide et je suivais comme un petit toutou mes copines qui étaient parfois méchantes avec moi. Mais bon, pour ne pas être seule, je devais bien leur lécher les bottes. A l'époque, je n'étais pas du tout intéressée par les garçons, plutôt occupée à admirer Clara, la leadeur de notre groupe de copine. Je prenais tout le temps modèle sur elle. Mon cœur s'emballait à chacune de ses attentions qu'elle m'accordait et mon cœur se brisait à chaque fois qu'elle me faisait du mal.

A la fin du cycle primaire, j'allais rentrer dans un collège différent de celui de mes amies. J'allais dans un collège public, vu les difficultés financières de ma mère. Je l'avais difficilement accepté mais au fur et à mesure, je m'étais dis que cela n'allait être pas plus mal, les gens allaient être moins snob, moins matérialiste et plus sociable : je m'étais carrément trompée.

En rentrant au collège, j'avais la bouille d'une gamine de huit ans. J'étais grassouillette, petite, les cheveux gras, l'acné naissante et les sourcils broussailleux. De la sixième à la cinquième j'étais rejetée pour ma laideur alors que des gamines commençaient déjà à se maquiller et à tordent des fesses. Puis, début quatrième, ma poussée de croissance s'est faite et je m'embellissais. Ma petite beauté attira tout de suite un gang de fille respectée de tous qui me recueillait dans leur cercle. Tout de suite, j'étais ébahi pas la prestance et le charme de la plus intimidante. Je pouvais revoir le même schéma de l'école primaire, sauf que cette fois-ci, il y avait une hypocrisie dominante et des histoires faussement compliquées. Les filles avaient des façons sournoises de créer des tensions et des rumeurs, c'étaient les pires. Ceci dit, j'étais reconnaissante pour le travail physique qu'elles avaient faites sur moi : je leur étais totalement similaire. J'avais très peu confiance en moi, alors j'avais cette manie de leur copier trait pour trait. Leurs caractères, leurs physiques, leurs tendances, leurs manières de travailler en classe et j'en passais. Puis il y avait cette première histoire de garçon.

Clémence, la meneuse que j'admirai me dit :

« Eh, Hugo veut sortir avec toi. Vu que t'as pas de petit copain et que nous on en a tous un, tu devrais sortir avec lui. »

Sans broncher, j'avais accepté. Mais quelque chose clochait avec mes copines. Elles parlaient tout le temps de leur petit ami mais aucun n'était au collège. On les voyaient à la sortie du collège, c'était des lycéens. Ces derniers avaient donc un pote qui s’appelait Hugo. On avait une soirée organisée par ces mêmes gars et ça allait être la première fois que je rencontrais Hugo en tant que petit ami.

Pour rien au monde je voudrais me rappeler de cette horrible soirée. Je me souvenais dans les moindres détails de cette chambre sombre, puant l'adolescent et de lui. Clémence m'eut demandé de rejoindre Hugo dans la pièce, ce que j'eus tout de suite fait. Il était assis sur le lit, jambes écartés faisant signe de venir m'asseoir. Timidement, je m'exécutai. On parlait un peu de façon superficielle, il me touchait surtout la cuisse et les bras. J'étais figée alors qu'il commençait à se coller à moi et à m'embrasser la joue, la tête et l'oreille. Il me disait des choses bizarres qui me faisait peur donc j'avais cessé tout de suite ce malentendu. Je me rendais compte que je ne ressentais absolument rien pour Hugo et que la seule personne que j'aimais était Clémence. Et je lui avais clairement fait savoir mais il éclata de rire. J'avais envie de pleurer mais nous étions finalement descendus. Le petit copain de Clémence lui posait alors une question, après avoir regardé ma mine déconfite.

« Alors tu l'as baisé ?

- Non, il s'avère qu'en fait c'est une grosse gouine qui veut se faire Clémence ! 
» rétorque sur un ton moqueur mon dit amoureux.

Les éclats de rire résonnèrent dans ma tête. Clémence n'en croyait pas ses oreilles et avait commencé à me dénigrer devant les autres.

« Elle me dégoûte trop cette fille. » prononça-t-elle.

Le cœur brisé, je m'échappai de ce taudis pour courir loin, très loin en pleurant et en criant pour arriver dans un champ. Au milieu de ce champ, je déversai mes larmes, recroquevillée. Je repensai à l'ambiance étrange dans la chambre et au regard répugné de l'être convoité. Je me noyais dans mes larmes et ma morve pendant un bon moment jusqu'à enfin me calmer. Je ne savais pas combien de temps j'étais restée, mais je me sentais un peu mieux. J'appelais ma maman pour qu'elle me ramène à la maison. Je n'avais pas envie de lui dire tout ce qui s'était passé et aucun adulte ne sera mit au courant de ce cruel incident.

La fin de quatrième n'a pas été facile. Tout le monde était au courant de ce qui s'était passé à la soirée et j'étais rejetée dans ma classe. Ça a été une période très dure pour moi, surtout qu'avec les problèmes familiaux et la puberté, rien ne s'est arrangé. De plus, j'avais perdu toute trace de mon identité. J'avais toujours essayé de ressembler à d'autres personnes que moi, je me fuyais et oubliais qui j'étais, préférant me conforter dans la peau d'une autre. Je pensais être mieux acceptée et aimée parce que j'étais persuadée que personne ne m'aimerait comme j'étais. Alors, je m'étais renfermée et je m'étais retrouvée. Toute seule, cloîtrée dans ma chambre, je découvrais qui j'étais, je me forgeais une carapace et me donnait des résolutions. Plus jamais je laisserai des gens me piétiner, et tous devront accepter ma personne parce que je ne changerai jamais pour quelqu'un d'autre. Et ma maman me l'avait très bien appris.

En troisième, je méprisais tout le monde. J'étais seule et cela me convenait très bien. J'étais agressive et parano, personne ne pouvait m'approcher. Sauf une personne. Léa. Léa était une gentille fille. C'était la seule qui m'avait séduit. Avec Léa, j'avais passé du bon temps avec elle, elle m'apprenait à m'aimer parce qu'elle m’appréciait ainsi. J'étais heureuse avec elle, c'était grâce à cette personne que ma dernière année de cours avait été agréable. Mes notes s'amélioraient et c'était sans difficulté que je parvenais à obtenir mon premier diplôme. Malheureusement, par la suite, je devais me séparer de Léa qui partait vivre dans le sud. Mais on avait toujours gardé contact, même encore maintenant !

Le lycée était cool, vraiment cool. J'étais appréciée et j'avais connu les joies de l'amour. Amicalement, je traînais avec des filles mais cela n'était pas aussi fusionnel qu'avec les groupes précédents, je prenais de la distance même si j'aimais la compagnie. Puis il y a eu Alexandre. J'étais amoureuse de lui, c'était incontestable. On se rapprochait doucement au fur et à mesure des mois puis il avait finalement avoué ses sentiments. Ce fut avec joie que je répondis à son avance et nous étions le petit couple mignon du lycée. Nous étions très timide entre nous, mais mon petit cœur battait toujours pour lui. Mais il a fallut que mon pouvoir fasse sa première apparition !

C'était chez moi. On se faisait toujours des bisous un peu partout mais jamais sur la bouche. Et pour la première fois, il y était autorisé. Le moment était si intense et si magique et ce, jusqu'au moment où je me retrouvais à embrasser une arme dangereuse. Un cri terrifié alerta ma mère à peine rentrée. Elle constata les faits. Après cela, les événements allèrent très vite.

Nous avions été contacté par une Académie anglaise étrange. J'étais excitée à l'idée d'y aller mais terrifiée de ne plus voir mes parents. J'en étais malade. J'avais arrêté les cours, j'étais au plus bas de moi-même. Alexandre et moi c'était fini, et je n'allais plus revoir mes parents. J'avais mis quelques mois avant de quitter sans regret mes parents avec qui j'ai passé de merveilleux moments avant de partir. Je m'étais entre-temps réconciliée avec ma seconde famille et fit la connaissance de Benjamin, un adorable bambin avec qui j'avais adoré passer du temps.

Ce fut sans regret que je rejoignis l'Académie Tsuki. Bon, je l'admettais, j'ai bien chialé durant tout le trajet, et les premiers mois à l'Académie avaient été difficile vu mon niveau médiocre en anglais mais j'avais vite progressé. J'avais aussi fais la rencontre de merveilleuses et de terribles personnes ! Ma vie avait basculé, plus rien n'était comme avant, mais j'avais mûri, j'étais prête à vivre une toute nouvelle aventure dans un endroit des plus inconnus avec un don des plus inexplicable.



Et toi, derrière l'écran ?



♦ Prénom ou surnom : Dildo.
♦ Anniversaire : Tenga.
♦ Activité : Boules de geisha.
♦ Loisirs : Godemichet.
♦ Tu aimes : Rabbit.
♦ Tu détestes : Vibromasseur.
♦ Ton rêve : Plug.
♦ Comment es-tu arrivé ici ? Lubrifiant.
♦ Des idées pour améliorer le forum ? Ceinture de chasteté.
♦ Petit mot de fin : Dédicace à Impé et ses plats préparés.



Dernière édition par Mathilde le Lun 20 Juin 2016, 22:29, édité 4 fois
Mathilde
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Message par Yahiko Mar 21 Juin 2016, 14:40

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Yahiko
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