"King" Will [Serais-je admis avant les 1000 vues et les 50 com' ?]

Will ou "King" de son vrai nom "William Andrew Eduard Ludwig" (c'est à dire en une fois) est né dans une famille très riche de Nouvelle-Zélande. Descendant directe d'une haute lignée de colons anglais, sa vie dans la haute société semblait toute tracée: politicien véreux ou magnat du pétrole. Seulement voilà: lorsqu'il jouait avec un couteau (comme tout le monde) à l'âge de 13 ans, il se découvrit la formidable faculté de se changer en épée.
C'était bien joli mais ça faisait un peu tâche d'avoir une anomalie dans la lignée King. Sa famille se concerta: l'éliminer purement et simplement ferait un peu désordre (et puis j'vous raconte pas la paperasse avec les autorités...), par contre qu'il s'égare fortuitement serai tout à fait légitime. Ainsi ses parents décidèrent d'organiser un petit voyage au Vietnam. Rien de bien foufou: on se balade dans coin pas trop fréquenté et on le laisse-là. Ainsi fut abandonné l'illustre William Andrew Eduard Ludwig au pied d'un pommier. Fou de rage de n'avoir pas avoir au moins pris son goûté avec lui, le jeune King mit un violent coup de pied dans l'arbre. Il en tomba une pomme et un vieux. Ce dernier le dévisagea puis lui dit "nơi bạn nhấn cây morons của tôi?!" (sans doute une phrase philosophique, mais évidemment King Jr. ne parlait pas un mot de vietnamien). Le vieillard toqua trois fois fois sur l'arbre, pour appeler un autre gamin avec des lunettes de soleil et une moustache (si si). Ce fut la première rencontre d'Haï Tune et William Andrew Machin.
Le vieux qui tombe des arbres était en fait le maître de Haï Tune, un sage expert dans l'art du vovinam. Rapidement, les deux enfants devinrent inséparables. WAMEL King appris comment le père de Haï mouru tragiquement dans un accident de camion-pizza, et sa mère à cause d'une machine à laver. À deux, la vie avec le vieux maître était moins rude. Rapidement, Will truc-chépukoi devint plus que compétent dans le maniement des armes blanches, tandis que Haï se surpassait avec un bâton. Le temps passait, sous les crachats et les insultes du vieux maître. Lorsqu'il eurent atteints leurs 18 ans ils étaient fin prêt. Le maître lui dit: "Toi. Tu tranche mieux que la plus aiguisé des lames. Mais tel le grains de sésame, seul tu est insignifiant petit scarabée. Pars chercher la deuxième moitié qu'il te manque" et il lui donna une enveloppe avec un pentagramme chelou. King lui aurait bien demandé des éclaircissements sur ce qu'il entendait par "moitié", mais le vieux sensei était plutôt du genre à te casser les jambes avant les pieds, donc il laissa tomber. Le vieux donna une enveloppe similaire à Haï Tune. Il la déplièrent en même temps; le contenu les invitaient à rejoindre une académie en Angleterre. Étrange. Mais si c'est sensei qui le donne, c'est qu'il y a une bonne raison.
Ils se mirent donc en route par monts et par vaux, durant une année entière pour arriver jusqu'aux Cornouailles. Vivants de petit boulots, ils récupèrent même un camion-pizza. Durant ce voyage, King forgea de ses mains un fourreau qu'il destine à la personne qui sera capable de le manier à la perfection.