Nos amis les bêtes (rp entre Moon et Jeff) (pv Caitlyn MP si vous voulez incruster votre animal de compagnie)

Rappel du premier message :

Le soleil brille, mes confrère oiseaux chantent à s’en époumonés pour attirer l’attention sur eux. Au loin j’entends les rouges gorges qui clament haut et fort l’appartenance de leur territoire …. La température semble remonter petit à petit … il n’y a pas de doute possible. Le printemps reviens … et avec lui la saison des amours. Je vais encore me faire courser par une bande de coqs en rut écervelé qui veulent me séduire.

Mon propriétaire, Noa était partit mené sa vie d’étudiant … depuis le toit de l’académie je pouvais le voire s’entrainé avec une autre fille que je ne connaissais pas ….Heureusement qu’il me laisse la plupart du temps en liberté. Pourtant je n’ai pas l’attention de le laisser. Je n’ai pas à me plaindre en sa compagnie. Je suis nourrit, loger et plutôt bien traité. C’est juste dommage que le japon ai compliqué la communication entre nous … maintenant qu’il a ses espèces de rubans noirs bizarres.

Quoiqu’il en soit je ne comptais pas rester à l’observé indéfiniment. En effet je profite qu’il soit occupé pour aller faire un petit tour en ville. C’est tout près à vol d’oiseau. Je mangerais bien un petit quelque chose… pas par faim, juste par gourmandise …

En faisant un petit crochet par le parc je pouvais observer des adolescent donner des morceau de leur sandwich a ces idiots de pigeons. J’en profitais donc pour un volé un morceau au passage avant de reprendre ma route.

Parmi mes lieux de prédilection il y a également les fast food. Il y a toujours des maladroit qui laissent tombé quelques frites … malheureusement en cette saison peu de gens mangent en extérieur, il n’y avait donc rien d’intéressant pour moi. Cependant je ne désespérais pas de trouver quelque chose à me mettre sous le bec. Percher au sommet d’un lampadaire et observant l’environnement qui m’entourait je pu repérer un boucher jeté quelque chose à la poubelle. En voilà une chose d’intéressante ! Je volais donc jusqu’à cette fameuse poubelles laisser distraitement ouverte pour analyser le contenus. BINGO ! Des morceaux de viandes très certainement périmé pour les humains mais encore tout à fait bon pour les corneilles comme moi !

Je m’emparais donc d’un morceau plutôt conséquent dans mon bec pour sortir de la poubelle et aller me posé sur le toit d’un bâtiment, restant à proximité pour pouvoir me resservir.

- Merci. Peux-tu me dire comment il est ? J'espère sincèrement que ce n'est pas lui, parce que j'ai bien peur que le roux gringalet ne fasse pas le poids contre un bourru dans son genre tu vois, et j'ai peur pour mon humaine. Tu vois ce que je veux dire de toutes façons, même si j'avoue que nos craintes sont différentes avec ton humain. Je peux t'assurer qu'il n'avait pas l'air commode.
 
Je répondais au matou d’un air pensive
 
_ Heu … il ne paye peut être pas de mine comme ça mais j’ai déjà vu son pouvoir en action et ça calme !
 
- Est-ce que l'académie est loin si l'on y va à patte ? Peut-être pourrais-je vérifier par moi-même non ? Après tout, il n'y a pas besoin d'ailes non ? A moins que ce soit vraiment vraiment loin...
 
_ Les humains s’y rendent en bus mais je fais très souvent le trajet a tire d’elle, donc de mon point de vu non ce n’est pas si loin …
 
En quelque battement d’ailes je me déplaçais de mon perchoir jusqu’au rebord de fenêtre, j’adressais un regard en arrière dans la direction du félin avant de lui adresser d’un air à la fois moqueur et de défis
 
_ A toi de voir si tu as envie d’affronter l’extérieur et surtout autre chose que ta ville le chat de salon !
 

C’est après cette petite provocation que je m’envolais dans un petit croassement ricaneur jusqu’au toit voisin, attendant de voir si le matou était motivé.

Meh. Le piaf semblait mieux connaître l'humain de mon humaine que moi, ça m'attristait un peu. En même temps, le volatile semblait se rendre plus souvent à son école que moi-même, à pattes, comme elle l'avait précisé, ce pouvait faire une trotte. Après tout, j'étais un chat, parcourir de longs trajets ne m'embêtait pas. Peut-être pourrais-je croiser Caitlyn d'ailleurs ! Ainsi, je n'aurais que l'aller à faire et ça, c'était déjà ça de pris. Bon, il fallait se décider. Faire attendre un peu plus la corneille n'était pas dans mes projets. Aussi, jaugeai-je un peu le temps à l'extérieur et vint à sauter sur le rebord de la fenêtre.

Quelle plaie... Bon allez, pour l'humaine !

Je me décidai à sauter de rebord en rebord pour grimper sur le toit et sauter directement sur celui où se trouvait l'oiseau noir. Une fois dessus, j'étais ravie de constater que je m'en étais pas trop sorti. Ma fierté me noyait presque un instant, mais je secouai la tête, attendant que mon guide me conduisent vers cette mystérieuse école.

- Bon alors ? On dort ici ou on y va ? J'ai une humaine à protéger moi.

La chose que je venais d'afficher sur mon visage devait ressembler à ce que les humains appelait "sourire" alors que mon ton se faisait légèrement provocateur comme celui qu'avait employé Moon précédemment pour me faire grimper.