Accueillez-les toutes ! [PV : 7F]

J’étais seule, allongée sur le lit. Mon corps était présent mais mon esprit vagabondait, pensant aux évènements récents. J’avais rencontré plein de gens, et puis, j’avais dû faire abstraction de ma timidité… un petit travail sur soi-même, en fait. Et puis à chaque fois, ma curiosité m’empêchait de l’être. J’avais trop hâte, trop envie de rencontrer de nouvelles personnes. Une des conséquences de mon enfermement j’imagine.

En revanche, ma chambre elle, était restée bien vide. Mon lit, je l’avais rentabilisé, j’avais rempli ma table de nuit et j’avais pris soin de ne pas utiliser la place des quatre autres filles qui viendraient. J’espérais qu’on s’entendrait bien. J’avais eu l’occasion d’en apprendre un peu plus sur le fonctionnement des dortoirs, et nous étions cinq dans une chambre, avec une salle de bains pour toutes ses occupantes.

Une table de nuit se trouvait près de chaque lit, et la mienne était remplie d’objets. J’y avais posé un réveil, un paquet de mouchoirs, mon enceinte, mes écouteurs et là j’y avais posé mon téléphone. Je le pris et allai dans les contacts : je n’avais, à part celui de ma famille, qu’un seul autre numéro, celui d’Artemis. La jolie blonde à qui je devais ma nouvelle écharpe. D’ailleurs, elle se trouvait sur mon lit.

Je m’étais très bien entendue avec elle, en fait. Notre façon de penser était la même, malgré le gouffre de différences culturelles qui nous séparaient. Et ça faisait du bien. Qui plus est, je la trouvais vraiment charmante. Très gentille et adorable.

Je réfléchissais à tout ça, ma musique résonnant doucement dans la pièce. “Forgotten RimE”, de Lindsey Stirling. Calme et apaisant. Au bout d’un petit moment, je crus entendre une personne toquer à la porte. J’arrêtai donc la musique : personne. Je m’apprêtais à la remettre quand on toqua à nouveau. Visiblement je n’avais pas rêvé. Je me levai donc pour aller ouvrir.

“Oui ?”

La journée avait tout de même bien débutée, après son petit jogging matinal qui, à lui seul, aurait bien fini par l'achever, mais au moins elle pouvait être fière d'elle, pour une première fois elle n'avait pas été si désastreuse. La récompense était grandement appréciée, après tout elle se l'offrait elle-même! La jeune Olivia retournait donc vers sa chambre lorsqu'elle était arrivée et fut accueillit par surprise par une note sous la porte. Une lecture rapide plus tard, elle comprit alors qu'il y avait eu une petite erreur dans les placements de chambres et qu'elle allait être installée dans la chambre "7F" au lieu et qu'elle devait passer au comptoir échanger ses clefs. Aucun problème à ses yeux face à cela, mais en aucun cas allait-elle se privée de sa récompense plus longtemps: Une bonne douche!

Elle fit tout de même attention de prendre l'une de ses serviettes ainsi que ses produits et lorsqu'elle eut finie de sa récompense bien méritée, elle s'habilla proprement, reprise toutes ses choses, fit un ménage derrière elle et quitta pour aller changer les clefs. Chose qui ne pris que peu de temps, elle se présenta, offrit ses clefs et fut donné les nouvelles. Cette nouvelle chambre ne devait pas être bien loin de son ancienne qui, disons le, n'avait été sa chambre que pour deux jours, alors elle refusa avec politesse d'être guidée jusqu'à celle-ci et en effet elle trouva rapidement la bonne porte. Elle toqua deux petits coups et attendit un peu. Un peu sous le stress en fait de rencontrer de nouvelles personnes suivit du petit silence, le doute meurtrier qu'elle s'était trompée de chambre l'envahit alors elle s'empressa d'aller chercher ailleurs. À peine avait-elle bifurqué au coin du couloir qu'elle entendit derrière elle une porte ouvrir, suivis d'un silence avant de se refermée. La honte... Venait-elle tout juste de faire l'équivalent de, comme on le disait par chez eux, un "Sonne-Décrisse". Elle s'empressa alors de nouveau vers cette même porte et toqua de nouveau avec la honte de sa vie, se préparant à s'excuser, la porte s'ouvrit et elle fut accueillit par une adolescente, qui d'un premier regard semblait dans la même tranche d'âge qu'elle, mais pour le reste s'était complémentent différent. Alors qu'Olivia avait une teinte clair et pâle, devant elle se trouvait une teinte caramélisée qui, aux yeux d'Olivia, avait un air chaud et doux à ses yeux. Elle ne porta pas attention aux détails plus longtemps qu'une fraction de secondes lorsque la jeune dame devant elle s'exprima tout simplement:

“Oui ?”

Cherchant ses mots au départ, elle s’élança pour prendre parole à son tour, sa voix en panique un peu: "Salut.. euhm... Désolé, j’emménage ici... euh non.. Je veux dire oui, mais...euh.. Désolé j'ai toquer et je suis partie, j'ai cru un moment m'être trompée de chambre... C'est bien "sept eff" ici oui?"

Ohlala... la misère, de toutes les façons qu'elle pouvait y penser, elle n'aurait pas pu faire pire que cela, pour en rajouté en plus à cette galère, son élastique lâcha prise à nouveau et voilà qu'elle avait un tête de pieuvre, ses cheveux encore un peu humide.

*Qu'elle façon de se présenter... Alors là bravo Olivia!*

Je me dirigea vers l'Annexe, où se trouve les maisons dont la maison saphir.
En chemin, je repense au moment passer jusqu'à maintenant, mon visage est inexpressif comme toujours.
J'admire le ce château majestueux, je suis à mis chemin vers les annexes à mis chemin, je me suis assis à un endroit pour manger vite fait.
Je me demande quelles partenaires de chambre, je vais avoir, m'enfin ce n'est pas grave.
Je repars vers l'annexe, j'ai hâte de décharger mes affaires, et surtout connaître mes colocataires.
J'aimerai acquérir plein de connaissance dans ce château, en faites, j'aimerai tous savoir, mais impossible malheureusement.
Je pense à tous et à rien, en même temps, je déménage, le changement est très ..... flagrante .

J'arrive devant l'annexe, maintenant, je dois trouver la maison saphir, j'ai une des clés de la chambre, mm ...
"7F", d'accord, partons à la recherche de cette chambre.

Trouver ! Je toque à la porte , en attendant qu'on m'ouvre .

J'ouvrai les yeux et regardais autour de moi, il n'y avais que des champs puis une petite ville et au loi, l'académie où j'allai. Nous avions fait le trajet durant la nuit et j'avais très mal dormi ! Je dis bonjour à ma mère puis pris un petit croissant et un peu de café du thermos qu'on avait emporté. Je n'écoutais que d'une oreille ce que disait ma mère qui parlait d'une chance pour moi blablabla. Je me croyais résignée à l'idée d'entrer dans cette académie mais en ce moment j'avais surtout envie de demander à ma mère de faire demi-tour pour rentrer en France. Mais il était trop tard nous arrivions près du château qui servait d'académie. Une jeune femme attendait visiblement mon arrivée. Je m'attachais rapidement les cheveux et mettais la tenue que j'avais préparé pendant que ma mère sortais mes valises du coffre tout en discutant avec la dame. Je mis mon ancienne tenue dans un sac que je remettais dans un sac qui me tombait sous la main.

Je me décidais enfin à sortir de la voiture et sortis mon sac avec mon synthétiseur et mon autre sac avec mon violon,ma flûte traversière et ma clarinette. J'emmenais mes instruments car je savais que j'en aurai certainement besoin. Une fois que toutes mes affaires furent sorties de la voiture, vint le moment des adieux avec ma mère. Je me jetais dans ses bras, le corps secoué et des larmes ruisselant sur mon visage. Je ne voulais pas qu'elle parte, je ne voulais pas rester dans cette académie, je voulais rentrer en France chez moi et oublier cette histoire. Je haïssais profondément mon pouvoir mais je n'avais pas le choix, plus le choix. Ma mère me promis de m'appeler tout à l'heure et je la laissais. Elle monta dans la voiture et je rentrai dans l'académie Tsuki accompagnée de la jeune femme qui m'aida à prendre mes affaires. Elle m'emmena à l'administration.

Sur le chemin, je croisais d'autres élèves qui avaient l'air heureux et contents. Moi j'avais peur, peur de l'inconnu certainement mai peur quand même. J'avais la gorge serrée. Enfin nous arrivions à l'administration. On m'expliqua le fonctionnement de l'académie, le règlement etc.... Puis on finit par me donner la clé de ma chambre et mon emploi du temps. La dame qui m'avait accompagnée jusque là m'indiqua la maison Saphir puis parti. C'est encombrée de toutes mes affaires que je parti vers l'endroit indiqué. Je trouvais facilement la maison Saphir et j'arrivais à trouver ma future chambre. Une fille attendait là aussi. Je ne pouvais plus faire demi-tour et m'approchais d'elle, j'ai entendu qu'elle avait déjà frappé à la porte alors je ne frappais pas. C'est en silence que j'approchais. Je ne parlais pas car je n'en n'avais pas envie et car je n'étais pas à l'aise dans cet endroit pour le moment en tout cas

J'avais passer un peu de temps avec Narok assez pour me détendre légèrement sur la rencontre qui était maintenant imminente . J'avais repris mon chemin tranquillement dans les couloirs en essayant de me rappeler dans qu'elle direction je devais me rendre, les couloirs se ressemblait à cette heure long et ennuyant je n'avais aucune idée du temps qui était passer et je n'avais rien sur moi qui aurait pu me l'indiquer.

J'essayais vaguement de me rappeler du gout du jus de fruit et de continuer à réfléchir sur ce qu'ils pouvait contenir, et sur comment physiquement ou chimiquement était ce possible ? Je n'aurais probablement pas de réponse sur le sujet avant un long moment mais j'avais vraiment prévus d'élucider le mystère. Finalement moi qui ne voulais rencontrer personne j'avais été confronté à quelqu'un et a une situation plutôt gênante des le départ. Je souriais en continuant de marcher en me rappelant cette drôle de rencontre. Je pensais sincèrement que j'aimerais beaucoup revoir cette personne à l'académie à l'avenir et j'espérais également que mes camarades de chambres ne me trouverais pas ennuyante. Je me promettais à moi même de faire des efforts je savais que je n'étais pas quelqu'un de relativement sociable mais je n'étais pas non plus une sauvage, non j'aimais bien être tranquille voila tout. Je serais quelqu'un de plutôt facile à vivre dans la chambre je ne participe pas aux grands bavardages, ni autres occupations de personnes interne. Je serais probablement la plus part du temps à dessiner dans mon carnet avec des écouteurs visser dans les oreilles.

Je continuais de réfléchir tranquillement quand je reconnu les tableaux qui ornais les murs du bâtiments des saphirs. J'y étais je parcourais les différentes directions des flèches indiquait les chambres de 1 à 10F, je vérifiais encore une fois l'étiquette sur ma clef de chambre et me dirigeais tout droit à la recherche du 7F. Au loin j'aperçus déjà deux jeunes filles devant la porte, je m'arrêtais sans vouloir avancer plus reconnaissant la porte de celle-ci et je fis mine de m'adosser au mur en attendant. En attendant quoi ? et bien absolument rien à part qu'elle rentrent ? qu'elles partent ? ou que sais-je.

A vrai dire j'étais pourtant résolu mais deux personnes devant ma porte cela me paraissais tout d'un coup beaucoup trop de monde à affronter de plus se serais surement dans un silence absolument gênant.

Je me décidais mentalement, quand elles seront rentré j'irais peut être cinq minutes après ? Je ne sais pas si cela changeais grand chose, cela viendrais aussi à dire que j'affronterais le regard ou les regards des personnes derrière la porte seule.

La jeune femme qui me faisait face avait l’air doux. Je lui donnerais le même âge que moi. De jolis cheveux auburn, de beaux et grands yeux châtains, comme sa beauté était fine et délicate !

Ne m’attendant pas vraiment à une personne de mon âge, j’eus tôt fait de commencer à paniquer. Même si je n’avais pas eu le temps d’étaler ma superbe ignorance en matière de sociabilité, ma curiosité indéfectible prenant le dessus à chaque rencontre, cette fois elle revenait à la hâte. Youpi.

“Salut.. euhm... Désolée, j’emménage ici... euh non.. Je veux dire oui, mais...euh.. Désolée j'ai toquer et je suis partie, j'ai cru un moment m'être trompée de chambre... C'est bien "sept eff" ici oui ?”

Ouh là. Visiblement j’étais tombée sur ma nouvelle colocataire. Je baissai machinalement les yeux pour voir qu’une valise l’accompagnait. Dépitée, elle semblait mal à l’aise, et quand l’élastique qui retenait ses cheveux lâcha, des mèches mouillées tombèrent sur son visage, la mettant encore plus mal à l’aise.

Mon malaise aussi était largement perceptible, mes joues ayant pris une couleur rouge qui encore passait relativement inaperçue au vu de ma couleur de peau. Je ne savais pas quoi dire ou faire, je me sentais impuissante. Je devais dire quelque chose ? Lui ouvrir ? Me présenter ? Bon dieu, que devais-je faire ?

Je balbutiai alors un semblant de réponse en ouvrant la porte et en l’invitant à rentrer :

“C’est bien ici...euh...donc...tu es ma nouvelle colocataire ? Bah...euh...entre ?”

La laissant rentrer, je lui montrai les lits non-occupés :

“Je...te laisse faire ton choix ? Je...oui, choisis, je t’en prie.”

Mon lit était près de la fenêtre, isolé dans un coin. Je m’assis dessus avant de songer qu’il faudrait probablement que je me présente, et je m’apprêtais à le faire quand on toqua à nouveau. Je me levai donc et allai rouvrir la porte.

“C’est...c’est pour quoi ?”

C'était certes, pour le moment, un des pires moments de sa vie, la honte qu'elle avait face à cette présentation horrible n'avait pas de limite et visiblement, le malaise qu'elle avait causée avait atteint cette jeune fille qui se tenait devant elle. Olivia était ravie du moins d'avoir pris la peine de se doucher, sinon on peut imaginer en plus l'odeur de sueur par dessus cette situation, l'horreur. L'adolescente chassa vite fait cette pensée de sa tête, tel n'était pas la situation alors valait mieux ne pas l'imaginer. Le silence fut court suite à son arrivée, la personne à l’intérieur lui ouvrit la porte en prenant parole à son tour:

“C’est bien ici...euh...donc...tu es ma nouvelle colocataire ? Bah...euh...entre ?" Elle répondit à la question d'un simple oui suivit d'un hochement de tête et ce fut le pas calme qu'elle mis pieds à l’intérieur de la chambre, d'un regard rapide c'était la même chose que celle d'où elle venait, la différence étant que cette fois-ci elle ne serait pas seule.

“Je...te laisse faire ton choix ? Je...oui, choisis, je t’en prie.” Un choix a prendre déjà, la galère. Pourtant simple comme décision, un lit est un lit non? Et bien ce fut assez complexe pour Olivia à cet instant. Devait-elle prendre la lit le plus prêt de son hôte, ou plutôt, sa nouvelle colocataire, ou alors le plus éloigné? Après courte réflexion, elle se contenta d'un des lits qui avait à ses côtés un bon morceaux de mur, de sorte qu'elle ait l'espace d'ouvrir une porte, coïncidence que celui-ci se trouvait à être le plus près du lit déjà occupé, ainsi que celui qui était placé au même endroit dans l'autre chambre..

"Je vais prendre celui-là dans ce cas... Si sa ne dérange personne."

Déposant sa valise sur le lit, elle réalisait a quel point elle n'avait rien pour décorer son petit coin. L'idée de se trouver un emplois à temps partiel lui vint à l'esprit, de sortes elle pourrait se procurer ce qu'elle voulait, mais bon, elle s’attarderait à cette tâche plus tard cette semaine. Elle trouva vite fait un nouvel élastique et s'empressa d'attacher ses cheveux de nouveaux. Une fois son installation rapide complétée, elle se retourna et au moment où elle allait présenter sa main envers sa nouvelle coloc pour se présenter correctement, on cogna a la porte.[/i]

“C’est...c’est pour quoi ?”

Et puis zut, les présentations attendront.

Après que l'autre fille est frappé, je vis une jeune fille ouvrir la porte, certainement ma colocataire. L'autre fille partit un peu plus loin, je ne sais pas pourquoi. On me demanda pourquoi j'étais là et je répondis alors pas très très confiante :

- Bonjour, je suis Iris Espérantis, 13 ans, je suis votre nouvelle camarade de chambre.

D'un signe de main, on m'invita à rentrer dans la chambre et c'est encombrée de toutes mes valises que j'entrais celle-ci. J'analysais rapidement la situation, il y avait 5 lits et deux étaient pris. Je hochais la tête pour saluer l'autre occupante de la chambre. Je n'avais  pas envie de parler car je me sentais assez mal à l'aise. Je n'étais pas insociable mais j'avais besoin de solitude. Il fallait que je choisisse un lit où m'installer à présent. Comment choisir ? Il fallait que je trouve un endroit avec de l'espace pour installer mon clavier et mes autres instruments et des prises électriques pour pouvoir brancher le tout. Un seul répondait à ses critères, c'était le lit, le plus isolé. Il me convenais parfaitement et je dis alors aux  deux autres filles  de la chambre :

- Désolée d'être un peu brusque comme ça mais bon, je suis arrivée il y a même pas une heure et je ne connais personne alors, je suis un peu mal à l'aise. De plus, je suis française et la traversée de la Manche de nuit a été un peu compliquée pour moi et maintenant, même si le décalage horaire est faible, j'ai du mal à m'y habituer.  Je vais prendre ce lit là comme je voies que personne ne l'utilise. Je préfère vous prévenir dés maintenant, pendant que vous êtes là, je suis musicienne et les instruments que vous voyez sont les miens alors j'aimerais que vous soyez clémentes au niveau du bruit car je joues parfois fort sans me rendre compte et si possible, j'aimerais que vous ne les touchiez pas trop. Je vous remercie d'avance

Au moins ce qui était dit, était dit et plus à dire. Je commençais à sortir mes affaires en commençant par mon clavier qui avait plutôt bien survécu au voyage. Je le branchais, l'installais sur son pied, dépliais le siège et voilà il était installé. Les deux filles que je ne connnaissais pas encore jetaient des regard curieux mais je continuais, un fois la house rangée, je m'attaquais aux vêtements que je rangeais, bien en ordre et bien plié. J'attendais à ce qu'on me pose des questions, ce qui était quasi obligatoire mais j'attendais avec impatience que les autres filles se présentent pour qu'on puisse faire connaissance.

hrp : J'ai pris la place d'Etsuko mais comme elle ne répondais pas j'ai eu envie de faire avancer le RP

J'avais attendu un certain temps dans le couloir en essayant de faire redescendre la pression de rencontrer mes nouvelles camarades de chambres. En même temps ce n'étais pas comme ci c'était la fin du monde non mais  c'était juste beaucoup trop de filles d'un coup pour moi mais il était clair que je ne pouvais pas rester la à attendre il fallait bien que je rentre dans mon dortoir à un moment donner.

Je m'avançais doucement vers la porte de la chambre et j'entendais la voix des filles à l'intérieur après tout les autres aussi avait l'air d'être nouvelle. J'avançais mon bras et donnait quelque coups contre la porte qui était rester légèrement entre ouverte ce qui fis que celle-ci s'ouvrit un petit peu plus.

N'entendant pas de réponse particulière pour moi je glissais ma tête toute timide entre l'ouverture de la porte et j'observais les jeunes filles qui déballait tranquillement leurs affaires. Je passais le reste de mon corps par la porte avant de m'exclamer.

"Euh bonjour, je suis désolé la porte était ouverte et vous ne m'avez pas entendu. Je suis Shaerina votre nouvelle camarade de chambre"

Je m'avançais un peu plus quand j'eu l'attention des jeunes filles et je les détaillais un peu plus elle avait toute un jolie visage et paraissait sympathique mais horriblement gênée comme moi à cette instant ou je ne savais pas tellement ou me ranger.

J'observais les alentours il restait un coin vide avec un lit et une petite armoire dans un coins de la chambre assez éloigné et je fus soulagé pour moi c'était le coins parfais. Je m'y dirigeais en posant mes affaires devant le lit avant de m'assoir sur celui-ci un instant ne sachant pas vraiment par quoi commencer.

Je sortais dans un premier temps mes vêtements que j'empilais sur le lit dans le but de les rangers dans l'armoire plus tard et je réfléchissais un instant n'osant pas décrocher un mot de plus à mes collègues sentant le malaise déjà présent. La chambre était sobre mais je pourrais emménager un petit peu mon coin et je savais que mon mur serait probablement déjà recouvert de dessin.

Je relevais la tête vers mes colocataires et je leurs demandait d'une petite voix

"Si j'accroche mes dessins sur ce mur ça ne vous embête pas ? non parce que sinon c'est pas grave"

Je les regardais toutes une a une attendant leurs confirmation ou non.