[Event] My Funny Valentine ! [PV Les inscrits]

par Eclypse Dim 11 Fév 2018, 15:45

Rappel du premier message :

Il fait plutôt bon pour le mois de Février, il semblerait même que la météo ait décidée d’être clémente en vous offrant de jolis nuages roses. Les cheminées et autres appareils de chauffages de l’académie fonctionnent à merveille pour vous offrir la chaleur et le confort dont vous avez besoin pour étudier et vivre sans grelotter à l’académie. Jusque là vos journées se ressemblent mais sont parfois entre-coupées d’aventures avec d’autres Académiciens de la Lune qui vous permettent de quitter ce quotidien.

Aujourd’hui aussi est un jour spécial, les cours ont été annulés toute l’après-midi par les responsables de l’académie afin que vous puissiez profiter de cette douce météo près d’un immense banquet. Attention ce n’est pas le même banquet que la dernière fois, qu’est-ce qui change ? La nourriture semble beaucoup plus rouge et blanche, régulièrement les formes s’apparentent à des cœurs et le chocolat semble omniprésent sur chacune des tables. En même temps que des roses que vous pouvez soupçonner magique vu la saison.

Pourquoi vous êtes là ? Et bien tout simplement car il y a foule et pour des raisons de curiosité vous avez dû avoir l’envie de venir. Ou peut-être pour éviter qu’un remix de l’autre banquet se produise, c’est pour ça que cette fois-ci la seule musique diffusée se trouve sur de grandes enceintes. Cette fois aucune estrade et aucun discours il semblerait, les responsables de l’académie vous laissent profiter sous l’œil attentif des surveillants qui servent enfin à quelque chose. Après cette petite aparté sarcastique laissez moi vous expliquer l’ambiance et la zone.

Il y a trois tables avec beaucoup de places mais qui ne sont que peu occupées par les Tsukiens qui préfèrent rester debout, vous êtes environ 600 dans cette zone et le capharnaüm est donc très conséquent. Vous avez presque du mal à entendre la musique si vous n’êtes pas à 10 mètres et pourtant les enceintes sont aux maximums de leurs capacités.

Pour l’instant tout se passe bien mais vous voyez dans les yeux de certains des plus anciens qu’ils ont l’habitude de ce genre de banquet. Tout ne se passe jamais comme prévu, d’autres restent à l’orée des arbres et attendent patiemment un quelconque danger. La méfiance règne dans cette journée dédiée à l’amour, que pourrait-il se passer aujourd'hui ???

Organisation de la zone:

Déroulement de l'event:

par Taïchi Kagame Sam 24 Fév 2018, 14:39

Comme je le pensais.... Ce banquet devenait catastrophique. Cela était complètement logique et cohérent que quelque chose ou quelqu'un vienne compromettre un événement de Tsuki, qui plus est, une fête commerciale comme Halloween ou Noël. Je m'étais douté que quelque chose allait arriver... Pas aussi vite malheureusement. D'ailleurs, je ne saurais expliquer ce qu'il se passe devant moi exactement...

Les personnes semblaient plus gaies, plus joyeuses... Et commençaient à enlacer d'autres personnes. C'était étrange. Je rangeais donc mon bento dans mon cartable avant de me lever et de m'avancer pour examiner la scène. C'était un spectacle assez... Stupide et disgracieux à voir. Entre les personnes câlinant d'autres, et d'autres qui utilisaient leurs pouvoirs pour frapper un... Nuage ? Et récupérer les personnes contaminées... Par quoi ? Je ne saurais le dire... Peut-être par cette odeur nauséabonde, empestant depuis quelques minutes seulement la scène.

Je ne pouvais me retenir. Je me pinçais le nez avant de prendre de petites inspirations par la bouche. Cette odeur... Elle est apparue d'un seul coup, et en plus je la détestais. Même mon nez assez fin pouvait en déduire qu'il y avait quelque chose dans ce que j'inspirais. Peut-être de la toxine... Je n'en savais rien du tout, et il était trop tôt pour en déduire quoique ce soit.

Du moins, avant que mon regard croisa celui de Kaname. Je me doutais que cette femme se trouvait ici, après tout, nos routes se croisent tout le temps. Mais était-ce nécessaire de me lancer une pierre ? Heureusement je l'avais vu faire, sinon, ce minéral m'aurait heurté.

Quoiqu'il en soit, je me décidais de rejoindre la femme, toujours en me pinçant le nez avant d'observer la scène. Il semblerait que son chat désirait pratiquer le coït... Cela ne m'avançait guère. Mais à la vu de toutes ces personnes se protégeant le nez pour respirer, mon doute s'était bien éclairci. Je pris donc la femme aux cheveux bleus par la main avant de la forcer à me suivre en direction de l'académie.

"Si ce n'est que ça... Suis moi, il faut rentrer dans un bâtiment avec que nous subissions les mêmes effets que ton chat, où d'autres personnes présentent également. Il faudra aussi nettoyer le nez du félin avec de l'eau, alors rentrons dans le bâtiment !" Sur ces paroles, j'emmenais Kaname vers l'académie en espérant qu'il n'y ait pas de complications nous empêchant de continuer la route.

HRP : Mes actions.:

par **Cry** Dim 25 Fév 2018, 18:59

Du coup j'ai attendu... et attendu... et tout ce que j'ai eu c'est des nuages roses qui descendaient du ciel... non pas comme le père noel fermez là putain. Et donc les nuages étaient content, et vas-y que je sens la fraise, et vas-y que t'as probablement pleins de kikoo dark qui étaient là « Oh mais ça sent pas bon dites donc ! Olala ! », putain même moi j'étais pas aussi débile... bon bref, l'odeur elle était EVIDEMMENT pas venue toute seule hein se serait trop simple, se serait logique... mais on est à Tsuki tout ça, la logique est dans la boue, comme ta daronne quand j'en ai fini avec elle. Moi la première réaction que j'avais eu ça avait été de faire glisser un p'tit peu mes lunettes sur le bout de mon nez pour les regarder, les nuages pas mes lunettes soyez pas cons, en mode « Hmm ? Yup, that's Tsuki alright », parce que oui, j'rappelle que j'ai vu, des zombies, une lune rouge, des terminator, une bite de loup garou trop proche de mon cul, une espèce de tas saloperie noire et je parle même pas des africains, un mec qui se croyait incognito quand on était que trois DONC AU BOUT D'UN MOMENT ! TU ME PRESENTE DES NUAGES ROSES, J'AI ENVIE DE TE DIRE LYNN IS NOT IMPRESSED. Par contre, ce que je m'étais dis c'tait

Hmm... si c'du poison, ça va être drôle... mais j'vais crever avec... meh pas grave, si c'du tranquilisant....

« Que les dieux du metal aient pitiés de mon cul » 'fin bref, j'ai assez laissé le suspense comme ça et donc la magnifique chose qui était venue avec les nuages, ch'ai pas pour les autres, mais moi c'tait Lilith qu'avait visiblement envie de gueuler dans ma tête, en plus c'tait marrant parce que y'avait pleins de monde, donc elle était fière de sa connerie la pute du coup moi, j'entends Lilith qui me gueule dans les oreilles de buter des gens, je suis une bonne Lynn' je fais quoi ? Je regarde mon corps essayer de bouger difficilement tout seul et j'essaie de l'en empêcher parce que Lilith c'est une salope mais la mauvaise Lynn', elle entend Lilith qui lui gueule dans les oreilles de buter tout le monde, elle regarde son corps essayer bouger difficilement tout seul et elle essaie de l'en empêcher parce que Lilith c'est une salope... mais c'est une mauvaise Lynn', c'est tout, y'a pas de secret, y'a pas de mystère.

Tout ça pour dire que la Lynn', bah elle était en train de galérer à pas laisser des saletés noires... oula, ça peut être mal pris ça, je rectifie, j'étais en train de galérer à pas laisser une saleté de nigga me voler le contrôle de mon KARADA. Et le pire c'tait que j'avais pas trop pigé pourquoi c'tait arrivé genre, c'tait probablement lié aux nuages parce que BIZARREMENT quand s'est descendu, je passais en mode handicapée de la vie a essayé de pas buter des gens au pif parce que c'tait pas de ma volonté à moi. Bon j'vous arrête tout de suite, j'suis sûr dans vos têtes j'étais en mode une main sur le visage à rire comme une attardée ou faire genre je suis le mec relou à la salle qui hurle à la mort pour pousser d'la fonte, bah non, j'étais juste une meuf debout constipée qui avait les bras qui tremblaient un peu, c'tout et pourquoi les bras ? Parce que les jambes aussi mais j'ai la flemme de le dire mais vous m'avait forcé à le dire quand même bravo les débiles... et bizarrement Lilith elle bougeait pas... Et là, y s'est passé un truc cool, un truc cool parce que pendant que je me f'sait chier bah je m'étais prise une putain de bourrasque dans la gueule... ou le dos... bon je sais plus mais y'avait eu du vent à un moment qui avait niqué les saloperies roses et avec tout ça, l'odeur de chiasse, la fatigue de ses morts (parce que oui ça fatigue lolilol) ET BAH C'ETAIT TOUT PARTIT OUEEEEEEEE... ugh j'en ai plein le cul. Ca s'en va et ça revient et j'en ai marre j'ai envie de crever mais je suis comme DBS sauf que je suis pas payée... et je rapporte pas de fric woohoo.

Bon du coup tout le monde jouait a un meilleur jeu que moi c'tait cool tout ça, bref je me faisais rechier du coup à attendre que Deviance se pointe... et je le sentais en plus que ça allait être un putain de running gag cette merde. M'enfin pour bien finir on va dire que j'avais vite fait remarqué les deux trois débiles qui se sentait plus à cause du nuage... oui je le savais pas à l'époque, faites pas chier maintenant je le sais, c'est le futur blablabla. Et s'ils avaient tentés un truc sur moi pendant mon moment de faiblesse baaaaaaah... le sang ça part pas au lavage... et la mort non plus, j'dis juste ça. 'tain Boss... j'ai besoin de vacances j'crois, tu tire trop sur ma corde là...
Ouais bah j'sais, pas ma faute si je suis un manager de merde hein.
Oui bon cassez vous on a fini.

J'ai fait quoi:

par Maely Dim 25 Fév 2018, 20:25

Encore heureux, la chute fut douce. Sans doute à cause de sa victime coussin qui s’était malheureusement trouvé au mauvais endroit et au mauvais moment. Une victime ou plutôt un homme utile.
Son homme utile de la dernière fois. Ouf, elle aurait pu tomber sur quelqu’un d’étrange. Comme cet homme qui ressemblait plus à une bête sauvage qu’à un homme. Cela aurait été délicat comme situation.

Qui plus est, il était un homme utile Et peu habillé.
La jeune fille utilisa son pouvoir pour faire voler un chocolat jusqu’à sa bouche tandis que le jeune homme parlait. Il semblait agacé. Encore fâché de la dernière fois ?

« Che chui très bien installée… Et toi tu m’as l’air bien débraillé pour une soirée de St Valentin. Normalement c’est une tenue d’après repas ça ! »

Le chocolat fut mangé en quatre mot, un autre vola jusqu’à sa main alors qu’elle se laissait redressée par le garçon. Un homme utile qu’elle disait.
La rousse lui glissa le chocolat entre les lèvres, comme un remerciement silencieux. Oui, elle aimait bien prendre des initiatives comme ça. Comme si tout le monde appréciait ça !
Remise sur ses pieds, elle jeta un petit coup d’œil alentour, vérifiant qu’elle n’avait pas attiré toute l’attention sur elle avant de revenir sur le jeune homme. Elle souriait, l’air ravi et amusée, alors qu’il avait encore la chemise encore grande ouverte.

« Alors c’est ça ta technique de drague ? … C’est pas un peu too much ? »

Non, elle n’était pas complètement débile. Elle avait entendu la chemise s’ouvrir pendant la chute mais ce garçon lui donnait tellement envie de le chercher… Comment comptait-il la faire taire ? C’était une idée qui l’amusait.
La dernière fois, il s’était sauvé, quel ennui !
Enfin, arriva un moment étrange. Comment dire… un peu gênant également. Deux gars qui se câlinaient à gauche, un mec de son âge qui enlaçait une toute gamine à droite. Ils étaient devenus fous ceux-là ?

La jeune fille entendait des exclamations, des incitations à se boucher le nez. Elle leva alors les yeux au ciel et vit les nuages roses qui descendaient bien bas. Pas vraiment naturel tout ça. Déjà ils étaient roses mais ça elle s’était dit qu’on avait balancé un truc chimique dans les airs pour la jouer un peu plus romantique.
Pas top pour l’environnement mais bon. Du moment qu’il y avait à manger elle s’en fichait un peu en fait…
Et maintenant les nuages descendaient, comme mu d’une volonté propre. Qui avait ce pouvoir-là ici ? L’académie Tsuki devait regorger d’étranges pouvoirs, pourquoi pas celui-là !
Les sourcils haussés, indifférente à l’odeur qu’elle percevait à peine, elle reporta son attention vers le jeune homme.

« Je te préviens, je suis pas fan des free hugs en public ! »

par Narok Dim 25 Fév 2018, 20:38

Elle explosa de rire une fois que la comparaison fut évidente pour elle, ce qui me permit de rire avec également, et de bon cœur. Ça faisait bien longtemps que je n’avais pas ris avec quelqu’un, généralement c’était des cris des larmes et du sang, pas de rire. Ça me faisait un petit quelque chose de réexpérimenter ça avec elle, de voir son visage sans aucune trace de sentiment négatif. C’est plaisant de voir qu’on peut apporter quelque chose à quelqu’un, mais aussi le spectacle était appréciable et apprécié. Bientôt nos rire finirent par se tarirent et le sérieux reviens un peu.

« Cela serait dommage de redevenir brune tu ne pourrais plus utiliser le surnom de nounours ! Je serais triste après ! »

Je sautai directement sur cette remarque.

« Nan t’es foutue, Ad vitam aeternam tu resteras nounours! »

Malgré sa mise boudeuse ça se voyait qu’elle aimait ça, et le jeux d’acteur me fit rigoler encore un peu. Pauvre petit nounours ! Mais elle finit rapidement par retrouver un air moins amusé et plus accablé.

« En fait, je ne me souviens pas exactement de tout, un soir j’étais partie de l’académie, j’avais dérivé jusqu’aux rives en marchant pendant des heures à cause d’une mauvaise nouvelle … Et puis je suis rester des heures là bas je crois que j’étais clairement en hypothermie d’ailleurs, Aegis m’avait retrouvé à cause du lien qu’on avait avec le pouvoir, et puis je me souviens pas de tout, tout ce que je sais c’est que à un moment il est tomber j’ai voulu le rattraper et au moment où je le tenais je me suis pris un éclair à cause de l’orage. Et quand je me suis réveillé après ça je n’avais plus froid alors que mes mains étaient gelées, c’est un peu vague … Mais je faisais de la glace sans vraiment m’en rendre compte … »

Je vois, c’était bien ce que je pensais elle avait eu droit au service complet pour changer de pouvoir. Quant à la nouvelle je n’allais pas revenir sur le sujet, si ça l’avait miner à ce point-là, ça ne pouvait être que quelque chose de grave et qui avait changé la donne de manière générale dans sa vie, mieux valait laisser ça là. Tout en aspirant à la paille pour boire mon verre, j’observait Shaé avec beaucoup d’attention tandis qu’elle regardait ailleurs. J’aimai bien la couleur de ses yeux, et aussi ils en disaient long sur tout le ressenti qu’elle avait vis-à-vis des événements qu’elle venait de relater. Elle finit par secouer la tête, signal pour regarder ailleurs ce que je fis tout de suite, après tous les gens n’aiment pas trop être fixé, surtout pas à leur insu. Je plantai mon regard sur le peu de ciel que je voyais depuis mon positon dans mon fauteuil, profitant de la vue de nuages roses alors qu’elle parlait.

« Au banquet, je t’ai vue soigner du monde, mais je ne voulais pas aller te déranger je trouvais qu’il y avait plus important à soigner que moi. Mais après tout si je peux me débarrasser des affreuses cicatrices … Pourquoi pas ? J’ai une multitude de petites brûlure, ainsi que le bras qui a pris énormément, les chevilles que Noa m’as déchiqueté dans un combat mais que Jinn avait soigné le mieux possible et puis ben celle du banquet … »

Attend c’est Noa qui lui avait déchiqueté les chevilles ? Et après ça il osait me faire le moral. Sans déconner je n’ai jamais vu plus hypocrite que ça de ma vie. Je ne manquerais pas de lui faire une crasse à l’occasion à celui-là. Si je ne me retenais pas j’irais lui entailler les chevilles tout de suite même !

« Non tu aurais dû venir me voir tout de suite, pour moi c’était important. Pour moi c’est important de savoir que si t’as besoin d’aide que tu n’hésite pas à venir me voir, je t’aiderais peut-importe ce que tu me demande. T’es mon seul nounours après tout ! »

Je profitais de souligner mon intention en lui souriant avec tout ce que j’avais pour me redresser et me placer droit, les pieds sur l’herbe. A part elle, je ne sais si j’avais encore des amis à Tsuki, tout au plus des connaissances sympathiques, mais rien de comparable à ce que je pensais avoir avec Shaé. Après tout, rien n’était arrivé de négatif entre nous jusque-là, même au contraire je lui avais cassé la clavicule bien malgré moi et ça avait scellé notre rencontre avec de bon souvenirs.

« Comme je te l’ai dit, si tu veux on peut le faire tout de suite, personne ne verra rien, mais c’est peut-être mieux de remettre ça à plus tard, tu te sentiras surement plus à l’aise si on fait ça dans un espace un peu plus intime. Parce déjà moi rester dans un endroit surpeuplé comme ça, c’est pas mon truc, alors en plus si on doit faire ça ici. C’est pas géniale. »

Je me frotta le nez à la fin de ma phrase, des bulles de mon soda étaient remontées me chatouiller le nez. Malgré tout mon pouvoir j’étais bien impuissant face à cet événement désagréable, j’avais horreur de ça ! Bah, ça sentait la fraise à plein pot ! Je réprima un éternument le visage tout couvert de grimace, et finalement échoua en éternuant de plein de fouet sur ma droite, me couvrant le visage de ma main par politesse. Wow, j’avais la tête qui tournait avec cette vieille odeur de fraise qui prenait position dans mes narines. Je tenta de me lever pour respirer en bon coup et passer cette sensation désagréable mais je perdit l’équilibre et parti trop en avant, allant directement à la rencontre de Shae. M’étalant presque sur elle, je tenta de me retaper en appuyant mes mains sur le fonds du dossier mais la forme arrondi m’empêcha d’avoir une bonne prise et glissa complétement sur elle. Je me retrouvai la tête à côté de la sienne, près de ses genoux, les mains posées sur son dos et mes yeux dans les siens, inévitable à cette distance. Je la regardais sans rien dire, la tête qui tournait toujours, je ne savais pas pourquoi mais je me mis à rougir aussi fort que ça sentait la fraise, peut-être parce que j’avais son verre de renversé sous moi et qu’il me coulait sur le bas de mon ventre. Mes mains dans son dos cherchaient une solution et mes doigts bougeaient tout seuls. Je me retrouvait bien malgré moi à papouillé le dos de Shaé à travers ses cheveux.

« Je me souvenais pas que c’était aussi doux la peau de nounours… Tes yeux son magnigiqueEEEEEEE !"

Je ne compris pas tout de suite pourquoi, mais je m’éloignais de mon nounours, les mains tendues en avant dans l’espoir de saisir quelque chose pour m’empêcher de partir. Mon menton rencontra le sol se qui me claqua les mâchoires et me sonna un peu. Juste le temps pour moi de perdre mon vertige et de me retourner pour voir que j’était trainé par un Noa torse-nu, à qui était lié une grande substance noir qui faisait le lien entre lui et ma cheville alors que je grattais le gazon.

« Mais lâche moi ! »

Je tentais en vain de me défaire de son emprise en utilisant mes mains, et pas mon pouvoir, sur cette substance noir et écailleuse qui me grignotait la peau.

« NON ! NOUNOURS AIDE MOI ! Il ME FAIT MAL AU CHEVILLE ! S’IL TE PLAIT JE TE PAPOUILLERAIS MIEUX PROMIS ! NOUNOURS !!! »

Je grattais le sol avec mes mains pour me tirer vers elle mais la traction de Noa était implacable. Ce que je disais n’avait aucun sens, était embarrassant, et si je n’étais pas dans un état second j’aurais surement envoyé Noa sur la lune, mais je ne voulais que retourner auprès de Nounours pour lui faire des câlins polaires.

Résumé:

par **Myo'** Lun 26 Fév 2018, 03:46

J'recommençais encore une fois à donner de l'intérêt à des choses auquel je ne devrais même pas me soucier, mais alors vraiment pas du tout. Qu'est ce que j'étais venu foutre au milieu de tout ces pauvres moustiques, ils bourdonnaient de plus en plus dans mon oreille comme des petites vermines qui s'affolent le jour des soldes. C'était si incroyable de les voir tous gambader comme des petites gazelles. A vomir, c'était plutôt à vomir. Quelle idée de crée un jour, un jour ou tout serait que total love. Surtout que, enfin je suppose qu'il y a environ 80% des gens ici qui ne sont que de pauvre célibataire. Ça expliquait sans doute la folie dans laquelle ils étaient en ce jour, ça leur donnait un bon prétexte pour draguer. C'est vrai qu'il était pas mal de passer sa soirée de saint valentin au côté d'une douce créature. Enfin sauf les soirs de ligue des champions, un temps pour tout s'il vous plait. De toute manière, qui dit homme fou dit que t'as pas le droit d'espérer pouvoir prétendre à ce genre de relation, donc bon voudrait mieux que j'ferme ma gueule.

D'ailleurs en parlant de ça, une de mes ex petites amies me disait souvent que je ne la rendait pas totalement malheureuse dans le fond. Malgré mes excès de colère et mon égoïsme pousser à l'extrême. J'étais à la fois idéaliste et égoïste, quelques choses qui pourrait paraître contradictoire au premier abords mais si vous décidiez de vivre dans un monde idéal, pourquoi ne pas faire de vous la seul personne au dessus de tout le monde qui serait qu'égaux? Pensez à ce que j'viens de vous dire et on en reparle après. Et donc, cette gentil fille me disait souvent une phrase, qui me tape encore dans la tête à l'heure d'aujourd'hui, c'est pour vous dire à quelle point cette petite conne avait marquer ma vie en une simple phrase. Elle me disait souvent que j'étais quelqu'un de bon dans un esprit tordu. Une jolie phrase que je me suis répété plus d'une centaine de fois quand tout ce que je faisais n'était qu'horreur. J'utilisais cette phrase pour entre guillemet me rassurer de ce que je faisais, j'étais peut être fou à ce moment la mais ça n'était pas de ma faute.. Ma bonté est enfermé en moi même et ne ressortira sans doute jamais.

Ces quelques pensés avait sans doute détruit mon cerveau pendant l'espace d'un instant. J'écoutais malgré tout ça ce que la jeune fille avait à me dire. Comme je l'espérait, elle n'avait pas réussi à mettre un prénom sur mon visage. Moins il y a de personne qui me connaisse ici mieux j'me porterais. Enfin bref, changeons de sujet, valait mieux qu'elle ne mette pas plus de souvenir sur mon visage.

« T'es une dure à cuire, c'est bien. » répondis-je simplement en continuant de fumer ma cigarette.

J'comptais lancer un nouveau sujet de conversation mais un petit corps tenta malencontreusement de bousculer mon grand corps. Ce qui semblait être une jeune fille sur l'instant, me percuta légèrement avant de rebondir 1 mètre plus loin de moi sans tomber. Mon bras c'était lever par réflexe pour lui éviter de tomber si jamais elle l'avait fait mais tout allait bien. Je me contenta donc d'attendre que la personne en face de moi daigne s'excuser. Ce quelle ne fit pas bien entendu, puis que les princesses comme elle ne le font jamais. Opop lisez la phrase d'avant sur un ton ironique s'il vous plait, cette petite arrogante méritait son titre de princesse à langue bien pendu, toujours à dire un truc de trop. Mais je lui pardonna très rapidement puis que la duchesse à daigner me reconnaître sans aucune hésitation. Quoi qu'elle aurait pu éviter de sortir mon blaz comme ça devant tout le monde alors que je venais d'éviter me présenter.

« Ohhhh mais ça ne serait pas la plus belle du monde entier? » commençais-je sur un ton sarcastique « Hée par contre lève la tête la prochaine fois s'teuplais, on fait pas tous ta taille. » lançais-je en pouffant de rire quelques secondes après avoir fini mes dires.

Elle avait peut être eu le temps de me répondre après ces quelques mots. J'eu le temps de jeter un coup d’œil sur ce quelle tenait entre ses mains et pendant quelle me répondait possiblement, je plongea ma main discrètement enfin vite fais m'enfin on pouvait très clairement voir que je ne voulais pas tout lui arracher des mains. Je pris donc une friandise avant de la glisser rapidement dans ma bouche en souriant comme un gamin. Elle n'avait pas changer d'un poile, toujours aussi élégante et sur d'elle. J'appréciais de pouvoir passer du temps avec elle même si les autres fois n'ont été que des malheurs pour elle et moi. J'espérais donc qu'en se jour plus tranquille que les autres fois on puisse apprendre à un peu plus ce connaitre.

Alors que je regardais Himiko d'un air amusé, un type vint derrière elle d'une manière assez déplacer puis qu'il bousculait tout ce qu'il avait croisé sur son chemin. Il avait l'air bourré ou drogué je ne sais pas trop ce qu'il foutait mais sur le coup j'me disais qu'il allait passer à côté de en nous bousculant comme il l'avait fait plus tôt. Mais non vous savez pas ce qu'il a fait ce pauvre fou. Il s'approcha donc derrière Himiko, la collant légèrement avant de glisser sa main sur le bas de son ventre et de tenter de remonter vers sa poitrine.. J'étais sur le coup subjuguer par le culot que venait d'avoir se pauvre petit garçon, cela ne dura quelques secondes j'vous rassure. Puis qu'avant même qu'elle ne puisse réagir à ce geste des plus déplacé, ma main s'accrocha sur le poignée fébrile d'une jeune homme. J'aurais pu m'arrêter la mais vous m'connaissez et ce genre de manque de respect je peux pas le tolérer, surtout qu'il avait eu la mal chance de tenter de faire ça une personne que j'estimais beaucoup et devant moi en plus de ça. C'est alors que je le tira brusquement vers moi, j'éleva par la suite mon genoux vers sa tête supposant qu'avec toute la force que j'avais mit pour le tirer vers moi et le fait qu'il ne soit pas totalement lui même il ne puisse résister à s'agenouiller devant moi avant de se prendre mon coup au niveau du menton. Alors qu'il venait tous juste de potentiellement tomber au sol, ce même genoux vint s'écraser sur le ventre de petit gars qui ne méritait sans doute pas toute cette haine. La domination flagrante me permis donc de lui coller une puis deux puis trois coup de poing avant qu'un bourasque vienne me faire vaciller quelques peut sur le côté.

Déranger, je laissa le jeune homme au sol dans l"état qu'il serait. Je jeta ensuite un regard vers l'endroit d'ou aurait pu venir ce vent pas normal du tout. Je savais au fond de moi que seulement deux personnes pouvait faire ressentir autant de puissance dans un coup. L'un n'ayant aucune raison de venir se mêler à des personnages insignifiant que cela, je ne tarda pas à très vite supposé que ça ne pouvait être que Jinn et personne d'autre. C'est avec stupeur que je vis l'endroit autour de moi se transformer en un champs de bataille au sens figuré. Un gars que je ne pouvais distingué s'amusait à balancer de droites à gauches des gens pour les réunir à un endroit que je ne pouvais pas voir d'ou j'étais.

Quel foutoir, j'venais tout juste de revenir et eux ils foutent encore la merde. Genre il y a pas moyen que quelques chose ce passe bien dans cette école, c'est incroyable mais genre c'est tellement incroyable que j'ai l'impression que je vis dans un foutu rêve et que j'vais me réveiller quand j'mourrais. La normalement, j'dois continuer de taquiner Himiko, de la faire rire et puis plus si affinité mais non faut que des mecs sortie de nul part face leur spectacle. Et puis j'sais pas, oh, c'est mon retour, c'est la saint valentin, putain dieu la vie de ma mère sur ce coup t'as encore pas été un bon j'suis désolé. Y'a encore un pti con qu'a drogué la bouffe et qu'a foutu le bordel dans le banquet, bah ouais comme d'habitude. Mais bon, y'a Jean-jinn qui est encore la pour sauver le monde, putain qu'est ce que j'pouvais l'envier celui la, il est trop serein dans sa tête mais il était la pas lui quand on s'est tous fait niker notre mère.

J'étais tellement énerver à ce moment la qu'on pouvait très clairement le voir sur mon visage. J'en pouvais plus, j'avais envie d'exploser, jje ne pouvais jamais passer un moment tranquille ici, jamais.

par Lya Lun 26 Fév 2018, 11:25

[Event] My Funny Valentine ! [PV Les inscrits] - Page 3 81790310

Je releva les yeux vers les arbres pour scruter Noa avec un sourire amusé. Son regard croisa le mien et il me sourit non sans une certaine malice dans le regard, exprimant une surprise à me voir là. Oui il m'arrive parfois de me mêler à la plèbe aussi insignifiante soit elle. On y trouvait parfois des perles et le charmant homme qui laissait son regard glisser sur mon décolleté en faisait parti. Il y avait un autre homme à coté de Noa mais il ne présentait pour l'instant aucun intérêt. Tout en muscle, certes, mais même pas la peine de se trouver des vêtements décents que ceux de l'académie. Cela faisait tâche dans le paysage mais je reportais mon attention sur Noa qui avait eu du gout pour se vêtir élégamment. Il me proposa d'ailleurs de se joindre à eux, faisant une sorte de balançoire avec deux tentacules. J’acquiesçai et m’assit sur ces tentacules, agrippant l'une d'une main pour me tenir jusqu'à ce que je me retrouve à coté d'eux. Je saluais l'homme à coté de Noa d'un signe de tête poli mais ne le calcula plus par la suite. Mon intérêt se portait sur Noa.

_ Il parait qu’il est d’usage d’offrir ce genre de chose aujourd’hui… Je suppose que la foule vous à empêcher de profiter du buffet, prenez donc dans ma réserve personnel.

Il m'offrit galamment une rose que j’acceptai avec plaisir, riant doucement de ces manières mielleuses.

- Votre galanterie est à la hauteur de vos charmes , Mon cher et j'accepte votre rose avec plaisir .

Je respirais l'odeur de la fleur en jetant un regard ... brûlant ... à Noa mais ne rajouta rien puisque nous n'étions pas seuls.

_ Alors dites-moi… Qu’est-ce qui flatterai votre palais ?

- Je crois que je vais me laisser tenter par un petit mélange de fruit et de chocolat.

Il me tandis quelques petites douceurs et j’attrapai une fraise entre mes doigts , la trempant un peu dans du chocolat blanc et sans quitter Noa du regard, , passant le bout de ma langue sur la matière blanche puis croqua délicatement le bout du fruit.
Clairement, nous jouions tous les deux et nous nous jetions quelques regards complices et malicieux papotant de tout et de rien. Noa essayait d'inclure au maximum le "monsieur muscle sans style" dans la conversation mais il semblait être ailleurs et je jetais quelques coups d’œil à la foule en contrebas.

Des couples qui roucoulent, s'embrassent sur la main de manière pieuse et si ridicule, des filles esseulées , des hommes qui se cachent derrière la fumée de leur cigarette, d'autres qui jouent les maladroit et se retrouvent allongés au sol , une fille "comme par hasard" tombée pile au bon endroit ... et quelques uns qui semblent regarder en l'air ... Ce genre de scène d'un pathétique palpable ou chacun joue son petit rôle d'amoureux transis ou de pauvre célibataire en quête d'amour. Comme si aujourd'hui seulement, ce genre de comportement était justifiable et approuvé. Alors qu'au final, l'amour n'est qu'une vaste mascarade dans laquelle se languir bêtement.

Mais d'un coup , j'entends un bruit sourd à coté de moi et en tournant la tête, je vois Monsieur muscle qui câline Noa ... ummh ... Ok ... pourquoi pas ...

_ Qui veut un Free Hug par ici ? Oh Noa ! Viens par là viens Frère !

Noa a l'air gêné et ça me fait bien rire de voir son embarras. Monsieur Muscle ne serait pas à son gout ?

_ Bro même si ça me fait plaisir de te voir à nouveau aussi Joyeux ressaisi toi t’es pas donc ton état normal !

En effet, il me semblait que d'autres personnes commençaient à se câliner un peu trop familièrement et un odeur assez écœurante de fraise commençait à devenir oppressante Noa me tendit un mouchoir, après qu'il ai couvert son nez et sauta de l'arbre et je le suivis. Je me rappelais une demoiselle qui avait parlait des nuages roses et je remarquais qu'ils étaient très porche de la foule ... ça venait de là cette odeur ? Ou était ce autre chose ? Quoi qu'il en soit, ça commençait à devenir trop "bisounours ici" et je n'avais pas envie qu'on me touche.
Noa retira sa chemise et son veston pour me les tendre, me demandant de les lui garder. J'acquiesçai en observant ce pitoyable spectacle.
Il sorti ces tentacules et ramena vers nous l'espèce de tigre pour le caler contre l'homme muscle.
Moui autant mettre les calineurs dans un coin.
Mais le premier qui m'approche se prendra une belle gifle.

Résumé:

par Chester Lun 26 Fév 2018, 14:53

"Je... Nan, tu... Tu peux garder la photo, j'en veux pas, c'est bon"

Il recula de quelques pas, c'était comme si il avait peur de la photo. Je la regarde de nouveau mais ne vois que son visage sérieux. Il a peut de lui-même ? Ça doit sûrement pas être le fait qu'il ne s'est jamais vu dans le miroir, c'est impossible. Je regarde la photo attentivement mais il n'y a pas grand chose, est-ce que ça a un rapport avec son pouvoir ? Sûrement, oh non qu'est-ce qu'il a pu voir pour être comme ça ? Il fait un sourire comme pour essayer de détourner mon attention et je fais une tête sans expression en le regardant. Je ne suis pas dupe.....Le professeur partait en direction d'un groupe de surveillant. J'ai commencé à le suivre mais je me suis arrêté après avoir réfléchis que je ne servirais à rien, les adultes ne font confiance qu'aux adultes pour ce genre de tâches. Je regardais autour de moi et analyse la situation moi-même, certaines personnes avaient l'air euh disons très affectueux envers les autres et d'autres qui regardaient le ciel alors j'en fais de même. Un immense nuage descend tout doucement vers le sol et je commençais à sentir une douce odeur de fraise, comme je trouvais suspect je cours en dehors de la foule pour aller sous un arbre et réfléchir. Encore un élève avec ses pouvoirs ? Il faut toujours que ce soit comme ça, on ne peut jamais être en paix. Ça ne va pas parce que le nuage recouvre tout le jardin, il est vraiment énorme. Je cours en direction du bâtiment qui pour une fois était assez vide sûrement parce qu'il n'y a pas de cours aujourd'hui. Qu'est-ce que je peux faire pour les aider ? Est-ce que je vais encore être inutile dans une situation pareille ? Et pourquoi à chaque fois il faut qu'il y ait un truc qui ne va pas ? D'ailleurs qui est à l'origine de tout ça ? Il faut que je le découvre. Je cours tout en haut du bâtiment et regarde à travers mon appareil photo en zoomant, bien sûr je prends aussi des photos drôle de tout le monde surtout ceux qui font des câlins aux autres. J'observe le ciel et le jardin. Je me dis à moi-même :

"Encore une fête qui tourne bien....."

Résumé, je l'avais oublié:

par Invité Lun 26 Fév 2018, 17:40

Narok observait distraitement le ciel après avoir détourné le regard quand j’avais reporté mon attention sur lui je levais aussi alors les yeux vers le ciel quand j’eu fini de parler. Le ciel était particulièrement joli aujourd’hui bien que pas naturel les nuages roses flottaient doucement au-dessus de nos têtes comme de la barbe à papa tout ça c’était sûrement l’œuvre de quelqu’un ici qui possédait un don pour ce genre de chose.

« Non tu aurais dû venir me voir tout de suite, pour moi c’était important. Pour moi c’est important de savoir que si t’as besoin d’aide que tu n’hésites pas à venir me voir, je t’aiderais peut-importe ce que tu me demandes. T’es mon seul nounours après tout ! »

Narok avait enchaîner vivement, j’avais rabaissé mes yeux à sa hauteur à le regarder curieusement. J’étais un peu surprise qu’il considère que c’était important quand pour moi ce genre de chose ne l’était pas forcément. J’appréciais de savoir que si j’avais besoin un jour bien que je ne demande jamais d’aide je pourrais aller le voir sans problème, je n’avais personne ici que je pouvais aller voir quand j’avais besoin, j’avais appris à toujours me débrouiller depuis que j’étais jeune alors cela ne me dérangeais pas vraiment, mais en cas de coup dur c’était toujours bien d’avoir une personne sur qui s’appuyer un peu. Je souriais à l’entente du surnom dont il m’avait affublé plus je l’entendais plus je l’aimais bien.

Narok se relevait avec un grand sourire comme je n’avais jamais rien vue de tel bien droit sur ses jambes et je relevais la tête pour continuer de regarder sont visage. Le genre de sourire qui peut illuminer une journée. Je ne connaissais pas des masses de monde à Tsuki et il faisait partie des rares personnes que j’avais rencontré ici et en plus de ça le seul avec qui je m’entends bien aussi facilement comme si c’était naturel, comme si on se connaissait depuis toujours.

« Comme je te l’ai dit, si tu veux on peut le faire tout de suite, personne ne verra rien, mais c’est peut-être mieux de remettre ça à plus tard, tu te sentiras surement plus à l’aise si on fait ça dans un espace un peu plus intime. Parce déjà moi rester dans un endroit surpeuplé comme ça, c’est pas mon truc, alors en plus si on doit faire ça ici. C’est pas géniale. »

Je levais un sourcil interrogateur avant de finir par comprendre de quoi il parlait avant de rigoler doucement, bien sur il parlait de la proposition de me soigner les cicatrices que j’avais. Bien qu'une personne qui aurait pu entendre nos conversations se serait bien demander de quoi nous parlions. Je réfléchissais même si la réponse était bien évidente, nous verrions ça plus tard, nous avions cas rester profiter du banquet et nous aurions bien l’occasion de voir ça plus tard, sauf s'il comptait disparaître à nouveau, un léger pincement au coeur se fit ressentir, j’avais visiblement peur que chaque personne que je rencontre ici disparaisse.

« Non … On verra ça plus tard t’en fais pas »

Je continuais de l’observer lui qui était debout devant moi, déjà qu’en temps normal je ne me sentais pas spécialement grande mais encore ce n’était rien comparer à maintenant. Le côté pratique et sympathique c’était qu’il me cachait les yeux du soleil et pour une fille aux yeux clairs comme les miens c’était vraiment une bonne chose.

Narok se frottait le nez d’un petit geste assez adorable et je me prenais à penser que c’est plutôt lui qui ressemblait à un nounours pour le coup, mais c’était un autre surnom que je devrais lui donner je suis sûr que je ne manquerais pas d’imagination pour en trouver un prochainement. Une odeur de fraise arriva jusqu’à moi, sucrée, écœurante, quelqu’un avait mit de la fumée goût fraise ? Narok éternua me faisant sursauter, l’odeur continuait d’envahir l’espace et je fus prise de nausée, je détestais les odeurs trop sucrée comme celle-ci c’était insupportable. J’arrêtais donc de respirer par le nez et couvrait celui-ci d’une main en faisant une grimace de dégoût, finalement on pourrait peut-être quitter la place plutôt que je ne le pensais.

Les yeux droits devant moi je voyais Narok tanguer légèrement, lorsque je portais mon attention sur son visage celui-ci était légèrement plus pâle que d’habitude comme si lui aussi allait être malade à cause de l’odeur. Soudain celui-ci prit une grande inspiration et il tangua de plus en plus, j’allais poser mon verre par terre pour venir l’aider lorsque celui-ci ne tenant plus sur ses jambes s’écroula sur moi dans le fauteuil. Je le sentis essayer de se débattre avec le fond du dossier mais c’était véritablement en vain, pour ma part j’avais reculé légèrement dans le fond de celui-ci. Soudain je repensais à mon verre que j’avais dans les mains avant la collision et qui devait probablement avoir déversé sont contenu à présent sur Narok. Celui-ci finit par s’immobiliser un instant, mes yeux rencontrèrent les siens et je rougissais par la proximité de celui-ci, n’osant pas tellement bouger. Les joues de Narok ne tardèrent pas à se teinter légèrement et je me mordais l’intérieur de la joue la situation était assez embarrassante. Je continuais d’observer ses yeux attendant qu’il se relève ou que je finisse par le pousser moi-même, je ne connaissais pas Narok comme ça, celui-ci ne ressemblait pas à celui qui était devant moi les minutes d’avant et il semblait dans un autre monde à cet instant précis.

Les doigts de Narok se retrouvèrent sur mon dos me faisant frissonner, celui-ci jouait avec ses doigts le long de mon dos à travers mes longs cheveux. Je regardais celui-ci avait des gros yeux l’air de lui demander qu’est ce qu’il faisait. Je perdis le réflexe un instant de respirer par la bouche et l’odeur de fraise empoisonnait à nouveau mes narines, je grimaçais à nouveau cela n’augurait rien de bon selon moi.

« Je me souvenais pas que c’était aussi doux la peau de nounours… Tes yeux son magnigiqueEEEEEEE ! »

Je ne pus m’empêcher d’exploser de rire face à la scène, c’était confirmer Narok n’était pas dans son état normal. Je levais les yeux pour essayer de voir devant moi mais nous nous étions un peu isolé et du coup mon champ de vision était réduit. La remarque de Narok était hilarante étant donné que je n’avais pas réellement de la peaux de nounours. Soudain je sentis sont corps glisser contre le mien et tomber par terre, j’essayais de le rattraper mais la chose qui l’entraînait avait été plus rapide que moi. Précipitamment je me relevais, peu être un peu trop vite car le monde autour de moi se mit à tourner quelques secondes. Je suivais des yeux Narok pour m’apercevoir que ça cheville était attacher par une des tentacules de Noa et je lâchais un juron, car je me souvenais parfaitement que cela n’était pas sans douleur.

« Mais lâche moi ! »

Narok semblait avoir retrouvé un peu de contenance et se tournait pour voir qui le tenait ainsi, j’observais les alentours. Noa semblait réunir des personnes dans un coin qui eux aussi semblait des plus bizarres. Je voyais mon papouilleur essayer de se débattre avec ses mains pour tenter de se libérer de l’emprise de Noa. Je ne réagissais pas tout de suite, je connaissais le pouvoir de Narok et j’étais sûr qu’il pouvait s’en libérer mais celui-ci abandonna et ne se servit même pas de son pouvoir.

« NON ! NOUNOURS AIDE MOI ! Il ME FAIT MAL AU CHEVILLE ! S’IL TE PLAIT JE TE PAPOUILLERAIS MIEUX PROMIS ! NOUNOURS !!! »

Je réfléchissais à toutes vitesses, je ne savais pas si Noa avait encore perdu le contrôle sur son pouvoir ou si lui aussi était dans un état second de droguer. Je me jetais par terre sur Narok pour lui attraper les mains le temps de trouver une solution, celui-ci avait un air effrayé d’enfant qu’on enlève à mère et c’était difficile de ne pas rire à ses remarques. Je tirais sur ses poignets pour faire stopper sont avancement sur le terrain du banquet. Mais le fait de savoir que les écailles de Noa étaient tranchante et étaient à ses chevilles me motivait suffisamment. J’allais encore probablement passer un savon à Noa après ça.

Autour de moi les nuages qui étaient dans le ciel auparavant étaient autour de nous, et avaient l’air d’avoir un effet néfaste sur certaines personnes. Des grands gaillards se câlinaient et c’était devenu du grand n’importe quoi. Je me concentrais un instant, et essayais de faire taire le bruit autours pour éviter de geler tout le monde. Je m’arrangeais pour enfermer Noa dans de la glace jusqu'au niveau des hanches en gelant ses tentacules aussi dans une glace à peine solide juste le temps de l'immobiliser suffisamment longtemps. Le pauvre aurait surement très froid mais par rapport à ce que je savais sur les deux loustics si celui-ci était droguer aussi je ne pouvais pas me permettre de les laisser ensemble.

« Noa ! Laisse le ! »

Cela ne sonnait pas comme une proposition mais comme une affirmation pour que celui-ci n’insiste pas. L’avantage c’était qu’il ne m’en voudrait sûrement pas trop car il avait l’habitude que je le géle et je ne doutais pas qu'il pouvait facilement s'en sortir. Je regardais Narok toujours allonger au sol les poignets emprisonnés dans mes mains. Je lâchais celle qui commençait à geler au niveau des doigts la rendant partiellement inutilisable.

« Narok ? Ça va ? Tu sais si tu veux des câlins il suffit de demander pas besoin de dévorer tout le jardin pour ça. »

Je lui souriais en attendant de voir si celui-ci allait reprendre ses esprits ou non. J’envisageais si la situation dégénérais trop d’enfermer tout ceux qui seraient en manque de câlin dans une cage histoire qu’on voit ce qu’on puisse faire d’eux. En ce qui concernait Narok je pense que je pouvais le gérer facilement pour le moment. Je me relevais sur mes genoux en tirant sur sont bras pour qu'il se relève avec moi la tentacule de Noa l'ayant probablement lacher à cause de la glace. Je le tirais avec moi pour nous emmener sur les bords du banquet et sortir de la foule afin qu'on puisse mieux voir.

« On passe un deal tu reste avec nounours ok ? »

Un bruit se fit entendre et un courant d'air d'une grande violence venait s'écraser contre nous, je me protégeais les yeux avec mon bras et l'odeur de fraise qui nous piquait le nez depuis le début s'évapora autour de nous, le courant d'air nous déséquilibra et j'entraînais Narok que je tenais avec moi dans la chute. Mes fesses entrérent en contact avec le sol pendant que ma main resta fermement poser sur le bras de Narok qui tombait prêt de moi les jambes emmêler avec les miennes. Je regardais abasourdit la scène devant nous avec deux yeux rond ne sachant plus tellement m'y retrouver dans tout ce remue-ménage.

Ce que je fais:

par Himiko Mar 27 Fév 2018, 03:54

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— Ohhhh mais ça ne serait pas la plus belle du monde entier ? commença-t-il sarcastiquement.
Hée par contre lève la tête la prochaine fois s'teuplais, on fait pas tous ta taille.

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C'était avec le sourire aux lèvres que le jeune homme aux cheveux rouges flamboyants me répondit et comme à son habitude, il ne tarda pas à me lancer une pique. Il fallait dire que ce dernier adorait faire des remarques désobligeantes, tout ce qui sortait de sa bouche - ou presque - était venimeux, ce qui avait tendance à ternir sa réputation auprès des autres. Pourtant, si vous le connaissiez un tant soit peu, vous sauriez qu'il ne le faisait, en réalité, que dans le seul but de taquiner ou d'embêter. Ou tout simplement parce qu'il était comme ça après tout ? Je n'étais pas réellement bonne lorsqu'il s'agissait d'analyser le comportement des gens. N'aimant pas m'attacher aux autres, le fait de devoir fréquenter des idiots me rebutant, j'avais toujours fait en sorte d'éloigner les mauvaises herbes et elles étaient nombreuses, croyez-moi. Pourtant, je devais bien avouer que le jeune homme me faisait plutôt bonne impression, ce qui était rare puisque très peu de personnes avaient mon estime dans cet établissement.

Haussant les épaules, je ris à mon tour face à la remarque que vient de faire Myo'. Il ne semble pas avoir beaucoup changé depuis la dernière fois que nous nous sommes vus ce qui me met, d’emblée, très à l'aise. Décidant d'entrer dans son jeu, je finis par tourner une fois sur moi-même afin d'appuyer ses propos.

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— Oui c'est bien moi, en chair et en os ! commençais-je, le rire aux lèvres avant de prendre un air faussement vexé.
En voilà des façons de parler à une lady ! Mais je te pardonne ! Après tout, tout ce qui est petit est mignon. Et puis ton compliment était très flatteur, je vais donc laisser couler pour cette fois.

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Alors que je saluais rapidement la jeune fille aux cheveux bleus qui se trouvait près de Myo' et à qui j'avais, il y a bien longtemps, attribué le surnom de schtroupfette, mon attention fut étrangement attirée par les nuages aux couleurs de l'amour. Ces derniers se trouvaient être bien bas dans le ciel et semblaient même n'être qu'à quelques mètres de hauteur au-dessus de nous, ce qui n'était pas des plus rassurant. Une odeur assez sucrée, de fraise si je ne disais pas de bêtise, avait d'ailleurs envahi le jardin, cette dernière s'intensifiant au fur et à mesure que les nuages progressaient dans leur décente. Pour être honnête, j'avais l'habitude des coups foireux de Tsuki, ces événements ne m'impressionnaient donc pas réellement puisque j'avais connu bien pire lors des banquets précédents. Pourtant, je restais tout de même sur mes gardes. Je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre, la réception devait bien accueillir quelques centaines d'élèves et ça ne m'aurait pas étonné que des idiots n'en fasse qu'à leur tête = comme toujours.

Alors que je me perdais dans mes pensées, un inconnu vint soudainement me prendre par la taille, ce qui m'extirpa immédiatement de ma torpeur. Un haut sentiment d'agacement m'envahit lorsque le jeune homme se mit à me câliner tandis que ses mains se déplaçaient - un peu trop librement à mon goût - sur mon corps. Furieuse de m'être alors ainsi faite prendre et non pas sans surprise, je m'apprêtais à me dégager afin de donner une bonne leçon à ce petit crétin lorsqu'il fut soudainement et brutalement attiré vers mon ami Rubis. Je ne compris tout d'abord pas ce qu'il lui avait pris, il ne lui avait rien fait à lui, mais, le coup qu'il porta à l'élève me fit bien vite comprendre que le rouquin s'était volontiers chargé de lui donner une correction, me déchargeant ainsi de cette tâche pour le moins disgracieuse.

Alors que je souhaite arrêter Myo' dans son élan, estimant que l'élève à eu ce qu'il méritait, une bourrasque de vent me fait vaciller sur plusieurs mètres, réussissant presque à me faire prendre l'équilibre tant sa puissance est importante. Sonnée, je tente de reprendre mes esprits lorsque mon regard est attiré par une petite foule qui semble s'agrandir petit à petit, des tentacules géantes venant alimenter la foule en personnes.

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— Il faut toujours qu'il se passe un truc, c'est fou. commençais-je avant de me tourner vers Myo' et d'arquer un sourcil.
Tu fais une drôle de tête ça va ? Tu sais, la colère c'est mauvais pour le teint. À force de froncer des sourcils tu vas finir par avoir des rides prématurément, ça serait dommage. dis-je malicieusement afin de détendre un peu l'atmosphère.

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#8181F7

par Invité Mar 27 Fév 2018, 14:53

Un banquet à la Tsuki !

Mais… c’est qu’en plus elle se fiche de moi ?! Elle prend un chocolat et le mange comme si de rien était, en profitant pour affermir son assise sur moi. Je vous jure…. Celle là elle manque pas une occasion ! Ha bah tiens, qu’est-ce que je disais ? Sa petite remarque me fait sourire et je la regarde avec un œil amusé et légèrement intéressé. J’ai envie de la jouer et de la faire continuer sur sa lancée :
Bah, c’est toi qui n’a pas fini de manger !

Je lui tire la langue avec un sourire espiègle alors qu’elle continue de manger ses chocolats. Je finis tout de même par la relever en la tenant par les hanches, histoire qu’elle me fasse pas un nouveau coup fourré et mmmmh… Voilà qu’elle glisse un chocolat entre mes lèvres, j’en profite pour avancer un peu ma mâchoire et emprisonner son doigt entre mes dents en lui jetant un petit regard de défi, du genre Tu vas faire quoi maintenant ?

Son regard se perd entre les deux pans de ma chemise ouverte, ses yeux dévorent le moindre centimètre de peau et me cherche de nouveau avec une de ses piques habituelles.

Ho, tu veux parler de ma technique de drague où tu fais semblant de tomber pour arracher ma chemise ? Non, je la fais souvent, c’est un classique !

Je sais qu’elle fait exprès de me chercher et que je cours un peu en m’offensant à moitié de sa réplique, mais ça m’amuse et puis… je sais ne pas réagir à ce genre de truc…
Sa dernière remarque me fait rire après que j’ai aperçus deux mecs se câliner juste à côté de nous, je lui jette un petit sourire et un clin d’œil un peu enjôleur sans m’en rendre compte avant de lui répondre.
T’inquiète ! On aura qu’à se cacher derrière un arbre !

Regardant autour de moi, j’aperçois que pas mal de gens commence à se jeter les uns sur les autres pour se prendre dans les bras, pour une saint valentin ça m’étonne pas. Mais y’a des duos improbables, voire impossible, je repère quelqu’un pointer le ciel du doigt et j’aperçois des sortes de nuages roses… Qu’est-ce que c’est encore que ce bordel ? Me dites pas que ça recommence ? Pitié… pas encore ! Je baisse un regard effaré vers la demoiselle et l’attrape par le bras avant de tirer un peu dessus pour lui intimer de me suivre.

Viens, on se tire, j’aime pas trop ses nuages roses, en temps normal, ils m’auraient pas inquiéter, mais là même les diamants semblent paniquer et perdre la tête et j’ai pas envie d’être là le moment où tout va dégénérer.

J’essaye de l’emmener avec moi en direction du portail pour quitter l’académie et se réfugier en ville le temps que tout ce bordel se calme, elle ne connaît peut être pas encore Tsuki mais les gros évènements ici ont la fâcheuse tendance de finir mal, très mal… je grince des dents, un peu paniqué et pressé en attendant sa réponse.

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J'écris en #D1B019

Dossier

par **Naïa Kald** Mar 27 Fév 2018, 19:27

Bon. Je devrais peut-être m'éloigner un peu. Bon sang j'aurais dû me méfier de ce nuage en vrai. UN NUAGE ROSE ! C'est que maintenant que tu le remarque, idiote ?! Certaines personnes deviennent bizarre, c'est super perturbant. Genre on dirait qu'ils deviennent guimauves et cherchent à faire des calins. Super bizarre. Vous allez me dire, bah au moins ça va bien avec le jour, "la saint valentin", le jour de l'amour. Je l'emmerde, ce jour là. Non mais, quitte à passer une sale journée, autant la passer en étant brainwash- Brainwash ? Mais qu'est-ce que je raconte ? Est-ce que c'est le nuage qui cause ça ?

HAHAHA c'est un peu flippant. Bon on s'éloigne un peu. Je sais pas trop si y'a un lien de cause à effet entre changement en nounours en peluche et nuage rose mais par précaution je m'éloigne. Genre hors de la masse de personne. J'ai pas trop trop envie qu'on saute sur moi ou qu'on me câline. Manquerais plus que ça tiens.

Bon. S'éloigner, c'est fait. Maintenant je suis en périphérie, je peux cette fois me barrer si tout tourne au vinaigre. Banquet d'été, never forget. Je veux pas risquer ma peau une deuxième fois. C'est mort- Bon sang qu'est-ce que je suis drôle aujourd'hui ! Allez assez parler. Maintenant on observe et on prie pour que ça dégénère pas. En soit des gens qui se font des câlins c'est pas dangereux. C'est même plutôt rassurant mais-

"- Je vais t'envoyer au 7ème ciel, Pinky ! Ah oui, écartez vous un peu, ça va décoiffer."

Un gars, corps bien taillé, fort physiquement vient de balancer cette phrase random. J'me retrouve pas trop loin de lui pour le coup.

Décoiffer ? Il va tenter quoi ? Dégager le nuage avec un coup de po- Oh girl you're so clever. Le nuage s'éloigne, il a compressé l'air pour le- le dégager ! C'est quoi cette force ?! Je le répète : IL A COMPRIME L'AIR RIEN QU'AVEC SES DOIGTS ! Ceci n'est pas humai- Ok c'est l'académie qu'est comme ça. J'veux me barrer s'il vous plais.

Ah cela va sans dire, mais je me retrouve le cul par terre à cause de ce qu'il a fait et de ma propre surprise. Je tapote ma tête pour savoir où est mon béret. Ouais d'ailleurs.. Il est où bon sang ?! Il est parti ! Mince non ! Mon béret ! ÇA VA DECOIFFER LOL ! EFFECTIVEMENT ÇA DECOIFFE !

"- Mon béret !"

Je le cherche de vue, j'espère qu'il est pas parti trop loin.

HRP ou keske je suis en train de faire:

par Eloane Mar 27 Fév 2018, 19:37

Décidément, entre la population du lycée qui s'étendait partout dans la zone et le bruit ambiant fort qu'elle n'avait pas prévu, Éloane était de moins en moins confiante dans le fait d'avoir décidée de venir au banquet. Surtout que elle était légèrement inquiète à la vue de ses surveillants qui scrutaient partout, comme si toute la situation pouvait dérapé à tout moment. Mais en attendant autant essayé de profiter un peu, elle rempli son assiette de chocolat et sucreries en tout genre qui était toujours la principale raison de sa venue ici.

Elle hésitait beaucoup à aller aborder quelques personnes malgré tout, mais elle préférait attendre un moment plus approprié. Elle s'éloigna alors un peu de la foule et alla du côté des arbres ou elle remarqua tout de même quelques personnes. Elle commença à manger quand une délicieuse odeur de fraise arriva à ses narines, elle avait toujours préférée les framboises mais cette odeur là était aussi très agréable. Mais d'ou elle venait ? Elle regarda autour d'elle, leva la tête et vis les nuages très bas. Les quelques notions de météorologie lui crièrent que ce n'était pas naturel. Elle déchira un bout de sa robe la rendant alors ouverte sur sa cuisse droite et utilisa le tissu comme un masque. Au loin les gens semblait agir étrangement, mais que se passait-il?!

Elle s'éloigna encore un peu pour mieux observé la scène et heurta alors une jeune femme qui était accompagné de deux jeunes hommes, elle se retourna alors.

- Ouch, désolée de t'avoir....Lya?!

par Eclypse Mar 27 Fév 2018, 20:41

Face aux différentes petites émeutes qui se produisent certains d’entre vous réagissent d’une drôle de manière. Que ce soit en regroupant les contaminés ou en tentant des actions entre le nuage il ne faut surtout pas négliger une chose, chacune de vos actions a des conséquences. Majeures ou mineures, vous avez tous fait quelque chose et chacun d’entre vous a réagit à sa manière, que ce soit mollement ou énergiquement. Je ne me contenterais de réagir seulement aux actions majeures pendant que ceux qui ont influé de manière mineure auront plus de liberté à leur prochain post.

L’attaque extrêmement dévastatrice de Jïnn envers le nuage semble en faire tomber plus d’un mais d’une manière relativement aléatoire. Sans doute que certaines personnes ont de très bons appuis, mais pour le coup le plus intéressant est sans doute la réaction du nuage. À peine ton attaque est terminée que tu constate que l’odeur de fraise disparaît. Vous constatez tous cela, en revanche vous êtes toujours affectés par cette violente envie de faire des câlins. Mais quelque chose vous gêne pour ceux qui observent le nuage, il semble se reformer une fois l’immense vent passé. Et pour les plus observateurs une source est visible de reformation, cette dernière se dirige droit vers l’enceinte de l’établissement ou se trouve la serre.

De leurs côté les Diamants tentent de calmer les élèves turbulents avec l’aide totalement non demandée de Noa jusqu’à ce que celui qui était parti vérifier quelque chose revienne avec un vieil homme au regard fou et luisant. Une sorte d’installation bizarre se situe sur sa tête et il est affublé d’une blouse et d’une chemise ainsi que d’un vieux pantalon, il attrape fermement l’un des élèves par le col et lui hurle dessus. Malheureusement vous n'entendez rien.

Le ptit vieux:

L’homme fou attends une réponse du jeune homme avant de le gifler à peine celui-ci a ouvert la bouche. Au final il ne semblait pas attendre de réponse, il s’approche du groupe de diamants avant de leur expliquer quelque chose que vous ne pouvez entendre qu’avec des sens améliorés. (Si vous avez des sens améliorés n’hésitez pas à me contacter pour que je révèle les informations, prière de ne pas méta et de garder les informations pour vous hrp).

Myo'/Himiko :

Jïnn/StormKa :

Noa/Narok/Shae’ :

Cheshire :

Taïchi/Kaname :

Ethan/Maely :

par **Kaname** Mer 28 Fév 2018, 16:09

Résumé.

Event Saint Valentin

Je ne savais plus quoi faire pour aider Haru et cette odeur de fraise qui empestait dans mon nez était insupportable. Son comportement était tellement inhabituel et ses miaulements étaient stridents et la seule solution qui m’est venu c’est Taïchi…

Pourquoi Taïchi, je ne sais pas et je crois qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans tout ça, peut être ce nuage rose qui sent la fraise car c’est chelou qu’un aussi gros truc survole aussi bas.

Néanmoins mon camarade décide de me rejoindre finalement en se pinçant le nez pour essayer de respirer le moins possible. Il observa la situation 2 secondes pour me prendre ma main sans sommation.
Mais qu’est-ce qu’il passe, c’est quoi cet rapprochement physique tout d’un coup…lui qui a horreur de ça… m’attrape de la sorte. Je ne le comprendrais jamais.

Taïchi me tira vers le bâtiment pour nous protéger de la barbe à papa géante et essaye de nous faire entrer rapidement dans le hall Haru et moi sauf que cela se passe pas du tout de la bonne façon. Une sorte de vent violent est apparu et pousse le nuage dans notre direction ce qui nous arrangeait pas du tout, l’odeur devenait omniprésente et nous faisait tourner la tête.

Nous arrivons plus à bouger, pris d’un certain fou rire et autres pensées plus ou moins bizarres que je n’arrivais pas encore à expliquer, je fais la corrélation entre nos états et le gaz. Je priais pour ne pas que ce soit toxique mais en voyant l’état de mon petit fauve et nous, je penche sur un truc hallucinatoire.

Haru continuait ses miaulement et nous deux à rire bêtement quand une certaine chaleur montait en moi puis une envie de serrer quelqu’un contre moi se mit à naître en moi. Mais Taïchi m’inquiétait, il devenait étrange et commençait à s’approcher beaucoup trop de moi, mais vraiment TROP ! Il sauta alors dessus passant les bras autour de mon cou et disant des trucs chelous mais ma raison m'abandonne rapidement, car je l’attrape également et nous voici en train de faire un calin, rigolant comme des gogols, ne se souciant de rien.

Résumé:

par **Spera** Jeu 01 Mar 2018, 15:07

C'était pas mal le bordel maintenant, les gens s'enlaçaient dans tous les sens... Personnellement bien que je n'étais pas d'humeur je sentais un calme étrange venir lentement m'aborder. Mais j'était encore assez lucide pour comprendre que ce n'était pas naturel, pendant ce temps les Diamants m'ignorent allègrement. J'avoue que j'hésite entre leur faire un gros câlin et leur en mettre une... Mais pourquoi j'hésiterais à faire ça ?! J'essaie aussi de retrouver le gosse de tout à l'heure, me rendant compte qu'il me semblait l'avoir vu quelque part auparavant, étant aussi accompagné d'un soupçon de remord de l'avoir laissé seul. Avant que je n'ai le temps de comprendre ce qu'il se passe ou même que mon esprit ne s'embrume encore plus, un violent impact envoie le nuage plus loin. Je me couvre pour éviter de prendre la bourrasque en plein visage et après vérification constate l'identité de l'auteur de l'impacte... Sans grand étonnement. Cependant le nuage à l'air de se reformer ? Et vu l'effet qu'il a eu sur la petite fête de la Saint Valentin je compte pas laisser ce truc en paix.

Juste après je suis interpellé par un vieux type qui vient aborder le petit groupe de Diamants. Et lui ils l'écoutent très attentivement, hein ? Enfin, quand j'arrive à mettre au clair les données que le savant fou leur donne... Je peux comprendre leur attention. Bon, et bien comme ces surveillants ont l'air trop occupés à paniquer et rien foutre je vais voir ce que je peux faire de mon côté.

Bien sûr je décide d'aller voir Jïnn, on parle d'un type qui sait tout faire là, il pourra sûrement aider à la situation actuelle, bien plus que les surveillants qui ont l'air trop occupés à aider les étudiants. Je me rend aussi compte qu'une autre tête familière était en présence de Jïnn un fois arrivé vers lui. Mais je suis trop occupé à résister à l'envie de contacte humain et à essayer de rattraper l'énième connerie de l'Académie.

- Salut Jïnn, joli coup pour le nuage. Mais j'étais avec le petit groupe de surveillants quand un type est venu et a affirmé que les propriétés du nuages sont dues à une personne en particulier il me semble. Le moyen le plus efficace d'arrêter ce truc indestructible est probablement de trouver cette personne. De préférence avant que le nuage n'aille... Peu importe où il va se retrouver.

Résumé des actions:

par Gwendoline Arget Sam 03 Mar 2018, 12:04

Bon, bah, je dois être transparente alors... Taïchi arrive et prends les choses en main, tirant Kaname avec lui. J'hésite à les suivre, mais n'en fait finalement rien. Je regarde une nouvelle fois autour de moi perdue. J'essaie de respirer le moins possible cette odeur, mais c'est difficile. Je me sens un peu bizarre... Calme... J'esquive quand même par réflexe les zombies qui pourraient tenter de m'enlacer, en me rendant compte que mon attitude n'est pas normale, repoussant certain avec le plat de ma main. L'odeur semble s'arrêter, j'enlève mon bras de mon visage, toujours aussi paumée. Quand bien même l'air ne sens plus la fraise, les gens autour de moi ne se sont toujours pas calmés. Je vois Noa... Glacé ? Okay tout va bien, si maintenant on s'attaque entre nous en plus, on est pas dans la merde. Je m'approche de lui, et du petit groupe qui s'est formé, en lançant plus ou moins à la cantonade à ceux qui n'étaient pas touchés (enfin aux autres aussi, mais ils vont avoir plus de mal à me répondre), en fixant Noa plus précisément parce que, même s'il est con parfois, actuellement, il semble être le seul que je connais qui n'agis pas bizarrement :

-Hey ! A votre avis il leur arrive quoi ? Je peux aider ?

A vrai dire, j'ai carrément arrêter d'observer cette merde de barbe à papa dans le ciel depuis quelques temps, me préoccupant plus de ce qui se passe à mon niveau. Je repousse une nouvelle personne qui s'approche un peu trop à mon goût, j'aime pas les câlins merde ! J'essaye de ne pas leur faire mal, ces gens ne sont pas dans leur état normal. Mais je vais pas les laisser m'enlacer non plus !

Résumé:

par Célestia Sam 03 Mar 2018, 17:01

Hum... Il semblerait que la jeune fille se soit faite ignorée, même si la brunette qui était arrivée entre temps lui avait rendu son salut. Ce qu'il s'était passé, ensuite ? Oh, c'est assez simple, en vrai, la situation ne faisait que s'envenimer, exactement comme aux deux autres banquets que l'académie avait organisé dans un passé très lointain pour l'un, un peu plus récemment pour l'autre. Ah, oui détail important, elle avait réussi à obtenir le nom du roux. Myo, donc. Ce nom lui disait vaguement quelque chose, mais sans plus.

La suite, la bleue ne fut qu'observatrice. Elle avait eu le temps de voir que le dénommé Myo, visiblement très énervé, avait décidé de régler son compte au pauvre bonhomme qui avait eu le malheur de... De faire quoi ? Célestia n'avait pas vraiment suivit. Elle préféra ne pas intervenir, se disant que c'était une assez mauvaise idée ; sait-on jamais, la colère du jeune homme aux cheveux flamboyants pouvait très bien retomber sur elle. Et elle vit le diamant arriver dans leur direction, visiblement énervé. Elle allait prévenir le jeune homme de son arrivée, mais ce fut à ce moment là qu'un vent violent lui fit perdre l'équilibre.

Elle en profita pour lever les yeux au ciel ; avec ça, si le nuage ne s'était pas dissipé, elle ne comprenait plus rien ! ... Non, vraiment, elle ne comprenait plus rien. Un nuage normal, avec le vent, serait allé embêter son monde ailleurs ; ce nuage n'était assurément pas naturel -même si sa couleur suspecte le laissait déjà penser. Non, celui-là, il se reformait. Célestia cligna plusieurs fois des yeux, pour être sûre de ce qu'elle voyait. Elle ne rêvait pas, le nuage était en train de reprendre son espace initial. Elle laissa ses yeux se balader sur tout le nuage, espérant trouver le pourquoi du comment, quand elle repéra quelque chose d'assez... Intéressant.

Entre temps, un drôle de vieux bizarrement fringué était sorti du bâtiment et semblait bien s'amuser à gueuler sur des élèves randoms. Enfin, ce n'était pas la principale préoccupation de la bleue. Après un temps d'hésitation, la jeune femme tapota l'épaule de Myo tout en redoutant sa réaction, et lui demanda le plus calmement possible, espérant ne pas trop l'énerver :

Euh... Il semblerait que la source du nuage rose vienne du bâtiment là-bas, dit-elle en le pointant du doigt, parlant à voix basse. On pourrait aller voir, non, histoire de savoir ce qui a causé tout ce bordel ?

A vrai dire, la bleue n'était pas très à l'aise, et ne comptait pas vraiment sur le roux pour l'aider. Elle commença donc à s'avancer vers le fameux bâtiment ; si quelqu'un voulait la suivre, que ce quelqu'un le fasse. Par contre, bien que les Diamants semblaient tous occupés, la bleue préféra se faire discrète et s'éloigner le plus discrètement possible. Mais qu'est-ce qui pouvait bien se tramer au point où se reformait le nuage ?

Résumé:

par Taïchi Kagame Sam 03 Mar 2018, 19:22

e ne savais que faire. Je venais de sauver Kaname, en la prenant sous mon aile pour rejoindre l'académie. C'était une situation assez ironique d'ailleurs... Un antagoniste voulant sauver une personne en détresse... C'était du jamais vu. En tout cas, sans avoir de mauvaises intentions derrières. Non, mais intentions étaient plus pures, plus innocentes... Je voulais juste sauver la jeune femme. Je ne savais pas trop pourquoi ni comment mais j'étais devenu plus... Moue.

Oui. J'avais l'impression de courir au ralenti, que tout était lent autour de moi. Même moi j'avais du mal à réfléchir et à penser. Cela devenait mystérieux... Je regardais alors Kaname, tout en continuant de courir, avant de constater qu'elle allait plutôt bien. Oui, elle semblait bien courir... Mais pourquoi je la regardais déjà ? Argh... Je ne savais pas ce qu'il se passait mais cela ne me plaisait pas.

C'est alors que, au loin, derrière Kaname, je vis quelque chose s'approchant à grande vitesse de nous. Qu'est-ce que c'était ? J'essayais alors de changer de direction avec la femme mais sans succès. La chose venait de nous rattraper... Et ce n'était autre qu'un nuage rose... Oui, un de ces fameux nuages mystérieux.

Je ne savais pas quoi faire et je semblais perturbé... À l'arrivé de ce nuage, je ne fis que me figer contre mon grès. Quelque chose... Etait entrain de se passer... Je ne savais pas ce qu'il se passait et je voulais en savoir plus mais... D'un côté... Il y avait une superbe jeune femme à côté de moi...

Qu'est... Qu'est-ce que je venais de penser ? Kaname, une superbe jeune femme ? Ma parole... Un oxymore dans ma phrase. Je n'en utilisais jamais pourtant... C'est vrai quoi, pourquoi est-ce que je trouverais ravissante une femme si médiocre, avec des TOC louches comme lancer des objets, mais surtout, ce qui me débectait le plus c'est qu'elle était bê... belle.

Elle semblait si mignonne, si merveilleuse... Je n'avais qu'une seule envie, c'était de la prendre dans mes bras...

Qu'est... Qu'est-ce que je racontais ? Et pourquoi mes bras se sont tendus d'un coup vers elle ? Que... Qu'est-ce que... non... Tout mais pas ça... Non... P..

Contre mon grès, alors que je résistais, Kaname et moi étions entrain de nous enlacer. Je ne savais pas si c'était elle ou moi qui avant enlacé l'autre en premier... Mais quelque chose me démangeait... Me brûlait les lèvres..... Je ne pouvais pas résister de lui dire..

"Tu es... si mignonne ..Kaname..." murmurais-je avec un peu de mal avant de la serrer plus fort contre moi

P... Pourquoi ces phrases ? Pourquoi ces mots ? Je... Je ne savais pas quoi faire non... Non... Pourquoi est-ce que j'avais dit ça ? Ce n'était pas possible... Je... J'étais perdu dans mes pensés, dans mes actions.... Non... Impossible...

Kaname... Même si selon moi tu restes une personne si.... Stupide et inutile... Essayes de capter... mon appel à l'aide...

"Omi ieda Kmenaa..."

HRP : Les actions de Taïchi:

par Chester Dim 04 Mar 2018, 01:01

Le nuage avait disparu un petit instant mais je ne savais pas si c'était normal ou quelqu'un qui essayait d'arrêter le nuage. Je n'avais pas pu voir pourquoi le nuage avait disparu parce que j'ai mit trop de temps pour arriver ici, je n'aime pas courir trop vite dans les escaliers de peur de tomber. Le nuage se reforme vite, je peux observer que le nuage venait de la serre. Un nuage qui vient d'une serre.....c'est toujours un élève si c'est quelque chose d'aussi anormal comme ça, ils sont tous fous dans cette académie. Je prends une photo depuis le haut du bâtiment de la source du nuage pour m'en servir de preuve au cas où on ne me croit pas lorsque j'aurais raconté ce que j'ai vu, et cours tout en bas du bâtiment pour aller chercher un adulte. J'attends un peu dans le hall pour respirer un bon coup et ensuite aller au jardin. Devant le bâtiment je vois encore des gens se faisant des câlins. Ils se sont enfuis jusqu'ici ? Les autres n'ont pas fait de même, à moins qu'ils sont J'apercevais des surveillants faire des câlins à des élèves et regardant la scène je me me couvre immédiatement le visage avec ma main. Si je passe dans la foule on va me faire un câlin si je ne fais pas attention, il faut que je trouve les gens qui ne sont pas contaminé par ce parfum. Je me demande si le professeur de tout à l'heure s'est fait avoir, je dois le retrouver lui aussi. Je dois trouver un surveillant, il y avait une femme qui avait l'air mature mais on dirait qu'elle est occupé par un.....Homme-félin ? Oh c'est chouette, je veux le caresser. Je ne sais pas si c'est le nuage qui me fait ça ou juste parce que c'est un félin. Quoi qu'il en soit je vais chercher quelqu'un d'autre, mince ou est donc ce professeur ? Ah un groupe de surveillant, j'accours vers eux. J'essaye de leur parler mais ils ne m'écoutent pas et je ne veux pas trop respirer de ce parfum alors je me tais. Je n'abandonne pas et tire les vêtements des surveillants mais ils ne m'écoutent pas, c'est peut-être que je m'adresse aux mauvais surveillants ? En tout cas ils ne devraient pas se trouver les autres surveillants. Je regarde tout autour de moi et pars à la recherche d'un autre surveillant. Je vais à l'endroit où était le professeur et monte sur la table et regarde autour. De loin je peux voir les cheveux rouges de ce professeur. J'accours vers lui, je remarque qu'il y a.....Jïnn je crois que c'est son nom.

"Vous deux vous devriez aussi aller à la serre, le nuage vient de là-bas"

Résumé:

par Sally Whispers Dim 04 Mar 2018, 03:36

My Funny Vanentine
On peut faire beaucoup avec la haine, mais encore plus avec l'amour - William Shakespear

« Tu te sers de lui, donc ? »

Pourquoi tu es là ! Laisses-moi seule pour une fois !

« Salut Sally. »

Le visage d’Hideki me sauta au visage tel une bête affamée : il souriait. C’était tout bonnement étonnant, non pas qu’Hideki était un jeune homme larmoyant incapable de sourire mais il était d’habitude maussade. Jamais je n’ai vu quelque chose d’aussi doux, d’aussi tendre pour moi. Pas depuis… pas depuis maman… pas depuis les saint-valentin romantique, les dîners aux chandelles, les cadeaux magnifiques et les films d’amours… plus depuis que je ne suis plus mon papa…

Soudain, je sens qu’il me tient le bras. Je regarde, d’instinct. Sa main glacée et maigre s’est enroulée autour de mon bras glacé et maigre. Quelque chose de brûlant m’envahit et le monde se met à tourner. Etrangement, l’air sentait la fraise et la romance. Est-ce une odeur, la romance ? Les larmes revenaient camper dans mes yeux et ses bras m’attiraient compulsivement. Je n’ai pas le droit. Je n’ai pas le droit de réclamer. C’est très mal de réclamer… pourtant… il y a cette chose irrésistible qui me traverse et c’est tout ce qui existe : sa main glacée sur mon bras brûlant. Mon visage est en feu. Je sens que je perds l’équilibre.

« Tu es là depuis quelques secondes, »

Secondes qui semblaient des heures, des jours. L’air me manquait, je ne savais plus respirer. Il était là, ses yeux adorablement tristes, habités de quelque chose de nouveau. Etait-ce moi ? Pourtant, quand je fixais ses iris sombres en ce jour de lumière, je voyais ton reflet brillant, lumineux, souriant, et ça me déchirait, et tu semblais te déchirer. C’est horrible de te voir dans tes yeux. Je ressens tout ça d’un coups, toutes ces choses. J’ai mal, tout se serre, tout se brusque et je me sens tirée, compressée, brûlée et glacée, tout en même temps. Toutes mes saint valentin défile et une seule image revient avec redondance, menaçante au-dessus de moi comme une grosse masse de peluche rose : la douleur.

« et tu veux déjà partir ? »

Certainement pas. Je veux m’approcher. Non ! Je dois partir ! Mais Tatie… mais Roydon… je n’en sais rien… ta main, là, je sens que c’est une chaîne terrible dont je ne me délivrerais jamais. Je sens que cette chaine enferme de plus en plus mon corps, mon cœur. Tu m’empêches de partir, Hideki, il y a cette chose chez toi qui me paralyse, qui m’emprisonne et qui me fascine. Mais je ne sais pas comment le dire… je ne sais pas si c’est bon, de le dire, ou si tu me frappera… je ne sais pas s’il me frappera de ressentir cela… ça semble délicieux et terrible, interdit et indispensable, naturel et extraordinaire, évident et incompréhensible, doux et douloureux. Je ne sais plus à quel sens me fier.

« Je suis si repoussant que ça ? »

Pas du tout. Je veux le crier, être certaine que tu l’entendes, à travers la musique, mais les chaines commencent à enserrer mon cou et ma gorge se bloque. Je ne peux pas parler. Je ne peux rien dire. Tu es là, face à moi, un peu plus grand, pas vraiment imposant mais tu m’empêche de faire quoi que ce soit. C’est comme si tu commandais à tout mon être de se perdre dans un flot de je-ne-sais-quoi qui me perds, qui m’enlise dans une chose que je devrais haïr, mais que j’adore. Tu me pousses à courir, à fuir, parce que je sais que jamais je ne pourrais résister si tu essayais de me briser. Tu me pousses à courir, à te rattraper parce que je sais que jamais je ne pourrais résister si tu venais à me quitter, à tous nous quitter. Je ne sais pas, en fait. J’en étais persuadée, que j’étais attirée à toi comme un aimant mais maintenant je doute… je devrais partir, loin… tu m’enchaînes mais je ne peux te toucher, il y a cette barrière invisible entre nous, ce monde entier, ce gouffre invisible qui nous sépare. Et il y a Roydon qui ne veut pas quitter tes yeux. Je ne peux pas. Je ne dois pas… qui sait, au fond ? Qui peut me dire où se cache la bonne chose à dire, à faire ?

J’ai l’impression que, si je me rapproche, tu vas disparaître. Quand tu viens près de moi il est là, dans tes yeux et je ne peux pas bouger. Ne me brise pas, je t’en supplie ! Tu ries mais je crois que je vais pleurer. Je ne sais pas quoi faire. Tu es adorable, Hideki. J’ai envie de te prendre dans mes bras, de ne jamais te lâcher, de te dire que je briserais ta solitude comme on brise une fenêtre, que je ne partirais jamais parce que la distance à brûlé ce qu’il restait de moi. Mais je ne peux pas. Tatie m’a dit que notre couleur se rependait sur ceux qu’on aime… si je suis plein de petits morceaux de tout le monde et que je suis toute cassée, je ne peux que faire du mal… je ne peux pas me résoudre à ça… et ça me casse encore et encore et je ne serais qu’un nuage de poussière… mais sinon je vais te casser !

Tu t’approches. Pourquoi tu fais ça ? Tu vas te casser ! Je veux pas te casser ! ça fait mal d’être cassé ! Tu as assez souffert ! Tu devrais te réparer ! Je fais mal ! Je fais mal aux gens ! Je détruis ! Je détruis les gens ! Je t’en prie… ne me laisses pas te casser… je ne pourrais pas… non… tu ne dois pas être cassé… je ne dois pas… et puis… et puis Roydon… je ne devrais pas penser à toi avant lui… je ne devrais pas penser à toi tout court, t’appeler tu. Tu, c’est Roydon normalement… alors il sera pas content que tu lui voles son prénom.

Tu lâches mon bras, un froid me glace le sang, il remonte là où les chaînes m’emprisonnait et gèle absolument tout. Je sens que je deviens une statue de glace. Je sens que toute cette glace se mue lentement en une myriade d’aiguilles, de lames aiguisées qui me déchirent de l’intérieur. Tu me lâches. Tu me laisses m’en aller… je vais pleurer… non… tu vas l’entendre… c’est mal… je ne dois pas te retenir… j’ai mal… mais c’est mieux que tu ne touches pas la glace pilée que je suis, parce que tu vas te couper et laisser ton sang trainer… seul les monstres doivent payer le sang… et tu n’es pas un monstre, alors tu ne dois pas payer… tu ne dois pas payer…

Tu rosis. Pourquoi tu fais ça ? Qu’est-ce que j’ai fait ? Est-ce que c’est bien ? Tu es dans le vague… j’ai peur de t’avoir coupé… je t’ai forcément coupé… on se coupe toujours en empoignant quelqu’un de brisé… et une fois que les petits éclats de verre sont plantés dans la chair, on croit que c’est bien, qu’on y est lié, parce que les animaux blessé s’attache à ce qui râpe leur blessure… mais tu ne dois pas faire ça… si je te blesses alors fuis-moi… je suis la langue d’un chat, alors si je tente de soigner tes plaies, je vais les écarter… en sachant ça, tu devrais partir, loin…

« Est-ce que »

Je cligne des yeux, beaucoup, comme des petits battement de papillons. Il n’est vraiment pas loin de moi, avec son regard vague, sa voix vague, ses airs perdus. Sait-il qu’il est près à ce point ? A quoi pense-t-il ? Que veut-il demander ? Est-ce que je dois répondre ? Est-ce que c’est mal ? Est-ce que je dois penser à lui, à Roydon, à maman ?

« Tu peux m’expliquer »

Je ne comprends jamais les choses. Les gens disent que je suis idiote. Je ne saurais rien t’expliquer… je ne saurais même pas te dire d’où vient cette vague étrange qui fait fondre les piques de glaces qui me charcutaient de l’intérieur, ou d’où vient cette violente envie de me plonger dans tes bras, de sentir ton odeur, de te serrer fort et de te faire oublier que tu as été seul.

« ce qu’il se passe »

Où ? Quand ? Nous sommes tous les deux, l’un en face de l’autre, tout près, peut-être trop. Non, attends une seconde Sally. Tu dois oublier quelque chose. Hideki n’est pas bête, il doit parler de quelque chose de précis…

« Ici ? »

Ici ? Je me retourne brusquement. La foule qui bouge, l’agitation, un tigre qui bondit, de l’amour, des câlins, des gens qui s’évitent et se repousse et… des nuages… roses… de plus en plus prêt du sol… et il y a cette odeur de fraise. Réfléchis… qu’est-ce que tu dois dire ? Il ne voit rien… rien du tout…

« Je dois être… »

Etre… c’est mal dit… je ne sais pas comment le formuler… être n’est pas simple…

« Tes yeux… ? »

Ma voix trahissait à quel point j’étais sceptique. Etre était compliquée, mais être quelque chose d’utile qui lui manquait, qui allait l’aider, lui servir, c’était impensable. Je ne saurais être utile, c’est idiot. Mais s’il le désire, alors je dois essayer. Parce qu’il n’est pas bête. Je dois essayer… au moins essayer…

« Et bien… »

Qu’est-ce qu’il ne comprend pas ? Devrais-je tout décrire ? C’est compliqué… je sens mon cœur s’emballer et la sueur sur mon front. Il me fait confiance… ça aussi, c’est idiot et impensable… mais c’est vrai… je déglutis. Que dire ? Commence par ce qui prends le plus de place.

« Il y a des nuages… »

Des nuages. C’est ça. Les nuages occupent beaucoup de monde. Mais attends… il y a toujours eu des nuages… tu ne peux pas rester aussi vague !

« Roses… »

Ils sont là depuis le début, depuis ce matin !

« Près du sol. »

Quoi d’autre ? Je dois dire qu’un tigre est fou ? Que des gens se sautent dessus ? Est-ce que c’est bizarre, à Tsuki, à la saint valentin ? Depuis combien de temps est-il là ? C’est sa première saint valentin, ici ? Alors il devrait savoir… peut-être que je devrais le dire… mais quelque chose est plus frappant, plus étrange.

« Les diamants ont l’air bizarre… »

Ils sont affolés, ils se murmurent des choses et se cachent la respiration. Il y a quelque chose dans l’air ! Il y a quelque chose dans l’air, c’est sûre ! ça ne peut être que ça !

« Ils ont l’air de se protéger… de l’air… »

Qu’est-ce qu’il y a d’autre ? Des gens qui utilisent leur pouvoir, partout.

« Il y a des tentacules qui emprisonnent des gens… »

En le disant à voix haute, ça semble encore plus étrange… il y a vraiment des choses curieuses, ici…

« Je ne sais pas… trop de choses… je ne comprends pas… »

Je me retourne et mon cœur manque un battement. La fraise embaume l’air et il est si proche… je sens tous mes muscles se crisper et je ravale ma salive et cligne plusieurs fois des yeux. Il compte sur moi. A cette pensée, je me sens de nouvelles forces. Je dois être plus claire… je dois faire un effort…

« L’air semble rendre les gens fous… »

Comment exprimer ça… ils deviennent pervers… comme des chatons… comment on dit ça ? Je ne sais pas parler aux gens… c’est difficile… et de dois être utile… je ne sais pas nomplu faire ça… mais il est là, et ses yeux sombres me regardent, je crois, et il est rosis, et la fraise et mon cœur et l’électricité dans tout mon corps. Je ne peux pas… je ne dois pas échouer.

« Ils deviennent très tactiles… »

En balayant la foule, je vois quelque chose de bizarre. Il y a… un vieux ? Je sais que cette académie est folle, et que je ne connais personne, mais il a l’air louche… très louche… il est débraillé… on dirait un peu un scientifique de série ancienne… comme le vieux qui voyage dans le temps, dans les films…

« Et il y a un vieux hyper suspect… »

Un vieux fou… comme dans les histoires de Roydon… comme dans les contes d’horreur… soudain, quelque chose me frappe : l’air sent la fraise, les nuages sont roses et il y a un vieux fou. Tout me semble évident. On veut nous empoisonner… ce vieux fou essaie quelque chose sur nous. On est des cobaye… la panique me gagne… qu’est-ce que je dois faire ? D’instinct et d’une main tremblante, je tente de couvrir le visage d’Hideki avec mon mouchoir en tissus, doux et propre, brodé de mes initiales. Je suis complètement perdu mais il me reste une certitude :il ne doit pas respirer ça, c’est dangereux !

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Parce que ça aide le MJ... et que j'ai plus de 2000 mots...:

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