Mettrais-tu ta vie en jeu ? [Terminé]
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Mettrais-tu ta vie en jeu ? [Terminé]
Alizarina Eva RICCARDI TORELLI
Groupe Neutre
- Personnage : Midari Ikishima - Kakegurui
- Âge : 21 ans
- Sexe : ♀️
- Origines : Italienne
- Taille : 1m67
- Cheveux : Noirs
- Œil : Ambre
- Logement : Appartement dans le
- quartier marchand
- Travail : Vente d’armes sur le marché noir
This is me...
Mental
Traits de caractère : Aliz’ n’a absolument aucune notion du danger, plutôt si elle en a une, elle y réagit bien différemment de la plupart des gens. Tentez de mettre sa vie en jeu et elle savourera l’instant comme si elle vivait pour la première fois. Dès qu’il s’agit de prendre des risques, cette jeune femme perd toute rationalité, au point de pouvoir même effrayer certaines personnes. C’est entre-autres cet aspect de sa personnalité qui fait d’elle une bonne “ vendeuse “. Bien que pour elle la satisfaction du client soit de mise, elle est dure en affaire et n’allez pas croire que votre pognon suffira à conclure une affaire avec elle, car madame est sélective. Si votre visage ne lui revient pas et que vous insistez, c’est à son révolver que vous aurez affaire. Cependant, ce n’est pas parce qu’elle accorde de l’importance à sa clientèle qu’elle est du genre affective. Bien au contraire, à quelques rares exceptions près, Aliz’ banalise les rapports sociaux. Toutefois, si vous faites partie des très très très très rares élus, elle se préoccupera de savoir si vous allez bien et se souciera de vous dès que vous aurez mauvaise mine. Si jamais vous la voyez faire une bonne action, comme intervenir dans un conflit, détrompez-vous tout de suite, elle n’essaie de défendre personne. Tout ce qu’elle fait, c’est mettre sa vie en jeu pour le plaisir, car sinon, elle est blasée une grande partie du temps. Réfléchir ? Non, ce sont ses impulsions qui la font agir, encore un trait de caractère qui fonctionne bien pour tenir la boutique.
Aime : Le risque et plus particulièrement risquer sa vie, les jeux d’argent, les paris, son demi-frère, Alejandro, les sensations fortes, la moto.
Déteste : Se retrouver en position de faiblesse, mais à vrai dire, il n’y a pas grand chose qu’elle déteste profondément en ce monde, sinon la lassitude.
Autre : Elle a baptisé son revolver Antagunista (un jeu de mot entre antagoniste, agonie et gun…) preuve qu’elle a en elle une certaine part d’humour plus que douteux. Mais bien souvent, elle le surnomme Anta
Physique
Des courts cheveux d’ébène, un œil ambré, un teint pâle, presque cadavérique, un maigre corps, des piercings… S’il ne s’agit pas d’Alizarina, de quoi peut-il bien s’agir d’autre ? Elle se moque bien d'essayer de ressembler à qui que ce soit ou à quoique ce soit, alors ce ne sont pas les commentaires sur son physique qui la feront tiquer.
Lorsqu’une situation lui plait, il n’est pas rare qu’elle sorte sa langue décorée d’un piercing par réflexe et qu’elle se mette discrètement et distraitement à la faire passer sur ses lèvres. Si vous avez envie de fuir en la voyant faire, libre à vous, elle ne vous retiendra pas… Sinon, parlant de piercing, ceux qu'elle arbore lui ont servi de test pour savoir si l'adrénaline que les perçages lui procuraient était assez forte. Le moment où l'aiguille transperça certaines parties de son corps fut agréable, mais trop éphémère à son goût.
Aliz’ aime bien se vêtir de rouge, peut-être parce que cette couleur lui rappelle le sang et par extension, le risque. Sinon, les couleurs sombres lui plaisent bien aussi. Elles contrastent avec son teint pâle qui, lui, est dû au peu de temps qu'elle passe dehors le jour. Elle préfère en effet sortir la nuit.
This is my story...
Née dans une famille commerçante à Venise en Italie, Aliz’, de son nom entier Alizarina Eva Riccardi Torelli vécu les six premières années de sa vie dans la ville flottante. Suite à ces années, sa famille comprenant son père, Ottavio Riccardi, sa mère, Natalia Torelli, son demi-frère du côté paternel, Alejandro, âgé de 6 ans de plus qu’elle et sa petite sœur Rosaria, plus jeune de 3 ans s’éloigna de la république Sérénissime pour emménager à Abondance, ville au futur très prometteur en raison de son développement technologique. Le moins qu’on puisse dire était que le père d’Aliz’ avait su flairer la bonne affaire, puisque son commerce fut florissant dès la première année.
La jeune fille qu’était Aliz’ grandit donc dans un mélange d’italien, de français, d’anglais et d’allemand et de bien d’autres langues. Elle fut aussi entourée par les pouvoirs et les Gears, cependant tout lui paraissait ennuyeux. Avoir de bonnes notes à l’école ou au contraire, de très mauvaises, se tenir avec des amis ou être seule, faire du sport ou rester écrasée devant la télévision... À la limite, il y avait bien les attractions à sensations fortes et le fait de ne pas obéir à certaines règles qui lui faisaient ressentir quelque chose. Elle recherchait désespérément ce dont il s’agissait… Puis, elle a fini par le trouver.
Lorsqu’elle eut 15 ans, la voiture dans laquelle toute la famille se trouvait eu une défaillance mécanique et, au lieu de s’arrêter au feu de circulation, le véhicule continua sa trajectoire et se fît heurter par un camion. Le père et la sœur d’Aliz’ ne survécurent pas. Il lui restait son demi-frère et sa mère, mais cette dernière ne supporta pas la perte de son mari et de l’un de ses enfants. Elle ne tarda pas à s’enfoncer profondément dans la démence, puis elle fut placée en centre spécialisé. En l’espace d’à peine quelques mois, la famille avait donc été dissoute, ne laissant qu’un jeune adulte et une adolescente ne partageant qu’une moitié commune des même origines. L’accident n’avait bien sûr épargné aucun des deux orphelins. Alizarina avait perdu un œil, mais avait découvert ce qu’elle cherchait. Une raison de vivre. L’adrénaline, l’imprévisibilité, voilà ce qu’il s’était produit lorsque la voiture n’avait pas freiné et elle avait aimé ça. C’était à peine si elle avait été endeuillée par la mort de ses proches et la déchéance de sa mère. De son côté, Alejandro dont la mère biologique était décédée avait subi une perte encore plus grosse et il était bien décidé à protéger ce qui lui restait, à savoir sa demie-sœur et le commerce de leur père dont ils avaient hérité. D’ailleurs, le commerce, de quoi s’agissait-il ? La petite boutique discrète arborant des airs de supérette pauvre connue sous le nom d’Arlequin Market qu’avait vu Alizarina pendant plus de la moitié de sa vie était en fait une couverture pour un commerce bien plus rentable : la vente d’armes. Des armes blanches aux armes à feu, en passant par les armes de jets, pour le peu qu’il s’agisse d’instrument discrets au niveau de la taille, il était possible de les commander à la boutique. La livraison n’était jamais très longue et toujours les armes arrivaient à destination.
Vu l’âge d’Aliz’, c’est son demi-frère qui reprit en main le commerce et il le fit plutôt habillement. Fort heureusement pour lui, Ottavio avait eu le temps de commencer à le former pour qu’il reprenne les affaires et les liens qu’il entretenait avec ses fournisseurs étaient plutôt solides. Les bons comptes font les bons amis, dit-on. D’ailleurs, un vieil ami de son père eut tôt fait de mettre Alejandro au courant de l’existence d’un concurrent pour le moins singulier qui était plutôt critiqué pour ses politiques. Un bruit courait selon lequel il aurait déjà tenté de se débarrasser de certains de ses rivaux en affaires. Hors, l’accident qu’avait subi la famille Riccardi-Torelli ne pouvait que venir renforcer cette rumeur. La conclusion de l’enquête qui avait été faite sur l’accident aurait donc été fausse ? Le bri mécanique aurait en fait été un sabotage ? Sachant cela, Alejandro aurait bien voulu ne pas avoir à mêler sa sœur à cette affaire. Après tout, il était encore temps pour elle de se tracer un autre chemin. Il dû toutefois se rendre à l’évidence, il avait de la difficulté à travailler seul et sa demie-sœur se souciait de son état. Il réussit à tenir bon jusqu'au 18ème anniversaire de sa frangine où il lui demanda pour de bon de l’aider avec le commerce, ce qu’elle accepta. C’est donc ainsi qu’Alizarina se retrouva à tenir une “ très modeste supérette “ où seuls les initiés connaissaient le vrai visage. Le nom d’Arlequin Market n’avait pas été laissé au hasard. Tout comme un masque, le commerce portait bien le nom du bouffon issu de la Commedia dell’arte. Ce nom inspira même Aliz’ qui décida d’emprunter le pseudonyme Arte pour toutes fois où elle ne voudrait pas donner l’un de ses véritables noms. Les gens n’auraient qu’à se creuser la tête, après tout Alizarina Riccardi Torelli n’était que la réponse compliquée. Et le E ? Il fallait être réaliste, elle ne s’était jamais vraiment servi de son deuxième prénom, Eva. Il pouvait bien aller à la fin.
Avec la business, quelques loisirs plus ou moins légaux et quelques joujous tels que son révolver et une moto pour venir agrémenter les journées ou plutôt les nuits, Alizarina réussit à se construire une vie presque agréable, en dépit du blasme envahissant le quotidien bien souvent monotone.
La jeune fille qu’était Aliz’ grandit donc dans un mélange d’italien, de français, d’anglais et d’allemand et de bien d’autres langues. Elle fut aussi entourée par les pouvoirs et les Gears, cependant tout lui paraissait ennuyeux. Avoir de bonnes notes à l’école ou au contraire, de très mauvaises, se tenir avec des amis ou être seule, faire du sport ou rester écrasée devant la télévision... À la limite, il y avait bien les attractions à sensations fortes et le fait de ne pas obéir à certaines règles qui lui faisaient ressentir quelque chose. Elle recherchait désespérément ce dont il s’agissait… Puis, elle a fini par le trouver.
Lorsqu’elle eut 15 ans, la voiture dans laquelle toute la famille se trouvait eu une défaillance mécanique et, au lieu de s’arrêter au feu de circulation, le véhicule continua sa trajectoire et se fît heurter par un camion. Le père et la sœur d’Aliz’ ne survécurent pas. Il lui restait son demi-frère et sa mère, mais cette dernière ne supporta pas la perte de son mari et de l’un de ses enfants. Elle ne tarda pas à s’enfoncer profondément dans la démence, puis elle fut placée en centre spécialisé. En l’espace d’à peine quelques mois, la famille avait donc été dissoute, ne laissant qu’un jeune adulte et une adolescente ne partageant qu’une moitié commune des même origines. L’accident n’avait bien sûr épargné aucun des deux orphelins. Alizarina avait perdu un œil, mais avait découvert ce qu’elle cherchait. Une raison de vivre. L’adrénaline, l’imprévisibilité, voilà ce qu’il s’était produit lorsque la voiture n’avait pas freiné et elle avait aimé ça. C’était à peine si elle avait été endeuillée par la mort de ses proches et la déchéance de sa mère. De son côté, Alejandro dont la mère biologique était décédée avait subi une perte encore plus grosse et il était bien décidé à protéger ce qui lui restait, à savoir sa demie-sœur et le commerce de leur père dont ils avaient hérité. D’ailleurs, le commerce, de quoi s’agissait-il ? La petite boutique discrète arborant des airs de supérette pauvre connue sous le nom d’Arlequin Market qu’avait vu Alizarina pendant plus de la moitié de sa vie était en fait une couverture pour un commerce bien plus rentable : la vente d’armes. Des armes blanches aux armes à feu, en passant par les armes de jets, pour le peu qu’il s’agisse d’instrument discrets au niveau de la taille, il était possible de les commander à la boutique. La livraison n’était jamais très longue et toujours les armes arrivaient à destination.
Vu l’âge d’Aliz’, c’est son demi-frère qui reprit en main le commerce et il le fit plutôt habillement. Fort heureusement pour lui, Ottavio avait eu le temps de commencer à le former pour qu’il reprenne les affaires et les liens qu’il entretenait avec ses fournisseurs étaient plutôt solides. Les bons comptes font les bons amis, dit-on. D’ailleurs, un vieil ami de son père eut tôt fait de mettre Alejandro au courant de l’existence d’un concurrent pour le moins singulier qui était plutôt critiqué pour ses politiques. Un bruit courait selon lequel il aurait déjà tenté de se débarrasser de certains de ses rivaux en affaires. Hors, l’accident qu’avait subi la famille Riccardi-Torelli ne pouvait que venir renforcer cette rumeur. La conclusion de l’enquête qui avait été faite sur l’accident aurait donc été fausse ? Le bri mécanique aurait en fait été un sabotage ? Sachant cela, Alejandro aurait bien voulu ne pas avoir à mêler sa sœur à cette affaire. Après tout, il était encore temps pour elle de se tracer un autre chemin. Il dû toutefois se rendre à l’évidence, il avait de la difficulté à travailler seul et sa demie-sœur se souciait de son état. Il réussit à tenir bon jusqu'au 18ème anniversaire de sa frangine où il lui demanda pour de bon de l’aider avec le commerce, ce qu’elle accepta. C’est donc ainsi qu’Alizarina se retrouva à tenir une “ très modeste supérette “ où seuls les initiés connaissaient le vrai visage. Le nom d’Arlequin Market n’avait pas été laissé au hasard. Tout comme un masque, le commerce portait bien le nom du bouffon issu de la Commedia dell’arte. Ce nom inspira même Aliz’ qui décida d’emprunter le pseudonyme Arte pour toutes fois où elle ne voudrait pas donner l’un de ses véritables noms. Les gens n’auraient qu’à se creuser la tête, après tout Alizarina Riccardi Torelli n’était que la réponse compliquée. Et le E ? Il fallait être réaliste, elle ne s’était jamais vraiment servi de son deuxième prénom, Eva. Il pouvait bien aller à la fin.
Avec la business, quelques loisirs plus ou moins légaux et quelques joujous tels que son révolver et une moto pour venir agrémenter les journées ou plutôt les nuits, Alizarina réussit à se construire une vie presque agréable, en dépit du blasme envahissant le quotidien bien souvent monotone.
Under the mask...
Prénom ou surnom : Je vous laisse deviner !
Anniversaire : En fait, lol
Loisirs : ce sera pas difficile de chercher
Tu aimes : puisque ce compte
Tu détestes : a déjà servi à rp
Ton rêve : donc à coup sûr
Comment es tu arrivé ici ? vous allez
Des idées pour améliorer le forum ? me retrouver !
Le mot de la fin :J’ai presque totalement improvisé cette fiche sur un coup de tête et évidemment je l’ai écrite pendant la nuit parce que sinon c’est trop sensé... J'ai honte.
Re: Mettrais-tu ta vie en jeu ? [Terminé]
Felicitation !
T'es validé !
Tu vas pouvoir enfin commencer tes activités de membre sur le forum et tu auras très prochainement ta couleur correspondant à ton groupe.
Pour une fiche plaisante à lire et cohérente, tu obtiens 190xp. Attention aux flics et autres nuisibles pouvant nuire à ta petite activité trépidante !
Pour la suite je te propose quelques liens utiles :
- Liste de demande de Rp
- Et enfin, si tu le souhaites, créer ton journal intime
Si tu as des questions, n'hésite pas à m'envoyer un MP.
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