Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
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Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Thomas Williams
Maison Émeraude
♦ Statut : Élève ♦ Travail : Non ♦ Origines : Américain ♦ Logement : Dortoir Émeraude ♦ Pouvoir : Blood and tears ♦ Sexe : ♂ ♦ Âge : 20 ans ♦ Taille : 1m76 ♦ Yeux : Noirs ♦ Cheveux : Noirs ♦ Peau : Claire, voire pâle. ♦ Corpulence : Maigre et frêle ♦ Avatar : Yandere-kun de Yandere simulator |
Mental ♦ Traits de caractère : Si il y a bien une chose que personne ne peut nier à propos de Thomas, c’est qu’il est gentil, vraiment. TROP gentil. Personne ne sait, mais tout le monde le qualifie d’adorable, attentionné, généreux, patient, pacifiste, diplomate et d’à peu près tout ce qui touche au registre de la bienveillance. Il déteste se battre, n’a jamais recours à la violence, est prudent et intelligent, soigneux et appliqué, bref il a tout pour être le garçon parfait dont tous les parents rêvent. Mais la vérité est toute autre; Thomas est complexé, rongé par des craintes que personne ne connaît, dont il n’a jamais parlé, et qui le poussent à se faire lui même du mal. Il est persuadé que n’importe quelle chose négative qui arrive arrive par sa faute, et il se déteste. Il fait de son mieux pour être le plus parfait du monde, mais n’est jamais satisfait. En général, il n’aime pas être au centre de l’attention, est assez timide et discret, et fait le maximum pour que son prochain soit heureux. ♦ Aime : Se sentir utile, la musique, sa sœur Samantha, sa famille entière d’ailleurs, les gens qui remercient quand on leur rend un service, les enfants et la glace à la fraise. ♦ Déteste : La discrimination, ceux qui se croient supérieurs, la violence, les menaces, la nourriture épicée, même si il ne dira jamais qu’un plat ne lui plaît pas, et lui-même. ♦ Autre : Il joue très bien de la guitare et du piano, a une jolie voix, mais peu de gens le savent encore une fois. Il est anorexique, et n'a jamais touché ni à aucun alcool ni aucune drogue. | Physique Tout est noir chez Thomas. Pas seulement ses yeux et ses cheveux, mais aussi ses vêtements, ses chaussures et à peu près toutes ses affaires. Il n'est pas très excentrique, et aime la discrétion. Ses manches sont toujours longues et opaques, et ça n'est pas pour rien. Le jeune homme se méprise tellement qu'il n'est pas rare qu'il s'entaille la peau et les veines à l'aide de lames, laissant derrière de nombreuses traces qu'il cherche à cacher. Encore une fois, jusqu'à ce jour, personne ne s'en est encore aperçu. Il est très frêle d'apparence, et pour cause, il ne se nourrit que très peu. Mais ses vêtements amples masquent suffisamment ce détail pour qu'il ait l'air normal. Un petit sourire est toujours présent sur son visage lorsqu'il se trouve en public, mais il ne rit cependant presque jamais. Lorsqu'il n'arrive pas à se faire pleurer, il arrive qu'il se fasse une petite entaille sous l’œil. Pour la cacher, il porte parfois un bandeau de tissus, noir aussi. |
Blood and tears ♦ Avantages et ampleur : Ce pouvoir est très particulier. Il permet de créer une substance aussi acide que du jus de citron (entre ph=2 et 3), à partir du sang et des larmes de Thomas. ♦ Inconvénients et limites : Pour créer cette substance, Thomas doit à la fois pleurer et saigner. Ça ne marche pas avec les larmes ou le sang de quelqu'un d’autre, et pour créer une certaine quantité d’acide, il faut la même quantité de chaque fluide (donc toujours une larme pour une goutte de sang) ce qui réduit considérablement la quantité producible. Comme c'est un être humain lambda avec un stock de larmes limité, il ne peut créer qu'environ 20 cl d'acide par jour. Si il venait à ne plus avoir de larmes ou à trop se faire saigner, il souffrirait alors d'iritations, de baisses momentanées de ses capacités visuelles et aussi d'infections diverses, comme cela pourrait se produire pour n'importe qui dans son cas. ♦ Autre : Il ne sait pas pleurer sur demande. Il doit donc obligatoirement se couper pour se faire saigner et trouver un moyen de faire couler ses larmes. Les deux liquides se transforment en acide dès qu'ils entrent en contact. |
Histoire
Dents serrées, visage crispés, la larme au bord des yeux, je fermai ces derniers comme pour m'extirper de ce sort qu'était le mien. En vain bien entendu, ce n'est pas en tentant de l'ignorer qu'un coup nous manque. Et une nouvelle fois on me frappa, et une nouvelle fois, je ne pus rien dire. Même si je l'avais voulu, mon corps dépossédé de toute force n'aurait rien pu répliquer. Lorsque l'on sentit que je n'avais même plus le courage de me tenir debout, on me laissa simplement là, affalé contre le mur et immobile, couvert d’hématomes et tremblotant. Combien de temps passais-je chaque jour à espérer que tout s'arrête, seul et recroquevillé au milieu de cette ruelle? Je ne sais pas.
Comme chaque jour, une fois que j'avais fini d'entendre les rires au loin, les pas du groupe et les terreurs qu'ils éveillaient en moi, je m'appuyai de mon bras droit sur béton rugueux de l'immeuble et je me relevais tant bien que mal, avant d'épousseter ma veste trop large et de marcher jusqu'au petit pavillon où j'habitais. J'ouvrais la porte, demandais si tout le monde avait passé une bonne journée, puis expliquais la raison de mon retard. J'avais été occupé à aider un camarade avec un devoir, ou alors j'étais passé à la bibliothèque pour préparer des examens, chaque jour j'inventais une nouvelle excuse pour donner l'illusion que j'étais parfait, alors qu'il n'en était rien. Je montais vite dans ma chambre, maquillais grossièrement les marques qui couvraient mon visage et mes bras dans l'espoir que personne ne les remarques, et allai rejoindre les autres pour le dîner. Samantha était toujours souriante et agréable, elle savait être parfaite, elle. Je l'enviais. Mais sa simple présence avait le don de me faire presque oublier les douleurs de la journée. Derrière ses airs d'enfant taquine et jeune, elle était maligne bienveillante et réconfortante.
Je mangeais comme les autres, bien que je n'en avais pas la moindre envie. Il ne fallait pas qu'ils s'inquiètent pour moi, je ne le méritais pas. À chacune de leurs questions, je décrivais la vie d'un étudiant modèle et sérieux, et lorsque le repas était finalement achevé, je montais comme à mon habitude réviser dans ma chambre avec mon café. Cela devait bien faire quelques années que j'avais cette routine. Je fermais la porte derrière moi, et sortais de l'un de mes tiroirs un sachet de sel. Quelques minutes plus tard, mon estomac était de nouveau vide, et j'étais soulagé. Je me mettais alors réellement à travailler, jusqu'à ce que tout les autres soient couchés. Il ne restait alors dans la maison d'allumée que la petite lampe de bureau qui trônait à sa place logique. Je perdais la notion du temps, absorbé par mes devoirs et aveuglé par cette imperfection que je me devais de corriger à tout prix.
Quand chaque mot de chaque leçon avait été gravé dans mon esprit, je m'accordais enfin un répit pour réfléchir à tout ce qui m'arrivait. Pourquoi le monde est-il si cruel envers moi? Qu'ai-je ou bien que n'ai-je pas fait pour que tout ceci me tombe dessus? Et je me torturais ainsi l'esprit pendant plusieurs minutes avant d'en arriver toujours à la même ultime conclusion. Si tout ça m'arrive, c'est que je dois le mériter. Je ne suis pas assez parfait. Et j'avais une façon de me libérer de ces souffrances qui entravaient en permanence mes pensées. Chaque soir, seul dans ma chambre où aucun regard ni aucun poing ne pouvait m'atteindre, je me marquais d'une lame qui apaisait mes peines mes bras fins et pitoyables, avant de m'endormir serein.
Le lendemain comme chaque jour mes vêtements abritaient les blessures de la veille, et je donnais tout ce qui restait de ma personne pour rendre service, espérant que l'on me pardonne cette imperfection qu'était la mienne. Mais en vain, puis-qu’encore on vint me frapper. C'est sûrement que je devais le mériter, alors encore je ne dis rien. Et le cercle se répéta ainsi, des jours, des semaines, des mois, sûrement même des années. Et je n'étais toujours pas meilleur.
Un autre soir où je m'entaillais aussi soigneusement que pensivement, fatigué par ma propre personne, commençant finalement à perdre patience, me disant que personne ne me verrait, je m'autorisais à verser une larme. Elle descendit le long de ma joue, puis acheva sa course sur le bord de ma lèvre. Avais-je déjà pleuré auparavant? Je ne sais pas. Je ne crois pas. Je découvrais quelque chose de nouveau. Par ce moyen aussi, je sentais que mes complexes étaient repoussés. Alors je continuais. Une seconde, puis encore une... Et la dernière vint s'écraser juste à l'endroit de l'entaille. Alors que je me serais attendu à ce que ce ne soit rien de plus que de l'eau, une vive douleur me saisit brusquement, brûlante et rongeante, qui me fit pousser un grand cri de surprise, assez puissant pour alerter toute la famille. Pris de panique, je me précipitais sous ma couette, camouflant aussi mon bras et mon arme, pour que personne ne puisse rien voir. Comme je m'y attendais, tout le monde accourra, et je ne pus que dire avoir été victime d'un affreux cauchemar. Ils repartirent alors que je sentais le tissu s'imbiber sur mon corps, et je m'endormis sous peu. Encore une fois, je n'avais pas été capable d'agir correctement et de garder ce cri pour moi. Il avait fallu que j'inquiète tout le monde. Cette mésaventure ne fut finalement qu'une raison de plus de me détester.
Ça allait être une nouvelle manière de me faire souffrir. Mélanger mon sang et mes larmes semblait être la meilleure façon de faire ressentir jusqu'au plus profond de moi-même que je ne valais rien. Cependant, mes plaies peinaient chaque jour un peu plus à se refermer et il arrivait qu'elles se rouvrent avant même que je ne sois rentré chez moi le soir. Alors je me mis à porter des bandes pour éviter de me faire repérer. Elles me serraient les bras et n'étaient pas très confortables, mais je m'en satisfaisait très bien. Peu de temps après vint aussi le cache œil, pour lequel je faisais simplement croire que je souhaitais ressembler à un personnage de manga.
Le jour où tout bascula fut celui ou papa et maman m’attendirent à l'entrée de la maison, avec un air que je ne connaissais pas vraiment. Avaient-ils tout découvert? Avais-je encore agi de travers? Que se passait-il? J'eus juste le temps d'aller poser mes affaires là haut avant de retourner dans la cuisine avec ma sœur où nous attendaient deux lettres identiques. Enfin, à un détail près. Le symbole qui ornait l'une était vert émeraude, et l'autre bleu. J''ouvris la première, et y découvrit une invitation pour une académie supposée réservée aux gens particuliers. Je ne sus pas comment le prendre. Étais-je extraordinaire? Non. J'étais simplement imparfait. Et de tout ce que je savait, jamais je n'avais vécu d'événement extraordinaire ni n'avais été témoin de faits étranges. Mais après concertation avec Sam, nous décidions tout les deux de nous rendre en Angleterre, pour aller découvrir cette académie Tsuki.
J'emportai dans ma valise des vêtements noirs, toujours bien opaques, plusieurs mètres de bandelettes, un set d'aiguilles accompagnées de fil à coudre, pour la crédibilité si jamais elles étaient venues à être trouvées, car ça peut toujours être utile, et un petit opinel.
Comme chaque jour, une fois que j'avais fini d'entendre les rires au loin, les pas du groupe et les terreurs qu'ils éveillaient en moi, je m'appuyai de mon bras droit sur béton rugueux de l'immeuble et je me relevais tant bien que mal, avant d'épousseter ma veste trop large et de marcher jusqu'au petit pavillon où j'habitais. J'ouvrais la porte, demandais si tout le monde avait passé une bonne journée, puis expliquais la raison de mon retard. J'avais été occupé à aider un camarade avec un devoir, ou alors j'étais passé à la bibliothèque pour préparer des examens, chaque jour j'inventais une nouvelle excuse pour donner l'illusion que j'étais parfait, alors qu'il n'en était rien. Je montais vite dans ma chambre, maquillais grossièrement les marques qui couvraient mon visage et mes bras dans l'espoir que personne ne les remarques, et allai rejoindre les autres pour le dîner. Samantha était toujours souriante et agréable, elle savait être parfaite, elle. Je l'enviais. Mais sa simple présence avait le don de me faire presque oublier les douleurs de la journée. Derrière ses airs d'enfant taquine et jeune, elle était maligne bienveillante et réconfortante.
Je mangeais comme les autres, bien que je n'en avais pas la moindre envie. Il ne fallait pas qu'ils s'inquiètent pour moi, je ne le méritais pas. À chacune de leurs questions, je décrivais la vie d'un étudiant modèle et sérieux, et lorsque le repas était finalement achevé, je montais comme à mon habitude réviser dans ma chambre avec mon café. Cela devait bien faire quelques années que j'avais cette routine. Je fermais la porte derrière moi, et sortais de l'un de mes tiroirs un sachet de sel. Quelques minutes plus tard, mon estomac était de nouveau vide, et j'étais soulagé. Je me mettais alors réellement à travailler, jusqu'à ce que tout les autres soient couchés. Il ne restait alors dans la maison d'allumée que la petite lampe de bureau qui trônait à sa place logique. Je perdais la notion du temps, absorbé par mes devoirs et aveuglé par cette imperfection que je me devais de corriger à tout prix.
Quand chaque mot de chaque leçon avait été gravé dans mon esprit, je m'accordais enfin un répit pour réfléchir à tout ce qui m'arrivait. Pourquoi le monde est-il si cruel envers moi? Qu'ai-je ou bien que n'ai-je pas fait pour que tout ceci me tombe dessus? Et je me torturais ainsi l'esprit pendant plusieurs minutes avant d'en arriver toujours à la même ultime conclusion. Si tout ça m'arrive, c'est que je dois le mériter. Je ne suis pas assez parfait. Et j'avais une façon de me libérer de ces souffrances qui entravaient en permanence mes pensées. Chaque soir, seul dans ma chambre où aucun regard ni aucun poing ne pouvait m'atteindre, je me marquais d'une lame qui apaisait mes peines mes bras fins et pitoyables, avant de m'endormir serein.
Le lendemain comme chaque jour mes vêtements abritaient les blessures de la veille, et je donnais tout ce qui restait de ma personne pour rendre service, espérant que l'on me pardonne cette imperfection qu'était la mienne. Mais en vain, puis-qu’encore on vint me frapper. C'est sûrement que je devais le mériter, alors encore je ne dis rien. Et le cercle se répéta ainsi, des jours, des semaines, des mois, sûrement même des années. Et je n'étais toujours pas meilleur.
Un autre soir où je m'entaillais aussi soigneusement que pensivement, fatigué par ma propre personne, commençant finalement à perdre patience, me disant que personne ne me verrait, je m'autorisais à verser une larme. Elle descendit le long de ma joue, puis acheva sa course sur le bord de ma lèvre. Avais-je déjà pleuré auparavant? Je ne sais pas. Je ne crois pas. Je découvrais quelque chose de nouveau. Par ce moyen aussi, je sentais que mes complexes étaient repoussés. Alors je continuais. Une seconde, puis encore une... Et la dernière vint s'écraser juste à l'endroit de l'entaille. Alors que je me serais attendu à ce que ce ne soit rien de plus que de l'eau, une vive douleur me saisit brusquement, brûlante et rongeante, qui me fit pousser un grand cri de surprise, assez puissant pour alerter toute la famille. Pris de panique, je me précipitais sous ma couette, camouflant aussi mon bras et mon arme, pour que personne ne puisse rien voir. Comme je m'y attendais, tout le monde accourra, et je ne pus que dire avoir été victime d'un affreux cauchemar. Ils repartirent alors que je sentais le tissu s'imbiber sur mon corps, et je m'endormis sous peu. Encore une fois, je n'avais pas été capable d'agir correctement et de garder ce cri pour moi. Il avait fallu que j'inquiète tout le monde. Cette mésaventure ne fut finalement qu'une raison de plus de me détester.
Ça allait être une nouvelle manière de me faire souffrir. Mélanger mon sang et mes larmes semblait être la meilleure façon de faire ressentir jusqu'au plus profond de moi-même que je ne valais rien. Cependant, mes plaies peinaient chaque jour un peu plus à se refermer et il arrivait qu'elles se rouvrent avant même que je ne sois rentré chez moi le soir. Alors je me mis à porter des bandes pour éviter de me faire repérer. Elles me serraient les bras et n'étaient pas très confortables, mais je m'en satisfaisait très bien. Peu de temps après vint aussi le cache œil, pour lequel je faisais simplement croire que je souhaitais ressembler à un personnage de manga.
Le jour où tout bascula fut celui ou papa et maman m’attendirent à l'entrée de la maison, avec un air que je ne connaissais pas vraiment. Avaient-ils tout découvert? Avais-je encore agi de travers? Que se passait-il? J'eus juste le temps d'aller poser mes affaires là haut avant de retourner dans la cuisine avec ma sœur où nous attendaient deux lettres identiques. Enfin, à un détail près. Le symbole qui ornait l'une était vert émeraude, et l'autre bleu. J''ouvris la première, et y découvrit une invitation pour une académie supposée réservée aux gens particuliers. Je ne sus pas comment le prendre. Étais-je extraordinaire? Non. J'étais simplement imparfait. Et de tout ce que je savait, jamais je n'avais vécu d'événement extraordinaire ni n'avais été témoin de faits étranges. Mais après concertation avec Sam, nous décidions tout les deux de nous rendre en Angleterre, pour aller découvrir cette académie Tsuki.
J'emportai dans ma valise des vêtements noirs, toujours bien opaques, plusieurs mètres de bandelettes, un set d'aiguilles accompagnées de fil à coudre, pour la crédibilité si jamais elles étaient venues à être trouvées, car ça peut toujours être utile, et un petit opinel.
Et toi, derrière l'écran ?
♦ Prénom ou surnom :
♦ Anniversaire :
♦ Activité : (études, emploi ou rien)
♦ Loisirs :
♦ Tu aimes : Les trucs un peu glauques sur les bords...
♦ Tu détestes :
♦ Ton rêve :
♦ Comment es-tu arrivé ici ? J’ai suivi les cailloux du petit poucet (c’est subtilet méchant mais tu peux comprendre.)
♦ Des idées pour améliorer le forum ?
♦ Petit mot de fin : En vrai je suis pas un psycho hein. Juste au cas où.
♦ Anniversaire :
♦ Activité : (études, emploi ou rien)
♦ Loisirs :
♦ Tu aimes : Les trucs un peu glauques sur les bords...
♦ Tu détestes :
♦ Ton rêve :
♦ Comment es-tu arrivé ici ? J’ai suivi les cailloux du petit poucet (c’est subtil
♦ Des idées pour améliorer le forum ?
♦ Petit mot de fin : En vrai je suis pas un psycho hein. Juste au cas où.
Dernière édition par Thomas Williams le Mar 04 Avr 2017, 21:47, édité 10 fois
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
OMG j'approuve totalement ce vava!
Bon courage pour finir ta fiche!
Bon courage pour finir ta fiche!
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Bienvenueee ~
Tu feras gaffe y'a le "A" de "Âge" qui s'est perdu o:
Tu feras gaffe y'a le "A" de "Âge" qui s'est perdu o:
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
THO-MAS a écrit:♦ Comment es-tu arrivé ici ? J’ai suivi les cailloux du petit poucet
Ah oui, vraiment très subtil. T'es fier de toi ? HEIN ?
Bonne chance pour finir ta fiche hein. Pfeuh.
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Bienvenue chez les Émeraudes, bon courage pour terminer ta fiche et bonne chance pour ta validation ^^
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Hello bienvenus à toi.
Je m'occuperais de ta fiche dès que tu auras finis.
Si tu as des questions n'hésite pas a me contacter par MP
Et je dis ça comme ça au cas où par rapport au nom de ton pouvoir. je ne sais pas ce que tu avais en tête, mais la manipulation est déjà prise.
tu a le rescencement des pouvoirs prix ici
Je m'occuperais de ta fiche dès que tu auras finis.
Si tu as des questions n'hésite pas a me contacter par MP
Et je dis ça comme ça au cas où par rapport au nom de ton pouvoir. je ne sais pas ce que tu avais en tête, mais la manipulation est déjà prise.
tu a le rescencement des pouvoirs prix ici
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Merci tout le monde, je vais essayer de faire au mieux! :D
Noa merci beaucoup mais mon pouvoir n'aura AUCUN RAPPORT avec la manipulation^^. Nan, moi ce sera un truc très dans la gaieté et la joie de vivre, je me dépêche d'écrire ça x)
Noa merci beaucoup mais mon pouvoir n'aura AUCUN RAPPORT avec la manipulation^^. Nan, moi ce sera un truc très dans la gaieté et la joie de vivre, je me dépêche d'écrire ça x)
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Très bien ! Alors si tu n’y vois pas d’inconvénient on va commencer par le pouvoir puisque c’est généralement ce qui influence tout le reste.
Très intéressant et originale je dois dire !
Mais comme tu t’en doute j’ai quelque petites questions.
Est-ce que tu es toi-même sensible à ton acide ?
Et quel est la quantité journalière d’acide que tu peux créer ?
Très intéressant et originale je dois dire !
Mais comme tu t’en doute j’ai quelque petites questions.
Est-ce que tu es toi-même sensible à ton acide ?
Et quel est la quantité journalière d’acide que tu peux créer ?
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Okay,
Alors je commence par la fin, mais si tu as lu l'histoire, tu as vu qu'il "découvre" (puisqu'il n'est en fait même pas conscient que c'est un pouvoir) son don en l'utilisant sur lui même, alors oui, il est affecté par son acide (assez faible de toute façon).
Ensuite, et bien je pensais qu'il pourrait créer de l'acide en fonction de la quantité de larmes et de sang dont il dispose (en toute logique une larme+une goutte de sang=2 gouttes d'acide, pour garder un rapport de proportionnalité). Comme on ne dispose en général que d'une petite quantité de larmes, il n'est pas possible de produire beaucoup d'acide. Et ne parlons pas non plus des pertes de sang. Il serait très compliqué de donner une estimation exacte mais ça s'approcherait peut être de... Au grand maximum 20 cl journaliers? :o Et vraiment il faut qu'il ait un bon stock de lames à pleurer (je pense que perdre 10 cl de sang ça peut encore passer, à la limite).
Et je rappelle qu'il n'est pas conscient de son pouvoir, ce qui signifie qu'il n'en a jamais expérimenté les limites.
Bref voilà, merci beaucoup! ^^
Alors je commence par la fin, mais si tu as lu l'histoire, tu as vu qu'il "découvre" (puisqu'il n'est en fait même pas conscient que c'est un pouvoir) son don en l'utilisant sur lui même, alors oui, il est affecté par son acide (assez faible de toute façon).
Ensuite, et bien je pensais qu'il pourrait créer de l'acide en fonction de la quantité de larmes et de sang dont il dispose (en toute logique une larme+une goutte de sang=2 gouttes d'acide, pour garder un rapport de proportionnalité). Comme on ne dispose en général que d'une petite quantité de larmes, il n'est pas possible de produire beaucoup d'acide. Et ne parlons pas non plus des pertes de sang. Il serait très compliqué de donner une estimation exacte mais ça s'approcherait peut être de... Au grand maximum 20 cl journaliers? :o Et vraiment il faut qu'il ait un bon stock de lames à pleurer (je pense que perdre 10 cl de sang ça peut encore passer, à la limite).
Et je rappelle qu'il n'est pas conscient de son pouvoir, ce qui signifie qu'il n'en a jamais expérimenté les limites.
Bref voilà, merci beaucoup! ^^
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Ok 20 cl par jour sa me vas
Mais il va falloir que tu me précise deux trois truc. Est-ce que ce doit être un type de larmes précis ? ou pas ?
Les larmes n’ont pas les mêmes compositions en fonction de leur élément déclencheur. Sa peut être les émotions (la tristesse, la joie, la colère) mais aussi un facteurs extérieur (le vent, le soleil, une poussière dans l’œil,infection, etc)
Par ailleurs comme tu viens de le souligner on a pas une réserve de larme illimité, donc tu précisé les conséquences d’un usage excessif sur une période restreinte de ton pouvoir. Comma par exemple du coup si tu n’as plus de larmes, ton œil sera plus sensible aux irritations en cas de déshydratation. Tu vois ce que je veux dire ?
Mais il va falloir que tu me précise deux trois truc. Est-ce que ce doit être un type de larmes précis ? ou pas ?
Les larmes n’ont pas les mêmes compositions en fonction de leur élément déclencheur. Sa peut être les émotions (la tristesse, la joie, la colère) mais aussi un facteurs extérieur (le vent, le soleil, une poussière dans l’œil,infection, etc)
Par ailleurs comme tu viens de le souligner on a pas une réserve de larme illimité, donc tu précisé les conséquences d’un usage excessif sur une période restreinte de ton pouvoir. Comma par exemple du coup si tu n’as plus de larmes, ton œil sera plus sensible aux irritations en cas de déshydratation. Tu vois ce que je veux dire ?
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Je pensais que ça fonctionnerait avec tout types de larmes, mais comme tu as pu le voir encore une fois si tu as tout lu, pour lui ce sera majoritairement des larmes de tristesse et de douleur.
"Il ne sait pas pleurer sur demande"
"Lorsqu'il n'arrive pas à se faire pleurer, il arrive qu'il se fasse une petite entaille sous l’œil."
Il l'utilise uniquement pour se blesser, et pour lui c'est "normal". Il ne sait pas que les autres n'ont pas la même chose.
Mais si il venait à abuser de son pouvoir, (c'est à dire à trop se faire pleurer artificiellement, ou encore à s'éplucher trop sérieusement), alors oui, il pourrait être la victime d'infections occulaires, de dessèchement, de troubles de la vision momentanés etc... et pour les blessures idem, tout ce qui est infections et joyeusetés du genre.
En sois c'est un pouvoir qui apporte largement plus d'Inconvénients que d'avantages, et surtout qui ne sert pas à grand chose.
"Il ne sait pas pleurer sur demande"
"Lorsqu'il n'arrive pas à se faire pleurer, il arrive qu'il se fasse une petite entaille sous l’œil."
Il l'utilise uniquement pour se blesser, et pour lui c'est "normal". Il ne sait pas que les autres n'ont pas la même chose.
Mais si il venait à abuser de son pouvoir, (c'est à dire à trop se faire pleurer artificiellement, ou encore à s'éplucher trop sérieusement), alors oui, il pourrait être la victime d'infections occulaires, de dessèchement, de troubles de la vision momentanés etc... et pour les blessures idem, tout ce qui est infections et joyeusetés du genre.
En sois c'est un pouvoir qui apporte largement plus d'Inconvénients que d'avantages, et surtout qui ne sert pas à grand chose.
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Tout type de larmes ok (faudra que tu le précise alors)
Après pour coter « ne pleurer pas sur demande », comme tu veux mais je ne peux pas m’empêcher de penser qu’on peut arriver à te faire pleurer en t’arrachant un poil bien placé x) enfin … ce n’est que mon humble avis !
Mais je te laisse préciser la dose maximal crée dans ta fiche.
Pour ce qui est de l’histoire … Du coup … cet Sam, ce serais une élève émeraude PNJ ?
Après pour coter « ne pleurer pas sur demande », comme tu veux mais je ne peux pas m’empêcher de penser qu’on peut arriver à te faire pleurer en t’arrachant un poil bien placé x) enfin … ce n’est que mon humble avis !
Mais je te laisse préciser la dose maximal crée dans ta fiche.
Pour ce qui est de l’histoire … Du coup … cet Sam, ce serais une élève émeraude PNJ ?
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Bref, cette fois c'est bon !
Tout ça pour dire qu'en fait Sam' c'est moi !
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
C'est bon, j'ai tout terminé cette fois ci je crois bien! :D
Et oui mon personnage sera le frère de la petite Sam, qui s'est présentée juste avant^^!
Et oui mon personnage sera le frère de la petite Sam, qui s'est présentée juste avant^^!
Re: Thomas Williams, je dois être plus parfait. [Finished]
Félicitation ! Tu es Validé !
Tu peux dès maintenant commencer rp.
Je t'invite a créer le sujet pour ton dossier, ton casier et faire ta fiche de liens
amuse toi bien !
Tu peux dès maintenant commencer rp.
Je t'invite a créer le sujet pour ton dossier, ton casier et faire ta fiche de liens
amuse toi bien !
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