[EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
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[EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Rappel du premier message :
Règlement de l’évent.
Votre but sera de vous retrancher dans un lieu qui sera indiqué au lancement de l’événement. Vous aller ensuite devoir tenir un siège jusqu’à ce vendredi 24 juillet. 40 soldats vous assaillent, si vous parvenez à les décimer avant ce vendredi 24 juillet, alors vous aurez du temps à consacrer aux éventuels blessés.
Comment allez-vous procéder ? Lorsque vous aurez rejoins votre lieu de couverture (indiqué dans un prochain post), vous aurez le droit à une réponse par personnage avant chaque heure d’attaques de la part des soldats, ces horaires sont 12h00, 19h00 et 00h00. Dans le tableau de caractéristiques, qui se trouvent ici : http://www.academie-tsuki.com/t1685-event-en-preparation-urgent , vos points de force physique et de maîtrise du pouvoir définiront vos chances de réussite lors de vos attaques. Vos points d’endurance physique définissent votre « fatigue ». A chacune de vos attaques, vous dépenserez 5 points d’endurance, parfois moins, parfois plus, si c’est le cas, une explication sera fournie. Une fois ces points tombés à 0, vous serez bien trop épuisés pour utiliser votre pouvoir. Néanmoins vous aurez la possibilité de passer un de vos tours à vous reposer afin de récupérer 5 points d’endurance. De plus, il vous sera possible de dépenser de vos Points (visibles dans le profil) afin de récupérer des points d’endurance (100 Points pour 50 d’endurance).
Tout ce qui concerne la direction à prendre et comment s’y rendre sera expliqué dans les deux prochains posts. Le premier post lançant l’événement sera de la part de Ren'bo Kyouran'. Je vais faire un double post, je sais c'est pas bien, mais voilà quoi. J'attendrais que Mlle Erin Midford et Mr Chikara Seicho aient postés sur le même événement dans les jardins. Sont concernés par ce sujet tous ceux présents au banquet de la Serre.
Bonne chance à tous.
Règlement de l’évent.
Votre but sera de vous retrancher dans un lieu qui sera indiqué au lancement de l’événement. Vous aller ensuite devoir tenir un siège jusqu’à ce vendredi 24 juillet. 40 soldats vous assaillent, si vous parvenez à les décimer avant ce vendredi 24 juillet, alors vous aurez du temps à consacrer aux éventuels blessés.
Comment allez-vous procéder ? Lorsque vous aurez rejoins votre lieu de couverture (indiqué dans un prochain post), vous aurez le droit à une réponse par personnage avant chaque heure d’attaques de la part des soldats, ces horaires sont 12h00, 19h00 et 00h00. Dans le tableau de caractéristiques, qui se trouvent ici : http://www.academie-tsuki.com/t1685-event-en-preparation-urgent , vos points de force physique et de maîtrise du pouvoir définiront vos chances de réussite lors de vos attaques. Vos points d’endurance physique définissent votre « fatigue ». A chacune de vos attaques, vous dépenserez 5 points d’endurance, parfois moins, parfois plus, si c’est le cas, une explication sera fournie. Une fois ces points tombés à 0, vous serez bien trop épuisés pour utiliser votre pouvoir. Néanmoins vous aurez la possibilité de passer un de vos tours à vous reposer afin de récupérer 5 points d’endurance. De plus, il vous sera possible de dépenser de vos Points (visibles dans le profil) afin de récupérer des points d’endurance (100 Points pour 50 d’endurance).
Tout ce qui concerne la direction à prendre et comment s’y rendre sera expliqué dans les deux prochains posts. Le premier post lançant l’événement sera de la part de Ren'bo Kyouran'. Je vais faire un double post, je sais c'est pas bien, mais voilà quoi. J'attendrais que Mlle Erin Midford et Mr Chikara Seicho aient postés sur le même événement dans les jardins. Sont concernés par ce sujet tous ceux présents au banquet de la Serre.
Bonne chance à tous.
Dernière édition par Ren' le Sam 18 Juil 2015, 00:42, édité 2 fois
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Précision supplémentaire : Dommage Yahiko, le plan était vraiment bon, les dés n'ont pas été favorables...
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Zut, je m'étais complètement ratée je n'avais pas du tout touché le soldat. Ma tentative ayant échoué, je me dirigeai maintenant vers les dortoirs comme il était convenu. J'avais vraiment du mal à rester transformée avec cette douleur, c'était insoutenable... Je zigzagais comme je pouvais pour éviter les tirs des hommes armés. Heureusement pour moi, ils étaient déjà bien occupés au sol et je n'avais pas attiré l'attention de trop de monde. Je voyais bien qu'il était inutile que je reste là, en se repliant nous seront plus forts. Encouragée par Ren', je me dirigeai vers les dortoirs.
Luna ! Envol toi par là haut dès que tu peux !
Il avait lancé une carabine vers une fenêtre du premier étage. Elle s'était cassée cassée sous l'impact et j'allais pouvoir facilement passer. Je ne pu m'empêcher de penser à la bonté de son acte. J'étais la seule à pouvoir y passer et il avait sacrifié une arme rien que pour moi. Sacrifié est bien le mot puisque je ne sais absolument pas me servir d'une carabine ni d'aucune arme à feu d'ailleurs... Mais qu'importe, ma première préoccupation n'était pas d'attaquer mais de mettre tout le monde à l'abri. J'ai déjà vu quelques personnes se faire kidnapper ou encore pire, se faire tuer. Si ce genre de choses venait à s'ébruiter, ma famille me désinscrirait tout de suite de l'Académie et je ne voulais absolument pas ça.
En passant par la fenêtre cassée, je me coupai avec le verre je ne sais trop où en essayant d'esquiver un tir. Je ne volais vraiment plus droit aussi, je peinait énormément à me maintenir sous forme d'oiseau. Les caractéristiques de cet animal sont vraiment trop différentes de celles d'un humain, j'ai encore du travail à faire si je souhaite maîtriser cette forme. Aussitôt passée, je me transformai en humaine et m'écrasai bruyamment sur le sol. J'avais la jambe gauche pleine de sang, c'était vraiment horrible. J'étais dans le dortoir Rubis et même si je connaissait sa disposition globale, je n'étais jamais entrée dedans.
J'avais peur de me mettre debout à cause des fenêtres et je ne savais pas vraiment si mon état me le permettait. Je suis peut-être extrêmement douillette de me ménager ainsi, je n'en ai aucune idée. Devant moi il y avait uen porte ouverte, probablement celle d'une chambre. J'espérais y trouver de l'aide ou de quoi bander ma cuisse.
EDIT MJ : L'attaque de Luna a belle et bien réussie, le soldat se retrouve avec les yeux crevés.
Luna ! Envol toi par là haut dès que tu peux !
Il avait lancé une carabine vers une fenêtre du premier étage. Elle s'était cassée cassée sous l'impact et j'allais pouvoir facilement passer. Je ne pu m'empêcher de penser à la bonté de son acte. J'étais la seule à pouvoir y passer et il avait sacrifié une arme rien que pour moi. Sacrifié est bien le mot puisque je ne sais absolument pas me servir d'une carabine ni d'aucune arme à feu d'ailleurs... Mais qu'importe, ma première préoccupation n'était pas d'attaquer mais de mettre tout le monde à l'abri. J'ai déjà vu quelques personnes se faire kidnapper ou encore pire, se faire tuer. Si ce genre de choses venait à s'ébruiter, ma famille me désinscrirait tout de suite de l'Académie et je ne voulais absolument pas ça.
En passant par la fenêtre cassée, je me coupai avec le verre je ne sais trop où en essayant d'esquiver un tir. Je ne volais vraiment plus droit aussi, je peinait énormément à me maintenir sous forme d'oiseau. Les caractéristiques de cet animal sont vraiment trop différentes de celles d'un humain, j'ai encore du travail à faire si je souhaite maîtriser cette forme. Aussitôt passée, je me transformai en humaine et m'écrasai bruyamment sur le sol. J'avais la jambe gauche pleine de sang, c'était vraiment horrible. J'étais dans le dortoir Rubis et même si je connaissait sa disposition globale, je n'étais jamais entrée dedans.
J'avais peur de me mettre debout à cause des fenêtres et je ne savais pas vraiment si mon état me le permettait. Je suis peut-être extrêmement douillette de me ménager ainsi, je n'en ai aucune idée. Devant moi il y avait uen porte ouverte, probablement celle d'une chambre. J'espérais y trouver de l'aide ou de quoi bander ma cuisse.
EDIT MJ : L'attaque de Luna a belle et bien réussie, le soldat se retrouve avec les yeux crevés.
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Les attaques sur les dortoirs cessent pour le prochain tour. Seuls les personnages en dehors du gymnase seront attaqués. Les attaques reprendront à partir de 13h00, après la mise à jour. Votre liberté va alors être un peu plus bridée. Les soldats seront regroupés et attaqueront plus précisément et avec plus de coordination, votre manière d'écrire va en changer, ce ne sera plus vous qui choisirez qui vous attaque et comment, votre réaction devra être judicieuse, bien réfléchie, et ne pas trop s'avancer sur le sort de votre adversaire. Ils ne mourront que très rarement suite à votre attaque, alors préparez vous bien...
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Je me réveillas avec surprise. Quand est-ce que je m'étais endormie ? Et pourquoi je ne suis pas dans ma propre chambre ? Me frottant les yeux avec un léger bâillement, tout me revint à l'esprit. L'attaque, mon vouloir de prévenir avant que Kamihate me fiche au lit, les calmants trop puissants faut croire… Dans mon corps, mon énergie est revenu à un point normal et contrôlable. Me levant du lit en tentant de ne pas tomber, je partis dans la salle commune et je vis des blessés plus ou moins graves partout. J'en laissa tomber mon chapeau que je remise sur ma tête avant de chercher des trousses de premiers secours dans ma valise, je dois bien en avoir une... Je fus contente d'en trouver deux. Mes parents en avaient, sans doute, chacun mise une pleine à rabord, vive leur presque paranoia !
Je me précipitas vers l'entrée et je posa tout ce que j'avais prise. Puis, je donnas à quelqu'un une des deux trousses avant de voir s'avancer depuis les couloirs une personne avec des cheveux blancs et une main ensanglantée. Je faillis hurler, mais, ravalant tout, je m'avança vers la personne avec des bandages et du désinfectant avant de faire s'assoir la personne, sans prendre compte de son avis, et la soigner. Lui demandant de me prévenir si jamais je lui faisais mal. Une fois cette personne soignée un peu comme j'ai pu, je partis m'occuper de quelqu'un d'autre. J'essayais de soigner le plus de gens possibles. Puis, quand je n'eus plus de bandages très vite, on était bien trop pour si peu d'affaires, je prise alors un de mes t-shirt propre et le déchira pour faire des bandelettes supplémentaires. De tentative de soigner les gens, je passais à déchireuse de t-shirts propres car on commençait à manquer de bandages…
Je me précipitas vers l'entrée et je posa tout ce que j'avais prise. Puis, je donnas à quelqu'un une des deux trousses avant de voir s'avancer depuis les couloirs une personne avec des cheveux blancs et une main ensanglantée. Je faillis hurler, mais, ravalant tout, je m'avança vers la personne avec des bandages et du désinfectant avant de faire s'assoir la personne, sans prendre compte de son avis, et la soigner. Lui demandant de me prévenir si jamais je lui faisais mal. Une fois cette personne soignée un peu comme j'ai pu, je partis m'occuper de quelqu'un d'autre. J'essayais de soigner le plus de gens possibles. Puis, quand je n'eus plus de bandages très vite, on était bien trop pour si peu d'affaires, je prise alors un de mes t-shirt propre et le déchira pour faire des bandelettes supplémentaires. De tentative de soigner les gens, je passais à déchireuse de t-shirts propres car on commençait à manquer de bandages…
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Une petite heure s'était écoulée, je m'étais installé sur le canapé afin de me reposer un peu. Au final je me retrouvai le haut du corps au sol et le bas sur le canapé, j'avais un peu de bave qui coulait et mes bras étaient positionnés en croix au dessus de ma tête. A mon réveil, une douleur me lançait au niveau des hanches, en même temps, vu la position...
Après m'être correctement réveillé et bien installé sur le canapé, je vis plutôt pas mal de personnes. Certaines étant blessées, l'endroit avait du être aménagé. C'était aussi devenu plutôt mouvementé mais cela n'empêchait pas le fait de sentir la lourde atmosphère qui s'était installé. Je me levai et alla à la porte afin de voir ce qui se passait à l'extérieur.
Le calme était déjà un peu plus présent par rapport au début, mais l'agitation à l'extérieur se faisait encore ressentir.
Je me retournai et je vis un petite fille blonde qui donnait les premiers soins à ceux dans le besoin. Elle avait deux trousses mais elles furent vite utilisées et pris donc des T-Shirt qu'elle déchirait. Je me suis donc mis en route et alla jusqu'à ma chambre pour prendre des vêtements. Je m'étais rendu le plus rapidement à l'entrée et je lui donné le linge en lui disant avec un sourire :
- Salut... ! Tiens c'est pour toi, si tu en as besoin de plus ou même ne serait-ce que de l'aide prévient moi, je t'en filerai avec joie.
Après cela, j'allai m'assoir, appuyer à un poteau en regardant la petite. Les souvenirs d'hier me revint à l'esprit et mon instinct commença à se manifester, je le réprimais le plus possible tout en faisant attention à ce qui pourrait bien ce passer aux alentours.
Après m'être correctement réveillé et bien installé sur le canapé, je vis plutôt pas mal de personnes. Certaines étant blessées, l'endroit avait du être aménagé. C'était aussi devenu plutôt mouvementé mais cela n'empêchait pas le fait de sentir la lourde atmosphère qui s'était installé. Je me levai et alla à la porte afin de voir ce qui se passait à l'extérieur.
Le calme était déjà un peu plus présent par rapport au début, mais l'agitation à l'extérieur se faisait encore ressentir.
Je me retournai et je vis un petite fille blonde qui donnait les premiers soins à ceux dans le besoin. Elle avait deux trousses mais elles furent vite utilisées et pris donc des T-Shirt qu'elle déchirait. Je me suis donc mis en route et alla jusqu'à ma chambre pour prendre des vêtements. Je m'étais rendu le plus rapidement à l'entrée et je lui donné le linge en lui disant avec un sourire :
- Salut... ! Tiens c'est pour toi, si tu en as besoin de plus ou même ne serait-ce que de l'aide prévient moi, je t'en filerai avec joie.
Après cela, j'allai m'assoir, appuyer à un poteau en regardant la petite. Les souvenirs d'hier me revint à l'esprit et mon instinct commença à se manifester, je le réprimais le plus possible tout en faisant attention à ce qui pourrait bien ce passer aux alentours.
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
La fin de Tsuki
Event contextuel
Comment est-ce qu’on avait pu en arriver là…
Tsuki, qui m’avait semblait si accueillante à mon arrivée, n’était maintenant plus qu’un immense champ de bataille, où retentissaient les coups et résonnaient les cris.
Et moi, du haut de mes seize ans, je ne pouvais qu’assister au massacre de mes camarades, impuissante. Je ne pleurais même pas. Je n’en avais peut être pas la force après tout. Ces hommes qui étaient intervenus lors du banquet ne me rappelaient que trop bien mon père. Etait-ce pour cela que j’étais incapable d’agir ? Tandis que mes souvenirs refaisaient surface, la bataille faisait rage autour de moi.
Soudain, une élève s’effondra devant moi. Son corps gisait, baignant dans le sang. Pour je ne sais quelle raison, elle me rappela de ma mère. Cette femme que je n’avais pas pu sauver. Je n’avais pu sauver personne à cette époque. Et je ne voulais pas que cela recommence. C’est lorsque j’entendis une voix crier dans ma direction que je repris réellement mes esprits. C’était Ren. Il était revenu me chercher. Il me secouait violemment. Il m’attrapa par la main, me forçant à me relever. Je le suivis sans un mot jusqu’à qu’un des soldats nous barre la route. Il pointa son arme vers Ren et avant que celui-ci n’ai le temps de réagir, tira. Moi, j’avais vu le coup venir. Avant que l’élève ne soit touché, je pu m’interposer entre eux deux. La balle vint alors se loger dans mon épaule gauche. Je laissai échapper un cri de douleur alors que du sang glissait le long de mon bras à toute vitesse, venant tapisser le sol humide. Je n’avais jamais autant souffert. Mais je devais me battre.
Je relevai la tête et m’élançai vers mon adversaire. Un seul contact suffirait à le faire sombrer. Je parvins à l’atteindre, malgré la lame qu’il lança dans ma direction et qui m’entailla profondément la joue.
Aussitôt, je me plongeai dans son esprit. En un rien de temps, je compris qu’il vouait une haine profonde à quelque chose, mais qu’il n’avait en réalité rien contre Tsuki. Il ne faisait qu’exécuter les ordres. Seulement, ma colère fut plus forte que ma pitié à ce moment-là. Je me servis de sa haine pour l’envelopper. Tout ce que je voulais, c’était qu’il souffre, que sa propre haine lui fasse du mal, qu’il en devienne même fou s’il le fallait. Mais je n’attendis pas de voir le résultat pour partir. Une seule attaque devait avoir suffit à le rendre dingue de toute façon. Je me tournai vers Ren :
« Je suis désolée de ne pas m’être manifestée avant. Maintenant je vais me battre. » lui dis-je
Dans un faible sourire, j’ajoutai :
« Et puis, je dois la retrouver »
« La » dont je parlais, c’était la petite inconnue aux cheveux rosés que j’avais rencontré un peu plus tôt. Je ne savais pas pourquoi je m’inquiétais autant pour elle. Peut être que lorsque je l’avais trouvée sur le sol en pleurs, elle m’avait rappelé l’enfant que j’avais été pendant des années, triste, seule, et impuissante. Oui, c’était sans doute cela, elle me faisait penser à une enfant sans défense. Alors je ne voulais pas l’abandonner.
Sans attendre la réponse du représentant des Rubis, je tournai le dos à serre, attrapai le fusil du soldat resté au sol et partis. Je courais le plus rapidement possible, sans me soucier de ce qu’il se passait autour. En même temps, j’aurais eu du mal à tirer sur quelqu’un vu l’état de mon épaule, qui me ralentissait déjà beaucoup. Et puis mon pouvoir ne servait pas distance, puisqu’il devait y avoir un contact avec l’adversaire. Alors je ne pouvais que prier pour ne pas avoir à me défendre. Mais c’était sans compter sur la balle qui me traversa quelques secondes plus tard l’extrémité droite de mon abdomen.
Dernière édition par Mel le Dim 19 Juil 2015, 01:57, édité 1 fois
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
je suis toujours au dortoirs , les choses se sont légèrement calmer , kate soigne tout le monde ... je suis toujours désespérer que ce soit une gosse qui s'en charge , bien qu'il faille bien que quelqu'un s'en charge mais bon ... sinon rien de nouveau , peut-être que des soldats allaient arriver .
je me mit alors a imaginer une sorte de robot-combattants dans ma tête : il fait une taille adulte , il a quatre bras , possède deux sabres , un a chaque mains et dans les deux autres , il a deux armes a feu , possédant chacune 6 balles . lorsque celle-ci seront vides , il jetteras ses armes et se battras a mains nus . il a une armure médiévale , histoire de se protéger .
si ont se fait attaquer , je le sortirait de ma dimensions , genre comme un esprit . étant donner qu'il n'y as que koro qui sait bien se battre entre moi et lui ... je suis toujours la , posté a l'accès principal pour "repousser tout envahisseur" et j'attend ...
je me mit alors a imaginer une sorte de robot-combattants dans ma tête : il fait une taille adulte , il a quatre bras , possède deux sabres , un a chaque mains et dans les deux autres , il a deux armes a feu , possédant chacune 6 balles . lorsque celle-ci seront vides , il jetteras ses armes et se battras a mains nus . il a une armure médiévale , histoire de se protéger .
si ont se fait attaquer , je le sortirait de ma dimensions , genre comme un esprit . étant donner qu'il n'y as que koro qui sait bien se battre entre moi et lui ... je suis toujours la , posté a l'accès principal pour "repousser tout envahisseur" et j'attend ...
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Je ne savait pas comment j'avais fait, mais j'avais réussi à atteindre les dortoirs, et je ne savait pas dans lequel j'était, mais je m'en fichai bien. J'y étais entrée précipitamment à l'intérieur et avait commencé à chercher partout de quoi soigner ma blessure. Si seulement un de mes esprits était un esprit avec des sorts de soin... Cela m'aurait éviter d'ouvrir toutes les portes pour trouver de quoi me soigner.
Je réussi tout de même à trouver de quoi me soigner après avoir fouillé et retourné toutes les chambres, c'est à dire un seau remplis d'eau et des chiffons propres que j'avais trouvé à l'étage. Je nettoyai ma blessure qui me faisait mal. La balle devait sûrement se trouver à l'intérieur de la blessure, mais je préférai que quelqu'un de plus compétent dans le domaine des soins vienne me l'enlever car je ne voulais pas faire de bêtises. Après avoir nettoyé la blessure, j'enroulai un morceau de tissu autour de mon bras pour la protéger.
Après avoir fait rapidement des soins sur mon bras, je commençai à revenir en direction du rez de chaussée pour aller aider des gens quand j'entendis un fracas de verre brisé. Heureusement que je ne m'était pas aventurée plus loin, car sinon je me prenait le projectile qui avait servi à briser la fenêtre en plein dans la tête... Quelques minutes après, un oiseau entra et, à peine passé, pris la forme d'une jeune filles avec des cheveux rosés. Du sang coulai le long de sa jambe. Je me précipitai vers elle avec mon seau d'eau que j'avais gardé en main en cas et mes chiffons.
- Ç... Ça va ? A... Attends je vais p... protéger ta blessure !
Il y avait une porte de chambre ouverte. J'espérai y trouver de quoi protéger mieux la blessure de la jeune fille, mais pour le moment je me contenterai de ce que j'avais. Je nettoyai sommairement sa blessure et passai une bonne partie des chiffons propres que j'avais pris.
- T... Tu peux marcher ? je lui demandai.
Je fixai à nouveau la porte ouverte. Il fallait qu'on entre à l'intérieur... Je l'aidai à se remettre debout et lui dit :
- V... Viens, on va aller à l.. l'intérieur.
Je ne savais pas d'où me venais tout se calme, mais une chose est sûre : cette situation me semblai familière, et mon corps et mon cerveau semblaient tout faire pour que une situation dramatique qui m'était inconnue ne se reproduise pas.
Je réussi tout de même à trouver de quoi me soigner après avoir fouillé et retourné toutes les chambres, c'est à dire un seau remplis d'eau et des chiffons propres que j'avais trouvé à l'étage. Je nettoyai ma blessure qui me faisait mal. La balle devait sûrement se trouver à l'intérieur de la blessure, mais je préférai que quelqu'un de plus compétent dans le domaine des soins vienne me l'enlever car je ne voulais pas faire de bêtises. Après avoir nettoyé la blessure, j'enroulai un morceau de tissu autour de mon bras pour la protéger.
Après avoir fait rapidement des soins sur mon bras, je commençai à revenir en direction du rez de chaussée pour aller aider des gens quand j'entendis un fracas de verre brisé. Heureusement que je ne m'était pas aventurée plus loin, car sinon je me prenait le projectile qui avait servi à briser la fenêtre en plein dans la tête... Quelques minutes après, un oiseau entra et, à peine passé, pris la forme d'une jeune filles avec des cheveux rosés. Du sang coulai le long de sa jambe. Je me précipitai vers elle avec mon seau d'eau que j'avais gardé en main en cas et mes chiffons.
- Ç... Ça va ? A... Attends je vais p... protéger ta blessure !
Il y avait une porte de chambre ouverte. J'espérai y trouver de quoi protéger mieux la blessure de la jeune fille, mais pour le moment je me contenterai de ce que j'avais. Je nettoyai sommairement sa blessure et passai une bonne partie des chiffons propres que j'avais pris.
- T... Tu peux marcher ? je lui demandai.
Je fixai à nouveau la porte ouverte. Il fallait qu'on entre à l'intérieur... Je l'aidai à se remettre debout et lui dit :
- V... Viens, on va aller à l.. l'intérieur.
Je ne savais pas d'où me venais tout se calme, mais une chose est sûre : cette situation me semblai familière, et mon corps et mon cerveau semblaient tout faire pour que une situation dramatique qui m'était inconnue ne se reproduise pas.
Dernière édition par Shi le Ven 17 Juil 2015, 17:56, édité 1 fois
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Alors que je faisais sortir Mel de la serre, laissant bien d'autres à leur propre sort, j'étais confiant en me disant que le groupe qui venait de s'échapper vers les dortoirs était déjà bien suffisant pour avoir bonne conscience. Seulement, je ne m'attendais à ce qu'une de ces pourritures se place sur notre chemin, alors que nous sommes le deux derniers à sortir. Bon sang c'est pas vrai !! Mel venait de se plaquer devant moi, prenant le tir en plein dans l'épaule. Je n'en revenais pas, pourquoi avait-elle fait cela ?... J'en restais abasourdi, pourquoi donc ?... Elle, ne restait figée contrairement à moi, elle n'était pas plongée dans l'incompréhension. Du sang coula encore au sol, sa joue, un couteau. Que fait-elle ? Pourquoi est elle soudainement aussi... suicidaire ? Après un contact physique avec le soldat, celui-ci tomba à genou, le regard dans le vide avant de se recroqueviller sur lui-même, les cuisses contre son torse, effectuant des bruits d'animaux effrayés. De sombres ténèbres étaient en train de ronger son esprit.
Elle m'adressa la parole, mais j'étais plongé dans ces questions qui me torturaient encore et toujours, je ne répondis rien, tout ce que je fis, c'est me mettre à la suivre, juste devant moi et une énième détonation retenti, encore de ce sang, toujours le même. Cela me sortit de cette espèce de torpeur qui me prenait la tête, mon bras parti en avant, passant devant Mel pour l'empêcher de tomber en avant, une balle venait de lui frapper le ventre. Des larmes coulaient sur son visage. Depuis un moment je ne faisais plus autant attention au élèves de notre maison, et pourtant, un si joli visage, j'aurais du m'en souvenir. Un si joli visage gâché par le sang et les larmes, je ne peux pas tolérer ça. Je lui arrachais le fusil de la main. G36 C, je te connais bien, allemand, comme ma mère. Tout en lâchant Mel, espérant qu'elle puisse se reprendre, je pivotais sur moi-même. Jambes légèrement écartées, buste agressif, crosse contre le pectoraux, je voyais parfaitement ma cible, tous les deux dans la même position, je relevais mes coudes. J'étais calé, prise de visée, la tête, comme toujours. Distance approximative, 25 mètres, expiration contrôlée, respirer comme une pierre. J'enfonçais la détente, sentant le "clic" du reset, passant le point dur et enfonçait les 2,5 Kg militaire standard de ces carabines là. Le coup parti, je n'ai pas bougé d'un seul petit millimètre. La balle alla se ficher dans son gauche, fermé pour prendre sa propre visée, quel amateur...
Je rejoignais ensuite l'entrée du dortoir avec les autres, évaluant rapidement les dégâts. C'est franchement pas beau à voir, ni pour moi, ni pour les autres. Je posais le flingue contre le mur, je ne me rendais plus du tout compte du point que cela pouvait faire, cela me paraissait tellement normal après tout.
Bon ! Tous ceux qui peuvent se servir de leur force sans risquer une hémorragie, vous bloquez la porte avec ce que vous pouvez, ça devrez les empêcher d'entrer par là et comme ils savent qu'on est rentré par ici... Les autres, est ce que vous tenez le coup ? Est ce qu'il y a une urgence quelque part ? N'hésitez pas à dire si vous ne vous sentez pas bien du tout au delà du simple fait que vous perdez du sang. Je vais essayer d'aller trouver quelque chose, en attendant appuyer avec des vêtements comme certains le font déjà. Bonne idée les trousses de secours et les lambeaux de vêtements, j'espère trouver aussi bien la haut. Je reviens tout de suite.
Je partais sans attendre dans le dortoir des garçons, au premier étage des rubis. Peu importe la quantité de mon sang qui gouttait par terre, je m'occuperais ça après, j'ai environ 5,8 litres de sang dans mon corps, mon seuil critique se trouve à 4,2 litres, ça devrait tenir jusque là. Une fois dans ma chambre, je tirais vers moi la lourde valise qui m'avait servie à venir ici. Je sortais d'en dedans une mallette dont j'ouvris les trois cadenas. Il me fallut une dizaine de secondes pour assembler mes deux petits potes. Une ceinture porte-chargeurs ainsi qu'un holster de fixés, je graillais 4 chargeurs pour la ceinture et un dans chacun de mes flingues. Le retour du Beretta FS 92 A1 et du CZ 75 Shadow s'orchestrait. Tous les deux nourris au 9mm Parabellum, je me remettais en route, parcourant les chambre les unes après les autres en espérant trouver un truc pour les blessés.
Recherche de matériel médical ou de médicaments, demande d'un lancé de dés.
Elle m'adressa la parole, mais j'étais plongé dans ces questions qui me torturaient encore et toujours, je ne répondis rien, tout ce que je fis, c'est me mettre à la suivre, juste devant moi et une énième détonation retenti, encore de ce sang, toujours le même. Cela me sortit de cette espèce de torpeur qui me prenait la tête, mon bras parti en avant, passant devant Mel pour l'empêcher de tomber en avant, une balle venait de lui frapper le ventre. Des larmes coulaient sur son visage. Depuis un moment je ne faisais plus autant attention au élèves de notre maison, et pourtant, un si joli visage, j'aurais du m'en souvenir. Un si joli visage gâché par le sang et les larmes, je ne peux pas tolérer ça. Je lui arrachais le fusil de la main. G36 C, je te connais bien, allemand, comme ma mère. Tout en lâchant Mel, espérant qu'elle puisse se reprendre, je pivotais sur moi-même. Jambes légèrement écartées, buste agressif, crosse contre le pectoraux, je voyais parfaitement ma cible, tous les deux dans la même position, je relevais mes coudes. J'étais calé, prise de visée, la tête, comme toujours. Distance approximative, 25 mètres, expiration contrôlée, respirer comme une pierre. J'enfonçais la détente, sentant le "clic" du reset, passant le point dur et enfonçait les 2,5 Kg militaire standard de ces carabines là. Le coup parti, je n'ai pas bougé d'un seul petit millimètre. La balle alla se ficher dans son gauche, fermé pour prendre sa propre visée, quel amateur...
Je rejoignais ensuite l'entrée du dortoir avec les autres, évaluant rapidement les dégâts. C'est franchement pas beau à voir, ni pour moi, ni pour les autres. Je posais le flingue contre le mur, je ne me rendais plus du tout compte du point que cela pouvait faire, cela me paraissait tellement normal après tout.
Bon ! Tous ceux qui peuvent se servir de leur force sans risquer une hémorragie, vous bloquez la porte avec ce que vous pouvez, ça devrez les empêcher d'entrer par là et comme ils savent qu'on est rentré par ici... Les autres, est ce que vous tenez le coup ? Est ce qu'il y a une urgence quelque part ? N'hésitez pas à dire si vous ne vous sentez pas bien du tout au delà du simple fait que vous perdez du sang. Je vais essayer d'aller trouver quelque chose, en attendant appuyer avec des vêtements comme certains le font déjà. Bonne idée les trousses de secours et les lambeaux de vêtements, j'espère trouver aussi bien la haut. Je reviens tout de suite.
Je partais sans attendre dans le dortoir des garçons, au premier étage des rubis. Peu importe la quantité de mon sang qui gouttait par terre, je m'occuperais ça après, j'ai environ 5,8 litres de sang dans mon corps, mon seuil critique se trouve à 4,2 litres, ça devrait tenir jusque là. Une fois dans ma chambre, je tirais vers moi la lourde valise qui m'avait servie à venir ici. Je sortais d'en dedans une mallette dont j'ouvris les trois cadenas. Il me fallut une dizaine de secondes pour assembler mes deux petits potes. Une ceinture porte-chargeurs ainsi qu'un holster de fixés, je graillais 4 chargeurs pour la ceinture et un dans chacun de mes flingues. Le retour du Beretta FS 92 A1 et du CZ 75 Shadow s'orchestrait. Tous les deux nourris au 9mm Parabellum, je me remettais en route, parcourant les chambre les unes après les autres en espérant trouver un truc pour les blessés.
Recherche de matériel médical ou de médicaments, demande d'un lancé de dés.
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Lancé de dés pour la recherche de matériel médical / médicaments :
- Shi : 74 = pansements. En fouillant, tu tombes par hasard sur une boîte de pansements, de quoi soigner les coupures plus efficacement.
- Ren' : 65 = pansements. En passant dans la chambre d'un rubis, sur la table trône aussi une boîte de pansements ouverte, un seul à du être pris dans le petit paquet.
Une boîte de pansements = une personne ayant des coupures soignée de 10 PDV.
Pour les autres, vous pourrez soit chercher ce dont vous avez besoin dans le matériel médical, soit faire une demande pour rechercher d'autres choses. Je les ajouterais à une liste d'objets pouvant être trouvés selon le résultat des dés.
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Je suis maintenant saine et sauve dans les dortoirs, sans aucune blessure. Je suis juste essoufflée après avoir bien couru. Je suis une miraculée, et je suis fière.
Je peux apercevoir pleins d'élèves et enseignants se faire soigner par d'autres, et d'autres cherchent comment soigner leurs blessures tandis que moi, je me porte parfaitement. J'affiche un petit rictus en coin. Le fait que je n'ai rien subit ne va pas m'handicaper, et je vais pouvoir faire des blancs pour ma contre-attaque.
D'un pas rapide, je me dirige vers mon dortoir vide. Ouaip, toujours pas de déménagement. Je fouille alors dans toutes mes affaires ce qui peut être tranchant et utile. J'ai mis mon dortoir sans dessus-dessous, toutes mes affaires sont éparpillés au sol, sur les lits fantômes et mon propre lit. Résultat des courses ? Une paire de ciseaux, quelques crayons pointus et un rasoir. Avec cela, je vais pouvoir me construire une bonne petite arme, bien que je ne dirais pas non à un couteau de cuisine. Je me mord la lèvre, songeant à tout ce que j'aurai pu avoir pour me défendre, mais pour le moment, je vais devoir me contenter de ça. Je décide de séparer mes ciseaux pour former deux uniques lames. Cela n'a pas été de tout repos, j'ai du m'écorcher l'index mais rien de grave. Je les ai ensuite mis de côté, après avoir trouvé une nouvelle idée, bien que je suis incertaine que cela soit faisable. Je prend alors la balais qui se trouve dans ma salle de bain, détache le manche et détruit mon miroir pour récupérer les plus gros débris. Je les ramènes ensuite dans mon petit dortoir pour enfin enroulé du scotch autour des gros bouts de verre. Évidemment, cela ne tient pas alors j'ai décide de récupérer le plus gros morceaux de verre et l'enroule dans un tissu arraché d'un t-shirt blanc. Maintenant, je dois trouver où les mettre, où les porter sur moi. Déjà, je vais changer de vêtements, des vêtements dans le quel je serai beaucoup plus à l'aise.
Je opte alors pour ma tenue favorite. Oui, même si elle semble pas très adapté, c'est celle où je me sens le plus à l'aise. Je prend ma jupe rouge et mon gros pull rose, des longues chaussettes blanches, des baskets et une sacoche brune où je peux mettre mes petites armes. Je n'ai rien trouvé de mieux. C'est complètement stupide d'utiliser sa tenue préférée lors du si grosse boucherie ? Elle risque d'être peinturé de rouge et de terre en même pas deux secondes. Mais je m'en fous, pourquoi ne pas avoir un souvenir tel que celui-là en mémoire ? Et puis, je les ai en triple au cas où mes tenues seraient défigurés donc peu importe.
Je sors alors de mon petit trou, rejoignant tout les blessés lorsque j'entends le représentant des Rubis parler.
« Bon ! Tous ceux qui peuvent se servir de leur force sans risquer une hémorragie, vous bloquez la porte avec ce que vous pouvez, ça devrez les empêcher d'entrer par là et comme ils savent qu'on est rentré par ici... Les autres, est ce que vous tenez le coup ? Est ce qu'il y a une urgence quelque part ? N'hésitez pas à dire si vous ne vous sentez pas bien du tout au delà du simple fait que vous perdez du sang. Je vais essayer d'aller trouver quelque chose, en attendant appuyer avec des vêtements comme certains le font déjà. Bonne idée les trousses de secours et les lambeaux de vêtements, j'espère trouver aussi bien la haut. Je reviens tout de suite. »
Je me sens infantilisée pour x raison. Pourtant, je comprends parfaitement sa démarche mais cela m'a d'avantage énervée. De toute façon, ce message ne me concerne pas. Cependant, cela me fait penser qu'il faut que j'aille me ressourcer, comme par exemple aller boire et faire pipi avant que je craque. Je retourne dans ma chambre prenant la douche comme urinoir et le robinet comme point d'eau. Quelle chance que je n'ai pas faim. Finalement, je me repose sur mon lit, le cœur battant la chamade.
Le monde réel est si dur. Cela me perturbe de n'avoir aucune puissance dans ce monde, j'ai même peur. Dans un tel moment, je ne souhaite que le manipuler à ma guise. Pourquoi ai-je si peur du sang alors que j'ai fais bien pire dans les songes ? Je ne devrais pas. Je devrais même utiliser mes rêves comme modèle. Je suis insensible dans le monde onirique, donc pourquoi ne le pourrais-je pas dans le monde réel ? Ce n'est pas si dur que cela en fait. C'est même très simple.
Je suis une petite fille rapide qui a la chance de pouvoir esquiver et de me cacher dans des coins impensables. Je n'ai aucune séquelle et j'ai maintenant des armes. Je suis intouchable.
J'esquisse un sourire mauvais, pensant à tout ce que je peux infliger à ces intrus noirs. Je n'ai pas la même ampleur que dans les rêves, mais je me sens capable de manipuler. Pas besoin de pouvoir en fait.
Lorsqu'ils arriveront, je sais à présent ce que je vais faire. Je vais user de mon pouvoir dès que j'en ai l'occasion.
Je peux apercevoir pleins d'élèves et enseignants se faire soigner par d'autres, et d'autres cherchent comment soigner leurs blessures tandis que moi, je me porte parfaitement. J'affiche un petit rictus en coin. Le fait que je n'ai rien subit ne va pas m'handicaper, et je vais pouvoir faire des blancs pour ma contre-attaque.
D'un pas rapide, je me dirige vers mon dortoir vide. Ouaip, toujours pas de déménagement. Je fouille alors dans toutes mes affaires ce qui peut être tranchant et utile. J'ai mis mon dortoir sans dessus-dessous, toutes mes affaires sont éparpillés au sol, sur les lits fantômes et mon propre lit. Résultat des courses ? Une paire de ciseaux, quelques crayons pointus et un rasoir. Avec cela, je vais pouvoir me construire une bonne petite arme, bien que je ne dirais pas non à un couteau de cuisine. Je me mord la lèvre, songeant à tout ce que j'aurai pu avoir pour me défendre, mais pour le moment, je vais devoir me contenter de ça. Je décide de séparer mes ciseaux pour former deux uniques lames. Cela n'a pas été de tout repos, j'ai du m'écorcher l'index mais rien de grave. Je les ai ensuite mis de côté, après avoir trouvé une nouvelle idée, bien que je suis incertaine que cela soit faisable. Je prend alors la balais qui se trouve dans ma salle de bain, détache le manche et détruit mon miroir pour récupérer les plus gros débris. Je les ramènes ensuite dans mon petit dortoir pour enfin enroulé du scotch autour des gros bouts de verre. Évidemment, cela ne tient pas alors j'ai décide de récupérer le plus gros morceaux de verre et l'enroule dans un tissu arraché d'un t-shirt blanc. Maintenant, je dois trouver où les mettre, où les porter sur moi. Déjà, je vais changer de vêtements, des vêtements dans le quel je serai beaucoup plus à l'aise.
Je opte alors pour ma tenue favorite. Oui, même si elle semble pas très adapté, c'est celle où je me sens le plus à l'aise. Je prend ma jupe rouge et mon gros pull rose, des longues chaussettes blanches, des baskets et une sacoche brune où je peux mettre mes petites armes. Je n'ai rien trouvé de mieux. C'est complètement stupide d'utiliser sa tenue préférée lors du si grosse boucherie ? Elle risque d'être peinturé de rouge et de terre en même pas deux secondes. Mais je m'en fous, pourquoi ne pas avoir un souvenir tel que celui-là en mémoire ? Et puis, je les ai en triple au cas où mes tenues seraient défigurés donc peu importe.
Je sors alors de mon petit trou, rejoignant tout les blessés lorsque j'entends le représentant des Rubis parler.
« Bon ! Tous ceux qui peuvent se servir de leur force sans risquer une hémorragie, vous bloquez la porte avec ce que vous pouvez, ça devrez les empêcher d'entrer par là et comme ils savent qu'on est rentré par ici... Les autres, est ce que vous tenez le coup ? Est ce qu'il y a une urgence quelque part ? N'hésitez pas à dire si vous ne vous sentez pas bien du tout au delà du simple fait que vous perdez du sang. Je vais essayer d'aller trouver quelque chose, en attendant appuyer avec des vêtements comme certains le font déjà. Bonne idée les trousses de secours et les lambeaux de vêtements, j'espère trouver aussi bien la haut. Je reviens tout de suite. »
Je me sens infantilisée pour x raison. Pourtant, je comprends parfaitement sa démarche mais cela m'a d'avantage énervée. De toute façon, ce message ne me concerne pas. Cependant, cela me fait penser qu'il faut que j'aille me ressourcer, comme par exemple aller boire et faire pipi avant que je craque. Je retourne dans ma chambre prenant la douche comme urinoir et le robinet comme point d'eau. Quelle chance que je n'ai pas faim. Finalement, je me repose sur mon lit, le cœur battant la chamade.
Le monde réel est si dur. Cela me perturbe de n'avoir aucune puissance dans ce monde, j'ai même peur. Dans un tel moment, je ne souhaite que le manipuler à ma guise. Pourquoi ai-je si peur du sang alors que j'ai fais bien pire dans les songes ? Je ne devrais pas. Je devrais même utiliser mes rêves comme modèle. Je suis insensible dans le monde onirique, donc pourquoi ne le pourrais-je pas dans le monde réel ? Ce n'est pas si dur que cela en fait. C'est même très simple.
Je suis une petite fille rapide qui a la chance de pouvoir esquiver et de me cacher dans des coins impensables. Je n'ai aucune séquelle et j'ai maintenant des armes. Je suis intouchable.
J'esquisse un sourire mauvais, pensant à tout ce que je peux infliger à ces intrus noirs. Je n'ai pas la même ampleur que dans les rêves, mais je me sens capable de manipuler. Pas besoin de pouvoir en fait.
Lorsqu'ils arriveront, je sais à présent ce que je vais faire. Je vais user de mon pouvoir dès que j'en ai l'occasion.
•••
- Inventaire:
- Lame de ciseaux (x2)
Bout de verre enroulé dans du tissu épais (x1)
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
{Ren', si tu as pas compris, je tentais de soigner Yahiko x) }
Tandis que je continuais d'utiliser des t-shirt pour faire des bandages, j'entendis quelqu'un se mettre à parler. On nous ordonna de bloquer la porte avec ce que l'on peut si on est pas blessé. Et aussi on nous disa que les bandeaux de vêtements et les trousses de premiers secours étaient une bonne idée. Je ne pus m'empêcher de sourire. Mais, immédiatement, je partis prendre ce que je pouvais pour bloquer. Allant jusqu'à pousser mon propre lit pour bloquer la porte si il fallait. Je peinais et cela me fatiguais, mais je finissa par réussir à le mettre non loin de la porte. Ensuite, comprenant que ma force ne serait sans doute pas suffisante et aussi parce que j'étais déjà essouflée, je me mise à chercher pansements, trousses de secours et désinfectants.
Si jamais j'en trouve, ainsi on pourra soigner un peu plus de gens. Mais, avant de partir je découpas en bandeaux plus ou moins gros encore cinq t-shirts pour éviter que l'on en manque trop vite. Si jamais je ne trouve rien, je retournerais directement à faire mes petits bandages et aider ceux n'arrivant pas à maintenir en place le tissu en faisant un pansement compressif. Puis, alors que je cherchais, je me rappella que j'avais du tissu déjà coupé pour faire des peluches et surtout du coton ! Je me décidas donc d'aller chercher tout ça dès la fin de ma recherche et amener le tout dans la pièce principale.
Tandis que je continuais d'utiliser des t-shirt pour faire des bandages, j'entendis quelqu'un se mettre à parler. On nous ordonna de bloquer la porte avec ce que l'on peut si on est pas blessé. Et aussi on nous disa que les bandeaux de vêtements et les trousses de premiers secours étaient une bonne idée. Je ne pus m'empêcher de sourire. Mais, immédiatement, je partis prendre ce que je pouvais pour bloquer. Allant jusqu'à pousser mon propre lit pour bloquer la porte si il fallait. Je peinais et cela me fatiguais, mais je finissa par réussir à le mettre non loin de la porte. Ensuite, comprenant que ma force ne serait sans doute pas suffisante et aussi parce que j'étais déjà essouflée, je me mise à chercher pansements, trousses de secours et désinfectants.
Si jamais j'en trouve, ainsi on pourra soigner un peu plus de gens. Mais, avant de partir je découpas en bandeaux plus ou moins gros encore cinq t-shirts pour éviter que l'on en manque trop vite. Si jamais je ne trouve rien, je retournerais directement à faire mes petits bandages et aider ceux n'arrivant pas à maintenir en place le tissu en faisant un pansement compressif. Puis, alors que je cherchais, je me rappella que j'avais du tissu déjà coupé pour faire des peluches et surtout du coton ! Je me décidas donc d'aller chercher tout ça dès la fin de ma recherche et amener le tout dans la pièce principale.
Dernière édition par Kate le Ven 17 Juil 2015, 16:37, édité 1 fois
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Un petit albinos vient m'arracher le poignet non-souffrant alors que j'étais à deux doigts de me dépuceler. Est-ce le signe du destin ? Doit-elle rester pucelle comme sa très chère Jeanne d'Arc ? Est-ce elle qui va sauver l'Académie de ces anglais turbulents ? Alors qu'elle se fait transporter par ce fougueux inconnu, des étoiles palpitent dans ses yeux. Ah, par contre elle s'est fait mal à la tête à cause d'un truc lourd qui lui est tombé dessus. Sauf qu'elle a un chignon donc la douleur c'est vite atténuée, donc retenez bien ça les enfants, les chignons peuvent vous sauver la vie.
Pendant que Juliette plane en s'imaginant cosplayé en Jeanne d'Arc, le petit l'encourage de continuer leur course alors qu'elle est à peine consciente de ce qui s'est produit à la serre. Puis, les deux amoureux se retrouve devant une porte après avoir fait des slalommes et après que Juliette est remarqué qu'il est l'amour de sa vie. En effet, le jeune homme était jaloux. Ce crève les yeux. Il veut se retrouver seul avec elle pour lui avouer tout l'amour qu'il a pour elle et cela touche profondément notre française. Jusqu'à ce que ce moment fatidique arrive : Ils doivent se quitter. Les larmes aux bords des yeux, l'inconnu albinos lui déclare ceci.
Le bel étalon : « Continue de courir ! Vers lui ! »
Mlle Denarbonne tourne son regard vers la personne qu'il désigne avant se retourner vers lui avec des yeux de chien battus.
Le bel étalon : « Surtout ne t'arrête pas et suit le ! »
Juliette : « M-mais, Dany ... »
A peine ses mots prononcés, le beau Danniel Romalotti s'envole à la rescourse de d'autres personnes. Notre Christine Blair alias Criket est désespérément malheureuse de devoir le quitter, mais c'est le destin qui le veut. Elle soupire avant de suivre le petit homme aux cheveux blonds avant de se retrouver par mis les blessés de guerre. Un peu de sérieux, elle se rapproche d'eux en essayant de trouver du désinfectant, mais impossible d'en trouver.
Juliette : « Y'A PAS DU DESINFECTANT STARFOULLAH JE DOUILLE. »
Juliette se rend compte qu'elle a prit l'accent des banlieue. Cela la rend plus jeune donc la professeure est contente, mais décidément pas de désinfectant. Elle soupire et va s'asseoir par terre réfléchissant au sens de la vie et pourquoi les gens ne votent pas Marine Le Pen et pourquoi Christiane Taubira est noire. Juliette n'est pas d'humeur à se soigner, cette dernière à la flemme.
Pendant que Juliette plane en s'imaginant cosplayé en Jeanne d'Arc, le petit l'encourage de continuer leur course alors qu'elle est à peine consciente de ce qui s'est produit à la serre. Puis, les deux amoureux se retrouve devant une porte après avoir fait des slalommes et après que Juliette est remarqué qu'il est l'amour de sa vie. En effet, le jeune homme était jaloux. Ce crève les yeux. Il veut se retrouver seul avec elle pour lui avouer tout l'amour qu'il a pour elle et cela touche profondément notre française. Jusqu'à ce que ce moment fatidique arrive : Ils doivent se quitter. Les larmes aux bords des yeux, l'inconnu albinos lui déclare ceci.
Le bel étalon : « Continue de courir ! Vers lui ! »
Mlle Denarbonne tourne son regard vers la personne qu'il désigne avant se retourner vers lui avec des yeux de chien battus.
Le bel étalon : « Surtout ne t'arrête pas et suit le ! »
Juliette : « M-mais, Dany ... »
A peine ses mots prononcés, le beau Danniel Romalotti s'envole à la rescourse de d'autres personnes. Notre Christine Blair alias Criket est désespérément malheureuse de devoir le quitter, mais c'est le destin qui le veut. Elle soupire avant de suivre le petit homme aux cheveux blonds avant de se retrouver par mis les blessés de guerre. Un peu de sérieux, elle se rapproche d'eux en essayant de trouver du désinfectant, mais impossible d'en trouver.
Juliette : « Y'A PAS DU DESINFECTANT STARFOULLAH JE DOUILLE. »
Juliette se rend compte qu'elle a prit l'accent des banlieue. Cela la rend plus jeune donc la professeure est contente, mais décidément pas de désinfectant. Elle soupire et va s'asseoir par terre réfléchissant au sens de la vie et pourquoi les gens ne votent pas Marine Le Pen et pourquoi Christiane Taubira est noire. Juliette n'est pas d'humeur à se soigner, cette dernière à la flemme.
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Le blond était revenu en courant en tenant l'autre fille par le bras, à peine passait il la porte que je leur emboitais le pas.
On ne pouvait pas sauver d'autres personnes... On allait les laisser là. Se faire abattre par ces....
Je chassais cette penser mon esprit en secouant inutilement la tête, je devais penser aux autres, ceux qui étaient à l'abri !
Ils l'étaient mais pour combien de temps ?!
J'aurais dut faire attention on était pas encore en sécurité... J'étais en train de courir et une balle me traversa l'épaule gauche juste au dessus du poumon, heureusement, me faisant rouler à terre à cause de la puissance de l'impact, je me retournai toujours sur le sol et cette fois c'était le blond qu'il visait il tira une fois, puis un deuxième coup de feu...
Mais cette foi c'est lui qui s'écroula, je me relevai en passant la main sur mon épaule, du sang s'écoulait mais j'avais encore du temps avant d'être hors de combat.
Le pistolet que j'avais ramassé plus tôt était par terre, je me baissa en gémissant un peu avec douleur, et je le glissai à nouveau dans ma ceinture.
Je rejoignis le dortoir peu après les deux autres et je resta figé en passant l'entrée...
Des blessés...
des cris....
Du sang...
Partout....
Je resta bien cinq minutes debout en me tenant l’épaule pour essayer d’arrêter le saignement, la bouche béante devant ce carnage, C'est pas un champ de bataille, c'est une école putain !
Certains élèves tentaient d'en soigner d'autres, mais ils n'avaient que quelques pansements et des morceaux de tissus déchirés, ça pouvait en maintenir certains en vie pendant un peu de temps mais c'est tout...
Il fallait absolument trouver de quoi les soigner mieux que ça et rapidement avant que les soldats n'arrivent...
Et soudain une idée me traversa l'esprit ! Je courru à ma chambre cherchant quelques secondes mon sac que je mettais sur mon épaule droite pour ne pas aggraver ma blessure, en revenant je croisa le blond avec deux armes sur lui et ce n'étaient pas celles des soldats, Mmmmh il a l'air de s'y connaître...
Je lui retenais le bras alors qu'il marchait vite et le regarda dans les yeux,
"Tu semble savoir te défendre et il faut qu'on aille chercher des bandages, du désinfectant, des anti-douleurs et tout ce qu'on pourra trouver d'autre à l'infirmerie pour sauver les autres ! Certains ne tiendront pas très longtemps, et vite avant que les soldats ne rappliquent ! Tu viens avec moi ? Et il en faudrait deux ou trois autres pour qu'on puisse revenir sans trop de problèmes."
On ne pouvait pas sauver d'autres personnes... On allait les laisser là. Se faire abattre par ces....
Je chassais cette penser mon esprit en secouant inutilement la tête, je devais penser aux autres, ceux qui étaient à l'abri !
Ils l'étaient mais pour combien de temps ?!
J'aurais dut faire attention on était pas encore en sécurité... J'étais en train de courir et une balle me traversa l'épaule gauche juste au dessus du poumon, heureusement, me faisant rouler à terre à cause de la puissance de l'impact, je me retournai toujours sur le sol et cette fois c'était le blond qu'il visait il tira une fois, puis un deuxième coup de feu...
Mais cette foi c'est lui qui s'écroula, je me relevai en passant la main sur mon épaule, du sang s'écoulait mais j'avais encore du temps avant d'être hors de combat.
Le pistolet que j'avais ramassé plus tôt était par terre, je me baissa en gémissant un peu avec douleur, et je le glissai à nouveau dans ma ceinture.
Je rejoignis le dortoir peu après les deux autres et je resta figé en passant l'entrée...
Des blessés...
des cris....
Du sang...
Partout....
Je resta bien cinq minutes debout en me tenant l’épaule pour essayer d’arrêter le saignement, la bouche béante devant ce carnage, C'est pas un champ de bataille, c'est une école putain !
Certains élèves tentaient d'en soigner d'autres, mais ils n'avaient que quelques pansements et des morceaux de tissus déchirés, ça pouvait en maintenir certains en vie pendant un peu de temps mais c'est tout...
Il fallait absolument trouver de quoi les soigner mieux que ça et rapidement avant que les soldats n'arrivent...
Et soudain une idée me traversa l'esprit ! Je courru à ma chambre cherchant quelques secondes mon sac que je mettais sur mon épaule droite pour ne pas aggraver ma blessure, en revenant je croisa le blond avec deux armes sur lui et ce n'étaient pas celles des soldats, Mmmmh il a l'air de s'y connaître...
Je lui retenais le bras alors qu'il marchait vite et le regarda dans les yeux,
"Tu semble savoir te défendre et il faut qu'on aille chercher des bandages, du désinfectant, des anti-douleurs et tout ce qu'on pourra trouver d'autre à l'infirmerie pour sauver les autres ! Certains ne tiendront pas très longtemps, et vite avant que les soldats ne rappliquent ! Tu viens avec moi ? Et il en faudrait deux ou trois autres pour qu'on puisse revenir sans trop de problèmes."
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
"Ç... Ça va ? A... Attends je vais p... protéger ta blessure !"
Une fille que je ne connaissait pas était venue vers moi pour m'aider, je ne l'avais même pas vu arriver. Je sais pas si c'était te la timidité ou du dégout mais elle n'avais pas l'air très à l'aise ! Elle nettoya ma plaie pendant que je serrais les dents. Je n'aurais jamais pu le faire toute seule je pense, rien qu'à l'idée de regarder ma blessure je commençait à pâlir. Elle m'aida ensuite à me relever et nous nous dirigeâmes vers la porte ouverte que j'avais repérée. Je profitai de ce petit moment calme pour parler un peu avec elle.
"Merci... Comment tu t’appelles ?" lui-demandais-je
Elle m'indiqua qu'elle s'appelait Shi. Dans la chambre nous trouvâmes quelques T-shirts qui pourraient sûrement servir à soigner. Je ne savais pas si le mieux était de faire un garrot ou un bandage... J'étais loin d'être une pro en survie. Mais c'est vrai que j'ai appris quelques trucs pendant l'attaque de l'académie par des zomb... Euh non qu'est-ce que je raconte, un truc pareil n'a jamais pu se produire. Bon bref, dans ce rêve j'avais vu des gens se faire blesser donc je n'avais qu'à reproduire ce que j'avais en tête. Je me voyais mal coller quelque chose contre ma blessure saignante, peut-être que je devais attendre de trouver un pansement propre. Elle n'était pas très grosse mais ça m'avait traversé toute la jambe quand même... Et si la balle était restée à l'intérieur, ou pire qu'elle avait explosée en laissant plein de petits bouts dans moi ? Brr je préfère ne pas y penser...
Une fois le garrot en place, je me remis en marche pour essayer de trouver d'autres membres de l'Académie. J'espérais que ça m'éviterai de perdre encore du sang. Ça commençait à sécher sur ma jambe, je ressemblais à une survivante des films de zombie. Enfin si j'avais su qu'on se ferait attaquée en plein banquet, je ne serais pas venue en robe de soirée et en talons ! Je sourit en pensant à l'ironie de la situation. Tout le monde s'était fait beau et voilà qu'on était prêt à déchirer nos vêtements pour je ne sais quelle utilisation.
J'entendais un peu de bruit à l'étage, des gens étaient visiblement montés. Pourvu qu'ils soient de mon côté, j'étais mal sinon. Je me mis debout en m'appuyant sur la carabine et commença à fouiller nerveusement tiroirs et étagères à la recherche de quelque chose qui pourrait m'aider. Je pense qu'il faudrait surtout que j'aille voir quelqu’un qui s'y connait un minimum en médecine, qu'il me dise si ma blessure est grave ou non. Dans certains films policiers, la balle est tellement enfouie dans le membre qu'il faut des heures pour en retirer les morceaux ! Et il faut dire que je n'osais pas trop regarder ma cuisse, me voir pleine de sang me mettait très mal à l'aise et ce n'était pas le moment de vomir.
Demande d'un lancé de dé pour du matériel médical (pansement, désinfectant, anti-douleur...)
J'avais fini de fouiller la pièce et entreprit de sortir., portant mes trouvailles en faisant un panier avec le bas de ma robe. Je devais peut-être descendre au rez-de-chaussée, c'était par là que tout le monde était probablement rentré. Je me dirigeai donc vers ce qu'il me semblait être des escaliers. D'après le plan que j'avais en tête, c'était par là. Je passai devant des portes fermées puis en vis une ouverte, quelqu'un faisant du bruit à l'intérieur. Je passai discrètement la tête et vis avec soulagement que c'était Ren' en train de fouiller une chambre.
"Merci pour la fenêtre, ça m'a sauvée... Je vais retrouver les autres pour soigner ma jambe."
J'étais maintenant sûre que les bruits internes aux dortoirs provenaient de mes alliés, c'était rassurant. Il fallait quand même que je fasse attention, on ne sait jamais. Il y avait aussi un garçon que je ne connaissait pas avec lui. Il avait l'épaule pleine de sang mais malgré ça, il se tenait droit et ne se plaignait pas. Je remarquai au passage que Ren' avait trouvé de nouvelles armes. J'ignore où il avait pu trouver des choses pareilles étant donné qu'il était formellement interdit par le règlement d'avoir une arme en sa possession à l'Académie !
Une fille que je ne connaissait pas était venue vers moi pour m'aider, je ne l'avais même pas vu arriver. Je sais pas si c'était te la timidité ou du dégout mais elle n'avais pas l'air très à l'aise ! Elle nettoya ma plaie pendant que je serrais les dents. Je n'aurais jamais pu le faire toute seule je pense, rien qu'à l'idée de regarder ma blessure je commençait à pâlir. Elle m'aida ensuite à me relever et nous nous dirigeâmes vers la porte ouverte que j'avais repérée. Je profitai de ce petit moment calme pour parler un peu avec elle.
"Merci... Comment tu t’appelles ?" lui-demandais-je
Elle m'indiqua qu'elle s'appelait Shi. Dans la chambre nous trouvâmes quelques T-shirts qui pourraient sûrement servir à soigner. Je ne savais pas si le mieux était de faire un garrot ou un bandage... J'étais loin d'être une pro en survie. Mais c'est vrai que j'ai appris quelques trucs pendant l'attaque de l'académie par des zomb... Euh non qu'est-ce que je raconte, un truc pareil n'a jamais pu se produire. Bon bref, dans ce rêve j'avais vu des gens se faire blesser donc je n'avais qu'à reproduire ce que j'avais en tête. Je me voyais mal coller quelque chose contre ma blessure saignante, peut-être que je devais attendre de trouver un pansement propre. Elle n'était pas très grosse mais ça m'avait traversé toute la jambe quand même... Et si la balle était restée à l'intérieur, ou pire qu'elle avait explosée en laissant plein de petits bouts dans moi ? Brr je préfère ne pas y penser...
Une fois le garrot en place, je me remis en marche pour essayer de trouver d'autres membres de l'Académie. J'espérais que ça m'éviterai de perdre encore du sang. Ça commençait à sécher sur ma jambe, je ressemblais à une survivante des films de zombie. Enfin si j'avais su qu'on se ferait attaquée en plein banquet, je ne serais pas venue en robe de soirée et en talons ! Je sourit en pensant à l'ironie de la situation. Tout le monde s'était fait beau et voilà qu'on était prêt à déchirer nos vêtements pour je ne sais quelle utilisation.
J'entendais un peu de bruit à l'étage, des gens étaient visiblement montés. Pourvu qu'ils soient de mon côté, j'étais mal sinon. Je me mis debout en m'appuyant sur la carabine et commença à fouiller nerveusement tiroirs et étagères à la recherche de quelque chose qui pourrait m'aider. Je pense qu'il faudrait surtout que j'aille voir quelqu’un qui s'y connait un minimum en médecine, qu'il me dise si ma blessure est grave ou non. Dans certains films policiers, la balle est tellement enfouie dans le membre qu'il faut des heures pour en retirer les morceaux ! Et il faut dire que je n'osais pas trop regarder ma cuisse, me voir pleine de sang me mettait très mal à l'aise et ce n'était pas le moment de vomir.
Demande d'un lancé de dé pour du matériel médical (pansement, désinfectant, anti-douleur...)
J'avais fini de fouiller la pièce et entreprit de sortir., portant mes trouvailles en faisant un panier avec le bas de ma robe. Je devais peut-être descendre au rez-de-chaussée, c'était par là que tout le monde était probablement rentré. Je me dirigeai donc vers ce qu'il me semblait être des escaliers. D'après le plan que j'avais en tête, c'était par là. Je passai devant des portes fermées puis en vis une ouverte, quelqu'un faisant du bruit à l'intérieur. Je passai discrètement la tête et vis avec soulagement que c'était Ren' en train de fouiller une chambre.
"Merci pour la fenêtre, ça m'a sauvée... Je vais retrouver les autres pour soigner ma jambe."
J'étais maintenant sûre que les bruits internes aux dortoirs provenaient de mes alliés, c'était rassurant. Il fallait quand même que je fasse attention, on ne sait jamais. Il y avait aussi un garçon que je ne connaissait pas avec lui. Il avait l'épaule pleine de sang mais malgré ça, il se tenait droit et ne se plaignait pas. Je remarquai au passage que Ren' avait trouvé de nouvelles armes. J'ignore où il avait pu trouver des choses pareilles étant donné qu'il était formellement interdit par le règlement d'avoir une arme en sa possession à l'Académie !
Dernière édition par Luna le Sam 18 Juil 2015, 16:36, édité 1 fois
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
La fin de Tsuki
Event contextuel
Je vacillai dangereusement. Si j’en avais eu la force, j’aurais crié. J’aurais crié à m’en percer les poumons, à m’en déchirer les cordes vocales. Mais lorsque j’ouvris la bouche, je fus incapable de produire un son. Tout ce qui voulait s’en échapper, c’était du sang. Encore et toujours du sang. Je ne contrôlais plus rien. J’étais à bout de forces, je pleurais toutes les larmes de mon corps. Je pensais réellement que s’en était fini de moi. J’allais y passer. C’était peut être le prix à payer pour m’être cru assez forte pour sauver les autres. Voyant un soldat s’approcher en pointant son arme vers moi, je fermai les yeux. C’était l’ultime attaque.
Mais rien n’arriva. Je sentis un bras me retenir avant que je ne tombe en avant. Mes yeux s’ouvrirent sur Ren. Il m’avait suivit ?! Déterminé, il me prit le fusil des mains et se retourna pour faire face à nos adversaires. Tandis que je tenais tant bien que mal sur mes jambes, le représentant des Rubis tira une balle sur le soldat se trouvant face à lui, l’abattant sur le coup. Il m’accompagna ensuite jusqu’au dortoir le plus proche. Je ne savais pas lequel c’était, je souffrais bien trop pour m’en préoccuper ne serait-ce qu’une seconde.
Une fois réfugiés à l’intérieur, je perdis rapidement Ren de vue. Je me mis alors en quête de trouver de quoi me soigner un peu. Chaque pas que je faisais me forçait à m’appuyer contre un mur ou un meuble, laissant des traces de mains ensanglantées et une trainée du liquide poisseux derrière moi. Ren nous avait bien précisé que nous devions nous servir de chiffons et d’eau pour soigner nos plaies, mais cela risquait de ne pas suffire pour moi. Si seulement j’arrivai à tomber sur de l’alcool, je pourrais cautériser mes blessures !
(Demande d'un lancé de dé pour du matériel médical)
Dernière édition par Mel le Dim 19 Juil 2015, 02:00, édité 2 fois
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
je fut étonner en voyant tant d’élève affluer aux dortoirs ,et de tout les cotées , que se soit par les portes ou par les fenêtres je pensait qu'ils étaient tous ailleurs en train de se cacher ou de courir . d'ailleurs j'entendit quelqu'un crier qu'ont devait bloquer la portes , ce qui se fit . je partit alors , voir l'étendu des dégâts .
il y avait des élèves partout , adosser sur le mur du couloir et se tenant le bras ensanglantée ou encore en train de se faire soigner par des bouts de tissus . heureusement , il n'y avait pas que des blesser , il y avait plein d’élèves , plutôt jeunes pour la plupart , en position fœtal dans un coin , en train de pleure et de s'arracher les cheveux , il y en avait d'autres qui étaient dans leurs chambres , assis sur leur lit en se mettant les mains sur leurs visage . en bref c'était le chaos .
et moi ? j'avait trouver une utilités , mais maintenant ? je suis disponible et valide , je n'ai rien a faire et j'aimerais bien aider mais ... en fessant quoi ?
si jamais quelqu'un venait me voir en demandant de l'aide , j'accepterait volontiers .
il y avait des élèves partout , adosser sur le mur du couloir et se tenant le bras ensanglantée ou encore en train de se faire soigner par des bouts de tissus . heureusement , il n'y avait pas que des blesser , il y avait plein d’élèves , plutôt jeunes pour la plupart , en position fœtal dans un coin , en train de pleure et de s'arracher les cheveux , il y en avait d'autres qui étaient dans leurs chambres , assis sur leur lit en se mettant les mains sur leurs visage . en bref c'était le chaos .
et moi ? j'avait trouver une utilités , mais maintenant ? je suis disponible et valide , je n'ai rien a faire et j'aimerais bien aider mais ... en fessant quoi ?
si jamais quelqu'un venait me voir en demandant de l'aide , j'accepterait volontiers .
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Alors que le saphir attendait patiemment l'arrivée de quelconques intrus, il entendit un peu de raffut venant de l'entrée. Il s'y dirigea rapidement, les armes en mains et une fois arrivée non loin, il profita d'un mur pour s'en servir comme couverture, il n'attaqua pas immédiatement pour une raison que lui même ignorait. Et alors qu'il avait décidé de sortir de sa couverture pour lancer l'attaque, il s'était retrouvé nez à nez avec un groupe d'élèves qui n'avaient pas l'air en grande forme à première vue, deux élèves complètement maculés de sang et de le leur de surcroît. Faust rengaina donc en se doutant que ses personnes étaient probablement suivit et donc que cette partie allait être assaillit.
Bon ! Tous ceux qui peuvent se servir de leur force sans risquer une hémorragie, vous bloquez la porte avec ce que vous pouvez, ça devrez les empêcher d'entrer par là et comme ils savent qu'on est rentré par ici... Les autres, est ce que vous tenez le coup ? Est ce qu'il y a une urgence quelque part ? N'hésitez pas à dire si vous ne vous sentez pas bien du tout au delà du simple fait que vous perdez du sang. Je vais essayer d'aller trouver quelque chose, en attendant appuyer avec des vêtements comme certains le font déjà. Bonne idée les trousses de secours et les lambeaux de vêtements, j'espère trouver aussi bien la haut. Je reviens tout de suite.
Bloquer la porte allait certes ralentir l'ennemi, mais allait aussi empêcher les deux côtés de tirer, il agit en suivant tout de même les paroles de blond qui avait prit la parole et retourna dans sa chambre pour y prendre l'armoire qu'il porta au-dessus de sa jusqu'à le point d'intérêt et la posa sur le côté pour couvrir toute la porte, un lit ayant déjà été mis en place, il positionna l'armoire sur ce dernier et repartit prendre son propre lit pour obstruer le passage de la même porte, son pouvoir lui avait été bien utile pour son ouvrage. Et tandis qu'il hésitait en silence à mettre ses munitions à disposition, les autres s'affairaient à chercher des nécessaires de soin, il n'allait pas faire ça, il ne s'inquiétait pas vraiment plus du sort de ces gens que celui de la fillette de tout à l'heure.
Une fois de plus il retourna donc dans sa chambre pour au final revenir mais pas les mains vides, il préférait continuer à bloquer la porte avec une commode cette fois ci. Faust se plaça alors dans un coin, assis pour enlever la sécurité de ses armes, il ne fit même pas attention à s'il connaissait quelqu'un dans les blessés, il reprit l'activité qu'il avait avant qu'ils n'arrivent : il attendait sans un mot.
Bon ! Tous ceux qui peuvent se servir de leur force sans risquer une hémorragie, vous bloquez la porte avec ce que vous pouvez, ça devrez les empêcher d'entrer par là et comme ils savent qu'on est rentré par ici... Les autres, est ce que vous tenez le coup ? Est ce qu'il y a une urgence quelque part ? N'hésitez pas à dire si vous ne vous sentez pas bien du tout au delà du simple fait que vous perdez du sang. Je vais essayer d'aller trouver quelque chose, en attendant appuyer avec des vêtements comme certains le font déjà. Bonne idée les trousses de secours et les lambeaux de vêtements, j'espère trouver aussi bien la haut. Je reviens tout de suite.
Bloquer la porte allait certes ralentir l'ennemi, mais allait aussi empêcher les deux côtés de tirer, il agit en suivant tout de même les paroles de blond qui avait prit la parole et retourna dans sa chambre pour y prendre l'armoire qu'il porta au-dessus de sa jusqu'à le point d'intérêt et la posa sur le côté pour couvrir toute la porte, un lit ayant déjà été mis en place, il positionna l'armoire sur ce dernier et repartit prendre son propre lit pour obstruer le passage de la même porte, son pouvoir lui avait été bien utile pour son ouvrage. Et tandis qu'il hésitait en silence à mettre ses munitions à disposition, les autres s'affairaient à chercher des nécessaires de soin, il n'allait pas faire ça, il ne s'inquiétait pas vraiment plus du sort de ces gens que celui de la fillette de tout à l'heure.
Une fois de plus il retourna donc dans sa chambre pour au final revenir mais pas les mains vides, il préférait continuer à bloquer la porte avec une commode cette fois ci. Faust se plaça alors dans un coin, assis pour enlever la sécurité de ses armes, il ne fit même pas attention à s'il connaissait quelqu'un dans les blessés, il reprit l'activité qu'il avait avant qu'ils n'arrivent : il attendait sans un mot.
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Alors que j'étais installé, une personne arriva à toute vitesse, il demanda à ceux qui pouvait encore bouger correctement de barricader la porte et à tout les autres de soigner leurs plaies ou blessures.
Je fis alors la demande et me dirigeai vers les couloirs afin de trouver des choses qui me permettrai de renforcer la porte.
Je marchais, je marchais, je finissais par me perdre et ne plus penser à la demande de cette personne. J'errai alors dans les couloirs.
Je m'arrêtais à une porte et entrais, je fouillais un peu partout et je finis par me retrouver dans la salle de bain. Il y avait tout ce qu'il y avait de plus banal ainsi qu'une sorte de placard derrière une vitre. Avant de l'ouvrir je vis des traces de sang sur cette vitre. Elles étaient provenus de mes mains, je n'avais pas fais attention mais en me relevant dans l'entrée du dortoir j'avais mis ma main sur le sol pour me lever, apparemment à un endroit il y en avait.
Cette trace de sang me fis rappeler la scène que j'ai vu à l'extérieur, ajoutée à cela la vue de ce sang, mon instinct revint en vitesse, ça arriva tellement vite que je ne pus vraiment le retenir. J'essayais tant bien que de mal de le contenir de mon maximum, mais la transformation commençait déjà. Je la retenais du mieux que je pouvais, mais peu à peu cela avança, commençant par les muscles...
La douleur était cette fois bien plus dur que lorsque je me laissais faire, elle me fit perdre l'équilibre, je n'arrivai pas vraiment à bouger et je ne pouvais pas prendre l' "antidote" dans ma veste, je dis alors le plus fortement que je pus :
- S'il vous plaît ! Quelqu'un ... !
Cette fois-ci, si je me transformais, ce n'étais pas moi qui allait en sortir.
Je fis alors la demande et me dirigeai vers les couloirs afin de trouver des choses qui me permettrai de renforcer la porte.
Je marchais, je marchais, je finissais par me perdre et ne plus penser à la demande de cette personne. J'errai alors dans les couloirs.
Je m'arrêtais à une porte et entrais, je fouillais un peu partout et je finis par me retrouver dans la salle de bain. Il y avait tout ce qu'il y avait de plus banal ainsi qu'une sorte de placard derrière une vitre. Avant de l'ouvrir je vis des traces de sang sur cette vitre. Elles étaient provenus de mes mains, je n'avais pas fais attention mais en me relevant dans l'entrée du dortoir j'avais mis ma main sur le sol pour me lever, apparemment à un endroit il y en avait.
Cette trace de sang me fis rappeler la scène que j'ai vu à l'extérieur, ajoutée à cela la vue de ce sang, mon instinct revint en vitesse, ça arriva tellement vite que je ne pus vraiment le retenir. J'essayais tant bien que de mal de le contenir de mon maximum, mais la transformation commençait déjà. Je la retenais du mieux que je pouvais, mais peu à peu cela avança, commençant par les muscles...
La douleur était cette fois bien plus dur que lorsque je me laissais faire, elle me fit perdre l'équilibre, je n'arrivai pas vraiment à bouger et je ne pouvais pas prendre l' "antidote" dans ma veste, je dis alors le plus fortement que je pus :
- S'il vous plaît ! Quelqu'un ... !
Cette fois-ci, si je me transformais, ce n'étais pas moi qui allait en sortir.
Dernière édition par Kris Lohan le Sam 18 Juil 2015, 00:33, édité 1 fois
Re: [EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]
Je venais enfin d'atteindre le dortoir... Malheureusement je n'avais pas pus arriver au toit pour utiliser mon pouvoir afin de soutenir toute l'académie et ça serait du suicide de vouloir y aller avec un bras perforé à ce point là. Du coup... je suis obligé de trouver un moyen de soigner ce bras pour pas qu'il ne me gêne trop.
Je pénétrais alors le dortoir Rubis tendis que le sang coulait de chaque extrémités de mes doigts. Ce n'était pas très... glamour mais, en même temps c'est pas le moment pour. Je m'aventurais regardant certaines personnes blessé quand une petite blonde vint vers moi assez vite avec des bandages dans les mains. Elle ne me laissa rien et dire et m'obligea à m'assoir contre un mur le temps qu'elle bande mon bras. Bon, c'était mieux que rien c'est sûr. L'hémorragie c'était stoppé et j'avais de quoi bloqué une éventuelle infection. Plus qu'à protéger le bras pour pas que les blessures s'ouvrent à nouveau...
La jeune blonde partit pour aider d'autres personnes et moi je fais quoi du coup ? Je ne suis pas très utile dans mon état cependant je me souviens avoir un rouleau de bandage que j'avais utilisé pour le carnaval. J'arrivais alors dans ma chambre pour récupérer les bandages. Il était là, j'en profitais ensuite pour fouiller les affaires de mes collègues. Kyra, Hideki et les autres.. je suis désolé mais, l'heure et à la guerre et à la survie.
[DEMANDE LANCE POUR MATÉRIEL]
Bon au moins je n’avais pas la frustration de n'avoir qu'un trombone, je revenais alors avec mon butin dans la salle commune. Je posais les bandages sur une table de celle-ci avant d'entendre un discours fait par Ren'. Je ne pourrais pas être sur le flanc on dirait...
Je pris l'escalier pour monter à l'étage puis, discrètement, j'observais dehors tout en arrachant l'avant de ma chemise pour que celle-ci soit plus ample et puis, ce n'est pas comme si j'allais avoir froid de toute façon...
Je pénétrais alors le dortoir Rubis tendis que le sang coulait de chaque extrémités de mes doigts. Ce n'était pas très... glamour mais, en même temps c'est pas le moment pour. Je m'aventurais regardant certaines personnes blessé quand une petite blonde vint vers moi assez vite avec des bandages dans les mains. Elle ne me laissa rien et dire et m'obligea à m'assoir contre un mur le temps qu'elle bande mon bras. Bon, c'était mieux que rien c'est sûr. L'hémorragie c'était stoppé et j'avais de quoi bloqué une éventuelle infection. Plus qu'à protéger le bras pour pas que les blessures s'ouvrent à nouveau...
La jeune blonde partit pour aider d'autres personnes et moi je fais quoi du coup ? Je ne suis pas très utile dans mon état cependant je me souviens avoir un rouleau de bandage que j'avais utilisé pour le carnaval. J'arrivais alors dans ma chambre pour récupérer les bandages. Il était là, j'en profitais ensuite pour fouiller les affaires de mes collègues. Kyra, Hideki et les autres.. je suis désolé mais, l'heure et à la guerre et à la survie.
[DEMANDE LANCE POUR MATÉRIEL]
Bon au moins je n’avais pas la frustration de n'avoir qu'un trombone, je revenais alors avec mon butin dans la salle commune. Je posais les bandages sur une table de celle-ci avant d'entendre un discours fait par Ren'. Je ne pourrais pas être sur le flanc on dirait...
Je pris l'escalier pour monter à l'étage puis, discrètement, j'observais dehors tout en arrachant l'avant de ma chemise pour que celle-ci soit plus ample et puis, ce n'est pas comme si j'allais avoir froid de toute façon...
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