[EVENT CONTEXTUEL] La fin de Tsuki [Banquet de la Serre]

Une fois mon équipement préparé, je redescendais au rez de chaussée avec tout le monde. J'étais revenu, comme promis, mais pas plus en forme qu'avant.

Pour tous ceux qui ont des armes, si vous ne savez pas vous en servir. Je pris l'arme que j'avais posé en rentrant pour montrer en même temps que j'expliquais. Vérifiez bien sur le côté droit de l'arme si le curseur du sélecteur est bien sur une autre position que le petit verrou ici présent. Ensuite, du même côté, vous tirez sur la poignée horizontale qui dépasse, si c'est tout mou, alors larme est déjà armée, il suffit d'appuyer sur la détente, si c'est dure et que ça fait un claquement en arrivant le plus possible vers soi, alors c'est que vous venez de l'armer, il suffira d'appuyer sur la détente. En présence des autres, comme ici, on met toujours le sélecteur de l'arme sur le verrou et jamais son doigt sur la queue de détente. Pour bien placer son arme, c'est contre le pectoraux en dessous de l'os qui rejoins votre clavicule, jamais dans le creux de l'épaule. Pour viser, vous placez votre oeil dans la direction des organes de visée, à savoir le creux qu'il y a sur le dos de l'arme, ici près de vous, en alignement avec le bout de plastique qui remonte ici au dessus du canon. Le premier tir surprend toujours, n'ayez pas peur d'appuyer, ça ne va pas vous manger. Tous ceux qui ont des armes d'épaules comme celle-là, montez en haut et positionnez vous au fenêtre, n'hésitez pas à hurler entre vous ce que vous voyez, c'est toujours utile. Je reposais l'arme par terre et pris une des miennes. Pour les armes de poing du même genre que la mienne. Vous vous mettez bras tendus vers l'avant, mais pas à fond, vous relevez légèrement vos coudes, ça supprimera en grande partie le recul. Le buste un peu penché en avant, les jambes écartées mais pas trop. Les organes de visée s'alignent comme pour les armes d'épaules. Deux conseils. En premier, pas la peine de vider vos balles, les tirer une par une les économisera et vous permettra de vous concentrer ainsi que de reprendre votre visée, et en plus ça fera des économies, on a pas grand chose... Et en deuxième, ne tirez que si vous voyez le blanc des yeux de ces types, ça va augmenter vos chance de toucher. C'est tout.

Je fis volte-face et remonta à l'étage, croisant un type qui me demanda d'aller à l'infirmerie avec lui. C'était bien trop risqué, puis je regardais ma plaie sur mon flanc droit qui saignait toujours.

Ouais, on trace et on revient en deux minutes top chrono. J'arrive, je fais juste un truc.

Je m'arrêtais dans ma chambre un instant. Je versais une bouteille d'eau sur ma plaie puis pris une serviette de bain que je plaquais sur ma plaie sous mon t-shirt. Une ceinture et le tour est joué pour l'instant, par contre ça fait mal putain !! Mais c'est rien par rapport à ce qui nous attend si on se bouge pas les miches.

C'est bon on se bouge.

Avec le type en question, on était sorti par le dortoir rubis, la sortie la plus proche de l'infirmerie.

Dis moi juste ton prénom s'il te plaît, je ne te connais pas. Moi c'est Ren'

En entrant dans l'infirmerie, je m'arrêtais devant un spectacle qui me glaça le sang. Au milieu des jardins, des camions et des jeeps arrêtées, des tas de soldats bien plus équipés qu'avant, deux troupes qui se séparaient, une vers le gymnase, l'autre vers nous. Fais chier !

(3 lancés chacun pour savoir ce qu'on trouve à l'infirmerie)

Je fus plus que contente quand j'eus trouvé du désinfectant. J'avoue que je ne m'y attendais pas du tout, mais, je vais pas m'en plaindre ! Regardant les personne les plus blessés aux alentours, je vis une fille aux yeux bleus et aux cheveux blonds qui perdait du sang. Prenant un peu du coton que j'ai ramené, du désinfectant et des bandelettes de t-shirt, je vins vers elle et la fit s'assoir et la soigna ce que je pus. Désinfectant le plus efficacement que je pouvais et utilisant les bandages pour faire des pansements compressifs là où les hémorragies pouvaient être vraiment très dangereuses et un pansement normale aux autres. Une fois cela fait, je disa à la personne de rester assise et partit vers quelqu'un d'autre. (Hrp: Soins envers Mel)

Je vis une dame assise par terre. Elle était blessée mais n'essayait pas de se soigner. Alors, prenant ce qu'il fallait car avec le cas précédant, je n'avais plus de bandages en mains, je partis m'occuper d'elle. Je désinfecta ses plaies sans rien dire et fit des pansements avant de repartir couper des t-shirts. Mais j'entendis la personne nous ayant dit de bloquer les portes nous parler de nouveau.  Mais je n'écoutas pas plus que ça comme je n'avais aucune arme et je repartis à la recherche de quoi soigner, priant pour avoir loupé quelque chose, peu m'importe quoi. Me décidant à garder le peu de désinfectant restant pour plus tard (Hrp: Soins envers Mlle Denarbonne et recherche de quoi soigner)

Complètement sonnée. Voici le seul mot que l'on peut employer pour décrire l'état d'esprit de la pyromancienne. Elle ne se souvenait même pas s'être endormie, et voilà qu'elle se réveille allongée devant sa porte de chambre. Elle se souvient lentement de l'attaque de la serre. Se dit que les soldats vont sûrement se diriger vers les dortoirs, et elle se décide à descendre dans les pièces communes pour voir si les autres sont là. Puis peut-être pourrait-elle se rendre utile ? Un professeur, Endy elle ne sait plus quoi, lui avait appris à cautériser des blessures de son feu. Enfin elle n'a jamais mis ceci en pratique et elle a peur de blesser quelqu'un plus qu'autre chose. De toute façon il faut bien qu'elle descende, au pire elle pourra jouer les infirmières. Puis, elle se demande ce qu'il se passe ici et les autres ont sûrement des renseignements. Une fois en bas, elle croise le représentant Rubis qui explique aux autres comment se servir d'une arme.
Elle écoute attentivement, mais des armes, elle n'en a pas, puis elle répugne à s'en servir, même si elle sait que son pouvoir ne durera pas éternellement. Une fois le Rubis partit, Chizuru se dirigea vers le centre de la pièce, cherchant où elle pouvait se rendre utile.
Mais avant même de demander quoi que ce soit, elle court vers sa chambre et fouille dans la salle de bain. Trousse de secours, pansements, bandages, elle prend tout ce qu'elle trouve et qui pourrait être utile aux autres. Même si malheureusement jamais elle n'a prévu de tels évènements, et ses ressources sont bien maigres, juste de quoi parer aux petits désagréments du quotidien.

(Demande lancé de dés pour trouver de quoi soigner)

Une fois sa fouille de la salle de bain terminée, elle redescend dans l'espace commun, ne sachant trop où se rendre. Elle a peur, mais essaye de le cacher. Elle qui a la chance de ne pas être blessée, elle tient absolument à aider ses camarades. Elle se rend bien compte de la gravité de la situation, et elle fera son possible pour empêcher leurs assaillants de parvenir à leur but. En cinq mois, elle s'est attachée à son école, et elle refuse de la voir s'écrouler.

"Ouais, on trace et on revient en deux minutes top chrono. J'arrive, je fais juste un truc."

Je l'ai vu se diriger vers un chambre pour faire je ne sais quoi de mon côté mon épaule commençait à me faire un mal de chien et le sang continuait de couler... Merde... Va falloir qu'on fasse vite...
Il revint rapidement,
"C'est bon on se bouge."

Je le suivis et nous sortîmes par une autre entrée que celle par laquelle nous étions arriver, il s'arrêta en chemin,
"Dis moi juste ton prénom s'il te plaît, je ne te connais pas. Moi c'est Ren' "

Je lui répondis en le regardant dans les yeux,
"Asch" Pas le temps de raconter ma vie, on devait faire vite.

On est arrivés devant la porte de l'infirmerie sans rencontrer personne, une chance d'ailleurs, il est entré le premier et s'est figé à peine quelques mètres de la porte. Il était devant moi donc je ne voyais rien, je l'ai contourner pour regarder dans la même direction que lui, à travers la fenêtre, et je restai les yeux ébahis la bouche ouverte... Ce qu'on avait vécu n'était qu'un amuse bouche...

Je lui donna une tape sur l'épaule et me précipitas vers l'armoire à pharmacie où je trouvais une trousse de secours, toujours utile !
Lui aussi avait trouvé deux ou trois trucs utiles, on allait repartir mais je l'arrêtais une minute,
"Attends faut qu'on mette vite fait une stratégie au point, la plupart des élèves sont au rez de chaussée et risque d'être pris pour cible rapidement, il faut qu'on les déplaces à l'étage avec les non-combattants, enfin ceux qui peuvent l'être sans trop de problèmes...."

Il me répondit que c'était une bonne idée dans les grandes lignes mais qu'il fallait qu'on garde des gens valides en bas.

Je rétorquai,
"Ce qu'on peut faire, je m'occupe de l'étage et des blessés en prenant quelques gars costauds et toi tu gères le bas ?"
Il acquiesça et je lui demandais rapidement,
"Il faut les prévenir pour les deux colonnes qui viennent vers nous mais je pense pas qu'il faut paniquer tout le monde en leur parlant du reste... Les camions, les jeeps..."

Je fut satisfait de sa réponse et nous repartîmes sans prendre le temps de discuter plus longtemps, nous étions sur le flanc droit des soldats qui avançaient vers les dortoirs et ils ne nous virent pas le temps que nous retournions au dortoir.

Arrivés à la porte je couru vers l'autre entrée où la majorité des blessés étaient agglutinés, il y avait des pleurs, des cris... Mais je réussi à me faire entendre en parlant assez fort,
"Écoutez moi ! Désolé mais on a pas le temps de se reposer, d'autres soldats arrivent et ils ont l'air bien équipés !
J'ai besoin de quelques gars costauds pour déplacer tous les blessés à l'étage pour qu'ils soient en sécurité ! Et il faudra aussi barricader en partie les escaliers !"

Je vacilla et me rattrapa contre le mur, ma chemise était trempée de sang et je la retirai avec difficulté en gémissant de douleur. Heureusement la balle était ressortie mais avec le sang que je perdais je tiendrais pas longtemps.... Il fallait que je me soigne...

Je tendis la trousse de secours à l'une des filles qui soignait ses camarades en lui disant d'en faire bon usage...

Juliette sait pourquoi Christiane Taubira est noire. C'est une guyanaise patriotique qui en a rien à foutre de la France. Quel tristesse ce gouvernement, mais elle l'aimait. Tout ses défauts elle les accepte. Son pays lui manque tellement, notre française se demande pourquoi est-elle venue ici pour se faire persécuter par des soldats armés n’appréciant pas les gens différents d'eux. Elle soupire. Foutu Angleterre. Même si tu te portes mieux que la France, tu as encore du chemin à faire. Il faut accepter toutes personnes non ? Et puis, qui leur a donné un tel don ? Est-ce leur faute ? Est-ce leur faute d'avoir un don extraordinaire qu'ils n'ont jamais voulu ? Juliette grince des dents et serre les poings, alors qu'une adorable petite fille vient soigner ses blessures. Étonnée, l'enseignante se laisse faire alors qu'elle est au bord des larmes. Vous voyez, anglais ? Nous ne sommes pas aussi différent que cela. Nous sommes des êtres humains malgré tout et nous ne devons pas être aussi persécuté que les juifs dans les années 40. Puis, cette jeune et adorable fille repartit, toujours en quête de soigner des blessés. Émue, Juliette la rattrape pour l'enlacer fortement par le dos.

Juliette : «  Tout s'arrangera. Je te le promet. »

A ses mots, Juliette se détache et tape un numéro sur son téléphone. Il le faut. Peu importe le prix.

Juliette : «  Allo ? Monsieur le Président de la République ? »

Téléphone : « Non, je suis l'adjointe du secrétaire géné- »

Juliette : «  Julie Gayet ? »

Téléphone (rire nerveux) : « Non. Voulez vous que je lui fasse passer un message ? »

Juliette entend des pas sourds se diriger vers le petit camp de survivant.

Juliette : «  Y'a des nazis en Angleterre. Est-ce possible que Monsieur le Président puisse me ramener dans un jet privé ?»

Téléphone : « Eeuuh, c'est une blague ? »

Juliette : «  Ils arrivent. Alors c'est ok ? Un jet privé à trois places ? J'emporte une petite rescapée avec moi. »

Téléphone : « C-c'est un canul- »

Juliette : « Merci, bisous. »

Elle raccroche, soulagée. Elle est sauvée. Juliette rattrape de nouveau la petite blondinette pour lui tapoter la tête :

Juliette : «  Ne t'en fais pas, l'avion du Président Français viens nous chercher. »

La patriote lui affiche un sourire tendre avant de repartir, rassurée.

Sasuke n'était pas mécontent il avais pu rejoindre le dortoir avec la prof taré mais était-ce finis pour autant ? Que nenni cher amis ! le spectacle qu'offrais le lieux n'était guerre réjouissant, entre les blesser les pleurs etc. a cette allure là il faudra peut être même évacuer des morts ! (Le mec super optimiste) Il entendit un homme blond, le même que celui de la serre, confier des consignes a ses camarades. Saske entreprit d'aller fouiller les chambre pour voir si il il trouvait aussi de quoi soigner les autres comme certains l'ont fait.

c'est un interna ici se serais quand même surprenant que personnes n'est fait entré en douce de l'alcool, cela pourrais être utile pour désinfecté les plaie. Il peut y avoir aussi de la nourriture ou toute autres chose qui pourrais servir a soigner ou se défendre.

(demande de lancer de dés pour trouver des vivres)

Sur le chemin du retour il croisa un jeune homme aux cheveux noir et au yeux bleus (hors rp : je précise qu'il s'agit de Chris loan) celui-ci ce convulsionnait et gémissait de douleur, mais que lui arrive t'il ? Il appelait a l'aide.

- S'il vous plaît ! Quelqu'un ... !

Il ne pouvait pas le laisser la, alors sasuke pris l'homme sur ses épaules de la même manière que font les pompier ( ... ou les catcheurs)
pour le ramener vers les autres afin qu'il soit prix en charge. En descendant il constata avec horreur le terrible spectacle des soldats qui affluaient en masse en direction du batiment. Cela fit froid dans le dos a l'homme aux yeux vairons . C'est pourquoi il prix soins d'éviter les fenêtre.

Une fois de retour en bas il confia il déposa l'homme pour qu'il soit prix en charge. Pendant ce temps il entendait et écoutais attentivement le blond expliquer comment on se sert des armes à feu.
Enfin quelque minutes plus tard Asch avait une demande a faire.

"Écoutez moi ! Désolé mais on a pas le temps de se reposer, d'autres soldats arrivent et ils ont l'air bien équipés !
J'ai besoin de quelques gars costauds pour déplacer tous les blessés à l'étage pour qu'ils soient en sécurité ! Et il faudra aussi barricader en partie les escaliers !"

Sasuke avais eu la chance de n'avoir aucune blessure a l’exception d'une bosse sur la tête. alors il se dévoua pour aider a transporter les blesser.

Tout le monde était en train de s'affoler autour du saphir tandis que lui ne bougeait pas, ils hurlaient, avaient besoin d'aide et il en avait marre. Il aurait voulut tous leur mettre une balle dans la tête mais il s'était contenté de se lever pour trouver un point de couverture qu'il jugeait adéquat et se prépara à accueillir ces chers soldats. Il fixa un court ses armes avant de soupirer en posant sa tête contre le mur.

"Je savais que j'aurais dû prendre un magnum 357..."

Il était prêt... du moins autant que l'on pouvait l'être au vu de la situation, au final cette « planque » n'était pas du tout source de sécurité, c'est à ce moment que l'idée de partir de cette endroit émergea dans sa tête, il n'avais aucune forme d'attache ici et donc aucun problème pour partir, le seule problème étant de transporter tout son matériel, il devait faire ce déménagement sous plusieurs jours voire plus, il ne pensait pas vraiment à ce qui allait suivre, non pas que cela le préoccupait, il n'était juste pas inquiet, si il mourrait... il mourrait et si il restait vivant, il pouvait partir de cet endroit rien de plus simple.

L'excitation des autres élèves avait l'air de s'être un peu calmée, rien de mieux, ils s'affolaient ce qui conduisait à moins bien répartir son énergie ce qui amena donc à la perte de temps, la bête noir du saphir. Et même s'il trouvait ça assez ridicule de s'affoler autant, il ne pouvait s'empêcher de se demander pourquoi il n'était pas plus affecté. Etait-ce à cause de son passé ? Ou du fait que la mort ne lui faisait ni chaud ni froid ? Quoiqu'il en soit il reprit ses esprits rapidement et vérifia que la sécurité de ses armes étaient bel et bien enlevé, cela aurait été plutôt contraignant de manquer un tir à cause d'une erreur de débutant et fort heureusement c'était le cas, il était opérationnel.

Avec Asch, on revenait de l'infirmerie, et c'était le bordel, vraiment le bordel. Ce que nous avions vu dehors ne m'égayais absolument pas. Une véritable armée, c'était bien ça, pas seulement un groupe aux intentions brumeuses un peu trop équipés pour ce qu'ils font, c'est une véritable armée. D'où sortent ces types ?... Sur le côté d'un des camions, j'arrivais à distinguer à peu près un logo, mais impossible à cette distance de dire à quoi cela ressemblait exactement.

En vitesse, Asch proposa un plan, une stratégie discutée et discutable, mais on s'était mis d'accord sur un point, les blessés en haut, une partie de valides en bas et on défend la porte.

Par contre, essaye, si tu peux bien sûr, de monter un truc au niveau des escaliers pour qu'au cas où on ne tiennent pas en bas, on puisse remonter direct et tu fais tomber de quoi les bloquer dans l'escalier après notre passage.

C'était loin d'être évident, se préparer à un front offensif tel que celui-ci relevait du véritable défi. Nous avons des avantages, ils en ont aussi, on va profiter au maximum de ceux dont on dispose. Sur le chemin, je dis à Asch de rentrer sans moi, je vais faire un petit détour tant qu'ils ne nous ont pas remarqué.

Je rentrais dans la serre qui était sur le chemin, nous venions de la contourner en passant par derrière, idéal pour se cacher, maintenant j'y retournais, et le sol était toujours aussi jonché de cadavre qu'il y a un quart d'heure. Je marchais à peu feutrés, accroupi, évitant le plus possible les bouts de verre, je ne sais pas du tout s'il reste quelqu'un ici, allié ou ennemi, je n'en ai pas la moindre idée. Je me contentais d'arracher des armes et des chargeurs aux morts. Je trouvais 5 dépouilles de ces soldats. Une arme manquait au compte, c'est celle que j'ai jeté. Une était vide, j'enlevais le chargeur et le mis dans une poche. J'ai donc, 4 armes de poing, 9 chargeurs d'arme de poing, en sachant que ceux dans les armes sont à moitié vides, 4 carabines d'assaut, et 7 chargeurs, dont 2 sont pratiquement vides aussi. C'est tout ce que je pouvais trouver sur place. J'avais enlevé mon t-shirt et l'avais noué pour m'en faire un sac, entre le matériel de l'infirmerie et les armes, je n'avais pas assez de mes deux mains pour tout prendre. Réajustant la ceinture qui maintenait la serviette rouge de sang, je faisais bien attention de ne pas faire de bruit et rentrait au dortoir par la porte de l'aile rubis.

Je déposais, que dis-je, je balançais le sac dans l'entrée, je suis claqué ! J'ai besoin de boire en plus, mais rien pour étancher ma soif la tout de suite maintenant, fais chier...

J'ai réussi à ramener un peu de matos, rien de fulgurant mais c'est déjà ça. Ceux qui veulent s'armer, y a quatre carabines de dispo, et quatre flingues, servez vous en chargeurs, moi j'ai ce qu'il faut... Tout ceux qui restent en bas, on ferme les volets roulants des fenêtres de tout ce dortoir là. Comme il leur fait face, ce sera toujours un plus. Privilégiez les armes de poing ici, les carabines vont en haut, ils pourront faire du ménage depuis les fenêtres. Quelqu'un aurait une bouteille d'eau dans le coin s'il vous plaît ?... Ha ! Dans le sac y a des pansements et des anti-douleurs aussi qui traînent.

Le tour était fait la dessus, je restais quelques instants assis par terre contre un mur, ma blessure m'épuisait considérablement, je vais essayer de trouver une agrafeuse dans le coin, et je sais même où en trouver une ! Maintenant que j'y pense, tous les documents accrochés au tableau de la salle commune des rubis sont agrafés, dans le tiroir juste en dessous doit se trouver ce qu'il me faut, et c'est bien le cas !

J'hésitais quand même, c'était pas la première fois, mais c'était jamais agréable. Je retirais la serviette trempée de mon sang, épongeais tant bien que mal ce qui coulait et approcha l'agrafeuse de la plaie. Aller, encore une fois, c'est pas la mort. Fermant les yeux, je pinçais la peau et mis six coups d'agrafes d'affilé. Des larmes chaudes roulaient sur mes joues, mais dans dix minutes ce sera un soulagement. Manquerait plus que je parvienne à cautériser, ce qui me laisserait une vilaine cicatrice, mais serait bien plus agréable pour bouger.

L'homme aux yeux vairons dépossa l'homme qu'il a ramener a terre et le fruit de ses recherches a proximité. Si quelqu'un en a besoins il a cas s'en servir.
L'homme demanda d'ailleur de l'eau.

_Quelqu'un aurait une bouteille d'eau dans le coin s'il vous plaît ?...
_ j'en ai trouver et les ai poser la bas ! (dit sasuke ne pointant les bouteilles du doigt)

Alors qu'il se présentait a Asch pour proposer son aide afin d'enmener les blesser a l'étage d'étrange bruit venus de l'extérieur firent sursauter Sasuke :

"Bélier !!!" suivit d'un bruit sourd et d'un mouvement de l'a porte.

Et merde! voula qu'ils vont détruire la porte. Ce n'est pas sur que la baricade tienne le coup ! il faut absolument trouver un moyen de solidifier tout sa.
soudain il eu une illuminations, pendant sa fuite il se souvint avoir vu un gars geler un soldat.

Sasuke : _ De la glace !!!! il nous faut de la glace !(Puis il se retourna et demanda a tout le monde) quelqu'un sait ou est le gars qui geler se qu'il touche ?

En théorie si il parvient a faire geler la porte le mur et la barricade avec, en créant une couche de glace suffisamment épaisse cela devrait y rendre plus résistant. Après certe il y a quelque faille dans son idée est ce que le gars en est capable ? et est ce que il est état de se servir de son pourvoir. Certes dit comme sa , ça paraît un peut hasardeux comme démarche, mais si quelqu'un a une meilleurs idée, Sasuke est preneur.

Au moment où j'ai criée un homme arriva et me pris sur son dos, il se dépêcha de me ramener vers le hall et s'en alla aussitôt. Peut de temps après m'avoir pausé sur le sol, une jeune fille arriva, elle avait l'air déterminée à m'aider et essayé de ne pas montrer son angoisse.

« Qu’est ce qu’il faut que je fasse ?? Comment je peux t’aider ?? »

A ce moment là, je tournai ma tête vers elle, avec la transformation je n'arrivais plus vraiment à parler, les griffes sortaient déjà et mes yeux devinrent dorées dû à ma transformation. Je faisais tout mon possible pour afficher un sourire sur mon visage pour la calmer. Après ça j’essayai tant bien que de mal de me tourner pour montrer ma poche de la veste. A l'intérieur de ma poche se trouvait une sorte de grosse capsule où se trouve à l'intérieur une sorte de liquide, il y a bien cette fameuse et légendaire "Aconit" mais celle-ci n'est en fait que là pour rendre le "poison" moins fort.

Mais tout à coup un gros bruit sourd arriva en direction de la porte. J'avais vite deviner que l'on essayait d'enfoncer la porte. A ce moment, j'arrêtai de résister et finis ma transformation mais la seule pensée qui me vint était d'emmener les gens qui m’entourait à l'abri. Malheureusement, à cause de ce qui c'est passé avant, je n'avais pas la force de faire grand chose du à la transformation retardée, j'essayais alors du mieux que possible de me lever pour essayais de trouver quelques choses pour renforcer la porte. A bout de souffle et toujours souffrant je dis à la jeune femme :

- Tempis... *halète* aide... *halète* les autres... *halète* je peux... *halète* encore aider.

Puis c'est alors qu'un mec ce mis à demander si une personne pouvait gelée au toucher, ce n'était pas une mauvaise idée, geler la porte pouvait aider, mais je pense que l'utiliser en dernier recours serait mieux. C'est alors que vint le tour de la prof' un peu bizarre. Elle nous racontait sa vie ce qui me fit faire un léger sourire, ainsi que son plan a elle, ce qui n'était pas mauvais non plus à mon sens.

"Reste là s’il te plait, il ne faut pas que tu fasses trop d’efforts. Je vais voir si je peux trouver quelqu’un qui soit plus calé que moi pour t’aider. "

Mel était venue m'aider. Elle avait fait une drôle de tête en voyant ma blessure, ce n'était pas bon signe... Elle m'avait quand même fait un bandage bien serré. J'avais toujours mal mais psychologiquement, j'allais déjà mieux. Elle m'avait dit de rester là mais je ne me trouvais plus très loin de la majorité des autres survivants, alors je décidai d'aller vers eux. Je commençais à croiser des regards familiers lorsque des grands boums provinrent de la porte principale du dortoir Rubis. Les portes en bois de plièrent sous l'impact mais tinrent bon car quelqu'un avait pris soin de les fermer.

"Bien. Chers élèves, le temps est compté. Nous devons agir, et agir intelligemment..." commença la professeure d'histoire.

J'écoutais d'une oreille distraite tout en regardant avec horreur la porte continuer de se déformer sous les coups des assaillants. Ils devaient avoir un bélier ou quelque chose comme ça... Mais quelle force ! Combien de gars étaient derrière pour réussir à pousser un truc pareil ? Peut-être que d'autres personnes malveillantes étaient arrivées ? A cet instant précis, je me sentais totalement impuissante et inutile.

"...et essayez de sortir de l'Académie dès que possible !" continua-t-elle.

Elle insista également sur le fait que nous devions monter des groupes et nous séparer pour leur rendre la tâche plus difficile. Ce n'est pas une mauvaise idée, en nous planquant dans les couloirs sinueux que nous connaissons bien, nous aurons plus de chances de nous défendre. Elle fit ensuite une série de mouvements bizarres qui brisa tout le sérieux de ses paroles puis vint de plaquer contre la porte pour l'empêcher de s'ouvrir. Je doute que ce soit la meilleure chose à faire pour résister, on pourrait déplacer des meubles devant ce n'est pas ce qui manque ici. M'appuyant toujours sur la carabine, je m'approchais des autres et parlai entre deux coups de bélier.

"Essayez de mixer les maisons dans les groupes, nous serons sans doute amenés à changer de dortoir et connaître le terrain nous donnera l'avantage."

Je crois qu'ils m'avaient remarqués puisque l'on me regardait.Il allait falloir trouver un meilleur moyen de barricader la porte que ça... Réfléchissons, dans les chambres du premier étage il y avait de très grosses armoires ainsi que des lits. Ça serait idéal mais très lourd et long à transporter. Au rez-de-chaussée, je n'ai aucune idée de ce que l'on peut trouver. Le foyer est au sous-sol, les chambres des filles sont au 2ème étage... Hey mais, nous ne sommes peut-être pas très loin du foyer saphir. Il y a tellement de choses lourdes là-bas, ce serait idéal ! Et il n'est même pas au sous-sol en plus ! Je ne savais pas si nous avions le temps d'aller jusque-là, je n'ai aucune idée du temps qu'il nous reste avant que la porte ne cède... Il y eut un autre coup de bélier, puis je continuai.

"On peut encore barricader la porte avec les meubles des chambres ou des foyers."

Je sortis également mon trousseau de clé en l'agitant pour leur faire comprendre qu'ils pouvaient me demander s'ils avaient besoin d'une clé. Le soucis était que j'avais une telle diversité de clés que j'étais probablement l'une des seule personnes à pouvoir m'y retrouver. Il faut dire que les serrures de la Maison Saphir ne sont pas communes, j'ignore si c'est également le cas des autres dortoirs. J'aurais été ravie de transporter moi-même ces meubles mais je crois que ma condition physique ne me le permettait pas, j'étais faible de base mais en plus j'avais du mal à marcher.

J'avais maintenant le choix entre attendre que l'on vienne me soigner ou agir. J'avais toujours sur moi des lambeaux de T-shirt ainsi que du désinfectant. Je vis un garçon avec la chemise tachée de sang et n'hésitai pas une seconde avant de me diriger vers lui. Je pouvais au moins désinfecter sa plaie, et c'est ce que je fis. J'humidifiai un T-shirt et commença à tamponner autour de la plaie, je crois que c'est comme ça que l'on fait. Ça me dégoutait de voir tout ce sang, tellement que je ne pensais même pas au fait que c'était la première fois que je me trouvais aussi près d'un inconnu torse nu. Je n'avais rien de spécial pour bander sa plaie mais lui laissai quand-même un bout de T-shirt s'il voulait le faire lui-même.

Je continuai ma ronde en changeant de T-shirt spécial nettoyage parce que ce n'était pas très hygiénique de mélanger les sangs ainsi. J'allai trouver Ren' et vit que lui aussi était mal en point. Il gardait pourtant un calme incroyable et semblait prendre la tête des opérations. Je lui proposai de désinfecter sa blessure ainsi que de lui donner un bout de T-shirt parce que je me doute que faire une chose pareille tout seul ne doit pas être évident. Je relevai la tête puis vis Yahiko arriver, sa chemise spécial banquet toute tachée de sang. Il avait un bandage mais rien ne m'empêchait de lui proposer mon aide.

"Est-ce que ta blessure a été désinfectée ?" lui-demandais-je.

HRP : Je désinfecte et je bande les blessures de Asch, Ren' et Yahiko (si nécessaire bien sûr, on va pas gaspiller)

À peine a t-elle eu le temps de redescendre avec son "butin" que la pyromancienne est surprise par l'arrivée d'un bélier mécanique tentant de défoncer la porte du dortoir. Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel ? Se prend-elle à penser. Jamais en 5 mois qu'elle avait passée à l'Académie une telle boucherie n'était arrivée ici. Elle est effrayée autant que révoltée. Une professeure a l'air timbrée, Mlle Denarbonne si Chizuru ne se trompe pas, expose un plan qui sonne très intelligent à la pyromancienne ; même si la professeure en question perd assez sa crédibilité quand elle va se jeter contre la porte en criant et gesticulant des choses insensées. Mais Chizuru ne se laisse pas démonter par le manque de cohérence et le drame de la situation, au contraire elle s'implique dans le plan.

"J'ai trouvé de quoi soigner un peu dans ma salle de bain, des bandages, des compresses et de l'alcool. Je sais pas me servir d'une arme, mais je connais deux trois trucs utiles pour les blessures, et je pense être capable de cautériser une plaie grâce à mon pouvoir," dit la jeune fille à l'intention de la prof', en espérant qu'elle l'écoute, et aussi un peu des autres élèves, qui pourraient être intéressés par quelques soins.

La pyromancienne se met à penser que, peut-être, d'autres de ses camarades sont restés en haut dans leurs dortoirs, et n'auront pas entendu le plan de Mlle Denarbonne, alors elle se décide à monter rapidement pour vérifier, elle ne voudrait pas que certains élèves se retrouvent coincés dans leurs dortoirs, et à la merci des soldats ennemis.

Chizuru se dirige en premier vers son propre dortoir, après un rapide tour et quelques "il reste quelqu'un ici ?", elle suppose que tout les Émeraudes sont descendus, aussi elle redescend vers les parties communes avant de filer en direction du dortoir Saphir. Là-haut, elle vérifie rapidement les parties des garçons, et comme elle n'y trouve personne, elle file en direction du dortoir des filles ; elle fait deux chambres sans y trouver personne. Arrivée à la troisième porte du long couloir, ses recherches finissent par porter leurs fruits : Avec un air légèrement fâché, mais surtout déterminé, elle y trouve Yumie.

Presque aussitôt, le rouge lui monte aux joues, elle ne l'a pas revue depuis l'altercation qu'elles ont eu avec son...ex petit-ami. Il faut plutôt dire qu'elles s'évitaient, la situation entre elles est assez tendue. Mais elle ne se laisse pas démonter, elle doit la ramener avec les autres. D'ailleurs, même si elle ne sait plus trop qu'elle est la nature des sentiments qu'elle éprouve pour la Saphir, elle a la certitude que sa mort lui serait intolérable, bien plus que pour un élève qu'elle ne connaîtrait pas, même si elle ne sait pas trop pourquoi.

Aussi, elle s'avance timidement vers elle, avant de prendre la parole, essayant tant bien que mal d'avoir l'air confiant.

"Yumie ?...Mlle Denarbonne, la prof' d'histoire, elle a un plan pour échapper aux soldats. Ce serait de faire des petits groupes, et d'aller se cacher, si possible de se tirer de cette école le plus vite possible. Luna, la représentante de ta maison, elle a aussi proposé de mélanger les maisons dans les groupes, mais c'est pas le plus important. Ce que je voulais dire c'est que tu ferais mieux de descendre, c'est pour ça que je suis ici, je voulais être sûre que personne ne reste dans les dortoirs, les soldats sont en train d'essayer de défoncer la porte, ça va devenir dangereux par ici...."

Elle a dit ça presque d'une traite, prononçant tout ce qui lui passait à l'esprit et qu'il lui semble important d'informer Yumie, et d'ailleurs elle n'est pas vraiment sûre que l'ensemble de son discours soit cohérent, mais l'important est que Yumie saches qu'elle devrait descendre. D'ailleurs la pyromancienne espére qu'elle le ferait, voire même qu'elle viendra avec elle dans le but de fuir, sans vraiment savoir pourquoi. Peut-être parce qu'elle veut avoir la certitude que la Saphir s'en tirerait.

Mais là n'est pas le plus important, parce que Chizuru garde bien à l'esprit que le plus important dans tout ça est sa propre survie, elle voulait s'en sortir peu importe le prix qu'il lui en coûtera, et si elle peut faire en sorte que d'autres s'en tire aussi alors tant mieux. Mais elle ne mettra pas en péril sa survie au profit de celle des autres, elle en est certaine.

Alors que j'allais partir soigner de nouveau blessés, la dame que je venais de soigner me prise dans ses bras et me disa que tout s'arrangerait avant d'essayer d'appeler le président de la république. Puis Julie Galet. Avant de dire qu'il y a des nazis en Angleterre… Que il fallait qu'un jet vienne la chercher et que moi aussi… Enfin, je suppose qu'elle parlait de moi en parlant d'une rescapée ? Puis elle me rattrapa tandis que j'essayais discrètement de m'éloigner et elle me tapota la tête avant de me dire de ne pas m'en faire car le président allait venir nous chercher. Puis je m'éloigna d'elle quand elle commença à faire d'étranges mouvements avant de se plaquer à la porte entrain de céder sous des coups de bélier… Je ne pus m'empêcher dire que je ne comprenais rien de ce qu'il se passait. Mon accent français présent.

Comme la dame sans doute compatriote nous avait dit de faire des groupes de deux, j'allas vers mon camarade Kamihate. Je commençais de nouveau à paniquer, mais je me contentas juste me blottir moitié contre lui avec un peu de peur. Et je murmuras sans m'en rendre compte que même en se séparant, il fallait réussir à esquiver tout ces gens. Puis, regardant la fenêtre, une idée me vint, folle, mais réalisable. Je la murmuras n'osant pas la dire à voix haute et ayant la gorge nouée par la peur :

« Je… Je pourrais faire sortir les blessés par une fenêtre, mon pouvoir me permet de me transformer en animal d'un élément dont l'air… Je peux donc contrôler une petite parcelle d'air et la rendre assez solide pour que qu'une dizaine de personnes passe je dirais… »

Je voulus répéter tout cela plus haut, mais je n'y arrivas pas. Je n'arrivais même pas à leur dire que je serais sans doute évanouis à cause de l'effort à la fin. Prenant une grande inspiration, je réussissa à le dire plus haut. Et je sentais mon coeur battre à la panique. J'avais peur. Mais, je me devais de faire tout ce que je pouvais comme tout le monde ici et ceux, qu'importe le prix…

J'avais finalement réussi à atteindre le rez de chaussé en faisant attention aux fenêtres, car je n'avais pas envie qu'un projectile non identifié me percute...

Tout le monde s'affairait au rez de chaussée. J'entendis quelqu'un, un blond, expliquer quelque chose sur les armes à feu. Je préférai écouter, ça pourrai toujours servir...

- Pour tous ceux qui ont des armes, si vous ne savez pas vous en servir. Il prit une arme posée par terre pour montrer en même temps qu'il expliquait. Vérifiez bien sur le côté droit de l'arme si le curseur du sélecteur est bien sur une autre position que le petit verrou ici présent. Ensuite, du même côté, vous tirez sur la poignée horizontale qui dépasse, si c'est tout mou, alors larme est déjà armée, il suffit d'appuyer sur la détente, si c'est dure et que ça fait un claquement en arrivant le plus possible vers soi, alors c'est que vous venez de l'armer, il suffira d'appuyer sur la détente. En présence des autres, comme ici, on met toujours le sélecteur de l'arme sur le verrou et jamais son doigt sur la queue de détente. Pour bien placer son arme, c'est contre le pectoraux en dessous de l'os qui rejoins votre clavicule, jamais dans le creux de l'épaule. Pour viser, vous placez votre oeil dans la direction des organes de visée, à savoir le creux qu'il y a sur le dos de l'arme, ici près de vous, en alignement avec le bout de plastique qui remonte ici au dessus du canon. Le premier tir surprend toujours, n'ayez pas peur d'appuyer, ça ne va pas vous manger. Tous ceux qui ont des armes d'épaules comme celle-là, montez en haut et positionnez vous au fenêtre, n'hésitez pas à hurler entre vous ce que vous voyez, c'est toujours utile. Il reposa l'arme par terre et en prit une autre, plus petite Pour les armes de poing du même genre que la mienne. Vous vous mettez bras tendus vers l'avant, mais pas à fond, vous relevez légèrement vos coudes, ça supprimera en grande partie le recul. Le buste un peu penché en avant, les jambes écartées mais pas trop. Les organes de visée s'alignent comme pour les armes d'épaules. Deux conseils. En premier, pas la peine de vider vos balles, les tirer une par une les économisera et vous permettra de vous concentrer ainsi que de reprendre votre visée, et en plus ça fera des économies, on a pas grand chose... Et en deuxième, ne tirez que si vous voyez le blanc des yeux de ces types, ça va augmenter vos chance de toucher. C'est tout.

Oh là là, c'était compliqué... J'avais envie d'en prendre, une mais je ne le fis pas. Je ne saurai pas m'en servir de toute façon... Je n'était pas faite pour tirer avec ces trucs. Je posai la main sur ma sacoche remplie d'objets d'invocation. J'avais au moins une arme... Soudain, le garçon blanc arriva et dit d'une voix forte :

- Écoutez moi ! Désolé mais on a pas le temps de se reposer, d'autres soldats arrivent et ils ont l'air bien équipés !
J'ai besoin de quelques gars costauds pour déplacer tous les blessés à l'étage pour qu'ils soient en sécurité ! Et il faudra aussi barricader en partie les escaliers !

Bon, je n'était pas assez forte pour porter les blesser, mais je pourrai toujours aider pour les barricades... Je pris tout ce que je pourrai trouver qui pourrai servir de barricade quand un coup violent fit vibrer la porte. Il essayaient d'enfoncer la porte ! Une prof complètement paniquée prit la parole, mais je l'écoutai à peine. Cette dernière fit d'ailleurs des gestes étranges et se mit contre la porte pour essayer de la retenir, ce qui serait vain. Puis quelqu'un hurla :

-  De la glace !!!! il nous faut de la glace !(Puis il se retourna et demanda a tout le monde) quelqu'un sait ou est le gars qui geler se qu'il touche ?

Je ne sait pas si ça allait marcher, car la force des soldats pourrai briser la glace... Et je ne pouvais pas... La glace... Attendez... Enfin, je pouvais être utile ! Je m'approchai de celui qui avait eu l'idée et lui dit :

- Peut-être que je ne pourrai p... pas geler la porte en la touchant, m... mais je peux plus ou moins g... générer du froid...

Je disais ça parce que je n'étais pas sûre que Fria puisse congeler la porte, par contre, sûr, grâce à ses vents gelés, elle serai très utile pour faire tenir la porte... Je touchai à nouveau ma sacoche, puis je me mis à aller chercher quelqu'un qui pourrai geler la porte. Je finis par trouver quelqu'un d'isolé en montant les escaliers, un jeune garçon aux cheveux bleus qui arrachait un bout de sa chemise et qui regardait dehors (HRP : C'est Yahiko)
Je lui demandai :

- Heu... Excuse-moi, mais est-ce que t... tu sais geler des chose j... juste en les touchant ? Si oui, t... tu pourrai venir m'aider à m... mettre une couche de glace s... sur la porte ? J... Je pourrai générer du froid s... si tu en a besoin...

J'espérai qu'il allait dire oui pour ne pas avoir à demander à tout le monde...

Alors que quelques personnes commençait à venir vers moi la porte vibra dans un bruit sourd... Mais qu'est-ce qu'ils nous veulent putain...

La fille qui pouvait se transformer en oiseau, Luna, je crois, s'est approchée de moi pour désinfecter ma blessure, je serrai les dents alors qu'elle essuyait un peu le sang et tamponnait autour de la blessure, j'eus à peine le temps de lui lâcher un "Merci" qu'elle était déjà partie soigner d'autres personnes.

La prof que j'avais sauvée nous disait de se séparer en petits groupes pour fuir.... Si seulement elle savait que personnes ne pourraient fuir... Le plan aurait été une super idée si la plupart des étudiants n'étaient presque pas capable de se déplacer et hors de question de les abandonner... Pas comme dans la serre...

J'avais réussi à capter l'attention de certaines personnes après avoir lancé mon plan et je continuais à m'expliquer rapidement,
" Bon ceux qui peuvent se déplacer seuls prenez les escaliers et allez vous mettre dans des chambres éloignées ! Ceux qui veulent aider il faut transporter les autres blessés dans les chambre les plus proche pour éviter que le déplacement soit trop long ! Pensez aussi à barricader les fenêtres ou au moins mettre un tissu dessus pour pas qu'ils ne voient que des gens sont à l'intérieur !
Après ça il faudra déplacer des armoires vers tout les escaliers, il faut les placer juste en haut pour pouvoir les faire tomber rapidement pour empêcher les soldats de passer si besoin est ! "

Les coups de béliers se firent plus intense et je m’empressai d'ajouter,
" Si quelqu'un à un pouvoir qui pourrait les permettre de les ralenti physiquement ou mentalement, allez voir Ren' !"

Mon épaule me lançait toujours, j’aidai quelqu'un à monter les escaliers car il avait prit une balle dans la jambe, je le déposai dans une des chambres, il faudra absolument de quoi recoudre les plaies de certains ou ils ne passeront peut être pas la nuit... Mais oui !
Je fonçai vers ma chambre et fouilla la poche latérale de mon sac pour y trouver un compagnon qui m'avait sauvé de nombreuses fois dans la rue... Du fil stérile dans une petite boîte et une aiguille. Dans les bagarres de rues certains ne la joue pas réglo et attaquent avec un couteau, j'avais déjà prit des coups de couteaux dans le bras et j'avais demandé à un de mes instructeurs de l'époque de m'apprendre à me servir d'un fil et d'une aiguille. Parce qu'aller à l'hôpital c'était passer par la police...

Je me mettais devant le miroir de ma chambre enlevant le morceau de tissu que Luna m'avais posé sur l'épaule, le saignement était moins important mais il fallait recoudre ça vite fait, je coinçais mon bras et passa le fil dans l'aiguille.
Je serrai les dents en gémissant de douleur à chaque fois que l'aiguille me traversait la peau, je terminai par un nœud pour pas que le fil lâche trop vite.

Mais le point d'entrée de la balle à l'arrière de mon épaule, je ne pouvais pas le recoudre seul et puis je ne pouvais pas perdre de temps supplémentaire... Je posais un morceau de tissu propre que je coinça en enroulant ma chemise pour le faire tenir.

J'étais toujours torse nu et je donna le fil et l'aiguille à la première personne que je croisai,
" Tiens prend ça, il faut trouver quelqu'un qui sait s'en servir, si jamais il n'y a personne ramène le moi, merci"

Je ne lui laissai pas le temps de répondre et retourna déplacer les blessés.
J'entendis la fille blonde qu'avait sauvé Ren' reprendre le plan de la prof et je lança assez fort,
" Oui c'est une bonne idée ! Sauf que vous allez laisser mourir tout ceux qui sont inconscient ou trop faible pour se déplacer ! Pareil pour ceux qui boitent il ne seront jamais assez rapide pour fuir..."

Je vis Ren' ramener des armes et je m'approcha de lui pour lui parler discrètement,
"S jamais tout le monde fuit ils vont se faire rattraper par tous les autres soldats dehors, il faut soit les convaincre de renoncer soit leur en parler...."